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Le boycott d'Israël est une arme indigne

Envoyé par MeYeR 
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
13 janvier 2011, 08:21
Objet : Réponse aux courriels de pétition/ Gil Taieb



La conférence du 18 janvier qui devait se tenir au 29, rue d'Ulm a été
...
annulée par la direction de l'ENS. Une salle avait été

réservée pour cette réunion sous un autre motif. Dès que la direction de

l'établissement a été informée de la nature exacte de ce meeting, elle a

annulé cette réservation.



La Direction de l'ENS



Bravo Gil, mon ami .....
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
17 janvier 2011, 01:50
Boycott : Vanessa Paradis annule son concert en Israël

Samedi soir, à l’initiative de CAPJPO-EuroPalestine, une trentaine de militants BDS s’étaient notamment retrouvés devant le théâtre de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), où la chanteuse se produisait, pour l’informer, elle et son public, des crimes commis par l’Etat d’Israël à l’encontre du peuple palestinien.

Nous lui avons offert une petite sérénade, une chorégraphie, et avons distribué à tous les spectateurs, sous forme de tract, la lettre ouverte à Vanessa Paradis signée par 19 artistes et intellectuels israéliens du mouvement Boycott From Within (Boycott de l’Intérieur).

Quelques heures plus tard, les producteurs du spectacle de Vanessa Paradis, Charles Bensmaine et David Stern, annonçaient l’annulation de l’étape Tel Aviv, officiellement pour « impératifs professionnels » de l’artiste.



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URL=http://img31.imageshack.us/i/vanessatheatrebis.jpg/][/URL]



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Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
17 janvier 2011, 01:57
Qu'elle annule ses niaiseries, ça lui fera moins de flouse à récolter en Israël !
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
17 janvier 2011, 02:10
ecrivez afin de montrer qui menace la liberté
.par Gil Taieb, lundi 17 janvier 2011, 10:02.Chers amis,

>

> L'annulation du concert de Vanessa Paradis nous choque et nous révolte .La première réaction naturelle serait la déception et l'accusation de l',artiste.

>

> Mais après réflexion n'est-elle pas une victime du terrorisme pratiqué par les boycotteurs ?


> N'est-il pas important de montrer du doigt les véritables ennemis de la liberté ?


> N'est-il pas essentiel de montrer aux artistes que c'est aussi leur liberté qui est remise en cause par ces militants de la haine?


> N'est-il pas urgent de les soutenir et de leur montrer qui sont les démocrates et qui sont les fascistes?

>

> N'est-il pas plus positif de leur montrer qu'Israël, la seule démocratie de la région,est un pays ou a liberté est une règle et un pays ou ils sont attendus avec respect et amour?

>

> Forts de ces éléments ils pourront alors choisir leur camp, celui de l'obscurantisme ou celui de la Liberté.

>

> Ci-dessous, la première lettre d'un fan que je vous invite a imiter.

>

> A la haine nous devons répondre par la vérité et la fraternité.

>

> Soyez très nombreux a envoyer des lettres à Vanessa Paradis afin que très vite elle retrouve le chemin vers Tel Aviv

>

> Gil TAIEB et Sammy GOZLAN


perso, je ne pense pas que cela va remuer la petite cuillere des israeliens !! lé y jaalai !!
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
17 janvier 2011, 07:17
Merci Elsa, ceux qui sont prisonniers des mots d'ordre, et c'est bien connu, ne peuvent aimer ni la liberté ni la démocratie !

Leur âme est comme le sable du désert ! Vide et sans intérêt! Lavée par la propagande.

Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
19 janvier 2011, 05:51
Richard Prasquier à Sète :
«Refuser les produits transportés par Agrexco, c’est vouloir la misère des producteurs de Gaza»

19/01/11 - - : Crif

Pour préparer la mise en service, en mai 2011 prochain, de l’immense terminal fruits et légumes du port de Sète (25 000 m²), la société israélienne Agrexco, en butte à une contestation « pro-palestinienne », a organisé mardi 18 janvier 2011 un plaidoyer pour la coopération israélo-palestinienne, en présence de Christian Bourquin, président du conseil régional, du président du CRIF Richard Prasquier, du Maire de Sète, François Commeinhes et d'autres personnalités, dont Simona Frankel, Consul Général d'Israël à Marseille.

