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ADRA DU JOUR

Envoyé par jero 
Re: ADRA DU JOUR
11 septembre 2007, 08:30
Israel a toujours caché ses fais d'armes avant de laisser la mousse retomber.

Quant à la MENA, je ne pense pas que pareille information soit donnée pour le simple plaisir de faire délirer ses lecteurs.
Re: ADRA DU JOUR
12 septembre 2007, 08:45
CNN se trompe (info # 011209/7) [Breaking news]


Dépêche commune de tous les analystes stratégique de l’agence © Metula News Agency



14h 10 à Metula



L’annonce de Christiane Amanpour, hier sur CNN, "dévoilait" en substance les informations suivantes :



Dans la nuit de mercredi à jeudi derniers, Israël a mené une opération importante, au nord-est de la Syrie, non loin du fleuve Euphrate. L’opération a été effectuée par des chasseurs-bombardiers, peut-être accompagnés de troupes au sol. La cible visée était un stock d’armes d’origine iranienne destiné au Hezbollah au Liban. L’attaque a laissé un grand cratère dans le désert syrien.



CNN reprenait ainsi deux des informations communiquées en primeur et en exclusivité par la Ména un jour plus tôt : il ne s’est pas agi d’un "survol sans frais du territoire syrien", tel que l’affirmait Damas avant la publication de notre analyse, mais d’une attaque air-sol au missile, et l’opération fut de nature massive, au niveau des moyens employés.



Les points sur lesquels le communiqué de CNN diffère du nôtre sont les suivants :



Nous annoncions que l’objectif était au moins un centre de lancement de missiles Scud et d’entreposage d’armes de destruction massive. Non pas d’armes conventionnelles à destination du mouvement shiite libanais.


CNN a défini que le but de l’opération a consisté à lancer un avertissement à Damas afin qu’elle cesse son appui à l’organisation terroriste de Hassan Nasrallah. La Ména, pour notre part, a déclaré, et maintient, que l’attaque avait un caractère stratégique, qu’elle a été menée pour annihiler une menace existentielle contre l’Etat d’Israël.


Christiane Amanpour a déclaré qu’elle avait reçu les informations qu’elle a diffusées de la part de plusieurs sources concordantes à l’intérieur de l’administration U.S. Nous avons précisé, pour notre part, que nos conclusions provenaient exclusivement de recoupements d’informations du domaine public, et que nous les proposions ès notre qualité d’analystes stratégiques. Ce qui demeure la règle du présent communiqué, concernant les propositions pour lesquelles nous ne faisons pas explicitement mention de sources extérieures.


Nous disons ici que CNN se trompe quant à ses informations. Que nous ne nourrissons aucun doute à ce sujet, nos raisons étant les suivantes :



A. Israël n’aurait pas entrepris de raid contre la Syrie, au risque objectif de déclencher une guerre avec ce pays, si ce n’était pour détruire un objectif présentant un risque existentiel immédiat pour sa sécurité. Or un chargement de roquettes, voir de missiles à la technologie éculée à destination du Hezbollah n’entre manifestement pas dans cette catégorie.



Nous rappelons à nos lecteurs que Menahem Begin avait décidé de l’attaque du réacteur nucléaire Osirak quelques heures seulement avant sa mise en activité. Et que la destruction de ce réacteur, lorsqu’il aurait été actif, présentait des risques considérables.



Nous, de mentionner également que le commentateur militaire de la 1ère chaîne publique de la télévision israélienne, soumis à une censure d’acier, mais qui connaît probablement la vérité, a également émis la remarque ci-dessus dans son commentaire de l’information d’Amanpour.



B. En consultant la carte ci-après, le lecteur se rendra compte que le stockage d’armes à destination du Liban, dans la région citée par CNN, procède d’un coûteux nonsense logistique : les armes destinées au Hezbollah ne sauraient transiter par l’Irak voisin, sous contrôle de l’armée américaine, ni par la Turquie, membre de l’OTAN et alliée stratégique traditionnelle d’Israël.



De plus, si des armes de ce type s’étaient trouvées dans le nord-est de la Syrie, elles y auraient été impérativement acheminées par camions. Or, pour des raisons de sécurité, de coût, de distance et de praticabilité, ces matériels empruntent la voie maritime (et aérienne, rarement) et sont déchargés dans les ports de Lattaquié et de Tartous, à proximité même du Liban. Les convoyer sur des centaines de kilomètres, dans la direction opposée, n’a aucun sens et est contraire à tous les critères usuels énoncés.





