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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
14 septembre 2007, 14:58
QUAND LE MOYEN-ORIENT VERRA-T-IL LA LUMIERE ?

Par Ray Archeld pour Guysen International News

Mardi 11 septembre 2007 à 22:08


"Danger ! l'imagination dépasse la raison
Ahmed Sheikh est le rédacteur en chef de la télévision par satellite Al Jazeera qui émet de Doha à Qatar dans le monde entier. Il est d'origine palestinienne et il a été interviewé récemment par Pierre Heumann, un journaliste de l'hebdomadaire suisse Die Weltwoche.


En substance, il affirmait que la création de l'état d'Israël était à l'origine du non développement économique du monde arabe, de la disparition de ses classes moyennes, de son manque d'écoles et d'hôpitaux, de sa non évolution démocratique etc…bref de tous les maux qui affectent ce monde. Et la raison qu'il a invoquée n'a rien de rationnel. "L'existence d'un état juif prospère et fort heurte l'ego arabe et le paralyse dans son élan vers le développement". (1)

Ce qui est inquiétant c'est que, prisonnier de sa culture et de l'éducation reçue, ce responsable d'un grand média arabe, au lieu de décrire objectivement la réalité du terrain, nous sert la rengaine du "bouc émissaire"….."
Le 20 décembre 2006

Ce texte est tiré du nouveau livre d'Albert Soued "Quand le Moyen-Orient verra-t-il la lumière ? " - 411 pages – 26 euros - édition Publibook
Cet ouvrage comprend dix chapitres – dont la terreur, la désinformation, l’arabité, les erreurs et les désillusions, l’ONU et l’Irak, – où Albert Soued recueille des articles qu'il a écrits pendant la première Guerre du Golfe jusqu’aujourd'hui. Ces textes montrent que les problèmes du Moyen Orient ne datent pas d'hier et que l’Occident y intervient souvent intempestivement, tout en étant loin d’apporter des solutions convaincantes et efficaces. Loin de l’hypocrisie ambiante, quitte à donner un coup de pied dans la fourmilière onusienne, Albert Soued nous dévoile ses pensées, ses opinions, toujours argumentés, toujours justifiés. On aurait aimé voir une projection sur l'avenir de l'auteur, mais la conclusion est laissée au lecteur. L'auteur de cet ouvrage ne fera naître aucune polémique, mais il sera sûrement à l’origine de nombreux débats.

Ayant écrit des ouvrages liés aux symboles de la Bible et à sa mystique, Albert Soued, est aussi un témoin concerné de la situation au Moyen-Orient depuis longtemps. Dans son nouveau livre, il analyse des problèmes que beaucoup seraient prêts à oublier et révèle au grand public des faits avérés que quelques-uns préfèreraient garder secrets. Subtil et sans langue de bois, précis et argumenté, peut-être polémique mais jamais offensant, un livre qui alterne articles de fond et enquêtes d’investigation. Pour enfin mieux saisir une crise qui trouve ses racines en Islam et dans le refus arabe de la démocratie et de l'émancipation des peuples et qui menace de s’amplifier.

Malgré l'absence d'une introduction et d'une conclusion qui auraient été utiles, si vous voulez comprendre ce qui est sous-jacent aux événements du Moyen Orient en toute objectivité, je vous conseille de faire un petit détour par cet ouvrage.


La diplomatie de la guerre
14 septembre 2007, 15:04
Syrie : la diplomatie de la guerre
Editorial de la semaine du 08/09/2007

Par Guy Senbel pour Guysen International News

Jeudi 6 septembre 2007 à 23:36


Cette semaine, nous souhaiterions attirer l’attention de nos lecteurs sur les risques d’embrasement entre Israël et la Syrie. Si des déclarations menaçantes voire belliqueuses au sujet du plateau du Golan n’ont pas manqué au cours de l’été, il semble qu’un cap a été franchi dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 septembre.


En effet, jeudi matin, l'armée syrienne a indiqué que des avions israéliens avaient violé l’espace aérien syrien et bombardé des cibles non identifiées sur leur territoire. Le porte-parole de l'armée syrienne a mis en garde « le gouvernement israélien ennemi contre cette agression flagrante et se réserve le droit de réagir de manière appropriée ».

L'armée israélienne n'a pas fait de commentaire après cette annonce, transmise par l'agence Sana, l’agence de presse officielle syrienne. Une enquête a été diligentée par Tsahal, dont les conclusions n’ont pas encore été rendues, mais déjà le Président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset a indiqué qu’Israël « n’était pas sur le pied de guerre ».
De son côté, le ministre de l'Information syrien, Mohsen Bilal, a publié un rapport concernant l'infiltration de l’avion israélien dans l'espace aérien de la Syrie. Aucune information technique n’est donnée, aucun élément précis n’est rapporté, et le rapport conclut simplement que « le président syrien avoue n'avoir aucune confiance dans le gouvernement israélien »… Quant à Bilal, il qualifiait Israël de « traitre qui porte la guerre à ébullition »…

Déjà, jeudi dans l’après-midi, il fallait comprendre que les accusations syriennes alimentent diatribes et polémiques plus qu’elles ne se fondent sur une réalité militaire. Elles contribuent essentiellement à désigner Israël comme un agresseur potentiel dont il faut se méfier… Alors que l’Iran poursuit une nucléarisation dont les représentants israéliens ne savent plus comment convaincre leurs alliés occidentaux des dangers qu’elle représente, et que Gaza tire chaque jour des salves de missiles sur Sdérot et ses environs, le gouvernement syrien a déclaré jeudi soir que la Syrie ne se laisserait pas entraîner dans une guerre dont le moment et la méthode lui seraient imposés par Israël et les Etats-Unis : « Nous avions la possibilité de riposter sévèrement, mais nous avons opté pour la modération »…

Sur le plan diplomatique, les conséquences des fantaisies syriennes risquent de coûter cher à Israël. Romano Prodi, le Premier ministre italien, s’est dit « profondément préoccupé par l’incursion d’avions de chasse israéliens dans l’espace aérien syrien », lors d’une conférence de presse qu’il tenait à Rome en compagnie du vice-président syrien Farouk Al-Chareh, appelant à apaiser les esprits dans la région.

Profitant de la stratégie victimaire syrienne, l’Iran s’est empressé de déclarer qu’elle se tenait prête à offrir toute l’aide nécessaire à Damas ; et si les Américains se sont abstenus de tout commentaire sur le sujet, la Russie a déclaré qu’elle espérait qu’Israël ne ferait plus d’incursion dans l’espace militaire syrien.
En conséquence, plusieurs déclarations israéliennes exprimaient la crainte que de nouveaux contrats d’armements soient signés entre la Russie et la Syrie, insistant sur le fait que « tout ce qui parvient à Damas, parvient finalement au Hezbollah »…

Quant au Premier ministre libanais Fouad Siniora, directement concerné par les dangers de la diplomatie syrienne, redoutant d’être une nouvelle fois associé malgré sa volonté à un conflit armé, il demande à la Syrie de « redoubler d’efforts pour déjouer la contrebande d’armes à destination du Hezbollah », exprimant pour la première fois de façon claire « avoir toujours souligné la nécessité d’un contrôle à la frontière par nos frères syriens »…

Accusé dans un rapport publié cette semaine par l’organisation « Human Rights Watch » d’avoir tiré sur des personnes civiles au cours de la dernière guerre du Liban, alors que dans son précédent rapport, publié la semaine passée, l’organisation de défense des droits de l’homme dénonçait la stratégie du Hezbollah d’utiliser des personnes civiles comme de véritables boucliers humains.
Israël, mène tant bien que mal tous les efforts possibles pour « ramener à la maison » pour le Nouvel an juif ses « garçons » retenus en otage depuis quatorze mois.

