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ISRAEL a 60 ans

Envoyé par Braham 
Re: ISRAEL a 60 ans
24 mai 2008, 14:57
Point de vue

Pourquoi célébrer Israël à Paris ?, par Maurice Lévy

LE MONDE | 23.05.08

'est avant tout à cette question que je voulais répondre en acceptant la présidence de l'association qui se constituait à cet effet. Bien entendu la première réponse était "et pourquoi pas ?" Israël est un pays ami, né dans la souffrance, la douleur et les drames, sur sa terre d'origine et il est somme toute assez normal de manifester son amitié, comme on le fait pour un proche qui fête un événement heureux.


Mais cette première réponse me paraissait un peu courte. Elle ne répondait pas à ceux qui pourraient objecter que s'agissant d'un Etat souverain, avec ce statut particulier d'Etat hébreu et de la situation de non-paix, sinon de guerre, qui existe dans la région, c'était manifester un soutien à Israël qui pourrait paraître excessif à certains ; pas plus qu'elle ne répondait aux objections souvent malhabilement formulées sur le lien existant entre la population juive de France et l'Etat d'Israël.

Le vote de l'ONU puis les reconnaissances successives ont donné à Israël toute sa légitimité. Celle-ci fut contestée par ses voisins et de trop nombreuses guerres ont été nécessaires pour maintenir cet Etat en vie. Mais encore aujourd'hui certains chefs d'Etat osent parler de la destruction de l'Etat d'Israël. Soutenir Israël face à de telles menaces me paraît être une bonne raison de célébrer ce 60e anniversaire pour qu'il y en ait beaucoup d'autres, à l'infini.

Parler d'Israël, c'est parler aussi des Palestiniens, du drame qu'ils vivent et de la nécessité de leur donner à eux aussi le droit de vivre dans la dignité, la paix, le progrès et la prospérité. Encourager le dialogue, la paix, la reconnaissance des uns et des autres dans leur dignité et leur diversité me paraît aussi une bonne raison pour célébrer cet anniversaire et former des voeux de paix durable dans la région.

Israël est un Etat juif. Pourquoi les juifs de France célébreraient-ils cet anniversaire alors qu'ils sont français ? Ne serait-ce pas jeter le trouble, reparler encore de double allégeance ? Ne risque-t-on pas d'attirer encore l'attention sur les juifs et ajouter à l'ambiguïté du lien qui les unit à Israël ? Mes amis les plus proches, certains même dans ma famille, se sont posé et m'ont posé ces questions. Pourquoi ce lien émotionnel souvent très fort avec Israël, son peuple, sa terre ?

Il y a, bien sûr, la spiritualité, la culture juive traditionnelle qui ramènent les juifs à leurs ancêtres, à Abraham, Isaac, Moïse (qui n'a pas connu Israël) et aux récits bibliques et à l'histoire juive. Il y a aussi et peut-être surtout le fait que, pendant deux mille ans, les juifs ont passé leur vie à errer pour fuir les diverses formes d'antisémitisme depuis les expulsions, les pogroms, les massacres, jusqu'au crime absolu, l'inimaginable, qu'a constitué la Shoah. Pour les juifs errants, fuyants, le lien avec la terre d'Israël a été mythique (et pas seulement mystique). Je suis français, j'adore mon pays et je me bats pour son développement, pour la reconnaissance de ses valeurs auxquelles je suis attaché. Je suis fier de mon pays, même si parfois je m'impatiente ou regrette certaines actions. Et une part en moi aime Israël et son peuple courageux et je veux leur dire qu'on les aime, même si parfois on n'est pas d'accord sur tout.

Et s'il fallait une raison de plus de célébrer cet anniversaire, je la trouverais dans la nécessité de parler d'un autre Israël. Pas seulement celui de Tsahal ou de la terreur, ou des roquettes qui tombent sur Sderot ou Ashkelon. De cet Israël qui me subjugue par sa volonté de vie, son imagination, sa modernité.


L'EXPLOIT DE L'INTÉGRATION


Pour que l'on parle et découvre un Israël de la culture, des écrivains de talent à l'humour ravageur ou à l'âme tourmentée ; que l'on découvre un Israël de l'éducation qui a su transformer son système éducatif et se doter d'un des meilleurs enseignements au monde. De l'Israël de la recherche dans la médecine, dans la pharmacie, dans la technologie, dans l'agriculture ; que l'on sache que ce petit pays malgré les efforts de défense, a su réduire ses impôts, financer de grands programmes éducatifs et de recherche. Que l'on parle de cette "Silicon Valley" israélienne où la densité d'ingénieurs, de chercheurs est supérieure à celle de la Californie et qui sait générer de la croissance pour tout le pays ; que l'on découvre que le désert peut reculer grâce aux travaux de chercheurs obstinés, et tant et tant de choses réalisées dans ce pays qui ne peut pas se permettre de ne pas innover, de ne pas inventer, de ne pas progresser. Oui, c'est une bonne raison de fêter le 60e anniversaire de la naissance de l'Etat d'Israël.

