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*****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFF/SYLVIE TOURE...ON A KID/ M. LA COMTESSE...LE GRAND PETRUS...LE VOL DU CANARI...'...CoUCOUUU ...! C'EST CLAIRE...!LES IMPONDERABLES...MARGOT LA CHATELAINE ...UNE MAMAN EXCEPTI..LE TALC....!'

Envoyé par albert 
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
25 décembre 2007, 03:11
AU THEATRE CE SOIR.


Pièce en un acte.

Paris le 24/12/2007.

Reçu dans ma boite aux lettres.

Bonsoir Breïtou, yatik chkhanè, kteltni bil dahk.

Je viens prendre mon quart d'heure de détente et de rire avec toi.
Dis moi yaïche oueldi pourquoi tu vas pas voir Drucker qu'il te nomme à la place de Bénichou, avec lui le dimanche, tu as un avenir assuré, je te le jure.

Yé braïtou, choft TATA Nouché, son fils Maïnou il voulait se marier avec une fille de Nabeul, une kouyé, elle pleure toute la journée tata Nouché en disant ‘... Oueldi djéjé, akel mi ghaier had, hedhi toflé kouyé yesser alih, ouh alé omo, kifech naamel.

Il va falloir réunir tous les gozbar de la ville de Nabeul pour élucider le problème de tata Nouché ,car son fils el akel Nanou, il veut épouser Maïné la fille de Titine El Merkhoufa .

‘....Ya rabi que peut -on faire c'est un grand dilemne.... ! Essaie de voir Brëitou si dans ton théâtre on peut le résoudre.

Merci nemchi kobara alik aouénhé ta ta nouché.

ICHTIR


Un petit mot sur le Samssar, ou la Semssara.

L’entremetteur, le marieur, avait une place dans la vie des juifs tunisiens à une certaine époque. Les unions étaient le plus souvent de raison.
Rares étaient les unions d’amour.

Le Semssar était donc rétribué à la commission. Bonne ou modeste, elle dépendait souvent du montant de la dot. Si l’affaire foire, il était quitte pour le déplacement.

Si plus tard, l’union se révèle être une mauvaise affaire parce que le Semssar vanta l’une ou l’autre partie faussement, il était quitte pour qqs malédictions.
Du genre ‘ ...Yatic abta ye Moumou... !’(.’...Qu’il t’arrive une apoplexie Moumou... !) Yatic gloubouet...Ye Tita... !’( ‘... Des métastases pour toi yè Tita... !’) ‘.. Yatic minigite ye Mridékh.. ! ( ‘...Qu’il t’arrive une méningite.... !’) Ou bien ‘…I jibouéq fi san’douq…!’ ( ‘...Qu’on l’apporte dans une cercueil... !’) Je ne sais pas si c’est avec une bière à la main ou pas... !’
Eloquent.

Mais il n’en mourrait jamais sur le coup, même qu’il s’éteignait comme une fleur dans son lit, entouré de tous ses proches à un age avancé.

Le métier de Semssar était aussi multi fonctionnel, puisque il se chargeait aussi de locations de maisons et autres arrangements. Il pouvait aussi être prêteur sur gages si sa position d’honnête homme était reconnue.


Il faut savoir que les protagonistes, les deux parties, avant de conclure une Ketouba, se renseignaient sur les bonnes mœurs des familles. Elles se référaient aussi au bon voisinage qui souvent mentait sur tel ou tel prétendant, ou prétendante, de peur de représailles, scandale ou malédictions.

Le marieur, Semssar, passage obligé avant, va rentrer en action avec tout son professionnalisme pour établir les futures modalités afin qu’aucun doute ne subsiste plus tard. Et le doute avait toujours une bonne place mais lorsqu’il s’agit d’argent, il s’envole.

Ainsi était la coutume au début du siècle dernier et même au beau milieu du siècle passé.


MARIAGE NABEULIEN.


Dans les principaux rôles.


La famille du fils Maïnou

-La papa CHOUCHOU dit BARBAR ‘ Joseph le (baragouineur) .....Albert.
-La femme NOUCHE dit ACH’OUE (La soupe) ...............................Ischtir.
-Le fils Maïnou........................53 ans........................................................Jano.

LA FAMILLE DE LA JEUNE FILLE. Maïna.

-Le papa coiffeur DEDE dit TAMBOURINA (petit tambourin) ........Jacquot.
-La maman TITINE dit MERKHOUFA( La molle)................................Michka.
-La fille Maïna.........................43 ans......................................................Danielle.


Breitou grand Goj’bar.



Breitou, Grand Gojbar (Notable très respecté chez les juifs tunisiens, un peu comme le Cheikh de quartier qui dénouait certains litiges de voisinage, qui ne sent pas le Kosbor ( Coriandre ) mais le Zar ( eau de fleur d’oranger) comme le Zar ( chance) de la famille Nouchè, elli thab t’yârech ouldè Maïnou (Celle qui veut marier son fils Maïnou, 53 ans) célibataire endurci mais gentil, aimable, poli, de bonne situation surtout, puisqu’il est ‘retourneur de briks à l’œuf’ dans la grande Maqla (poêle à frire) chez son oncle Didekh , marchand de beignets fort connu sur la place de Nabeul.

Didekh El AMBAR’ (L’Ambre) tient son échoppe depuis plus de 75 ans. A Nabeul.
Mais avant d’être patron de sa gargote, il était employé chez son grand-père CHLOUMOU dit H’néyéch (petit serpent). A cause de sa langue de vipère.

Il avait le meilleur coup de ‘CHEFFOUT’ (longue aiguille en fer, un peu plus longue qu’une aiguille à tricoter, faisant office de pic) de la région et même du monde pour retourner la feuille de brik à l’oeuf. UN VRAI AS DE PIC.

Il a, un jour, réussit l’exploit de retourner sa veste lorsque des policiers français lui ont demandé de témoigner sur un affaire délictueuse.

Son grand-père, Chouilem se rendit fort célèbre dans les années 1889. Il emporta le grand concours annuel de la confection du plus grand CERCLE EN PATE NAVIGUANT SUR L’EAU. C’est à lui que Nabeul doit le GRAND PAQUEBOT BAMBOLONI (En France CHICHIS) 33 mètres de diamètre. Le seul paquebot en pâte sucrée qui fit le tour du monde en 365 jours.

Sa piscine, installée au centre du navire, était très prisée par les voyageurs venus du monde entier pour GOÛTER calme, sérénité et surtout rencontres coquines.

Une anecdote célèbre.

BELEBOU, un modeste mais beau et gentil garçon se promenant sur le pont en pâte par bâbord, vit une jeune demoiselle très belle de prénom OUARDA Bent (fille de) Yasmina, âgée de 16 ans, enjamber le parapet du bastingage en farine. Sans paniquer, le jeune Belebou s’approcha d’elle et réussit à la dissuader de sauter grâce à ses mots mielleux. Ce fut le début d’une romance amoureuse à l’eau de ROSE. Ils se marièrent à la première escale. Emouvant non... ?

Les cabines étaient installées dans le creux de la pâte tandis que les premières classes se trouvaient à l’intérieur, dans les aspérités avec hublots donnant sur la mer bleue.

On déplora un seul incident, qui ne fit ni blessés ni dégâts. Le grand car-farine, tomba en panne un jour de juillet en PLAINE MARE NOSTRUM, par manque de carburant, de la Khmira. L’amidon. Plus de peur que de mal. Donc ce ferry pâteux, encore en exercice, vous pouvez l’admirer dans la BAIE de SINGES, a toujours ses marques de Noblesse.
Fort de sa médaille Beylicale, IFTIKHAR EL BALOUT, il fit les beaux jours de la QUEEN MARY VICTORIA, qui, avant de regagner son pays demanda qu’on lui prélève (l’impôt) un morceau de cette pâte. Royauté oblige. D’où le prénom de son petit -fils PATE...RSON comte de HAS ZABOUR.

L’église anglicane ne reconnaissant pas les PATER on ajouta à son prénom...
PATER...MARCONI....Voilà. L’honneur de la royauté fut sauf comme furent saines et saintes mes couilles molles qui rétrécissent à vue d’œil.

Donc Breitou fort connu dans la communauté juive Nabeulienne, pour ce genre de rapprochement, va mettre en ‘œuf re’ sa diplomatie pour aider les deux familles. CHOUCHOU dit BARBAR ‘ Joseph le (baragouineur) et sa femme NOUCHE ACH’OUE
(La soupe) d’une part avec la famille DEDE dit TAMBOURINA (petit tambourin) et sa femme TITINE EL MERKHOUFA( La molle)

Leur fils MAÏNOU dit Aslouq (vermisseau) émit à 53 ans le souhait d’épouser femme.
Les parents déconcertés par ce vœux, trouvant que leur insolent de fils a encore le temps de se marier, (comprenez leur désarroi par là, bonnes gens, la petite solde mensuelle allait foutre le camp, le découragèrent du moins au début MAIS devant la volonté, l’obstination et la ténacité de leur fils, ils changèrent d’avis. Préférant s’en remettre à D ieu. Et au MEKTOUB.
La destinée.

