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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
22 octobre 2008, 12:09
N'oublions pas les Soeurs de Sion à Tunis.


Au temps où Soeur Emmanuelle était professeur de français ... en Tunisie

A l'heure où Soeur Emmanuelle nous quitte, ayons une pensée émue pour celle qui fut professeur de français pendant quelques années au Collège Notre Dame de Sion à Tunis, avant de rejoindre "ses petits chiffonniers" du Caire en Égypte.

De cette époque (dans les années 50) Soeur Janine, appartenant également à la Communauté de ND de Sion, se souvient de "sa collègue" déjà très engagée auprès des plus humbles et notamment envers les petits tunisiens défavorisés.

J'ai eu le plaisir de m'entretenir, hier soir, avec Soeur Janine témoin de cette période, qui réside maintenant à Nabeul, près d'Hammamet, et qui a accepté spontanément et très aimablement de me confier quelques souvenirs et anecdotes concernant Soeur Emmanuelle .

Je remercie également Monseigneur LAHHAM, Évêque de Tunis, qui m'a guidé ... vers Soeur Janine à Nabeul.

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emmanuelle.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
23 octobre 2008, 01:22
NOUS NE POUVONS COMPTER QUE SUR NOUS-MEMES


Nous devons être lucides sur la situation. Nous avons des ennemis, les islamistes, puissamment organisés. Non seulement personne n’ose leur tenir tête, mais leur offensive est accompagnée par des officines comme la Halde, qui nous coûte 11 millions d’euros par an, la LDH et le Mrap, à qui de nombreuses subventions permettent de payer un nombre de permanents sans commune mesure avec leur nombre d’adhérents.

Les associations laïques nationales sont tragiquement aux abonnés absents devant l’offensive des fous d’Allah, à l’exception de quelques structures locales, comme l’Ufal de Seine-et-Marne qui, à Champs-sur-Marne, a su, grâce à une mobilisation exemplaire de l’ensemble d’un quartier, faire fermer une salle de prière clandestine, qui s’installait illégalement au cœur d’un quartier.

De nombreux élus locaux, de droite comme de gauche, achètent leur élection en alimentant, avec nos sous, les associations cultuelles. Nicolas Sarkozy, avec son concept de laïcité positive, veut en finir avec le non-financement des cultes.

Il ne fait que dire tout haut ce que la presque totalité de la gauche pense. La pensée laïque officielle, sur les plateaux de télévision ou dans les médias, est celle de Caroline Fourest ou de Catherine Kintzler, qui ne mesurent absolument pas que les conséquences de leur discours sont aujourd’hui une aubaine pour les islamistes.

Face à cette puissante machine, Riposte Laïque et ses lecteurs ne sont qu’une toute petite PME, avec des rédacteurs bénévoles - qui travaillent par ailleurs - et des lecteurs qui nous lisent et nous écrivent. Mais nous avons la conviction que nos propos incarnent la pensée profonde d’un peuple dont les ancêtres ont bataillé des siècles durant pour cantonner l’Eglise catholique dans son seul rôle de religion, en dehors du politique. Historiquement, dans nos gênes, nous avons le souvenir de la férocité de cette bataille. Nous ne pouvons concevoir que l’islam reprenne aujourd’hui un tel flambeau, que les voiles et les burqas se multiplient, qu’un discours communautariste se substitue aux lois de la République, et que l’on concède aux fous d’Allah ce que l’on a arraché aux fous de Dieu. Nous sommes convaincus que chaque citoyen de ce pays sent qu’à travers cette offensive, c’est une régression de l’ensemble de la société qui se met en place.

L’initiative de Jacques Myard et Françoise Hostalier va dans le bon sens. Nous savons que des personnalités comme Corinne Lepage ou Yvette Roudy, des députés comme Nicolas Dupont-Aignan ou Marc Dolez ont signé la pétition impulsée par Michèle Vianes, demandant l’interdiction de la burqa en France, et l’interdiction du voile pour les mineures, et à l’université. Nous avons entendu la philosophe Elisabeth Badinter tenir des propos, sur RTL, qui ont toute leur place dans Riposte Laïque (3). Nous savons que des philosophes comme Pierre-André Taguieff ou Robert Redeker partagent notre combat. Nous entendons à la télévision, Eric Zemmour tenir tête courageusement, et souvent seul, à tout le discours de la bien-pensance, pour défendre des valeurs laïques et républicaines. Nous savons, malgré les medias qui veulent nous ignorer, que nous ne sommes pas si minoritaires que cela. Nous n’avons pas l’ombre d’un doute : si le gouvernement avait le courage d’organiser un référendum, pour cantonner le port du voile et tout signe religieux dans les seuls lieux de culte, il serait voté majoritairement par les électeurs.

