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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 mai 2019, 12:46
Le jasmin, l’instrument et le vieux voisin.

Par dessus, une palissade de fer, ils dépassaient
Ces délicats et frêles boutons d’un jasminier.
Son parfum suave sur mon trajet,
Me ramena des années en arrière
Au vendeur de nos rues, son panier
Sur la tête, il proposait ses bouquets
Aux boutons blancs non éclos, il déambulait
Ainsi, vêtu de sa blouse blanche immaculée
‘...YASMINE...YASMINE…. !’

Par l’odeur alléchée, je décidais de confectionner
Un outil coupant, une paire de ciseaux allongée.
Une petite serpe à double tranchant d’un ancien âge,
Qui servirait mes desseins sans penser à l’outrage
Au vieil adage qui vole une fleur vole un jardin.

Mais la nostalgie me vainquit et je haussais mes talons
Pour atteindre les boutons qui pendaient à profusion.
Guettant d’un œil craintif le passage d’un espion.

Profitant de la rue déserte, je me suis mis à couper
L’emblème de mon bled, sans penser un instant
Que je commettais un délit furtif puni
Par la loi.

Soudain, le portail s’ouvre et le maître de céans,
Un vieux célibataire en pyjama me surprit au milieu
De mon action ...’...Ah...’ Me dit t’il, ‘..C’est donc vous.… !
Je vous surprends… !’

La honte sur le champ me figea, bafouillant d’inaudibles paroles
Je trouvais l’argument pour disculper ma vilaine opération.

‘...Monsieur, je m’excuse, mais c est l’amour de mon pays
Qui m’a poussé à commettre l’horrible, l’irréparable.
Ces fleurs que vous voyez, ces pétales à terre, piétinées
Par des pas sans cœur ( passants), sans nier les faits,
M’a poussée à en cueillir une petite poignée
Pour embaumer ma chambre, la nostalgie
A réveillé en moi une partie de ma vie.
Je suis natif de Tunisie, Monsieur, c’est l’emblème
De mon ancien pays, le blason de nos étés fleuris
Elle porte le nom de RÉVOLUTION,
Je vous demande pardon, celui d’un voisin repenti.

‘...Je vous comprends jeune homme, prenant en autant
Que vous voulez, elles débordent sur la voie publique.. !’

Moralité.
‘...Il suffit d’une odeur, juste une senteur, un arôme
Un goût, pour vous rappeler qui vous êtes et surtout
D’où vous venez… ! Mon jasmin est tune et fière
fut mon oreille de le porter dans ma jeunesse…
J’ai succombé au délit, je ne le nie mais je me suis servi
Pour vaincre l’oubli... !’

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 mai 2019, 11:43
J'ai annoncé le MOT MARA....Mara selon les situations veut dire une fois...Mara ehne qââya...Une fois alors que étais assis...!..Cen mara...Il était un fois.....Mara exprime aussi un souhait un voeu...MARA AAM JEY....MARA JOMAA JEYI...MARA AAM EJEY....ETC....Ce mot se dit aussi lors des fêtes '..MARA TFELIMOU...MARA AARCHOU...ETC.....C'est un mot traditionnel qui n'échappe pas à notre liturgie tune. Mais pourquoi j'insiste à exliquer ce mot qui pour bcp d'entre vous parait simple.

Rappellez vous avant, nos anciennes maman, épouse 'domestique' femme d’intérieure, reines des cuisines dont le seule role était de satisfaire les gouts culinaires de son époux mais pas que celà et voilà le plus important c est qd le mari, aprés sa fin de semaine remettait son pécule à son épouse qui fissa fissa l'enfouissait dans son chouné...En lui disant '..RABI LEI I MARDEQ.LEI I NAHIQ...MARA JOMAA JEYE....Connaissez vous l'importance de cette dernière expression que nos jeunes mamans, celles d'aujourd'hui évoluant dans le bien être, ignorent parce Madame, travaille ou pas et oublie souvent les 'bienfaits" de son époux....Qui est celle d'entre vous qui dit à son mari '...RABI LEI NAHIQ qd il lui donne son budget...? Aucune.

C'est vrai je suis une antiquité, un type du moyen âge qui évolue mal....Je m'en excuse mais ce n est pas un reproche que je fais aux nouvelles et jeunes mamans, juste un rappel d'antan....
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 mai 2019, 12:18
LA LÉGENDE DE LA TABOUNA.

Ce récit est imaginaire et ne se rapporte à aucune source sauf à mon imagination.

