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Antisemitisme

Envoyé par sarel 
Re: Antisemitisme
10 avril 2012, 06:07
l'antisemitisme est une force qui est attachee indeliberement aux nouvelles mondiales .
elle n'est pas a part mais au contraire
elle est active avec un but a assouvir
ce qui fait que toutes les raisons dont on se sert n'ont rien a voir avec ce qu'on veut realiser .
et les evenements se presentent et coulent dansla meme direction .
"et le juif restera le juif "
tout le monde tout autant que moi le sait bien
sarel
Re: Antisemitisme
10 avril 2012, 10:41
Re: Antisemitisme
11 avril 2012, 01:26
la douda je suis sur que tu a tout saisi
sarel
Re: Antisemitisme
11 avril 2012, 01:51
PETITION : FRANÇOIS HOLLANDE DOIT DÉSAVOUER EVA JOLY.


La candidate écologiste à l’Elysée, Eva Joly, a dit lundi "signer" une phrase de Nathalie Arthaud (LO), comparant les territoires palestiniens, en particulier Gaza, à des "camps de concentration à ciel ouvert", tout en soulignant qu’il s’agissait d’un "mot très fort".

Gaza "camp de concentration à ciel ouvert" : Eva Joly

La candidate écologiste à l’Elysée, Eva Joly, a dit lundi "signer" une phrase de Nathalie Arthaud (LO), comparant les territoires palestiniens, en particulier Gaza, à des "camps de concentration à ciel ouvert", tout en soulignant qu’il s’agissait d’un "mot très fort".

Peu après, sur son compte twitter, Mme Joly a désarmorcé l’éventualité d’une polémique. "Elkabbach trop content de chercher à me piéger sur Israël et la Palestine : je suis fatiguée des fausses polémiques", a-t-elle écrit.

Mme Joly était interrogée sur Europe 1 au sujet d’une phrase de la candidate de Lutte ouvrière Nathalie Arthaud -dans une lettre adressée au site EuroPalestine-, et qui, d’après le journaliste, affirme que "la politique du gouvernement d’Israël transforme les territoires palestiniens en camps de concentration à ciel ouvert, et en particulier dans le cas de Gaza".

Comme on lui demandait si elle signait ces propos, la candidate EELV a répondu : "oui, je signe cela".

"J’ai visité Gaza avec une délégation du parlement européen en 2008 et, réellement, ils sont enfermés, que ça soit vers la mer -la distance sur laquelle ils sont autorisés à pêcher est extraordinairement réduite-... ils ne peuvent pas cultiver les terres, et la communication est tout à fait contrôlée", a dit Eva Joly.

"Un camp de concentration alors ?", a relancé le journaliste. "C’est un mot très fort. Mais ils sont enfermés", a-t-elle répliqué.

Sur le site d’EuroPalestine, Nathalie Arthaud s’exprime en ces termes : "mon parti, Lutte Ouvrière, a toujours dénoncé avec détermination la politique du gouvernement d’Israël qui pousse les Palestiniens hors de leurs terres, enferme les populations derrière des barbelés et des murs de béton et des kilomètres de barbelés, qui transforment les territoires palestiniens en camps de concentration à ciel ouvert, et en particulier dans le cas de Gaza".

Pour signer une pétition contre ces déclarations, vous pouvez aller sur le site :




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Re: Antisemitisme
11 avril 2012, 02:40
sarel a écrit:
-------------------------------------------------------
> la douda je suis sur que tu a tout saisi
> sarel

La traduction : c'est bon pour l'Alya.
Re: Antisemitisme
11 avril 2012, 11:29
REVIEW - L'Antisémite : le nanar bien nommé de Dieudonné10/04/2012 - 17h22


Alors que la Licra demande déjà son interdiction, zoom sur L’Antisémite, premier film de Dieudonné, aussi mauvais techniquement que problématique idéologiquement.

Tiens le revoilà, lui, le « Banni » du cinéma français. Viré par la porte, il revient par la fenêtre. Depuis une petite semaine, le premier film de Dieudonné se retrouve donc dispo un peu partout sur le net. Son titre : L’Antisémite. Bien, bien, bien… Fort logiquement on a affaire ici à un « nanar de comique télé », qui s’inscrit dans une grande tradition, aux côtés de L’Ame Sœur (de Bigard), T’Aime (De Patrick Sébastien) ou des Cléfs de bagnole (de Baffie).