C. L’un des impératifs de l’opération de l’armée de l’air israélienne – tous les experts s’accordent sur ce point – consistait secondairement à induire les Syriens à allumer et à utiliser les missiles sol-air Pantsyr qu’ils sont soupçonnés avoir reçus de la Russie [voir l’article Aussi fort que la destruction d’Osirak]. Or il paraît évident aux analystes de la Ména que les stratèges syriens, ainsi que les conseillers russes et iraniens qui les entourent, auraient volontiers laissé anéantir les matériels destinés au Hezbollah, qui ne revêtent strictement aucune importance stratégique, plutôt que d’utiliser les Pantsyr et procurer ainsi des informations inestimables aux Israéliens et aux Américains.



De l’aveu même contenu dans les communiqués syriens, on apprend que ces derniers ont bel et bien fait usage de missiles pour tenter de repousser les F-15 I [1] lors du raid.



Ce fait entérine l’analyse initiale de Jean Tsadik, selon laquelle les cibles de l’opération, pour forcer Damas utiliser ses missiles, devaient au moins être les bases de Scud et les stocks attenants d’armes chimiques et bactériologiques.



Certes, l’hypothèse de la CNN répond à une exigence logique émanant de la décision de la Syrie de ne pas saisir le Conseil de Sécurité de l’affaire : l’ONU interdit à Béchar Al Assad de fournir des armes aux milices libanaises. De ce fait, si l’objectif avait été celui désigné par Mme Amanpour, Damas n’aurait pas non plus eu intérêt à exiger la condamnation d’Israël par les instances internationales. Toutefois, une analyse un peu plus sérieuse des événements nous convainc que les matériels à destination de Hezbollah ne sont que des armes communes, également employées par l’armée syrienne, aussi, dans l’hypothèse de CNN, Damas se serait empressée d’annoncer au monde qu’Israël avait attaqué et détruit un stock ou un convoi de ses propres armes.



Et Israël n’aurait eu aucun moyen de prouver que ce chargement était effectivement destiné à Nasrallah. Cette déduction implique, de plus, qu’Israël aurait servi à son ennemie, sur un plateau, un casus belli valable, au cas où la Syrie aurait cherché une raison d’entamer un conflit avec l’Etat hébreu. A Metula, nous sommes suffisamment familiers du modus operandi des prises de décisions opérationnelles au sein de Tsahal, pour affirmer sans hésiter que les stratèges de Jérusalem auraient exclu le choix de cet objectif, ne serait-ce que pour cette raison.



D. Ce matin, à la lueur de nouvelles informations du domaine public, la Ména doit envisager la possibilité que l’objectif attaqué relevait d’une importance stratégique supérieure aux bases de Scud. Dans notre analyses originale, en effet, Jean Tsadik écrivait : "Se pourrait-il qu’un objectif différent ait été attaqué ? Je n’en vois aucun, en Syrie, qui réponde aux critères nécessaires : être suffisamment névralgique pour entraîner l’allumage des Pantsyr. Valoir qu’Israël risque la vie de plusieurs de ses pilotes ainsi qu’une crise diplomatique et peut-être un conflit (en cas d’échec)".



Le New York Times, repris aujourd’hui dans un article de Haaretz, faisait référence, il y a quelques jours, à l’inquiétude d’un officiel américain, faisant état d’une possible vente de matériel militaire nucléaire nord-coréen à la Syrie, à la veille de l’abandon par PyongYang de tous les éléments de son programme atomique.



D’après ces rapports, des photographies aériennes israéliennes récentes du territoire syrien auraient surpris des installations militaires d’origine coréenne.



A Metula, nous ne possédons aucune information supplémentaire à celles fournies par ces sources. Il demeure que nous ne pouvons exclure, en théorie du moins, que l’objectif ait eu un lien avec cette information. Nous prenons note que cette éventualité dramatique correspondrait à tous les critères que nous avons envisagés pour justifier l’opération de mercredi. Et à toutes les réactions qui ont suivi le raid.



Particulièrement, il pourrait exister un rapport entre "l’immense cratère" cité par CNN et certainement visible sur les photos satellitaires et la piste coréenne. Autre élément allant dans ce sens, notre correspondant au Liban, Michaël Béhé, nous signale ce matin de gros problèmes dans les réseaux de communication et de téléphonie mobile libanais. Cette information est reprise par le quotidien Al Mustakbal (l’Avenir).



Sans, en aucune manière, prendre à notre compte l’éventualité d’une déflagration d’origine nucléaire - que ce soit au sol, du fait des conséquences du bombardement, ou du fait du bombardement lui-même -, dans notre tour d’horizon exhaustif de la nature possible des cibles de la Hei’l Avir, et dans notre engagement à informer complètement nos lecteurs, nous ne pouvons toutefois pas exclure complètement ces éventualités.