J’ai annoncé un soir le MOT TABOUNA...Mot que les marocains attribuent au sexe.
Chez les tunes c est un pain rond cuit d’une certaine façon.

LA LEGENDE.

ZOHRA.

Dans le hameau de SIDI HTAB, à quelques kms de MATMATA, pas loin d’un oasis, vivait une famille, LA FAMILLE Bouna, aisée, propriétaire terrien, de la seule richesse de la région la culture de la cacahuètes. Si Mohamed Bouna était très aimé dans son hameau, il faisait travailler presque les deux cent familles qui vivaient sur ses terres. Il avait un fils unique..RACHID...Rachid loin de poursuivre ses études scolaires a préféré suivre son papa à travers les sillons et apprendre à vivre avec la nature. Rien de ce qui pousse dans les champs ne lui est inconnu, il en connaissait même les vertus et son papa voyait en son fils un grand et futur patron.

Rachid était beau, très beau, à 22 ans alors qu’il circulait à cheval parmi les plants de cacahuètes, il tombe en arrêt devant une jeune fille, Zohra...16 ans. Il descend de cheval et s’approche d’elle, la jeune fille intimidée baisse les yeux et détourne son regard. ‘...Me tkhéfich, essmek… !’ ( Ne crains rien, ton nom...’)‘..Zohara, sidi… !’ ‘...Zohra bent el Si Tayeb, eli yetle bél h’ssouné mta baba..,?( Zohra la fille du responsable du haras de mon papa… ?’ ‘..Eye yé Sidi… !’ ( Oui Monsieur..) Zohra était aussi très belle avec ses cheveux noirs jais et son regard bleu, descendante de berbères. ‘...Tekhdem qol youm fél sawa.. ? ( Tu bosses ts les jours ici… ?’ ‘...Eye ye Sidi ...’) ( Oui, Monsieur..!) Rachid ne la quitte pas du regard et chez c’est gens là, un regard appuyé envers une jeune fille est mal perçu, question d’honneur.


Pas un matin, sans que RACHID n'arrête son cheval pour regarder la fille courbée à récolter les cacahuètes. La jeune fille est gênée par rapport à ses compagnes de chantier.

Bref, Rachid tombe follement amoureux de la jeune fille et il en parle à son papa. Ce dernier voit d’un mauvais œil, le sentiment de son fils pour la jeune fille, et pour cause, il lui destinait une lointaine cousine dont le papa est très fortuné. Il annonce à son papa, un soir, qu’il veut demander sa main. Le pére oppose un refus et c est là que tout commence. ….

A Suivre ….
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
31 mai 2019, 00:19
COUTUMES PERDUES.

En France et ailleurs aujourd’hui on dit BAR MITSWAH….Avant c’était communion ou tfelim en judéo arabe.

Le tfelimou voulait dire pour nous les anciens juifs tunisiens BAR MITSWAH. L’bech tfélimou, il a posé ses tefelins donc il rentre dans la cour des grands. Adolescent avant de devenir adulte.

Autrefois, il y avait un cérémonial et mon ami GERARD COHEN m’a rappelé ce souvenir aujourd’hui désuet. Avant toute chose, il y avait le bain de purification soit dans le HAMAM soit dans la mer, le papa plongeai la tête de son fils 7 fois sous l’eau. Puis, il y avait la distribution des casse-croutes, accompagnés de youyous et de chants. Les dames étaient à l’honneur.

Le matin, proches et parents étaient dans la maison du hattan tandis que celui çi debout attendait. L’opération habillement,commençait pas les oncles, l’un lui revêtu le tricot, le second la chemise, le troisième les chaussettes, et s’il n’y avais plus d’oncles, un allié lui posait la cravate, un autre son veston bref, la famille du jeune par ordre d’affiliation conviait les proches par respect à vêtir le jeune hatan.

Un fois habillé est parfumé, son talith et son livre de prière enfoui dans son petit sac, et sous ses aisselles, la famille et les amis du jeune se dirigeaient vers la syna, souvent à pied, le hattan était donc entouré par ses proches et amis. A la SYNA, là encore chaque membre de la famille, avait l’honneur de poser un pan de tefs sur son bras gauche. Ainsi 8 personnes avaient le privilège d’être à la manœuvre, tandis que les dames youyouaient à la fin de la pose des tefs. Le Rabbin pouvait donc commençait la cérémonie sous les larmes d’émotion de sa maman qui prend conscience que son fils devient un homme, faisant partie intégrante du MINIAN. Le Minian est ce qu’on appelle LE QORUM sans ce qorum de 10 personnes, le KADDICH ne peut être dit, c est dire l’importance du 10 ieme par qui s’ouvre les portes du ciel.