La jeune fille en question Maïna, fille de DEDE est une fille de maison. Bonne couturière et cuisinière. Agée de 45 ans, elle n’a jamais quittée la maison sans être accompagnée par son frère HAIM dit TARBAQA( Victor dit le tong). Une fille au profil ingrat qui ressemble plus à une poire qu’à une pomme. (Se référer à la stature de Madame Sarfati, qui elle aussi était nabeulienne). Dédé père est coiffeur de son état pour l’Itame (les orphelins) pour la bonne raison qu’un orphelin ne peut jamais se plaindre puisque personne ne répond pour lui quelque que soit la qualité de la coupe. L’itim ne peut rien dire. La nature, parfois, est vache.

Breitou va rentrer en scène pour rapprocher les points de vue et surtout négocier la dot.

‘ ...Ye Breitou, enti ta refna.... !’ Dédé. (‘ Tu nous connais...’)
‘...Et comment, des gens d’honneur, une famille pure, la vérité... ! Je n’ai rien à dire... !’
‘...Mellè qollom elli taleb, el hénè, zouz byout m’ââm’rin (Rapporte leur que je veux pour mon fils deux chambres entièrement meublées), ou 2500 frs (francs d’autrefois) (somme considérable pour l’époque. Deidou a mit la barre très haute sachant qu’il n’obtiendrait pas même le dixième de sa prétention pour son fils.)
‘...C’est tout... ?’
‘...Brekhè... !’ Oui, c’est tout... !’ Nouchè.
‘...Ichtéel el l’yanin Maïnou....’ ( Il mérite les yeux votre fils, sous entendu que vos prétentions sont convenables.) Mnih ââ’tiouni arboun ???’ ( Bon, donnez moi un acompte.. !)
‘..Yaraq fél saboun....’ ( Que tu sois dans le savon.. !)

Breitou part voir l’autre famille.

‘....Talbou.... !’ Breitou. (Ils ont exigé... !)
‘...Zouz fi âineyem... !’ Titine, la maman (Deux doigts dans leur yeux)
‘...Yakhir benti mlouha iye.... !’ (Ma fille n’est pas abandonnée à ce que nous sachions) Titine.
‘...Vous avez raison, après tout ouldem (leur fils) abet mél qerch Jupiter... ! ( Il est né du ventre de Jupiter). Breitou.

Les tractations se poursuivent tard dans la nuit et au petit matin, Breitou satisfait de ce qu’il a obtenu, deux abonnements annuels pour une année de coupe @#$%& pour le papa du garçon et de son fils , plus deux eaux de toilette HOMME DE DAR NABEUL( une mesquinerie) un abonnement annuel pour le rasage pour la papa, le fils étant imberbe, heureusement sinon le mariage aurait foire, deux jarres d’huile premier choix, trois halleb en argile de HAMAMET, deux oreillers bourrés de plumes de pies venant de la ferme de SIDI MANSOUR, 8 bougies. Une misère de chez MERE Misère.

‘...Mnih ââ’tiouni arboun ???’ ( Bon, donnez moi un acompte.. !)
‘..Yaraq mé tchi’ouf’ch el dlam....’ ( Que tu sois pas dans l’obscuritè.. !)



Et comme l’a rapporté Breitou aux parents du garçon ‘...Aâlla qad sormom... !’
(...A la hauteur de leur cul.. !)


Maïnou, amoureux fou de Maïna alors qu’il ne l’a jamais vue, et ne voulant rien entendre, OBLOGEA sa famille à se plier aux offres misérables de la partie adverse pour son bonheur.

Arrive le jour de l’entrevue.

La famille du garçon va rendre visite à la famille de la jeune fille pour sceller leur future union.

Ils sont bien accueillis.

On sert le café. Les tasses sont posées sur la petite table basse.
Tout le monde boit le breuvage sauf Maïnou qui attend.

Enfin, la maman de la jeune fille ose un...

‘...Tu ne bois pas le café Maïnou... Mon cher futur gendre....????’
‘...KIFFECH THAB EN HARQOU....BZEBIIIIII... !’
‘ Comment veux tu que je remue le sucre, avec ma BITTTTTTTTe…!’

Le mariage se fit puisque jamais au grand jamais une queue dite de cette façon n'a annulée une union sacrée.
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
25 décembre 2007, 03:39
RENATO_PLAYER. Un ami clown.


clip div@ dans tous ses états 2
<

Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
25 décembre 2007, 03:48
LA MOME DES RUES PAR LES PLAYISTES.



clip de la môme des rues miguel
=

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Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
27 décembre 2007, 04:35
MONOLOGUE.


‘.....CHEY....’ Rien.


Elle n'a rien de rien.

Elle nous ouvre la porte du bonheur, enfin du moins le croit t’elle.

Pareille à une coyote, ce n’est pas moi qui le dit, elle vient s’abreuver à l’étang de ses phantasmes, elle n’est rien, rien de rien, elle qui porte la critique en son sein.

Elle se nourrit de ce petit lait mraoueb qui lui donne des envies de paraître sans apparaître.

Rien, je vous dis vraiment rien de rien, un petit rien qui trottine de temps à autre sur les rebords de ses dépendances qui sentent la naphtaline comme mon théâtre sauf que ma naphtaline ne sent pas la même odeur que la sienne. La mienne est odeur de Rose, la sienne est prose peu convaincante.

Braham n’est pas un rien, il est bien. Nous avons cette chance hebdomadaire de jouir de ces belles fresques, photos qui nous font voyager bien loin au-delà de nos soucis cependant, sa prose nous manque, rien sur cela, pas un mot sauf que des caricatures qui en disent long sur la politique actuelle, qu’elle soit dite en dessins ou en mots, nous sommes toujours dans le politiquement correcte.

Meyer, fait ce qu’il peut, il n’est pas rien, il informe comme Taoufiq en méforme qui bien que palabrant beaucoup se mure dans ce silence si éloquent. Lorsqu’il parle, c’est tout juste s’il ne rase pas les murs.

Blata était un monsieur avec son humour, mais voilà, chey de chez chey, elle l’a fait taire et pourquoi s’était t’il tut pour si peu alors qu’il partageait avec nous qqs délires qui ne semblaient pas être provoquants sauf qu’il a parlé sans le savoir de ‘femmes grosses’ sous une chute d’eau. ???

Ou alors l’autre Camus qui venait naïvement annoncer que son frère était devenu membre d’une sarl d’ailleurs... ? Le règlement pourtant stipule bien, qu’il est interdit de ‘pourfendre un internaute ami.. ?
On me l’a rappelle autrefois mais l'autre pense qu’elle est au dessus des règlements, d’ailleurs même au café, elle s’ingéniait à contourner le dit règlement au point que bcp sont partis....

Rien je vous dis, rien de chez rien... !!!

Je ne critique pas, je constate les faits.... !!Et puis lorsqu'on n'a rien à dire on ne dit RIEN.


Bon allez je vais manger chez RIEN , un restaurant KACHER d.... !!!
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
06 janvier 2008, 08:28
Dis moi Breîtou combien de membres contient ta famille? Que dieu les bénisse , car plus tu écris, plus on en découvre.
Tu ne connais pas la dernière? non, figure toi que le cousin Sidney est à los Angeles pour voir sa fille, il est avec Annette sa femme et notre cousine. Le problème qui se pose c'est que Sidney qui aime beaucoup la famille et les différents plats que Simone(la maman de Michka) ma belle soeur prépare, ne sait comment faire pour récupérer toutes les choses qu'il a ratées pendant son séjour. Gâteaux, Mloukhia, Zlabia, poupées de sucre de Rass El Am de Nabeul, bkaîla, nikitouche, mhamas.
Il a juste été invité là bas chez la soeur de Paul Guez, c'est rien, car à Paris il va chez la cousine Désirée goûter toutes les bonnes choses qu'elle ramène de Tunisie, chez Simone, il aime beaucoup lui rendre visite, c'est très gentil à lui et les amis et la famille. Michkine, c'est vraiment un devoir qui lui incombe, c'est le goûteur!!!

Alors avec la famille réunie, on se demande si on peut faire une réunion tupperware, ramasser ce que chacun aurait pu lui faire goûter et les congeler pour les lui servir à son retour? qu'en penses-tu...? Car c'est un problème, non c'est un homme il n'est pas enceinte, mais on ne sait jamais si ça le rend malade , une crise de foie anticipée....


