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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: Nouvelles de France, d'Israël ... et d'ailleurs
07 septembre 2007, 17:12
L’Iran condamné à indemniser des familles de Marines
vendredi 7 septembre 2007

Par AFP

Un juge fédéral américain a condamné vendredi à Washington l'Iran à verser 2,65 milliards de dollars de dommages aux familles de 241 Marines tués au Liban en 1983 dans un attentat qui a visé le quartier général des forces américaines à Beyrouth.

Ces soldats ont péri le 23 octobre 1983 dans l'attentat à Beyrouth où un camion chargé de 19 tonnes d'explosifs a été lancé contre le quartier général des forces américaines.

L'attentat, le plus meurtrier contre des Américains avant les attaques du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, a été attribué au mouvement chiite intégriste libanais Hezbollah, soutenu par l'Iran.

Bien que l'attentat ait eu lieu il y a 20 ans, "il est clair d'après les témoignages (...) que les immenses souffrances endurées ce jour-là ont eu des effets durables sur les plaignants", a conclu le juge Royce Lamberth, d'une cour fédérale de Washington.
Re: Nouvelles de France, d'Israël ... et d'ailleurs
08 septembre 2007, 14:53
Cellule neo-nazie arrêtée à Petah Tikva


Samedi nuit l'embargo a été levé sur l'arrestation il y a un mois de huit adolescents de Petah Tikva qui avaient créé une cellule neo-nazie composée d'immigrants provenant de l'ex-URSS.

Pendant deux ans ils avaient perpétré des agressions racistes en harcelant et maltraitant des dizaines d'étrangers et de jeunes juifs drogués, en profitant de leur faiblesse. Ces agressions avaient lieu autour de la gare routière et du Marché Carmel (Shouk Hacarmel) de Tel Aviv.

L'enquête avait commencé après un acte de vandalisme commis il y a un an contre la synagogue principale de Petah Tikva.

[www.haaretz.com]

Last update - 00:10 09/09/2007

Police arrest eight neo-Nazi teenagers from Petah Tikva

By Roni Singer-Heruti, Haaretz Correspondent

A gag order was lifted Saturday night on the arrest one month ago of eight Petah Tikva teens suspected of running a neo-Nazi cell.

The suspects, aged 17 to 19, confessed to assaulting dozens of people, mainly foreign workers around Tel Aviv's central bus station and Carmel market, causing many of them serious injury.

Another remand hearing will be held Sunday, and the prosecution is expected to submit an indictment in the very near future.

(...)

[www.jpost.com]

Sep 9, 2007 0:36

Police bust Petah Tikva neo-Nazi ring

By REBECCA ANNA STOIL

Police have cracked a neo-Nazi ring composed of immigrants from the former Soviet Union operating in the Petah Tikva area, police announced Saturday night, following the arrests of alleged gang members and the lifting of a gag order on the case.

The arrests followed a more than yearlong investigation by the youth crimes division of the Central District Central Investigative Unit.

Police described the affair as "complex and sensitive," revealing that a group of youths acted on the basis of Nazi ideology.

(...)
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
16 septembre 2007, 15:10
Israël à l'heure d'hiver depuis le 16 septembre.


En conséquence la France, Israël ... et Harissa seront à la même heure jusqu'au dimanche 28 octobre au matin.

[www.israelvalley.com]

16 septembre 2007

Par Israelvalley Desk

Rubrique: Actualité

Heure d’hiver : Depuis ce matin la France et Israël ont la même heure. Selon Mati Ben Avraham : La commission parlementaire de l’Intérieur a tranché : l’hiver prendra le relais de l’été, sans attendre que celui-ci ne pousse son dernier soupir… Privilège des princes!

Il s’agit, vous l’avez compris, de l’entrée en vigueur de l’heure d’hiver. La proposition de loi convient que l’heure d’été sera tributaire des fêtes religieuses du calendrier liturgique hébreu, en prenant en compte 150 jours d’ensoleillement pour le moins.

En conséquent, le début de l’heure d’été a été fixé au dernier vendredi du mois de mars, à deux heures du matin pour s’achever à minuit de la première sortie de shabbat du mois de Tichri (septembre) entre Nouvel an et Kippour.