Je ne serai jamais complet sur toutes les raisons, mais je veux souligner l'extraordinaire vitalité de sa démocratie, l'indépendance de ses médias et l'impertinence de ses journalistes. Pays de débat permanent qui veut que si l'on met deux Israéliens ensemble, on obtienne trois opinions. Mais le plus extraordinaire des exploits de la société israélienne restera pour moi celui de l'intégration : populations de la Méditerranée, d'Europe du Sud, d'Europe centrale, des pays du Golfe ou d'Afrique et encore d'Amérique ; exceptionnel melting-pot, avec ses trois éléments structurants : la langue que tous devront apprendre, l'armée qui supprime les différences et l'éducation qui offre sa chance à chacun.

Certes, tout n'est pas parfait, mais les progrès sont là tous les jours. Et, dans un monde qui se globalise, cette réalité d'une diversité qui a su s'intégrer est sans aucun doute une bonne raison de célébrer ici, à Paris, le 60e anniversaire de l'Etat d'Israël, d'offrir un message de paix et une invitation à lutter contre tous les racismes.

Maurice Lévy, PDG de Publicis

Article paru dans l'édition du 24.05.08


[lemonde.fr]
Re: ISRAEL a 60 ans
24 mai 2008, 23:42
Israël, 60 ans, l’âge de l’audace


Entretien avec Avraham Burg



"Si je me projette dans un lointain avenir, que dira-t-on de notre génération ? Que nous avions l’occasion de faire la paix et que nous l’avons manquée".



Israël a fêté ses soixante années d’existence. Quel bilan en tirez-vous ?

Si je pouvais dire à mes ancêtres qu’il existe un Etat juif, doté d’universités performantes, d’une économie en pleine croissance, etc., je suis sûr qu’en comparaison avec toutes les autres époques de l’histoire juive, ils croiraient que les temps messianiques sont arrivés ! La partie positive du bilan est impressionnante ! Mais si je me projette dans un lointain avenir, que dira-t-on de notre génération ? Que nous avions l’occasion de faire la paix et que nous l’avons manquée. Que nous pouvions transformer Israël en un pont entre l’Europe chrétienne et le Moyen-Orient musulman, et que nous avons raté cet objectif. Que nous avions entre nos mains de quoi constituer une société modèle et juste, où l’égalité entre riches et pauvres, entre minorité et majorité aurait régné, et que nous n’avons pas réussi.

Pourquoi les cercles de gauche dont vous êtes issu, ceux du "camp de la paix", sont-ils ainsi désillusionnés ?

La situation de la gauche israélienne a ceci de paradoxal que sa rhétorique l’a emporté alors que, politiquement, elle a perdu. Ariel Sharon, Ehoud Olmert et même Benyamin Nétanyahou, les tenants du nationalisme le plus dur, ont fini par se retirer de territoires occupés. Maintenant que nos slogans sont appliqués par ceux qui sont au pouvoir, pourquoi manifester dans les rues ? De plus, force est de constater que, depuis une dizaine d’années, les idées, les formules et les propositions les plus contraires à la paix sont venues de notre propre camp. Ehoud Barak a essuyé un échec personnel avec les négociations ratées de Camp David et de Taba. C’est aussi parmi nous, du travailliste Haïm Ramon, qu’est née l’idée du mur de séparation (la barrière de sécurité)... Comment cela ne laisserait-il pas un goût amer ?

Quelle solution préconisez-vous pour sortir de ce blocage ?

De l’audace. A commencer par des négociations directes avec le Hamas. Dire que c’est là une perspective exaltante, non. Mais de l’expérience qui est la nôtre au Moyen-Orient, je constate que nous autres, Israéliens, finissons toujours par avoir la nostalgie des extrémistes d’hier. Quand nous avons conquis les territoires en 1967, la première chose que nous avons faite c’est d’en expulser tous les partisans du roi Hussein de Jordanie. Puis, au moment où nous commencions à les regretter, c’est l’OLP qui les a remplacés. Quand le Hamas est arrivé, nous nous sommes mis à pleurer après l’OLP. Maintenant que le Hamas est là, si nous ne discutons pas avec lui, qu’est-ce qui se profile derrière ? Al-Qaida, un ennemi plus acharné encore.