5 janvier 2008 08:09

Ma chère Ichtir, belle tante de mon ami..... Voilà, tes DESIR....Sont comme des bonbons qu’on offre à un gamin, que je suis. Je suis né bébé et je vieillis bébé.
La vieillesse me fait peur donc je l’ausculte et l’occulte.
Désiré j’adore être bercé. Merci.

Ma chère Ichtir, je t’informe déjà que maman, fait ce qu’on appelle aussi des réserves de ragoûts qu’elle met dans des ces fameux TUPPERWARE. Emet. Qu’elle met dans ses étagères du congélateur. Maman cuisine pour toute la semaine car elle se dit ‘...Aâlle mi oueti...OU ICHTI !’ C'est-à-dire au cas, ou un imprévu arrive, sous entendu, un invité improbable qui a envie.

Je vais donc y mettre mes tripes qui ne sont pas congelés.

Déjà pour me retrouver dans toute ta belle famille, il m’a fallu trois jours pour essayer de décortiquer cet imbroglio.

Le THEATRE DE ALBERT


Présente...

Sydney de Melbourne.
Annette la femme de Sydney de Melbourne.
Michka miss LA GRANDE BLEUE.
Tata Ichtir la tante de Michka.
Simone la maman de Michka et belle sœur de Ichtir.
Danielle la belle sœur de Ichtir.
Monsieur Jaquemin le mari de Michka.

Dans

LA FAMILLE TUPPERWARE.


Un coup de fil...

‘...AlloOOO tata .... ?’

Grésillements...

Kcrchcchchchchchchch....

‘...Tata QUIIIII.... ?’
‘...ICHTIR.... !’
‘...Voilà, c’est mieux, Sydney ye ouldi, tu m’appelles d’oùùùùù.... ?’
‘...De la cité des Anges.... !’
‘...Ah tu as fais pousser des ailes alors.... ?’
‘...Aux mollets, tantine... !’ ...Je rentre demain soir avec ma famille, alors tu sais ce que j’aime le plusSS..... ?’
‘...Bien sur mon fils, arrive vite, ils t’attendent bien frais et dispos, tout ce que tu aimes est dans la banquise aligné comme des soldats de plomb.... !’

‘..Krrkrkrkrkrcchchch... !’
‘...Du plomb..... ? Pourquoi du plomb.... ?’
‘...Des soldats de plomb je te dis...’
‘...Pourquoi les soldats, Paris est sous le couvre feu... ?’

‘...Krchcchchchchchchchch... !’

‘....Non les ILS t’attendent bien frais et dispos comme des SOLDATS DE PLOMB... !’

Sydney envers sa femme...

‘....Annette, il y a des l’armée à Paris... !’
‘...Passe la moi, je vais essayer d’en savoir plus... !’
‘...TANTINE..... ? Qu’est ce qui se passe à Paris.... ?’
‘...Mes Ils sont comme des soldats de plomb dans la banquise... !’
‘...Ah ok, j’ai compris... !’
‘...Elle dit que les soldats de plomb sont dans la banquise mais pas à Paris... !’
‘...Ouf, je me suis senti mal... ! MERCI TANTINE A DEMAIN.... !’

Il raccroche.
Le lendemain vers les 18 heures, Sydney de Melbourne, parce qu’il est éleveur de kangourous en Australie, débarque avec sa femme Arlette et ses trois enfants.
Tata Ichtir, leur a fait une surprise. Elle est là cachée derrière une grosse colonne avec un présent dans les bras, comme Aznavour. Elle les voit sortir et va vers eux à leur insu...

‘...COUCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU....?’ Et elle lui fait un croc en jambe, un geste de bienvenu, mche it lebekh, (il s’étale) qui l’envoie sur sa valise roulante, Sydney fait du surf...Sous le regard ahuri des touristes...
‘...TATAAAAAAAAAAAAAA.... ! Quelle drôle de surprise...!’

Embrassades générales.
Direction Versailles chez Tata Ichtir.

‘....Tata, qu’est que tu portes dans tes mains... ?’
‘...Un petite boite sotie de la banquise mais tu ne l’ouvriras que chez moi, où tout le monde t’attend... ! On fait une partie surprise TUPPERWAR, rien que pour toi... !’
‘...Mais dis moi ce qu’il a dedans, dans la petite banquise, j’en ai l’eau à la bouche... !’
‘...Enfin, Sydney, ne fais pas le gamin, soit patient et ne te montre pas impatient... !’

Enfin, ils arrivent.

Toute la famille fait une ovation au directeur générale des kangourous.

‘...Ah le voilà notre Sydney, l’homme aux poches d’Australie... !’ Michka.
‘...Quand même, tu aurais pu trouver autre chose... ! Jacquemin.
‘...Je parlais de ses poches aux yeux... !’
‘...Vous avez sûrement dormi peu n’est ce pas... ?’ Danielle.
‘...Oui, le temps de la traversée dans les airs fut pénible.. !’
‘...Pas aussi dure que celle d’une traversée dans le désert... ! Sur dos de chameau... !’ Simone.
‘...Là mes enfants nous allons goûter aux joie de la banquise, je vous ai préparé des petits rectangles genre igloo –esquimaux faits maison de mets dont vous vous en souviendrez, toute votre vie... ! Allons ne perdons pas de temps, Sydney, toi tu t’assois prés de Annette, Michka près de ton mari, Simone ijja bahdeya( près de moi) Danielle pas de chichi assis toi sur le banc..ise... ! Ahahah.... ! Je plaisante... !’
‘...Toujours ce froid entre nous... !’
‘...Je rigole, enfin, allez viens près de moi, tu seras au chaud... !’

Elle rentre dans la cuisine et sort avec un GORBA...(Une vessie).

‘...Devinez quoi ???? ‘
‘...On attend ta merveille... !’ Jacquemin.
‘...GORBA NIKI TOUCHE...VOUS POUVEZ TOUCHER SANS....NI.... !’(Vessie de ragoût de haricots) Congelée... ! Goûtez moi cela... !’

Elle attend un peu ouvre le bouchon et voilà que des petits grêlons en forme de pépites de pâte coulent sur les plats...

‘...Pas plus de 8 chacun parce qu’il y a la suite après..

‘...Comme c’est bon tata... !’ Lance Sydney en fin connaisseur alors que les autres convives ont du mal à ‘fourchetter’ les pépites en glaçons.

Michka ‘...Ca au moins c’est du solide bien frais... !’
Jacquemin....’...Du béton congelé, oui... ! Je sens déjà comme des billes qui s’entrechoquent dans mon ventre... !’
‘...C’est bizarre, c’est la première fois que je goûte à ce met sans pareil, t n’as pas une miche de pain, j’ai une envie mortelle de lécher le plat... !’ Danielle.

Un petit nikitouche en forme de glaçon glisse à terre. Et voilà toute la famille à quatre pas à chercher la pépite jaunâtre.... !

‘...JE L’AI....FIN DE LA PARTIE DE HOCKEY SUR GLACE... !’
La NIKI TOUCHE servie, Tata sort avec une lanterne après la vessie de glace.

‘...C’est juste pour vous éclairez, et j’apporte le second plat.... !’

Elle revient avec dans les bras, un grand plateau sur lequel repose...

‘...OREILLER DE MLOUKIYA....DES COTES ARMORICAINES...’Fondu à la glace norvégienne.... !’

Elle ouvre le tabou( bouchon) Et là rien ne coule...
Elle remue et enfin un filet verdâtre apparaît et coule lentement.

‘...Prenez votre mal en patience, dix minutes pour une petite coulée mais ca vaut le coup d’être patient... !’

Dix minutes pour deux centimètres de neige noire aussi dure que le béton.

‘...Un fleuve bien tranquille...! Qui coule en prenant son temps..!.’ Jacquemin.
‘...Comme la vie... !’ Michka.
‘...Drôle d’oreiller... !’ Lui.

Danielle....’...Chtit(j’ai envie) un croûton de pain pour faire passer cette belle fondue ankylosée... !’
‘...T’es pas enceinte au moins... !’ Simone.
‘...A 63 ans, je ne vois comment je pourrais l’être... !’

La Mloukhiye( le fameux plat noir) est passée dans les estomacs avec beaucoup de peine.

On passe aux gateaux....

Ichtir sort avec deux TUPPERWAR..Et annonce...

‘...COULIS DE FARINE EN SERPENTINS CUIT A LA MODE ISLANDAISE... !’

Des manicots gélifies tout simplement...

‘...Ce coulis va me donner des torticolis... !’ Jacquemin.
‘...Koul et ensuite dis nous ce que tu en penses... !’ Ichtir.
‘...Ah quel régal, j’en redemande, oui, j’en redemande... ! Puis-je mettre dessus de la poudre vanillée... ? Pour relever la texture... !’ Sydney.
‘...Passez lui le sucre en Glace... !’ Simone.

Ichtir annonce...

