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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 décembre 2018, 07:29 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 décembre 2018, 08:34 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
'...Tewe tkhelt el dout'ché, jit béch en nej el saboun, tah fel baignoire, tabest ou qlit darba ââla jbini bel chebella, qfart ââla din raba, ene béch en qoum ou qlit malekhra darba aal qâân'bouyé mta rassi, qfart mallekh'ra ââl chebelle, jit béch nemal shampoing bel tfol, marti nahét el tfel, mnih, khdid shampoing Garnier, el deboujjé fer'ghe, qfart aala din oubou GARNIER, khdit deboujjé okhra shampoing DESSANGE, lqita farghé, qfar aâla DESSANGE, mnih qolt lejjem el deboujje SANAX mââbiyé, tââl'yat ferghé, qfar ââla SANAX...Fel lekher maa ââmeltch el doutché khélit rouhi bél qricha, qfart ââl qriché... oufinechi tewé...?
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 décembre 2018, 08:37 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 décembre 2018, 13:31 |
Modérateur Membre depuis : 18 ans Messages: 3 103 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 17 décembre 2018, 01:24 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Ma belle scolarité, cette hantise…
Celui qui m’a le plus angoissé et à qui j en veux éternellement c est ce petit livre de MATH édité par BLED. Alors là, mes amis, je ne vous dis pas. 1300 problèmes à résoudre alors que nous en avions milles fois plus dans cet appartement ‘cagibi’. A cette époque, je n’avais pas de vélo alors comment calculer le temps d’un départ d’un vélo avec celui du TGM… ? Ajouter à cela que je n’avais pas de chrono, suis- je devin pour savoir à quelle heure je devais arriver après lui, surtout que je n’avais aucune idée de sa vitesse mais comble de tristesse, notre TGM s’arrêtait qqs fois en milieu de trajet….Une fois 50 KMS HEURES, une fois 30 sur la tête de mon père DEIDOU, jamais je n’ai pu trouver de solution à ce casse tête du piéton et du cycliste, encore aujourd’hui, je ne sais pas calculer le temps que mettra le métro pour arriver à RÉPUBLIQUE avec toutes ces pannes de merde. Mais bien plus, le robinet qui fuit, combien de litres perdus si la goutte met une seconde à tomber et le volume d ‘eau recueillit en une heure…..Alors, bien sur, je me suis mis devant le robinet de ma cuisine qui avait une sorte de mesrana en tissu qui pendillait, et j’ai compté les gouttes durant une heure sauf que j’ai oublié de mettre le seau. Passe encore pour mes petites études, mais qd sont apparus les plans et la géométrie variable en sixième, déjà le mot géométrie était nouveau pour moi, je connaissais le stade GEO ANDRE mais GEO METRIE non, personne ne m’a dit qu’il existait un stade avec ce dernier nom, et les plans qui se coupent et se recoupent, un soir, j’ai demandé à maman de m expliquer ‘...YE MAAA…..qu’est ce que les plans qui se superposent.. !.Elle me répond ‘...Tewe ene fél bianouétes, yédèyé fel ââjin, fel boulou… !’ Tu crois que je suis dans les plans, mes mains pétrissent la pâte pour le boulou… !’ ( pâtisserie orientale) ; Je suis resté debout en plan.
Soyez compatissants envers l’âne que je fus et qui est devenu bourricot avec l’âge. MERCI et pardonnez moi de ne pas avoir étè à la hauteur de mes espérances.
Celui qui m’a le plus angoissé et à qui j en veux éternellement c est ce petit livre de MATH édité par BLED. Alors là, mes amis, je ne vous dis pas. 1300 problèmes à résoudre alors que nous en avions milles fois plus dans cet appartement ‘cagibi’. A cette époque, je n’avais pas de vélo alors comment calculer le temps d’un départ d’un vélo avec celui du TGM… ? Ajouter à cela que je n’avais pas de chrono, suis- je devin pour savoir à quelle heure je devais arriver après lui, surtout que je n’avais aucune idée de sa vitesse mais comble de tristesse, notre TGM s’arrêtait qqs fois en milieu de trajet….Une fois 50 KMS HEURES, une fois 30 sur la tête de mon père DEIDOU, jamais je n’ai pu trouver de solution à ce casse tête du piéton et du cycliste, encore aujourd’hui, je ne sais pas calculer le temps que mettra le métro pour arriver à RÉPUBLIQUE avec toutes ces pannes de merde. Mais bien plus, le robinet qui fuit, combien de litres perdus si la goutte met une seconde à tomber et le volume d ‘eau recueillit en une heure…..Alors, bien sur, je me suis mis devant le robinet de ma cuisine qui avait une sorte de mesrana en tissu qui pendillait, et j’ai compté les gouttes durant une heure sauf que j’ai oublié de mettre le seau. Passe encore pour mes petites études, mais qd sont apparus les plans et la géométrie variable en sixième, déjà le mot géométrie était nouveau pour moi, je connaissais le stade GEO ANDRE mais GEO METRIE non, personne ne m’a dit qu’il existait un stade avec ce dernier nom, et les plans qui se coupent et se recoupent, un soir, j’ai demandé à maman de m expliquer ‘...YE MAAA…..qu’est ce que les plans qui se superposent.. !.Elle me répond ‘...Tewe ene fél bianouétes, yédèyé fel ââjin, fel boulou… !’ Tu crois que je suis dans les plans, mes mains pétrissent la pâte pour le boulou… !’ ( pâtisserie orientale) ; Je suis resté debout en plan.