A la sortie, de la syna, son retour à la maison se faisait sous les chants des OULED EL BAYOUT.
Au soir, ses amis lui proposeront sa première cigarette, lors de la fête et la semaien d’aprés, un oncle ou un ami plus agé lui proposera d’aller au BORDEL de SIDI ABDEL LAGUECH.

Que de fois à la Goulette, certaines cérémonies, brakhots, ne pouvaient commencer
sans le 10 ieme alors il arrivait qu’un des présents sortent dans la rue, pour quémander
le 10 ieme personnage, celui qui va ouvrir la liturgie.

Certains d’entre eux se débinaient en prétextant toutes sortes d’arguments mais la patience aidant et les arguments présentés finissen par convaincre le récalcitrant à compléter la MISTWA.

LE 10 ieme juif est le plus important chez nous.

Emmanuel sera donc dés à présent le 10 ieme, celui par qui la liturgie peut commencer dans une syna qui manque de fidèles.

Pièces jointes:
BRIT 14.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 juin 2019, 04:08
Au Contrôle d'ORLY le profileur me pose qqs questions
'...Tiens, je vois que vous avez été à MARAKECH....!'
'...Oui, en vacances...!
'...Pâque pour vous c est quoi...!'
'...La sortie d’Égypte Moise, la mer rouge '..AH LAHME ANIYE...!
'..Ca ne suffit pas, POURIM c est quoi pour vous..?
'....ESTHER...MORDEKHAI...LA MEGUILA....!
'..C'est pas suffisant...!' Le vendredi soir...!'
'...YOM ACHICHI WE KHOLOU ACHAMAIM...!
'...CA NE SUFFIT PAS....!'
'...Attendez je vais vous montrer qq chose....Je vais baisser mon pantalon, mon slip ou bech nouariq zebi maqssous...Ca suffira...?
'...Allez bon passer, vous êtes juif..!
'...Et vous russe..!'
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 juin 2019, 22:09
LA LETTRE D ISRAEL.


1956 la famille SIMEONI seconde branche, celle de mon oncle paternel fait son alya. 4 enfants à charges dont un bébé. Bref, comme les nouvelles ne pouvaient nous arriver directement, elles passaient par mon oncle maternel qui habitait Paris. Les premières nouvelles étaient très mauvaises et leur situation catastrophique. Jetée dans le désert du Neguev, dans des tentes, la famille manquait de tout. Il nous revenait donc de palier tant soit peu leur situation, en leur envoyant des denrées non périssables par colis. Ces derniers étaient adressés à mon oncle qui les transférait en ISRAEL.

Voilà qu’un jour SI HAMADI le postier frappe à la porte de chez nous RUE DE DOUGA. Et il présente à ma mère une lettre estampillée avec un timbre représentant un candélabre et FROM ISRAEL. Maman pâlit et lui dit ‘...Ye si Hamadi, el massou ehdé mouch liné… !’ ( Ce courrier là ne nous est pas destiné.. !’ Le facteur regarde ma mère et lui dit ‘...Ye Haya, mektoub DAVID SIMEONI 7 RUE DE DOUGA….Yekhir metéme cen entoumé ouni… ! ‘ ( Mais Victorine, il est écrit…….Et il n’y a que vous dans cette rue qui porte ce nom…. !’ ‘...Il doit y avoir une erreur si Hamadi… !’ ‘...Non, tenez prenez là… !’ Maman les mains tremblantes se saisit de la lettre et ferme la porte à double tour, elle informe ma grand mére qui d’un pas lent se dirige vers la fenêtre pour faire le gué au cas où une voiture de police apparaît. On ferme tous les volets de la maison, on pousse la table de la salle à manger contre la grande porte, et fissa fissa, on retire la ficelle de la porte de la cour pour mettre une chaîne avec cadenas, comme si déjà le GIGN tunisien allait nous tomber dessus. Ma grand mère qui n est jamais à court d’idée, prend la lettre et la cache dans sa culotte ‘….On ne viendra pas fouiller une vieille femme qd même… !’ On éteint les lumières et on garde la silence. Nous sommes tous à l’affût à surveiller par les barreaux des volets si dés fois un escadron du JEICH...’(l’armée) débarque. Bref, enfin maman ‘...YE MÂÂ kherej el joueb… !’ ( Sort la lettre) Ma grand mère ‘..Echtenna tahét mebin termeyé.. ! ‘( Attendez, je crois qu’elle a glissé entre mes fesses.. !) On attend la lettre coincée entre ses fesses et mémé MEIHA D ieu bénisse elle a de grosse fesses. Enfin, une enveloppe humide est posée sur la table et nous sommes 4 à la regarder. Maman l’ouvre, 4 pages rectos versos et une écriture épaisse, genre macaroni, les mots attachés, pas de point ni virgule ni trait d’union. On pose une corde suspendue comme ca chacun peut lire une page, un recto et un verso et au bout de quatre heures, on déchiffre le manuscrit. A part les plaintes, les gémissements et les pleurs, la famille nous dresse une liste, 10 BOUTEILLES D HUILE VIERGE….10 KGS DE FARINE….DIX BOITES DE HALWA….DEPAZ….10 BOITES DE THON SIDI DAOUD….10 BOITES DE SARDINES...10 BOITES DE SAUCE TOMATE...10 PAQUETS DE CIGARETTES ARTI...Bref tout par DIX...Alors ma grand mère ‘...Thabelem babour … ( Il leur faut un cargo pour envoyer tout cela).
Bref, on note toutes les denrées et on brûle la lettre. Le délit.

