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Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute
Envoyé par mena
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 13 janvier 2009, 07:47 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Sur la vidéo que vous pouvez voir en activant le lien ci-dessous, le capitaine Avichai Adraee, un officier israélien explique
en arabe ce qui se passe à Gaza et montre l'implication du Hamas qui
se cache au milieu des écoles, des mosquées et des bâtiments de l'ONU. Youtube veut retirer cette vidéo sous prétexte que peu de
gens la regardent.
Alors regardez la plusieurs fois et transmettez-la à toutes vos listes: c'est une occasion si rare pour que la "rue arabe" entende la vérité!
De ma correspondante sur place Papouche Le Drone.
en arabe ce qui se passe à Gaza et montre l'implication du Hamas qui
se cache au milieu des écoles, des mosquées et des bâtiments de l'ONU. Youtube veut retirer cette vidéo sous prétexte que peu de
gens la regardent.
Alors regardez la plusieurs fois et transmettez-la à toutes vos listes: c'est une occasion si rare pour que la "rue arabe" entende la vérité!
De ma correspondante sur place Papouche Le Drone.
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 13 janvier 2009, 10:15 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 4 194 |
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 13 janvier 2009, 13:17 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 100 |
Réunion au sommet à Sdérot (info # 011301/9) [Breaking]
© Metula News Agency
Sdérot, 22h 30, (21h 30 à Paris)
Récit par Ilan Tsadik :
18ème jour. Humour noir, la blague que tous les réservistes se racontaient dans les chars ce matin. Il y a des histoires comme celles-ci dans toutes les guerres :
Un détachement de Tsahal est parvenu au zoo abandonné de Gaza (c’est vrai, cela), ils y ont trouvé un gros lion esseulé qui n’avait visiblement pas mangé depuis plusieurs jours (ça aussi), cela a fait de la peine aux soldats (ça toujours) ; alors, ils ont ouvert la grille et l’ont envoyé dans les rues de Gaza.
Pour ceux qui n’ont pas compris la chute, c’est le moment de se désinscrire de la Ména. La blague n’est pas de nous, elle vient de l’émission satyrique Eretz néhédérette (Un pays extraordinaire), diffusée hier soir.
Les appelés ne l’avaient pas vue, ils avaient autre chose à faire que regarder la télé.
Les réservistes les remplacent et occupent le terrain qu’ils ont conquis, ce qui permet aux unités régulières de progresser, d’ouvrir de nouveaux fronts.
Mais lentement et sûrement, en protégeant au maximum la vie des soldats et des civils. Avec une puissance de feu considérable, celle qui nous avait fait défaut au Liban pour faire rapidement la différence.
Cette nuit, l’infanterie s’est emparée du quartier de Tel Hawwa, une butte parsemée d’immeubles modernes à plusieurs étages (ailleurs, on parlerait d’habitations bourgeoises), située au sud-est de Gaza.
Le fer de lance de Tsahal ne se trouve plus, à cet endroit, qu’à environ un kilomètre du centre de Gaza-city.
Vers 15 heures, les quatre reporters-analystes de l’agence se sont retrouvés pour faire le point à Sdérot. Auparavant, chacun était parti de son côté faire ses emplettes d’informations. Deux d’entre nous ont été autorisés à suivre deux colonnes distinctes à l’intérieur.
Le travail quotidien de Sami El Soudi consiste, invariablement, de 9h à 15h, où lorsqu’il se produit un événement saillant, à téléphoner à ses contacts à Gaza.
Sami est un monument de patience, d’égards et de politesse. Ce n’est pas une couverture, c’est sa personnalité. Jamais il ne flatte ou ne promet de monts et de merveilles qu’il ne pourrait pas fournir. Il parle vrai, ne cache pas sa sensibilité et inspire la confiance.
Le résultat est extraordinaire : ses interlocuteurs lui font des rapports sans qu’il n’ait même besoin de les solliciter. C’est toujours Sami qui doit conclure les conversations, de l’autre côté, on n’a jamais terminé de le mettre au courant, et on a tendance à se répéter.
La question du jour, que nous avons débattue, c’est : est-ce que la phase 3 n’aurait pas déjà commencé ? Mais de manière rampante, sans dire son nom, pour ne pas faire de vagues à l’étranger, mais aussi en Israël, parmi la population arabe.
Ca en a tout l’air : Tsahal ne tient pas en place, elle avance, occupe jour après jour de nouvelles positions, a commencé à s’engager dans des combats de rues dans les zones surpeuplées. Applique une pression terrible sur les poches de miliciens qui résistent encore.