Face à la petite protestation qui réunissait une trentaine de personnes, à bord du cargo Carmel- Ecofresh, qui relie Ashdod à Sète, Ouzi Kouris, PDG d’Agrexco, a rappelé que moins de 1% des produits commercialisés par Agrexco proviennent de Cisjordanie et que ces produits eux-mêmes (aromates artificiels) suivent un étiquetage et des droits de douane particuliers. Il a ensuite déclaré qu’un éventuel blocage des exportations de ces produits pénaliserait les producteurs palestiniens plus encore que les autres. « Agrexco travaille avec 900 producteurs palestiniens et cela depuis 30 ans », lance ce fils d’agriculteurs de Nazareth qui a grandi « parmi les habitants arabes et respecte par-dessus tout leur travail ». Il s’agit de producteurs de Gaza, spécialisés dans la fraise « à contre-saison » et l’œillet. Jusqu’à 500 tonnes annuelles de fraises et 30 millions de tiges de fleurs.

Christian Bourquin, président du conseil régional, présent sur le Carmel-Ecofresh, a dit accueillir ce transfert « avec une certaine délectation ». Mais il a surtout « déploré le mélange qui n’est pas sain d’interprétation politique mais aussi religieuse, ce que je serais prêt à condamner si tel était le cas ».

Richard Prasquier a rappelé « qu’appeler au boycott des produits d’Israël est illégal, ce qui est régulièrement confirmé par la justice » et que refuser les produits transportés par Agrexco « c’est vouloir mettre dans la misère les producteurs palestiniens de Gaza où ne se trouve plus une seule implantation israélienne depuis 2005 ». « Gaza est tenu par le Hamas, qui prône la destruction totale d’Israël », a-t-il ajouté. Mais « nous sommes favorables à cette intensification des relations commerciales avec les Palestiniens car nous pensons que c’est une arme contre la violence ».

[www.crif.org]
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
20 janvier 2011, 14:45
Suite à la decision de Vanessa Paradis d'annuler son concert à Tel Aviv sous la pression des adeptes du mouvement illégal BDS de boycott, le BNVCA dépose plainte contre les instigateurs, auteurs et complices de ce délit prevu et reprimé par nos lois


Bonne nouvelle, les Amis....!!!

Maître Charles Baccouche, qui dirige le pôle juridique de notre Commission Politique vient de m'annoncer qu'il a déposé plainte au Parquet, ce matin et me demande de diffuser.
Il n'y a plus qu'à attendre le jugement de condamnation...!
J'espère qu'ils auront des peines très sévères qui serviront d'exemples.
T o l é r a n c e : " Zéro " pour tous les contrevenants à la Loi.

Bravo Charles !
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
21 janvier 2011, 01:14
Un entrepreneur palestinien de Naplouse réclame un certificat de cacherout
par Gerard Fredj


Une usine palestinienne de Naplouse vient de soumissionner auprès des services du Rabbinat central d'Israël, afin d'obtenir un certificat de cacherout.
"Alul ", veut vendre du Halva et de la Tehina, qu'elle produit déjà, mais bénéficier du label pour écouler sa production sur le marché israélien.
Le rabbinat précise que la demande "est surprenante mais réalisable si les conditions sont réunies ".
Le patron de l'usine, Ragheb Alul, précise que son entreprise a déjà bénéficié d'un certificat de cacherout dans les années 1980, jusqu'à ce que Naplouse soit transférée à l'Autorité palestinienne.
Il reconnait que fermer Chabbat ne sera pas simple..ni payer les taxes dues au Rabbinat (près de 6000 dollars par an) mais est prêt à tenter l'expérience.
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
26 janvier 2011, 14:13
Pourquoi l’appel au « boycott d’Israël » est une saloperie
BERNARD-HENRI LÉVY

Mardi 25 janvier 2011

Puisqu’il faut mettre les points sur les i, mettons-les.
Je n’ai évidemment jamais, ni de près ni de loin, fait pression sur quiconque pour que soit annulé, à l’Ecole normale supérieure, autour de Leila Shahid, Stéphane Hessel ou d’autres, un meeting de soutien aux partisans du boycott d’Israël.

C’eût été d’autant plus absurde que, par tempérament autant que par conviction, parce que je crois à la force des idées et, plus encore, de la vérité, je suis toujours, en pareilles circonstances, partisan du débat, du choc des opinions, voire de l’affrontement des convictions – et, donc, pas de la censure.