L’urgence des pourparlers diplomatiques s’explique sans doute par la pression qu’exerce la Syrie en inventant des scénarios accusant Israël, pour mieux l’entraîner dans un conflit redoutable : comment récupérer les soldats qui croupissent certainement dans la prison de Mazé, celle que Bashar El-Assad avait promis de fermer après la mort de son père, en signe d’apaisement…

Le pape Benoît XVI, qui a reçu Shimon Peres jeudi 6 septembre au Vatican, s’est pour la première fois engagé à intervenir auprès du chef du Hezbollah en faveur de la libération d’Ehoud Goldwasser et Eldad Reguev…
Quant à Guilad Shalit, le Comité International de la Croix Rouge n’a pas réussi à convaincre le Hamas d’autoriser quelque visite.

Depuis quatorze mois, la Syrie continue d’alimenter le Hezbollah en armes et empêche directement toute progression dans les négociations qui visent le retour des soldats kidnappés.
Depuis quatorze mois, la Syrie menace de se venger ou de résister à une imaginaire agression israélienne.
Depuis quatorze mois, la rédaction de Guysen rappelle le désespoir des soldats Guilad Shalit, Eldad Reguev et Ehoud Goldwasser.
Depuis quatorze mois, la Syrie se comporte en « Etat voyou ».

Le premier danger de la « diplomatie syrienne » est bien la guerre. Notre connaissance de la région, nous permet d'affirmer, que nous nous devons de prendre très au sérieux les dernières évolutions entre les deux pays.
Dans les jours ou les semaines à venir, le moindre incident sur le terrain risquera d'entraîner une guerre qui risque d’être terrible, et dont nul ne peut aujourd'hui mesurer les conséquences.


Made in China
15 septembre 2007, 01:48
Made in China

Par Nina Levy-Strauss pour Guysen International News

Mardi 4 septembre 2007 à 06:19


Six ans après le succès remporté en 2001 par son exposition sur le thème 'La Chine : Cent trésors' qui présenta les trésors produits par l’art chinois pendant cinq millénaires, des bronzes néolithiques aux porcelaines Ming, le Musée d’Israël ouvre un nouveau chapitre de l’histoire de l’art chinois sous le titre : 'Made in China : art contemporain de la collection Estella'.


L'Exposition qui se déroulera du 18 septembre 2007 au 1er mars 2008 inclue plus d’une centaine d’œuvres d’artistes connus et d’étoiles montantes de l’art contemporain international, notamment Ai Weiwei, Chen Shaoxiong, Huang Yan, Ma Liuming, Qiu Zhijie, Wang Ningde, Zhang Huan and Zhang Xiaogang.

La collection Estella de New York est l’une des plus importantes et des plus exhaustives de l’art chinois contemporain.
Les cinquante-sept artistes dont les œuvres sont présentées dans cette exposition sont nés avant, durant ou immédiatement après la Révolution culturelle (1966-76), dans l’atmosphère hautement politisée de cette période où ils ont baigné et qui, associée dans leur inspiration à la tragédie de la place Tiananmen en 1989, ont été des éléments formateurs de leur expression artistique.

Si certains de ces artistes vivent et travaillent en Chine, nombreux sont ceux qui se sont installés à l’étranger, aux Etats-Unis, en Europe et en Australie.

Les travaux présentés dans cette exposition font usage d’une grande variété de médias picturaux et sculpturaux : peinture, dessin, sculpture, photographie, vidéo, installation et scénographie.

"La prodigieuse diversité d’expression reflétée par les travaux de ces artistes témoigne d’une créativité féconde capable d’émerger de toute réalité socio-politique", affirme James S. Snyder, directeur du Musée d’Israël.
"Chaque œuvre de cette exposition exprime le dialogue mené par l’artiste avec les problèmes vécus par la Chine au cours de cette période de grands bouleversements."

L’héritage de Mao

L’héritage légué par le président de la République populaire a littéralement envahi la production de nombreux artistes de l’ère post-maoïste.
En dépit du fait que trente ans ont passé depuis sa mort, l’empreinte incommensurable sur la culture chinoise et l’image laissée par le Grand Timonier sur la mémoire collective de la société chinoise restent tangibles.

A l’époque de Mao la créativité artistique était soumise aux dictats officiels et envisagée comme devant servir les visées sociales et sociétales de l’Etat.
La glorification du travailleur, du soldat et en particulier du Grand Timonier était caractéristique du style socio-réaliste de l’époque et servait à rehausser le profil populaire du dictateur.
Les représentations de Mao furent produites en masse pendant toutes les années de la Révolution culturelle.
Dans l’exposition Made in China, nombre d’œuvres reflètent ce culte de l’image et de la personnalité de Mao.

Dialogue avec la tradition

L’ère Mao s’est caractérisé par la place prise par la peinture socio-réaliste venue remplacer celle qu’occupait traditionnellement la calligraphie que Mao condamna, à l’instar des autres expressions artistiques chinoises qu’il considérait comme des symboles de l’élitisme de la Chine conservatrice.

Depuis la mort de Mao, de nombreux artistes chinois ont renoué le dialogue avec cette forme d’art traditionnelle, que ce soit par la création d’œuvres pseudo-calligraphiques ou par l’usage d’outils et de surfaces non conventionnels.

A titre d’exemple citons 'Mot vivant', l’installation de Xu Bing qui consiste en plus de 400 caractères chinois planant dans l’espace – en l’occurrence les différents signes adoptés au cours des siècles pour désigner le vocable oiseau – lesquels attestent l’évolution de l’écriture chinoise, de simples représentations imagées vers des signes de plus en plus abstraits.

Vers une Chine nouvelle

Les grandes réformes que connaît la Chine à l’heure actuelle, et le rythme vertigineux de leur mise en œuvre, sont la principale source d’inspiration des travaux de nombreux artistes.

La Chine ancestrale est démolie jour après jour pour laisser la place à une puissance économique mondiale et les traces du passé disparaissent rapidement.

On trouve l’expression de cette métamorphose dans l'un des travaux d’Ai Weiwei représentant une œuvre d’art historique dont la valeur nominale est détruite.

Avec la disparition d’une identité collective orchestrée par l’Etat, les artistes contemporains chinois se tournent vers des registres individualistes et identitaires.