Jusqu’à 18 heures, ils n’ont été capables de lancer "que" 13 roquettes sur Israël. Une quantité qui se réduit de jour en jour et nous rapproche des objectifs officiels de Plomb fondu.
El Soudi rappelle que, si au moment du cessez-le-feu, il reste un pan de Hamas debout, il ne se gênera pas pour crier victoire.
Notre camarade palestinien est allé rôder autour des postes de commentaire des télévisions arabes émettant depuis le côté israélien. Il nous informe d’une nouvelle tendance des media arabes : ils annoncent à leurs téléspectateurs que si les Israéliens n’avancent pas, c’est à cause de la résistance héroïque des miliciens intégristes qui les en empêchent.
Ils ponctuent cette nouvelle ligne de récit en rapportant, sous forme de breaking news, passant sous l’image principale qu’ils diffusent, les communiqués de victoire transmises par les fondamentalistes : "un avion sioniste abattu, trente deux agresseurs tués depuis ce matin, trois chars détruits.
Aujourd’hui, ils ont même annoncé avoir coulé un sous-marin". Nous éclatons de rire, notre tasse de thé chaud à la main.
En faisant le bilan de la guerre, d’après ces sources, les miliciens ont détruit deux fois le contingent expéditionnaire israélien, ils n’ont eu que 25 tués, et tous les 970 morts palestiniens sont des civils.
"Vous pouvez bien rire, mais sur les masses arabes, cela fonctionne à merveille", interrompt El Soudi. Plus le Hamas se désintègre, plus il grandit en importance dans les media arabes. "Si vous ne finissez pas le travail, ils raconteront que les résistants islamiques, avec l’aide d’Allah, ont repoussé la terrible machine de guerre sioniste".
"D’ailleurs, ils ont déjà commencé", continue Sami, "ils appellent ce conflit La guerre de Gaza, et ils le placent dans la lignée des victoires des croyants contre Israël, les Etats-Unis, les Occidentaux et leur culture de la déchéance, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, en Somalie et au Liban".
Mon père ajoute que, si à l’Ouest c’est encore un tabou de parler de guerre des civilisations, sur nombre de media arabes, c’est le thème principal. Et on ne s’y cache pas pour parler de "l’assaut irrépressible lancé par les croyants contre l’Occident". Pour la majorité de ces media, la Guerre de Gaza constitue un élément offensif de la Djihad mondiale.
Ce que j’ai vu à l’intérieur ne ressemble en rien à une victoire, j’y ai passé trois heures avec des commandos sans apercevoir la moindre opposition. Aujourd’hui, l’armée de l’air a pulvérisé au moins douze unités de miliciens.
Selon mon expérience, leur capacité à combattre, leur niveau de préparation et de commandement sont clairement inférieurs à ceux des miliciens du Hezbollah.
Juffa intervient : "Et que veux-tu qu’ils fassent ? Ils combattent à un contre cinq, sans aviation, sans blindés, sans renseignement militaire digne de ce nom, contre une armée gonflée à bloc et au mieux de ses capacités. Personne à leur place ne ferait mieux, c’est déjà pas mal qu’ils n’aient pas encore brandi le drapeau blanc.".
El Soudi revient à la charge : "ils ne sont pas terribles au combat, mais pour piller les convois humanitaires, pour voler l’approvisionnement aux civils palestiniens, ils sont champions ; ce matin", poursuit le chef de la Ména palestinienne, "ils ont à nouveau pillé tout le chargement des camions des convois d’aide, lors de la trêve humanitaire de trois heures".
"Au moins dix témoignages que j’ai recueillis concordent : ils immobilisent les camions et dérobent la quasi-totalité du chargement. Ensuite, ils vendent une partie des vivres destinés à être distribués gratuitement, en dispensent une autre partie à leurs clans, et entreposent le reste dans des caches, afin de maintenir l’image artificielle de la pénurie.
En dépit de ces actes de vandalisme, notre ami médecin à Shifa est formel : l’hôpital ne manque strictement de rien. De plus, l’Egypte a laissé passer un nombre suffisant de médecins volontaires internationaux, dont des spécialistes qui leur faisaient défaut".
"Ce qui leur manque, c’est la place", ajoute Juffa, "s’il n’y avait pas tous ces chefs du Hamas qui se planquent derrière les blessés, cela irait certainement mieux".
