Ni vierges ni soumises

Oui mais celles de la Place Vendome, ou des Champs Elysées,
ne revendiquent pas la nationalité Française, et elles ne montrent leur bijoux qu'entre copines,
histoire de vérifier laquelle a le mari le plus Frické
Pièces jointes:

Apres le bikini et la bourka, vive le Burkini !!!

[...] "combinaison a capuche couvrant tout le corps [...] destine aux Musulmanes qui souhaitent aller a la plage et a la piscine sans s'exposer aux regards masculins".

[www.lemonde.fr]

On en a quelques unes, Bazooka, des touristes qui se baignent voilées...Faut voir quand elles sortent de l'eau: indécentes de chez indécentes !!

Le burkini,,, Il a osé !!!
Pièces jointes:

pourquoi autant d'acharnement sur les femmes voilees??? Je crois au contraire qu'elles n'ont rien a envier aux femmes juives

lisez les revelations d'une jeune femme juive!!! je prefere le voile auz perruques haha enfin vous fachez pas, c'est juste parce que je voulais mettre ce temoignage c'est tout, n'y voyez rien de mechant, nhebkom barcha


"Tout d'abord, je vais parler des lois concernant la purete rituelle.
La femme est consideree impure (niddah) a partir du 1er jour de ses regles, et durant l'accouchement (des qu'une goute de sang apparait), elle peut egalement etre niddah apres une visite chez le gynecologue.

Les lois de niddah: Durant toute la periode des regles, les epoux dorment dans des lits separes, ils ne peuvent se toucher, ils ne peuvent s'assoir sur un meme canape (sauf si c'est un banc en dur, mais en placant un objet entre eux), ils ne peuvent se passer d'objets dans la main, la femme n'a pas le droit de decouvrir son corps ni ses cheveux en presence de son epoux (le mot en hebreu est herva, c'est la awra en arabe), ils ne peuvent avoir de conversations qui pourraient les rapprocher (rester formels)...

La purification: la femme doit attendre que toute coulee de sang s'arrete completement. Quand c'est fait, elle doit compter 7 jours de purete (pendant lesquels elle est toujours consideree comme impure). Ca s'appelle hefsek tahara e hebreu. Le premier jour, elle doit inserer a l'interieur d'elle un petit carre de tissu blanc en coton (qui s'appelle ed bedika) et tourner avec son doigt afin de verifier qu'a l'interieur de la matrice, il n'y a plus de sang. Si c'est propre (=pas de couleur), elle insere avant la tombee de la nuit un autre carre de coton (appele mokh darouk) qu'elle doit laisser a l'interieur d'elle jusqu'a la tombee de la nuit. Si cela est propre egalement, alors elle commence le hefsek tahara.
Ce qui consiste a chaque jour matin et soir inserer le linge de coton dans le vagin et verifier qu'il n'y a aucune tache.
S'il y avait une tache suspecte, elle ou son mari doit apporter soit le sous-vetement avec la tache ou bien le carre de coton A UN RABBIN specialiste des affaires de purete familiale, pour qu'il statue si la couleur etait pure ou non. Si ca l'est, elle continue de compter les 7 jours, si non, elle doit tout recommencer.
Imaginez la barbarie de devoir montrer ce qu'il y a de plus intime a un rabbin.
Bref, si elle a reussi a compter les 7 jours de purete, elle doit ensuite se preparer pour se rendre au mikveh, le bain rituel. Il y a tout une liste d'actions a faire afin de rendre son corps pur pour le mikveh, en gros tu passes une heure dans un bain tres chaud a t'astiquer le corps car rien ne doit interferer entre la peau et l'eau.
Ensuite tu vas au mikveh, c'est un bassin aux mesures specifiques contenant de l'eau de pluie. Il y a la une dame qui regarde si tes immersions sont bien faites ou pas, et elle dit "casher" a chaque fois si ca l'est. Ensuite tu dis une benediction, et voila, tu es pure pour ton mari.
Tu es obligee d'avoir un rapport sexuel la nuit du mikveh.
Ne croyez pas que ces lois sont le fait d'une poignee d'extremistes, car meme des non pratiquants pratiquent au moins les lois de purete familiale.