Dans ses 'Séries d’échanges' Cang Xin soulève la problématique fondamentale inhérente aux tentatives des jeunes Chinois de se forger une identité totalement différente de celle de leurs parents.

L’échange de vêtements entre personnages aux professions diverses permet à l’artiste de s’interroger sur le rôle que joue l’aspect extérieur dans l’identité de ses contemporains.

L’exposition Made in China, mise en place par le Louisiana Museum of Modern Art, a pour commissaire au Musée d’Israël à Jérusalem Suzanne Landau, conservateur en chef des fondations Yulla et Jacques Lipchitz et Landeau d’art contemporain.

Elle est accompagnée d’un catalogue en couleur d’une centaine de pages en anglais et d’un encart en hébreu.
L’exposition est parrainée par le Sam Weisbord Trust de Los Angeles.
Une série de manifestations et de programmes destinés au public se tiendra au Musée d’Israël parallèlement à cette exposition.

Sources : Musée d’Israël
POB 71117, Jerusalem 91710
Tel. (02) 670-8811, Fax (02) 677-1332
Buses: 9, 17, 24

Pour qui? Pourquoi ?
15 septembre 2007, 01:51
Pour qui? Pourquoi ?

Par Albert Bellaïche pour Guysen International News

Lundi 10 septembre 2007 à 21:16


Les menaces qui fusent de toutes parts contre l’Etat Hébreu, qu’elles émanent de terroristes, installés à Gaza ou au Liban, ou d’Europe où des conférences franchement anti-israéliennes sont organisées quasiment sous le toit de l’Union, constituent une trame de coalition insupportable contre laquelle personne ne peut apparemment rien car l’argumentation utilisée est faible et sans grand effet. Pour le moment du moins…


Alors pour qui Israël doit-il continuer son combat et faire des efforts de conciliation et de bonne volonté en direction d’un adversaire qui le hait, qui s’entraîne et se réarme, dans le but de l’anéantir ?

Pour qui ? Pour ceux qui ont tout sacrifié pour retrouver enfin leur terre promise, celle de leurs ancêtres, là où ils souhaitent vivre en paix jusqu’à la fin de leurs jours ?

Pour les Israéliens qui sont ici parce que leur droit est d’être ici ? Et aussi parce que cette terre est celle que D. leur a donnée.

Pour les Juifs du monde entier qui ont toujours attendu d’avoir enfin une patrie légitime et reconnue, pour qu’ils puissent être fiers de leur nation.

Pour le judaïsme à qui le Tout Puissant a donné après le purgatoire, une Nation, une Patrie, un Pays, un Territoire pour lui seul et après deux mille ans d’attente et de souffrances ?

Pour tous les Juifs de la planète afin que force et courage, appuis et pouvoir leur permettent de s’insurger contre les injustices et l’antisémitisme ?

Oui, c’est pour tout cela séparément et en même temps qu’Israël lutte quasiment seule contre tous, et sur le plan militaire, mais aussi diplomatique sportif ou commercial, pour avoir le droit de vivre sur sa terre dans une situation que la normalité paraît aux autres anormale !

Alors à quoi bon cette débauche d’énergie et de bonne volonté si le camp d’en face ne fait aucun un effort visible, efficace et sincère pour établir dans cette région la stabilité recherchée ?

Alors pourquoi l’Etat Hébreu, les Juifs, devraient-ils continuer à brasser un vent qui souffle dans le mauvais sens ou à crier sur un air de guitare qui sonnerait faux ?
Quand on est Israélien, lorsque l’on est juif et surtout quand on représente les deux à la fois, que les ondes négatives submergent les ondes positives, alors rien ne sert plus de courir car l’on ne peut même plus partir à point !

Nos lecteurs nous reprochent parfois dans leurs commentaires de traiter ces sujets-là avec une certaine bienveillance, ce qui peut les indisposer… Mais qu’ils sachent que notre devoir ici n’est pas de jeter de l’huile sur le feu…
En revanche, quand la tempête gronde notre devoir est de gronder avec elle.
Et c’est aujourd’hui le cas !

Car à constater au quotidien que la pluie de Qassam ne cesse de tomber, que les agressions verbales se multiplient comme les mauvaises herbes sur les champs de coquelicots, que nos trois soldats ne sont toujours pas libérés et que l’horizon est plus bouché que jamais, il n’est pas illégitime de se demander pourquoi Israël ferait encore des efforts qui par avance semblent vains et inefficients ?

« Ô femme de malvoyant, honnête et de bonne famille, pour qui donc et à quoi bon te fais-tu si belle puisque ton époux ne peut ni apprécier ni même voir les efforts que tu fais pour lui plaire ? »… Le vieux dicton judéo-arabe inviterait plutôt à réfléchir aux objectifs auxquels il faudrait renoncer, aux buts recherchés qu’il faudrait abandonner ?


Faire supprimer JewWatch de Google:
15 septembre 2007, 02:08
Faire supprimer JewWatch de Google:


Quand vous recherchez dans Google le mot «jew», un des premier sites Web qui apparaît est:

[www.jewwatch.com] (klic klc)

une harangue antisémite virulente;
Des centaines de textes, des dizaine de vidéos... haine, révisionnisme, négationnisme... tout y est... du jamais vu!

De plus, les vidéos sont hébergées chez YouTube.

Même si vous ne maîtrisez pas l'anglais, vous comprendrez très vite.

Pour que Google enlève ce site, il faut recueillir 500.000 signatures (actuellement 272.000).

Pour voir ce site: [www.jewwatch.com] (klic klic)

Pour signer la pétition:

[www.petitiononline.com] (klic klic)

suggest.1
Re: Faire supprimer JewWatch de Google:
16 septembre 2007, 01:03
Il a ete supprime Suggest !!!

AM ISRAEL HAY
Analyse de la situation actuelle - Qui empêchera l’Iran de se doter de l’arme atomique ?
16 septembre 2007, 02:42
Bonne année ! - Par Martin Birnbaum - Pour LibertyVox

Analyse de la situation actuelle : Qui empêchera l’Iran de se doter de l’arme atomique ? Pas grand monde à en croire Martin Birnbaum !

Source : URL = [www.libertyvox.com]

Le Pape et George Bush, Nicolas Sarkozy et Mahmoud Abbas, même Vladimir Poutine viennent de souhaiter la Bonne Année (nouvel an juif) à Shimon Pérès, Président récemment élu d’Israël et qui partage avec d’autres la responsabilité des drames qui ont suivi l’incroyable idiotie des accords d’Oslo, applaudis en leur temps par tous ceux qui croyaient que le conflit proche oriental peut se résoudre, selon la formule magique, par «la paix contre la terre». Bonne Année ? Voire …

Il y a quelques mois, une journaliste résumait avec une logique implacable la situation que les grandes puissances ont laissé créer, pour des raisons tenant à leurs intérêts immédiats et sans se poser de questions sur l’avenir du monde. « L’Iran et sa volonté d’acquérir des moyens militaires nucléaires ne constituent pas uniquement une préoccupation israélienne. La question est de savoir si, en ce moment, le monde occidental fera quelque chose pour se défendre. La réponse, d’évidence, est négative. Dès lors, une question plus pertinente serait « dans quel cas le monde occidental agira-t-il ? »

Malheureusement, on peut douter que même une frappe nucléaire iranienne sur Israël soit suffisante. L'Iran devrait frapper l'Europe ou l'Amérique avant que l'une ou l'autre fassent quoi que ce soit. Mais si cela est, cela se produirait seulement après que l'Iran aura attaqué Israël. La conclusion est évidente : Israël doit-elle attendre qu’elle soit attaquée avant de réagir ? (S. Singer – JP) »

Le déroulement logique du raisonnement qui précède, par delà son aspect inéluctable, n’a même pas besoin d’une démonstration autre que celle des discours des mollahs iraniens qui sont prêts, selon leur Guide Suprême, à sacrifier la moitié de la population iranienne (35 millions) pour effacer de la carte Israël et ses six millions d’habitants. Plus quelques musulmans à l’intérieur et à l’extérieur d’Israël.