Nous notons qu’une déflagration nucléaire, même extrêmement limitée, peut provoquer des destructions durables sur divers instruments de communication, antennes, relais, etc. A Metula, ce matin, nous n’avons enregistré cependant aucune élévation de la radioactivité.



E. Quant aux "sources" officielles et variées de notre consoeur Christiane Amanpour, il se peut qu’elle n’ait pas sur bien les entendre. Il se peut également que, face à l’importance de l’événement de mercredi – considérable en tous cas -, l’Administration U.S se soit délibérément livrée à un petit exercice d’intoxication coordonné. Car de destruction d’un convoi à destination du Hezbollah, il n’en a pas été question.





Note :



[1] Le F-15 type I est un chasseur-bombardier américain développé à l’origine sur la base des requêtes spécifiques du Hei’l Avir. Cet appareil est destiné aux raids de bombardements à longues distances et avait été commandé par les Israéliens en vue d’une attaque éventuelle contre des installations situées en Iran. C’est la première fois, à notre connaissance, que des F-15 I auraient participé à des missions opérationnelles d’attaque au sol. Pour les missions de bombardement à courtes et moyennes distances, l’IAF (Israel Air Force) utilise le F-16. Le F-15 classique est un avion employé à lui assurer la suprématie aérienne.
Re: ADRA DU JOUR
12 septembre 2007, 11:17
Ca fait du bien !

[afp.google.com] (klic klic)

suggest.1
Re: ADRA DU JOUR
13 septembre 2007, 01:36
La phrase du Jour, c'est celle de Jean Arthuis

"on ne gère pas un parti comme une secte"

Et de surenchérir en disant qu'Henri IV bis n'est pas exonéré d’une autocritique et qu'il doit sortir de sa vision messianique qui nourrit les illusions et conduit à l’isolement. Les dernières élections ayant montré les limites de la stratégie d’indépendance.
A MONSIEUR STEPHANE JUFFA.
13 septembre 2007, 05:48
Monsieur Stéphane Juffa,

Rien n’est impossible à ceux qui osent.
Et j’ose bien que la tache ne me laisse rien espérer.

J’ai longtemps hésiter et surtout beaucoup réfléchi avant de vous écrire ces quelques lignes bien modestes, tout en sachant combien sont grandes vos préoccupations.

Vous qui suivez de loin les leurres des avions israéliens, au dessus de la plaine de la Bekaa, je vous invite à signer un LEURRE, le livre d’or du PTB.

‘...Ô grand prétentieux... !’ Que je suis, je n’irais pas jusqu’à demander à Monsieur Albert Seoud de le faire ou à tous vos amis aussi de parapher mon humble et virtuel bouquin.
Loin de moi ce délire.

Ce sera pour le PTB, un grand honneur si vous y consentiez, bien que sans doute vous ignoriez son existence.

Votre paraphe donnera plus de solennité au théâtre et insufflera un rebond de fréquentation.

Fréquentation qui je vous l’avoue me laisse dans le plus grand désarroi, alors je cherche un homme célèbre, un journaliste célèbre, honnête et de renom tel que vous, pour m’aider.

Son audimat prendra de la graine.

Ce sera une grande mitsvah si vous le faites en ce début de notre année juive.

Beaucoup de mes amis, sous le coup de la menace et du chantage, se sont exécutés avec beaucoup de grincements de dents et de serrements de fesses.

Emile, par exemple, après mille essais, a pu écrire deux lignes ailleurs que dans le livre d’or.

Notre frère Jaco, n’a encore rien dit mais ça viendra, Michka, la belle Michka l’a fait, Shallom aussi, Tawfiq, Meyer, Suggest après dix mails persos, s’est exécuté , Shira après un chantage, Hajklouffette avec bcp de générosité, Suzy notre pin up aussi, reste Henri qui cherche le PTB pour signer alors qu’il est juste sous Adra, du tméniq safi, Bazooka tient ses distances, Victoria je pense le fera ainsi que NAO. Hai quant à lui fait la fine bouche.
Braham l‘a fait aussi avec beaucoup de goût.

Lapid de FIEDDLER, un homme très gentil et brave qui nous a ouvert mille rubriques dont huit, bien fréquentées, où l’on pouvait lire qu’une seule lettre....petit ‘ a’ . Plus de 25 rentrées pour un minuscule ‘ a’ alors que mon récit ‘...YOSHUA...’ n’en a reçu que 30 dont 28 pour ma personne.

Elsa me joue la pièce de celle qui m’attend pour procéder à quelques manipulations dans ses ordinateurs afin de l’inscrire.

