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TUNIS...CAPITAL DE LA SALETE.

Envoyé par breitou 
TUNIS...CAPITAL DE LA SALETE.
26 novembre 2017, 07:41
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Tunis, la ville la plus sale parmi les capitales arabes, choisie capitale de la culture islamique !

Tunis, l’une des villes les plus sales parmi les capitales arabes, a été choisie ce mardi 21 novembre 2017, comme capitale de la culture islamique en 2019.

En marge de la 10ème conférence des ministres islamiques de la Culture, tenue à Khartoum, au Soudan, la capitale tunisienne a donc été proclamée capitale de la Culture islamique pour l’année prochaine, rapporte la radio publique.

Il s’agit, selon le ministre tunisien de la Culture, Mohamed Zine El Abidine, d’une occasion pour mettre à l’avant la diversité de la culture islamo-tunisienne.

Il est à noter que la conférence des ministres islamiques de la Culture se tient sous l’égide de l’ISESCO (Organisation islamique de l’Education, des Sciences et de la Culture).

La capitale tunisienne coule et croule sous la saleté. Elle meurt à petit feu..

Tunis est parmi les villes les plus sales selon le classement qui a été établi dernièrement par le groupe britannique Urbain Clean Environnent.

La saleté on la voit dans les rues, devant les écoles, les hôpitaux, les hôtels de la capitale partout partout… même dans les quartiers huppé. Ces déchets et ce manque d’hygiène ont fait fuir les visiteurs. Aucun secteur de la capitale n’échappe à ce look qui, le moins que l’on puisse dire, est déplaisant. Les ordures envahissent pratiquement tous les quartiers de la capitale.Des «collines» d’ordures sont visibles à l’œil nu.

La ville a changé d’habit depuis 2011 pour revêtir celui de la malpropreté. Un situation remarquable qui ne laisse personne indifférent : Tunis a perduede sa beauté, sa propreté, de son image d’antan. Tunis est devenue tout bonnement invivable, inhabitable, une immense favela.

Les détritus, la saleté, les eaux stagnantes et nauséabondes envahissent pratiquement toutes les rues et ruelles du centre ville. Là où vous allez, c’est le même constat, le même spectacle désolant qui s’offre à vos yeux, c’est les mêmes odeurs fétides qui agressent vos narines. Aucun quartier, aucune commune n’est épargnée par ce phénomène très dangereux avec toutes les maladies que cela pourrait engendrer.

Tunis ressemble à une poubelle ouverte. A quelques pas des ministères de l’Intérieur et du Tourisme, dans la principale artère de la capitale, vous trouvez les ordures partout. Ici des tas d’ordures jonchent le sol et les nuisances de la saleté se multiplient. Les détritus ont doublé de volume après la révolte de 2011. Corrompus, les pouvoirs publics sont incapables de réagir et ils se soucient si peu de l’environnement.

Les barbelés, les sacs de sable et les saletés jonchent les rues de la ville qui sera la capitale de la culture islamique. Ici les gens n’ont aucune conscience morale ni civique et ni écologique.

Les rues de la villes inondée, jusqu’à devenir immonde, d’étals ambulants du marché parallèle sur plusieurs centaines de mètres. Des rues laides de plastiques et de cartons de marchandises importées illégalement et vendues de manière toute aussi illégale.

Avec ce laisser-aller, dans les quartiers plus ou moins «chic», par exemple La Fayette, les trottoirs sont dans un état de saleté repoussant, des eaux noirâtres empestent l’air. Un petit jardin en face de l’avenue Mohammed V est parsemé d’ordures. Même constat au niveau des ruelles qui juxtaposent le quartier huppé de Mutuelleville au nord.

La saleté, les détritus, les ordures envahissent littéralement toutes les ruelles du quartier Bab El Khadra. Ici les détritus s’accumulent aussi bien au bas des immeubles, des rues qu’en face des commerces. La situation s’aggrave quotidiennement et prend des proportions alarmantes surtout avec la présence des vendeurs ambulants de fruits qui envahissent chaque jour un peu plus cet espace.

Le spectacle à peine croyable de ce laisser-aller où le paysage urbain de Tunis croule sous les ordures ménagères, des ordures qui s’entassent sur les trottoirs et, dans certains certaines rues des différents quartiers de la capitale est désolant.

L’ancien quartier juif de la capitale: c’est vraiment la honte.

La palme d’or de ce paysage apocalyptique revient au quartier Hafsia ou la « Hara » qui était autrefois un quartier ancien d’habitat traditionnel pour les juifs est devenu un vrai dépotoir des marchands d’un secteur parallèle que le Mairie et sa police municipale semblent décidés à ne plus combattre. Ici les poubelles d’immeubles, une fois vidées par les ramasseurs d’ordures sont projetées de façon brutale dans une indifférence totale, laissant échapper les dernières ordures de la poubelle mal vidée qui s’éparpillent sur la chaussée et les trottoirs.

Par endroits, la chaussée est complètement obstruée, obligeant les passants à faire des détours pour ne pas être obligés de patauger dans les immondices. Les bacs à ordures, là où il en existe, sont remplis à ras-bord. C’est le cas au niveau de l’ancienne synagogue où on se croirait dans une décharge publique. Tel est le triste décor qu’offre, ces derniers jours, cet ancien quartier juif à ses habitants et à ses visiteurs.

Ce spectacle déplorable et désolant des amoncellements d’ordures ménagères ou autres est visible derrière l’ancienne grande synagogue de la Hafsia, qui a disparue depuis longtemps. Aujourd’hui la dernière des dernières synagogues de la Hafsia, celle de la rue Achour, est transformée en café.

Il y avait beaucoup de synagogues dans la Hafsia, ce quartier juif de la médina de Tunis nommé la Hara. Après l’exil des Juifs, elles se vidèrent petit à petit, puis fermèrent leur porte. Chacune d’entre elles à trouver une nouvelle vocation, un commerce, un restaurant…

Fréquentés assidûment par les citoyens, les marchés des produits alimentaires constituent ici l’une des principales causes de l’état d’insalubrité très avancé de la capitale. Il suffit d’une virée sur ces lieux pour s’en rendre compte : un véritable drame à ciel ouvert, les dégâts sont énormes. Des «collines» d’ordures sont dispersées un peut partout dans le marché.

En attendant, et malgré cette image hideuse de la capitale, Tunis a donc été proclamée capitale de la Culture islamique pour l’année prochaine.

Reproduction autorisée avec la mention suivante:

© Souhail Ftouh


Images apocalyptiques de la future capitale de la culture islamique qui croule sous les ordures.
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