‘...PETITS OVAUX FOURRES AUX DATTES ET A LA PATTE D’AMANDE... !’
Makrouds dans notre langue barbare.

‘...Tu nous prends pour des OISEAUX ICHTIR...’ Jacquemin.

Arrive enfin ...

‘...COLLIMACONS LIES A LA MODE BRETOU...!'
Zlebia.

‘...Dans toutes les sauces, celui là... !’ Jacquemin.
‘...Michka, n’oublie pas qu’il était maçon avec d’être en colis... !’

Sydnez se léche les babines. Des morceaux de Colli...Gelés penent à sa moustache.

‘...Tu as des stalagmites, mon cher Sydney... ! ‘Simone.
‘...Mmmememe.... ! Même si je les avait au nez, je les mangerai, c’est du pur art culinaire... !’
‘...Ce n’est pas un hasard... !’ Jacquemin.

Arrive le champagne.

‘...CHAMPAGNE DE AIN BOUFARTASS.... !’
‘...Enfin quelque chose de chaud... ! Bien de chez nous... !’ Michka.
‘...Ca m’a tout l’air surtout qu’au vu de la bouteille, elle nous laisse espérer une coulée de larve chaude bien froide...!’ Jacquemin.
‘...J’aurai tant aimé tremper un biscuit.... ! Avec...’ !’ Danielle.
‘...Tu peux toujours le bercer dans tes illusions... !’ Ichtir.

Enfin tous les TUPPERWARES sont passes et tout le monde s’est régalé par ces mets d’une froideur à vous casser les dents et par une température extérieure de -10.

Arrive la surprise.

‘...Sydney, nous voilà enfin arrivés à ton cadeau de bienvenue... !’
‘...Tiens.... !’

Sydney ouvre délicatement le tupperware et là il voit..

‘...SABOTS DE KANGOUROU EN FORME DE BOUCLES D OREILLES... !’

Lui dans une envolée lyrique...

‘...JE PEUX LES SAUPOUDRER AVEC UN PEU DE ANNETTE.... !’

‘....Quel humour... !’ Annette sa femme.

‘...Ecoutez Breitou, avec vos salades vous perturbez l’équilibre de notre famille.
Vos histoires à la sauce goulettoise vous les mettez au....FRAIZER.... !’ Jacquemin.
‘...Je me sens tout glacé... ! Comme du papier...Monsieur... !’

NB.Pour la famille ZARBOUYI( les rats).. ! Ce sera un autre sketch... !
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
06 janvier 2008, 10:41
Une vraie mise en boîte cette pièce.
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
10 janvier 2008, 04:39
Que pensez vous d'une réunion familiale un vendredi soir, autour d'un couscous dont les invités portent des surnoms comme à l'ancienne.
Un surnom ne se donne pas comme cela. Il trouve sa source dans un trait de caractère, dans un comportement, un événements bien précis ou alors le titre de sa fonction, par exemple M’BIREH EL SEZAR,( le boucher) qui fallait distinguer d’un M’BIRECKH EL CHE’WEYE’ le grilladier.

Cette immatriculation était un signe de reconnaissance, à vie. Du moins pour ces amis qui le ne le connaissaient que sous se pseudos.
Exemple Deidou Tabouna tient sa formule parce que soit il ressemblait à ce pain rond et mou soit parce qu’il avait une prédilection pour ce dernier.
Ou alors soit que son nom fut mal prononcé, TABONE, est devenu pour ses amis peu regardant sur la chose, TABOUNA.
Il suffit de peu pour que le surnom lui colle à la peau comme un tatouage indélébile.

Dans les principaux rôles....

-Choua Corcos alias ( Rihane) avec sa Titine alias Kamounia, sans enfants.
-Didekh ( Sion) alias Mayadnouche et as femme Tita alias Guaneriya (artichaud)
-Julot ( Lellouche) alias Maqbouba célibataire.
-Henri Valensi alias Fjilè et sa femme Julie alias Karnita (pieuvre, parce qu’elle est très avare.
-Dédè Cohen alias Osbana et son frére Mrideckh alias el Haouet,( le poissonier)
-Chouchou Chemla alias Hamssa et sa femme Ninette alias Ftira( beignet) à cause de as face bien ronde.
-Breitou Chmyane Siméon alias Msoki et sa femme Odette alias Torchi Khel (variantes) à par ce qu’elle a une prédilection pour ces petits légumes variés coupés menus mais pas hachés.
-Milo Seknazi 68 ans alias Jelda et sa fiancée Ginette 45 ans alias Bouterma (gros cul).
-Pierrot Sââdoun alias Menana( le maniéré) et sa femme Gjijle alias Tyazoumit ( le suppositoire)
-Gilibertou Framont alias Manoubiya hdech ( La 11 iéme)...et son ami Freddy alias Poupitta ( des voisins homos de la famille.
-Gilou Koskas alias Moutsi et sa femme Niki alias Farda Mkekh (Os à moelle) parce qu’elle est flasque.
Et Jacky Allouche alias le BOULICH (le policier) pour surveiller cette bande au cas où es vapeurs de la boukha les rendrait agressive.


'...SOIREE BOUILLON DE CULTURE AUX LEGUMES FRAIS ET CUITS...


La famille Mamlouqa alias Chouffini oule en tih (regardez moi sinon je tombe) et compagnie, y compris son mari Julot Mac’bouba (ratatouille) décide d’inviter cousins, tantes, soeurs alliés et voisins sans oublier les enfants.
Sa sœur, la famille Elie (Lévy) alias Krafess et sa Emma alias Mahchia,( boulette) les enfants Simon el bekey 8 ans( le pleurnicheur), Fritnè Gadarouba 12 ans ( l’armoire) Johnny Weismuller 3 mois ( grande ressemblance alors qu’il est au berceau, Sylvie Fetyiza, 6 ans et enfin Charlot Gemgem, 8ans ( gémisseur) Il n’aime pas l’école, donc il pleure tous les matins).
La bande fait aussi partie de la réunion malgré les quelques frictions que les deux groupes entretiennent.
Soit une trentaine de personnes ou plus, je n’ai pas comptè, bien dans leur peau.
Un Chabath hors du commun.
Les prestigieux élus à la grande nouba portent des surnoms prestigieux, très courant à l’époque et ce n’est pas une blague. Ils existaient et certains encore, à Paris ou ailleurs portent encore ce sobriquet d’adolescent.

Un grand salon, une belle table mise pour le shabbat, des couverts hauts d’gammes.
Des bougies allumées dans un coin du salon.
La famille attend tandis que Mamlouqa alias Chouffouni oulle en tih, va remuer une de ses trois marmites dans lesquelles couvent une belle TFINA HARISSA, un bon bouillon de culture avec viande et légumes, et un met de AKOUD, nœuds de taureau saucés à la mode tunes.
Les tunes aiment les glands en sauce rouge bien épices, lors des apéros.
La vérité tout le bien de D ieu est sur la table, MEL JEITOUN LEKHDAR HATTE EL ZBIB OUEL GHERNINE. Houtte pour la table de Mamlouqa alias Choufouni ouelle en tih.
Voilà le décor est PLANTE ...BRAHAMMMM.... !!!


Michka tu veux jouer sous le pseudo de Mchika El Dahena.... ? La peîntresse... ????
Braham alias EL MOUSSAWOUARJI, HENRI alias REBBI KHERRE.... DINE B’DINEQ... ?????
Meyer dans le rôle de Miyer el LASSAQ( le colleur)... ?
Je m’y mets et je vous servirai tout cela avec un bon cœur.
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
12 janvier 2008, 13:34
LE PTB MOI ET MON SHABATH DELIRE....

AU THEATRE CE SOIR....


Paris le 10/01/2008.

SKETCH....

'...L’ELEVATEUR... !


Ma chère Michka, merci pour cet élévateur.
Prendre de la hauteur et surtout respirer l’ai frais quoi de plus normal.
Je préfère regarder les belles étoiles et la star que tu es plutôt que de racler avec mes yeux les bas fonds de ce bas insipide qui parfois me donne la nausée.
A Force de lire les ghassra, j’ai la ménaupose qui me donne des soucis.

Départ.

Décor.
Je suis dans la rue sur un élevateur.
Michka m’aide à me faire monter.

‘...Vas y MichkouUUUU tourne la manivelle, encore un peu ... ! Vas y un autre tour et je serai le roi du Monde.... ! Ok....KKKK...STOPPPPP...Je suis à la bonne hauteur... !’
‘...Tu es sur que tu es à la bonne hauteUUUUUUr... ?’
‘...OuiIIIIIIIIIIII... ! C’est bon... ! STOPPPPPPPPPPPPPPPPP.... ! Je te dis.... ! Je rivalise avec l’Everest, c’est bon, je dois enfiler ma doudoune, il gèle ici... ! Merci, attends moi, je ne vais pas être long, juste pour voir mes amis... !’