Je ne compte pas sur la bande M...G...C... Elle est oubliée. Puisque l’oubli me fut imposé en coulisse. Un épisode malheureux que je ne regrette pas comme l’a regretté son chef, de nous avoir connu. Et puis, les composants sont si biens entre eux, dans leurs agapes grecques puisqu’ils goûtent au vin BALKAI, ( Bakla... !!!) alors que nous, nous en sommes au HOT et au PERRAND FERRIER.

Alors qu’ils restent dans leur vin frelaté.


Comme vous pouvez le constater, nous ne sommes pas très nombreux mais solidaires et nous nous serrons les coudes pour nous réchauffer
La solidarité donne du baume au cœur, Monsieur.

Et l’amour que nous nous portant mutuellement est bien sincère.
Loin de nous les hypocrites et les mauvaise foi.

Vous savez je ne suis pas né à proximité d’une queue de piano, encore moins sous un corps de violon , non rien de tout cela, j’ai été élevé dans les bras de ma vieille et tendre grand- mère Meiha z’al, et pas loin d’un kanoun et d’un sekhen.
Bercé par ses comptines en judéo arabe. Je PEINAIS à les comprendre.
Hélas, aujourd’hui, je ne me sens plus bercé. Je me sens trahi.

On ne bouffait pas grands plats renommes mais juste de la HACHOUYE AVEC DU RENG( met de purée avec du hareng fumé) pour nous remplir l’estomac, et de temps en temps un ragoût de poulet de basse cours.

On ne connaissait pas la mayonnaise en ce temps là, ce fut bien après, une fois devenus riches que nos estomacs se sont repus de toutes ces galanteries.

Excusez moi Monsieur, je m’égare, je reviens donc pour vous inviter à signer le LIVRE
D OR. Merci par avance.

CHANA TOVA A TOUTE VOTRE EQUIPE.
Un médecin peut-il être un terroriste ?, par Yves Mamou
14 septembre 2007, 09:51
Un médecin peut-il être un terroriste ?, par Yves Mamou
LE MONDE

L'Europe redevient la cible d'Al-Qaida. Le 7 juillet, Londres échappait de peu à une série d'attentats. Des voitures bourrées d'explosifs et de clous étaient retrouvées au coeur de la capitale. Le 4 septembre, en Allemagne, trois jeunes étaient stoppés à la veille d'attentats à la voiture piégée. Toutes les personnes emprisonnées confirmaient ce que les spécialistes du terrorisme savent déjà : l'islamisme radical recrute au sein de toutes les couches sociales. En Angleterre, cinq des personnes mises hors d'état de nuire exerçaient comme médecins et une sixième comme laborantine ; en Allemagne, l'un des trois jeunes emprisonnés était fils de médecin et d'ingénieur.




Cette absence de profil type ne préoccupe pas seulement les services de sécurité. Certains organismes professionnels s'inquiètent aussi. En France, le Conseil national de l'ordre des médecins (CNOM) a incité dès le mois de juillet le gouvernement à durcir le décret autorisant sur le territoire national l'exercice de la médecine en libre prestation de services (LPS). Dans l'esprit du Conseil, ce décret - actuellement en Conseil d'Etat - a été jugé "laxiste" et en panne d'un outil de "traçabilité" (diplômes, dossier pénal, etc.).

La vérification des diplômes permet-elle de filtrer les "vrais" médecins des terroristes ? Il est permis d'en douter. D'autant que l'histoire du XXe siècle fourmille d'exemples de médecins qui, malgré leur serment de soigner et préserver la vie sans distinction de race ou de religion, ont participé à des mouvements terroristes et génocidaires.

Dans les camps d'extermination nazis, des hommes comme Josef Mengele ou Aribert Heim n'avaient pas volé leurs diplômes. Le premier, à Auschwitz, torturait des jumeaux pour percer le mystère de la gémellité, injectait divers toxiques dans la pupille pour changer la couleur des yeux ou pratiquait la vivisection. Le second, médecin et SS, recourait aussi à la vivisection à Buchenwald et Mauthausen. En 1942, le docteur Karl Clauberg, réputé pour ses travaux sur la stérilité, n'a pas hésité à s'installer à Auschwitz, à la demande d'Heinrich Himmler, pour mettre au point un sérum capable de stériliser massivement les femmes des "populations inférieures".

