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Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour

Envoyé par Lu_sur_Adra 
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:28
Par Lapid (Lapid) le samedi 28 avril 2007 - 22h39:

Communiqué : déroulement du 2ème tour des élections présidentielles (dimanche 6 mai).
26 avril 2007

Afin de répondre à une légitime attente de la communauté française d'Israël et d'assurer un meilleur déroulement du 2ème tour des élections présidentielles, qui auront lieu le 6 mai prochain, les mesures suivantes ont été prises :

1/ la durée du scrutin est allongée : les bureaux de vote seront ouverts à Tel-Aviv et Nétanya de 7h à 19h ;

2/ le Centre de vote de Netanya est transféré au Park Hotel, 7 rue David Hamelech, où un bureau de vote supplémentaire sera créé (deux au total) ;

3/ Deux bureaux de vote supplémentaires sont crées à Tel-Aviv au même endroit, au Consulat général de France, (soit 5 bureaux de vote à Tel-Aviv au total).

Ambassade de France en Israël.
Service de presse et de communication.

---------------------------------------------------------------------

FRANCAIS D'ISRAEL, VENEZ VOTER !

Si vous voulez connaitre les resultats detailles du 1er tour des francais en Israel, cliquer sur :

Resultat du 1er Tour des elections presidentielles

Vous avez ete pres de 24% des inscrits a voter alors que la moyenne generale pour les francais qui ont vote a l'etranger est de 40,3%. Certes c'est un un progres par rapport aux precedentes elections presidentielles ou votre participation ne depassait pas les 10%.

Contrairement a certains qui contestent notre droit au vote, je pense, comme je l'ai deja dit, que cette election, plus que jamais, concerne tout les Francais aussi bien de l'Etranger que les Francais de la Metropole.

FAITES UN EFFORT ET N'OUBLIEZ PAS DE VOTER LE DIMANCHE 6 MAI

CHAVOUA TOV
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:29
Par Victor (Victor) le samedi 28 avril 2007 - 23h23:

La haute main de Sarkozy sur les médias

Par Raphaël GARRIGOS, Catherine MALLAVAL, Isabelle ROBERTS

QUOTIDIEN : samedi 28 avril 2007

Les médias sont-ils au service de Sarkozy ? Et, si oui, qui passe les plats ? Alors que l'organisation du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou a continué vendredi de défrayer la chronique (lire ci-contre), la question d'une certaine intrusion pour rester poli du candidat Sarkozy dans les médias se repose avec une méchante acuité. Suite d'un long feuilleton, lors duquel l'homme a su déployer un large registre : grosse colère (récemment, en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3, parce qu'il n'avait pas de loge), invectives directes à des journalistes, remerciements douteux, par exemple à Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005, quand il ne s'agit pas d'abus de pouvoir caractérisé. C'est bien Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur, a exigé et obtenu le limogeage du patron de Paris Match, qui avait eu l'outrecuidance de montrer Cécilia en compagnie d'un autre que lui en une. Caractère autoritaire ? Manque de respect pour l'indépendance des médias ? Ce qui est sûr, c'est ce que le candidat jouit d'un formidable réseau de copains qui tiennent le haut du pavé dans les médias.

Un grand réseau

D'abord, il y a Martin Bouygues, le plus proche de tous, son meilleur ami et, ça tombe bien, patron de TF1 (soit un tiers de l'audience télévisuelle). Mais il y a aussi Arnaud Lagardère, son «frère», patron du groupe qui abrite en son giron Europe 1, Paris Match, le JDD, etc. C'est sans compter avec Serge Dassault, déçu du chiraquisme, et propriétaire du Figaro, Bernard Arnault, le témoin de son mariage avec Cécilia, et propriétaire de la Tribune, ou encore François Pinault, propriétaire du Point avec qui Sarko partage entre autres la même passion du vélo. Et alors ? Tous ces patrons-actionnaires ont-ils le petit doigt sur la couture et peuvent-ils vraiment mettre leurs journalistes au garde-à-vous ? Pas si simple. Mais certains faits sont troublants.

La télé sous influence.