Moussa Abou Marzouk, le numéro 2 du Hamas à Damas, a déclaré aujourd’hui que le retrait de Tsahal était une pré-condition au cessez-le-feu bilatéral, que les autres sujets de discorde pourraient être discutés ensuite ; que cette position de son organisation était inamovible, et qu’ils l’avaient communiquée aux Egyptiens.
C’est du suicide. Même Abou Marzouk, considéré généralement comme plus modéré que Mashal, est en train de sacrifier le régime du Hamas à Gaza. Les Israéliens n’arrêteront pas leur opération tant qu’ils n’auront pas obtenu les garanties qu’ils réclament concernant la contrebande d’armes en provenance d’Egypte.
Le chef d’état-major, Gaby Ashkenazi, a déclaré au comité politico-sécuritaire de la Knesset "nous avons encore du travail à faire pour réduire la capacité du Hamas à envoyer des roquettes contre Israël". Ca n’est visiblement pas la posture de quelqu’un pressé de ranger son arme dans l’armoire à fusils.
Et l’Egypte prend tout sont temps : elle a demandé à Israël de n’envoyer Amos Guilad, son négociateur, que dans deux jours, le temps de comprendre précisément la position du Hamas.
"L’Egypte veut l’effondrement du Califat, c’est clair et net. Les Egyptiens feront tout pour prolonger les opérations militaires israéliennes", confirme El Soudi.
"Et la troisième phase de l’offensive, peut-on considérer qu’elle a commencé ?", ramène mon père. "Très probablement", analyse Juffa, "dans peu de temps, tous les réservistes auront été intégrés à l’opération. De qui s’agit-il, sinon de la phase finale ? De toute façon, on en saura plus ces prochains jours, à mon avis, nous ne sommes pas loin de l’effondrement du Hamas", conclut-il.
© Metula News Agency
Sdérot, 22h 30, (21h 30 à Paris)
Récit par Ilan Tsadik :
18ème jour. Humour noir, la blague que tous les réservistes se racontaient dans les chars ce matin. Il y a des histoires comme celles-ci dans toutes les guerres :
Un détachement de Tsahal est parvenu au zoo abandonné de Gaza (c’est vrai, cela), ils y ont trouvé un gros lion esseulé qui n’avait visiblement pas mangé depuis plusieurs jours (ça aussi), cela a fait de la peine aux soldats (ça toujours) ; alors, ils ont ouvert la grille et l’ont envoyé dans les rues de Gaza.
Pour ceux qui n’ont pas compris la chute, c’est le moment de se désinscrire de la Ména. La blague n’est pas de nous, elle vient de l’émission satyrique Eretz néhédérette (Un pays extraordinaire), diffusée hier soir.
Les appelés ne l’avaient pas vue, ils avaient autre chose à faire que regarder la télé.
Les réservistes les remplacent et occupent le terrain qu’ils ont conquis, ce qui permet aux unités régulières de progresser, d’ouvrir de nouveaux fronts.
Mais lentement et sûrement, en protégeant au maximum la vie des soldats et des civils. Avec une puissance de feu considérable, celle qui nous avait fait défaut au Liban pour faire rapidement la différence.
Cette nuit, l’infanterie s’est emparée du quartier de Tel Hawwa, une butte parsemée d’immeubles modernes à plusieurs étages (ailleurs, on parlerait d’habitations bourgeoises), située au sud-est de Gaza.
Le fer de lance de Tsahal ne se trouve plus, à cet endroit, qu’à environ un kilomètre du centre de Gaza-city.
Vers 15 heures, les quatre reporters-analystes de l’agence se sont retrouvés pour faire le point à Sdérot. Auparavant, chacun était parti de son côté faire ses emplettes d’informations. Deux d’entre nous ont été autorisés à suivre deux colonnes distinctes à l’intérieur.
Le travail quotidien de Sami El Soudi consiste, invariablement, de 9h à 15h, où lorsqu’il se produit un événement saillant, à téléphoner à ses contacts à Gaza.
Sami est un monument de patience, d’égards et de politesse. Ce n’est pas une couverture, c’est sa personnalité. Jamais il ne flatte ou ne promet de monts et de merveilles qu’il ne pourrait pas fournir. Il parle vrai, ne cache pas sa sensibilité et inspire la confiance.
Le résultat est extraordinaire : ses interlocuteurs lui font des rapports sans qu’il n’ait même besoin de les solliciter. C’est toujours Sami qui doit conclure les conversations, de l’autre côté, on n’a jamais terminé de le mettre au courant, et on a tendance à se répéter.
