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ADRA DU JOUR

Envoyé par jero 
Re: ADRA DU JOUR
20 octobre 2007, 19:49
Justice pour les Juifs des Pays Arabes
Pièces jointes:
justice.jpg
Re: ADRA DU JOUR
22 octobre 2007, 14:45
Reportage ce soir sur un gigantesque incendie en Californie et qui atteint le nord de Los Angeles.

A des milliers de kilometres on s'inquiète pour les amis. Est ce que tout va bien pour eux?
Re: ADRA DU JOUR
29 octobre 2007, 22:41
Ras le Bôle de ces pratiques de putois (info # 012810/7) [Réinformation]

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency

Lorsqu’on regarde le monde avec haine, on ne voit que l’image de soi-même (Ilan. Aujourd’hui).

Ras le Bôle des tracts du correspondant permanent en Palestine occupée, Michel Bôle-Richard. J’en viens presque à regretter le style hargneux de ses prédécesseurs du couple Gilles Paris-Stéphanie Le Bars ; avec eux, on savait à quoi s’attendre, on était dans la dialectique schattnerienne orthodoxe, qui considère Israël, en privé, comme étant l’entité sioniste transitoire. Le marxisme et l’existentialisme, modèle Sétif rectifié Ramallah au forceps sulfureux, le dominique-vidalisme, on connaît bien : c’est si trivial et si gras, que ça se renifle dès la première phrase.

Bôle fait plutôt dans le style grand naïf. Le bon type qui se borne à dépeindre "fidèlement" une situation, sans ajouter son grain de sel, laissant au lecteur le soin de tirer "la" conclusion qui s’impose. Avec Benjamin Barthe, le collègue qui faisait l’apologie des artilleurs du Hezbollah, l’an dernier, pour n’avoir tué QUE des victimes juives en Galilée, Le Monde tient toujours une belle brochette d’informateurs "objectifs" dans notre région. Et qu’importe si, en réalité, les Katiouchas islamistes pleuvaient sur les villages sunnites, druzes et même alaouites, durant la dernière guerre du Liban ; c’est la symbolique du reportage qui compte, hein, comme le répète à l’envi notre grand poteau Enderlin. Et il faut être "de droite" pour ne pas saisir immédiatement et sans la discuter ladite symbolique limpide.

Dans son dernier papier d’ambiance, Gaza cadenassée, Bôle-Richard donne un échantillon très représentatif de sa méthode. Il y retrace sa ballade dans Gaza islamifiée, laissant le soin à ses interlocuteurs de dire à sa place tout le bien qu’ils pensent de l’Etat hébreu.

Avant de faire la coupe au bôle qu’il mérite amplement au faux Candide du Monde, il me faut avertir mon public que nous n’imaginons pas un instant que la vie à Gaza ait quoi que ce soit de comparable avec celle qu’on mène dans les clubs de vacances de la plage tunisienne. En fait, nous n’avons rien à imaginer, puisque nous connaissons bien Gaza, et que les journalistes de la Ména, notre camarade palestinien, Sami El Soudi, en tête, avons continuellement rapporté ce qui s’y passe, sans accorder de sauf conduit mielleux à aucun des partis qui s’y affrontent.

Il n’y a d’anges que dans le ciel, encore qu’on ne les croise pas souvent en avion. L’existence dans la bande de Gaza est effectivement hyper pénible, et les restrictions décidées récemment par le gouvernement israélien ne vont pas améliorer le quotidien de la populace déjà si malmenée. Mais cela, c’est l’aboutissement d’un processus et, à vouloir n’en donner qu’un cliché instantané populiste, rejetant toute la responsabilité de toutes les souffrances sur Israël, on ne fait pas son métier de journaliste.