Notre nouveau Président, pour lequel, d’évidence, la France est trop petite pour ses talents et ses capacités, veut jouer aussi un rôle primordial sur la scène du monde.

Convaincu d’avoir débloqué l’Europe avec l’idée du « mini traité » (attendons voir ce que les deux jumeaux polonais préparent comme blocage …) ;
ignorant l’échec patent de son initiative « libanaise » ayant consisté en une conférence à Paris « avec toutes les parties » (y compris de représentants du Hezbollah en le légitimant ainsi, Hezbollah que la France ne veut toujours pas voir sur la liste des organisations terroristes) ;
n’ayant aucune influence sur le camp d’extermination qu’est le Darfour (où des noirs chrétiens ou animistes sont massacrés tous les jours de la semaine par les milices arabes du gouvernement soudanais, gouvernement soutenu par la Chine et d’autres frères arabes) vient de prononcer un important discours devant les ambassadeurs de France réunis à Paris. Pour dire, « qu'un Iran doté de l'arme nucléaire est (pour lui) inacceptable, et souligner l'entière détermination de la France dans la démarche actuelle alliant sanctions croissantes mais aussi ouverture si l'Iran fait le choix de respecter ses obligations. Cette démarche est la seule qui puisse nous permettre d'échapper à une alternative catastrophique : la bombe iranienne ou le bombardement de l'Iran ».

Après Jacques Chirac, expert en bombes atomiques et vecteurs d’acheminement (« une bombe iranienne ne fera pas 200 m. dans le ciel de Téhéran que cette ville sera détruite ») voilà le nouveau Président de la France menaçant clairement l’Iran d’être bombardé s’il ne renonce pas à sa bombe. Mais, prudent, il fait un maximum d’efforts pour augmenter la pression sur l’Iran via des sanctions, dans le cadre de l’ONU ou en dehors. Malheureusement, comme pour ses autres chantiers internationaux, le verbe -spécialité française- ne suffit pas. Pour deux raisons : (a) l’alternative devant laquelle les Etats-Unis se trouvent est différente (« rien n’est pire qu’une guerre contre l’Iran ; sauf l’Iran avec la bombe ») et (b) les partenaires européens de la France ne sont disposés ni à s’associer à des sanctions sérieuses ni à une opération militaire. Des preuves?

L’Europe – s’il s’agissait d’un bloc disposant d’une politique étrangère commune, peut-être serait-elle en mesure de comprendre les enjeux et agir en conséquence. Tel n’étant pas le cas, étant devenue une terre de conquête pour les islamistes modérés ou moins modérés, est incapable d’avoir une vision commune. Entre les pays du Nord (Suède, Norvège, Danemark, Finlande), tous pro palestiniens pour des raisons « morales », et ceux du Sud (Grèce, Italie, Espagne), tous pro arabes par proximité géographique et intérêts économiques, entre les trois puissances importantes (Allemagne, France, Grande Bretagne) rien n’est clair.

(i) L’Allemagne, sur laquelle pèse le remord irréfragable de la Shoah, s’interdit d’être contre Israël mais … suit toujours ses partenaires européens sauf pour l’Iran. D'après les chiffres de la Chambre Allemande du commerce et de l'industrie, l'Iran est le plus gros marché d'exportation au Moyen-Orient pour l'Allemagne. En 2006, les entreprises allemandes ont exporté plus de 3,3 milliards d'euros de marchandises vers l'Iran. Une cinquantaine d'entreprises allemandes possèdent des succursales en Iran et plus de 12 000 entreprises allemandes font du commerce avec la République islamique en lui fournissant des machines-outils, des véhicules, du fer et des produits chimiques. La brouille actuelle entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel tient non seulement aux dossiers connus (Europe, respect des critères de Maastricht, création de « champions nationaux », etc.,) mais aussi à la désolidarisation annoncée de l’Allemagne pour ce qui est de sanctions contre l’Iran.

(ii) L'UE, principal partenaire commercial de l'Iran, a refusé de couper ses liens commerciaux avec Téhéran. L'Europe est le principal fournisseur de marchandises à l'Iran à qui elle fournit 44 % du volume de ses importations. L'an dernier, les nations européennes ont importé plus de 8,2 milliards d'euros de marchandises iraniennes. Les exportations vers l'Iran avoisinent pour leur part les 12 milliards d'euros. En outre, l'Europe effectue des investissements importants dans les industries iraniennes du pétrole, du gaz, de l'exploitation minière, de l'automobile, des transports et des communications. Et, comme il est normal (?!) les entreprises qui traitent avec l'Iran bénéficient de garanties bancaires apportées par les gouvernements et financées par les contribuables européens.

(iii) La France même, lors de la dernière décennie (avec la bénédiction de Jacques Chirac …), a investi des milliards d'euros en Iran. Rien qu'en 2006, la Banque Nationale de Paris a investi 34 milliards d'euros dans les pétroliers iraniens. La même année, la Société Générale a conclu des accords d'une valeur de 4 milliards d'euros avec la Compagnie nationale iranienne du pétrole. Total a investi près d'un milliard et demi d'euros dans des projets iraniens pendant cette période. La valeur des échanges commerciaux de Peugeot, Renault et Citroën avec l’Iran est immense. Alcatel fournit des équipements de communications de pointe aux Iraniens et assure la mise en place de la majeure partie de l'infrastructure des télécommunications pour le régime iranien.

Sanctions ? Restons sérieux … Bombardement ? Faut pas rêver … A moins que les Etats-Unis, seul pays à pouvoir décider tout seul ce qu’il veut, décident que trop c’est trop, même si George Bush est décrédibilisé par la campagne de tous les partisans de la « paix » qui souhaitent son échec en Irak, comme ils ont souhaité l’échec des Etats-Unis au Vietnam (les trois millions de morts de Pol Pot au Cambodge et la chape de plomb qui s’est abattue ensuite sur le Vietnam ne les ont pas empêchés de dormir …). L’Iran, après dix-huit années pendant lesquelles elle a conduit un programme nucléaire secret, tout en ayant signé le traité de non prolifération, a fait amende honorable et a promis de ne plus rien cacher en obtenant une année de plus pour répondre à toutes les questions posées par la communauté internationale. Cependant, depuis sept longues années, pendant lesquelles ses programmes ont avancé à grands pas, l’Europe et les Etats-Unis laissent faire en utilisant un clown (Javier Solana) sans pouvoir aucun, pour « conduire » des négociations où on ne négocie rien …. La conclusion de la marche iranienne vers la bombe est inéluctable, les chancelleries divergent sur la date d’arrivée non pas sur l’issue. Que faut-il décider ? Eh bien, le bombardement dont parle notre Président.