L'education:
Garcons et filles ne sont PAS encourages a etudier les matieres profanes. En general, profane= francais, anglais et maths. Pas d'histoire, pas de geographie, pas de litterature (absolument interdit)... Rien.
Les garcons etudient dans un heder, ce qui correspond a l'ecole primaire. Les matieres principales sont le kodesh (=les matieres religieuses). Un peu de francais et de maths, c'est tout. Au niveau college, ils rejoindront la yeshiva (qui comporte des sections a partir du niveau college jusqu'a adultes non maries, pour les maries, ca s'appelle kollel), ou il n'y aura plus de profane enseigne.
Pour les filles, elles apprennent egalement a 90% les matieres religieuses (lecture de la Torah, apprentissage des lois juives, apprentissage des prieres, lecture des psaumes, par contre interdiction formelle d'etudier le Talmud car les femmes n'y ont pas le droit).
La scolarite des filles se termine en general vers 17 ans ou le mariage commence alors a leur etre propose. Certaines suivent des formations pour devenir institutrice, nurse ou autres, mais ce ne sont quasiment jamais des formations officielles.
N'oubliez pas que les Juifs pratiquants ont en general leurs propres ecoles privees et bien sur l'ensignement y est choisi et c'est loin d'etre du niveau d'une universite ou autre vu que la majorite des sciences et litteratures sont bannis.
Evidemment, les ecoles sont non mixtes.
Toute ouverture sur le monde est interdit (pas d'internet, pas de tele, pas de livres, de journaux ni de magazines)... Pas d'amitie avec des non juifs non plus.


Le temoignage:
Une femme n'a pas le droit de temoigner, car elle est consideree comme faible et versatile, et qu'elle n'est pas apte a donner un temoignage.


Les serments:
Si le pere, ou le mari ne veulent pas que la femme prenne un serment, alors elle ne peut le faire. La femme est consideree comme la propriete du pere ou du mari. Pour le mariage, la femme est carrement achetee. Le contrat s'appelle la ketoubah, et il est ecrit dedans la somme d'argent que le mari paie pour avoir sa femme.


Le divorce:
La femme n'a pas le droit de divorcer. Pas du tout. Si le mari ne veut pas donner le divorce (appele guett en hebreu), la femme reste legalement mariee. Meme si le mari l'a completement desertee.
En Israel de nos jours, il y a des dizaines de milliers de femmes dans cette situation. Elles sont appelees agounah.
Elles ne pourront jamais se remarier, a moins que le mari consente de donner le divorce. Mais pour la plupart, ils s'en fichent et vont refaire leur vie ailleurs en laissant epouse et enfants dans le denuement.
A signaler egalement que la femme peut devenir agounah si le mari disparait. S'il n'y a preuve du deces du mari, elle reste agounah a vie.
C'est un vrai probleme social en Israel et dans le monde Juif de par le monde, a tel point qu'il y a des equipes de rabbins qui essaient de persuader les maris de donner le divorce, ou bien des recherches dans le cas de disparition.


La pudeur:
Evidemment la femme juive doit cacher tout ce qui est "herva" (nudite). A un degre moindre que dans l'Islam puisque le cou, les avants-bras et les mollets peuvent etre decouverts (dans le cas des mollets il faut cependant porter des bas assez epais pour ne pas voir la couleur veritable de la peau).
Les femmes ashkenazes (d'Europe de l'Est) se couvrent les cheveux avec une perruque. La plupart d'entre elles se coupent les cheveux a ras (et dans le cas des femmes d'origine hongroises se RASENT la tete).
Les femmes sefarades (des pays arabes) se couvrent avec un foulard."

J'espere que les lecteurs / lectrices assidu/es de ce forum sauront faire preuve de discernement au sujet de certains propos qui y sont tenus...

Avec la chaleur actuelle de 30o et l'humidite insoutenable, meme si j'ai adopte une tenue legere qui n'a rien a envier au Burkini-Camisole de La Douda (La Douda, a propos, avez-vous prevu la bouee de sauvetage pour celles qui pourraient couler a pic ?!), je n'ai pas la force de dissequer et commenter ces incongruites.

Je fais donc confiance a votre sens critique ... et m'en retourne vite fait a mon ventilo ...

Je compatis Bazooka ..la chaleur ambiante le taux d'humidité qui liquéfie ..... mais permettez moi juste de relever ceci :



L'education:
Garcons et filles ne sont PAS encourages a etudier les matieres profanes. En general, profane= francais, anglais et maths. Pas d'histoire, pas de geographie, pas de litterature (absolument interdit)... Rien.


Et c'est comme ca que nous avons des femmes si peu instruites .. qui sont à la tête des labo de recherches..biologie des sciences ..ministres....professeurs, brillantissmes avocates... juges ...soldates gradées etc.....la liste est trop longue et j'ai chaud aussi !
Ah si elles avaient étudiées comme les garçons ....lE PROFANE!!!!

Halouf-kbir tu as su trouver pourquoi on a tant de prix Nobel: parce que nos écoles et nos universités sont desastreuses, ben voyons!!

Pour la suite du ramassis, demande aux femmes juives ce qu'elles en pensent!!

Et n'oublie pas d'aller sur les plages les voir en maillots de bains!

Elles ont les mêmes grades que les mecs dans l'armée et sont aussi brillantes que les hommes dans la vie civile.

Je confirme la burka n'est pas ma tasse de thé, ni celle de mes copines...et jamais un homme n'aurait le courage, l'audace d'essayer même en rêve d'imposer un truc pareil ou avoisinant à une femme juive.

