Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****

Envoyé par albert 
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
21 août 2009, 14:35
Cinq ou six ans en arrière....mais j'étais toute petite et je n'étais pas au courant.

Ce faux-ami, cher BREITOU devait et doit avoir l'habitude de broyer du noir......

il a bien fait de se dévoiler, si ça se trouve la honte qu'il a maintenant, il porte une burka !!!!
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
22 août 2009, 00:45
Ouf Breitou tu exhumes des histoires datant de mathusalem!!!!!!on va croire qu'on a plus de ..........tuit ans,
toi tu étais petite à cette époque Mayté,
moi je ne peux rien confirmer, je ne savais pas lire encore !
mais j'en ai entendu parler par les vétérans !!!!!
Je ne sais pas si Breitou a un Négre ......
mais je sais kil a de belles africaines dans sa life de tous les jours ...............ca tu peux pas le nier Breitou !!!!!


Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
22 août 2009, 01:04
MAMILI,

Tu m'as gâché la journée, me dire que BREITOU à un harem, moi qui me faisait des illusions...



the finger smileythe finger smileythe finger smiley
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
22 août 2009, 01:08
Je sais Mayté, tu es décue !!!!mais il faut bien qu'il gagne sa vie cet homme!!!!!!
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
22 août 2009, 02:26
Que voulez vous je n'ai pas choisi, c'est mes noires qui m'ont choisies et vous savez quoi je n'osais pas vous l'avouer, je fais un traitement pour noircir à base de goudron frais.

Tout le contraire de notre cher Mickael Jackson..z'al. Résultat, je commence à noircir légèrement des orteils.
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
23 août 2009, 11:38
Paris le 15/4/2004



Récit imaginaire raconté par Breitou.

Les faits rapportés ici ne sont que pure imagination et ne peuvent constituer un plagiat ou inspiration de quelque nature qu’elle soit. Les noms cités sont fictifs.

Ma Conseillère bien aimée...
Narration.

Je me présente. Je m’appelle Jules Vernet. Je suis un homme d’affaires, grossiste en import-export, et mes relations de travail ont toujours étaient empreints de cordialité, envers mes collaborateurs directs et indirects..

Il n’en fut rien avec ma nouvelle conseillère commerciale nouvellement promû dans le service de la B.T.E. Mon ancienne collaboratrice Madame Fournaise, fut dirigée dans un autre service, à un échelon supérieur.

Elle m’avertit cependant, par simple lettre, de son remplacement par Mademoiselle Caroline Chaumont . Une jeune femme âgée de 28 ans.

Mes relations avec Madame Fournaise ont toujours été au beau fixe. Elle se déplaçait parfois à mon bureau pour faire signer quelques documents majeurs.

Cette dernière me connaissait bien caractériellement et aplanissait souvent mes petits soucis avec sa hiérarchie. Mon ancienneté méritait quelques entorses au règlement quand je jugeais que mes prélèvements de frais de toutes sortes étaient ‘injustifiés’.

Mes cordiales relations, parfois empreintes d’humour, se limitaient à des échanges d’ordres de virement ; achats et ventes de titres ou à des ouvertures de crédit. Rien d’anormal. Tout était cryptés par fax, ou soufflé par téléphone.

Un incident majeur allait se produire, deux semaines, après son départ.

Je me présentais, un certain lundi, au guichet de la banque, pour retirer la somme de 30.000 frs.

Je m’entendis dire par la caissière, que je pouvais prétendre à cette somme, puisque qu’elle dépassait le quota réglementaire, plafonne. Soit 20.000 frs. Je ne l’entendais pas mon oreille et exigeais de retirer la somme illico presto, prévalant que j’étais en droit de prélever mon argent sans en rendre compte à qui que se soit.

La caissière, un peu déboussolée et préjugeant d’un esclandre, prit la sage décision d’en référer à son directeur d’agence, qui lui s’enquerra auprès de ma nouvelle conseillère.