Soyez compatissants envers l’âne que je fus et qui est devenu bourricot avec l’âge. MERCI et pardonnez moi de ne pas avoir étè à la hauteur de mes espérances.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 17 décembre 2018, 03:20 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Pourquoi je suis angoissé… ? Cela provient de ma petite scolarité. Dés que j’entendais le maitre annoncer ‘...Prenez vos crayons de couleur...’ Je commençais à paniquer. Je prenais mon stylo et j’attendais. Qu’est ce qui va nous sortir encore.. ? Me disais-je dans ma tête. ‘...Dessinez sur la page gauche de votre cachier de récitations le CORBEAU ET LE RENARD. Purée mais à la Goulette, y’avait pas de corbeaux encore moins de renard…. ? Qu’est ce que je vais dessiner… ? J’ai commencé donc par mettre un arbre en place, avec qqs branches mais minuscules, puis des feuilles, maigrichonnes, j’ai même rajouter des racines pour remplir un peu la page , restaient le CORBEAU ET LE RENARD….Je me suis dis que un moineau assez gros ferait l’affaire, pour le renard, je me suis rappelle le CHAT DE MAHOU la diseuse de bonne aventure.. Bref, j’ai gribouilloné le tout et le maître passe voir mon dessin. Il regarde, hoche la tête, fait une moue, pose son doigt sur son menton, me regarde, chatouille sa gorge, cligne des yeux, caresse son crâne, et finalement il me dit ‘… Vous avez fini… ? ‘...Honteux et confus, je lui dis ‘...Manque le fromage… ! La vache qui rit… ! C est ce qu’on nous donne à l OSE… !’ ‘..Si la FONTAINE était de ce monde, il vous aurez réprimandé ‘..Rabi mââye LA FONTAINE était déjà mort. Ce mot ‘SORTEZ vos cahiers et vos stylos était le commencement de mon calvaire. Je ne vous parle pas du reste, du calcul mental et de l’ardoise à soulever, mon D ieu que d efforts…
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 06 janvier 2019, 11:08 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Donc Fritné et son mari son invité chez leur belle fille Nina Houité Bokobza....Le sedder est mit, le choulhane etc...Le fils balance la prière. Au menu couscous/ boulettes....Quatre petits plats de salades, de quoi vraiment mourir d'envie, arrive le couscous....Le bouillon etc....Tita attend les boulettes....Y'a pas....A la fin du repas....Dans la rue..
'...Brass Didekh enti cheuft el mah'chi...? Lui '...Lejjem thalou fél marqa....!' Le lendemain matin elle appelle son fils '...Qolli yé ouldi lei i nahiq, lejjem ehné mamiché, marteq ââmlet el mahchi, allakhater mé cheftemch '...Le fils '...Tu sais maman, elle a remplace les boulettes par de gros champignons farcis...!' '...Dis moi, je te cause en arabe et toi tu me réponds, en français, depuis qd el MAHCHIS se transforment en champignons....?' Le fils '...Depuis que je me suis marié...!' Elle '... Méne chad âândeq, des champignons, omri mââ chmat, hatté âând el grénè mé teméch, qollo mara jey tââmel qââbar bléda, kiffeq...!' Ye nedl..!' ( Dis moi cher mari, tu as vu passer les boulettes toi...? Le mari '...Sans doute qu'elles ont fondu dans le bouillon...!' La maman interpelle son fils le lendemain '...Dis moi mon fils, que D ieu te garde, sans doute que je suis miro, ta femme a fait les boulettes..., parce que je ne les ai pas vues...!' Le fils '..........!' La maman...'...........!' Le fils '...........!' La maman '...Quelle chance tu as mon fils, je n'ai jamais entendu cela même chez les livournais..., la prochaine fois, dis lui de faire des boulettes pleines de lourdeur, comme toi, espèce de mou que tu es...!)