Il s’agit d’une chose simple : action préventive d’une force telle que les intentions de l’Iran seront oubliées pour un siècle ou plus et qu’elle découragera tous autres plaisantins, fussent-ils coréens ou vénézuéliens. Ce qui provoque, immanquablement, une question à caractère rhétorique : veut-on arrêter l’Iran en l’attaquant avec des moyens nucléaires ? Ce n’est pas faire preuve de cynisme que de rappeler que les 200.000 morts de Hiroshima ont sauvé 5 millions de japonais et 1 million d’américains selon les évaluations de tous les experts de la guerre du Pacifique. Et puisque le Guide Suprême est prêt à voir disparaître la moitié de l’Iran (35 millions) on ne voit pas pourquoi ils devraient être précédés par 6 millions d’israéliens. Coïncidence fortuite entre le nombre d’israéliens et le nombre de juifs anéantis par la barbarie nazie.

Mais la France ne fait que gesticuler. A quelle fin ?

Deux objectifs majeurs semblent être poursuivis: reprendre sa position de défenseur du monde arabe et avoir la paix intérieure.

Ce que la France fait (Syrie, Liban, Autorité Palestinienne, etc.,) et son attitude « dure » contre l’Iran et ce qu’elle ne fait pas (Algérie, Darfour, par exemple) est destiné à montrer aux pays arabes qu’elle est de leur côté aujourd’hui pour les défendre de l’Iran chiite, comme hier contre les Etats-Unis (et en partie contre Israël). De là à renoncer aux marchés lucratifs de l’Iran (voir plus haut) il y a un pas qui ne sera probablement pas franchi. Pendant ce temps nos spécialistes de la géopolitique se gargarisent au sujet d’un éventuel rapprochement (d’aucuns disent « alignement ») de notre Président de la ligne politique internationale de George Bush. Et ce n’est pas par hasard que la France n’a pas protesté (comme elle le faisait d’habitude) contre le survol de la Syrie par l’aviation israélienne (attaque de sites « sensibles » ? destruction d’armes destinées au Hezbollah ? on se perd en conjectures …). A-t-on remarqué qui a protesté ? Aucun pays arabe. Mais la Russie et la Corée du Nord.

Quésaco ? La Corée du Nord se moque du monde entier et des Etats-Unis premièrement, et ce depuis au moins quatorze longues années. Deux administrations Clinton, et une et demi Bush, leur ont laissé la bride sur le coup rien que pour réaliser que les Coréens ont accepté tout ce qu’on leur a donné pour arrêter leur programme nucléaire militaire mais sans qu’ils le fassent. Depuis quatorze longues années, la Corée du Nord affame ses 22 millions d’habitants en concentrant ses moyens pour obtenir la bombe. Enfin, strangulée par les sanctions, tous ses fonds dans des banques étrangères bloqués, la moitié de ses villes inondées par des précipitations exceptionnelles, voilà ce pays accepter de fermer ses centres nucléaires (connus) une fois qu’elle dispose de matériel fissile nécessaire pour produire plusieurs bombes. Que la Russie proteste, c’est normal : Tsahal, en survolant la Syrie, vient de démontrer que les systèmes de détection et de protection par missiles installés en Syrie (et qui seront installés en Iran aussi) ne sont pas de nature à l’empêcher de faire son travail. Excellente nouvelle pour l’Amérique aussi. Mais que la Corée proteste, ceci ne fait qu’accréditer les thèses de certains experts (Jane’s par exemple) qui considèrent que ce pays non seulement a aidé l’Iran et la Syrie à se doter de vecteurs à longue portée mais a probablement mis à l’abri (ou développé sur place) de nouveaux moyens nucléaires. Cela ne vous donne pas froid dans le dos ?

Chercher la paix intérieure. André Dufour nous rappelle, à brûle pourpoint, les difficultés de Michèle Tribalat pour faire en sorte que l’on arrive à connaître les dimensions des groupes ethniques présents dans notre pays.

On sait qu’il est politiquement incorrect de parler des composantes ethniques de la population française. On sait aussi qu’il est interdit à l’INSEE de recenser la population selon son origine. Il n’est dès lors pas surprenant que la fourchette pour estimer les populations d’origine maghrébine ou d’Afrique Noire s’étale de 5 à 12 Millions de personnes. Des spécialistes de la démographie, tout en reconnaissant la difficulté d’appréhender les contours exacts de la population en question, resserrent la fourchette pour la considérer comme allant de 5 à 8 Millions de personnes.

Acceptons comme hypothèse d’école un chiffre médian de 6,5 Millions de personnes nés à l’étranger ou nés de parents nés à l’étranger et se rattachant, peu ou prou, au monde musulman. Par différence il y aurait, donc, en France 57,5 Millions de personnes d’origine européenne.

Une projection à l’horizon 2030 permet de dresser le tableau (en fin de page)

La projection à 2030 prend en charge un taux de fécondité constant pour les deux populations (en réalité il est en réduction importante pour les Européens ...) et n’intègre pas l’augmentation de l’espérance de vie ni la contribution (marginale) de populations d’origine européenne à l’immigration. On remarque que pendant la période considérée, le pourcentage de la population d’origine européenne diminue de 7.5 % tandis que celui de la population liée à l’immigration augmente de 65,6 %. Ce qui précède peut être étayé par des calculs qui, même approximatifs, indiquent bien les tendances.

Mais l’espérance de vie augmentant, le cadre actuel de gestion des retraites (65 ans ou 60 ans ou moins) risque d’exploser sans l’apport (massif ?) d’une population immigrée dont l’essentiel est d’origine maghrébine ou d’Afrique Noire. Loin de prendre au sérieux l’ancienne « l’immigration est une chance », il n’est pas difficile de comprendre que plus on a besoin d'immigration pour pouvoir supporter le poids des retraites ... plus la probabilité que la charia devienne une réalité augmente. La France est entrée, du point de vue de la constitution de sa population, dans une spirale qui conduit mécaniquement à un renversement à terme de l’origine de sa population. Ce qui, d’évidence, ne pourra pas ne pas conduire (en prenant un raccourci rapide) à l’apparition, voire l’instauration, de la charia comme élément constitutif de la République. Cette assertion se justifie aussi par le fait que plus personne ne croit au modèle d'intégration "français" ou "anglais" ou hollandais", autant de vieilles lunes qui se sont révélées telles.