Si la proposition de loi était adoptée en 2ème et 3ème lecture par le parlement, elle mettra fin à ces joutes récurrentes entre laïques et religieux, qui pimentaient toute fin d’une année et le début de l’autre.

L’étonnant est que ce sont les laïques de la commission parlementaire ad hoc qui ont épousé cette proposition, qui comprend également la mise sur la touche du ministre de l’Intérieur. Il est rare de voir un ministre abandonner aussi facilement l’une de ses prérogatives, surtout quand il s’appelle Meïr Shetrit…

Bien entendu, cette mesure fait rugir le patronat israélien. Il souligne qu’elle se traduira par un manque à gagner d’une part et une dépense énergétique inutile en ces temps de hausse des carburants.

Elle a surtout provoqué l’ire de l’ancien ministre de l’Intérieur, Avraham Poraz. ” Le seul motif à l’introduction précoce de l’heure d’hiver répond à une considération d’ordre politique, à savoir faciliter la vie aux orthodoxes de Chass et du Judaisme de la Tora. Une mesure aberrante, propre à Israël, car ces mêmes courants religieux ne sont pas dérangés par un Kippour à l’heure d’été en France, en Angleterre ou aux Etats-Unis.”

A cela répond le député Meretz Haïm Oren, grand laïque devant l’Eternel : ” Poraz réagit comme un enfant auquel on a enlevé son jouet. Le compromis trouvé met fin, en effet, à des années d’affrontements verbaux entre laïques et orthodoxes. Ce n’est pas la panacée, mais je crois qu’il faut savoir distinguer l’utile du futile pour consacrer notre énergie aux vrais débats de société qui nous opposent au monde religieux orthodoxe.”-

Note : L’heure d’été en Israël est l’une des plus courtes dans le monde occidental. En Europe, elle s’étend de fin mars à fin octobre. Aux USA, elle dure de la mi-mars à 1er novembre. Chez nos voisins, l’heure d’été court de fin avril à début septembre en Egypte, de fin mars à fin septembre au Liban, en Syrie et en Jordanie. -(MBA)
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
16 septembre 2007, 15:50
Article de D. Pipes: "Cours d'Islam accéléré pour l'Amérique"


Version originale anglaise: America's Crash Course On Islam
Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Comment va la «guerre contre le terrorisme»? On pourrait trouver réjouissante l'absence d'opération terroriste réussie de grande envergure contre des Occidentaux depuis les attentats à la bombe de Londres, en juillet 2005. Mais la morosité domine. Par exemple lors d'un récent sondage réalisé par le magazine Foreign Policy auprès de 108 experts américains (dont moi-même), seuls 6% des spécialistes estimèrent que «les États-Unis sont en train de gagner la guerre contre la terreur», contre une écrasante majorité de 84%.

Ce négativisme reflète une double réalité: l'islamisme progresse partout (hors d'Iran), alors que le monde civilisé reste empêtré dans de profondes erreurs – il se fait des reproches pour la haine des Musulmans, il sous-estime et il apaise son ennemi. Plusieurs tendances se font jour:

Des gouvernements négocient avec des organisations islamistes terroristes comme le Hezbollah et le Hamas.
Des institutions de premier plan (les médias, les universités, etc.) acceptent des islamistes non violents parmi les éléments de la solution.
La gauche fait cause commune avec l'islamisme contre leurs opposants capitalistes/judéo-chrétiens.
Mais il y a aussi de bonnes nouvelles, notamment l'approfondissement des connaissances et la propagation de la prise de conscience, par un nombre croissant d'Occidentaux, surtout à droite, de la nature de la guerre et de l'ennemi. Les Américains lisent des livres, regardent des documentaires, suivent l'évolution de l'actualité et s'impliquent activement.

Ainsi, l'expression «guerre contre la terreur», largement acceptée il y a six ans, est maintenant généralement considérée comme obsolète, car elle confond une tactique avec un ennemi (néanmoins, elle reste d'usage faute d'un consensus sur son remplacement).