Encore, la quintessence de la propagande de Michel Bôle-Richard consiste, dans son dernier reportage, à construire la certitude, dans l’esprit des lecteurs du Monde, que l’Etat d’Israël avait programmé de longue date l’asphyxie de Gaza et le calvaire de ses habitants. Certes, ce n’est pas l’activiste-correspondant qui l’affirme. Lui, il ne prétend rien, c’est tout juste s’il plante, ci et là, quelques constatations frelatées, usant de formules impersonnelles. Comme : "L’unique point de passage vers l’Egypte, celui de Rafah, est fermé". Un vrai journaliste aurait pris la peine de préciser qu’aucun soldat de Tsahal ne fait écran entre Gaza et le pays du Nil, et que si l’Egypte – Etat arabe frère - n’avait pas fermé sa frontière au Califat de Gaza et à ses ressortissants, Bôle, ni personne d’autre, ne pourrait parler de "cadenassage". On l’a souvent écrit dans nos colonnes : il suffit que la porte d’une prison soit ouverte pour qu’il ne s’agisse plus d’une prison.

Or rien n’empêche Moubarak de vendre aux Gazatis tous les produits égyptiens dont ils ont besoin, de les fournir en carburant, en eau et en électricité. Sauf, peut-être, que le raïs en avait assez de voir ses stations touristiques du Sinaï être prises pour cibles par des terroristes soutenus par les islamistes de Gaza. Sauf de devoir reboucher les tunnels creusés sous la frontière – deux, pas plus tard qu’en cette fin de semaine – par les Palestiniens pour acheminer des armes et des munitions destinées à faire la guerre aux civils israéliens.

Ces "détails" ont totalement échappé au distrait reporter du journal de référence de la mauvaise foi et de la borgnitude.

Cette possibilité – indépendante de tout interventionnisme israélien – de voir l’Egypte maintenir une frontière ouverte avec Gaza anéantit toutes les théories machiavélistes, si laborieusement échafaudées par le journaliste militant d’Eric Fottorino (le successeur de Colombani. Ndlr.). Ce qui ne l’empêche pas de hurler à l’existence d’un plan luciférien des Juifs, pour maltraiter les Palestiniens de Gaza et les étrangler. On retrouve ce motif-thème, edgar-morinien, en filigrane et, en clair, à la conclusion du reportage de Bôle-Richard :

"(…) les Israéliens, qui, après s'être retirés de la bande de Gaza, ont totalement cadenassé ce territoire, qu'ils considèrent comme un furoncle. "Dans quinze ans, nous serons 3 millions. C'est pourquoi ils nous étranglent, nous ruinent. Ils veulent nous faire partir. C'est leur objectif, fait remarquer Khalil Abou Shammala. Mais la plupart d'entre nous sommes déjà des réfugiés venus d'Israël. Nous n'avons nulle part où aller."

Un vrai journaliste n’avance pas d’accusation controuvée, en collant bout à bout des témoignages qui servent sa thèse. Un vrai journaliste questionne, modère, sème le doute, expose aux intervenants les arguments de leurs contempteurs pour les inviter à réfléchir à ce qu’ils affirment, pour faire en sorte que leurs témoignages passent l’épreuve de la contestation, pour que ce que ses locuteurs disent "possède un intérêt journalistique", de la substance informationnelle. Pour dépasser l’exercice qui consiste à proposer une tribune en vue, au fiel, au délire et à la propagande raciste.

Un vrai journaliste aurait demandé à ses interlocuteurs si, pour cadenasser Gaza et affamer ses habitants, la meilleure technique consistait, pour les Israéliens, à construire une imposante zone industrielle mixte à Erez, - qui nourrissait des dizaines de milliers de Gazatis -, à permettre aux ouvriers palestiniens de travailler en Israël, et en aménageant de multiples points de passage et de commerce.

Un vrai journaliste, enfin, poserait la question, à ceux qu’il interroge, portant à élucider si c’est assurément aussitôt après s’être retirés de Gaza, que les Israéliens ont "cadenassé" ce territoire, ou si c’est après qu’il ait servi à tirer – non pas 2 800, Bôle ! mais – 8 000 roquettes sur ses voisins pacifiques de Sdérot. Si ce n’est pas, plutôt, après avoir essuyé des centaines de tirs de mortiers, que les passages ont été fermés ? Et si ces Khalil Abou Shammala, Mazen Shaquoura, Abou Ramadan, Fayez Al-Hinawi etc. connaissent un seul Etat libre, indépendant et démocratique, capable, en une pichenette, de les réduire en cendres, qui admettrait qu’on lance 8 000 roquettes sur ses villes et ses villages sans réagir ? Et s’ils connaissent un seul Etat de ce genre, qui, dans l’histoire, ait riposté avec autant de retenue et de discernement que ne le fait Israël ?