Je crois que cela tient au fait que chez nous les hommes ont confiance en eux et en leurs femmes.

Il s'y ait cru, déja arrivé,,,
,,, Mais il a pris Un Pan dans quoi ???

Pièces jointes:

Lisez les revélations d'un jeune homme musulman !!!!!

La liberté religieuse et la dignité des femmes
, par Pascal Hilout

Texte publié sur internet pour la première fois en juillet 2004.


En tant que citoyens, nous sommes souvent confrontés à des choix difficiles où plus de justice nous oblige à revoir notre conception de la liberté religieuse. Ce cas de conscience se pose au sujet du foulard et du tchador qui se répandent de plus en plus dans nos rues françaises. Au nom de la liberté religieuse, faut-il tout accepter y compris l’atteinte à la dignité de nos sœurs musulmanes ?

Je suis Français musulman et à cette question je réponds par un non irrévocable ! Non, il n’y a pas de fatalité au pays de la fraternité et il ne devrait pas y avoir de place aux couvertures dégradantes pour la dignité des femmes et des hommes. Une femme en tchador que je croise à la gare Saint Lazare est une insulte pour moi qui suis homme avant d’être musulman. En s’étalant sans pudeur, son habit informe fait de moi un lubrique, un violeur potentiel dont il faut atténuer la libido par un écran de laideur.

Le foulard, la burka et le tchador sont justifiés –sans être efficaces- dans des pays où la dignité des femmes n’est, de toute façon, pas respectée par ceux qui les côtoient et auxquels elles ont donné naissance sans pour autant les éduquer au respect des êtres humains. Mais en France, rien ne justifie l’affichage ostentatoire de ces symboles dégradants. A moins que ce ne soit un cri d’alarme de celles qui ont de moins en moins droit au respect dans nos banlieues transformées en ghettos communautaires livrés à des prêcheurs d’un autre âge, à la solde d’autres régimes que la République. Il se peut fort bien que ce soit tout simplement l’expression criarde de l’oppression commise sous notre regard dans ces territoires perdus de la République où les barbus ont remplacé la culture, le social et le service d’ordre ?

Au nom du respect que je dois à la dignité de ma sœur, de ma mère et de ma femme, je dis non au foulard, non à la burka et non au tchador ! Mes ancêtres, je les respecte. Mais par dessus tout, je respecte les vivants. L’égalité et la justice vis à vis de celles qui ont donné naissance à l’humanité tout entière m’est plus chère que les conceptions et les injonctions archaïques de mes défunts ancêtres.

Si nous n’y prenons pas garde, l’islam archaïque s’immiscera de plus en plus dans nos affaires quotidiennes pour étouffer toute liberté individuelle que nos filles d’origine musulmane commençaient à conquérir et, par petites touches imperceptibles, il empoisonnera nos vies et rendra notre vivre-ensemble de plus en plus difficile.

Au nom de la liberté qu’ils savent très bien détourner à leur profit, certains représentants sournois de cet islam archaïque cherchent à instiller à nos filles un sentiment de culpabilité et à transformer leur corps en sexe, de la tête au pied, en une honte qu’il faut absolument cacher. A la prochaine rentrée scolaire, il y a de fortes « chances » que de sombres arrièristes sacrifient quelques filles pour culpabiliser la République et la rendre responsable de l’exclusion de « pauvres » jeunes filles qui ne veulent rien d’autre que se conformer en « toute liberté » aux prescriptions de leur religion.

Les Maghrébins laïcs et les musulmans de bonne foi, demandent à la République d’être fidèle à ses valeurs, de persévérer et de défendre la dignité de ses filles musulmanes et surtout de ne pas tomber dans ce piège archaïque. Les représentants du peuple ont légiféré et il faut que la nation tout entière résiste. Partout les citoyens doivent aussi se mobiliser dans la lutte contre la misère et pas seulement dans nos banlieues. Le voile et le tchador ne sont qu’une des manifestations de cette misère humaine.

En tant qu’initiateur du nouvel islam dont les piliers sont la Liberté, la Justice et la Paix, ma préférence esthétique penche plutôt pour la présentation et la représentation du corps humain dans toute sa beauté divine. Ainsi, je dis à nos filles : la foi se porte dans les cœurs et non sur la tête. Vous n’êtes pas moins musulmanes en vous habillant comme la majorité de vos concitoyennes, en allant à la piscine avec vos camarades ou en vous baladant en bikini sur nos belles plages ! Le nouvel islam considère tout simplement que le bon Dieu nous a créés nus et que c’est plutôt le regard lubrique de certains barbus archaïques qui transforme le beau en porno. Il est temps qu’ils rééduquent leur regard et se mettent à l’heure européenne.

Comprendront-ils un jour que nous ne sommes ni en Arabie Saoudite ni au premier siècle de l’hégire ?