Un long conciliabule, entre eux, par téléphone, s’en suivit et au bout de 10 minutes de discussion, l’accord m’étant parvenu, je repris le chemin de mon bureau avec la somme exigée. A mon grand soulagement.

15 minutes, plus tard alors que je rentrais à peine dans mon bureau, Mademoiselle Caroline fit sonner mon téléphone…

‘…Monsieur Jules…’ Me dit ‘elle….’ Qu’allez vous faire de cet argent… ?’ Sur un ton péremptoire à la limite d’une réflexion policière. Après les faits.

Je restais un moment dubitatif, un peu surpris et choqué par la demande puis sans réfléchir, je m’emportais et lui répliquais…..

‘….Qu’est ce que ça peut vous faire .. ? Je n’ai fais que retirer mon argent et je le ferais toute les fois que bon me semble... ? Je n’ai pas de compte à vous rendre…. ! Quand je verse de l’argent vous ne posez pas de telles questions mais quand il s’agit d’en retirer vous me parlez de …. !’

‘..Mais c’est le règlement …. ! ‘Me dit elle…

Nouvel assaut verbal…

‘...Votre règlement vous pouvez vous asseoir dessus, j’en ai que faire… !’
‘…La prochaine fois … !’
‘…La prochaine fois, je referai la même chose et surtout que l’on s’entende bien, ne m’emmerdez plus avec vos histoires à la con… ! ‘

Je raccrochais sur sa voix. Cet incident marqua le début de notre indifférence. Et la rupture de nos relations fut consommée.

Je n’appelais plus Mlle Caroline et mes échanges se limitaient à des fax ou des envois de courriers par la poste.

Au fil des jours, je me rendis compte qu’à de nombreuses reprises, mes ordres en bourse et autres opérations financières, les plus simples, n’étaient plus suivies avec assiduité comme au temps de mon ancienne conseillère.

Je levais donc le téléphone un mois plus tard, très en colère, pour faire valoir mes droits….D’une voix serrée...

‘…Dites moi vous… !’
‘…Qui vous… !’
‘…Moi…. !Comment se fait il que vous laissez mes ordres en sommeil… ! Vous tardez à les prendre en compte… ? ‘
‘…Je les donne à ma direction, je ne m’en occupe plus… !’

A suivre...
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
24 août 2009, 13:36
Récit imaginaire raconté par Breitou.

Les faits rapportés ici ne sont que pure imagination et ne peuvent constituer un plagiat ou inspiration de quelque nature qu’elle soit. Les noms cités sont fictifs
.


Ma Conseillère bien aimée...II.



Fou de rage je lui lançais le mot de ‘Salope… ! Vieille célibataire endurcie.. !’

J’y allais un peu fort.

‘...Parlez moi sur un autre ton… !’

Me dit elle…

‘..Je parlerai comme je veux et je ne mettrais pas des gants avec vous.. !’

Elle raccrocha au nez.

Je voulais la rappelez pour la rabrouer mais je me retins, estimant en avoir trop dis. Et même trop dit.

C’est elle qui me rappela pour me dire.

‘…Vous êtes le client que je déteste le plus. ..Et je préfère le célibat plutôt qu’un homme comme vous…... ! ’

Me dit elle avec un timbre de voix aigue et un pincement aux lèvres que je devinais.

Raccroche.


J’étais remis à ma place. Interloqué, je restais avec le combiné entre les mains. Un know down.

J’avalais ma salive, ma gorge nouée par ce que je venais d’entendre. Je composais son numéro pour la rappeler mais en fin de compte je laissais tomber, à la dernière minute.

Je respirais longuement, malheureux de ne pas avoir eu le dernier mot. Après tout me suis-je dis peut être que je suis allé un peu fort.

Et puis bizarrement le mot ‘SALOPE’ tambourinât dans mon l’esprit comme si ma bonne conscience soudain réveillée, me le reprochait et me rappelait à l’ordre.

‘Salope....’ Quel mot ... ! Mais enfin pourquoi le lui ais je dis .... ?