Coups de fil, conseils, pressions, et sans doute et aussi une bonne dose d'autocensure de la part des chaînes de peur de déplaire, l'ombre de Sarko plane sur les JT. La crise des banlieues de 2005 en est l'illustration toute spéciale. Novembre de cette année-là, 7 à 8 (TF1) saisit en caméra cachée une provocation policière envers des jeunes. Savon du directeur de l'information. Le dimanche suivant, l'émission contrebalance avec les interviews de maires de banlieues chaudes. Le 10 novembre, cette fois, c'est France 2 qui diffuse dans son JT les images du tabassage de jeunes par des policiers. Ceux-ci sont suspendus. Arlette Chabot décide d'ôter le reportage du site web de France 2 : «Nous ne voulions pas tomber dans la surenchère.» En août dernier, le ministre de l'Intérieur, invité à TF1 pour une interview, en profite pour passer un savon mémorable à un journaliste. La raison ? Un reportage sur les sans-papiers de Cachan, jugé trop complaisant. En juin 2005, quand Canal + songe à se débarrasser de Karl Zéro à la déontologie variable, Sarkozy appelle Bertrand Méheut, patron du groupe, pour l'en dissuader. Pour le coup, il n'est pas le seul, puisque Laurent Fabius s'est lui aussi fendu d'un coup de fil. Autre affaire : le 7 mars 2006, la veille d'un délicat voyage du ministre aux Antilles, TF1 annonce que le joker de PPDA sera désormais le journaliste noir et antillais Harry Roselmack. Un bien beau hasard n'arrivant jamais seul, Sarkozy est déjà au courant. Le 17 février, recevant Place Beauvau le club Averroes, qui défend l'image des minorités dans les médias, le ministre de l'Intérieur avait en effet annoncé la nouvelle : il y aura, cet été, un Noir au 20 heures. D'ici à ce que ce soit Sarkozy qui ait lui-même soufflé l'idée à Bouygues... Plus récemment, ainsi que le raconte cette semaine le Canard enchaîné, Claude Guéant, directeur de campagne de Sarkozy, a tenté de s'assurer auprès de Patrick de Carolis, président de France Télévisions, que les émissions de Georges-Marc Benhamou, récent soutien de l'UMP, seraient bien reconduites à la rentrée. Raté : Carolis l'a envoyé sur les roses. Mercredi dernier encore, lors de l'interview de Sarkozy sur TF1 par PPDA et François Bachy, un détail amusant : plusieurs plans ont montré que, sous la table, le candidat de l'UMP avait enlevé ses chaussures. Sarkozy en chaussettes ! Il se croit chez lui, ou quoi ?

Brouillage sur les ondes

Est-ce un hasard si les Guignols s'en donnent à coeur joie sur un si zélé Jean-Pierre Elkabbach qui, du haut d'Europe 1, pratiquerait à outrance des interviews cire-UMP ? En tout cas, en février 2006, le Canard enchaîné révèle que Jean-Pierre Elkabbach, directeur de la station, a pris conseil auprès de Nicolas Sarkozy sur le choix d'un journaliste politique. «C'est normal, fanfaronne Sarkozy. J'ai été ministre de la Communication.» Et il ajoute : «Je les connais, les journalistes.» De son côté, Elkabbach revendique sa «méthode» de recrutement, qui consiste, dit-il, à prendre l'avis des politiques, mais aussi de syndicalistes ou d'associations : «Je fais cela pour tous les services parce que je veux avoir les meilleurs... Je ne peux pas interdire aux politiques de me donner leur avis. Mais, ensuite, je décide à 100 % moi-même.»

Pressions sur la presse

C'est sans doute sur Paris Match que les interventions de Nicolas Sarkozy ont été les plus directes et les plus pressantes. Témoin, l'incroyable limogeage de l'ancien patron de Paris Match, Alain Genestar. Témoin aussi, depuis, le chouchoutage du candidat. Ah ! ce titre «Un destin en marche», dont a bénéficié Sarkozy en décembre dernier (sans parler des huit pages lui étant dédiées). Mais si c'était tout. Très déboussolant aussi, le tout récent «outing» de Joseph Macé-Scaron, actuellement directeur adjoint de la rédaction de Marianne (1) , dans l'émission On refait le monde du 16 avril sur RTL : «J'ai été démissionné du Figaro Magazine [en juin 2005], tout simplement parce que j'ai refusé de tailler des pipes à M. Nicolas Sarkozy.» Direct. Autant que les coups de fil de Sarkozy à Edouard de Rothschild (actionnaire de référence de Libération ) pour se plaindre...

(1) Les Inrockuptibles du 24 avril.