Et le fait est que, dans la circonstance particulière, c’est-à-dire dans cette affaire de campagne BDS (« Boycott, Désinvestissement, Sanctions ») qui devait être au cœur du meeting de l’Ecole normale, j’aurais été heureux, au contraire, de pouvoir présenter à des interlocuteurs de bonne foi des textes, des faits et, au fond, des évidences qui leur avaient, semble-t-il, échappé : à savoir qu’on est en présence, là, d’une campagne savamment orchestrée mais mensongère, belliqueuse, antidémocratique et, pour tout dire, parfaitement infâme.

Pourquoi ?

D’abord parce qu’on boycotte les régimes totalitaires, pas les démocraties. On peut boycotter le Soudan, coupable d’avoir exterminé une part de la population du Darfour. On peut boycotter la Chine, coupable, au Tibet et ailleurs, de violations massives des droits de l’homme. On peut, on devrait, boycotter l’Iran de Sakineh et de Jafar Panahi, dont les dirigeants sont devenus sourds au langage du bon sens et du compromis. On pourrait même imaginer, comme naguère avec l’Argentine des généraux fascistes ou l’URSS de Brejnev, le boycott de tels régimes arabes où la libre expression des citoyens est interdite et réprimée, s’il le faut, dans le sang. On ne boycotte pas la seule société du Proche-Orient où des Arabes lisent une presse libre, manifestent quand ils le souhaitent, envoient des députés au Parlement, jouissent de leurs droits citoyens. On ne boycotte pas, quoi que l’on pense de la politique de son gouvernement, le seul pays de la région et, au-delà de la région, l’un des pays du monde, hélas pas si nombreux, où les électeurs ont le pouvoir de sanctionner, infléchir, renverser la position dudit gouvernement. En sorte que présenter comme source de sa « principale indignation » le fonctionnement d’une démocratie qui, comme toutes les démocraties, est, par définition, imparfaite mais perfectible (et ne rien trouver à dire, à l’inverse, des millions de victimes des guerres oubliées d’Afrique, de la chasse aux chrétiens d’Orient ou, hier, du massacre des musulmans de Bosnie) est, au pis, indigne et, au mieux, profondément stupide.

Ensuite parce que cette campagne de boycott n’a, de toute façon et, en réalité, rien à faire des positions du gouvernement de Monsieur X ou de Madame Y. Elle ne sait rien, ni ne veut rien savoir, de ce que pensent les citoyens israéliens eux-mêmes de la reprise, par exemple, des implantations en Cisjordanie. Elle se moque des exigences, paramètres, conditions réelles de la paix entre les citoyens en question et leurs voisins palestiniens. De ces derniers, de leurs aspirations, de leurs intérêts, de leurs possibles espérances et de la manière dont le régime du Hamas les a brisées à Gaza, elle se moque comme d’une guigne et ne dit, non plus, jamais rien. Non. Cette campagne de boycott n’a, quoi qu’en disent ses promoteurs ou ses idiots utiles, qu’un but réel, assumé, ressassé, qui est de déligitimer Israël comme tel. C’est ce que dit, implicitement, la comparaison avec l’Afrique du Sud de l’apartheid. C’est ce que dit, explicitement, la rhétorique antisioniste qui sert de dénominateur commun à tous les mouvements constitutifs de cette mouvance BDS et qui, si les mots ont un sens, signifie que l’on entend saper l’idée même qui, aujourd’hui, que cela plaise ou non, cimente la nation israélienne. Et c’est pourquoi cette campagne contrevient, en effet, aux usages, règles et lois du droit international et, ici, national.

Et puis, enfin, il y a, au cœur et, parfois, à l’origine de cette campagne des gens dont le moins que l’on puisse dire est que l’inspiration n’est celle ni des héros de la France libre ni des rédacteurs de la Charte universelle des droits de l’homme ni des partisans d’une paix juste entre les deux peuples israélien et palestinien. Je tiens à la disposition de qui voudra les déclarations d’Omar Barghouti, l’un des initiateurs du mouvement, affirmant que son but n’est pas deux Etats mais deux Palestine. Celles d’Ali Abunimah, cofondateur de Electronic Intifada et adversaire, lui aussi, de la solution des deux Etats, qui n’hésite pas à comparer Israël à l’Allemagne nazie et tel de ses philosophes aux éditorialistes de Der Stürmer. Celles des dirigeants de Sabeel, ce groupe de Palestiniens chrétiens, très présent en Amérique du Nord et qui, soucieux de donner un fondement « théologique » à l’idée d’« investissement responsable », ne craint pas de réactiver, subtilement mais sûrement, les stéréotypes du juif tueur de Christ. Sans parler de bien douteuses initiatives visant à marquer les marchandises juives, pardon israéliennes, d’autocollants supposés infamants et propres à les signaler au consommateur français vigilant.