La question du jour, que nous avons débattue, c’est : est-ce que la phase 3 n’aurait pas déjà commencé ? Mais de manière rampante, sans dire son nom, pour ne pas faire de vagues à l’étranger, mais aussi en Israël, parmi la population arabe.
Ca en a tout l’air : Tsahal ne tient pas en place, elle avance, occupe jour après jour de nouvelles positions, a commencé à s’engager dans des combats de rues dans les zones surpeuplées. Applique une pression terrible sur les poches de miliciens qui résistent encore.
Jusqu’à 18 heures, ils n’ont été capables de lancer "que" 13 roquettes sur Israël. Une quantité qui se réduit de jour en jour et nous rapproche des objectifs officiels de Plomb fondu.
El Soudi rappelle que, si au moment du cessez-le-feu, il reste un pan de Hamas debout, il ne se gênera pas pour crier victoire.
Notre camarade palestinien est allé rôder autour des postes de commentaire des télévisions arabes émettant depuis le côté israélien. Il nous informe d’une nouvelle tendance des media arabes : ils annoncent à leurs téléspectateurs que si les Israéliens n’avancent pas, c’est à cause de la résistance héroïque des miliciens intégristes qui les en empêchent.
Ils ponctuent cette nouvelle ligne de récit en rapportant, sous forme de breaking news, passant sous l’image principale qu’ils diffusent, les communiqués de victoire transmises par les fondamentalistes : "un avion sioniste abattu, trente deux agresseurs tués depuis ce matin, trois chars détruits.
Aujourd’hui, ils ont même annoncé avoir coulé un sous-marin". Nous éclatons de rire, notre tasse de thé chaud à la main.
En faisant le bilan de la guerre, d’après ces sources, les miliciens ont détruit deux fois le contingent expéditionnaire israélien, ils n’ont eu que 25 tués, et tous les 970 morts palestiniens sont des civils.
"Vous pouvez bien rire, mais sur les masses arabes, cela fonctionne à merveille", interrompt El Soudi. Plus le Hamas se désintègre, plus il grandit en importance dans les media arabes. "Si vous ne finissez pas le travail, ils raconteront que les résistants islamiques, avec l’aide d’Allah, ont repoussé la terrible machine de guerre sioniste".
"D’ailleurs, ils ont déjà commencé", continue Sami, "ils appellent ce conflit La guerre de Gaza, et ils le placent dans la lignée des victoires des croyants contre Israël, les Etats-Unis, les Occidentaux et leur culture de la déchéance, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, en Somalie et au Liban".
Mon père ajoute que, si à l’Ouest c’est encore un tabou de parler de guerre des civilisations, sur nombre de media arabes, c’est le thème principal. Et on ne s’y cache pas pour parler de "l’assaut irrépressible lancé par les croyants contre l’Occident". Pour la majorité de ces media, la Guerre de Gaza constitue un élément offensif de la Djihad mondiale.
Ce que j’ai vu à l’intérieur ne ressemble en rien à une victoire, j’y ai passé trois heures avec des commandos sans apercevoir la moindre opposition. Aujourd’hui, l’armée de l’air a pulvérisé au moins douze unités de miliciens.
Selon mon expérience, leur capacité à combattre, leur niveau de préparation et de commandement sont clairement inférieurs à ceux des miliciens du Hezbollah.
Juffa intervient : "Et que veux-tu qu’ils fassent ? Ils combattent à un contre cinq, sans aviation, sans blindés, sans renseignement militaire digne de ce nom, contre une armée gonflée à bloc et au mieux de ses capacités. Personne à leur place ne ferait mieux, c’est déjà pas mal qu’ils n’aient pas encore brandi le drapeau blanc.".
El Soudi revient à la charge : "ils ne sont pas terribles au combat, mais pour piller les convois humanitaires, pour voler l’approvisionnement aux civils palestiniens, ils sont champions ; ce matin", poursuit le chef de la Ména palestinienne, "ils ont à nouveau pillé tout le chargement des camions des convois d’aide, lors de la trêve humanitaire de trois heures".
"Au moins dix témoignages que j’ai recueillis concordent : ils immobilisent les camions et dérobent la quasi-totalité du chargement. Ensuite, ils vendent une partie des vivres destinés à être distribués gratuitement, en dispensent une autre partie à leurs clans, et entreposent le reste dans des caches, afin de maintenir l’image artificielle de la pénurie.