Je commençais à réfléchir sur ce qualificatif qui me perturbait. A ce mot impropre, de la rue, de bas quartier malfamé. Un mot hors la loi qui n’avait pas sa raison d’être. Bref, je voulais m’excuser mais son dernier message avait tout gâché.

‘..Un homme comme moi… ! Mais pourquoi un homme comme moi… ? Quelle garce… !
Pensais-je. Mais je me disais aussi que nous étions quittes. En résumé.

J’étais sérieusement perturbé. Un remord m’envahit. Je fermais péniblement l’œil, le soir avec le bon espoir d’aplanir l’incident le lendemain en lui présentant mes excuses.

Mais en vain, au petit matin, je laissais les choses en l’état, préférant exposer mon souhait au directeur; celui de me changer de conseillère.

Là aussi, je faisais marche arrière car l’idée de me faire pardonner faisait son chemin. J’étais bien décidé à le faire après notre échange aigre-doux, deux semaines plus tard.

Je levais le téléphone et composais son numéro personnel. J’avais le cœur serré.

La sonnerie du téléphone retentit. Un message sibyllin sortit d’un répondeur m’annonçait que ‘….Mlle Caroline était absente du ….au…. ! Vous pouvez contactez Mlle Duranclay.... !’

A suivre.....

Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
02 septembre 2009, 11:52
Récit imaginaire raconté par Breitou.

Ma Conseillère bien aimée...III


J’éprouvais de l’amertume, sur le coup. Encore deux semaines, à attendre son retour pour m’excuser, c’était un peu trop long. Je craignais que cette pause m’ôte toute envie de récidive.

Bref, je patientais.

Les deux semaines s’écoulèrent mais là, je captais le même message.

Plus tard, j’apprenais effectivement que mes ordres étaient , non plus suivis par la direction mais par sa collègue Mlle Duranclay. Prétextant une anomalie dans un courrier, j’appelais cette dernière. Et là tout en douceur, je lui demandais à quelle date revenait Mlle Caroline…

‘…Oh… ! Vraiment je ne saurais vous le dire, Monsieur Vernet… ! Elle est en congée de maladie…. !’
‘..Mais qu’a t’elle. … ! ‘Dis-je presque en criant.. !
‘..Mais, je l’ignore Monsieur Vernet… ! Mais pourquoi cette question…. ?’
‘..Non… ! Excusez- moi, Madame Duranclay… ! Je suis un peu fatigué.. !’

Et je raccrochais en la saluant.
Sans me décourager, quelques jours plus tard, je recomposais le numéro personnel de Caroline. Même message dans son répondeur.

Je me trouvais étrangement bizarre. Pourquoi cet acharnement à vouloir m’excuser. ... ?’
Je ne comprenais plus mon insistance à vouloir me faire pardonner…. ?

Je tournais en rond. Complètement déboussolé.Je livrais bataille en mon for intérieur
contre un sentiment qui naissait et que j’occultais. Il prenait racine incidemment. Cette insulte et ce remord se liguaient contre moi pour former cette sensation, ce sentiment.

Inconscient au moment des faits, de ce que j’avais pu dire envers elle, je me trouvais dans une situation complexe. Me voila à présent conscient d’une bavure qui a prit le dessus sur tout autre considération. Je démentais cette idée que je sois tombé amoureux pour le seul motif que je me sentais coupable. Et pourtant cette culpabilité engendra de l’amour. Une brèche insidieuse s’était ouverte dans mon cœur d’une manière fourbe. Violente en tout cas. Aussi violents que furent mes paroles. Je n’avais pas mesuré l’impacte de mes propres absurdités sur ma conscience d’autant plus que je me connaissais rebelle à certains dires entre autre. J’ai fais de l’excès de zèle et je paye cet abus par un excès d’amour imprévu. Je concluais donc à ma grande surprise que j’étais amoureux.

J’admettais cependant cette chose qui ne tournait pas rond en moi. Melle Caroline me manquait. Du moins sa voix. Je ne pouvais plus me débarrasser d’elle alors que je ne la connaissais pas. Je pensais à un fantôme avec voix, sourire mais sans visage.