Les choses vues comme cela permettent de comprendre la gesticulation de la France pour avoir une paix intérieure. Comme la discrimination positive, comme les nominations de descendants d’immigrés (dont les mérites individuels peuvent être, certes, importants) à des postes ministériels visibles, comme assurer l’impunité des « jeunes des cités ». Et on ne peut pas en vouloir au Président de faire ce qu’il croit nécessaire pour préparer l’avenir du pays. Ou, au moins, pour retarder ce qui semble inéluctable.

Dans tout ce paysage il y a un facteur de distorsion sans lequel le monde tournerait rond. Il s’agit d’Israël. Un présentateur vedette de la fameuse chaîne AL Jazeera théorise : «La création de l'état d'Israël est à l'origine du non développement économique du monde arabe, de la disparition de ses classes moyennes, de son manque d'écoles et d'hôpitaux, de sa non évolution démocratique etc., bref de tous les maux qui affectent ce monde». Et la raison qu’il invoque n’a de rationnel que l’étiquette : "L'existence d'un état juif prospère et fort heurte l'ego arabe et le paralyse dans son élan vers le développement".

Effectivement, ce pays qui est le 100ème au monde par sa population a réussi à créer une économie dont le PNB est supérieur à 120 Milliard de $, ce qui dépasse le cumul de tous les pays environnants (sauf les revenus du pétrole pour l’Arabie Saoudite …). Pays dans lequel a été développé le téléphone portable (dans la filiale de Motorola), pays dans lequel Intel Israël créait le Centrino sans lequel nos ordinateurs portables n’auraient pas la capacité de travailler en Wifi, pays dans lequel on fabrique les microprocesseurs qui équipent 95 % des ordinateurs vendus dans le monde et les vôtres sans doute … Israël s’est placé à la première place au monde pour le nombre de scientifiques et de techniciens dans sa force de travail, avec 145 pour 10.000, par opposition à 85 aux États-Unis, plus de 70 au Japon, et moins de 60 en Allemagne. Avec plus de 25% de sa main d'œuvre utilisée dans des professions techniques. Israël s’est doté d’une agriculture autosuffisante en rendant fertiles des terres qui ne l’étaient pas et en créant de variétés nouvelles de légumes, agrumes, fruits et fleurs qui tiennent le haut du pavé dans toute l’Europe (sauf en Norvège, pays qui boycotte les produits israéliens).

Israël a attendu que d’autres (les pays occidentaux avec les Etats-Unis à leur tête) trouvent une solution au problème posé par l’Iran. De palinodies en pantalonnades, de « date limite » en « temps qui devient court » les puissances (?!) qui ont négocié avec l’Iran ne peuvent que constater un échec cuisant. Le Prix Nobel en charge du contrôle des activités nucléaires mondiales prône le dialogue et la Chine et la Russie demandent que l’on revienne à la table des négociations (comme si on l’avait quittée depuis sept années). Israël ne peut pas se permettre d’attendre que l’Iran devienne une puissance nucléaire.

Israël ne peut pas attendre qu’un mollah appuie sur le bouton pour se voir anéanti. Il n’est pas difficile de conclure que du point de vue d’Israël, pays crédité d’un arsenal nucléaire, il ne peut y avoir question d’une approche dissuasive (comme celle de la France pendant la guerre froide). Premièrement parce que tout en disposant, probablement, d’une option « deuxième frappe » le pays (28.000 km²) sera anéanti si d’aventure une bombe est lâchée sur lui. La bombe d’Hiroshima (puissance équivalente à 14.000 tonnes de TNT) a tué instantanément 140.000 personnes et a détruit (onde de choc, effet thermique, impulsion électromagnétique, radiations) toute forme de vie dans un cercle de 100 km de rayon. La géographie d’Israël est telle qu’une bombe larguée sur Tel Aviv détruirait toute forme de vie jusqu’à Beyrouth et Amman si sa puissance dépasse les 20.000 ou 30.000 tonnes de TNT (valeurs courantes pour ceux qui ont réussi à les fabriquer. L’Europe ne fera jamais rien pour assurer l’existence d’Israël, car elle (comme la France) ne fait rien pour arrêter les projets nucléaires de l’Iran. Comme la Russie et la Chine n’ont rien fait pour arrêter les activités militaires nucléaires Nord Coréennes.

Ce qui ne laisse pas beaucoup de solutions à Israël car le choix se circonscrit (c’est le propre des vieux peuples que de puiser dans leur histoire …) entre « Samson (1)» et « Massada (2)».

Bref, on revient au texte du journaliste cité en premier dans cet article. Mais ils se sont tous pressés à souhaiter la Bonne Année à Israël et aux juifs ! Ne devrions-nous pas dire, comme Daladier en rentrant de Munich en 1939 et étant reçu avec enthousiasme par ceux auxquels on promettait la paix en notre temps « oh, les cons » !

Notes :

1- Héros biblique ayant détruit plusieurs milliers de Philistins après avoir été trahi par Dalila.
2- Forteresse, Palais de Hérode sur un piton près de la Mer Morte, où les défenseurs se sont tous suicidés pour ne pas devenir les esclaves des Romains qui occupaient le Royaume d’Israël et qui venaient de détruire le deuxième Temple.

Note de la Rédaction :

• Nos sources (confidentielles) font état d’un chiffre comparable à celui estimé par l’auteur pour les années 2030… mais nos informateurs nous indiquent que c’est bien en 2007 que ce chiffre est déjà atteint, ce qui explique bien des choses.
Pièces jointes:
Tableau Statistique Immigration en France - tableau%20statistique%20immigration.gif
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - Jewish World Review 12 Sept. 2007 / 29 Elul, 5766
16 septembre 2007, 02:57
Où l'Amérique et l'Irak convergent - Par Caroline B. Glick

Source : Jewish World Review 12 Sept. 2007 / 29 Elul, 5766

url : [www.jewishworldreview.com]

Adaptation française de Sentinelle 5768

Le général David Petraeus et l'ambassadeur en Irak Ryan Crocker ont prévu depuis longtemps que leurs témoignages au congrès la semaine passée seraient construits sur deux niveaux.

D'abord, ils nous en ont dit beaucoup sur la nature complexe et stimulante de la guerre en Irak aujourd'hui. Dans leurs présentations, les deux hommes n'ont pas seulement informé le congrès du progrès indiscutable, de fait étonnant que la coalition et les forces irakiennes ont fait au cours des quelques mois passés, depuis que la stratégie de montée en puissance contre l'insurrection a été adoptée. Ils ont aussi souligné l'énormité des défis auxquels font face les USA, et leur coalition et les alliés irakiens en anticipant l'avenir de leur pays.

Les deux hommes n'ont pas livré leurs remarques isolément. Leurs apparitions sur la Colline du Capitole [Siège du Congrès américain, Ndt] sont intervenues sur l'arrière-fond de dénonciations stridentes de Petraeus en particulier, et de la guerre en Irak en général. Ces dénonciations ont été orchestrées par des activistes anti-guerre de Gauche aux poches bien garnies, et des politiciens Démocrates qui marchent apparemment au rythme des tambours ( et des financiers) des activistes.