'...Brass Didekh enti cheuft el mah'chi...? Lui '...Lejjem thalou fél marqa....!' Le lendemain matin elle appelle son fils '...Qolli yé ouldi lei i nahiq, lejjem ehné mamiché, marteq ââmlet el mahchi, allakhater mé cheftemch '...Le fils '...Tu sais maman, elle a remplace les boulettes par de gros champignons farcis...!' '...Dis moi, je te cause en arabe et toi tu me réponds, en français, depuis qd el MAHCHIS se transforment en champignons....?' Le fils '...Depuis que je me suis marié...!' Elle '... Méne chad âândeq, des champignons, omri mââ chmat, hatté âând el grénè mé teméch, qollo mara jey tââmel qââbar bléda, kiffeq...!' Ye nedl..!' ( Dis moi cher mari, tu as vu passer les boulettes toi...? Le mari '...Sans doute qu'elles ont fondu dans le bouillon...!' La maman interpelle son fils le lendemain '...Dis moi mon fils, que D ieu te garde, sans doute que je suis miro, ta femme a fait les boulettes..., parce que je ne les ai pas vues...!' Le fils '..........!' La maman...'...........!' Le fils '...........!' La maman '...Quelle chance tu as mon fils, je n'ai jamais entendu cela même chez les livournais..., la prochaine fois, dis lui de faire des boulettes pleines de lourdeur, comme toi, espèce de mou que tu es...!)
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 janvier 2019, 02:46 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L INVITATION…
‘...Yé Zaira, jetné tchédiné mta él ââr’ch mta ould eukh’teuq Poupée el mché’oud’né… ? Elle ‘...Hallé ou chouf chnoué eli tqoul…. !’ Lui ‘...Temma jedda bianou, ou massou bél timbri ‘...Veuillez indiquer le nombre de personnes…. !’
Elle ‘...Khoud bââda el timbri, hach’ti bi, iye ouehdé mitté bel jou, ijé neqadou ou en hattou ‘..Combien de personnes...’ Lui ‘...Mnih, méi temmé cent enti, ené, betné, ouldné… !’ Elle ‘...Lé douar el warqa ou hat eli béch en qolloq….Hat FRAJI GUEJ...SARIT elli me thabch el arab, hat Elsa el Chouchiyé, hat Serge JOURNOU….Freddy Bouahnik mta sfaqess, hat ediq NATH bent AMSSALEM...Erchem jeddé ATTAL YVANOV mel
rouchia...Ou yé rabi euch’qoum méjjel ah eye HAT MEYER LAHMI chouc chouc….Ou Hat jedde DIDIER CHLEMA el sezar teoue i jibelem âârba kilo qtef fél lenvelloppe...Ahcheb teoué…. ‘...Lui ‘...TLETACH….Raqba… !’ Elle ‘...Ok, saqar el liste… !’ ‘..Mei n’chiné had… ?’ Elle ‘...El ouarqa me tchéjich, zghira, yejji… !’
Moumou sort et va poster le carton sans le timbre….
Au bout de trois jours, le télèphone sonne...C‘est Poupée la sœur du marié…. !
‘...Qolli ye okhti, edou el jmaa i qounou méneq…. ?’
‘...Ah n’chit jedda KEREN GUIRCHOUN el tebakha, eli tekhdem traiteuse, rabi lei i nahiq amin ye okhti… !’
L INVITATION...TRADUCTION...
‘Hé Zaira, nous avons reçu une invitation pour le mariage du fils de ta sœur POUPEE la supersitieuse… ?’ Elle ‘...Ouvre là et dis moi ce qu’elle dit…. !’ Lui ‘...Il y a déjà une petite enveloppe timbrée et un plan et ‘...Veuillez……..’..Elle ‘...Prend déjà le timbre, j’en ai besoin, elle qui est une affamée, viens nous nous asseyons et nous remplissons le ‘ Combien……. !’ Lui ‘...Bon, nous ne sommes que toi, moi, notre fille et notre fils…. !’ Elle ‘...Non, tourne le cartillon et rajoute,...FRADJI GUEZ….SARIT qui déteste les arabes, rajoute ELSA LA SOUSSIENNE, et SERGE JOURNO….FREDDY BOUAHNIK DE SFAX….Nath la fille de AMSALLEM….Ecrit aussi ATTAL YVANOV Le RUSSE……Ah mon D ieu, il reste encore MEYER LAHMI ma chair frisssonne...Et DIDIER SLAMA il leur apportera 4 kilos d’épaule jeté dans l’enveloppe...Compte à présent… !’ LUI….’.13 personnes… !’ (cous) Elle ‘...Clos la liste… !’ Lui ‘...Tu n’as rien oublié… ?’ Elle ‘..Le carton ne suffit plus, trop petite
Moumou sort et va poster le carton sans le timbre….
