LE PTB ET MOI ZOUZ.

LES PRÉDICATEURS QUI AUTREFOIS PRÉDISAIENT LA FIN DU PTB peuvent compter sur moi...LE PTB ET ZOUZ...sera tjs présent et debout...Fier de ce qu'il fait et donne....Sa longévité, il la doit à une fidélité et une volonté à décourager les médisants.

MOI.

C'est dans MOI que vous apprendrez parce qu'il est temps que vous le sachiez, bien que celà me soit intime. Vous en apprendrez un peu plus parce que ce qui est écrit ne peut être tut.

Voilà, il y a trois mois, comme par habitude, je descends METRO CHATEAU ROUGE...Pas loin de mon lieu de travail mais ce matin là, je rate la station et je me retrouve à la STATION MARCADET...’...Bon, je me dis ce n’est pas grave, cela arrive… !’ Mais le surlendemain, là encore, je rate la station et me retrouve à la station SIMPLON….’...Bon, je me dis ce n est pas grave, cela arrive… !’ Le lundi d’après, je me retrouve à Porte de CLIGNANCOURT et là, je me dis c est grave. J’appelle un ami et lui raconte ma mésaventure, il me dit ‘...Albert, figure toi que je voulais aller à PORTE D’ORLEANS et je me retrouve à MARSEILLE….Dc ne t’en fait pas, tu vas retrouver tes repères.. !’ Je suis rassuré sauf que, il y a deux mois alors que nous dînions, j’ose un ‘..MEBENE EL MLOUKHIYA… !’ Comme il est bon ton ragoût DE SAUCE NOIRE… !’ En m’adressant à ma femme. Doris me regarde, ses filles aussi, ma femme et DORIS.. ‘..Mais papa, c est bsal ou loubia ce n’est pas MLOUKHIYE… !’ Je me tais et va dans mon lit. Légèrement refroidi. Le mardi d’après le lundi, j’avais RDV avec mon cardio...’..Mais MR SIMEONI, notre RDV c est pour demain… !’ La honte, je m’excuse et je sors. La vendredi d’après, j’avais RDV avec ma DIABETOLOGUE...’...Mais MR SIMEONI, votre RDV est prévu pour la semaine prochaine… !’ La honte, je sors...Mais là, où il me semble que plus rien ne va c’est lorsque j’ai appelé ma fille VALOU qui vit en Israël ‘...Allo...VALOU CHERIE…. ? ‘...Ma ze Valou chérie… !’ ‘...Les enfants vont bien chérie… ? ‘..Ma ze les enfants… ?’ ...Emmanuel va bien… ?’ ..Ma ze Emmanuel… !’ ‘..Rachel aussi… ? ‘ Ma ze Rachel… !’ ‘...Bon je vois que vous allez tous bien… !’ Je raccroche qd ma femme vient me voir et me dit ‘..Tu étais avec qui au téléphone… ?’ ‘..Avec Valou… !’ ‘..Mais je suis avec elle… !’ ‘ Donc elle était avec toi et moi… !’ Elle me regarde avec un œil interrogateur.

Donc chers amis, amies, est ce que je souffre de qq chose… ? J’aimerai avoir votre sentiment, votre opinion sans me faire peur, sans me faire craindre, si j’ai qq chose, dites le moi avec délicatesse, avec diplomatie, sans brusquerie, en choisissant les mots les plus délicats envers mon MOI D’AUJOUR’DHUI.. Je sais que vous en êtes capables afin que je ne sois pas pensif...Les idées noires m’envahissent. Si vous pouvez les rendre blanches, je vous en serai reconnaissant..

MOI...BREITOU.

Ma dive bouteille,
Moi qui suis nul en fraction,
Tu accompagnais mon défunt papa,
Là où la chikhe te draguait,
Si petite mais si bonne, que de fois entre vos mains,
J' ai fais couler mon breuvage, je suis le chiffre.
Je suis celle qui tourne la tête
A ceux qui me prennent pas le col.
Et coule de mon sein ce préceux liquide
Qui s'accompagnait avec la paire d'or..
Je suis encore là, bien vivante
Mon créateur, m'a faite ainsi..
Ivresse et plaisir..

Je suis la fraction, le chiffre..LE 1/8...JE SUIS LE TEM BOUKHA.
Mon pére se nomme BOKOBZA.

En traversant la Méditerranée le huitième (12,5 cl) est devenu dixième (10 cl), soit 20% de moins !
Et je crois que le degré d'alcool était supérieur à 37,5%. La bouteille de gauche est à 36%.