Tout cela est accablant et, encore une fois, incontestable. Présenter comme des victimes les promoteurs de ce discours de haine ne dit que trop dans quel état de confusion – intellectuelle, morale – se trouve une Europe que l’on voulait croire guérie de son pire passé criminel.

[laregledujeu.org]
Re: Le boycott d'Israël est une arme indigne
28 janvier 2011, 02:15
Boycott ! Et maintenant à qui le tour ?


BDS France, pour Boycott, Désinvestissement, Sanction, appelle au boycott de l'Egypte, de la Jordanie et du Liban en raison de leur maltraitance envers le peuple palestinien. 1- Le boycott représente une prise de position, c'est un acte de dénonciation politique qui se poursuivra jusqu'à ce que l’Égypte, la Jordanie et le Liban s'engagent clairement dans le respect du droit international.

Par BDS

Nous poursuivrons nos actions jusqu'à ce que l’Égypte cesse le blocus et ouvre sa frontière avec Gaza, jusqu'à ce que le Liban supprime les douze camps, véritables ghettos de la honte, où sont parqués plus de 425.000 palestiniens, dans des conditions inhumaines, et qu'il les traite à égalité avec son propre peuple, dans le respect des droits de l'homme, en leur donnant la nationalité libanaise, le droit de se déplacer librement hors des camps, la sécurité sociale, l'accès aux études, et à tous les métiers sans distinction de leur origine, et jusqu'à ce que la Jordanie supprime ses dix camps de réfugiés où sont parqués les palestiniens.

2- Cette campagne de Boycott des États égyptien, jordanien et libanais, comme celle du Boycott de l'Afrique du Sud de l'Apartheid, n'est pas une fin en soi, destinée à discriminer une population. Elle constitue un outil de pression sur nos gouvernements pour qu'ils appliquent des sanctions et un levier sur ces gouvernements, qui servira à imposer la seule issue pour cette région : l'application du droit international et le respect des droits des Palestiniens dans les camps jordaniens et libanais, et la disparition du blocus égyptien contre Gaza.

3- Notre action est éthique, citoyenne et politique. Elle s'inscrit dans notre combat permanent contre toute forme de racisme. Elle ne vise pas des personnes ou des groupes en raison de leur origine ou de leur religion musulmane, ni leurs entreprises ou leurs produits. Nous faisons une différence évidente entre un produit égyptien, jordanien ou libanais que nous boycottons, et un produit hallal produit par une entreprise que nous ne boycottons pas. Ce boycott ne vise pas les sociétés arabes du Moyen Orient ni les individus qui la composent, en tant que tels, il vise la politique raciste d'emprisonnement des palestiniens dans des prisons à ciel ouverts, que ce soit sur le sol jordanien, libanais ou à Gaza, et de leurs partisans.

4 - Nous nous engageons

À refuser d'acheter ou de consommer les produits et les services de l'économie égyptienne, jordanienne et libanaise ;

À refuser de participer à toute action culturelle sportive... promue en France par des institutions officielles de ces trois pays ;

À informer les partenaires commerciaux ou institutionnels des raisons de notre boycott ;

À mener des campagnes d'information et de sensibilisation du public sur les raisons du boycott, et sur les entreprises françaises qui participent au maintien des palestiniens dans les camps de réfugiés ;

À mener des actions d'information auprès des entreprises et comités d'entreprise français sur les produits égyptiens, jordaniens et libanais et les raisons de cesser leur distribution.

5 - Notre action est non violente et respecte les personnes et les biens. C'est le nombre de citoyens, associations, organisations syndicales et politiques qui nous rejoindront dans cette campagne solidaire et déterminée qui permettra d'atteindre ce but. Signataire de l'appel au Boycott de l'Egypte, de la Jordanie et du Liban :



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