En dépit de ces actes de vandalisme, notre ami médecin à Shifa est formel : l’hôpital ne manque strictement de rien. De plus, l’Egypte a laissé passer un nombre suffisant de médecins volontaires internationaux, dont des spécialistes qui leur faisaient défaut".
"Ce qui leur manque, c’est la place", ajoute Juffa, "s’il n’y avait pas tous ces chefs du Hamas qui se planquent derrière les blessés, cela irait certainement mieux".
Moussa Abou Marzouk, le numéro 2 du Hamas à Damas, a déclaré aujourd’hui que le retrait de Tsahal était une pré-condition au cessez-le-feu bilatéral, que les autres sujets de discorde pourraient être discutés ensuite ; que cette position de son organisation était inamovible, et qu’ils l’avaient communiquée aux Egyptiens.
C’est du suicide. Même Abou Marzouk, considéré généralement comme plus modéré que Mashal, est en train de sacrifier le régime du Hamas à Gaza. Les Israéliens n’arrêteront pas leur opération tant qu’ils n’auront pas obtenu les garanties qu’ils réclament concernant la contrebande d’armes en provenance d’Egypte.
Le chef d’état-major, Gaby Ashkenazi, a déclaré au comité politico-sécuritaire de la Knesset "nous avons encore du travail à faire pour réduire la capacité du Hamas à envoyer des roquettes contre Israël". Ca n’est visiblement pas la posture de quelqu’un pressé de ranger son arme dans l’armoire à fusils.
Et l’Egypte prend tout sont temps : elle a demandé à Israël de n’envoyer Amos Guilad, son négociateur, que dans deux jours, le temps de comprendre précisément la position du Hamas.
"L’Egypte veut l’effondrement du Califat, c’est clair et net. Les Egyptiens feront tout pour prolonger les opérations militaires israéliennes", confirme El Soudi.
"Et la troisième phase de l’offensive, peut-on considérer qu’elle a commencé ?", ramène mon père. "Très probablement", analyse Juffa, "dans peu de temps, tous les réservistes auront été intégrés à l’opération. De qui s’agit-il, sinon de la phase finale ? De toute façon, on en saura plus ces prochains jours, à mon avis, nous ne sommes pas loin de l’effondrement du Hamas", conclut-il.
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 13 janvier 2009, 13:41 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 2 036 |
mena.
Un détachement de Tsahal est parvenu au zoo abandonné de Gaza (c’est vrai, cela), ils y ont trouvé un gros lion esseulé qui n’avait visiblement pas mangé depuis plusieurs jours (ça aussi), cela a fait de la peine aux soldats (ça toujours) ; alors, ils ont ouvert la grille et l’ont envoyé dans les rues de Gaza.
moi j'aurais envoye ce lion dans les tunnels ou se cachent les hommes du hammas. lol. wow le lion ne mangera pas pour 10 jours apres cette bonne bouffe.
Un détachement de Tsahal est parvenu au zoo abandonné de Gaza (c’est vrai, cela), ils y ont trouvé un gros lion esseulé qui n’avait visiblement pas mangé depuis plusieurs jours (ça aussi), cela a fait de la peine aux soldats (ça toujours) ; alors, ils ont ouvert la grille et l’ont envoyé dans les rues de Gaza.
moi j'aurais envoye ce lion dans les tunnels ou se cachent les hommes du hammas. lol. wow le lion ne mangera pas pour 10 jours apres cette bonne bouffe.
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 13 janvier 2009, 14:04 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 2 844 |
Le pire c'est qu'il est certainement à jeun!
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 14 janvier 2009, 00:13 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 2 844 |
SUITE de l'affaire des vidéos de gaza 2005...sur france 2 .....
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a mis ce mardi "France 2 en demeure de respecter ses obligations en matière d'honnêteté de l'information", après la diffusion d'images qui dataient de 2005 dans un reportage sur le conflit à Gaza, diffusé au JT de 13h de la chaine, le 5 janvier dernier
Sur Le Post, le journaliste de France 2 Gérard Grisbeck, qui travaille au service concerné (étranger) et par ailleurs vice-président de la Société des Journalistes de la chaîne (SDJ), donne son point de vue sur cette réaction du CSA.
Quelle est l'ambiance à France 2 après la mise en demeure du CSA?
"Je viens de sortir d'une réunion sur le sujet entre la direction et la SDJ. Arlette Chabot nous a raconté comment cela s'était passé au CSA. La direction attendait la notification officielle du CSA. C'est fait."