Le temps ne joue pas en faveur d’Israël. Pas du tout. Le danger stratégique majeur ne vient ni du terrorisme, ni de l’intégrisme islamique, ni même de la force nucléaire iranienne - tout risque que je me garderais cependant de sous-estimer. Il tient à ce que nous sommes en train de rater la solution de "deux Etats pour deux peuples". Israël a été kidnappé par les colons et la Palestine par le Hamas, qui se retrouvent dans une situation dialectique de partenariat politique. Tous les deux croient à leur manière au "Grand Israël" ou à la "Grande Palestine". Si cela continue ainsi, nous nous précipitons avec la vitesse de l’éclair vers un clash dans lequel nous, les Israéliens, serons contraints d’aller au secours des colons et eux, les Palestiniens, de défendre le Hamas.

Depuis l’indépendance, en 1948, quelle a été l’erreur principale qui, selon vous, a créé le contexte que vous venez de décrire ?

Deux éléments qui ne sont pas que politiques et stratégiques, mais qui ont déterminé notre perception et nos réactions à la réalité du Moyen-Orient. Le premier, c’est celui qui a été le moteur même du sionisme, qui pensait installer un peuple sans terre sur une terre sans peuple. Longtemps, le peuple palestinien n’a tout simplement pas existé à nos yeux. Les Palestiniens demeurent, pour de nombreux Israéliens, de l’ordre de la réalité virtuelle.

Le second élément m’impose de déplacer le regard vers la période antérieure au sionisme, quand la majorité du peuple juif vivait en Europe de l’Est, en Pologne, en Russie, en Galicie, avec une autonomie culturelle assez forte. Au tournant du XIXe et du XXe siècle, la situation a commencé à se dégrader. Une grande partie des juifs a alors émigré aux Etats-Unis. Une petite portion de pionniers est allée sur la terre d’Israël, par choix. Après la Shoah, après l’ouverture des camps de réfugiés en 1948-1949, Israël est passé du statut d’Etat d’élection à celui de pays refuge, ce qui induit deux mentalités différentes.

Par ailleurs, je vois le sort des réfugiés palestiniens, et j’ai beau me dire que je ne suis pas, moi, Israélien, la seule cause de leur malheur, il n’en reste pas moins qu’après soixante ans ils sont plus nombreux à dépendre de l’UNRWA (Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens) qu’en 1948. Même si nous ne sommes pas les seuls responsables du problème, que cette responsabilité nous la partageons avec les pays arabes, il faut au moins en reconnaître symboliquement notre part.

Dans votre livre Vaincre Hitler (Fayard), vous comparez l’Israël d’aujourd’hui à l’Allemagne de Guillaume II, de Bismarck et de Weimar. En quoi une telle analogie est-elle justifiée ?

D’autres équivalences étaient possibles, par exemple avec l’Amérique des pionniers ou la France en Algérie. Pourquoi l’Allemagne ? Parce que c’est en allemand que les deux livres qui ont le plus influé sur le destin des juifs modernes ont été écrits : L’Etat juif, du fondateur du sionisme politique, Theodor Herzl, et Mein Kampf. Parce que c’est en Allemagne qu’a eu lieu la modernisation religieuse, là où le plus grand écrivain en langue hébraïque, Samuel-Joseph Agnon (1888-1970, Prix Nobel de littérature 1966), a travaillé, et c’est de Berlin que Salman Schocken a créé le journal de référence en hébreu Haaretz. Sans parler des philosophes juifs les plus importants comme Franz Rosenzweig et Martin Buber.

Dans cette période qui va de Bismarck à la fin de la République de Weimar, a eu lieu une confrontation violente entre la tendance au libéralisme et un traumatisme national, l’humiliation de la défaite de 1918. A la fin, le traumatisme l’a emporté avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Je pense qu’Israël se trouve aussi écartelé aujourd’hui entre une créativité extraordinaire et un trauma national. Faisons en sorte que l’esprit nouveau l’emporte sur le traumatisme : voilà le foyer de la comparaison.

Vous êtes effectivement très critique sur le caractère envahissant de la mémoire de la Shoah en Israël. N’y en a-t-il pas des usages positifs ?