L'Allemagne hitlérienne n'a pas eu le monopole des médecins terroristes. En Union soviétique aussi, sous Khrouchtchev, et plus encore sous Brejnev, les psychiatres ont placé leur arsenal chimiothérapique au service du KGB, la police politique. Ces éminents représentants du corps médical - tous diplômés - acceptèrent d'assimiler la dissidence politique à une maladie mentale. Les asiles d'aliénés, qui, sous Staline, avaient servi de refuge et permis à des dizaines de persécutés d'échapper au goulag, devinrent après le XXe congrès le fer de lance de la répression contre les réfractaires au bonheur soviétique.

La psychiatrie politique soviétique présentait ainsi de multiples avantages : elle autorisait une privation de liberté à durée indéterminée, un isolement rigoureux, l'usage de moyens pharmacologiques de "rééducation" qui pouvaient entraîner la mort. Le dissident devenu un "malade" permettait de faire l'économie d'un procès.

Radovan Karadzic, médecin, accusé d'être responsable de crimes de guerre dans l'ex-Yougoslavie, a refusé jusqu'à présent de comparaître devant le Tribunal pénal international. En Chine communiste aussi, c'est sous les auspices du business que les médecins sont mobilisés par le Parti. Point n'est sans doute besoin d'être chirurgien diplômé pour abattre de sang-froid un prisonnier de droit commun dans sa cellule. Mais il faut être habile chirurgien pour, aussitôt après le décès, prélever ses organes - coeur, foie, poumons, reins, cornée... - afin de les commercialiser sur le marché mondial de la transplantation.

Que des médecins adhèrent à des idéologies totalitaires - islamistes, nazies, communistes... - n'a en soi rien d'étonnant. Précisons tout de suite que sous le vocable "islamiste", ce n'est naturellement pas l'islam religieux qui est ici en cause, mais les dérives extrêmes d'un mouvement politique qui, sous couvert de religion, s'approprie les pratiques des régimes assassins qui ont marqué le XXe siècle. Mais ce qui interroge, c'est la schizophrénie dans laquelle se meuvent ces médecins-assassins.


"PACTISER AVEC SA CONSCIENCE"


L'absence de culpabilité et le refus de voir une contradiction entre soigner et tuer sont le signe le plus sûr de l'appartenance de ces professionnels du soin à un mouvement totalitaire. Raul Hilberg, dans son étude sur La Destruction des juifs d'Europe, expliquait déjà que les médecins nazis demandaient l'autorisation d'utiliser les "délinquants récidivistes" ou les détenus "condamnés à mort" pour mener à bien certaines expérimentations. "Par cette formulation", explique Hilberg, le médecin tentait de "pactiser avec sa conscience". Le raisonnement était le suivant : "Rien ne justifiait qu'un délinquant ou un condamné à mort soit mieux traité que les soldats allemands qui risquent leur vie et mouraient de leurs blessures."

Lorsque l'administration SS examinait la demande des médecins, elle y superposait sa propre notion du délit : les "délinquants" devenaient les "récidivistes juifs qui souillaient la race". Les médecins finissaient par trouver naturel qu'un juif remplace un prisonnier comme cible d'une entreprise de torture et d'extermination.

Dans son analyse du mouvement totalitaire, Hannah Arendt explique que les auteurs d'assassinats collectifs se "sentent d'autant plus libérés des contraintes morales traditionnelles qu'ils sont convaincus de remonter aux sources mêmes de l'autorité". Ainsi le terroriste islamiste est d'autant mieux fondé à égorger et poser des bombes qu'il est convaincu d'agir au nom d'une loi supérieure à celle du code civil, loi qu'il tient directement d'Allah. Cette certitude d'incarner une logique divine en mouvement autorise alors à s'affranchir des règles traditionnelles du mal et du bien. Le médecin est "tout à fait prêt à sacrifier les intérêts vitaux immédiats de quiconque à l'accomplissement de ce qu'il prétend être la loi de l'Histoire ou celle de la Nature" (ou celle d'Allah), écrit Hannah Arendt dans Les Origines du totalitarisme.

Pour elle, cette criminalité de masse "n'était pas imputable à la simple agressivité, à la cruauté, à la guerre et à la perfidie, mais à une rupture consciente de ce consensus juris qui, selon Cicéron, constitue "un peuple" et même en période de guerre fonde les relations internationales". A l'évidence, les médecins islamistes de Londres ont récusé tout consensus juris avec leurs compatriotes britanniques.

Yves Mamou
Re: ADRA DU JOUR
14 septembre 2007, 12:56
Ma chère, tendre, généreuse et affective Michka,

Si tu penses que j’exagère en t’affublant de tels mots et bien sache que je ne blague pas.

Ce que je vais écrire ne doit en rien fendre encore plus ton cœur qu’il ne l’est déjà.