Va-t-il y avoir une sanction contre le ou les journalistes fautifs?
"On a fait une connerie. La direction s'est excusée dès le lendemain. Après, savoir si la faute est grave ou pas et si elle mérite une sanction, c'est à Arlette Chabot de décider."
"Ce qui est sûr, c'est que ces images n'étaient pas indispensables. On aurait pu s'en passer et on aurait même dû s'en passer."
Du coup, la rédaction de France 2 va-t-elle interdire l'utilisation
d'images venant d'Internet?
"Non, à ma connaissance, rien n'a été décidé sur ce point car on ne peut pas les interdire. La vigilance va seulement être plus forte après le coup de pied dans le cul qu'on a pris. Sur ce coup, on s'est fait avoir comme des bleus."
Que pensez-vous de cette mise en demeure du CSA?
"Le CSA est dans son rôle. C'est une sanction pour l'exemple. À travers cette mise en demeure, le CSA en profite pour faire la leçon à tous les autres médias."
Le CSA, qui dispose d'un pouvoir de sanction à l'égard des médias, ne peut l'appliquer qu'après avoir effectué une mise en demeure.
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a mis ce mardi "France 2 en demeure de respecter ses obligations en matière d'honnêteté de l'information", après la diffusion d'images qui dataient de 2005 dans un reportage sur le conflit à Gaza, diffusé au JT de 13h de la chaine, le 5 janvier dernier
Sur Le Post, le journaliste de France 2 Gérard Grisbeck, qui travaille au service concerné (étranger) et par ailleurs vice-président de la Société des Journalistes de la chaîne (SDJ), donne son point de vue sur cette réaction du CSA.
Quelle est l'ambiance à France 2 après la mise en demeure du CSA?
"Je viens de sortir d'une réunion sur le sujet entre la direction et la SDJ. Arlette Chabot nous a raconté comment cela s'était passé au CSA. La direction attendait la notification officielle du CSA. C'est fait."
Va-t-il y avoir une sanction contre le ou les journalistes fautifs?
"On a fait une connerie. La direction s'est excusée dès le lendemain. Après, savoir si la faute est grave ou pas et si elle mérite une sanction, c'est à Arlette Chabot de décider."
"Ce qui est sûr, c'est que ces images n'étaient pas indispensables. On aurait pu s'en passer et on aurait même dû s'en passer."
Du coup, la rédaction de France 2 va-t-elle interdire l'utilisation
d'images venant d'Internet?
"Non, à ma connaissance, rien n'a été décidé sur ce point car on ne peut pas les interdire. La vigilance va seulement être plus forte après le coup de pied dans le cul qu'on a pris. Sur ce coup, on s'est fait avoir comme des bleus."
Que pensez-vous de cette mise en demeure du CSA?
"Le CSA est dans son rôle. C'est une sanction pour l'exemple. À travers cette mise en demeure, le CSA en profite pour faire la leçon à tous les autres médias."
Le CSA, qui dispose d'un pouvoir de sanction à l'égard des médias, ne peut l'appliquer qu'après avoir effectué une mise en demeure.
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 14 janvier 2009, 02:38 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 787 |
La polémique sur l'utilisation par Tsahal d'obus au phosphore blanc a rebondi en faveur de l'Etat Hébreu, mardi. La Croix Rouge internationale a indiqué que l'utilisation de ces obus par Israël dans la Bande de Gaza n'était pas illégale. (Guysen.International.News)
L'ambassadrice d'Israël à l'ONU, Gabriela Shalev, a déposé une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations Unies contre le Hamas qui se sert des civils palestiniens comme de boucliers humains. Les terroristes du Hamas utilisent des boucliers humains lorsqu'ils ne se trouvent pas dans une zone urbaine selon l'ambassadrice.
L'ambassadrice d'Israël à l'ONU, Gabriela Shalev, a déposé une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations Unies contre le Hamas qui se sert des civils palestiniens comme de boucliers humains. Les terroristes du Hamas utilisent des boucliers humains lorsqu'ils ne se trouvent pas dans une zone urbaine selon l'ambassadrice.
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 14 janvier 2009, 09:19 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 2 036 |
Aharon est entré dans la bande de Gaza le lendemain de son mariage
[Mardi 01/13/2009 22:20]
Dépêches, Sécurité,
Dans la nuit de lundi à mardi, le soldat de Tsahal, Aharon Karov, a été très grièvement blessé dans l’explosion d’un objet piégé. Karov s’est marié il y a seulement dix jours et le lendemain même de ses noces il est parti combattre dans la bande de Gaza.