Sans mémoire, le peuple juif n’existerait tout simplement pas. Mon problème est plutôt la banalisation. Récemment, des religieux ont voulu s’opposer à une Gay Pride à Jérusalem. J’ai vu des jeunes ultraorthodoxes s’affronter aux policiers en leur criant qu’ils étaient des nazis. Que viennent faire les Allemands dans cette histoire ! Il faut absolument extirper cela de l’actualité quotidienne. Voilà pourquoi je ne trouve pas sain de consacrer une date spéciale à la commémoration de la Shoah dans le panthéon national. La sagesse juive veut qu’il y ait un temps pour le deuil et un temps pour la vie : l’essentiel pour la vie et un petit moment pour le deuil. Je dis non à une existence nationale de nécrophiles. Et, dans un esprit juif que je pourrais qualifier de "post-israélien", je propose de joindre le jour de commémoration de la Shoah au jeûne de Tisha béav (le 9 du mois du calendrier hébraïque d’av), la célébration des malheurs de l’histoire juive.

Le sionisme politique s’est voulu une solution à l’antisémitisme. Du coup, le rappel de la Shoah n’en conserve-t-il pas une certaine actualité ?

Je ne partage nullement cette obsession. Le chiffre des incidents, comparé aux quatorze millions de juifs vivant dans le monde, me paraît insignifiant. Bien sûr que l’antisémitisme existe encore, sous la forme d’un mixte bizarre d’antijudaïsme religieux, de xénophobie, d’anti-impérialisme, d’antiaméricanisme et d’anti-israélisme d’extrême gauche. Mais le phénomène contemporain est celui d’une haine généralisée de l’autre, de l’étranger, de l’immigré, de la différence, de l’homosexualité des musulmans et, dans le lot, des juifs. L’antisémitisme est désormais une partie seulement d’un phénomène universel plus global. Revendiquer une spécificité en la matière me paraît stupide.

Que voulez-vous dire, vous qui vous êtes longtemps occupé des relations entre Israël et la diaspora, quand vous affirmez la "fin" ou la "mort" du sionisme ?

Pour la première fois de son histoire, la majeure partie du judaïsme vit dans des démocraties, préservée d’un danger immédiat pour sa survie. Est-ce que le peuple juif peut subsister sans ennemis extérieurs ? Telle est la question principale qui se pose à la modernité juive. Que signifie appartenir à une collectivité qui n’est pas persécutée ? Du reste, si j’avais le pouvoir de faire venir tous les juifs en Israël, je ne l’exercerais pas. Le peuple juif s’est développé sur un mode à la fois singulier et universel. Depuis 1948, il s’est consacré presque exclusivement au local, c’est-à-dire à la construction de l’Etat d’Israël.

Or il est temps de refermer cette parenthèse, car le cosmopolitisme est aussi important pour lui que la souveraineté. Le sionisme est pour certains juifs un livre, voire même la Torah, dont on recommence la lecture à partir du début l’année suivante. Pour moi, ce n’est qu’un chapitre. Quand il est fini, il faut passer au suivant



Avraham Burg, ancien président de la Knesset, ex-président de l’Agence juive (qui œuvre à l’installation des juifs en Israël

Propos recueillis par Nicolas Weill

publié par le Monde
Re: ISRAEL a 60 ans
24 mai 2008, 23:45
Celui qui bénit Israël est béni, celui qui maudit Israël est maudit !


Par Ftouh Souhail

Aujourd’hui nous sommes au premier Shabbat (12 Iyyar 5768) qui se fête après le soixantième anniversaire du « rassemblement » d'Israël et son rétablissement dans le pays de la promesse marquant ainsi une autre étape dans le grand plan divin... le rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé par la bouche de tous ses saints prophètes depuis le commencement du monde.

Aux Juifs premièrement nous félicitons le retour sur la terre d’Israël, car sans Israël le judaïsme ne pouvait survivre aussi longtemps. Nous devons remercier Dieu qui a fait la démonstration de son amour à son peuple élu. Nous devons être reconnaissants que Dieu a fait que la vérité et la justice reviennent enfin sur la terre d’Israël qui a accueilli aujourd’hui le miracle du retour.

Aux pires antisémites au monde, à tous les héritiers d’amalek, nous nous réjouissons de leurs défaites. Promesse tenue n'est-ce pas ? Dieu s'occupera Lui-même des ennemis d'Israël. Ne pas oublier qu'Il a toujours tenu Ses promesses. Qui peut résister à Sa volonté ?

Dieu d’Israël nous le commande : « Celui qui bénit Israël est béni, et celui qui maudit Israël est maudit ! ». Toutes les Nations goutteront à la médecine d'Israël .Dieu punira tous les ennemis de son peuple ! Foncez ne reculez plus devant ces barbares, qui n'ont que la mort et la haine à cultiver!

En réponse à la barbarie, nous devons promouvoir l'amour d’Israël dans le cœur des gens, par des enseignements et des publications qui font connaître "Les Enfants de SION" et la culture davidique.