Pièces jointes:

MERCI MEYER..TU AS L AIR D ÊTRE UN VRAI CONNAISSEUR...DC LITRE...RBAA...OU TEM...LOLLL

EJELE… ou ITEME…

Veuve et Orphelins

Dans les temps reculés, dans le ghetto juif , LA HARA, là où la promiscuité courait les rues et les impasses, la maladie, les épidémies étaient nombreuses. De véritables hécatombes. Et donc soit c est le mari qui décédait, l’épouse tet’ejél,( veuvage) soit l’époux qui trépassait ( i tej’él) (veuvage aussi) ou alors les enfants qui partent ( dans ma famille Meiha, ma grand mére, a perdu ses 4 enfants, on dit TECH’WET, lawirina. Haj véchallom.

Dans le cas de la veuve avec enfants, l’aide la plus importante était la famille, cousins, oncles, tantes etc qui venait à la rescousse, on dit là I QEBOUEM, ( ils les enveloppent) La veuve TEBQA MAQ’BOUBA( à ne pas confondre avec le plat de MAK’BOUBA. Si les deux parents partaient , les enfants deviennent ITEME MEL BOUHEM OU MEL OMOM. Et là
ce n'est pas un organisme qui va les prendre en charge comme de nos jours, PUPILLES DE L ETAT mais bien la famille qui va tout faire pour élever les ITEME. Orphelins. Mon père en fut un, il avait 13 ans qd il fut ITIME. TROIS FRÈRES ET UNE SŒUR en bas age à charge. Élevés par une parente paralytique.

La solidarité dans les quartiers pauvres appartient aux gens dénudés, aux familles indigentes, l’aide et le secours n’ étaient pas un vain mot. Je ne sais pas si L OSE à cette époque subvenait à ses familles endeuillées, on me le précisera.

Certaines personnes dans le quartier qu’on nommaient EL MHAMERJIYE..Les gens du mouchoir blanc avaient pour mission de récolter des fonds chez les nantis. Et c’est là qu’intervenaient ces hommes du quartier, non élus, mais éprit de grande compassion qui allaient sur les grands boulevards pour récolter des subsides destinés à ces femmes veuves ou à ces orphelins. LA MHARME , le mouchoir blanc, était le signe distinctif de ces personnes qui se présentaient sans mot dire chez un juif riche, au Colisée par exemple, ou dans les souks des bijoutiers, avec l’intention d’obtenir une aide. Et bcp de nos compatriotes ont donné à la MHARMA, et je parle des livournais qui ont contribué à ces actions de bienfaisance.

L’homme de la MHERMA se présentait avec dans la main un mouchoir blanc et le propriétaire du commerce devinait par là, ce qu’il venait demander . Après avoir récolté durant deux ou trois jours, une certaine somme, celle çi allait dans la main de L EJELE, pour lui permettre de construire ce qu’on appelle EL QECH’WE la tombe de l’époux dans un premier temps.

Pour raccourcir les deux mots CLEFS dans cette communauté de misère étaient EL HNENE OUEL CHOKH’FE...OUEL TÂÂ’WIN….LA DOUCEUR...LA COMPASSION ET L AIDE...MORALE OU FINANCIERE.

* Pour la MHERMA, le mouchoir source DEIDOU , mon papa, il était un de ces missionnaires bien plus tard, une fois sa situation de marbrier établie. Parce qu’il savait ce qu’est EL ITIME ouel Aajeyej..Il avait des amis de comptoir qui étaient riches et il s’est fait un renom dans ce domaine.

Il n`est pas necessaire de raconter la qualite du notre super sandwitch tunisien, mais je me permet de dire qu`a NES-TSIONA au coin de ma rue (la rue Nordau) il y a une petite gargote qui fait d`excelent sandwitch tunisien.
Bon appetit mes amis, et surtout a mon cher Bebert .

IL SE PREPARE MON PETIT JUIF...EMMANUEL...EMOUNA....
Pièces jointes:

Quel parcours.

Du sandouq ( caisson en bois) dans lequel j’ai passé ma petite enfance, jusqu’à ma liberté retrouvée, que d’eaux sont passées sous les ponts de la Goulette. Que de pas ont foulé ma terre natale...Que de levers de soleil, et que de lune qui se sont endormis….Que d’air marin, j’ai respiré et combien mon patelin était beau. Que d’amis, j’ai côtoyé, que de jeux d’enfants j’ai pratiqué, que de disciplines sportives, j’ai pratiqué, que de compagnons de terrain j’ai croisé…JE VOUS AIME. Que de joies, j’ai partagé, des pertes aussi d’amis, que de tragédies n’ais je pas vu et entendu, que d’enterrements n’ais-je pas vécu, et parmi tous ces souvenirs, je m’interdis d’en citer un, tellement ils étaient hors normes. J’ai eu la chance de vivre dans un pays hors normes, où tout était rire, dans un patelin qui a laissé dans mon esprit des traces indélébiles à commencer dans ma famille pauvre et indigente au début avec une fratrie des plus comiques qui soit. Entre une grand mère, un papa, une maman, un oncle une tante aussi différents les uns des autres, un brassage tune authentique comme toutes ses familles qui n’ont rien à envier aux autres. Nous faisons partie de cette grande famille...Et nous avons était apprécié, autant sur les terrains de jeux que dans la vie courante. Mon papa z’al nous a inculqué le sens de la droiture, de l’honnêteté, ma grand mère, celle de la prévention, sa morale, ma mère nous as instruit l’angoisse permanente z’al, et la méfiance en tout genre…