Une semaine de diarrhée aiguë, des cauchemars, une jaunisse pour chacun de nous, je ne vous dis la peur, mon papa deux jours plus tard, il a été faire une radio des poumons, ma mère dix tubes de ganidan, Richard bel fejyé a noirci un peu plus, ..SAUVEUR deux jours sans parler, moi, 43 de fièvre, on se voyait tous jetés en prison à TATAOUINE...Pour une putain de lettre qui atterrie chez nous. On ne sait pas comment.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 juin 2019, 12:25
L ANGE BLANC.

Il n’a pas volé
Notre petit ange
Il a seulement fait son entrée
Au pas de course en chemise blanche.
Il a couru d’entre la haie d’honneur
En chemise blanche.

Nous étions tous là,
Sa maman, son frére et sa sœur
Et nous, nous les vieux au regard ému.

On se souvient de sa naissance
Et on se dit toujours,
Serions nous là à sa première fête
Et D ieu a exaucé nos vœux.

Y’avait tonton Gaston,
Y’avait tonton Gérard.
Y’avait tonton Alain
Y’avait tonton Patrick
Phillipe sans l’oublier...a
Doris et Vicky ses tantes étaient là

Y’avait TATA Vivianne, avec son grand sourire
Y’avat TATA MONETTE..la douce, la sereine.
H’avait TATA YAEL. la chaloula, Celle dont je parlerai..
Y’avait DANY..La belle et rayonnante comme un soleil d’ISRAEL...
Y’avait TATA SANDRA.. à l’allure noble
Y’avait TATA SANDRINE...Belle comme une rose
Y’avaid y’avait MÉMÉ RACHEL...Tjs jeune malgré son âge.

Y’avait..Y’avait ceux et celles qui de la haut
Assistaient à la fête…leur voix dans nos pensées
Nous sont parvenus...

Et lui comme un oiseau, comme par magie
A grandi si vite le lendemain et demain qu’en sera t’il
Lui qui m’embrasse et m’enlace à n’en plus finir.

Il n’a pas volé, sa maman à coté
Elle jubilait, son premier fils, son aîné aimé
Son amour, son trésor en blanc
Devient un homme…

Elle le regardait, on le regardait
Ce petit bonhomme en blanc vêtu.

Il a parlé comme un grand sans trébucher sur ses mots.

Y’avait de la joie, y’avait ses amis
La piscine….
Et D ieu qui assistait.

Et ma belle sœur YAEL.qui me dit en fin de soirée…
En passant la tête par la vitre de la voiture…

‘..Albert, si je ne fais rien on me le reproche
Si je fais, on me le reproche… !’alors moi je te dis
Surtout danse pieds nus et comme tu me l’a dis ‘..L’argent n’est rien… !’
Moi, j’ai compris ton allusion. Danse pieds nus, tourne et virevolte au son du tambourin.

ABRAHAM..ABRAHAM….Que ta vie soit longue et pleine de bonheur
Amen.
Ton papi BREITOU.

___________________________________________________



J’ai fonde

Elle et moi
Un foyer .////

L’age parfois le commande
Lorsque l’amour aussi s’y met au nid (siméoni)

On sème après avoir fonde.
On a semé le fruit qui pousse dans les entrailles.
Où les fleurs avec le temps s’épanouissent.

Elles ont grandi a la vitesse du temps
Du temps qui nous amenuise.
Comme une vieille chemise
Mille fois déridée.