Au bout de trois jours, le télèphone sonne...C‘est Poupée la sœur du marié…. !……………………………….
‘...Dis moi ma sœur, tous ces gens là font partie de ta famille… ?’
‘..Ah, si tu peux rajouter KEREN GURCHOUN la cuisiniére, celle qui bosse comme traiteuse, que D ieu te garde amen ma sœur… !’
‘...Yé Zaira, jetné tchédiné mta él ââr’ch mta ould eukh’teuq Poupée el mché’oud’né… ? Elle ‘...Hallé ou chouf chnoué eli tqoul…. !’ Lui ‘...Temma jedda bianou, ou massou bél timbri ‘...Veuillez indiquer le nombre de personnes…. !’
Elle ‘...Khoud bââda el timbri, hach’ti bi, iye ouehdé mitté bel jou, ijé neqadou ou en hattou ‘..Combien de personnes...’ Lui ‘...Mnih, méi temmé cent enti, ené, betné, ouldné… !’ Elle ‘...Lé douar el warqa ou hat eli béch en qolloq….Hat FRAJI GUEJ...SARIT elli me thabch el arab, hat Elsa el Chouchiyé, hat Serge JOURNOU….Freddy Bouahnik mta sfaqess, hat ediq NATH bent AMSSALEM...Erchem jeddé ATTAL YVANOV mel
rouchia...Ou yé rabi euch’qoum méjjel ah eye HAT MEYER LAHMI chouc chouc….Ou Hat jedde DIDIER CHLEMA el sezar teoue i jibelem âârba kilo qtef fél lenvelloppe...Ahcheb teoué…. ‘...Lui ‘...TLETACH….Raqba… !’ Elle ‘...Ok, saqar el liste… !’ ‘..Mei n’chiné had… ?’ Elle ‘...El ouarqa me tchéjich, zghira, yejji… !’
Moumou sort et va poster le carton sans le timbre….
Au bout de trois jours, le télèphone sonne...C‘est Poupée la sœur du marié…. !
‘...Qolli ye okhti, edou el jmaa i qounou méneq…. ?’
‘...Ah n’chit jedda KEREN GUIRCHOUN el tebakha, eli tekhdem traiteuse, rabi lei i nahiq amin ye okhti… !’
L INVITATION...TRADUCTION...
‘Hé Zaira, nous avons reçu une invitation pour le mariage du fils de ta sœur POUPEE la supersitieuse… ?’ Elle ‘...Ouvre là et dis moi ce qu’elle dit…. !’ Lui ‘...Il y a déjà une petite enveloppe timbrée et un plan et ‘...Veuillez……..’..Elle ‘...Prend déjà le timbre, j’en ai besoin, elle qui est une affamée, viens nous nous asseyons et nous remplissons le ‘ Combien……. !’ Lui ‘...Bon, nous ne sommes que toi, moi, notre fille et notre fils…. !’ Elle ‘...Non, tourne le cartillon et rajoute,...FRADJI GUEZ….SARIT qui déteste les arabes, rajoute ELSA LA SOUSSIENNE, et SERGE JOURNO….FREDDY BOUAHNIK DE SFAX….Nath la fille de AMSALLEM….Ecrit aussi ATTAL YVANOV Le RUSSE……Ah mon D ieu, il reste encore MEYER LAHMI ma chair frisssonne...Et DIDIER SLAMA il leur apportera 4 kilos d’épaule jeté dans l’enveloppe...Compte à présent… !’ LUI….’.13 personnes… !’ (cous) Elle ‘...Clos la liste… !’ Lui ‘...Tu n’as rien oublié… ?’ Elle ‘..Le carton ne suffit plus, trop petite
Moumou sort et va poster le carton sans le timbre….
Au bout de trois jours, le télèphone sonne...C‘est Poupée la sœur du marié…. !……………………………….
‘...Dis moi ma sœur, tous ces gens là font partie de ta famille… ?’
‘..Ah, si tu peux rajouter KEREN GURCHOUN la cuisiniére, celle qui bosse comme traiteuse, que D ieu te garde amen ma sœur… !’
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 janvier 2019, 12:28 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
.....L'Enfant de la Goulette...!' BREITOU.
Raconter et narrer ce que j’ai connu le mieux et le plus. Ma vie n’est pas un roman à succès, elle ressemble à la votre à quelques détails prés. L’ambiance, le parlé, la cuisine etc...Les habitudes aussi et surtout. Notre communauté juive tune est très attachée à ce perpétuel recommencement à nos us, à nos traditions mise à part que une fois partis de chez nous et surtout une fois nos parents partis, la fabrication de nos petits anneaux multicolores EN PAPIER, ces longs rubans que nous accrochions, tout enfant, d’un coin à l’autre de la salle à manger, soutenus par le lustre a disparu depuis, pour honorer la mémoire de REBI CHYMYONE ET REBBI MEYER. Juste un exemple que je cite sans rentrer dans bcp d’autres petites choses qui n’ont pas survécu en FRANCE.