Les condamnations préventives de Petraeus et la poursuite par des politiciens de Gauche de leurs attaques à l'intérieur des Chambres du Comité a montré la direction troublante que la politique américaine a prise au cours des six années écoulées depuis que les législateurs des deux Partis se tenaient au coude à coude en dehors de l'immeuble du Capitole le 11 septembre 2001, en chantant " G.od bless America " [" D.ieu bénisse l'Amérique ", l'hymne national américain, Ndt]. Et comme les rapports de Petraeus et Crocker sur la situation d'aujourd'hui en Irak, et les perspectives du pays dans l'avenir le montrent clairement, l'adhésion du Parti Démocrate au radicalisme [au sens " gauchiste " du terme, Ndt] a des répercussions stratégiques sur les perspectives de la guerre en Irak et pour l'avenir de la sécurité mondiale sans son ensemble.

Comme l'ambassadeur Crocker l'a expliqué, après 40 ans de tyrannie baathiste, l'Irak a émergé en 2003 telle une société traumatisée et fracturée, qui continue aujourd'hui de se colleter avec des questions d'apparence fondamentale sur son identité et ses aspirations. Sa capacité à répondre à ces questions existentielles, fondamentales, est maintenant limitée par la guerre qui l'assaille. Les forces combattant en Irak cherchent bien sûr à apporter par la force des réponses à ces questions fondamentales - et leurs réponses, ne seront évidemment pas les bonnes pour l'Irak, pour le Moyen-Orient et pour le reste du monde dans son l'ensemble.

Petreaus et Crocker ont expliqué qu'en général, les USA et leurs allies sont confrontés à deux forces ennemies distinctes en Irak aujourd'hui - al Qaïda en Irak et les forces shiites soutenues par les Iraniens. Comme l'étonnant renversement de la situation sécuritaire dans la province d'al Anbar infestée par al Qaïda le montre au cours des quelques mois passés, les forces des USA ont fait de grands progrès contre le premier ennemi. Les USA ont sagement capitalisé sur la désaffection des chefs tribaux à l'encontre de la barbarie d'al Qaïda, et ils ont œuvré avec eux à lancer une offensive contre les forces d'al Qaïda, pour ramener les tribus sunnites dans le processus politique en Irak. Conséquence de cette coopération, le terrorisme et les attaques d'insurrection à Anbar, qui il n'y a pas plus longtemps qu'en décembre dernier était considérée comme " perdue ", ont diminué de quelque 80 %. Des belligérants des tribus ont rejoint les forces de sécurité par milliers. Et pour sa part, le gouvernement central en Irak dominé par les shiites a adopté le renversement sunnite, et apporte une assistance monétaire et autre aux chefs sunnites de la province d'Anbar.

D'un autre côté, il n'y a pas eu diminution, de fait selon Crocker et Petraeus il y a eu une augmentation des attaques dirigées depuis l'Iran dans les mois récents. Pour décrire le rôle de l'Iran, Petraeus a déclaré : " Il apparaît de plus en plus à la fois à la coalition et aux chefs irakiens que l'Iran, à travers l'utilisation des force " al Qods ", cherche à transformer les groupes spéciaux en Irak [milices shiites] en une force du type du Hezbollah pour servir ses intérêts et combattre par l'intermédiaire de ses vassaux contre l'état irakien et les forces de la coalition en Irak ".

La disparité entre les défaites d'al Qaïda et la montée en puissance contre l'insurrection nous apprend quelque chose d'important sur la différence entre des opérations contrôlées par un Etat et des opérations de belligérants non étatiques. Il est vrai qu'al Qaïda en Irak a des liens directs avec la Syrie et l'Iran. Ses chefs ont des liens avec le renseignement syrien. Ses commandants en Irak sont largement dirigés par le Conseil de la Shura d'al Qaïda en Iran, et elle reçoit des armes et des fonds de Téhéran et de Damas.
Mais il demeure une différence majeure entre le parrainage iranien et syrien d'al Qaïda en Irak et le soutien iranien aux milices shiites en Irak. L'Iran et la Syrie considèrent al Qaïda comme un vassal de convenance. Bien que sa guerre en Irak serve son objectif d'empêcher l'Irak d'après Saddam de devenir un Etat stable, cohérent, multi ethnique gouverné suivant la loi, al Qaïda n'est pas une organisation iranienne (ni syrienne). De leur point de vue, sa contribution à l'effort de guerre contre les USA et ses alliés irakiens est valable aussi longtemps qu'elle peut durer.

Au contraire, l'armée du Mahdi de Moqtada Sadr, le parti Dawa et les brigades Badr sont des agents du régime iranien. Et bien sûr le Hezbollah et les groupes spéciaux irakiens font partie intégrante du régime iranien.

Petreaus a noté qu'aussi bien les USA et les Irakiens ont été surpris par la profondeur de l'implication de l'Iran dans la guerre. Mais ils n'avaient pas besoin de l'être. L'Irak et l'Iran, suivant leur compétition historique pour la suprématie dans le Golfe persique et l'islam shiite, ont toujours été liés intégralement et en concurrence. Dans les années 1980, reconnaissant l'hostilité des deux pays à l'encontre des intérêts de la sécurité nationale des USA, l'administration Reagan adopta sagement une politique de double contention à leur égard.

Hélas, en 2003, les USA ont ignoré l'interconnexion des destins des deux pays et ont donc adopté une politique divergente envers eux. Alors qu'ils se confrontaient à l'Irak, ils ignoraient l'Iran. Avec le temps, la politique américaine de négligence de l'Iran a été finalement remplacée par une politique de conciliation. Cette divergence dans la politique américaine envers les deux pays a permis à l'Iran de renouveler sa surenchère traditionnelle pour le contrôle de l'Irak, alors qu'elle prenait des options pour la domination régionale à travers son programme d'armes nucléaires, sa cooptation du régime syrien, l'expansion de son influence militaire et politique sur le Liban via le Hezbollah, et son parrainage de la guerre palestinienne contre Israël.

Les orientations de l'offensive iranienne soulignent l'une des complexités stratégiques les plus fondamentales de toute la bataille en Irak. En particulier, l'Irak n'existe pas isolément. Elle fait partie du monde arabe et islamique. Les pathologies infestant l'Irak post Saddam ne sont pas seulement la conséquence de sont totalitarisme brutal. Ce sont aussi les conséquences des pathologies qui se sont emparées du monde arabe et islamique depuis l'effondrement de l'Empire Ottoman il y a 90 ans. En conséquence, l'objectif américain a toujours été problématique pour guider le développement d'un Irak post Saddam stable et démocratique, gouverné selon la loi, alors que la férule de la botte militaire, du mollah et de l'imam, demeurent à l'ordre du jour dans les pays voisins.

Avec l'ouverture de Petreaus et Crocker sur la reconnaissance du rôle central de l'Iran dans la guerre en Irak, nous voyons pour la première fois admis qu'il est stratégiquement contre-productif de considérer l'Irak isolé de ses voisins. Et l'acceptation de la nature régionale de la guerre en Irak montre l'un des risques centraux inhérents à la stratégie actuelle de contre-insurrection des USA en Irak.