‘...Tiens Tiens, mais que vois-je, je rêve ma parole MICHKAAAA.... ! Je vois NAO.... ! DANS SON MACHACHAUSSETTES .... ! Toujours la même taille, plutôt plus courte qu’avant, je crois que la perspective la rétrécie, attends je la fais grossir avec mes jumelles à foyer triple....MICHKAAAAAA...... !
J e l’ai tellement grossie qu’elle ressemble à QUATRE ROUES DE SECOURS LES UNES SUR LES AUTRES.... ! ...NAOOOOOOOOOOOOOOOOOOO...... ! MA CHERIE.... !Allez reprends toi.... ! AU REGIME SEC..... ! Fais comme moi, KELLOGS le matin....KELLOGS A MIDI....KEEEEEEE...LOGS....LE SOIR.....PENDANT UN AN ET TU AURAS UNE TAILLE FINE..... ! MICHKAAAAAAAAAAAAAA....Tu ne vas pas me croire, attends, je redouble foyer.....MICHKAAAAAAAAAA...SUR LA VIE DE TOUS LES MOINEAUX QUE JE NE MENS PAS.....Je vois .... ! JE VOIS......LE WEB......OUI LE WEB.....Casquette ADRA FONDATION.... ! Y a un billard sur le green.... ! Il joue AUX QUILLES AVEC DES BOULES DE BILLARD ET AU GOLF.... EN MÊME TEMPS....DEUX JEUX EN UN....! AHAHAHAHAHA..... ! Attends, il se concentre, il frappe sa boule ...TOUT DROIT DANS LE TROU....SA BOULLE SORT....IL COURT DERRIERRE.... !MICHKAAAAAA....... ! SA BOULE.....EST ARRIVEE DEVANT UN TROU DE GOLF.... ! CHUUUUT...... ! OALLALALALA....QUELLE HABILITE..... ! IL SE CONCENTRE....ELLE EST A DEUX CENTIMETRES DU TROU...DE BALLE LA BALLE...PARDON LA BOULE....Je perds la BOULE...MICHKAAAAAA.....IL A RATE LE TROU....PAS POSSIBLE....WEBBBBB...OHEEEEE...WEBBBB.....BRAVO....POUR CE COUP RATE DE MAITRE..... ! ....MICHHHHH......MIMICHHHH......J’ai viré à 35 ° SOLSTICE....MORDICUS FILMUS....TAWWWWWFIQQQQ....TAWFIQ....YE OTROCH.......Tu ne me vois pas ou alors tu fais semblant de ne pas me voir....AHHHHH...TU ES OCCUPE BEL TRIMET..... ! TAWFIQ....Celle à ta droite, que tu cast, elle s’appelle COMMENT.... ??????....HEIN.......HEINNNNN..... ! Tu ne veux pas me dire....YE Cachottier.....QUE TU ES.... ! ....JE PIVOTE MICHKAAAAA....JE SUIS EN EREZT......YA BRAHAM ...... SUR LA VIE DES FLEURS QUE SA FEMME CULTIVE ALORS QUE LUI SE REPOSE.....BRAHAMMMMM.... ! LES NICHONS.....COMMENT TU LES ARROSES.....JE PARLE DE CEUX QUE TU NOUS AS GRATIFIE POUR LE JOUR DE L’AN... ! JE NE PARLE PAS DES FESSES QUI RESSEMBLENT A DEUX BEAUX MELONS SUCRESSS....J AIIIIIIME..... ! Rose ma belle rose, je ne te vois pas, tu es aux dattes... !!!! MEYER........TU CROIS QUE JE NE T AI PAS VU PASSER SOUS MOI AVEC LE COUFFIN.... ? Toujours au marche de Belleville.... ? CAAAAAMUSSSSS...... !
LÂÂJIJ...... ! AMIT HAJJE EL LEYMET EHDOU ( As-tu fais qq chose de bien ces derniers temps... ?’( Camus est président de AMIT (Association Mondiale des Israélites de Tunisie, une de plus qui ne rapporte rien comme fric.) AMIT PAR LA ....AMIT PAR CI.....YAMIT (je deviens aveugle) par ce froid qui me brouille les yeux... !’...MICHKA...... ! JE GELE FAIS MOI DESCENDRE.... !......Deux minutes et rien.... !.....MICHKAAAAAAA....JE SUIS FRIGORIFIE....TU VEUX MA MORT EN GLACE OU QUOI... ????
Breitou jette un œil en bas....’...ELLE EST PARTIE....... ! ATTENDS.... !’

Je compose le numéro de Michka....

‘...ALLOOOOOO.... !’
‘...Oui.... !’
‘...Pardon Madame, je me suis trompé de numéro... !’
‘...Mais non tu ne t’ai pas trompé de numéro.... !’
‘...Pas possible, ta voix a mué... !’
‘...C’est parce que je suis en haut... !’
‘...Ou en hauUUUUt... ?’
‘...Attends, rappelle bêta.... !’
‘...Bêta ou BATA.... !’

.............................................

‘..Il ne faut pas m’appeler lorsque je suis en haut.... !’ Michka.
‘...Michka bien que je meurs de froid ici, peux tu me dire comment j’aurai pu savoir que tu es en haut.... ! Pour le moment c’est moi qui suis en haut... !’
‘...Tu devrais le savoir, en bas, je t’entends mieux... !’
‘...Bien dans ce cas à lorsque tu es en haut je ne t’appelle pas, sauf si tu es en bas et quand tu es en bas, je ra pelle... !’
‘...Voilà, enfin, tu as tout compris.... !’
‘...Donc tu es partie et tu m’as laissé en haut sous la neige.... !’
‘...Ecoute c’est ton idée L’ELEVATEUR.... !’
‘....Ah bon, tu le dessines et tu veux que je le laisse sans rien dire... !’
‘...Oui... !’
‘...Y A MEME PAS UNE AMPOULE, UN NEON... ! A REMPLACER DANS UN
REVER BEBERT.... ! DANS LA RUE.... ! ZUT A TOI... !’

Pièces jointes:
elevateur Michka.jpg
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
13 janvier 2008, 11:10
Que pensez vous d'une réunion familiale un vendredi soir, autour d'un couscous dont les invités portent des surnoms comme à l'ancienne.
Un surnom trouve sa source dans un trait de caractère, dans un comportement, un événements bien précis ou alors le titre de sa fonction, par exemple M’BIREH EL SEZAR ( le boucher) qui fallait distinguer d’un M’BIRECKH EL CHE’WEYE’ le grilladier.
Deidou alias ‘Tabouna’ tient sa formule soit parce qu’il ressemblait à ce pain rond et soit parce qu’il avait une prédilection pour ce dernier. Ou alors que son nom fut mal prononcé, TABONE est devenu pour ses amis, peu regardant sur la chose, TABOUNA.
Cette immatriculation était un signe de reconnaissance, à vie. Du moins pour ces amis qui le ne le connaissaient que sous ce pseudo.
Il suffit de peu pour qu’un surnom colle à la peau comme un tatouage indélébile

'...SOIREE BOUILLON DE CULTURE AUX LEGUMES FRAIS ET CUITS...

Pour un Chabath hors du commun.

Dans les principaux rôles....
Les pseudos indiens.