Le soir, à l’age de l’enfance, nous attendions avec grande joie le soir du chabath, non point pour le cérémoniale, bien papa et maman n’étaient pas des loubas, ce qui ne veut pas dire que le shabath n’était pas respecté, loin de là, mais parce que soir là, Papa n’oubliait jamais de rentrer les mains pleines et surtout avec ce paquet de gâteaux estampillé au début SAAL puis Garza. Mes frères et moi attendions la fin du repas, pour voir enfin la délivrance de cette boite blanche, débarrassée de sa ficelle. Et nos yeux fascinés, commençaient à baver. Les éclairs au chocolat, les portions de mille feuilles, de religieuses, de tartes aux fraises selon la saison, puis ce petit rectangle de gâteau étagé fait beurre et aux amandes ( pâtes d’amandes) était mon préféré. J’avais une longueur d’avance sur le bras de mon frère cadet qui avait cette envie de toucher à tout ce que je touchais. D’où que PAPA, connaissant nos préférences, avait doublé, à la longue, la mise, en réajustant, afin de ne pas créer de jalousie, un autre paquet au premier. Le mille feuille n’avait pas ma préférence, la crème dégoulinait sur mes doigts, dés la première morsure, sans compter les miettes sur le lit. Ce n est que bien plus tard, que j’avais compris qu’il fallait le manger latéralement. Que de fois, j’allais m’empiffrer à la sortie du cinéma REX, chez notre ami Curatollo, notre pâtissier attitré, grand fan de la Juventus de Turin.
Ces petites choses, qui, autrefois, n’avaient pas grande importance, deviennent, à mesure que le temps dévore notre âge, des évènements d’un passé remarquable, d’un vécu insouciant, et ne pas leur donner de l’importance aujourd’hui, ferait de moi un non voyant.
Je regarde mon passé, vous en faites de même, preuve est, que vos photos souvenirs, réapparaissent comme si, vous insistiez à replonger dans le temps, ce temps en noir et blanc affiché sur vos cartes postales, et qui a fait de nous, de vous, des vieux enfants de la mémoire. Ce n’est pas un hasard, si sur HARISSA. COM, mes textes étaient présentés sous le titre le plus simple, celui d’un enfant...L’ENFANT DE LA GOULETTE… !’ Cet enfant n’est pas mort, il vit en moi, et ne me quittera pas. l’enfant est devenu PAPY….Et PAPY a renoué avec son enfance, la faute ou la cause revient à mes petits enfants. Ils me replongent dans cet univers qui est le leur mais loin de ressembler au mien, au notre. Moi qui ait passé mes premières années, emprisonné dans un caisse en bois, mon youpala, j’ai appris à me mettre debout en m’agrippant aux rebords, comme un évadé qui à jurer de faire le passe muraille, et pour rajouter du piment à l’affaire, j’ai ouvert mon bec à 4 ans PAR UN MAA….Ce qui a fait dire à MEIHA par la joie ‘..YATIC MOUMIE…. !’ Qu’elle importance, aucune. Aucune et je vous l’avoue, avant de fermer les yeux et de m’endormir, j’entends l’écho de la voix de MEIHA, ma grand mère, celle qui fut ma maîtresse en judéo et ma protectrice, celle qui rampait la nuit pour venir me sauver des ‘griffes’ de mon père, parce que je pleurais de trop et sans cesse la nuit. Ne croyez surtout pas que j’ai cessé de pleurer à 73 ans, de rire aussi, la vie me le commande ...RIRE ET PLEURER...La vie, les aléas, les soucis, les emmerdes etc...Oui c‘est la vie. Qu’aurais-je appris sans tout cela… ? Rien. Sans douleur, sans chagrin, rien ne se forge, l’age n’aidant pas, nous, oui nous...voilà à la merci, à mesure que l’âge nous ronge, assujettis à des solutions buvables, aux problèmes de santé, à des cachets, à des analyses, du petit bobo de l’enfance, nous abordons les grands bobos. C’est la vie mais ce que je souhaite le plus est que D ieu fasse de ne pas nous envoyer de grands BOBOS….Eli en harou fiem…..Des bombons oui, même si nos dents sont factices mais c est meilleur que ces derniers.
Rien ne nous appartient, l’appartenance ne s’achète pas, tout comme la propriété elle est a nous pour un temps mais pas pour l’éternité….C’est la vie….Seul le grand propriétaire décidera qd évacuer les lieux. C’ est la vie. Aimons là, comme elle vient sans vouloir la déformer et la défoncer.