A ceci près que L’Antisémite repousse encore un cran plus loin l’amateurisme technique inhérent au genre, tout en se doublant d’un fond idéologique parfaitement rance.L'excuse du 25ème degré Ça commence sur les chapeaux de roues avec une reconstitution façon « actualités Gaumont » de la découverte d’Auschwitz par l’armée US à la fin de la guerre. Séquence où les camps sont finalement représentés comme une succursale du Club Med, et les crematoriums comme les restes d’une énorme barbecue party entre déportés. Trois minutes à peine pour se mettre dans le bain du révisionnisme ambiant, en attendant quelques instants plus tard l’apparition en guest de Robert Faurisson présenté ici comme un sympathique historien incompris.

Après ce prologue qui donne le « la », il s’agit de se mettre à raconter une histoire, et non plus de faire n’importe quoi avec la grande, et c’est là que passée l’hallu initiale, les galères commencent pour Dieudonné. Le pitch : poussé par sa femme mourante, un antisémite maladif accepte de se faire psychanalyser par un thérapeute juif. Tout se complique quand on entend le premier « Coupez ! », et que l’argument de base se met à servir de prétexte pour raconter un tournage foireux et apocalyptique.

Noyé sous un fatras méta imbitable (film dans le film, virage mockumentary, doppelganger de Dieudo interprété par lui-même, embardées gonzo-trash), L’Antisémite se met à ressembler à une sorte de Ca tourne à Manhattan parasité par des mises en abîme infernales. Naviguant dans un brouillard fictionnel à couper au couteau, le film reste suffisamment opaque pour brandir à chaque débordement l’excuse du 25ème degré.

De la mise à distance comme principe de, euh, cinéma. Dès lors tout est possible, comme ce moment où Alain Soral, toujours au bon endroit au bon moment, débarque dans le rôle d’un producteur juif flanqué d’un imper en cuir - qui évoque immanquablement ceux de la Gestapo - mais siglé ici d’une étoile de David. Qu’est-ce qu’on se marre, bon sang…Un film inoffensif parce qu'avant tout irregardable Alors voilà ça distribue les taquets dans tous les coins, pas que pour les juifs du coup, non ça serait dommage, Dieudo en garde un peu sous le coude pour la grande famille du cinéma français et, ce qui dans son esprit équivaut à peu près au même, les pédés de tous horizons. 80 minutes, avec ça pour seul programme, forcément ça tire un poil en longueur.

Heureusement tout se finit bien, sur une énorme jam en public où Dieudo et ses copains reprennent le Chaud Cacao d’Annie Cordy (refaçonné ici en « Shoah- nanas ») devant une foule en délire.Les inévitables procès et demandes d’interdiction du film arrivent déjà - la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme a saisi mardi 10 avril le tribunal de grande instance de Paris pour faire interdire le film au motif qu’il serait « raciste et antisémite » -, ainsi que les inéluctables tweet-clash et autres polémiques 2.0 qui vont généralement de pair avec ce genre de package à la con.

Seul hic là-dedans, L’Antisémite est un film absolument inoffensif, parce qu’avant tout irregardable, arythmique, nanardeux tendance interminable (on s’y est repris à cinq fois et deux jours pour en venir à bout). Si c’est de la propagande, alors c’est la plus mal confectionnée de toute l’histoire. Ici on préfère l’envisager comme l’œuvre terminale d’un type complètement cramé, devenu malade à force de tourner en boucle, même plus capable de griffonner une vanne potable sur 90 minutes de show. Pour lui c’est triste ; pour nous, une perte de temps.

Circulez y a plus rien à voir.


hebergeur d'image
Re: Antisemitisme
12 avril 2012, 06:10
la alya ne se traduit pas
elle se decide sans expliquations
si on se sent juif
tres amicalement
sarel
Re: Antisemitisme
13 avril 2012, 00:37
Mémoire courte : il y a cent ans le progrom de Fes, centenaire d’une des pages les plus sombres de l’histoire du judaïsme en terre d’islam – le « tritel » ou le « pogrome de Fez », qui eut lieu du 17 au 19 avril 1912 (30 nissan 5672).