Mon plus grand souhait est que vous mes amis, mes amis devenus âgés, papies et mamis, er que vous jeunes mamans et papas, célibataires tunes ou français, je souhaite de rentrer dans votre mémoire, comme étant ce que vous voulez que je sois, dites à vos enfants que vous avez connu un jour, après ma longue vie, un certain BREITOU, pas un CHAA, mais un homme qui à fait de son écriture, un style simple, un modèle de rire, et d’émotion, que mon nom soit gravé dans la tête de vos enfants et petits enfants, que vous leur dite que nous avions connu un BREITOU qui nous parlait la langue de nos parents. Que lorsque vous croisez une de mes filles, un de mes petits enfants dites leur ‘...Mais ton papa, ton papy, c’est BREITOU…. ? Je veux qu’elles soient fières de ce que j’ai pu vous donner, vous apprendre sans aucun retour, parce qu’ enfant goulettois, indigent, et pauvre,modeste, je veux que BREITOU soit celui qui sera cité dans la génération future, qu’elle soit juive, italienne ou musulmane. C’est mon profond désir.

PARCE QUE JE SUIS MOI ET QUE VOUS ...ETES MOI….

Breitou.

Je n’ai pas voulu vous inquiéter.
Il y a deux mois, je suis allé aux urgences de l’hôpital de STE ANNE. Une longue file attendait derrière le guichet, c est fou le nombre de dérangés qui viennent se soigner. Bref, je m’assois et j’attends mon tour. Une vieille dame est assise prés de moi, sur ses genoux, son chiot ‘...Vous venez pour le chien, madame… ?’ ‘...Oui, mon toutou ne va pas bien, et mon médecin généraliste, m’a dit d’aller consulter à l’hôpital STE ANNE, il faut que je l’ausculte, il ne me reconnaît plus…. !’ Enfin mon tour arrive, la dame de l’accueil ‘...Bjr Monsieur, vous venez pour quoi… ? ‘ ..C’est intime, alors si je peux rencontrer qq’un de compétent, pour m’aider à résoudre mon problème… !’ Dans ce cas, vous allez être reçu par le professeur DU PLOMD…. !’ ‘..De L’aile…. ? ‘...Pardon… ? ‘...Non j’ai dis comme cela… ! ‘ En attendant votre C.V… !’ Je me rassois et au bout d’une heure, j’entends mon nom ‘….Présent… !’ Je rentre, et je me retrouve devant mr DU PLOMB...’ ‘...Ressas..’ Lui ‘...Pardon… !’ ‘ J’ai dis Ressas… !’ ‘..Il n’est plus dans mon service depuis deux mois, il a fondu dans la masse… !’ ‘...Ah, ok bon voilà, je viens vous voir parce que je suis traversé par une idée, oui, une idée qui m’a traversée… !’ Intéressant, et que ressentais vous … ? ‘...Comme une blessure là dedans, derrière mon front… !’ ‘...Vous saignez… ? ‘...Ben, seule une radio un scan, une fibro peut déterminer cette traversée… !’ ‘...Comment vous sentez vous… ?’...Anormale… !’ ‘..Ah sans doute l’idée...Est t’elle blanche ou noire… ?’ ‘..Haq el dénie, Professeur, pour la couleur, je ne peux pas la déterminer d’où que je suis devant vous… !’ ‘...Je vais vous hospitaliser, dans le pavillon des fous… !’ ‘…C’est une drôle d’idée...Avec ceux qui sont dans le même cas que moi.. ?? ‘...Nous avons de tout, ici, des personnes sans idées, d’autres avec des idées bizarres, saugrenues, émotionnelles etc...Tout un éventail… !’ ‘..Ah mraw’ha mélle… !’ ‘..Pardon… ? ‘ Non je parlais seul, bon, écoutez, je crois que l’idée a traversée mon esprit et que je m’en suis débarrassée… !’ ...Donc, je ne vous prescrit rien du tout… ? ‘..Non, non, vous m’avez rassuré, Professeur du PLOMB… ! Je vous laisse avec votre contingent d’idées qt à moi, cette consultation m’a fait comprendre, qu’il a de bonnes et de mauvaises idées, celle d’être venu ici était mauvaise, mes idées sont claires, et elles traversent mon esprit comme des comètes sauf que parfois, elles laissent des traces… !’
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