Mais en prenant lecture de ce papier, comme d’autres du même auteur et du même journal, on réalise que tirer des milliers de roquettes sur des civils juifs innocents, sans avoir été provoqué et après qu’Israël ait abandonné Gaza, lui transférant toutes les possibilités de prospérer en tournant le dos aux conflits, ne procède que d’un détail de l’histoire. Pour Bôle, le bilan des victimes importe plus que la recherche de la causalité de leur mortification. Il a oublié, dans l’extase de son excitation militante, que les dirigeants de Gaza ont juré la destruction d’Israël et de jeter ses citoyens à la mer, et que ces islamistes assassins, en générant toutes la misère que Le Monde attribue à Israël, sont persuadés qu’ils sont en train de mettre leur menace à exécution. S’il ne l’a pas oublié, peut-être est-ce que Michel Bôle-Richard, en omettant de le mentionner, adhère intellectuellement à leur dessein ?

Un malade palestinien s’est vu refuser des soins en Israël, pour avoir, selon lui, refusé, en contrepartie, de devenir mouchard pour le Mossad. Le témoignage de ce malade est paru dans Maariv, et alors, la belle affaire, Bôle-Richard ? Des dizaines de milliers de Palestiniens sont soignés, depuis 1967, dans les hôpitaux israéliens, très fréquemment gratuitement ; des milliers d’enfants de Gaza sont opérés à cœur ouvert et doivent la vie aux chirurgiens d’Israël : Le Monde aura-t-il l’insanité de prétendre que ces patients sont devenus des espions d’Israël ?

Gaza a été déclarée entité hostile par le gouvernement d’Israël, pour la seule raison que ceux qui la gouvernent agressent nos compatriotes près de leur frontière, et non sur les bases d’un plan satanique visant à génocider ses habitants. Tiens, on dirait une autre vaticination antijuive de Sylvain Cypel…

L’envoyé spécial du quotidien fondé par Hubert Beuve-Méry se trompe encore, dans son article, lorsqu’il prétend qu’une partie des points de transit des marchandises entre Israël et Gaza va être fermée. En fait, il n’en restera qu’un seul : Kerem Shalom.

Parce qu’Israël désire se couper de Gaza, non l’étrangler. La preuve : si les dirigeants du califat cessent leurs bombardements de la région de Sdérot, les opérations militaires israéliennes cesseront immédiatement. C’est à comprendre cela que sert l’étude de la causalité, Bôle-Richard. L’Etat hébreu est même disposé à discuter de tout avec ceux de ses voisins qui n’appellent pas à sa destruction physique. Est-ce véritablement étonnant ? Même avec le Hamas. Les authentiques journalistes s’en soucient considérablement, les activistes, attiseurs de haine, font ce que fait Bôle-Richard.
ADIEU MADAME OUAHIDA BELHAJ
30 octobre 2007, 18:54
GRANDE DAME DE LA TELEVISION TUNISIENNE....

OUAHIDA BELHAJ N'EST PLUS


Le 6 octobre 2007, le"paysage audiovisuel" tunisien perdait l'une de ses pionnières, madame Ouahida Belhaj, ses obsèques eurent lieu le lendemain au cimetière du Jellaz, lieu de repos de ces nombreux hommes de lettres et de théâtre qu'elle fit connaître au téléspectateur tunisien à travers son émission culturelle "aalem"(célébrités).

Débutant à la télévision tunisienne en 1967 (un an après sa création), Ouahida Belhaj fit ses premières armes en tant que speakerine, avant de présenter le journal télévisé, puis de se lancer dans la production de programmes télévisés, activité à laquelle elle s'est finalement consacrée jusqu'à sa récente retraite.