Aharon, qui est issu de la localité de Karnei Shomron en Samarie, est sous-lieutenant de la brigade des parachutistes. Il commandait une compagnie de soldats dans l’opération terrestre dans le nord de la bande de Gaza avant d’être blessé. Avant de s’engager dans l’armée, le jeune homme étudiait dans un Yéshiva de Nétsarim, l’une des communautés juives détruites en 2005 lors du retrait de la bande de Gaza.
[www.actu.co.il]
[Mardi 01/13/2009 22:20]
Dépêches, Sécurité,
Dans la nuit de lundi à mardi, le soldat de Tsahal, Aharon Karov, a été très grièvement blessé dans l’explosion d’un objet piégé. Karov s’est marié il y a seulement dix jours et le lendemain même de ses noces il est parti combattre dans la bande de Gaza.
Aharon, qui est issu de la localité de Karnei Shomron en Samarie, est sous-lieutenant de la brigade des parachutistes. Il commandait une compagnie de soldats dans l’opération terrestre dans le nord de la bande de Gaza avant d’être blessé. Avant de s’engager dans l’armée, le jeune homme étudiait dans un Yéshiva de Nétsarim, l’une des communautés juives détruites en 2005 lors du retrait de la bande de Gaza.
[www.actu.co.il]
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 14 janvier 2009, 09:37 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 787 |
Il y a des gens qui ont en tête de graves pénuries, vraiment!!!
Guerre Israel-Gaza : à Paris le keffieh en rupture de stockR.B | 14.01.2009, 12h32 | Mise à jour : 14h57
Au 19e jour de l'offensive israelienne dans la bande de Gaza, le keffieh, ce foulard symbole de la lutte palestinienne, est en rupture de stock dans plusieurs échoppes de la région parisienne. En boutique ou par Internet, les demandes affluent de partout et les vendeurs affirment ne pas pouvoir faire face en particulier pour le modèle gris et noir, porté par l'ancien chef de l'autorité palestinienne, Yasser Arafat.
"Actuellement, tous ceux qui nous sont livrés sont vendus, raconte ce commerçant de Belleville, dans le XIe arrondissement de Paris. Et nous n'arrivons plus à en trouver. Même ceux, de qualité moyenne fabriqués en Chine sont manquants. Il ne reste que les keffieh de couleur, rose, vert ou bleu. Et certains les achètent pour les manifs parce qu'il n' y a que ça de disponible. Ce sont des jeunes, pour la plupart, des étudiants et des lycéens, qui les portent parce qu'ils sont tendance depuis qu'une grande marque a fait leur promotion. Le keffieh Arafat , lui, est introuvable en ce moment. Si j'avais pu en reçevoir 1000 pièces, je les aurais vendues immédiatement". Sur le marché de Montreuil, à deux pas de Paris, un marchand habitué de ces produits, rage de ne plus en avoir. "Je vendais l'authentique à 4€ et j'en ai plus. J'ai reçu une commande de 100 pièces mais je ne peux pas la satisfaire. Mon fournisseur n'a pas plus de gris Arafat", explique t-il en disant regretter que "des opportunistes s'accaparent de ce produit vendu dans les manifestations comme s'ils vendaient des merguez".
Patron de la société Safi, en plein coeur du quartier de Barbès à Paris, ce Syrien d'une quarantaine d'années importe les keffieh d'origine et fabriqués en Syrie. "Vu les manifestations en faveur des Palestiniens dans toutes capitales du Moyen-Orient, toutes les fabrications sont orientées vers Amman, le Caire ou Beyrouth. Le peu que nous arrivons à importer en France sont achetées par des associations qui les distribuent à travers l'Europe où chaque samedi des manifestants descendent dans la rue. Du coup, il ne reste pas pas grand chose en boutique. Et on peine à en avoir". En rupture de stock, même chez les grossites chinois du sentier d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, des revendeurs se sont mis à les chercher sur Internet.
leparisien.fr
Guerre Israel-Gaza : à Paris le keffieh en rupture de stockR.B | 14.01.2009, 12h32 | Mise à jour : 14h57
Au 19e jour de l'offensive israelienne dans la bande de Gaza, le keffieh, ce foulard symbole de la lutte palestinienne, est en rupture de stock dans plusieurs échoppes de la région parisienne. En boutique ou par Internet, les demandes affluent de partout et les vendeurs affirment ne pas pouvoir faire face en particulier pour le modèle gris et noir, porté par l'ancien chef de l'autorité palestinienne, Yasser Arafat.