Il faut savoir être stoïque bien que ce qualificatif ne nous sied pas, parce rares sont sans les juifs et les bons humains qui le prétendent.

Le stoïcisme c’est être de marbre, et bien plus, devant des situations qui génèrent émotions.

Et nous ... ??? Savons nous maîtriser nos émotions lorsque nous sommes en présence d’une situation qui donne envie de chialer... ?

Je vais bientôt me percer le cœur.

Retenir ces émotions, ne nous appartient pas et toi qui lit beaucoup, sans prêter attention à mes récits, tu es celle qui parle différemment de tes émotions, sur un autre support.

Sans rien dire, juste avec un peu de gouache, tu nous en mets plein les yeux.

Il n’y pas de honte à les formuler ou à les peindre, seuls, les incontinents de la confidence sont maîtres de leur silence et de leur science.
Je suis fier de ne pas leur appartenir.
Comme je suis fier de t’en parler.


Je suis encore repassé, ce matin devant celui que j’ai délaissé pour un autre décor.
Je suis passé encore devant ce qui fût nos lumières, celui qui nous a donné tant et tant de bonheur.

Celui que j’ai TRAHI.

Celui qui me reproche sans me le dire de l’avoir abandonné, sans ROUSPETER. Sans lever la moindre objection car toutes ces choses entendent, même si elles ne le disent pas, et combien je me sens accablé par cet ABANDON en bonne et due forme.

Le félon que je suis, porte le sceau de la vilénie, et je suis sot, alors que certains TRAITRES dorment à poings fermés se souciant peu de ce qu’ils on fait de par derrière mon dos.

Je ne ferme plus l’œil et je vois des fantômes qui passent et repassent dans ma tête lorsque je ferme l’œil. Sans répit. ( Ne te moque surtout pas.)

Je me sens harcelé, oui harcelé par eux qui me regardent à travers les deux trous de leur linceul blanc mais sans pointer du doigt vers moi, moi qui sais ce qu’ils me reprochent.

Un regard plein de tristesse et qui ont dit long sur ma disgrâce. Qui me laisse frémir au point de ne plus fermer l’œil de la nuit et ainsi les éviter.

Tu sais, j’essaye de m’expliquer envers eux, avec mimes et lèvres remuantes, chuchotant par moment, j’essaye de me trouver des arguments, des motifs valables, quelque chose qui tienne la route pour convaincre mes fantômes du bien fondé de ce que je n’ai pas décidé.

Mais en vain, je ne peux continuer à mentir. Ils le savent.

Pour me soulager, je pleure, je ne sais que tu ne crois pas, mais je pleure sous mes couvertures afin que personne ne puisse me surprendre. Oui, seul sous mes draps, qui commencent à ressembler à des serviettes humides. Par moment, je les essore en cachette de ma femme.

Donc, je suis repassé et là j’ai lu un GRAND ECRITEAU.....

’...PAR DECRET DE SALUBRITE PUBLIC, Le PREFET RASTIGNACE ANDRE DE BERGEVIN, décide de mettre aux enchères publiques LE PETIT THEATRE DE BREITOU. Article 212. De la réglementation en vigueur concernant les immeubles dits à hauts risques. Dans le cas, ou la vente ne se fera pas, dans un délai de deux mois à compter de ce jour, il sera décidé de sa destruction purement et simplement ... !!

‘....MICHKAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
ILS VEULENT DETRUIRE NOTRE ANCIEN PTB.....’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’


Je ne peux continuer à écrire, je vais......OUI...JE VAIS....
Re: ADRA DU JOUR
15 septembre 2007, 17:49
Kfir Merci pour ton soutien a ma demande.
Chana tova
Re: ADRA DU JOUR
16 septembre 2007, 17:26
Pas encore beaucoup de fumée mais déjà un grand feu (info # 011609/7) [Analyse]

Par Sami El Soudi © Metula News Agency



Ce dimanche matin, le 1er ministre israélien, M. Ehoud Olmert, a annoncé ce que nos lecteurs savent depuis plusieurs semaines, c’est-à-dire que "des groupes de travail israélo-palestiniens oeuvraient à la rédaction d’une déclaration de principes" en vue d’un règlement définitif du contentieux entre les deux peuples. A l’époque de nos révélations, le gouvernement israélien avait infirmé l’existence de ces négociations.



Le texte en construction sera présenté par les deux parties à madame Condoleezza Rice, lors de sa venue dans notre région dans le courant de la semaine. A cette occasion, à la différence du passé, messieurs Abbas et Olmert ne vont pas se contenter de demander à la Secrétaire d’Etat américaine de les aider à aplanir les dissensions – qui sont désormais surmontables, d’après l’une de mes sources qui participe aux discussions. Ce que les deux leaders attendent de Mme Rice, c’est de savoir si leurs propositions sont suffisamment avancées, suffisamment précises, pour faire en sorte que la conférence internationale, prévue maintenant en novembre, se résume à plus qu’un événement mondain et symbolique.