Nous devons bénir Israël, selon le commandement de l’Eternel, En croyant et en proclamant que le peuple juif est toujours le peuple de D.ieu avec qui D.ieu a fait une Alliance éternelle, à travers d’Abraham, d’Isaac et de Jacob (Ps.105:9-11), En affirmant qu’Israël est au cœur du projet de D.ieu, particulièrement depuis sa création en 1948, avec comme capitale « éternelle et indivisible » Jérusalem.

Nous avons un devoir de participer aux projets concernant la pacification du monde, en investissant notre amour pour Israël. Nous avons une dette infinie envers le peuple juif, pour l’avoir persécuté durant des siècles, pour avoir voulu prendre sa place, pour finalement reconnaître que sans lui, nous ne serions rien. D.ieu en effet, dans sa grande sagesse, a sauver son propre « peuple » - le Peuple juif - afin que nous, les Goyim, les non juifs, qui n’avions aucun droit aux alliances et à la bénédiction divine, puissions y avoir droit : Soyons bénis avec le Peuple juif.

Nous, le reste l’humanité, nous sommes les ramifications rattachées à Israël, et c'est par grâce que nous pouvons être rachetés, sauvés et réconciliés avec Dieu. Nous sommes là aujourd'hui ayant la pleine connaissance de Dieu qui a élu le peuple juif .Si nous aimons Israël, nous serons bénis car Israël reste la source de la pleine bénédiction de toutes les autres nations.

Si nous Aimons VRAIMENT ce peuple et cette nation de manière inconditionnelle, à l’exemple de notre D.ieu :« Je t’aime d’un amour éternel » - Jérémie 31:3, nous devrons être des alliés sûr pour Israël au moment ou il subit de plein fouet à la fois le terrorisme et le jugement critique des nations, par le biais notamment de la désinformation médiatique. Nous devons interpeller les médias, les intellectuels ainsi que l’ensemble des pays du monde et en leur rappelant que « Celui qui bénit Israël est béni ».

Shabatt Shalom, Que l’Eternel protége Israël

Ftouh Souhail, Tunis

souhailftouh@hotmail.com
Re: ISRAEL a 60 ans
27 mai 2008, 01:13
CREATION ou RENAISSANCE de l'Etat d'Israel

A chaque fois que je lis "CREATION...", je sens un petit malaise, parce que ce mot, je relis le Larousse: "Action de créer, de tirer du néant.."
Une identité politique juive du peuple d'Israël sur sa Terre a existé pendant des siècles jusqu'à sa destruction finale par l'empereur Hadrien en 135 de notre ère.

La Révolution Sioniste a mené à la Renaissance de cette Identité après 1813 années, durant lesquelles le peuple dispersé à travers le Monde n'a cessé de rêver à son ancien Pays et de souhaiter sa RENAISSANCE.

Nous écrivons souvent Création (et j'avoue, je l'ai fait aussi) sans penser que cela peut être interprété comme l'apparition spontanée de quelque chose qui n'avait jamais existé auparavant.

Il est vrai que le mot hébraïque, "hakamat ( Médinat Israël)" qu'on utilise aussi, veut dire Etablissement autant que Edification. Personnellement j'aime mieux le mot "TH'YIAT (Médinat Israël)" qui veut dire REVIVISCENCE ou RENAISSANCE.

Ce lien historique entre passé et présent peut nous dispenser de toute apologie dans les controverses avec des dénigreurs (chrétiens, musulmans ou même juifs) quant à notre légitimité sur cette terre.

Alors nous fêtons cette année la 60e année de la Renaissance de l'Etat d'Israël.
Re: ISRAEL a 60 ans
27 mai 2008, 01:48
Ben Gourion a lu la Déclaration d'Indépendance le 14 mai 1948 (5 Iyar, 5708).

Depuis cette date on célèbre Yom Haatsmaout, le Jour de l'Indépendance.

Re: ISRAEL a 60 ans
27 mai 2008, 03:14
Re: ISRAEL a 60 ans
27 mai 2008, 03:33
Re: ISRAEL a 60 ans
28 mai 2008, 11:19
Une photo extraordinaire qui montre le chemin parcouru
Pièces jointes:
60ans.jpg
Re: ISRAEL a 60 ans
28 mai 2008, 11:45
jero, tres belle image, no comment.
Re: ISRAEL a 60 ans
03 juin 2008, 03:14
Hier, Israel a celebre le jour de la LIBERATION de Jerusalem

Voici une photo de la Parade de l'annee passee.

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Pièces jointes:
FLEURS.jpg
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