Au début du XXe siècle, le Maroc fraye la chronique internationale. Convoité par la France qui désire étendre son empire colonial sur l’Afrique du Nord, il excite aussi les ambitions de l’Angleterre et de l’Allemagne et faillit être la cause d’une guerre mondiale.

Profitant de l’instabilité politique interne du pays, la France propose son aide militaire au faible sultan Mouley Hafid qu’elle accule à signer en mars 1912 un traité de protectorat. Cet accord fut perçu comme une trahison de la part du « commandant des fideles » qui vendit aux infidèles une partie du dar al-Islam. Presque immédiatement l’étendard de la guerre sainte fut hissé, mais impuissante devant l’armée française, la colère arabe se déversera sur les boucs émissaires traditionnels de la hargne musulmane, la communauté juive, accusée d’avoir attiré les Français au Maroc.



Au lendemain de la « mimouna », qui devait marquer une certaine symbiose sociale entre Juifs et musulmans, des hordes déchainées envahirent le quartier juif de la capitale, et pendant trois jours sans répit le pillèrent, le saccagèrent, et en massacrèrent une partie de sa population. Les scènes de barbarie furent effroyables, enfants et vieillards fauchés, femmes et fillettes violées et des enfants kidnappés. Le plus horrifiant fut sans doute la vision apocalyptique de la fuite effrénée des 12 000 habitants du mellah qui cherchèrent refuge dans la ménagerie du sultan ou ils demeurèrent sans toit, dans une misère pitoyable pendant des semaines.

La catastrophe ne se mesura pas uniquement en pertes humaines et matérielles. L’incendie du mellah allumé par les Arabes détruisit tout un univers et réduisit en cendres des trésors culturels, des oratoires et des bibliothèques, accumulés au fils des siècles par une des communautés les plus anciennes du monde islamique.

Des photographies bouleversantes du drame furent diffusées dans la presse internationale mobilisant le judaïsme mondial comme au temps de l’Affaire de Damas (1840).

Il est significatif que la presse sioniste perçut dans le cataclysme marocain la nécessite impérieuse d’un foyer national juif. Mais, à la différence des pogromes de Kichinev tout récents, le tritel, qui les dépassa peut-être en horreur, n’engendra pas une copieuse production littéraire.

Un regard superficiel donnerait à croire que la tragédie juive de Fès a été oblitérée par les douceurs du Protectorat. Dans l’ouvrage commémoratif que vient de publier aux éditions de l’Institut Ben Zvi, Paul Fenton, professeur à la Sorbonne, montre que la persistance de cette tragédie dans la mémoire collective du judaïsme maghrébin pourrait constituer un des facteurs de l’exode massif des Juifs du Maroc au cours du XXe siècle.

La politique coloniale de la France suscita une confrontation à triple voix, non seulement entre l’Occident chrétien et le Maghreb musulman mais aussi, en raison de ses retombées dramatiques sur la communauté juive, avec le judaïsme nord-africain.

Le recul d’un siècle qui a été témoin de l’extinction des communautés juives du Maghreb, permet d’analyser avec objectivité ce chapitre douloureux de leur histoire.

Son étude montre clairement les complicités machiavéliques du pouvoir chérifien et du gouvernement de Paris pour détourner la fureur inévitable de la population musulmane du colonisateur et du sultan. Enfin, ce dernier n’a pas hésité à sacrifier les plus faibles de ses sujets - la minorité juive.

Une soirée commémorative sera consacrée au centenaire du tritel à l’Institut Ben Zvi, le lundi 16 avril, le lendemain aura lieu une journée de réflexion a l’Université de Bar-Ilan, et le mercredi le Professeur Fenton donnera une conférence en français au Centre de recherche français a Jérusalem.

Paul B. Fenton

Communique de presse Le Centenaire du « tritel » ou le « Pogrome de Fez », 17-19 avril 1912

Paul Bernard Fenton, né en 1951 à Londres, est un orientaliste arabisant et hébraïsant contemporain.

