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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 septembre 2008, 10:55
Tableau général extrait du Rapport 2007 sur la démographie des populations juives dans le monde publié par
JPPPI, Givat Ram Campus, P.O.B. 39156 Jerusalem 91391 Israel

On peut consulter et télécharger le rapport complet (92 pages en anglais) sur
The Jewish People Policy Planning Institute Annual Assessment 2007, Societal Aspects
Published January 2008
[www.jpppi.org.il]


Pièces jointes:
Tableau JPPPI-rapport 2007-anglais-agrandi.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
24 septembre 2008, 14:47
Un vol Paris-Tel Aviv atterrit après une alerte à la bombe
Reuters 24.09.08 | 20h00

JERUSALEM (Reuters) - Un avion d'El Al assurant un vol Paris-Tel Aviv a atterri sans encombre après une alerte à la bombe selon laquelle al Qaïda pourrait avoir dissimulé une bombe à bord, apprend-on auprès des services israéliens de sécurité.
Tous les passagers ont quitté le Boeing 767 à l'aéroport Ben-Gourion et une fouille de l'appareil a été entreprise.

Selon la chaîne de télévision israélienne Channel Two, l'avion, qui a survolé la Grèce avant d'atteindre Tel Aviv, a été escorté par des appareils des forces aériennes françaises, grecques et israéliennes à la suite de l'alerte à la bombe.

Dan Williams, version française Nicole Dupont

[www.lemonde.fr]

El Al plane receives false bomb threat

Eli Senyor
Published: 09.24.08, 20:53

Paris-Tel Aviv flight escorted into Israeli airspace by IAF jets after bomb threat is received in Paris. IDF inspection of plane reveals no bomb on board
Eli Senyor

An El Al plane arriving in Israel from Paris, France had to be escorted into Israeli airspace by Air Force (IAF) jets after a bomb threat was received for the flight. The Boeing 767 landed safely in Ben-Gurion International Airport.

After the 8 pm landing the plane was inspected by the IDF, which later stated that the bomb threat had been false. It had been received in Paris just a short while after the plane's departure.

In March a Lufthansa flight caused a commotion in Israel's airport after entering the country's territory without proper prior notification. IAF jets were alerted and the plane was brought safely to landing.

Also in March, IAF jets were alerted when an Egyptian helicopter accidentally crossed over Israel's southern border. The jets escorted the craft back into Egypt.

The last known incidents of bombs exploding aboard El Al planes were in 1986. In June, bomb in a suitcase exploded in a plane while it was still on the ground in Madrid, and in April a bomb planted inside a radio blew up during a flight from London but caused only minimal damage.

Hanan Greenberg and The Associated Press contributed to this report

[www.ynetnews.com]

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
25 septembre 2008, 00:54
Surtout rester ZEN !

Pièces jointes:
buy.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
25 septembre 2008, 01:28
La douda,

Le pire dans cette caricature, c'est que c'est vrai.

Et il y a les petits malins qui savent en profiter.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
25 septembre 2008, 14:26
Sarkozy annonce la fin du capitalisme financier et la poursuite de sa politique

Le président de la République n'a pas caché la gravité de la situation ce soir à Toulon. Il s'en est pris durement à un capitalisme financier qui mériterait enfin d'être régulé. Mais, curieusement, il en a tiré la conclusion que la France devait accélérer le train des réformes libérales.

Sacré Nicolas Sarkozy ! Voilà un homme capable de proclamer, dans un même discours, que « le laissez-faire, c'est fini » dans le monde et que la France, elle, doit « accélérer le rythme des réformes » d'inspiration libérale. Curieux propos que celui tenu hier soir à Toulon par le chef de l'État : visiblement inspiré par Henri Guaino, la première partie de son intervention semblait prendre la mesure de la gravité des événements actuels. S'il met en garde contre la peur, Sarkozy reconnaît que le monde fait face à une « crise sans équivalent depuis les années trente ». Découvrant que « l'idée de toute-puissance des marchés » était une « idée folle », il proclame haut et fort « la fin du capitalisme financier » débridé. Bref, il serait urgent d'imposer de « nouvelles règlementations »

On retient alors son souffle. Hélas, peu de propositions concrètes accompagnent cet audacieux diagnostic. Sur la même longueur d'onde que le Medef, Sarkozy promet la fin des « parachutes dorés ». Le président de la République menace les patrons d'une « loi avant la fin de l'année » s'ils ne se mettent pas d'accord pour en finir avec la distribution d'actions @#$%& ou les rémunérations qui ne sont pas liées aux performances économiques réelles des entreprises. Il est aussi question d'imposer de nouvelles règles au système bancaire. Mais Sarkozy n'entre guère dans les détails. Il demeure également flou lorsqu'il en appelle à mettre un terme au « désordre des monnaies » en se référant aux fameux accords de Bretton Woods.