[www.liberation.fr]
© Libération
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:30
Par Victor (Victor) le samedi 28 avril 2007 - 23h23:

La haute main de Sarkozy sur les médias

Par Raphaël GARRIGOS, Catherine MALLAVAL, Isabelle ROBERTS

QUOTIDIEN : samedi 28 avril 2007

Les médias sont-ils au service de Sarkozy ? Et, si oui, qui passe les plats ? Alors que l'organisation du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou a continué vendredi de défrayer la chronique (lire ci-contre), la question d'une certaine intrusion pour rester poli du candidat Sarkozy dans les médias se repose avec une méchante acuité. Suite d'un long feuilleton, lors duquel l'homme a su déployer un large registre : grosse colère (récemment, en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3, parce qu'il n'avait pas de loge), invectives directes à des journalistes, remerciements douteux, par exemple à Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005, quand il ne s'agit pas d'abus de pouvoir caractérisé. C'est bien Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur, a exigé et obtenu le limogeage du patron de Paris Match, qui avait eu l'outrecuidance de montrer Cécilia en compagnie d'un autre que lui en une. Caractère autoritaire ? Manque de respect pour l'indépendance des médias ? Ce qui est sûr, c'est ce que le candidat jouit d'un formidable réseau de copains qui tiennent le haut du pavé dans les médias.

Un grand réseau

D'abord, il y a Martin Bouygues, le plus proche de tous, son meilleur ami et, ça tombe bien, patron de TF1 (soit un tiers de l'audience télévisuelle). Mais il y a aussi Arnaud Lagardère, son «frère», patron du groupe qui abrite en son giron Europe 1, Paris Match, le JDD, etc. C'est sans compter avec Serge Dassault, déçu du chiraquisme, et propriétaire du Figaro, Bernard Arnault, le témoin de son mariage avec Cécilia, et propriétaire de la Tribune, ou encore François Pinault, propriétaire du Point avec qui Sarko partage entre autres la même passion du vélo. Et alors ? Tous ces patrons-actionnaires ont-ils le petit doigt sur la couture et peuvent-ils vraiment mettre leurs journalistes au garde-à-vous ? Pas si simple. Mais certains faits sont troublants.

La télé sous influence.

Coups de fil, conseils, pressions, et sans doute et aussi une bonne dose d'autocensure de la part des chaînes de peur de déplaire, l'ombre de Sarko plane sur les JT. La crise des banlieues de 2005 en est l'illustration toute spéciale. Novembre de cette année-là, 7 à 8 (TF1) saisit en caméra cachée une provocation policière envers des jeunes. Savon du directeur de l'information. Le dimanche suivant, l'émission contrebalance avec les interviews de maires de banlieues chaudes. Le 10 novembre, cette fois, c'est France 2 qui diffuse dans son JT les images du tabassage de jeunes par des policiers. Ceux-ci sont suspendus. Arlette Chabot décide d'ôter le reportage du site web de France 2 : «Nous ne voulions pas tomber dans la surenchère.» En août dernier, le ministre de l'Intérieur, invité à TF1 pour une interview, en profite pour passer un savon mémorable à un journaliste. La raison ? Un reportage sur les sans-papiers de Cachan, jugé trop complaisant. En juin 2005, quand Canal + songe à se débarrasser de Karl Zéro à la déontologie variable, Sarkozy appelle Bertrand Méheut, patron du groupe, pour l'en dissuader. Pour le coup, il n'est pas le seul, puisque Laurent Fabius s'est lui aussi fendu d'un coup de fil. Autre affaire : le 7 mars 2006, la veille d'un délicat voyage du ministre aux Antilles, TF1 annonce que le joker de PPDA sera désormais le journaliste noir et antillais Harry Roselmack. Un bien beau hasard n'arrivant jamais seul, Sarkozy est déjà au courant. Le 17 février, recevant Place Beauvau le club Averroes, qui défend l'image des minorités dans les médias, le ministre de l'Intérieur avait en effet annoncé la nouvelle : il y aura, cet été, un Noir au 20 heures. D'ici à ce que ce soit Sarkozy qui ait lui-même soufflé l'idée à Bouygues... Plus récemment, ainsi que le raconte cette semaine le Canard enchaîné, Claude Guéant, directeur de campagne de Sarkozy, a tenté de s'assurer auprès de Patrick de Carolis, président de France Télévisions, que les émissions de Georges-Marc Benhamou, récent soutien de l'UMP, seraient bien reconduites à la rentrée. Raté : Carolis l'a envoyé sur les roses. Mercredi dernier encore, lors de l'interview de Sarkozy sur TF1 par PPDA et François Bachy, un détail amusant : plusieurs plans ont montré que, sous la table, le candidat de l'UMP avait enlevé ses chaussures. Sarkozy en chaussettes ! Il se croit chez lui, ou quoi ?