Elle fit découvrir aux moins lettrés d'entre nous des personnages aussi divers que:
Aziza Othmana, Ibn Arafa,Hedi el Abidi, Ali Douagi, Ali Ben Ayed, Mahmoud Bourguiba, El Fadhel Ben Achour,Bechir Khraief, Othman el Kaak, Mahmoud el Beji, Abderrazzak Karabaka, Mohamed el Marzouki, Chedly Khaznadar,Abdelaziz el Aroui,Mohamed el Bachrouch...

et tant d'autres de ceux qu'elle présentait comme...



"Des amis intimes que je ne connais pas personnellement"




Sa dernière émission (la mémoire de la télévision) fut consacrée aux pionniers de la télévision tunisienne,présentateurs,journalistes, acteurs,chanteurs,producteurs,et autres réalisateurs,y étaient conviés pour partager leurs souvenirs de cette extraordinaire aventure que fut la Télévision des années 70-80.

Le soir de sa mise en terre, nombreux furent ceux qui s'attendaient à ce qu'une carrière aussi riche soit saluée par un modeste hommage de quelques secondes sur antenne…
La direction de la télévision nationale TUNIS 7, elle, n’était pas au rendez vous....

Qui sait, peut-être étai-ce le meilleur hommage à faire à cette grande dame que de ne pas mêler son nom à ce qu’est devenue la (télévision en) Tunisie ?!?
Re: ADRA DU JOUR
30 octobre 2007, 22:50
Lectures

Boxer un ange. Nouvelles Juives

Par Maurice Cukier (*)

30/10/07

- - Thème: Culture

Une quarantaine de petites histoires toutes aussi fraîches les unes que les autres, des « billets d’humeur », selon les propos mêmes de l’auteur. Ce n’est pas vraiment un roman, mais cela se lit avec plaisir. Maurice Cukier ne fait pas mystère de sa foi profonde, de sa religiosité, mais il imagine mal qu’on puisse, notamment en Israël, vivre autrement. Israël, soit dit en passant, où « rien n’est simple, où tout change tout le temps. Les droits, les règlements et les idées immuables ».

« J’espère, dit l’auteur en préambule, que mes petits papiers vous donneront envie, si ce n’est déjà fait, de pousser la porte de notre merveilleuse Torah ».
Voici les beignets inégalables de la maman, les lumières de Hanouka (Que de ménorot, bli aïn hara !). Voici Pessah, avec, à Bné Brak, le rite de la « spongia », qui consiste à asperger le carrelage des maisons d’eau savonneuse, à frotter vigoureusement le sol à l’aide de serpillières et à laisser l’eau grise s’écouler à l’extérieur du bâtiment, par les tuyaux, des sortes de gargouilles moyen-âgeuses.

Dans un sketch bien connu, l’humoriste Michel Boujenah pose à son père la question si simple, mais combien délicate : « Dis, papa, d’où vient le vent ? ». Maurice Cukier, lui , se demande, à l’instar de Rabbi Yéhouda Ben Lévy : « D’où sait-on que le vent ne s’arrête jamais ? ». La Guémara vient à notre secours en se référant à Zacharie dans lequel on peut lire : « Parole d’Hachem, je vous disperserai par les quatre vents du ciel ». « Par les quatre vents » et non « aux quatre vents ». D’où la suit du raisonnement : puisque le monde ne saurait exister sans Israël, le vent ne s’arrêtera jamais de souffler. CQFD.

Avec humour, l’auteur moque les Israéliens qui, pratiquement tous, ont pour habitude de posséder et de garder à portée de main leur précieuse pochette bleu clair personnelle. Une pochette décorée systématiquement d’un bel écusson flanqué d’une ménorah. Mais de quelle pochette s’agit-il ? Celle des papiers, bien sûr. Quand on habite Israël mieux vaut avoir sa pochette à côté de soi. L’administration, la police, la justice veillent. Au fil des ans la pochette israélienne a pris de l’embonpoint : au permis de conduire et aux documents officiels, comment ne pas ajouter, la carte du club Maccabi, la carte consulaire et tutti quanti. « Tout un fatras de petits papiers dont on n’a pas le courage de se débarrasser ». Sans oublier les téoudot les plus diverses. Téoudot, kézaco ? Pour les non-initiés, une téouda, c’est papier officiel donnant à son possesseur le droit de demander d’autres papiers officiels. La plus étonnante étant la téoudat zéout, la carte d’identité. Son numéro est exigé pour tout et n’importe quoi. « Remplir un chèque, réserver une chambre d’hôtel, faire le plein d’essence dans le stations automatiques. Sans téoudat zéout, on n’existe pas. Si René Descartes était né en Israël, il dirait : « J’ai un numéro de téoudat zéout, donc je suis » ».