Elle avait une voix douce, charmante et j’imaginais par là, son allure et son corps.
Se pouvait il qu’elle soit rentrée ainsi dans mon cœur à cause du mot ‘ SALOPE’..... ?

Suis-je devenu fou… ! Suis-je donc tombé amoureux d’une personne plus jeune de 18 ans à cause d’un échange verbal qui a dépassé ma pensée. Tout cela ne justifiait pas cet acharnement.

J’avais 35 ans et célibataire.

Le surlendemain, après ce pénible constat, je rappelais Mlle Duranclay. ….

‘…Elle se repose…. ! En Bretagne, à St Malo, chez sa maman, mais vous allez avoir une autre conseillère….Mr…,’
‘…Non…. ! Non…. ! Non….. ! Dis je trois fois….
‘…Je veux Mlle Caroline….. ! Sinon je change de banque… ! Ok …. ?’
‘…Elle est très malade… !’
‘…Très malade….. ? ‘ Quoi très malade…Mlle… !’
‘…Je n’ai pas le droit de vous en dire plus et moi-même je n’en sais trop rien… !’

Je restais ahuri, enfoncé dans mon fauteuil. Je sentais qu’elle mentait sur la cause de sa maladie .

Elle me cachait certainement l’information.

‘..Bon, allez au revoir Monsieur Vernet… !’

Je ne répondis pas à son salut.

Je me sentais mal. Je demandais à ma secrétaire un verre d’eau. Elle se rendit compte de ma pâleur…

‘…Elle est très malade…. !’
‘…Qui Monsieur, est très malade… ?’
‘…Mlle Caroline…. ! Ma conseillère… !’
‘…Vous me semblez mal en point Monsieur Jules… !’
‘…Vous avez son âge et je ne comprends plus ce qu’il m’arrive Rolande.. !’
‘…Je comprends ... ! Vous êtes amoureux… !’
‘…De quelqu’un que je n’ai jamais vu… ?’
‘…Il se pourrait… ! Ecoutez, je vais voir sur le minitel si je peux trouver son adresse… ! Rappelez moi son nom de famille…. ?’
‘….Chaumont …. ! Caroline… !’
‘….Je souhaite que son nom de famille ne soit pas en liste rouge.. !’

Ma secrétaire sortit avec son petit bout de bristol coincé dans la main.

Je rongeais mon frein, impatient de connaître le résultat de ses recherches.
Cinq minutes plus tard, Rolande rentrait avec un sourire aussi large que mon amertume.

‘…Voilà le numéro de téléphone de Madame Arlette Chaumont… ! Sa maman.. ! J’ai appelle prétextant une démarche publicitaire et elle m’a bien précisée que sa fille s’appelait Caroline.. !


Je me levais et j’embrassais pour la première fois ma secrétaire…Elle en rougit.

‘…Monsieur Vernet ….. ! Je vois dans quel état vous êtes… ! Mais est ce bien raisonnable… !’
‘…Aidez moi….. ! Rolande…. ! S’il vous plait…. !’

Moi, qui n’est jamais demandé de secours à personne me voilà quémander un pécule morale.

‘…Vous pouvez compter sur moi…. ! Monsieur… !’

Elle sortit en me laissant avec son petit billet. Sans perdre de temps, je composais le numéro…

A suivre....


Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
14 septembre 2009, 11:52


Récit imaginaire raconté par Breitou

Ma Conseillère bien aimée...IV



Une voix de vieille dame me répondit…

‘…Bonjour Madame…. ! Excusez- moi, je voudrais parler à Caroline… ?’
‘…Vous êtes qui, Monsieur… ?’

Je ne savais pas quoi lui répondre…Je balbutiais..

‘…Un ami de longue date, mais je ne crois pas que vous me connaissiez.. !’
‘…Ah .. ! Ok… ! De toutes les façons ma fille est si discrète… ! En plus courageuse.. !’
Je l’ai élevée toute seule, son papa a fui dés son jeune âge… ! Elle ne l’a pas connue… !’