Ehoud Olmert a, d’autre part, encouragé ses ministres à entreprendre des consultations avec leurs vis-à-vis palestiniens afin d’approfondir encore le niveau des contacts en cours. Le Président du Conseil de l’Etat hébreu a également déclaré que le texte, une fois au point, sera proposé au conseil des ministres pour y être adopté, et que la Knesset serait invitée à prendre des initiatives afin de le discuter.



Quant à Mahmoud Abbas, il gagnera New York, où il participera à la prochaine assemblée générale des Nations Unies. A Ramallah, dans l’entourage du Président, on ne fait pas mystère de ce que l’objectif primordial de ce déplacement consistera à persuader les représentants d’autres nations, arabes en particulier, de soutenir le processus en chantier.



En fait, l’usage de la dénomination de "déclaration commune" est destiné à éviter de déclencher les passions, des deux côtés de la ligne verte, sur un énoncé qui dénote plus d’un mémorandum de règlement que d’une simple déclaration d’intentions. Tous les éléments du différend y sont en effet inclus – dispositions de sécurité, création d’un Etat palestinien pacifié, nature des relations entre Israël et le futur Etat, question des frontières définitives, échanges de territoires, Jérusalem, et le sort des réfugiés de la Diaspora palestinienne -. Mais, plus encore, le traité-mère, comprend les clés et les directives-cadres qui seront utilisées pour résoudre ces divers problèmes. Ce qu’il convient de comprendre, ce qui semble sérieux et opérationnel, c’est que les deux parties s’engageraient : 1. A résoudre leurs disputes selon le document en gestation avancée, et 2. A ce que ledit document et ses provisions constituent le cadre obligé et unique des négociations de détail qui s’ensuivront.



"C’est la première fois qu’un document commun va aussi loin dans la description de l’état de paix qui devrait être instauré et des voies à suivre pour y parvenir", a commenté pour la Ména le membre éminent de la délégation palestinienne. "C’est aussi la première fois que la quasi-totalité des pays de la Ligue arabe pourraient endosser les termes de cette initiative, à la demande de l’autorité supérieure de l’entité palestinienne. Comme vous le voyez, cela fait beaucoup de nouveautés en perspective", a commenté mon interlocuteur, laissant percer quelques signes de satisfaction dans sa diction.



La percée diplomatique – il faut désormais donner un nom approprié à ce qui se déroule – à laquelle nous assistons n’est rendue possible que par un rassemblement massif d’occurrences favorables. Au premier plan de celles-ci, la communauté d’intérêts stratégiques des grands Etats arabes, d’Israël, des USA et de l’Europe face à la menace hégémonique irano-chiite. A laquelle il faut ajouter la situation personnelle d’insigne faiblesse des leaders mutuels et la conscience qu’ils ont de la nature limitée dans le temps de leurs mandats ; Abbas et Olmert, individuellement, saisissent qu’ils n’ont rien à perdre : Abou Mazen, parce qu’il est fatigué du pouvoir, et qu’il ne rêve que du moment où il pourra passer le relais – dans de bonnes conditions -, à son 1er ministre, Salam Fayyad. Fayyad, qui jouit d’une bonne réputation auprès de la population palestinienne, et qui a les faveurs de l’establishment israélien et des chancelleries internationales. Olmert, parce qu’il est conscient qu’il ne survivra pas politiquement les conclusions de la commission qui enquête sur la guerre du Liban et les diverses procédures pénales ouvertes contre lui par la justice de son pays.



Dans ces conditions, les deux hommes voient dans le processus en cours une opportunité inespérée de laisser une emprunte importante et positive dans l’Histoire de leur peuple.



A ces éléments convergents, il convient d’ajouter le fait que le divorce consommé entre le Fatah et le Hamas, des suites du putsch de Gaza, ainsi que l’édification du mur israélien et l’action incessante de Tsahal, en Cisjordanie, contre les foyers perturbateurs, ont éloigné des négociateurs la contrainte insupportable de devoir discuter dans l’ombre des attentats terroristes. Par le passé, si on se donne la peine de s’en rappeler, chaque fois que l’occasion d’avancer vers une solution se profilait à l’horizon, les terroristes islamiques, parfois suivis par les extrémistes du Fatah, la torpillaient en allumant des cycles de violence par des assassinats collectifs dans les villes israéliennes.