Avec le logement, c’est pire. Acquérir un toit bien à soi, en Israël, relève du parcours du combattant. « Il faut 23 ans de salaire moyen, pour avoir le droit de dormir dans son chez-soi moyen, avec des trissim et des robinets tout ce qu’il y a de plus moyen ». Les trissim, entendez un système pervers de stores coulissants, toujours laids et cassés. « Il faut vivre avec », soupire, avec humour, l’auteur.

« Boxer un ange », titre de l’ouvrage, est aussi celui de l’une des nouvelles. En fait de boxe, il y est question de façon de prier, de faire sa tephila. Et si cette dernière n’est pas partie sur un bon pied, il faut corriger le tir : « Soigne ton gauche ! Balance-lui ton poing ! Chaque mot qui s’envole est une victoire ! Cogne ! Accompagne ce kaddish avec les tripes ! Tape ! Prie len-te-ment. Vas-y, c’est gagné. On l’a eu, KO technique !

Hachem, on l’aura compris, est le mot qui revient le plus souvent sous la plume de Maurice Cukier. Que voulez-vous, nous dit-il : « C’est bon d’être juif. Et même si je ne vous apprends rien, ça fait tellement de bien de le dire ! »
Très sympathique et agréablement écrit.

Jean-Pierre Allali

(*) Éditions Bibliophane-Daniel Radford. 2ème trimestre 2007. 256 pages. 15 €
Re: ADRA DU JOUR
01 novembre 2007, 12:41
'....Bafoue, l'appel au secours !...'


L'article publiè par Camus au PTB.
Re: ADRA DU JOUR
03 novembre 2007, 21:08
j'ai grandi parmi une famille juive à souk el Arbaa, les UZAN.

Et ma tata MIHA était ma 2ème maman pour moi.

je n'oublirai jamais son humour, sa dérision et surtout ses blagues décapantes et salées. Nos soirées longues d'hiver étaient égayées par sa présence et ses histoires hilarantes. Je ne comprenais pas les tournures de ses phrases vu mon jeune âge à cette époque, mais ses mimiques me fesaient trop rire.

J'était requisitionnée tous les samedi pour allumer la gazinière ou la lumière le soir. les Shabbats étaient les moments les plus agréables de la semaine.Yom Kipour, Hanouka, pessah... étaient mes fêtes aussi.

Ah Khalti MIHA qu'est ce que tu me manques.

Son passage dans ma vie m'a appris la tolérance et la dérision. Khalti MIHA ta phrase de"yaa tik homra ya binti mach tnek" résonne encore en moi.

Tu me maaaaaaaaanques....

Sa disparition a laissé un grand vide en moi. L'amour n'a pas de religion!

S.
Re: ADRA DU JOUR
07 novembre 2007, 14:58
Elsaaaaaaa tu as vu les souks de Sousse sur kif tv?
CIMETIERE DE SOUSSE
08 novembre 2007, 07:02
Je reviens d'un week end a Sousse, et je voulais souligner que j'ai été agreablement surprise par l'etat du cimetiere de sousse,
les autorités tunisiennes ont pris en charge la renovation de cet endroit , un mur de 3 metres de haut a été construit tout autour du cimetiere , ttes les herbes folles ont été nettoyées, le sol a été réagréé etc ...
il est a noter qu'une delegation de soussiens qui represente l'association "HADRUMETTE" a oeuvré pour que cette renovation se réalise
bravo et merci a eux !!!
Re: ADRA DU JOUR
08 novembre 2007, 09:40
Elsa, peux tu expliquer ce qu'est l'association "Hadrumette" s'il te plait?
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