Brouillage sur les ondes

Est-ce un hasard si les Guignols s'en donnent à coeur joie sur un si zélé Jean-Pierre Elkabbach qui, du haut d'Europe 1, pratiquerait à outrance des interviews cire-UMP ? En tout cas, en février 2006, le Canard enchaîné révèle que Jean-Pierre Elkabbach, directeur de la station, a pris conseil auprès de Nicolas Sarkozy sur le choix d'un journaliste politique. «C'est normal, fanfaronne Sarkozy. J'ai été ministre de la Communication.» Et il ajoute : «Je les connais, les journalistes.» De son côté, Elkabbach revendique sa «méthode» de recrutement, qui consiste, dit-il, à prendre l'avis des politiques, mais aussi de syndicalistes ou d'associations : «Je fais cela pour tous les services parce que je veux avoir les meilleurs... Je ne peux pas interdire aux politiques de me donner leur avis. Mais, ensuite, je décide à 100 % moi-même.»

Pressions sur la presse

C'est sans doute sur Paris Match que les interventions de Nicolas Sarkozy ont été les plus directes et les plus pressantes. Témoin, l'incroyable limogeage de l'ancien patron de Paris Match, Alain Genestar. Témoin aussi, depuis, le chouchoutage du candidat. Ah ! ce titre «Un destin en marche», dont a bénéficié Sarkozy en décembre dernier (sans parler des huit pages lui étant dédiées). Mais si c'était tout. Très déboussolant aussi, le tout récent «outing» de Joseph Macé-Scaron, actuellement directeur adjoint de la rédaction de Marianne (1) , dans l'émission On refait le monde du 16 avril sur RTL : «J'ai été démissionné du Figaro Magazine [en juin 2005], tout simplement parce que j'ai refusé de tailler des pipes à M. Nicolas Sarkozy.» Direct. Autant que les coups de fil de Sarkozy à Edouard de Rothschild (actionnaire de référence de Libération ) pour se plaindre...

(1) Les Inrockuptibles du 24 avril.

[www.liberation.fr]
© Libération
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:31
Par Michka (Michka) le dimanche 29 avril 2007 - 00h49:

On s'en doutait déjà, la banlieue a bien voté pour Bayrou :
Analyse des résultats des élections 2007 sur l'audio qui suit entre délire et petite révélation :

[www.zshare.net]

Parlons-en de l'électorat du Bayrou !

Vous avez peut-être zappé l'information qui disait que l'UOIF, ces grands démocrates devant l'éternel, appelait à voter Bayrou. C'est ce qui a peut-être motivé ceci :

Son bandeau de campagne sur son site
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:32
Par Victor (Victor) le dimanche 29 avril 2007 - 01h17:

Pour Lapid :

Victor (Victor) le vendredi 27 avril 2007 - 16h48:

L’ambassade de France en Israël améliore le dispositif de vote pour le 6 mai
27/04/07

(etc)
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:32
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 29 avril 2007 - 01h16:

Au fait, à qui doit on l'UOIF, à Sarko ou à Bayrou ?

Qui a donc fait rentrer le loup dans la bergerie, Sarko ou bien Bayrou,,,

,,,et qui aime se tromper systématiquement de cible? suivez mon regard !
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:33
Par Victor (Victor) le dimanche 29 avril 2007 - 01h57:

Deux tiers des députés UDF ont choisi Sarkozy

Quelque 19 députés UDF sur 29 ont annoncé qu'ils voteraient pour le candidat de l'UMP au second tour. L'ancien banquier Jean Peyrelevade, conseiller de Bayrou, indique qu'il votera blanc.

[www.latribune.fr]

NICE Rudy SALLES député UDF votera Nicolas SARKOZY

[www.nicerendezvous.com]

A Nice, Rudy Salles opte pour Nicolas Sarkozy

[www.nice-premium.com]

Nice : Rudy Salles, député UDF, choisit Nicolas Sarkozy

[www.rivierabiz.com]
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:34
Par Girelle (Girelle) le dimanche 29 avril 2007 - 01h41:

A propos du bandeau de campagne sur le site de Bayrou:

[www.bayrou.fr]

Allez voir
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:34
Par Girelle (Girelle) le dimanche 29 avril 2007 - 01h56:

...bien sûr tout le monde n'a pas pu se déplacer...mais

C'est un plebiscite pour Sarkozy, en Israel, il y fait des résultats extrêmement brillants!!

On dit que quand il y a deux juifs, il y a trois opinions, mais là, il fait une telle unanimité que vous devriez lui demander de se présenter en Israel.
Re: Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
29 avril 2007, 06:35
Lapid (Lapid) le dimanche 29 avril 2007 - 03h04:

Girelle,

On a bien compris que vous contestez le droit de vote des franco-israeliens tout simplement parce dans leur generalite,ils ne font pas le meme choix que vous. Drole conception de la Democratie! Oseriez- vous aller ausi loin en ce qui concerne le vote de certaines banlieues ou d'autres couches de la population qui voteront comme vous ? Vraiment, on a du mal a vous suivre.
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