Elle se laissait aller à des confidences intimes avec un étranger, comme si elle éprouvait le besoin de parler à quelqu’un. Je laissais la vieille dame se confier. Sans l’interrompre.
La solitude laisse souvent les vieilles se raconter avec de grandes plaintes pleines d’émotions.

Elle continuait sa narration…

‘…Et puis, dés l’obtention de son bac, elle a pu dénicher un job dans cette banque à Paris, elle était heureuse de pouvoir subvenir à ses besoins. Je suis handicapée d’une jambe et je vis grâce à ce pécule mais Caroline ne me laisse manquer de rien… ! Baroukh Achem… !
‘…Comment qu’avez-vous dis là… !’

‘…Grâce à D ieu… ! C’est un mot que ma vieille maman me répétait souvent… ! Je suis né juive d’un père Aséknaze, il s’appelait Samuel Bloch… ! Je me suis mariée avec un non juif, qui m’a quitté , et qui est décède a présent…Une histoire ancienne… !’

‘…Mais dites moi, est-ce que votre fille est là… ?’
‘…Caroline est à l’hosto…Au C.H.U de Rennes…. !’
‘…De quoi souffre t’elle… ?’
‘…Elle fait de la chimio… ! Et les médecins ne peuvent se prononcer… !’
Mais rien ne vous interdit, si vous êtes son ami de venir la voir… ! J’habite au 55 Rue des Acacias à St Malo…. ! Prévenez moi c’est tout… ! ‘
‘...Pourrais-je vous demander un service… ?’
‘…Oui, bien sur… !’
‘…Ne parlez pas de notre conversation, je voudrais lui faire une surprise… !’
‘…Entendu… ! Je serais muette comme un gardon… !’
‘…Une carpe, j’ai plus confiance aux carpes… ! Merci… !’

Je raccrochais. Et j’appelais ma secrétaire…

‘…Rolande…. ! Vous savez …. ! Elle a un cancer …. !’
‘…Mon D ieu…. ! Qu’allez vous faire… ?’
‘…La voir…. ! Mais avant, envoyez lui des fleurs tous les jours, en anonymat…. !’
‘…Voulez vous m’accompagner… ? Rolande… ?’
‘…Sans problème…. ! Quand voulez vous y aller.. ?’
‘…Fixons le jour à Dimanche… Prochain ! ‘
‘…Ok… ! Je serais prête.. !’
‘…Je viendrais vous chercher… !’

Je réfléchissais à la situation et surtout à la réaction de Caroline.. Comment vais-je me présenter devant une jeune femme que j’ai traitée du mot de SALOPE.
Il faut que je dise tout à Rolande, les femmes sont plus intuitives dans ce genre d’affaire.
Du coup, ma secrétaire devenait ma confidente alors qu’en trois ans de carrière je n’avais soufflé mot de mes amours ou autres confidences intimes.

Le lendemain, j’invitais Rolande à déjeuner au bas de notre bureau, dans un restaurant Cacher.

A la Boule Rouge. Rolande Cohen est juive de père tunisien. Une belle femme qui n’avait pas eu de chance, m’avait elle dit lors de son embauche. Dans sa vie.

C’est par l’intermédiaire du bureau du Chabath que je l’avais embauchée pour un CDD de six mois. Plus tard, je changeais son contrat pour une longue durée indéterminée. Elle me donnait satisfaction en tout point de vue.

‘…Rolande… ! Vous… !’
‘…Tutoyez moi… ! Jules… !’
‘…Rolande… !Je reprends, tu sais comment je suis… ?’
‘…Oui nerveux, mais avec un cœur aussi grand que la planète.. !’
Pris par l’émotion à ces mots, je laissais mes yeux s’embuer…Comme un gamin a qui on donnait un satisfecit.


A suivre....
Re: SALLE JERO *****LE 5 DE JACO.****** RECIT MA CONSEILLERE BIEN AIMEE....*****
14 septembre 2009, 13:51
la suite c'est avant ou aprés kippour???
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved