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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 00:57
Vous avez perdu la rime,

La qen sah'bec a'ssel
Ma telh'shoush el qel
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 01:20
albert

je sais bezef= trop, beaucoup mais c'est pas du tune que je sache, c'est du marocain/algerien.

peut-etre que ca existe en judeo-tunisien...???
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 01:44
En Tune trop = yèsser, genre yèsser a lik HaHaHa !!! Tune reconnais plus tes classiques ou quoi ???


Pièces jointes:
classiques.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 01:51
Nouveau Prison Break Tunisien

Plutôt Hard ! Trop jeunes s'abstenir !

Sur :

[www.dailymotion.com]
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 03:45
Y'a pas que la rime Braham que nous ayons perdu, y'a el mokh zedda.
-La Douda grâce à ton prototype installè Boulevard Voltaire, Bouygues
vient de me contacter. Le projet l'interesse.
Je dois trouver des sponsors pour le BREITPHONE 72-69.
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 04:28
L'histoire exceptionnelle des violons






Durant le concert, les solistes et les musiciens du grand orchestre joueront avec des violons hors du commun, qui ont partagé leur destin avec celui du Peuple Juif.

Ces violons ont été retrouvés presque entièrement détruits, dans le silence de l'enfer, dans les camps libérés et les ghettos vides, à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

Un par un, ces violons ont été rendus à la vie par le luthier Amnon Weinstein et pour la première fois, après un silence de plus de 60 ans, ils se remettront à jouer sous le ciel de Jérusalem.


L'histoire du violon de Motelé


Imaginez un violon serré dans les bras d'un enfant endormi quelque part au pied d'un grand chêne, à la lisière d'une forêt. Voilà une image si paisible que l'on oublie presque que nous sommes en 1944 et que cette forêt est située à la frontière entre l'Ukraine et la Biélorussie.


Les partisans qui trouvent l'enfant endormi apprennent qu'il est le seul survivant d'une rafle organisée par les allemands dans son quartier. Il se nomme « MOTELE ». Avec son violon, il s'était caché puis enfui vers la forêt. La folie du destin voulut que dans cette forêt, se cacha un groupe de partisans juifs du nom de « les groupes juifs de l'oncle Misha ». Sous le commandement d'un dénommé Moshe Gildenman, ce groupe allait bientôt compter un membre de plus : le jeune Motele.


Un jour, Gildenman décide d'envoyer Motele dans la ville située en bas, sur l'autre rive de la rivière « Vrouzt ». Sa mission : se mêler à la foule, le jour du nouvel an et noter les allers et venues des soldats allemands. C'était en effet le seul jour où l'on pouvait circuler librement sans contrôle de papiers. En fait, le rêve complètement fou de Gildenman était de reprendre la ville aux allemands afin de la remettre à l'Armée Rouge dont les canons commençaient déjà à résonner.


Et voilà que le gosse, vêtu de haillons, se retrouve à même la pierre usée du parvis de l'église. Là, mêlé aux mendiants qui viennent quêter l'aumône d'un jour de fête, il joue de son violon. On dirait qu'il rêve les yeux ouverts. Il rêve qu'il est dans le plus beaux des palais, il rêve qu'il est sur la plus prestigieuse des scènes, drapée de ces majestueux rideaux rouges qui fascinent tous les enfants qui vont au théâtre pour la première fois de leur vie.


Soudain, il aperçoit dans la foule qui l'écoute, un officier allemand. Avec son bâton, l'officier lui fait signe de le suivre. Motele se lève et le suit sans dire un mot. Ils arrivent dans une grande bâtisse. Motele comprend bien vite que c'est là que les officiers allemands se réunissent en allant ou en revenant du front qui se rapproche de jour en jour. « Tu joueras ici tous les soirs, et voilà le pianiste qui t'accompagnera », lui dit l'officier.


Chaque soir après sa prestation, Motele reçoit une gamelle de soupe dans la cuisine qui se situe dans la cave de la bâtisse. Dans le dédale des couloirs qui y mènent, Motele remarque une espèce d'entrepôt vide, en mauvais état, avec quelques fissures aux murs qui ne demandent qu'à s'ouvrir… « Il faut absolument que je sorte de là et que j'en parle à mes amis dans la forêt », se dit Motele et c'est sous des cordages nauséabonds entassés dans une charrette, que Motele atteint la rivière. Il la traverse pour rejoindre son groupe et parle des fissures qui parcourent les murs de cette cave.


La suite, vous pouvez sûrement l'imaginer. Mais… peut-être pas tout à fait encore… À partir de ce jour, Motele entre et sort du club des officiers avec sous son bras, le violon dans son étui. Seulement voilà, dans l'étui, il n'y a pas de violon. Le violon, Motele l'a caché dans le vieil entrepôt désaffecté. L'étui, quant à lui, est rempli d'explosifs nécessaires à l'élargissement définitif de ces fissures qui courent par grand bonheur, du bas en haut des murs.


Ce soir, les officiers ont bu plus que d'habitude. Motele en profite pour céder sa place à un violoniste allemand un peu saoul lui aussi et personne ne remarque ce manège. Avec empressement, Motele descend à la cuisine où il doit recevoir sa gamelle. La cuisine est fermée. C'est normal, l'heure est tardive. Le cœur de Motele bat si vite qu'il pourrait battre le rythme de la mazurka qu'il vient de jouer. Le chemin est libre.