Peut-être que la composante centrale de la stratégie des USA pour stabiliser l'Irak repose dans l'organisation et la formation de ses forces armées et sa police. Alors que la majorité des forces de sécurité d'Irak sont loyales à leurs commandants et au gouvernement central, et soutiennent les forces de la coalition avec qui elles combattent, beaucoup d'unités irakiennes ont été infiltrées par des forces ennemies - avant tout par des membres de milices shiites parrainées par les Iraniens.

Comme Petreaus et Crocker en ont averti la semaine dernière, si le Congrès des USA ou la prochaine administration décident de retirer la prise des efforts conduits par les USA en Irak, les résultats en seront effroyables. Les deux hommes ont prévenu qu'un retrait rapide des forces américaines provoquera certainement la désintégration de ce pays, et on peut faire confiance à l'Iran pour arracher des morceaux clés de l'Irak pour son propre compte. Mais au-delà de cela, un retrait des USA laisserait aussi à la dérive près d'un demi million de forces armées et entraînées par les USA, qui chercheront sans doute ailleurs de nouveaux parrains.
Les implications de la désintégration des forces irakiennes pour la sécurité régionale et de fait mondiale sont terrifiantes à imaginer et les ramifications de la politique d'une telle éventualité sont claires. Si les USA organisent une sortie rapide du pays, la meilleure chose à faire serait d'arrêter la formation et l'armement de l'armée irakienne.

Cela nous amène au danger stratégique implicite dans l'hostilité brute et l'irrationalité stratégique de la Gauche américaine contre tout ce qui est lié à la campagne d'Irak, qui a été exprimé si ouvertement au Congrès et dans les médias " libéraux " aux USA [au sens de la Gauche américaine, Ndt]. Quand un ancien chef responsable au Congrès, comme le Président du Comité des Relations Internationales de la Chambre, Tom Lantos, préfère rabaisser Petraeus et appeler à un retrait rapide des forces des USA et à un " sursaut diplomatique " impliquant des négociations avec la Syrie et l'Iran, plutôt que d'accepter les responsabilités de la direction mondiale des USA en temps de guerre mondiale, il est clair que quelque chose d'horrible est arrivé au Parti Démocrate.

Comme le "Wall Street Journal" l'a formulé mardi dernier, la Gauche dure, qui semble avoir été catapultée à la direction du Parti Démocrate, " considère la politique non pas comme une lutte en cours, mais comme un compétition finale ". Le journal poursuivait : " Dans ces termes nouveaux, la politique publique n'est plus sujette à débat, à discussion et à désaccord sur des opinions et des interprétations concurrentes. Au lieu de cela, l'opposition est réduite au statut de menteur. Désormais, l'opposition n'a pas seulement tort, mais elle manque de légitimité et de crédit politique. Le but ici n'est pas de débattre, mais de détruire ".

Beaucoup de critiques ont été adressées à juste titre sur la responsabilité du gouvernement Maliki en Irak pour son échec à parvenir à un progrès politique critique qui puisse améliorer les perspectives à long terme de l'Irak d'après Saddam. La compétence gouvernementale est impérative parce que comme Petraeus l'a expliqué : " la source fondamentale du conflit en Irak est la concurrence entre des communautés ethniques et sectaires pour le pouvoir et les ressources ". Petraeus a poursuivi : " la question est de savoir si la compétition a lieu plus - ou moins - violemment ".

Ce qui est remarquable au sujet de la déclaration de Petraeus est que cela peut être également appliqué dans tous les pays. La politique et la guerre sont tous deux liés à la distribution du pouvoir. Ce qui sépare les démocraties des tyrannies et des Etats en échec, c'est que les démocraties déterminent la distribution du pouvoir par la délibération et le débat, alors que les tyrannies et les Etats en échec sont gouvernés sous la férule des armes et la loi de la jungle.

Que le Parti politique aujourd'hui à la tête des deux Chambres du Congrès, et en bonne position pour former la prochaine administration semble avoir écarté cette vérité fondamentale est bien plus dangereux pour l'Irak, le Moyen Orient et de fait le monde entier, que la faiblesse chronique, l'incompétence, le double jeu et la corruption du gouvernement Maliki ou de tout gouvernement suivant.

La stratégie que les USA ont adoptée en Irak, qui a obtenu de tels succès pendant la brève période où elle a été mise en œuvre, est une stratégie à long terme. A moins que les Démocrates ne reprennent leurs esprits, il sera difficile pour quiconque de croire que les USA abandonneront simplement l'Irak et avec elle, leur responsabilité en tant que chef du monde libre au milieu d'une guerre mondiale.

Contribuant à la JWR, Caroline B. Glick est membre senior pour le Moyen Orient du "Center for Security Policy" [Centre pour la Politique de Sécurité] à Washington, DC et rédacteur en chef adjoint du " Jerusalem Post " en anglais.
Acte antisémite
16 septembre 2007, 03:03
Acte antisémite
2007-09-16 11:15:00


C'est sous le choc que les fidèles de Dimona, venus assister à la cérémonie du matin, vendredi 14 septembre, ont découvert deux croix gammées peintes sur les murs de la synagogue.

Le maire de Dimona, Meir Cohen, était présent parmi les fidèles.

« Je suis arrivé à la synagogue et j'ai été terrifié de ce que j'ai vu », a-t-il déclaré.

Il s'est engagé sur le champs à offrir 2000 shekels, de son budget personnel, à toute personne susceptible de lui fournir des informations sur les responsables de ces actes antisémites.

Selon lui, « suite au démantèlement d'une nouvelle cellule néo-nazie en Israël, toutes les souris sortent de leurs trous, et nous devons les combattre ».

Cette affaire fait en effet suite à l'arrestation, samedi 8 septembre, de 8 adolescents néo-nazis à Petah Tikva.

Ceux-ci ont été inculpés par le tribunal de Tel Aviv pour aggression à caractère raciste, conspiration en vue de commettre un crime, distribution de matériel incitant à la haine raciale et possession illégale d'armes.


Tel Aviv :
16 septembre 2007, 03:06
Tel Aviv :
2007-09-12 12:08:00


Les habitants de Tel Aviv pourront bientôt aller faire leurs courses dans un gigantesque centre commercial de 15000 m2.

La municipalité de Tel Aviv vient en effet de publier un plan de construction d'un centre commercial, qui sera situé près du centre Azrieli, dans le quartier du marché des grossistes.

Ce projet entre dans le cadre d'un plan de modernisation de la rue Hashmonaim et de ses alentours.

Un parc de type européen ainsi que 6 immeubles résidentiels seront également créés .

Les voitures y seront interdites de stationner, et des cafés et restaurants ouvriront le long de la rue Kaplan, offrant à ce quartier une nouvelle image.

Face à l'ampleur de ce projet, qui s'est évalué à 1 milliard de dollars, la municipalité de Tel Aviv a décidé de demander une coopération internationale.

A ce jour, nous ne savons pas encore quels pays participeront à cette initiative, ni quand les travaux seront terminés.
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