Certes, nous ne sommes qu’un modeste média, mais nous ne doutons pas du bien-fondé de notre lutte. Nous savons que nous sommes très lus, et que nos textes circulent abondamment. Nous n’avons pas peur d’être qualifiés de « politiquement incorrects ». Nous sommes vaccinés depuis longtemps face aux amalgames visant à nous faire passer pour des « racistes », voire des « fascistes ». Avec nos moyens actuels, nous comptons mener, autour de la condamnation inique de Fanny Truchelut, la bataille des idées. Nous la mènerons sans concession, car nous savons qu’elle est incontournable, et que les faits nous donneront rapidement raison.

Pièces jointes:
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 octobre 2008, 09:45
La perruque de Sarah Palin s'arrache à Brooklyn

Associated Press


NEW YORK - Dans le quartier Juif orthodoxe de Borough Park à Brooklyn, New York, le vice-président de Georgie Wigs se frotte les mains : la coiffure de la candidate à la vice-présidence républicaine, Sarah Palin, qu'il dépeint comme "d'apparence très conservatrice, mais en vogue" se vend comme des petits pains.


Shlomo Klein assure avoir vendu déjà une cinquantaine de perruques de ce type depuis que le gouverneur de l'Alaska est devenue la colistière de John McCain. L'article n'est pas donné, comme tout ce qui compose la garde-robe de Mme Palin : 695 dollars (540 euros).


Les folies vestimentaires de la candidate venue du froid donne d'ailleurs des soucis à son coéquipier. John McCain est un peu gêné aux entournures quand il doit expliquer aux électeurs républicains que la maman fan de hockey qui le seconde dans la campagne présidentielle a dépensé 150.000 dollars (116.520 euros) chez Saks Fifth Avenue et autres grands couturiers. "Cela ne me surprend pas" a pourtant déclaré le candidat.


"Elle avait besoin de vêtements à ce moment là, a assuré John McCain, mais à la fin de la campagne, ces vêtements seront donnés à des oeuvres caritatives", a affirmé le candidat républicain dans son bus de campagne, entre deux étapes en Floride.


La loi interdit explicitement à un candidat à un poste fédéral d'utiliser les fonds de campagne pour un usage personnel.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
31 octobre 2008, 02:38
Une école privée comme on s'en passerait
Par veille-education le mercredi, 2 juillet 2008, 22:26 - Lien permanent
Trois journalistes de Canal + de l'émission "90 minutes" s'étaient présentés devant les grilles d'une école coranique du mouvement Tabligh, installée au château de Ville-Maindans à Grisy-Suisnes (Seine-et-Marne)


[veille-education.org]
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
31 octobre 2008, 07:13
Pour ceux qui avaient cru que nos sentiments envers notre Pays de naissance avaient faibli, suite aux écrits de certaines personnes fanatiques soi disant tunisiennes (qui sont aveuglées par la propagande anti Sioniste), il faut dire que notre confiance en l’Esprit tunisien, est toujours là pour nous rappeler que nous ne nous sommes pas trompés, dans l’affection que nous portons toujours à ce Pays.

Le site 'juif.org' publie aujourd’hui un texte de Ftouh Souhail qui se base sur le site…
[www.adnen.katib.org]

Il raconte qu’un jeune journaliste du nom de Adnen Hasnaoui a déposé une plainte, contre le ‘fou iranien’ La plainte est fondée « sur la fameuse loi antiterroriste votée en Tunisie depuis le 10 décembre 2003. »
Cette loi, qui qualifie comme « infraction terroriste » tous les actes d'incitation à la haine ou au fanatisme racial ou religieux »

Le lien pour tout l’article sur Juif.org :
[www.juif.org]

On peut y lire entre autre:
« Décidément les bonnes surprises en provenance de Tunis sont nombreuses, et mon « correspondant » Souhail Ftouh ne manque pas de me les signaler. Vous découvrirez, en lisant le dernier article qu'il m'a envoyé, qu'il n'est pas le seul là-bas dans son combat courageux pour une Paix juste au Moyen Orient - donc qui ne passe pas Israël à la trappe, comme hélas ouvertement souhaité par trop d'élites du Monde arabe. Cette fois, c'est un jeune journaliste, Adnen Hasnaoui, qui vient de déposer plainte ... contre le nabot antisémite Mahmoud Ahmadinejad, après son discours délirant devant l'Assemblée Nationale des Nations Unies. »
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
01 novembre 2008, 15:47
Attention! A partir du 12 Janvier 2009, il vous sera demandé une autorisation de voyage électronique avant d'embarquer pour les Etats-Unis. Cette autorisation devra être obtenue en ligne au plus tard 72h avant votre départ.
Plus d'informations sur le site de l'office du tourisme des USA.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
09 novembre 2008, 13:13
Pugilat entre popes grecs et prêtres arméniens dans la basilique du Saint-Sépulcre