Motele dispose les explosifs tels que les partisans lui ont enseigné, allume la mèche et se met à courir non sans avoir pris son violon qu'il avait failli oublier. Dès que l'explosion retentit, Motele court vers le lieu de rencontre, au bout de la grande rue. Dans la pagaille, on ne remarque pas un gosse qui court. Le vacarme des explosions se mêle aux hurlements des sirènes et aux tirs aveugles des soldats allemands. Motele a déjà atteint la rivière qu'il traverse en compagnie de ses amis partisans. Dans ses bras, il serre fort son violon et avant de s'endormir ce soir-là, Motele prend soin d'essuyer la poussière et les cendres sur son bois afin qu'il soit aussi reluisant que d'habitude.


Quelques semaines plus tard, les Allemands battent en retraite et les Russes les poursuivent jusque dans la forêt des partisans. Ce soir, avant de dormir, Motele n'aura pas le temps d'essuyer et de briquer son violon.


Ce soir, il s'endort trop tôt et pour toujours dans une clairière qu'il traverse au mauvais moment pour prévenir un officier russe qui n'avait pas vu les soldats allemands embusqués.


Gildenman, le commandant des partisans, ramasse alors le violon de Motele. Il ne l'essuiera plus et ne le fera plus briller. Après la guerre, c'est avec le violon de Motele que Gildenman rejoint Israël. Bien plus tard, il le donnera à son fils qui à son tour le donnera à son fils.


Durant des dizaines d'années, ce violon au bois usé par le froid et la pluie se retrouve enroulé entre vêtements et couvertures dans la vieille armoire que toutes nos grands-mères semblent avoir achetée au même endroit. Et pourtant, il y a quelques années à peine, par un hasard qui n'arrive peut-être pas par hasard, notre Maître luthier, Amnon Weinstein rencontre le petit-fils de Gildenman et découvre, avec une émotion partagée de tristesse et d'émerveillement, le violon caché dans l'armoire.


Il va falloir des années pour reconstruire le violon de Motele, pour retrouver le même bois, trouver les cordes qui vont avec ce bois. Aujourd'hui, au moment où vous lisez ces quelques lignes, le violon de Motele est en train de revivre et il peut de nouveau jouer. En fait, le violon de Motele est à l'image de tout un peuple. Il a beau être fragile, il vibre encore et il ne s'arrête pas de naître et de renaître...


Quant à nous, nous vous racontons cette histoire car il va bientôt se passer quelque chose d'extraordinaire. Le 24 septembre prochain, quelques jours avant Rosh Hashana, le violon de Motele va, pour la première fois, après plus de 60 ans de silence, se mettre à jouer. Il va jouer la Hatikva au pied même des murailles millénaires de Jérusalem, illuminées de mille feux et lumières, et tout cela, dans les mains fragiles d'un jeune violoniste israélien de 12 ans, l'âge qu'avait Motel et l'âge qu'il aura pour toujours...


Si nous pouvions encore parler à Motele, nous lui dirions peut-être ces quelques mots : « Souvent, tu aimais jouer en fermant les yeux. Tu rêvais alors que tu étais sur une grande scène, quelque part dans une grande capitale d'Europe ou d'Amérique. Et bien sache que ton violon va bientôt jouer sur la plus belle des scènes. Ensemble avec d'autres violons qui, eux aussi, ont survécu à l'enfer, il va jouer une grande symphonie, comme celle que tu rêvais d'interpréter un jour, dans les mains d'un des plus grands violonistes au monde, Shlomo Mintz. Il sera accompagné par un grand orchestre philharmonique au pied des murailles de Jérusalem. Ce sera le couronnement du 60ème Anniversaire de l'État d'Israël.

Oui, Israël existe depuis 60 ans et pour tout dire, tu y es pour quelque chose » ...


"les violons dans les familles de musiciens,des armes chez des résistants a travers les siècles,du courage chez les soldats du monde entier,ainsi que chez les musiciens et les résistants de tous temps; mais la musique juive qui renaît de ses cendres,nous fait penser a la Tora qui continue et se développe dans le monde entier,et qui n'est particulier qu'au peuple juif ." Michel

De mon correspondant en Israël.
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 05:31
Peu de temps après Numéo, Sat2way annonce un nouveau forfait d'accès à Internet par satellite à 2 Mbit/s, au prix de 29,90 euros par mois.

Juste pour te dire que mon Sat2way, trouve sa voie en 3 Mbittes secondes et c'est gratuit.
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 12:30
Bel ahye ou lamouri twil, je presse les citrons pour la première fois de ma vie en 64 ans. Et demain, je coupe les coings.
Je commence à avoir des cloques.
C'est dur. Ma femme veut aussi que je farce la poule.
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 12:36
il existe des presses citrons et des coupes coings pourtant !!!!
Re: LE PTB ET MOI.
02 octobre 2008, 13:21
Breitou

Un bon conseil pour découper aisément les coings !!

Après les avoir bien rincés, mets les dans une cocotte minute , avec un peu d'eau.

Dès la sortie de la première vapeur, éteins et attends que ça refroidisse.

Les coings se découpent maintenant comme des poires.

C'est garanti, je le fais chaque année.

Bonne Confiture.
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