Spécialiste de la pensée juive médiévale et de la littérature judéo-arabe, il enseigne depuis 1997 la langue et la littérature hébraïques à l’université de Paris IV-Sorbonne. Il est également considéré comme une autorité dans le domaine des manuscrits de la guéniza du Caire et de l’art juif. Il dirige en outre la collection « Études sur le judaïsme médiéval » de Brill et est aussi membre statutaire du Laboratoire de l’étude des monothéismes (CNRS).

Il est actuellement en détachement en tant que chargé de recherches auprès du Centre de recherches français à Jérusalem (CNRS).


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Re: Antisemitisme
21 avril 2012, 00:50

Obama: lutter contre la résurgence de l'antisémitisme
Publié le 27 janvier 2012 à 14h21 | Mis à jour le 27 janvier 2012 à 14h21


Le président américain Barack Obama s'est engagé vendredi à lutter avec «Israël et tous ses alliés dans le monde» contre «la résurgence de l'antisémitisme», à l'occasion de la Journée internationale en mémoire des victimes de l'Holocauste.

«En ce jour de souvenir pour ceux qui sont morts dans les camps d'Auschwitz, à Treblinka, de Dachau à Sobibor, nous faisons la promesse de dire la vérité à tous ceux qui nient l'Holocauste», a déclaré le président dans un communiqué.

Barack Obama s'est également engagé à célébrer la résistance des survivants de l'Holocauste et à rester engagé contre toutes les atrocités quotidiennes ainsi que contre ce qu'il a qualifié de «résurgence de l'antisémitisme».

«Aux côtés de l'État d'Israël et de nos alliés dans le monde, nous nous engageons à donner du sens à ces mots: Ne rien oublier. Plus jamais».

Mitt Romney, favori dans la course à l'investiture républicaine pour la présidentielle du 6 novembre, s'est également exprimé en ce jour de 47e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz.

«Au moment où l'État d'Israël est sous la menace de violents terroristes, de tyrans cherchant à se doter de l'arme nucléaire et d'une campagne visant à lui retirer la légitimité d'un État juif, les États-Unis doivent rester unis, épaule contre épaule, avec leur allié dans sa quête pour la paix et la sécurité», a-t-il déclaré dans un communiqué.

Mitt Romney, tout comme les autres candidats républicains, accuse Barack Obama de ne pas soutenir suffisamment Israël, ce que la Maison-Blanche récuse vivement.

Roumanie: assumer l'Holocauste

Le président roumain Traian Basescu a estimé vendredi qu'«assumer la tragédie de l'Holocauste» était «essentiel» pour le développement d'une nation démocratique, dans un message à l'occasion de la Journée internationale à la mémoire des victimes de l'Holocauste.

«Assumer la tragédie de l'Holocauste qui a fait des millions de victimes parmi les juifs à travers le monde, ainsi que les évènements tragiques dont a été victime la communauté juive de Roumanie, représente un élément essentiel pour l'évolution et la maturité d'une nation démocratique», a indiqué le président.

Entre 280 000 et 380 000 juifs roumains et ukrainiens sont morts durant l'Holocauste en Roumanie et dans les territoires alors sous son contrôle, selon un rapport d'une commission d'historiens présidée par le prix Nobel de la Paix Elie Wiesel.

Quelque 25 000 Roms roumains furent aussi déportés et victimes de persécutions, dont 11 000 en sont morts.

«J'exprime ma solidarité avec le peuple juif, ma compassion sincère pour ceux qui ont été sacrifiés par un régime qui a légitimé, en Roumanie aussi, l'exclusion et la persécution des juifs et des Roms», a souligné M. Basescu, alors que Bucarest avait longtemps nié avoir participé au génocide des juifs.

«C'est le devoir de la nouvelle génération de s'impliquer dans les projets éducationnels et législatifs initiés par l'État roumain afin de faire connaître la vérité historique», a conclu le président.

En 2003, la Roumanie a mis en place une commission internationale d'historiens dirigée par M. Wiesel et chargée de faire la lumière sur cette période de son histoire.
Re: Antisemitisme
29 avril 2012, 09:42
"Face à ..." Emission animée par Thomas Simonian. Interview d'Arié Bensemhoun président de la communauté juive de Toulouse qui revient sur les tueries de Toulouse et de Montauban.




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