BREITOU.
Raconter et narrer ce que j’ai connu le mieux et le plus. Ma vie n’est pas un roman à succès, elle ressemble à la votre à quelques détails prés. L’ambiance, le parlé, la cuisine etc...Les habitudes aussi et surtout. Notre communauté juive tune est très attachée à ce perpétuel recommencement à nos us, à nos traditions mise à part que une fois partis de chez nous et surtout une fois nos parents partis, la fabrication de nos petits anneaux multicolores EN PAPIER, ces longs rubans que nous accrochions, tout enfant, d’un coin à l’autre de la salle à manger, soutenus par le lustre a disparu depuis, pour honorer la mémoire de REBI CHYMYONE ET REBBI MEYER. Juste un exemple que je cite sans rentrer dans bcp d’autres petites choses qui n’ont pas survécu en FRANCE.
Le soir, à l’age de l’enfance, nous attendions avec grande joie le soir du chabath, non point pour le cérémoniale, bien papa et maman n’étaient pas des loubas, ce qui ne veut pas dire que le shabath n’était pas respecté, loin de là, mais parce que soir là, Papa n’oubliait jamais de rentrer les mains pleines et surtout avec ce paquet de gâteaux estampillé au début SAAL puis Garza. Mes frères et moi attendions la fin du repas, pour voir enfin la délivrance de cette boite blanche, débarrassée de sa ficelle. Et nos yeux fascinés, commençaient à baver. Les éclairs au chocolat, les portions de mille feuilles, de religieuses, de tartes aux fraises selon la saison, puis ce petit rectangle de gâteau étagé fait beurre et aux amandes ( pâtes d’amandes) était mon préféré. J’avais une longueur d’avance sur le bras de mon frère cadet qui avait cette envie de toucher à tout ce que je touchais. D’où que PAPA, connaissant nos préférences, avait doublé, à la longue, la mise, en réajustant, afin de ne pas créer de jalousie, un autre paquet au premier. Le mille feuille n’avait pas ma préférence, la crème dégoulinait sur mes doigts, dés la première morsure, sans compter les miettes sur le lit. Ce n est que bien plus tard, que j’avais compris qu’il fallait le manger latéralement. Que de fois, j’allais m’empiffrer à la sortie du cinéma REX, chez notre ami Curatollo, notre pâtissier attitré, grand fan de la Juventus de Turin.
Ces petites choses, qui, autrefois, n’avaient pas grande importance, deviennent, à mesure que le temps dévore notre âge, des évènements d’un passé remarquable, d’un vécu insouciant, et ne pas leur donner de l’importance aujourd’hui, ferait de moi un non voyant.
Je regarde mon passé, vous en faites de même, preuve est, que vos photos souvenirs, réapparaissent comme si, vous insistiez à replonger dans le temps, ce temps en noir et blanc affiché sur vos cartes postales, et qui a fait de nous, de vous, des vieux enfants de la mémoire. Ce n’est pas un hasard, si sur HARISSA. COM, mes textes étaient présentés sous le titre le plus simple, celui d’un enfant...L’ENFANT DE LA GOULETTE… !’ Cet enfant n’est pas mort, il vit en moi, et ne me quittera pas. l’enfant est devenu PAPY….Et PAPY a renoué avec son enfance, la faute ou la cause revient à mes petits enfants. Ils me replongent dans cet univers qui est le leur mais loin de ressembler au mien, au notre. Moi qui ait passé mes premières années, emprisonné dans un caisse en bois, mon youpala, j’ai appris à me mettre debout en m’agrippant aux rebords, comme un évadé qui à jurer de faire le passe muraille, et pour rajouter du piment à l’affaire, j’ai ouvert mon bec à 4 ans PAR UN MAA….Ce qui a fait dire à MEIHA par la joie ‘..YATIC MOUMIE…. !’ Qu’elle importance, aucune. Aucune et je vous l’avoue, avant de fermer les yeux et de m’endormir, j’entends l’écho de la voix de MEIHA, ma grand mère, celle qui fut ma maîtresse en judéo et ma protectrice, celle qui rampait la nuit pour venir me sauver des ‘griffes’ de mon père, parce que je pleurais de trop et sans cesse la nuit. Ne croyez surtout pas que j’ai cessé de pleurer à 73 ans, de rire aussi, la vie me le commande ...RIRE ET PLEURER...La vie, les aléas, les soucis, les emmerdes etc...Oui c‘est la vie. Qu’aurais-je appris sans tout cela… ? Rien. Sans douleur, sans chagrin, rien ne se forge, l’age n’aidant pas, nous, oui nous...voilà à la merci, à mesure que l’âge nous ronge, assujettis à des solutions buvables, aux problèmes de santé, à des cachets, à des analyses, du petit bobo de l’enfance, nous abordons les grands bobos. C’est la vie mais ce que je souhaite le plus est que D ieu fasse de ne pas nous envoyer de grands BOBOS….Eli en harou fiem…..Des bombons oui, même si nos dents sont factices mais c est meilleur que ces derniers.