Et voilà qu’un matin, l’une d’elle
Nous envoie bien loin, là où paissent
Les papis, les mamies oui c est la vie
Dans le grand prés.

La cha cha ( Sharon) fut la première
Une fille me diriez vous et alors
Qui d’entre nous n’aiment pas les fleurs.
La belle plante porte des talons.

Puis contre toute attente,
Qui l’aurai prévu, moi qui suis habitué
Aux genre féminin, un masculin naît
Le destin sans doute nous a récompensé
Que D IEU SOIT PARMI NOUS ( Emmanuel d’après la torah)
Nous qui croyons tous les jours en lui
Voilà qu’il est là aussi petit qu’un boudin
Mais D ieu dans sa grandeur nous a offert
Un petit sexe, un mâle, annonciateur de fête.

Oui, on a fondé, et qui ne fonde pas ne connaîtra pas.
La joie, les cris, les rires, les disputes, des petits enfants
Les mamours envers les grands parents, n’est ce pas un grand bonheur
Mais lui ce D ieu parmi nous, si c’en est un alors vraiment il est béni.

Je me souviens du premier jour, il n’avait pas de prénom...Juste un bracelet
Un inconnu entre mes bras qui souriait à un autre inconnu.

Telle est la vie, telle est la joie, le téléphone nous rapproche
La vidéo n’est qu’un écran, mais pour nous c est comme un printemps.
Et chaque soir, je vois sa mine, sa petite houppette gominé, son sourire malicieux
Car il est comme je fus, agile, curieux et taquin.
Ma langue s’épuise, mes doigts s’engourdissent
Ma mémoire prend l’eau mais je surnagerai
Comme un vieux poisson dans une eau d’épine.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 juin 2019, 13:07
Mazel Tov, Bonheur et Réussite pour Abraham à l'occasion de sa Bar Mitsva.

Félicitations aux parents et aux grands parents.

Pièces jointes:
Bar Mitsva.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 juin 2019, 13:13
MERCI MON AMI...IL Y A 13 tu étais présent à sa BRITH....MERCI.
Je remercie chaleureusement mon ami BRAHAM ET PINA sa femme qui sont venus me voir à NATANYA et pour le geste génèreux qu'ils sont faits, RM
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 juin 2019, 13:14
Mystère.

On dit que dans la torah, tout s'explique et même prévu, la kabale va encore plus loin et qd j écoute MR DAVID LELOUCHE un homme des sciences ésotériques, je nage comme un poisson hors de son eau, bref, le sujet c est la kippa, bcp en portent et la portent bien, j'en ai porté qqs fois pour me rendre à la syna mais dés qu'il y a un coup de vent, elle s'envole parce que la pince ne tient pas, je suis presque chauve.

Mon voisin, de BARBES, un juif religieux porte toujours la sienne sauf qu' il est chauve, et je me suis posé la question, à savoir comment, elle fait pour tenir, pour ne pas s'envoler au moindre coup de vent. J'ai donc était chercher une explication dans la KABALE et je n'ai rien trouvé, et comme je suis curieux de nature, j'ai osé l'impensable,le questionner, mon ami ELIE sur ' ce miracle' sa kippa ne s'envole pas dc '...Yé Elihaou chamahni,enti fartass, qolli qiffech el kippa mtayaq dimé fouq rassec rih oulle chté...('...Pardon, toi qui est chauve, une boule ronde, excuse moi, dis moi comment se fait t'il que ta kippa ne bouge pas et ne s'envole pas au moindre coup de vent...?) Il me répond '..Nich...!' Nich..? pas compris mais sans doute il voulait dire miracle...Il continue '...Tu sais Albert, dans la torah, il y a toujours une solution aux problèmes que la vie impose..Et tu sais bien que nous, nous sommes des gens intelligents, donc bien que je sois chauve et que ma kippa ne peut pas tenir avec une épingle, j'ai cousu un bout de SCOTCH à double face, au centre de ma Kippa...! Donc elle est collée...Du soir au matin et même qd je dors....!' Alors là ...Quoi la torah parle aussi du SCOTCH A DOUBLE FACE....? '...Elle parle de tout, il suffit d'analyser les mots, de rassembler les lettres et tu trouveras la formule...!' '....Celle du SCOTCH..., J'ai demande à deux jeunes rav si lE SCOTH A DOUBLE FACE existait dans la TORAH...!' Ils m'ont regardé et ils m'ont dit '..As tu mis les tef ce matin...? '...Oui regardez ils sont SCOTCHES depuis un an ...!! lol....
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