LEMONDE.FR avec AFP | 09.11.08 16h54

Des popes grecs orthodoxes et des prêtres arméniens en sont venus aux mains, dimanche 9 novembre, dans la basilique du Saint-Sépulcre de la vieille ville de Jérusalem, un des hauts lieux de la chrétienté. La police israélienne est intervenue pour séparer les deux camps. Certains des prêtres ont utilisé des cierges comme gourdins tandis que d'autres tentaient d'arracher les soutanes de leurs rivaux. Les raisons de ce pugilat ecclésiastique n'ont pas été précisées.

De très anciennes rivalités opposent les représentants des différentes églises qui se partagent le contrôle du Saint-Sépulcre, où selon la tradition chrétienne Jésus-Christ a été crucifié et enterré. Les célébrations au Saint-Sépulcre sont réglées comme du papier à musique, pour tenter d'éviter des frictions entre les différentes églises qui se partagent chaque pouce de ce site sacré. Les règles de la cohabitation ont été établies en 1852 par les Ottomans et régissent depuis très strictement le Saint-Sépulcre. Toute modification du statu quo est impossible, telles les heures des messes et des processions. Pour éviter tout conflit, les clés de l'église sont depuis sept siècles entre les mains de deux familles musulmanes.



[www.lemonde.fr]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 novembre 2008, 14:12
Un pretre revele "La Shoah par balles", du Père Patrick Desbois, un Juste parmi les Nations: Video a voir absolument!!!





Envoie la a tous tes amis... stp... On a les yeux pleins de larmes. Un temoignage capital et unique




[www.juif.org]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
10 novembre 2008, 14:15
Suzanne le prêtre DESBOIS est passé lors d'une émission spéciale à la télè.

J'ai eu aussi les larmes aux yeux lorsque j'ai vu le reportage avec les accompagnateurs journalistes.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
13 novembre 2008, 08:51
L'égalité des sexes à bonne école

LE MONDE | 13.11.08

STOCKHOLM ENVOYÉE SPÉCIALE

Elles glissent en riant sur les toboggans, grimpent avec énergie sur les bancs, s'emparent des voitures à roulettes que les animatrices ont mises à leur disposition. Emma, Ida et Alice, qui viennent de fêter leurs 3 ans, profitent d'un des temps non mixtes instaurés en 2005 par l'école de Järfälla, dans la banlieue de Stockholm : une fois par semaine, les fillettes de cette école pilote en matière d'égalité des sexes sont invitées, pendant la matinée, à faire de la gymnastique "entre elles".

Cette - légère - entorse au principe de mixité a été introduite au nom de l'égalité entre filles et garçons. "Lorsque les enfants faisaient de la gymnastique ensemble, les garçons prenaient toute la place, raconte Ingrid Stenman, l'une des responsables de l'école. Ils accaparaient les jeux, ils occupaient l'espace, et les filles finissaient par s'effacer : elles se retrouvaient dans les coins. Depuis que les filles sont entre elles, elles reprennent confiance. Elles jouent librement et elles découvrent que faire du toboggan, sauter ou courir, c'est vraiment amusant !"

LEÇONS DE VIE DOMESTIQUE

Depuis 2005, les 24 éducateurs de cette école suédoise qui accueille une centaine d'enfants âgés de 1 à 5 ans ont aussi tenté de modifier leur comportement. "Nous n'en avions pas conscience, mais avant, nous encouragions les garçons à prendre des risques, à sauter, à s'amuser, alors que nous disions sans cesse aux filles de faire attention, poursuit Ingrid Stenman. Nous restions autour d'elles, à les retenir comme si elles allaient tomber ou à les aider comme si elles n'allaient pas y arriver. Sans le savoir, nous les empêchions de profiter des jeux !"