Des mesures, quelles mesures ?
La deuxième partie du discours sera plus décevante. Quelle politique les pouvoirs publics choisiront-ils pour répondre à la récession économique qui menace le pays ? Sarkozy se contente de promettre, la main sur le cœur, qu'aucun épargnant ne perdra « un euro » de ses économies déposées dans les banques. Il s'engage, sans plus de précision, à ce que l'État intervienne si la nouvelle donne du crédit privait de financement l'économie française. « Je n'hésiterai pas à prendre des mesures » si la récession l'emporte, proclame le chef de l'État. On n'en saura pas plus.

Sarkozy est curieusement plus précis lorsqu'il s'engage à poursuivre et même amplifier le « changement » conduit depuis son élection. Après avoir noté que la crise actuelle légitime l'intervention de l'État dans l'économie, le voilà qui fait applaudir de nouvelles et massives réductions d'emplois publics. Il annonce également une réduction du nombre d'échelons des collectivités locales pour faire quelques économies. Le fait que ces collectivités soient aujourd'hui souvent dirigées par la gauche durcira la bataille qu'un tel projet provoquera inévitablement. Pour le reste, Sarkozy s'est limité à un plaidoyer pro domo vantant la politique conduite depuis son élection. Le monde change, la France est sommée de changer, mais Sarkozy demeure égal à lui-même.

Pièces jointes:
cap.jpg
UNE ROUTE BATIE SUR LA REALITE
28 septembre 2008, 20:26
UNE ROUTE BATIE SUR LA REALITE

Caroline Glick, journaliste
THE JERUSALEM POST 25 Sept 2008
[www.jpost.com] 22017398112&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull
Adaptation française de Sentinelle 5768

En écoutant les informations en Israël ces jours-ci, il est difficile d’échapper au sentiment que le discours politique israélien est devenu dangereusement hors sujet.
Prenez l’Iran par exemple. Mardi dernier, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré aux dirigeants des Etats membres de l’ONU : "La dignité, l’intégrité et les droits des Peuples européens et américain sont mis en cause par un petit nombre de gens malhonnêtes appelés sionistes. Bien qu’ils soient une minorité minuscule, ils ont dominé une part importante des centres financiers et monétaires, ainsi que des centres de prise de décision politique de certains pays européens et des USA d’une manière mensongère, complexe et furtive".

Ahmadinejad a alors promis qu’Israël sera bien détruit – pour le bénéfice de l’humanité.
Suite à ces remarques, il a reçu des applaudissements enthousiastes des dirigeants du monde rassemblés à l’Assemblée Générale de l’ONU.

Et comment Israël a-t-il répondu ? Il n’a rien fait en particulier. Et il n’a pas l’intention de faire quoi que ce soit. Cela est apparu clairement au public mercredi quand la nouvelle ambassadrice d’Israël à l’ONU, Gavriela Shalev, a accordé un entretien à la radio de l’armée. En déplorant la réception chaleureuse faite à Ahmadinejad, elle a dit que les dirigeants du monde s’en tenaient simplement à la diplomatie. Elle remarqua que nombre de leurs ambassadeurs lui déclarèrent des choses aimables sur Israël en privé.
La représentante d’Israël à l’ONU consacra la plus grande partie de son entretien à la défense de l’ONU. En fait, elle déclara qu’elle croyait de son devoir non seulement de défendre Israël devant cet organisme mondial, mais aussi de défendre l’ONU devant les Israéliens. Comme elle le formula, son travail est de « corriger l’image de l’ONU aux yeux du Peuple d’Israël ».

La nomination de Shalev à l’ONU a été l’oeuvre de la ministre des affaires étrangères – et présumée premier ministre – Tzipi Livni. Et la vision de son rôle comme ambassadrice d’Israël est strictement en ligne avec ce que Livni perçoit comme le travail des principaux diplomates d’Israël. Ce sont les émissaires du monde en Israël.
Livni a consacré le plus clair de son temps au cours des trois années écoulées, comme ministre des affaires étrangères, à nous dire que l’ONU est notre ami, que les Européens sont nos amis, et que les Européens et les Américains et l’ONU vont s’occuper de l’Iran pour nous. Les Palestiniens sont aussi nos amis.
Alors que les forces antisémites augmentent dans le monde, Livni n’a pas communiqué une seule stratégie politique pour défendre Israël à l’étranger qui n’implique la gentillesse de la part des étrangers. Sa réponse au discours d’Ahmadinejad en a été une démonstration.

La seule chose que la femme qui croit avoir le droit de diriger le pays sans être élue par quiconque, c’est de penser que la réponse d’Israël à l’appel d’Ahmadinejad à notre destruction physique est de faire objection à la demande de l’Iran de rejoindre le Conseil de Sécurité de l’ONU. La seule réponse concrète de Livni à la promesse d’Ahmadinejad de nous annihiler a été d’émettre une directive aux ambassades d’Israël, donnant instruction à nos diplomates de demander à leurs gouvernements de ne pas soutenir la demande de participation de l’Iran comme membre du Conseil de Sécurité.

Livni ne pense pas vraiment que l’Iran est le plus grand défi pour Israël. Pour elle, les Palestiniens le sont, et leur donner un Etat aussi vite que possible, en cédant la Judée et la Samarie (et Jérusalem, bien qu’elle ne le déclare jamais franchement), est la tâche la plus urgente pour Israël. Nous avons besoin d’une solution à deux Etats, et nous en avons besoin maintenant, dit-elle.

Ni Livni, ni ses collègues des Partis Kadima, Travailliste et Meretz, ni ses partisans dans les media israéliens ne se sont jamais souciés de reconnaître le fait troublant et incommode que les Palestiniens ne veulent pas un Etat. Ils veulent détruire Notre Etat.

Ce fait fondamental a été montré clairement – encore une fois – mardi.
Mardi, Livni a pris le temps, sur son agenda chargé de rencontres politiques avec les dirigeants des Partis Travailliste, Shas et Meretz, avec lesquels elle tente de monter un gouvernement sans être élue par quiconque, de rencontrer le négociateur en chef du Fatah, Ahmad Qoreï. Bien que Livni ait refusé de nous dire de quoi elle a parlé, elle a promis que des progrès étaient faits vers l’impératif urgent de former un Etat palestinien.
Mais Qoreï n’était pas aussi enthousiaste. En vérité, il était méprisant à l’égard de Livni, et sur la notion même de coexistence pacifique entre les Palestiniens et Israël. Après la session de négociation, Qoreï déclara à l’Agence Reuters que si les pourparlers en vue de l’abandon de la Judée, de la Samarie et de Jérusalem s’effondraient, les Palestiniens reprendraient la guerre terroriste contre Israël. Selon ses termes : « Si les pourparlers arrivaient à une impasse, que faisons-nous ? Capituler ? La résistance sous toutes ses formes est un droit légitime ».
Pour être parfaitement sûr qu’il comprenait bien Qoreï, le journaliste lui demanda si cela signifiait que les Palestiniens reprendraient leur campagne d’attentats suicide à la bombe contre les Israéliens. Qoreï répondit : « toutes les formes de résistance ».

Nous en étions là, bien sûr, un million de fois auparavant. Il s’agit de la même menace que Yasser Arafat et ses hommes avaient faite – et exécutée – de façon répétée depuis la signature des Accords d’Oslo avec Israël il y a 15 ans. Ils utilisent le terrorisme et la négociation de pair, pour contraindre Israël à donner encore et toujours plus de son territoire. Et ça marche.
Quand Livni entendit les menaces de Qoreï, elle l’aurait appelé pour lui dire qu’elles étaient inacceptables. Il lui répondit qu’elles avaient été sorties de leur contexte. Il s’en balance.

Il savait que Livni ne ferait rien. Au moment même où Livni déclarait que ses remarques étaient inacceptables, elle promettait de continuer à négocier avec lui l’abandon par Israël de la Judée, de la Samarie et de Jérusalem aussi longtemps qu’elle resterait au pouvoir.
Aujourd’hui, Livni et ses collègues des Partis Kadima, Travailliste, Shas et Meretz travaillent avec ferveur pour former un nouveau gouvernement qui continuera de considérer des négociations sans importance mais dangereuses avec les Palestiniens et les Syriens, et à prétendre que les armes nucléaires de l’Iran ne seront pas utilisées contre Israël. Ils mettent en avant que nous avons besoin de la « stabilité politique » qu’ils peuvent nous procurer en cette époque dangereuse.

Les media israéliens confèrent à ces idées fantaisistes leur soutien total. En fait, on leur boucle immédiatement la bouche, en les taxant d’alarmistes ou d’extrémistes, de ceux qui remarquent que le monde est assis bien calé en permettant à l’Iran d’acquérir des armes nucléaires, ou soulignent que les Palestiniens ne veulent pas un Etat.
Ce discours national – qui a été le seul autorisé depuis l’avènement du « processus de paix » avec l’OLP il y a 15 ans – est le tendon d’Achille d’Israël. Jusqu’à ce que le grand public soit mis clairement face à la réalité du monde auquel le pays est confronté, il n’y a aucune chance pour qu’Israël prenne les mesures nécessaires pour se défendre et assurer sa survie.

Comprenant ce fait fondamental, l’ancien chef d’Etat Major Général de Tsahal, le Lt Général (de réserves) Moshe « Bogie » Yaalon a pris l’initiative de dire la vérité au public israélien sur le monde dans lequel nous vivons. Yaalon est l’un des rares personnages de haut vol au sein du panthéon actuel de lumières d’Israël. C’est un honnête homme qui vit selon ses principes, et il ne les infléchit jamais.
La semaine dernière, Yaalon a publié en hébreu un livre intitulé « Plus la route est longue, plus elle est courte ». Yaalon, dont le passage comme chef d’Etat Major fut écourté sans cérémonie par l’ancien premier ministre Ariel Sharon en juin 2005, du fait de son opposition incisive au retrait programmé par Sharon des forces de Tsahal et des civils israéliens de la bande de Gaza, a écrit un livre qui rapporte les faits clairement, de façon crédible et passionnante.

Le titre du livre provient d’un discours que l’ancien commandant de Yaalon, Yoram Yaïr, fit à ses officiers pendant la première guerre du Liban. Yaïr expliqua que les raccourcis ne sont pas forcément meilleurs que de longues routes. En fait, il est souvent préférable de prendre la route la plus longue. Comme le disait Yaïr: « Il y a une longue route qui est courte, et il y a de courtes routes qui sont longues ».
Yaalon utilise l’argument de Yaïr pour démontrer que l’insistance de la Gauche israélienne pour "la paix maintenant", et une solution au conflit arabo-israélien « maintenant », a placé Israël sur une trajectoire stratégique qui ne lui a valu, et continuera de ne lui valoir, que danger et bains de sang.
Les ennemis d’Israël au sein de l’Autorité Palestinienne, du Liban, de la Syrie et de l’Iran considèrent l’insistance d’Israël à trouver des solutions immédiates aux menaces auxquelles il est confronté, comme un signe de l’effondrement de la société israélienne.

En conséquence, toute mesure qu’Israël a prise pour se concilier ses voisins – depuis la reconnaissance de l’OLP et l’accès de Yasser Arafat et de ses légions en Judée, en Samarie et à Gaza ; le retrait du Liban en 2000 et de Gaza en 2005 ; l’échec d’une exécution convenable de la Seconde Guerre du Liban en 2006 ; l’absence d’action contre le régime du Hamas à Gaza depuis 2007 ; l’adoption d’un faux modèle de paix à Annapolis en novembre dernier – ont renforcé leur conviction qu’Israël peut être, et sera détruit.

Yaalon s’étend aussi sur l’effondrement moral de l’élite politique et médiatique d’Israël, et sur l’impact adverse de cet effondrement sur les échelons supérieurs du commandement de Tsahal. L’abandon des valeurs sionistes, et de l’intégrité publique et privée par nos politiciens et nos media a jeté et maintenu Israël sur la voie de l’auto-illusion, où la seule chose qui compte est la gratification immédiate. Les politiciens promettent au public « l’espoir », fondé sur des illusions de paix au tournant, pour gagner leurs bulletins de vote. Les media soutiennent les mensonges des politiciens à cause de l’uniformité de leur idéologie post-sioniste, et de leur refus de reconnaître que leurs exigences populistes pour la paix « maintenant » n’a valu à Israël que guerre et danger.
Le livre de Yaalon est fait en partie de mémoires et en partie de polémiques. Il rappelle aux Israéliens ce qui fait de nous un grand Peuple, digne de sa terre et du privilège de la défendre. Dans le même temps, Il admoneste nos dirigeants ratés qui ont fait suivre au public le chemin stratégique trompeur qui nous met en danger. La plus grande contribution de son livre n’est pas de nous de nous porter un grand pas en avant, mais d’expliquer courageusement et avec acharnement la réalité qui nous environne aujourd’hui, et de montrer au public comment nous en sommes arrivés à notre situation si difficile actuellement.
En se révélant au public, ainsi que ses valeurs et ses convictions, et en juxtaposant sa propre expérience de la direction et son intégrité personnelle comparées à la corruption et à la faiblesse de nos dirigeants politiques et intellectuels, Yaalon dit au public d’une manière très claire qu’il existe une alternative au défaitisme et à l’auto-illusion, et que lui – et nous le public – représentons cette alternative, cette « route plus longue plus courte ».

Livni, le ministre de la défense Ehud Barak et leurs collègues et les media insistent pour que nous ne prenions pas cette route plus longue vers la sécurité et la paix. En fait, ils nient même son existence. Ils tentent de nous convaincre que des élections ne sont pas nécessaires en mettant en avant qu’il n’y a pas de différence entre les Partis politiques aujourd’hui, parce que leur raccourci vers la défaite est la seule voie qui nous serait ouverte.
Nous devons espérer avec ferveur que Yaalon entrera bientôt dans la bataille politique. Comme le Likoud sous la direction de Benyamin Netanyahou, Yaalon est la preuve vivante que Livni et ses petits copains mentent. Il y a de grandes différences entre ceux qui nous dirigeraient, et les voies qu’ils prendraient.

Et la seule voie vers la sécurité est bâtie sur la réalité.
Column One: A road paved on reality
By CAROLINE GLICK
Jerusalem Post - Sep 25, 2008

Listening to the news in Israel these days, it is hard to escape the feeling that the Israeli political discourse has become dangerously irrelevant.
Take Iran for example. On Tuesday, Iranian President Mahmoud Ahmadinejad told the heads of UN member states, "The dignity, integrity and rights of the European and American people are being played with by a small but deceitful number of people called Zionists. Although they are a minuscule minority, they have been dominating an important portion of the financial and monetary centers as well as the political decision-making centers of some European countries and the US in a deceitful, complex and furtive manner."
Ahmadinejad then promised that Israel will soon be destroyed - for the benefit of humanity.
For these remarks, he received enthusiastic applause from the world leaders gathered at the UN General Assembly.
And how has Israel responded? It hasn't done anything in particular. And it has no intention of doing anything in particular.
This point was made clear to the public on Wednesday when Israel's new UN ambassador, Gavriela Shalev, gave an interview to Army Radio. While bemoaning Ahmadinejad's warm reception, she said that the world leaders were probably just being diplomatic. She noted that many of their ambassadors say nice things about Israel to her in private.
Bas du formulaire
Israel's woman at the UN devoted most of her interview to defending the UN. In fact, she said she believes it is her duty not simply to defend Israel to the world body, but to defend the UN to Israelis. As she put it, her job is "correcting the UN's image in the eyes of the people of Israel."
Shalev's appointment to the UN was the work of Foreign Minister - and would-be prime minister - Tzipi Livni. And her view of her role as Israel's ambassador is strictly in keeping with what Livni perceives as the job of Israel's top diplomats. They are the world's emissaries to Israel.
Livni has spent the better part of the past three years at the Foreign Ministry telling us that the UN is our friend, the Europeans are our friends and that the Americans and Europeans and the UN will take care of Iran for us. The Palestinians are also our friends.
As anti-Semitic forces grow throughout the world, Livni has not communicated one single policy for defending Israel abroad that doesn't involve the kindness of strangers. Her response to Ahmadinejad's speech was a case in point.
The one thing the woman who believes that she has the right to lead the country without being elected by anyone thinks that Israel should do in response to Ahmadinejad's call for our physical destruction is to object to Iran's bid to join the UN Security Council. Livni's only concrete response to Ahmadinejad's promise to annihilate us was to issue a directive to Israel's embassies telling our diplomats to ask their host governments not to support Iran's bid for Security Council membership.
Livni doesn't actually think Iran is Israel's greatest challenge. The Palestinians are. And as far as she is concerned, giving the Palestinians a state by handing over Judea and Samaria (and Jerusalem, although she never says it outright), as quickly as possible is Israel's most urgent task. We need a two-state solution and we need it NOW, she says.
Neither Livni nor her colleagues in Kadima, Labor and Meretz, nor her supporters in the Israeli media ever bother to acknowledge the troublesome, inconvenient fact that the Palestinians don't want a state. They want to destroy our state.
This basic fact was made clear - yet again - on Tuesday.
On Tuesday, Livni took time out of her busy schedule of political meetings with Labor, Shas and Meretz leaders with whom she is attempting to build a government without being elected by anyone, to meet with Fatah's chief negotiator Ahmed Qurei. Although Livni refused to tell us what she talked about, she promised that progress was made toward the urgent imperative of forming a Palestinian state.
But Qurei was not so enthusiastic. In fact, he was contemptuous of Livni and of the very notion of peaceful coexistence between the Palestinians and Israel. After the negotiating session, Qurei told Reuters that if the talks toward an Israeli surrender of Judea, Samaria and Jerusalem collapse, the Palestinians will renew their terror war against Israel. In his words, "If the talks reached a dead end, what do we do? Capitulate? Resistance in all its forms is a legitimate right."
Just to make sure he understood Qurei properly, the reporter asked whether that meant that the Palestinians would renew their suicide bombing campaign against Israelis. Qurei responded, "All forms of resistance."
We have been here, of course, a million times before. This is the same threat that Yassir Arafat and his men have made - and implemented - repeatedly since signing the Oslo Accords with Israel 15 years ago. They use terror and negotiations in tandem to squeeze Israel into giving away more and more of its land. And it works.
When Livni heard about Qurei's remarks, she called him and reportedly told him that they were unacceptable. So he said he was taken out of context. No skin off his back.
He knew Livni wouldn't do anything. At the same time that Livni said his remarks were unacceptable, she pledged to continue negotiating Israel's surrender of Judea, Samaria and Jerusalem with him for as long as she remains in power.
Today, Livni and her colleagues in Kadima, Labor, Meretz and Shas are working fervently toward forming a new government that will continue holding irrelevant but dangerous negotiations with the Palestinians and the Syrians, and pretending that Iran's nuclear weapons are not going to be used against Israel. They argue that we need the "political stability" that they can provide us in this dangerous time.
The Israeli media gives these fantasies their full support. Indeed, anyone who notices that the world is sitting back and allowing Iran to acquire nuclear weapons or points out that the Palestinians don't want a state is immediately shot down as an alarmist and an extremist.
This national discourse - which has been the only one permitted in the country since the advent of the "peace process" with the PLO 15 years ago - is Israel's Achilles' heel. Until the general public is set clear on the reality of the world confronting the country, there is no chance that Israel will take the necessary steps to defend itself and ensure that it survives.
Understanding this basic fact, former IDF chief of General Staff Lt.-Gen. (res.) Moshe "Bogie" Ya'alon has taken it upon himself to tell the Israeli public the truth about the world we live in. Ya'alon is a rare bird among Israel's current pantheon of luminaries. He is an honest man who lives by his principles, and he doesn't bend them, ever.
Last week Ya'alon published a book called The Longer Shorter Road in Hebrew. Ya'alon, whose tour of duty as chief of Staff was unceremoniously cut short by former prime minister Ariel Sharon in June 2005 due to his trenchant opposition to Sharon's planned withdrawal of IDF forces and Israeli civilians from the Gaza Strip, has written a book that sets out the facts of life clearly, credibly and passionately.
The book's title is derived from a speech that Ya'alon's commander, Yoram Ya'ir, gave to his officers during the First Lebanon War. Ya'ir explained that short-cuts are not necessarily better than long roads. In fact, it is often better to take the longest route. As Ya'ir put it, "There is a long road that is short and there are short roads that are long."
Ya'alon uses Ya'ir's point to demonstrate that the Israeli Left's insistence on peace "now" and a solution to the Arab-Israel conflict "now" has placed Israel on a strategic trajectory that has brought it, and will continue to bring it only bloodshed and danger. Israel's enemies in the Palestinian Authority, Lebanon, Syria and Iran view Israel's insistence on finding immediate solutions to the threats it faces as a sign that Israeli society is collapsing.
As a consequence, every step that Israel has made toward appeasing its neighbors - from recognizing the PLO and bringing Arafat and his legions into Judea, Samaria and Gaza; to retreating from Lebanon in 2000 and Gaza in 2005; to failing to properly prosecute the Second Lebanon War in 2006; to doing nothing to combat Hamas's regime in Gaza since 2007; to embracing the false paradigm of peace at Annapolis last November - has strengthened their conviction that Israel can and will be destroyed.
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Ya'alon also dwells on the moral collapse of Israel's political and media elite and that collapse's adverse impact on the senior command echelons of the IDF. The abandonment of Zionist values and public and private integrity by our politicians and media has cast and kept Israel on a path of self-delusion, where the only thing that matters is immediate gratification. Politicians promise the public "hope" based on illusions of peace-around-the-corner to win their votes. The media support the politicians' lies both because of the media's post-Zionist ideological uniformity and due to their refusal to acknowledge that their populist demands for peace "now" have brought Israel only war and danger.
Ya'alon's book is part memoir and part polemic. He reminds Israelis of what it is about us that makes us a great people, worthy of our land and privileged to defend it. At the same time, he chastises our failed leaders who have tricked the public into following a strategic path that endangers us. His book's greatest contribution is not in providing a set path forward, but in courageously and unrelentingly explaining the reality that surrounds us today and in showing the public how it is that we have arrived in our current predicament.
In exposing himself, his values and his beliefs to the public, and juxtaposing his own leadership experience and personal integrity with the corruption and weakness of our political and intellectual leaders, Ya'alon is telling the public in a very clear way that there is an alternative to defeatism and self-delusion, and that he - and we the public - represent that alternative, that "longer shorter road."
Livni, Defense Minister Ehud Barak and their colleagues on the Left in the Knesset and the media insist that we not take that longer road to security and peace. In fact, they deny that it even exists. They attempt to convince us that elections are unnecessary by arguing that there is no difference between political parties today, because their short cut to defeat is the only path available to us.
It must be fervently hoped that Ya'alon will soon enter the political fray. Like the Likud under Binyamin Netanyahu, Ya'alon is proof positive that Livni and her cronies are lying. There are great differences between those that would lead us and the paths they would take.
And the only road to safety is the long road that is paved on reality.
caroline@carolineglick.com
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 septembre 2008, 01:14
L'avion de François Fillon échappe de "justesse" à une collision


Un Falcon 900 Dassault, le même modèle que celui mis à disposition du Premier ministre

Le Falcon 900, qui transportait dimanche François Fillon à destination de Villacoublay dans les Yvelines, a suivi une procédure d'urgence pour éviter de justesse une collision avec un avion de tourisme égaré. L'avion, en provenance d'Angers, était en phase d'approche vers l'aéroport militaire quand il a échappé au pire, dimanche vers 17 h 50, au-dessus de la commune de Toussus-le-Noble dans le 78.

Un avion de tourisme monomoteur de type Cessna se trouvait à 60 mètres du Falcon 900 au moment du déclenchement de la procédure d'urgence. "Les deux appareils étaient à la même altitude. Le Falcon était en phase d'atterrissage alors que le Cessna a coupé sa trajectoire en passant devant lui", explique-t-on du côté de la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens, contactée par lepoint.fr.

C'est le TCAS - système d'alerte de trafic et d'évitement de collision - qui a alerté le pilote du Falcon. Le pilote de l'avion militaire a alors évité la collision. "Les passagers du Falcon ont senti une manoeuvre inhabituelle, lorsque le pilote a brusquement accéléré alors qu'il était initialement en train de décélérer.

Mais tout s'est bien passé, il n'y a pas eu de blessé, ni de choc", rassure l'entourage de François Fillon, interrogé lundi par lepoint.fr. Par la suite, le pilote du Falcon 900 a lancé une mesure "Air Prox".

Cette dernière vise à signaler une collision et débouche sur une enquête de l'aviation civile afin d'étudier les circonstances de l'incident.

Un espace contrôlé

Le monomoteur s'est posé comme prévu à l'aérodrome de Pontoise (Val-d'Oise) et le Falcon 900 a atterri à Villacoublay. Pour faire la lumière sur cet incident, le parquet de Versailles a ouvert une enquête de flagrance pour vérifier s'il y a eu ou non infraction à la loi pénale. Cette investigation a été confiée à la fois à la section judiciaire de la gendarmerie de l'air à Paris et à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens qui dépend de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), dans la mesure où cette affaire implique à la fois un avion militaire et un avion civil.

La responsabilité du pilote du Cessna, membre de l'aéro-club Hispano-Suiza de Pontoise, pourrait être engagée. Les enquêteurs se prononceront notamment après avoir pris connaissance des enregistrements de la tour de contrôle. Âgé de 28 ans, il est titulaire de son brevet de pilote privé depuis 2001 - qui a été renouvelé en 2007-, et a près de 130 heures de vol à son actif. Dans la mesure où le jeune pilote volait dans un espace contrôlé, les enquêteurs vont devoir déterminer s'il a bien respecté certaines consignes comme signaler sa présence ou bien prendre attache avec la tour de contrôle si l'appareil est égaré.

D'autre part, selon la DGAC, contactée par lepoint.fr, le pilote du Cessna n'avait pas branché son transpondeur, un appareil électronique permettant d'être connecté en permanence à la tour de contrôle. Or, la mise en marche et l'utilisation de cet appareil est une règle de base pour chaque pilote. Une information que ne confirme pas la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens, soufflant qu'"a priori, tout était en ordre de marche".

Pièces jointes:
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Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 septembre 2008, 04:14
En Falcon pour faire Paris/Angers !
A 18.000 Euro entièrement payé par le contribuable


François Fillon, le premier ministre du gouvernement Sarkozy a utilisé un Falcon 900 pour faire Paris-Angers. C'est tout de même un peu poussé. Il faut moins d'une heure en TGV.....De plus, il parait qu'il s'agissait d'un déplacement privé et pour corser le tout qu'il a failli entrer en collision avec un petit avion de tourisme lorsqu'il était en phase d'approche de l'aéroport. Le pilote a évité de justesse la collision avec le Cessna égaré.