-Choua Corcos alias ( Rihane) avec sa Titine alias Kamounia, sans enfants.
-Didekh ( Sion) alias Mayadnouche et as femme Tita alias Guaneriya (artichaut)
-Julot ( Lellouche) alias Maqbouba célibataire.
-Henri Valensi alias Fjilè et sa femme Julie alias Karnita (pieuvre, parce qu’elle est très avare.
-Dédé Cohen alias Osbana et son frére Mrideckh alias el Haouet,( le poissonier)
-Chouchou Chemla alias Hamssa et sa femme Ninette alias Ftira (beignet) à cause de as face bien ronde.
-Breitou Chmyane Siméon alias Msoki et sa femme Odette alias Torchi Khel (variantes) à par ce qu’elle a une prédilection pour ces petits légumes variés coupés menus mais pas hachés.
-Milo Seknazi 68 ans alias Rihan et sa fiancée Ginette 45 ans alias Bouterma (gros cul).
-Pierrot Sââdoun alias Menana( le maniéré) et sa femme Gjijle alias Tyazoumit ( le suppositoire)
-Gilibertouchi Framont alias Manoubiya hdech ( La 11 iéme)...et son ami Freddy alias Poupitta ( des voisins homos de la famille.
-Gilou Koskas alias Motsi et sa femme Niki alias Farda Mkhekh (Os à moelle) parce qu’elle est flasque.
Et Jacky Allouche alias le BOULICH (le policier) pour surveiller cette bande au cas où es vapeurs de la boukha les rendrait agressive.
La famille Mamlou’qa alias Chouffini oule en tih (regardez moi sinon je tombe) et compagnie, y compris son mari Julot Fel Fel har (piment piquant) décide d’inviter cousins, tantes, soeurs alliés et voisins sans oublier les enfants.
Sa sœur, la famille Elie (Lévy) alias Krafess et sa Emma alias Mahchia,( boulette) les enfants Simon el bekey 8 ans( le pleurnicheur), Fritnè Gadarouba 12 ans ( l’armoire) Johnny alias Weismuller 3 mois ( grande ressemblance alors qu’il est au berceau, Sylvie Fetyiza, 6 ans et enfin Charlot Gemguem, 8ans ( gémisseur). Il n’aime pas l’école, donc il pleure tous les matins).
La bande fait aussi partie de la réunion malgré les quelques frictions que les deux groupes entretiennent depuis pas mal de temps.
Décor et lumière Michka.
Un grand salon, une belle table mise pour le shabbat, des couverts hauts d’ gammes.Des bougies allumées dans un coin du salon. Une table bien dressée par la circonstance par la maîtresse de maison. La famille attend tandis que Mamlou’qa alias Chouffouni oulle en tih, va remuer une de ses trois marmites dans lesquelles couvent une belle TFINA HARISSA, un bon bouillon de culture avec viande et légumes, et un met de AKOUD, nœuds de taureau saucés à la mode tune. Les tunes sont friands de glands de taureau coupés en morceaux et cuisinés dans une belle sauce rouge assez épicée, et coupés, lors des apéros. Sans oublier la traditionnelle Adam hout, boutargue séchée et salée de mulet. La vérité tout le bien de D ieu est sur la table, MEL JEÏTOUN LEKH’DAR HATTE EL ZBIB OUEL GHERNINE. Houtte pour la table de Mamlouqa alias Choufouni OUAAAALLAH en tih.
Voilà, le décor est PLANTE ...CE DECOR SI CHER A BRAHAMMMM.... !!!
On sonne à la porte.
La première arrivée est la famille Elie Alias Krafess et les enfants.
(Attention la famille réceptionniste n’est pas BEITH DIN. Aucun des invités ne l’est. Sinon on ne sonnerait pas. On monte les 8 étages à pieds et ou on attend un voisin ‘étranger’ pour ouvrir la porte du hall quelque soit les situations.

Ils sont bien reçus par la Mac...

‘...Okhti lââjija ot’khol, zarti bre’kha biqom... ! Entrez... !’
( Chère sœur rentre, que vous soyez les bienvenus... !’

A peine rentrés, les enfants vont à l’abordage du décor. Ils se lancent à grands cris partout là où ils le peuvent. Sous la table, sous les lits, les lustres n’y échappent pas et que même le Charlot alias El Guemguem a découvert le motsi tandis que Sylvie alias Fetyiza plonge ses doigts dans la magbouba... !’

‘...Retiens les un peuUUUUUU tes enfaAAAnts enfin, chnouè el kel’ba eli fiém... (C’est quoi ces affamés là.... ?)

L’autre prend mal les propos de sa sœur...

‘...Mais ce ne sont que des enfants enfiIIIn, allez basta la fête est finie, on s’en va... !’

Le mari Elie alias Krafess,

‘...On a fait mille kilomètres pour qu’on retourne, si tu veux toi tu retournes avec les enfants, moi je m’incruste... !’

Les deux enfants reçoivent une taloche de leur mère...Ils pleurent.
Les voisins d’en haut tape sur le carrelage. On entend un ‘...TAISEZ VOUS.... MERDE... !’
A travers le plafond.

Le calme revient.
Puis c’est au tour de la famille Choua Corcos et famille de franchir la porte.
Kamounia porte un cadeau dans les bras....

‘...C’est quoi Kamounia... ?’
‘...Ma recette enveloppée... !’
‘...Nes’taq ou nââ’dem... !’ (Que j’envie et regrette.. !)

Artichaut et son mari et Mayadnouche, une Kata (une botte, paire ) mta rabi rentre juste derrière les précédents. Elle est essoufflée...

‘...Tout le monde sait que tu as un cœur D’artichaut chérie.... !’ Son mari.
‘...Quelle pluie, je l’a sens pénétrer mes feuilles... !...Juste deux secondes... !’

Elle se secoue et une ondée inonde la moquette qui ne fume pas.

‘...Pas besoin d’aller en vacances à Juan cette année, on a une belle piscine... ! Avec vue sur mon salon... !’ Mamlou’qa. La maîtresse de maison fait une moue.

Arrive Julot Maqbou’ba. 48 ans. Célibataire.

‘...En challah loutaya ye Julot.... !’
‘...Merci ma tante, j’ai encore le temps de voir venir... !’
‘...On voudrait tellement qu’elle vienne... !’
‘...Qui.... ?’
‘...Ta promise, le jour où tu seras capable de l’entretenir convenablement... !’

Julie alias Karnita .....

‘...Mon radis suit .... ! Tantine... ?’
‘...Il est comment ce soir ??? En forme... ?’
‘...Chwiye chéEEE..rèf.... !’ (Un tantinet rassis)

Le tantinet rassis rentre.

Osbanna( Dédé ) et son frère jumeau Osbanna bis, les jumeaux font leur apparition.
Ils baissent la tête pour éviter le chambranle. Hamssa et Ftira poussent la porte d’entrée tandis que Msoki et sa femme Torchi Khel habillée tout en couleur referme la porte. Rihane et Boutarma, les deux promis ne tardent pas à embrasser la mezzouza collée à la porte qui donne sur le palier. Les grosses fesses franchissent la porte de coté à cause de l’épaisseur des hanches. Pierrot ‘Menana’ et Gjijlè Tyazoumit se glissent parmi les invités.
L’avant dernier parle bel halè (d’une façon efféminée). Il est coiffeur pour dames.
Il s’est imprégné donc de leurs belles manières. Gilibertouchichi Framont alias Manoubiya hdech (La 11 iéme)...et son ami Freddy alias Poupitta (des voisins homos de la famille du second palier, ne sont pas en reste. Très branchés pour cette époque, ils rentrent main dans la main avec un jasmin collé au cul. Enfin, les derniers arrivés Motsi et sa femme Farda Mkheh et Jacqui le boulich, juste derrière, terminent cette longue saucisse d’un défilé très gracieux de personnages, tout en couleur.
Il y règne une grande ambiance conviviale. Les femmes se dévisagent, se pèsent et se soupèsent. Tous les yeux sont braqués sur la maîtresse de maison qui marche en tenant les murs, CHEDOUNI OULLE EN TIH.... Tellement elle se croit avec ses sqasseq deb et sa quincaillerie reluisante, les cloches de l’église à ETRETAT ne sonnent pas aussi bien que ses bracelets en forme de serpents à sonnette. Les hommes parlent courses, affaires, travail etc....Avec bcp de rires et de sourires. Tandis que les femmes s’épient du coin de l’œil. Enfin, Julot Mac’bouba, le chef de famille annonce...
‘...Allez ye louled, il est temps de commencer. On a prit du retard sur l’horaire du calendrier juif. Bon chacun peut se mettre là où il veut, les enfants... ! Vous avez une table dans le coin, à coté de nous et restez sages... !’
La Bouterma ‘...JaÂAAAAAAAAAAAAAt.... !’(J’ai faim) Julot distribue les calots et tout le monde fait silence. Elle lance..
‘...Winou le Aâjlouq sur la table...????’
‘...Il s’est décommandé... !’ Mamlou’ka.
Julot prend le calice rempli à ras le bord de vin et commence la prière. Qu’il balance en deux minutes. ‘...YOM ACHICHI....SABRI MARANANE...MI TEMPS 3 SECONDES PUIS...MIKADICH A CHABATH... !’ Hop finito.... ! Smalla ââliom.
‘...C’est un plaisir de faire les prières avec toi, Julot, on ne perd pas de temps. Voilà pourquoi j’aime passer la Pâque avec vous... !’ Lance Breitou Msoki... !’
Une fois finie, tout le monde regarde Rihan. Des regards méchants fusent vers lui.
‘...Qu ‘est ce que vous me voulez... ?’
On s’approche de lui et là toutes les mains viennent l’entourer et le secouer comme on le ferait avec un bouquet de Rihan.
‘...Heureusement que je m’appelle Rihan ou pas Adam Hout (boutargue) sinon vous m’aurez croqué... !’
‘....En plus tu sens le poisson... !’ Mayad’nouch.
‘...Parfum Poison, ye bim... !’ Rétorque le blessé.
Arrive la distribution du motsi.
‘...Vous avez de mauvaise intentions vous, je les lis dans vos regards... !’ Motsi.
La smala se rapproche de lui dangereusement. En silence. Il recule de deux pas. Tout le monde le regarde avec cette envie de le déchirer. En grinçant des dents.
‘...Vous n’allez quand même pas me couper en petits morceaux... ?’
‘...Ca fait longtemps qu’on attend cette soirée... !’ Msoki.
‘...Qu’est ce que vous lui voulez à mon mari... ?’ Farda Mkhekh.
‘...Il y a un complot, je crois... ! Ye omri ! Je vous donne tout ce que j’ai, sel en prime... !’
‘...Non, surtout pas le sel qui fait ton charme... ! Et moi j’en ai besoin... ! Chéri sans toi, je serai fade... ! J’en manque... !’ Niki Freïda Mkhekh.
Une première main vient se poser sur lui pour lui tordre le cou.
‘...Bon, bon ok, je vais me laisser faire mais attention faites le délicatement... !’
‘...N’aie crainte, on rigole Motsi, tu penses vraiment qu’on va te couper en rondelles... !’
‘...Vous m’avez fait peur... ! En tout cas...’
On coupe les vrais pains et on distribue les morceaux tout en regardant Motsi.
On passe aux choses sérieuses.
‘...Rapproche moi la Magbouba.... ! Rihane !’ Julot.
‘...Pourquoi faire, tu rechignes à la goûter en vrai et ce soir, tu en a envie... !’ Osbana.
‘...On va voir si ce soir, tu es dur ou molle... !’ Rihan envers lui.
L’Akoud est servi et la boukha coule à flots dans les petits verres.
‘...Voilà un ragoût que nous adorons ... ! N’est ce pas Poupitta...!’ Dis Gilili envers Freddy qui lui caresse la jambe de dessous la table.
‘...Une orgie de gros glands en anneaux... ! Mon D ieu quel bonheur... !’ Freddy Poupita.
‘...Je le trouve un peu doux ce goûUUUUt... !’
‘...Tu n’aurais pas vouluUUU quand même que Tata la sauce avec un autre juUUs quand même... !’ Pierrot Menana hdeuch.
‘...Bien sur que non, la tradition chez vous a ceci de bien particulier c’est que les plats gardent toujours les mêmes aromes... !Même dix siècles après, sinon tout tombe...En désuète... !’ Gilibertouchi.
‘...J’adore ta phraséologie ma biche.... !’ Poupita.
‘...J’adore tout ici dans mon assiette... ! Et je m’en lèche les babines...!’
‘...Yaïche Henri Fjilè, choufli ouhda fjel mouch med’rouba... !’ Chouchou Hamssa
‘...Tu fais des jeux de mots avec mon surnom...Hamssa... ?’ Henri.
‘...Comment te le dire, puisque tu es près d’eux, n’y vois pas une moquerie... !’ Chouchou.
‘... Ca te plairait que je dise ‘...Yatic Hamssa fi .... !’ Henri Fjilè.
‘...Nous n’en sommes pas arrivés là quand même... !’ Hamssa.
‘...Je connais ton ironie et tu m’a provoqué... !’ Henri.
La boukha commence à fermenter dans les esprits.
Jacky le Bouliche. (Policier, ici modérateur)
‘...Partagez, riez, amusez vous mais pas de provocations vulgaires... !’
‘...Yé Mamlou’qa, jib el tfinè harissa, ou bien tout va te rester sur les bras... !Tu risques de rester tachée pour bien longtemps... !’
Si tôt demandée, si tôt arrivée. Trois grandes vasques remplies de ‘tfinè’ sont posées sur la table. La louche rentre en jeu. Tout le monde est servi. On déguste avec plaisir ce plat avec sa koukla.
‘....Ma hatitch tarf batata... ? Jetlèq mélha... !’(‘...Tu n’as pas mis une pomme de terre pour absorber le sel... !’ Emma Mahchia. La sœur.
‘...Enlève le sel délicatement et si tu veux une pomme de terre, je t’en mets une crue... !’ Mamlou’ka.
‘...Tu ne changeras jamais... ! Il a raison notre père z’al de dire que tu es offensante... !’
‘...Papa, z’al deux fois, disait aussi de toi que tu étais gourmande et jamais contente... !’
‘...Yatic raAAAAde mta él chebet ehdi... !’ (Qu’il t’arrive un colère sabbatique…!’)
Le Bouliche ‘...Attention mesdames, modérez vos expressions... ! Sinon.... !’
‘...Moi je la trouve topless cette harissa maison... !’ Mayad’nouch.
‘...Tu connais TOPLESsss toi... ? Tiens, mais d’où nous sors tu cela... !’ Niki farda Mkekh.
‘...Tu me prends pour une inculte ou quoi, je lis MoiIIII... ? De la lecture oui, mais de bonne facture... !’
‘...J’adoOOOre ce mot...TOPLESSSSS.... ! Nous rentrons en plein 21 siècle... ! Quel plaisir de la bouche et des mots... ! Quel style Madame l’Os à moelle... !’ Gilibertouchi.
‘...Tout le monde sait que tu lis le journal à l’envers... !’ Rihane.
‘...Oui mais on me le traduit, lei nahi (que d ieu me garde) mon mari Motsi....AmIIIin... !’
‘...J’ai une envie folle de goûter à Mag’bouba... !’ Freddy Poupita.
Gilibertouchi le regarde méchamment.
Il se lève de table et pose sa serviette à table.
‘...Je savais que tu es une salope...Une parepapeticienne pathétique mais me faire cela à moi devant des gens, un chabaAAAAAth... !’
‘...Et alors... ! Tout le monde goûte à Magbou’ba... !’ Guana’riya.
‘...Pas du tout, personne ne me touche enfin, vous divaguer, je ne suis pas une tantouze moiIIII...Comme vous deux... !’
Ca chauffe.
Le bouliche met de l’ordre.
‘...Il a confusion Gilibertouchi, la maqbou’ba est ce plat de ratatouille que vous voyez... !’
‘...Ahhh si vous n’étiez pas là Monsieur Jacky, vous m’êtes d’une aide si précieuse... ! Je pense si souvent à vous, vous savez... ! A ce que j’aurai pu faire, chez vous... ! J’ai tellement de jolies choses à vous montrer... ! Mes poèmes, Mes vers.... NUSSSSS... ! ’
‘...Nous n’en sommes pas arrivés là, Monsieur... ! Pardon ....‘ Mademoiselle ou Madame... !
Contentez vous ‘appréciez ces belles choses... Le plaisir ne dur qu’un temps...!’
Tout rentre dans l’ordre alors que Poupita pleure.
La tfina est terminée et voilà notre belle ‘cuistote’ qui sort de sa cuisine, les joues toutes rouges, le front en sueur par la chaleur ambiante, pour servir le couscous, boulettes, bouillon etc...Tout le monde se lève et applaudit à cette rentrée magistrale qui a failli pour un peu se transformer en catastrophe familiale tellement la CHEDOUNI OULLE NTIH marche en rasant les murs. Karnita l’aide dans sa tâche. Elle pique au passage un bout de boulette.
‘...Tu as indiquée les boulettes salées, des pas salées.... ?’
‘...Oui, les salées portent une allumette... !’
La maîtresse de maison sert convenablement en faisant passer de mains en mains les plats creux. Ainsi que les bols.
‘...Ton bouillon est trop rouge, on dirait celui des marocains.... !’ Farda Mkhekh.
‘...Qu’est ce qu’ils ont les marocains dans le couscous..... ? Il ne te plait pas... ? Sans doute que le couscous algérien, l7 béna le metyam ( ni goût ni saveur) te plait plus.... ?’ Torchi alias Khel.
‘... Au moins le bouillon rouge des marocains donnent des couleurs aux joues... !’ Torchi Khel.
‘...Et le bouillon algérien, du lait qui rend les joues blanches comme le talc... !’ Msoki.
‘...Je ne vais pas faire quand même trois bouillons pour chacun de vous, enfin, je me tue à vous faire plaisir et vous rouspéter... ?’ Mamlou’qa.
‘...Mais nous sommes en famille, ma sœur, on peut tout se dire... !’ La sœur Mahchia.
‘...Oui bien sur, tu as la mémoire courte toi, lorsque tonton Gaston a fait une remarque sur ta façon de cuisiner les BOULETTES MTA EL HARCH, il a eut une syncope sur place et tu sais où elle est sa place en ce moment... ?’
‘...Au paradis... !’ Motsi.
Boulihe....‘...Je veux bien êtres gentil, mais là vous dépassez les bornes, je vais verrouiller... !’
Et là...Diversion inattendue.
Poupita allume une cigarette. Voilà que, par mégarde, et voulant ‘fourchetter’ une boulette, elle rapproche le bout de sa teuf près de l’allumette plantée sur le sommet de la boulette et là...
‘...Mon D ieu, une boulette en feu d’artifice... ! Du jamais vu... !’ Du coup les enfants de la famille Krafess excités par la vue de cette boulette qui porte le nom de leur maman Mahchiya n’ont pas trouvés mieux que de suivre l’exemple involontaire de la Poupina... Huit boulettes étincellent devant les yeux ahuris du papa et de la maman qui hurlent après leurs rejetons.
‘...Pour une fois, ils ont mis leur maman en tenue de soirée, bien lumineuse... !’ Menana.
‘...Louqen teuchkeut enti ye Menana, ce n’est pas mieux, tu te mêles de tout... !(SI tu te taisais toi le manière... !) Normal, vous n’avez pas d’enfants donc vous ne serez jamais illuminée comme nous... !’ Mahchiya.
‘...Ôôôôô... ! Je trouve cela bas et vulgaire comme expression... !’ Tyazoumit alias suppositoire.
Chacun à son nez dans son plat lorsque soudain on entend un vacarme assourdissant venant de la chambre à coucher.
Tous se précipitent et là l’horreur. Le jeune Simon el BEKEY est assis à cheval sur l’une des branches du lustre qui s’est détaché du plafond. Un gros trou au plafond par lequel on voit la tête penchée du voisin.
Sa sœur GARADOUBA...
‘...Il a voulu faire du trapèze et le lustre n’a pas tenu... !’
‘..TU SAIS COMBIEN IL M A COUTE CE LUSTRE..... ????? Maqbou’ba.
‘...Tu penses à l’argent toi, tu ne vois pas mon fils, il aurait pu mourir... !’ La sœur bél dem bared (avec sang froid.)
‘...C’est un cirque qu’il leur faut à tes enfants pas une maison.... !’
Le voisin du haut....
‘...Et qui va réparer les dégâts.... ? Maintenant... ?’
‘...En attendant, bouchez le avec votre fessier... !’

Gillibertichou...

‘...J’ADOOOOORE.... ! BRAVO... ! Nous avons évité le pire...LE VERROUILLAGE... !’
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
17 janvier 2008, 03:17



Mes chers quatre ou cinq amis désignés comme tels et qui se reconnaîtront, me voici arrivé à la croisée des chemins.

Il est temps que je vous confie quelque chose qui me tient à cœur mais pas aux n...ouilles.
Pour ne pas employer couille.

Depuis pas mal de temps, je suis....Des cours de Claquettes avec une prof extraordinaire.
Un mannequin, une super bombe dont je suis tombé presque amoureux si ce n’est qu’elle n’a pas de temps à me consacrer. Donc, je vais pour claquer mais au fond après un certain temps, ce ne sont pas mes talons qui claquent mais mon cœur qui bat la mesure.

Au début, il y a quatre ans, elle me disait ‘....Jano, ne soyez pas trop raide... ! Soyez cool, détendez vous et surtout laissez vous aller... !’

Je suis allé bien sur mais dans la mauvaise direction, j’ai tout mélangé, affaire de cœur et cul talent et talons.

Bref, au début, c’était facile ‘...CLIQ....CLIQ....CLIQ.... ! Une... ! Deux... Cliq....Une... ! Deux Clics...ClaqueSSSS... !!! Puis le lendemain ‘...CLIC...CLIC...CLIC...CLIC... !’ Quatre clics en battant la mesure. Le rythme commençait à rentrer avec quatre clics.... !

Une semaine plus tard, j’en étais à 5 clics ‘...CLIC...CLIC...CLIC...CLIC....CLIC... !’ A une cadence un peu plus rapide et surtout, il fallait que je la regarde dans les yeux sinon les CLICS n’étaient pas à son goût... !

‘..Si vous baissez les yeux, vous ne pouvez pas rentrer en moi, compris.... ?????? Il faut que nous soyons synchros... !’
Je n’étais pas synchro, j’étais Accroc à son corps... !’

Elle me houspillait toutes les fois qu’un de mes CLIQS sonnaient creux.
Imaginez une heure à CLIQUER.... !

Puis le rythme s’accéléra au bout de trois semaines....

‘..CLIC CLIC.CLICCLICCLICCLICCLICCLICCLIC...CLIC...CLIC...CLIC CLIC....CLIC CLIC..CLIC....CLIC CLIC.....CLIC.........CLIC CLIC CLIC...CLIC CLIC CLIC....CLICCLICCLICCLICCLICCLIC.... !’

Je commençais à bien cliquer... ! En plus, je claquais des dents par la douleur ce qui donnait ceci....’...QLAQT...QLAQT...QLAQT...’ En haut et ‘...QLIC...QLIC...QLIC... !’ En bas... smiling smiley smiling smiley smiling smiley

La prof, ce morceau de choix en chair bien dure, se rendait compte de mes DEUX CLICS et bien sur, comme elle avait l’oreille fine et un cul moule dans ses bas résilles noires sans parler de ses cuisses, le tout bien fermes, à faire cliquer tous les impuissants de la terre, je me suis dis dans mon phantasme que je vais peut être la cliquer après le cours. Surtout qu’elle me regardait avec des yeux avides. J’osais donc après le cours ‘...Mademoiselle, vous savez vous avez des Qlics supers géniaux.... ! Serait-t-il possible de cliquer en aparté avec vous.

Sa réponse fusa comme un éclair...

‘...Vous méritez que je vous CLAQUE... ! Si vous croyez que je n’ai pas compris votre manège pendant que vous CLIQUEZ... ! Vous avez fait une fixation sur autre chose, pas sur mes talons... !’

Fichtre, elle a compris que je matais son beau fessier qu’elle remuait si bien en cliquetant. Sur le coup, je ne dis rien mais sans me décourager, je me suis dis que je reviendrais à la charge lorsque je serais un bon CLIQUEUR...DE CLAQUETTES.... ! Par contre, elle me souffla quand même, juste pour me rassurer et atténuer ma peine, que si je claquais bien et si je passais honorablement mon concours de CLAQUETAGE peut être QUE... !’ Ce ‘QUE’ me remplit d’espoir.
Je concluais que j’avais peut être un TIKKET CLAQUANT avec elle si je réussissais cette épreuve.

Je me suis mis à corps perdus dans ma CLAQUETERIE, je claquais tellement que j’ai du changer quatre fois de CLAQUETTES. Cela en valait la peine car je savais qu’au bout de ma souffrance, j’allais la CLIQUER... !’ Je rêvais que de cela, la faire CRAQUER grâce à ma manière de CLAQUER... ! Et à mesure que je la voyais, j’en tombais fou amoureux, c’est fou ce que l’apprentissage des CLAQUETTES peut, du jour au lendemain, vous faire pousser des AILES AUX MOLLETS et surtout faire battre votre cœur à un âge pas très jeune.

J’avais une envie folle de lui biser les talons, ses orteils, sans que cela soit une DEVIATION d pas du tout. Bon, j’ai fais une fixation sur ces chevilles et alors, est-ce un pêche... ? Qui d’entre vous peux me dire si vraiment c’est interdit d’aimer des chevilles, des talons qui battent si bien la mesure... ?

Bref, je laisse tomber les chevilles.
Le concours arrive.
Super forme.
Gel dans mes cheveux. Mes tifs étaient hérissés comme la coiffure d’un IRONIQUOIS.
J’attendais mon tour, assis au fond de la salle.

Mon tour arrive.
Je me lève très détendu et surtout sans trac.
Vraiment à l’aise. AU TOP.
Je me place au centre. Et je commence à tournoyer devant les yeux ébahis de ma prof dont je suis amoureux.

Je la regardais aussi pour lire dans son visage une certaine satisfaction. Elle avait dans son regard, une étincelle qui ferait pâlir le meilleur des astres.
Et là je la vois se lever et venir à mes cotes. Cela n’était pas prévu au programme mais le juré n’avait rien trouvé à redire.

Un formait un couple de rêves tout en CLAQUATANT. CLIC...CLIC..CLICCCCCC...CLICCLICCLICCLICCLIC....

Et voilà que rentre, une vieille dame, qui vient se poster près de nous et qui laisse tomber son râtelier. ‘...Je voulais vous accompagner en CLAQUANT MES DENTS.... !’

Elle a foutu tout en l’air...Elle a gâché mon concours et mon rêve par sa connerie, celle de se mêler de ce qui ne la regarde pas. Alors qu’on lui a rien demandé. Il y a toujours une tierce personne, pas toujours intelligente mais légère certes, qui vous fout la pagaille lorsque vous êtes bien. Elle méritait une claque mais au vu de son âge, je me suis retenu.

Aujourd’hui, les claquettes sont derrière moi, je CRAQUE devant le visage de mes petits enfants et tout ce qui m’entoure. Et cela est la plus belle chose au monde qui puisse m’arriver.

Mais au fait, savez vous qui est l’actrice qui m’accompagne.... ? Allez devinez.... ?’



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