Et aucun officier supérieur américain ne dirait plus rien aujourd'hui qui ressemble à l'analyse émise par Colin Powell au lendemain du 11 septembre 2001, selon laquelle les attentats terroristes «ne doivent pas être considérés comme l'œuvre des Arabes ou des Musulmans; ce sont des actes de terroristes».

Au lieu de réfuter ces sornettes, les conservateurs débattent d'une question encore pratiquement inexistante avant le 11 septembre et qui mérite une attention particulière en raison de ses implications politiques. Certains considèrent que le monde musulman traverse une crise temporaire et cherchent des moyens de l'aider à moderniser sa religion, afin que les Musulmans puissent s'épanouir. D'autres veulent voir l'Islam comme un culte mortifère irrécupérable et cherchent à interdire l'Islam et à se séparer des Musulmans.

D'une manière plus générale, le débat public constant et intense sur l'Islam a permis aux citoyens d'être beaucoup mieux informés. Avant le 11 septembre, peu d'Américains connaissaient des termes tels que djihad et fatwa, sans parler d'ijtihad, de dhimmitude ou de burqa. Plus rares encore étaient ceux qui pouvaient discuter des versets abrogés du coran ou émettre une opinion sur la nature islamique des crimes d'«honneur». Aujourd'hui, ces thèmes sont abordés avec maîtrise par des blogueurs, des animateurs de tables rondes et même des responsables de la police.


Le rapport du NYPD.


Le mois dernier, par exemple, le New York Police Department (NYPD) publia un rapport impressionnant, intitulé «Radicalization in the West: The Homegrown Threat (Radicalisation en Occident: la menace intérieure), montrant que le terrorisme trouve ses origines dans la pensée d'intellectuels islamiques. D'où vient le processus de radicalisation selon le NYPD? «L'idéologie djihadiste ou salafiste-djihadiste est le moteur qui motive» de jeunes Musulmans nés occidentaux à s'adonner au terrorisme contre leur propre pays.

Il y a six ans, un rapport de police n'aurait pas contenu une telle affirmation et surtout n'aurait pas fait usage de termes tels que «l'idéologie salafiste-djihadiste». Il vaut la peine de relever que le NYPD admet lui-même qu'il a eu besoin de temps pour atteindre ce niveau de sophistication: «Alors qu'auparavant nous aurions situé l'élément initial de la menace au point où un terroriste ou un groupe terroriste aurait projeté un attentat, nous portons maintenant notre attention plus en aval de ce point», au début du processus de radicalisation.


Rabbin Eric H. Yoffie, président de l'Union for Reform Judaism.


En dépit de ces nombreux progrès, les commentateurs libéraux en restent à des déclarations inexactes aux termes desquelles «tous les Américains» seraient affligés d'une «énorme et profonde ignorance de l'Islam» (pour citer le mot tout récent du rabbin Eric H. Yoffie, le président de l'Union for Reform Judaism, s'exprimant de surcroît lors d'une convention islamiste).

L'issue de la «guerre contre le terrorisme», à mon avis, dépendra moins de nouvelles percées en avionique ou de réussites des services de renseignement que du degré de compréhension de la nature de leur ennemi que pourront atteindre les populations civilisées et de leur capacité à s'unir contre lui. Il faut pour cela que les libéraux se souviennent, comme le dit Salim Mansur au Canada, que «la démocratie libérale n'est pas une idéologie moins armée que l'idéologie islamiste». Que nous réserve l'avenir – plutôt le «United We Stand» de 2001 ou plutôt les profondes divisions actuelles?

La réponse à cette question pourrait se révéler décisive. L'histoire me donne des raisons d'être optimiste, car jusqu'à présent les démocraties occidentales se sont toujours imposées. Pour qu'il en soit ainsi une fois de plus, les préparatifs devront inclure l'étude de l'Islam et des Musulmans.
Guerre en Irak : le Bilan
17 septembre 2007, 00:47
Guerre en Irak : le Bilan

Par Marie Meyer et la Rédaction pour Guysen International News.

Dimanche 16 septembre 2007 à 15:33


Le rapport rédigé par le Général Petraeus a suscité de vives réactions parmi les députés américains mais également dans de nombreux pays arabes. Pourtant, Bagdad se dit satisfait de ces conclusions.


À la suite de l’envoi de 30 000 soldats américains supplémentaires en Irak en janvier dernier, il était en effet temps de faire un bilan sur les conséquences de cette nouvelle stratégie.

Le Général David Petraeus, commandant des forces alliées en Irak, s’est chargé de rédiger un rapport pour évaluer l’utilité de ce renforcement militaire, qu’il a présenté devant le Congrès américain le 10 septembre 2007.

"Les objectifs militaires fixés par cette nouvelle stratégie ont été atteints" affirme le rapport.
Selon lui, l’envoi des nouvelles troupes a permis de canaliser la violence qui règne dans le pays et de réduire le nombre d’incidents au cours des trois derniers mois.

Le nombre d’attaques enregistré pendant le mois de septembre a en effet été le plus bas que l’Irak n’ait jamais connu depuis juin 2006.

Le Général David Petraeus a cependant promis de réduire progressivement la présence militaire dans le secteur.
Une brigade de 4 000 soldats devrait ainsi être rapatriée aux États-Unis d’ici décembre. Et à la mi-juillet 2008, les soldats américains ne seront plus que 130 000 en Irak.

Le Général David Petraeus ainsi que l’ambassadeur américain en Irak, Ryan Crocker, a souligné les "succès" remportés depuis janvier par les États-Unis, et a prévenu qu’un retrait intégral et précipité des troupes ne ferait qu’amplifier le pouvoir iranien dans cette région.

Lors de sa déclaration du 12 septembre, le Président américain, George W. Bush, y avait également fait allusion.
Selon lui, le retrait des troupes en Irak permettrait à l’Iran de dominer la région et offrirait aux extrémistes le contrôle de nombreuses ressources énergétiques.

Mais les députés irakiens reprochent aux États-Unis de vouloir rejeter la faute sur des pays tiers, et notamment l’Iran.

Cependant, de manière générale, le gouvernement irakien s’est dit satisfait de ce rapport qui était selon le porte-parole du Parlement, Khalid al-Attiya "bien informé sur les difficultés que rencontre le gouvernement (irakien) dans ses tentatives de stabilisation".

Mais, si ce rapport semble satisfaire Bagdad, il est loin de faire l’unanimité parmi les députés américains et au sein des pays arabes.
En effet, certains de ces pays accusent les États-Unis de servir leurs propres intérêts, économiques et politiques, dans ce conflit. Bouthaina Shaaban, journaliste pour le Asharq Alawsat, écrit que "le rapport Petraeus ne vient illustrer qu’un fait très simple : les États-Unis resteront en Irak aussi longtemps que les réserves de pétroles irakiennes seront exploitables".

Par ailleurs, le dossier irakien est perçu comme l’un des sujets de campagne essentiels pour les futures élections au Congrès.

Les Démocrates se sont dits déçus par les conclusions de ce rapport qui ne leur ont pas permis de se faire autant d’alliés que prévu, notamment du côté républicain.

C’est pourquoi, le représentant démocrate du Missouri, Ike Skelton, s’est adressé au Pentagone, où siègent de nombreux généraux pro-démocrate en se demandant "si la guerre en Irak vaut le coup de sacrifier l’armée américaine et priver alors la nation d’une aide sécuritaire qui pourrait être nécessaire pour contrer d’autres dangers".

De son côté, le sénateur démocrate Harry Reid a, de nouveau, appelé ses confrères républicains à rejoindre le camp démocrate dans sa volonté de mettre en place un retrait des troupes en Irak. "Il me semble clair que cette guerre est aussi la guerre des sénateurs républicains" a-t-il déclaré.

Rappelons qu’une autre date clé a été fixée par le Sénat.

D’ici le 30 septembre, date de la fin de l’année fiscale aux États-Unis, le Sénat devra approuver ou non l’augmentation du budget alloué à la guerre en Irak et en Afghanistan, qui s’élève à 167 milliards de dollars.
À cette occasion, la Maison Blanche pourrait également demander 50 milliards de dollars supplémentaires pour financer les opérations menées depuis janvier.

Stephanie Zenati a contribué à la rédaction de cet article.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 septembre 2007, 00:51
Conférence de la paix :
2007-09-16 16:10:00


Les Israéliens sont surpris : Alors que Mahmoud Abbas se disait près, lors de sa dernière rencontre avec Ehoud Olmert, à "tout faire pour que la conférence de novembre soit un succès", il a récemment annoncé qu'il préfèrerait que cette réunion soit remise à plus tard.

"Nous ne voulons pas répéter l'erreur commise lors du sommet de 2000, lorsque Yasser Arafat avait dû affronter seul les Américains et les Israéliens" a en effet affirmé le chef de l'Autorité Palestinienne. Cette déclaration fait suite à l'opposition de plus en plus marquée de certains pays arabes de participer à cette conférence.

La Jordanie a affirmé que l'ordre du jour n'était pas clair, le Président George W. Bush n'ayant fourni aucune indication quant à son déroulement.

L'Arabie Saoudite a déclaré quant à elle, qu'elle refusait de participer si le statut de Jérusalem ou le sort des réfugiés n'était pas discuté.

Enfin, l'Egypte estime que les pays arabes ne sont pas assez préparés et a averti que la conférence serait susceptible d'aggraver la lutte de pouvoir entre le Fatah et le Hamas.

Devant ce scepticisme croissant, le Président de l'Autorité Palestinienne a indiqué qu'il discuterait du sujet avec Condoleezza Rice, en visite cette semaine dans la région.


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
17 septembre 2007, 12:18
Suite de l'affaire Mohammed al-Dura

L'armée israélienne demande à la chaîne de télévision France 2 de fournir une copie avant montage du reportage tourné il y a sept ans de la mort du jeune palestinien à Gaza. Cette demande ouvre à nouveau un des événements les plus litigieux de la seconde Intifada palestinienne.

L'armée a refusé d'indiquer pour quelle raison elle cherchait à obtenir ce document auprès de France 2. Mais cette demande arrive au milieu d'un conflit juridique en France entre la chaîne de télévision et un organisme de surveillance des médias qui l'accuse d'avoir fabriqué cet événement.

Last update - 18:20 17/09/2007

IDF demands French footage of 2000 shooting of Palestinian boy


By The Associated Press

The Israel Defense Forces has asked a French television network to turn over unedited seven-year-old footage of the shooting death of a 12-year-old Palestinian boy in the Gaza Strip, officials said Monday, reopening one of the most contentious incidents of the second Palestinian Intifada.

The army declined to say why it is seeking the material from the France 2 network. But the request comes during a legal dispute in France between the network and a media watchdog who accuses it of making up the incident.

Viewers around the world were shocked by footage captured by the France 2 network on September 30, 2000, showing the death of Mohammed al-Dura. The images showed the terrified boy and his father, Jamal, cowering in front of a wall amid a furious exchange of fire between Israeli forces and Palestinian militants in the Gaza Strip.

(...)

[www.haaretz.com]

IDF demands uncut al-Dura tape

Sep 17, 2007

By CAROLINE GLICK

[www.jpost.com]


Image extraite du reportage de France 2

Pièces jointes:
aldura-Haa-170907.jpg
Affaire al-Dura : Tsahal demande la version intégrale de la cassette
17 septembre 2007, 12:30
Affaire al-Dura : Tsahal demande la version intégrale de la cassette - Par Jerusalem Post édition française - 17 septembre, 2007

Le 10 septembre, rompant un silence de sept ans sur l'affaire al-Dura, le vice porte-parole de Tsahal, le colonel Shlomi Am-Shalom a envoyé une lettre au correspondant permanent de France 2 en Israël, Charles Enderlin, lui demandant de lui transmettre, avant le 15 septembre, la version intégrale de 27 minutes de l'événement du carrefour Netzarim filmé le 30 septembre 2000.

Enderlin avait choisi de diffuser un extrait de 55 secondes où l'on voyait les forces de Tsahal "tuer" Muhammad al-Dura. Les images avaient rapidement fait le tour du monde, le petit al-Dura devenant le symbole de la lutte palestinienne contre Israël.

En 2006, la rédaction de France 2 avait été attaquée en justice par Philippe Karsenty du site Media-Ratings, qui dénonçait une mise en scène du reportage. Le tribunal correctionnel de Paris, non convaincu par les arguments avancés, avait condamné Karsenty pour diffamation envers la chaîne publique.

A l'époque du procès, l'armée israélienne avait été critiquée pour son silence sur l'affaire par les organisations juives internationales.

Dans sa lettre à Enderlin, Am-Shalom écrit qu'il est de son "devoir de noter que Tsahal n'a jamais reçu le matériel filmé". Selon le colonel, "après une analyse de la scène, y compris de la position des soldats, de la trajectoire de la balle, de l'emplacement du père [Jamal al-Dura] et du fils, du rythme des tirs, de l'angle de pénétration de la balle dans le mur, nous pouvons écarter avec quasi-certitude la possibilité que la balle qui a apparemment touché le jeune garçon et son père ait été tirée par des soldats de Tsahal".

L'armée israélienne a été appelée à commenter la décision de justice contre Karsenty, alors que l'appel de ce dernier doit être étudié par un tribunal français le 19 septembre.
Une Mission Mystérieuse - Israël adresse à l'Iran un signal par un raid furtif en Syrie.
17 septembre 2007, 21:20
Une Mission Mystérieuse

Israël adresse à l'Iran un signal par un raid furtif en Syrie. - Par Dan Ephron et Mark Hosenball - Newsweek, Numéro daté du 24 Sept. 2007 -

Source :
[www.msnbc.msn.com]

Adaptation française de Sentinelle 5768

Peu de choses motivent davantage les porte-parole arabes que l'opportunité de condamner Israël. Pourtant, ils ont été matés quand des avions de guerre israéliens ont volé en profondeur dans l'espace aérien syrien, plus tôt ce mois-ci. La Ligue Arabe a qualifié l'incursion d'" inacceptable ", mais la plupart des gouvernements du Moyen-Orient sont restés cois. Leur absence de soutien à Damas a beaucoup à voir avec la relation étroite de la Syrie et de l'Iran, dont ils craignent la puissance montante. Mais certains officiels et analystes israéliens le perçoivent de façon optimiste, peut-être dangereusement aussi. " Vous pouvez tirer quelque chose de cela, à savoir comment le monde arabe pourrait réagir à une attaque israélienne ou américaine contre des cibles stratégiques en Iran " déclare Yossi Alpher, ancien officiel du renseignement israélien.

Quoi que les avions israéliens aient fait en Syrie, le programme nucléaire de l'Iran - dont Téhéran proclame qu'il est pacifique - ne pouvait que peser lourd dans leur mission. " C'est un rappel tacite à l'Europe et à Washington que s'ils ne prennent pas des mesures plus dures contre l'Iran, Israël pourrait devoir le faire seul ", dit Avner Cohen, expert nucléaire et ancien membre de " l'Institut des Etats pour la Paix ". Le détails de l'opération israélienne demeurent vagues.

L'ambassadeur de Syrie aux Etats-Unis a déclaré à NEWSWEEK que les avions de guerre israéliens ont lancé des munitions dans le désert proche de Dayr az Zawr avant de fuir ; il a promis que sont pays exercerait des représailles d'une façon et au moment de son choix. " Israël ne pourra pas faire ce qu'il fait sans en payer le prix ", dit Imad Moustapha. Mais la censure sans précédent qu'Israël à imposée sur l'opération a alimenté la spéculation sur la cible potentielle, soit une usine de missiles ou de technologie nucléaire de Corée du Nord. (Certaines sources du renseignement américain déclarent ensuite que cette dernière hypothèse est peu fiable). L'histoire de l'opération israélienne semble avoir commencé par des photos aériennes prises par un avion espion ou un satellite. Un ancien officiel américain, sous couvert d'anonymat, a déclaré à NEWSWEEK qu'Israël a montré les images du site du Nord de la Syrie à un très petit groupe d'officiels à Washington le mois dernier, suggérant qu'il faisait partie d'un projet nucléaire en cours avec la participation de la Corée du Nord. Les " Néocons " de l'administration Bush ont depuis longtemps soutenu que Damas essayait d'acheter du matériel nucléaire et que Pyongyang, soupçonné d'avoir vendu des missiles à la Syrie et à l'Iran depuis les années 1990, pourrait être un fournisseur potentiel.

Quand la Corée du Nord a émis une condamnation inhabituellement tonitruante d'Israël la semaine dernière, des partisans de la ligne dure comme l'ancien ambassadeur des USA à l'ONU John Bolton l'ont interprété comme une preuve possible de la participation de Pyongyang dans l'affaire.

Mais les officiels actuels et anciens du renseignement des USA, sous condition d'anonymat, disent qu'ils n'ont vu aucune preuve crédible encore de liens nucléaires entre la Corée du Nord et la Syrie, que ce soit avant ou depuis l'opération israélienne. David Albright, ancien inspecteur des armements en Irak, dit que les allégations soulevées par Bolton ont conduit l'Agence Internationale de l'Energie Atomique à inspecter le petit réacteur de recherche nucléaire et d'autres sites en Syrie en 2003. Il dit que les déclarations sont " sans fondement ". Même Bolton, qui a travaillé comme sous-secrétaire au Département d'Etat en charge du contrôle des armements et de la sécurité internationale, a admis pour' NEWSWEEK qu'alors qu'il était au gouvernement, il n'a jamais vu la preuve que la Corée du Nord partageait la technologie nucléaire avec la Syrie.

Pour Israël, l'éventualité d'un adversaire disposant de l'arme nucléaire pourrait avoir été suffisante pour justifier l'opération. Officiellement en état de guerre avec la Syrie - et l'Iran - Israël a fait serment de ne laisser aucun pays obtenir des bombes nucléaires (bien que l'on considère qu'Israël détient au moins 200 bombes nucléaires dans son installation secrète de Dimona). Au début de l'année, selon une source israélienne bien placée, le Premier Ministre Ehud Olmert a demandé au Président Bush des assurances pour que, si les sanctions économiques et politiques échouaient à conduire l'Iran à fermer ses installations nucléaires, Bush ordonnerait à l'armée des USA de les détruire avant de quitter ses fonctions présidentielles. Bush n'a pas encore donné les assurances selon la source, qui a refusé d'être citée parce qu'elle n'est pas autorisée à parler au nom du gouvernement. La source dit que les Iraniens atteindront le 'point de non retour' dans leur programme d'enrichissement nucléaire à un moment de l'année prochaine.

Des agences de renseignement américaines, au contraire, pensent que l'Iran est encore de deux à huit ans avant de maîtriser la technologie pour fabriquer une bombe. Certains officiels préviennent qu'attaquer l'Iran plongerait les forces américaines dans une autre sale guerre et pourrait s'avérer inefficace, puisqu'on pense que les installations iraniennes sont dispersées à travers le pays et profondément enterrées sous le sol. Pourtant, du point de vue d'Israël, il pourrait bien ne jamais y avoir une Maison Blanche d'un aussi grand soutien. " Il est bien clair que si Israël doit le faire seul, il voudra le faire sous l'œil de Bush sans attendre de voir ce que sera l'attitude politique de la prochaine administration ", dit Alpher. Que les Etats arabes, et le monde, regardent ailleurs la prochaine fois, ce serait trop hypothétique.

Avec Jeffrey Bartholet à Washington - 2007 Newsweek
Le renversement du pouvoir islamiste basé en Iran









Dans les circonstances actuelles, il n’est pas vraiment surprenant de constater l’état de délabrement avancé du socio-économique iranien. La faillite généralisé est complète pour tout observateur impartial et cela malgré les centaines de milliards de dollars issus de la manne pétrolière et gazière.