Rien ne nous appartient, l’appartenance ne s’achète pas, tout comme la propriété elle est a nous pour un temps mais pas pour l’éternité….C’est la vie….Seul le grand propriétaire décidera qd évacuer les lieux. C’ est la vie. Aimons là, comme elle vient sans vouloir la déformer et la défoncer.
BREITOU.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 12 janvier 2019, 09:43 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L’Enfant de la Goulette….CHAPITRE…… ???
Je suis ce que vous avez vécu. Je suis vous. Et ceux qui n’ont pas vécu, ce que nous avons vécu ne doivent rien regretter. Le Mektoub en a voulu ainsi. Ne regrettez rien, car même si j’avais vécu dans une campagne pleine d’orées, de buissons, de merles etc...Je vous aurai entretenu de ces paysages vierges, sereins, là où l’âme s’épanouit, s’échappe pour aller flirter avec les cimes des futaies, avec le vent et le chant des oiseaux, des corbeaux et des mouettes. Il suffit qu’une vieille feuille tombe d’un orme pour que je m’apitoie sur son sort une fois à terre. Elle laisse derrière elle mille feuilles orphelines.
La solitude a donné naissance à de grands écrivains, et les inventions se sont faites entre quatre murs blancs La créativité a besoin de calme et surtout de distance vis à vis de la vie citadine. Idem pour tous les arts. C’est dans un désert que la voix de HACHEM s’est faite entendre et pas dans un café prisé par des bobos.
Les grandes décisions sont parfois prises dans un isoloir, dans l’isolement, la réflexion, le raisonnement et la décision trouvent leur source dans la solitude. Les grands poètes le savent.
Vous avez sans doute remarqué que depuis qqs mois, je m’abstenais d’écrire des textes. Un ami sur harissa.com, s’en est inquiétais, il m’a téléphoné pour me dire ‘...Albert où est tu… ? J’ai eu ces mots malheureux ‘...Mon inspiration s’est envolée… !’Ma muse m’a abandonnée. Je l’ai perdue. Elle s’est détachée de moi. Elle m’a fuie. Me laissant sans écho. Je n’ai pas perdu pour autant la foi, celle de renouer avec elle. Renoncer à sa foi, à son écriture, c’est faire un pied de nez à une passion, qui m’est venue accidentellement. Sans prétention aucune, je vous avoue aussi que je suis un fauteur, non pas de trouble, mais de vocabulaire, de ‘saintes taxes’, mon style est anodin, simple, compréhensible, visible, à la portée du commun. Car j’ai vécu dans le commun.
A ma ma naissance, je relatais hier, que j’ai ouvert mon bec à 4 ans...En disant ‘..Mââ… !’ maman se faisait un sang d’encre bien que le DR LELLOUCHE la rassurait sur ce mutisme. Mais vous savez ce qu’est une maman juive tune, c’est de la pure angoisse diluée dans un esprit qui se perd dans le tragique….J’ai donc parlé. Mais bien plus que cela, on m’a découvert une anémie. Et là maman a du me donner de son sang. Un précieux sang qui revenait à chaque fois par un ‘..Ehne ââ’titeq demi.. ! Je t’ai donné mon sang… !’ A l’entendre me réprimander, et avec les années ces millilitres de sang devenaient un chantage, le chantage au sang. 50 ans plus tard, il devenait des litres que je ne pouvais rembourser. Même en essuyant la maison, même en étant une bonniche jusqu’à ma BAR MITSWAH j’étais redevable et bien plus, j’étais corvéable à merci.
A 65 ans, elle venait encore me rappeler cette fameuse donation. Le sang de ma mère coule en moi, avec toutes les gènes de son corps, son angoisse, et aussi ses sans gênes car maman osait tout, sans se soucier des répercussions qu’elle pouvait engendrer, el chmah ouel denié oukhre…..
Je n’ai pas fini avec tout cela...Les vapeurs du passé remontent dans ma mémoire et embuent mes pensées, je vais tout ordonner Au prochain chapitre, et avec votre permission, je vous raconterai les tribulations du second frère...SAUVEUR...et du suivant et du suivant..Soyez patients tout viendra à temps.