Il y a encore quelques années, Ingrid Stenman aurait pourtant souri à l'idée que, dans son école, les filles et les garçons n'étaient pas traités de la même manière. Mais, en 2004, une chercheuse spécialisée dans les questions de "genre" est venue travailler à Järfälla dans le cadre d'un programme gouvernemental sur l'égalité des sexes. Pendant plusieurs mois, elle a filmé les activités, observé l'accueil des enfants le matin, assisté aux repas de midi. Et ses conclusions ont stupéfié les éducateurs : sans en avoir conscience, ils réservaient aux filles et aux garçons un traitement bien différent.

Les adultes laissaient ainsi beaucoup plus de place aux garçons, qui utilisaient en moyenne les deux tiers du temps de parole. Lors des échanges avec les enfants, les éducateurs acceptaient sans difficulté que les garçons interrompent les filles alors qu'ils demandaient aux filles d'attendre patiemment leur tour. Enfin, ils avaient deux registres de discours : des phrases courtes et directives pour les garçons, des discours plus longs et plus détaillés pour les filles.

Lors des repas, ces différences tournaient à la caricature : les films tournés en 2004 montrent des petites filles de 3 ou 4 ans servant docilement des verres de lait ou des assiettes de pommes de terre à des petits garçons impatients. Une répartition des rôles encouragée, bien involontairement, par les éducateurs. "Sans nous en rendre compte, nous demandions aux filles de nous aider à porter les plats et à participer au service, sourit Barbro Hagström, l'une des éducatrices. Nous ne sollicitions jamais les garçons."

Dans un pays où l'on ne plaisante pas avec l'égalité des sexes, l'étude a consterné les éducateurs. "Nous avons découvert que nous avions des préjugés sur la manière dont doivent se comporter les enfants, constate Mme Hagström. Nous attendions des filles qu'elles soient calmes, polies et serviables, alors que nous acceptions sans difficulté que les garçons fassent du bruit et réclament haut et fort ce qu'ils voulaient. Cela a suscité beaucoup de discussions à l'école, mais aussi dans ma famille, qui compte trois garçons !" En 2004, le gouvernement suédois, qui a consacré près de 500 000 euros à des projets scolaires sur l'égalité des sexes, a alloué 7 525 euros à l'école de Järfälla. Pendant un an, Ingrid Stenman a suivi à mi-temps un cursus universitaire sur le "genre", qui lui a permis de découvrir que les éducateurs de Järfälla agissaient en fait comme la plupart des adultes. "Dans les écoles, comme dans les familles, les stéréotypes restent très présents, même si les parents ou les enseignants n'en sont pas conscients", résume Lars Jalmert, professeur à l'université de Stockholm.

Au terme de ce travail, l'équipe éducative de Järfälla a décidé d'instaurer deux temps non mixtes d'une heure trente par semaine. Selon les éducateurs, ces moments permettent aux enfants de profiter tranquillement des jeux associés à "l'autre sexe".

Les filles peuvent ainsi conduire des voitures ou sauter sur les bancs sans que les garçons les dérangent. Réunis dans une autre salle de jeux, les garçons, eux, s'amusent avec des dînettes, des peluches et des poupées sans que les filles viennent s'approprier les lieux et leur donner des leçons de vie domestique.

La mixité est aussi suspendue, de temps à autre, pendant les repas : pour éviter que les filles jouent les auxiliaires de service, certains déjeuners se déroulent autour de tables séparées.

Mais l'étude de 2004 a surtout conduit les éducateurs à prêter une attention nouvelle à leurs gestes de tous les jours. "Ce travail nous a ouvert les yeux, résume Ingrid Stenman. Aujourd'hui, nous tentons de faire bouger les frontières : un garçon qui veut jouer à des jeux "de fille" ne doit pas se sentir faible ou ridicule, une fille qui s'affirme et prend la parole ne doit pas sentir de réprobation. C'est un jeu "gagnant-gagnant" qui ouvre de nouveaux espaces aux filles comme aux garçons : s'ils le souhaitent, ils peuvent sortir des schémas traditionnels."

Le programme sur l'égalité des sexes lancé en 2004 par le gouvernement a touché 28 écoles accueillant des enfants de 1 à 5 ans. "Les désordres scolaires sont liés, pour beaucoup, aux inégalités entre les sexes et au manque de respect pour les autres êtres humains, affirme Nyamko Sabuni, la ministre de l'intégration et de la parité du gouvernement de centre droit. Le combat pour l'égalité des sexes doit commencer le plus tôt possible." Un budget de près de 11 millions d'euros doit permettre d'étendre ce programme aux écoles élémentaires dans les années à venir.

Anne Chemin
Article paru dans l'édition du 14.11.08

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