Pendant 28 ans le pouvoir islamiste, malgré la hausse ces derniers temps des cours du pétrole – ce don du ciel – toute cette extraordinaire richesse a été dilapidée dans des projets antinationaux, par les détournements, par les abus personnels qui n’ont jamais été utilisée pour la modernisation de l’économie, de la production de nos industries, le développement, la prospérité ou le bien-être des populations…

Aujourd’hui l’Iran se trouve au nombre des pays les plus endettés au monde. A l’intérieur, la situation se dégrade dangereusement. Les iraniens sont maintenant, pour de larges couches de la population, confrontés à la famine, à la pauvreté, à la maladie, à la prostitution. Ce qui est proprement hallucinant sous un régime qui a fait de la pureté des mœurs son principe de base. Le principe qui fonde toute sa légitimité…plus de 75% de nos enseignants, ceux-la même qui doivent former les générations montantes, vivent maintenant sous le seuil de pauvreté…

Faut-il enfin insister sur la répression, l’oppression et le climat de peur qui règne d’un bout à l’autre de l’Iran ? Les arrestations, les détentions sans jugement, les camps, les exécutions ?

Sur la méchante scène du théâtre islamiste ce sont les mêmes fantoches, les mêmes marionnettes et même les pires qui s’apprêtent à débiter les mêmes fables et les mêmes bobards aux iraniens.

Depuis le premier jour de la révolution le peuple iranien a été berné, leurré par la démagogie, la ruse et les mensonges d’un régime au cynisme sans pareil.

Et jusqu’à aujourd’hui la politique du régime islamique n’a jamais variée. Elle s’est appuyée sur la désinformation pour manipuler l’opinion et lui faire accepter les plus sanglants sacrifices. A telle enseigne qu’entre la première Guerre du Golfe et la répression l’Iran, est devenue une terre parsemée de cimetières où viennent se lamenter les veuves.

Mais à présent le peuple iranien s’est réveillé, il ne laissera plus abuser. Son sommeil vient de prendre fin et le proche avenir risque de nous réserver bien des surprises…

Les Etats qui aujourd’hui à l’extérieur dialoguent et commercent avec le régime qui usurpe le pouvoir à Téhéran, se trompent lourdement. Ils misent sur le mauvais cheval.
Les satellites de renseignements ne fournissent que très peu de données relatives à l’état de mobilisation des masses populaires iraniennes. Le système Echelon est lui-même inopérant pour capter les conversations qui se tiennent dans les cafés, au Bazar, dans les foyers ou sur les places publiques…

« PARS » en tant qu’organisation à l’avant-garde du mouvement qui se dessine en Iran pour le renversement d’un régime détesté, est beaucoup plus à l’écoute des iraniens que les stratèges en chambre close qui conseillent assez mal beaucoup de chefs d’Etat.

« PARS » a su se donner les moyens d’entendre le murmure qui monte au sein des foules iraniennes. C’est pourquoi nous nous efforcerons par tous les moyens avec l’aide de l’opposition intérieure de renverser le pouvoir islamiste basé en Iran pour établir un régime de droits et populaire.

A notre avis la fin du régime n’est plus loin. Avec tous les indicateurs au rouge et malgré le soutien persistant du monde occidental, les signes de l’agonie se multiplient chaque jour. A nous de jouer et d’être les organisateurs d’un changement inéluctable.

Pour l’instauration de libertés authentiques, d’un régime de la république parlementaire basé sur le multipartisme, pour des institutions véritablement démocratiques… pour cela et plus encore « PARS » doit pouvoir faire entendre sa voix et plaider la cause du peuple d’Iran auprès de l’opinion européenne et auprès de ceux qui assument ses destinées. Je veux parler des dirigeants du monde libre qui font passer les intérêts commerciaux avant le droit du peuple et le respect du droit des personnes…

Pour cela et pour beaucoup d’autres raisons « PARS » doit trouver parmi vous les relais qui feront entendre au monde le bruit du vent de colère qui se lève sur l’Iran. Mais aussi et bientôt les chants de joie et d’allégresse qui salueront l’avènement d’une aube nouvelle et le retour de l’espoir avec la chute des ayatollahs.

Il me reste à vous donner des chiffres et des faits qui parlent d’eux-mêmes et annoncent par leur brutalité que le diagnostic émis par « PARS » n’est que trop exact.

La chute est proche. Elle est pour demain. Elle suivra de peu le pseudo recours aux urnes qui ne parvient plus, définitivement, à masquer la véritable nature d’un régime qui n’a été que trop longtemps le bourreau de l’Iran.





Dr. Armand NOURI

Le président de l'Organisation PARS

Et le comité pour le Renversement



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