Cher lecteur, je vous rappelle que je ne fanfaronne pas, je ne fantasme pas, soyez indulgents envers moi, passez sur les fautes comme A chem passe les nôtres, car comme je vous le disais, un monde sans fauteur, n’est pas un monde, juste un conglomérat d’humains à la recherche de son soi mais qui aspire à vivre paisiblement. Je ne porte pas l’épée, j’écris sans plume sergent MAJOR, sans pointe BIC, juste avec un clavier insipide qui s’ efforce à émouvoir.
Votre dévoué Breitou...A bientôt….
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Je suis ce que vous avez vécu. Je suis vous. Et ceux qui n’ont pas vécu, ce que nous avons vécu ne doivent rien regretter. Le Mektoub en a voulu ainsi. Ne regrettez rien, car même si j’avais vécu dans une campagne pleine d’orées, de buissons, de merles etc...Je vous aurai entretenu de ces paysages vierges, sereins, là où l’âme s’épanouit, s’échappe pour aller flirter avec les cimes des futaies, avec le vent et le chant des oiseaux, des corbeaux et des mouettes. Il suffit qu’une vieille feuille tombe d’un orme pour que je m’apitoie sur son sort une fois à terre. Elle laisse derrière elle mille feuilles orphelines.
La solitude a donné naissance à de grands écrivains, et les inventions se sont faites entre quatre murs blancs La créativité a besoin de calme et surtout de distance vis à vis de la vie citadine. Idem pour tous les arts. C’est dans un désert que la voix de HACHEM s’est faite entendre et pas dans un café prisé par des bobos.
Les grandes décisions sont parfois prises dans un isoloir, dans l’isolement, la réflexion, le raisonnement et la décision trouvent leur source dans la solitude. Les grands poètes le savent.
Vous avez sans doute remarqué que depuis qqs mois, je m’abstenais d’écrire des textes. Un ami sur harissa.com, s’en est inquiétais, il m’a téléphoné pour me dire ‘...Albert où est tu… ? J’ai eu ces mots malheureux ‘...Mon inspiration s’est envolée… !’Ma muse m’a abandonnée. Je l’ai perdue. Elle s’est détachée de moi. Elle m’a fuie. Me laissant sans écho. Je n’ai pas perdu pour autant la foi, celle de renouer avec elle. Renoncer à sa foi, à son écriture, c’est faire un pied de nez à une passion, qui m’est venue accidentellement. Sans prétention aucune, je vous avoue aussi que je suis un fauteur, non pas de trouble, mais de vocabulaire, de ‘saintes taxes’, mon style est anodin, simple, compréhensible, visible, à la portée du commun. Car j’ai vécu dans le commun.
A ma ma naissance, je relatais hier, que j’ai ouvert mon bec à 4 ans...En disant ‘..Mââ… !’ maman se faisait un sang d’encre bien que le DR LELLOUCHE la rassurait sur ce mutisme. Mais vous savez ce qu’est une maman juive tune, c’est de la pure angoisse diluée dans un esprit qui se perd dans le tragique….J’ai donc parlé. Mais bien plus que cela, on m’a découvert une anémie. Et là maman a du me donner de son sang. Un précieux sang qui revenait à chaque fois par un ‘..Ehne ââ’titeq demi.. ! Je t’ai donné mon sang… !’ A l’entendre me réprimander, et avec les années ces millilitres de sang devenaient un chantage, le chantage au sang. 50 ans plus tard, il devenait des litres que je ne pouvais rembourser. Même en essuyant la maison, même en étant une bonniche jusqu’à ma BAR MITSWAH j’étais redevable et bien plus, j’étais corvéable à merci.
A 65 ans, elle venait encore me rappeler cette fameuse donation. Le sang de ma mère coule en moi, avec toutes les gènes de son corps, son angoisse, et aussi ses sans gênes car maman osait tout, sans se soucier des répercussions qu’elle pouvait engendrer, el chmah ouel denié oukhre…..
Je n’ai pas fini avec tout cela...Les vapeurs du passé remontent dans ma mémoire et embuent mes pensées, je vais tout ordonner Au prochain chapitre, et avec votre permission, je vous raconterai les tribulations du second frère...SAUVEUR...et du suivant et du suivant..Soyez patients tout viendra à temps.
Cher lecteur, je vous rappelle que je ne fanfaronne pas, je ne fantasme pas, soyez indulgents envers moi, passez sur les fautes comme A chem passe les nôtres, car comme je vous le disais, un monde sans fauteur, n’est pas un monde, juste un conglomérat d’humains à la recherche de son soi mais qui aspire à vivre paisiblement. Je ne porte pas l’épée, j’écris sans plume sergent MAJOR, sans pointe BIC, juste avec un clavier insipide qui s’ efforce à émouvoir.
Votre dévoué Breitou...A bientôt….
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