"Actuellement, tous ceux qui nous sont livrés sont vendus, raconte ce commerçant de Belleville, dans le XIe arrondissement de Paris. Et nous n'arrivons plus à en trouver. Même ceux, de qualité moyenne fabriqués en Chine sont manquants. Il ne reste que les keffieh de couleur, rose, vert ou bleu. Et certains les achètent pour les manifs parce qu'il n' y a que ça de disponible. Ce sont des jeunes, pour la plupart, des étudiants et des lycéens, qui les portent parce qu'ils sont tendance depuis qu'une grande marque a fait leur promotion. Le keffieh Arafat , lui, est introuvable en ce moment. Si j'avais pu en reçevoir 1000 pièces, je les aurais vendues immédiatement". Sur le marché de Montreuil, à deux pas de Paris, un marchand habitué de ces produits, rage de ne plus en avoir. "Je vendais l'authentique à 4€ et j'en ai plus. J'ai reçu une commande de 100 pièces mais je ne peux pas la satisfaire. Mon fournisseur n'a pas plus de gris Arafat", explique t-il en disant regretter que "des opportunistes s'accaparent de ce produit vendu dans les manifestations comme s'ils vendaient des merguez".
Patron de la société Safi, en plein coeur du quartier de Barbès à Paris, ce Syrien d'une quarantaine d'années importe les keffieh d'origine et fabriqués en Syrie. "Vu les manifestations en faveur des Palestiniens dans toutes capitales du Moyen-Orient, toutes les fabrications sont orientées vers Amman, le Caire ou Beyrouth. Le peu que nous arrivons à importer en France sont achetées par des associations qui les distribuent à travers l'Europe où chaque samedi des manifestants descendent dans la rue. Du coup, il ne reste pas pas grand chose en boutique. Et on peine à en avoir". En rupture de stock, même chez les grossites chinois du sentier d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, des revendeurs se sont mis à les chercher sur Internet.
leparisien.fr
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Re: Le Hamas a décidé, ce mercredi de Noël, de sa chute 14 janvier 2009, 12:08 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Bonjour,
Je n'ose imaginer la situation de notre frère Guilad
Shalit depuis son enlèvement le 25 juin 2006. Nul doute que
la retenue d'Israël face aux tirs du Hamas depuis 2006
est partiellement du à cela. Aujourd'hui que la guerre
a éclaté, je n'ose encore moins imaginer dans quelle
situation il se trouve quand on sait de quoi sont capables
les terroristes du Hamas. Mais Israël ne pouvait plus
rester les bras croisés. Trop, c'est trop !
Alors, moi qui crois aux miracles, je demande à D…,
d'en faire UN !
Je vous fais suivre ci-après cette prière ..... Merci de
faire suivre SVP.
> Guilad Shalit
> רק 4 שורות...מי שלא קורא ולא מעביר
> אין לו לב
> אבינו שבשמים תשמור על גלעד שליט
> החייל החטוף למען ילדיך אהובים
> שאתה אוהב
> תשמור עליו מכל צרה ומכל פגע
> בבקשה אלוהים תחזיר אותו הביתה
> בריא ושלם
> אנחנו בניך מבקשים ,תשמור על
Avinou chébachamaïm Tichmor Al Guilad Shalit
H'ahkaïl
H'ahkatoph lemaann yélidérhka ahouvim chéatah ohév
Tichmor Alav micol Tzara oumicol Péga Bévaquacha Eloyïm
Tahkazir oto HaBaïtah Bria véchalem
Anarnou Banérkha mevakchim Tichmor Alav
Notre père qui est aux cieux prend garde à Guilad Shalit
le Soldat
Qui est prisonnier pour tes enfants que tu aimes.
Garde-le de toute souffrance ou de toute atteinte s'il
te plait mon D.ieu
Fait le revenir dans sa maison en bonne santé et complet.
Nous sommes tes enfants et nous te demandons de veiller sur
lui
תשלחו את זה ל 5 אנשים על כל אחד
> שתישלחו אלוהים יראה את האמונה
> שלנו ויחזיר
> אותו בריא ושלם. מי שלא שולח את זה
> אין לו לב
> Si vous pouvez envoyer ce texte à 5 personnes et pour
> chaque personne à qui on l'a envoyé, Hachem verra
> notre confiance en lui et le ramènera en bonne santé et
> complet.
>
Correspondance.
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