Pièces jointes:
falcon900.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 septembre 2008, 23:46
saviez vous que!!!!!!!!!!!!!!!!!
Charles enderlin avait recu la medaille de la desinformtion en 2007
voici un article a ce propos
[Où sont les Zola, Anatole France, Émile Duclaux, Daniel Halévy, Fernand Gregh, Félix Fénéon, Marcel Proust, Lucien Herr, Charles Andler, Victor Bérard, François Simiand, Georges Sorel, Claude Monet, Jules Renard, Émile Durkheim, Gabriel Monod?

Faux et usage de faux, action en justice du faussaire lui-même contre l’un de ses critiques, engagement, pour tenter d’étouffer l’affaire, d’une haute administration d’Etat (France Télévisions) jusqu’au sommet de l’Etat lui-même (le président alors en exercice) …

Comme le souligne l’ancienne plume du président Bush David Frum dans une récente tribune du National Post, les parallèles entre l’affaire Enderlin et l’Affaire Dreyfus sont effectivement frappants.

Avec néanmoins, signe des temps, d’importantes différences.

D’abord, le faussaire lui-même est effectivement d’origine juive.

Mais surtout, derrière les Richard Landes, Nidra Poller ou David Frum et les quelque Karsenty, Rosenzweig ou Taguieff …

Le silence, du côté de l’intelligentsia et des médias français, est tout simplement… assourdissant!

Extrait :

“Il est difficile de ne pas voir des parallèles avec un autre cas célèbre de faux qui a également impliqué une grande partie des hautes instances del’Etat français — l’Affaire Dreyfus. Comme aujourd’hui, une bonne part du gouvernement français se fit la complice de la fabrication d’un faux anti-sémite. Comme aujourd’hui, les faussaires utilisèrent la loi pour essayer de réduire au silence leur principal critique, Emile Zola. Bien sûr, certaines choses ont changé en un siècle. Enderlin est lui-même juif. Il y a au moins une chose qu’on peut mettre au crédit de l’anti-sémitisme contemporain, c’est qu’il donne sa chance à tous les milieux et à toutes les races pour diffamer les Juifs et l’Etat juif.”

David Frum


Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
01 octobre 2008, 00:36
Affaire Tapie : tout était décidé à l'avance


Avant même l'arbitrage qui a fait polémique, l'ampleur des montants alloués à Bernard Tapie était connue, admet Christine Lagarde entendue devant la Commission des finances de l'Assemblée nationale.

La ministre de l'Economie et des Finances (elle préfère « le » ministre) avait accepté à l'avance les montants exorbitants des indemnités versées à Bernard Tapie et son épouse. C'est ce qui ressort de l'audition de Christine Lagarde par la commission des finances de l'Assemblée nationale mardi 23 septembre. La ministre était interrogée par le socialiste Jean-Pierre Balligand : « Madame, lorsqu'a été décidé le principe d'un arbitrage entre le CDR (dont l'Etat est actionnaire à 100%, NDLR) et la partie adverse, des montants maximaux d'indemnités ont été définis. Avez-vous donné des instructions sur ces sommes ? », demande le député.

La question est importante, puisque les montants maxima en question, 295 millions d'euros pour le préjudice économique et 50 millions pour le préjudice moral, sont gigantesques. Dans un premier temps, Christine Lagarde répond « Non. Je n'ai pas donné d'instruction sur les montants ». Puis, un peu plus tard, se ravise : « lorsque j'ai donné pour instruction aux représentants de l'Etat d'accepter le principe de l'arbitrage, les montants maxima étaient fixés ». C'est donc en connaissance de cause que la ministre a donné ses ordres.

Le résultat final est certes légèrement inférieur : 240 millions pour le préjudice économique (qui va servir à rembourser les dettes du couple Tapie et de ses sociétés), et surtout 45 millions d'euros pour « préjudice moral », plus les intérêts. Le député Jérôme Cahuzac s'indigne : « Savez-vous, Madame, quelle est le montant qu'on a versé à Patrick Dills, condamné à tort pour assassinat et qui a fait 10 ans de prison ? 1 million d'euro ! Croyez vous que le préjudice de Monsieur Tapie soit 45 fois supérieur à celui de Patrick Dills ?». La ministre n'a pas répondu. Selon elle, recourir aux tribunaux de droit commun aurait constitué « un risque bien supérieur pour l'Etat ».

Reste le devenir de cette transaction. Pour les députés UMP, Gilles Carrez en tête, « elle est définitive », puisque l'Etat n'a pas cherché à la faire annuler, sur décision là encore de Christine Lagarde qui affirme « ne pas avoir reçu d'instruction » du président de la République. Le député Nouveau centre Charles de Courson a, de son côté, annoncé un recours en Conseil d'Etat, contre les décisions du gouvernement. « Ce sera une œuvre de salubrité pour l'avenir. » Il est temps.


Pièces jointes:
tapie.jpg
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