NOUVELLES RUBRIQUES GETEBEENNE :
RACONTEZ ICI LES HISTOIRES VRAIES ET COCASSES QUI VOUS SONT ARRIVEES :
Je commence par celle que j'ai vecu dernierement :
Un client arrive a l'agence et me demande de lui reserver un sejour a EILAT pour une semaine .. pour 2 personnes ..
tout se passe apparemment tres bien ..
Ce meme Monsieur revient la semaine d'apres et me reserve cette fois ci un semaine ds le meme hotel et cette fois ci pour 2 personnes et 2 enfants
Le voila repartit
En arrivant a l'hotel Madame et les enfants s'installent a la reception
pendant que Monsieur recupere les cles de la chambre au comptoir ...
Pendant l'attente, Madame fait un tour ds le hall, et se dirige droit sur les photos de vacances ( vous savez ceux que le photographe fait a longueur de journée, pour les afficher ..... au tableau)
et devinez quoi ???? en technicolor la photo de son mari la semaine precedente avec ..... pas elle du tout !!!!
Bien entendu bibi a rapatrié cette petite famille .. et pas ds le meme vol de retour bien sur.............
Quelle salade !!!!!!je sais tu es tenue au secret mais entre nous ! dis moi si je les connais ceux là????
curieuse !!!
TU CONNAIS EN PLUS, MAIS TU NE SAURA JAMAIS QUI C'ETAIT !!!!!!!!!!!!!!!
Les histoires d'hotel sont sans fin...
Alors que j'étais relation publique d'une chaine d'hotels à Nice, je vois un chasseur ayant enfilé des gants blancs, un tissus rose à la main
Je m'approche:
- Que faites vous?
- Madame Untel a oublié sa chemise de nuit, je la renvoie
- Vous l'a t-elle réclamée?
- Non madame
- Alors arrêtez cela, chez nous on ne renvoie jamais une chemise de nuit...ni rien d'autre d'ailleurs
Une heure après le client me téléphonait en me disant: catastrophe! "on" a oublié une chemise de nuit, pouvez vous me la faire renvoyer à mon bureau svp.
Un couple passait les trois mois d'été à l'hotel, ou plutôt Madame, parce que Monsieur ne venait que du vendredi au lundi, ils faisaient partie d'un petit groupe très agréable...
C'était l'époque ou on laissait les chaussures à la porte pour les faire cirer et ou le personnel écrivait le n° de la chambre sur la semelle...
Un samedi soir au bar monsieur a eu la déconvenue de voir que les chaussures de son meilleur ami (célibataire) portaient le même n° que son épouse...c'est le célibataire dont nous avons perdu la clientèle!!
PAS FUT..FUT.. LES MESSIEURS !!
CA ARRIVE RAREMENT A DES MADAMES ... TROP MALIGNES !!! ELLES
Un matin j'arrive à l'hôtel...
Outre des hurlements dans le grand hall, à la reception et à la loge, tous baissent la tête d'un air que je repère illico comme étant particulièrement chafoin...pas de bonjour, rien
Je vais avec courage vers les cris, sentant vaguement que je devais être concernée
"Ou est cette idiote d'attachée de presse?"
Là plus de question: je me suis reconnue de suite, mdr
J'avais obtenu la veille de ce chef d'orchestre célèbre qu'il donne un interview à Nice-Matin, total il brandissait le journal en hurlant:
"Regardez ils ont écrit que j'ai un coup de "braguette" magique
Que faire? surtout pas se démonter, j'ai répondu:
"C'est plutôt élogieux ça, cher Maître"
Il est resté bouche bée.
Au moins les rieurs étaient de mon coté, mais je n'ai jamais su à qui je devais ce "r" de la discorde
Les histoires vraies ne sont pas toujours drôles, mais puisqu'on est dans l'hôtellerie...
Fin d'après midi, j'allais partir quand le directeur me fait appeler:
Un suicide! nous avions un suicide, un client qui était arrivé le matin même, l'hôtel était complet, nous lui avons donné une chambre derrière, la seule qui nous restait; c'est donc dans la cour qu'il a atterri après s'être jeté par la fenêtre!
Évidemment enquête de police dispositions pour que aucun client ne puisse être au courrant...etc
C'est alors que le directeur revient vers moi l'air catastrophé: une résidente belge qui passait trois mois chez nous tous les ans venait de mourir - appel de mon copain des pompes funèbres: discrétion vis à vis de la clientèle mais aussi des policiers toujours sur les lieux, quelque fois qu'ils pensent qu'on empoisonnait nos hôtes.
Télégrammes de condoléances à la famille et demande d'instructions...
Il est dix heures du soir, je décide de rester au débat du Phylum qui avait lieu dans un des salons.
Je reverrai toujours l'air défait et la pâleur du directeur m'appelant à nouveau: Monsieur L. qui descendait six mois de l'année chez nous avec son infirmière et son chauffeur (il avait 98 ans) venait de nous quitter...ses 5 fils habitaient 5 continents différents...telex à chacun d'eux pour instructions, et re copain des pompes funèbres.
Chacun des fils recommandait de s'adresser à un autre frère, mais personne n'en désignait un en particulier...je vous passe les trois jours de palabres téléphoniques...Je crois que seuls, le directeur, sa femme et moi et aussi la totalité du personnel avaient un véritable chagrin de la disparition de cet homme charmant
Voilà, j'ai passé 7 ans dans cet hôtel, nous n'avons eu que trois décès, mais tous en deux heures
ELSA ET GIRELLE ,
UN PLAISIR DE LIRE VOS HISTOIRES VRAIES ET PASSIONNANTES !!!!
CONTINUEZ !!!!
Pièces jointes:
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