Ce qui est cocasse dans la situation que nous vivons, c’est que c’est en fait leur victoire à Gaza qui a privé le Hamas et le Djihad Islamique Palestinien de leur influence néfaste sur ce qu’ils redoutent par-dessus tout : un accord global définitif avec l’ennemi sioniste et la création d’un Etat sur une portion de ce qu’ils nomment la Palestine historique. En remportant par la force le contrôle de la bande côtière, les islamistes se sont isolés géographiquement et ils ont cessé d’influencer politiquement les décisions qui se prennent à Ramallah.



Ramallah, où personne ne tente d’oblitérer la nécessité, si et quand un accord de paix aura lancé ses racines, de récupérer Gaza et de l’épurer de ses maîtres actuels. Dans cette optique, il est plus qu’intéressant de remarquer que les Israéliens, depuis quelques jours, ont changé de tactique militaire concernant Gaza. En fait, depuis une dizaine de jours, ils y appliquent les solutions qu’ils ont testées en Cisjordanie : ces fameux raids ciblés terrestres, consistant à s’emparer des terroristes les plus actifs et à les ramener chez eux. Deux de ces opérations ont eu lieu ce week-end. Une troisième est en voie ; selon les sources à notre disposition, treize personnes listées ont été appréhendées lors de ces opérations ponctuelles, qui vont, je le pense, s’étendre et se généraliser.



Il ne s’agit donc plus seulement, pour Tsahal, de pratiquer des éliminations ciblées et de tenter de détruire les ateliers et les rampes de lancement des roquettes, la voici qui intervient, où bon lui semble, pour s’emparer de la main d’œuvre du terrorisme islamique.



Ceci augmente la pression sur le Hamas et ses acolytes : le danger qui les guette ne vient plus uniquement du ciel, ils peuvent désormais se faire cueillir en déplacement ou chez eux. Et le Fatah encourage ses adhérents vivant dans la bande à contester le plus possible le pouvoir dans le califat islamique, de dérégler, autant que faire se peut, le nouvel ordre public que les islamistes veulent imposer de manière musclée. Il ne s’agit pas d’essayer de renverser Hanya et sa clique à la minute, mais de proposer une alternative aux Gazatis, de plus en plus éprouvés par les restrictions issues de la stratégie frénétique et donc irréaliste du Hamas. Dans le cas où l’on progresserait de manière tangible en direction d’un accord avec Israël, qui permettrait aux Palestiniens d’améliorer leur existence matérielle dans un arrangement honorable, je ne doute pas que cette perspective tentera bon nombre des habitants de la bande, et que cela rendra la Reconquista d’autant plus aisée et légitime.



D’ailleurs, le Hamas est nettement sur la défensive. L’un de ses porte-parole vient de proposer de "considérer sérieusement de renouer les contacts avec Israël, si cette dernière cessait ses opérations à Gaza et faisait des gestes humanitaires à destination de la population de la bande".



Il faut dire que la décision maladroite des dirigeants théocratiques consistant à refuser que les échanges avec l’Etat hébreu cessent d’emprunter le point de passage de Karni au profit de celui de Keren Shalom avait fait des dégâts considérables à Gaza. D’une part, la pénurie avait fait son apparition, et de l’autre, les quelques exportations rémunératrices étaient bloquées.



L’ordonnance israélienne de fermer Karni tenait au fait que ce poste de transfert était géré par des intérêts privés peu organisés, ce qui permettait aux islamistes d’obtenir, en contrebande, toutes sortes de matériels dont ils avaient besoin. Quant à Keren Shalom, il est dirigé par l’Etat israélien, de façon largement plus imperméable. Or ce matin, devant l’ampleur de la catastrophe dont il fut à l’origine, le Hamas a autorisé ses "administrés" à se plier à la décision israélienne.



Dans cet article, comme à notre habitude, je vous ai présenté des faits informationnels. Des événements qui en réjouiront certains et en irriteront d’autres. Mais le choix de ne pas parler des négociations en cours, ou des revers islamistes, n’est pas, pour nous, une alternative envisageable. Ce qui dicte notre démarche n’est pas les attentes du public mais la relation des événements dont nous sommes témoins et dont nous sommes en mesure d’évaluer la portée éventuelle. C’est sans doute pour cela que, parmi les centaines d’informations, offertes à l’opinion par des dizaines de media, souvent sans contrepartie financière, les articles de la Ména rencontrent un succès considérable et croissant.
Re: ADRA DU JOUR
16 septembre 2007, 17:50
Mille mercis à la Mena dont les informations sont toujours du plus haut intérêt.
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