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*****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFF/SYLVIE TOURE...ON A KID/ M. LA COMTESSE...LE GRAND PETRUS...LE VOL DU CANARI...'...CoUCOUUU ...! C'EST CLAIRE...!LES IMPONDERABLES...MARGOT LA CHATELAINE ...UNE MAMAN EXCEPTI..LE TALC....!'

Envoyé par albert 
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
10 février 2008, 08:59
Quelque chose de doux ce soir, l'harisset louz, l'harissa aux amendes



Dans LA MAISON DE CAMUS





L'harissa aux amendes







Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
14 février 2008, 13:15
AU THEATRE CE SOIR.....RELACHE !!
Pièces jointes:
Valentins.JPG
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
18 février 2008, 09:01
L'harissa selon Vivi (Nathan)



Ingredients;

1/2 kilo de piments rouge piquant et sec.
5 a 6 tetes d'ail selon leurs grandeur.
Sel, cumin. coriandre, selon vos gouts.

Nettoyez les piment de leurs queues et des graines.




Lire la recette ce soir...

... EN DIRECT CHEZ CAMUS
Re: *****AU THEATRE CE SOIR*****.
21 février 2008, 12:29



Tous les personnages citès dans cette audience ne sont que pure coincidence etles faux faits établis ne peuvent constituer un plagiat d'aucune séance connue.


AU TRIBUNAL CE SOIR.




Délire.

Tribunal de Grandes Instances et des Grands Délits de PARIS.
Salle d’assise N° 4.

Affaire 123/PTB/ERREUR.

Je rappelle à nos chers lecteurs qui ont suivi avec haleine fraîche le fait divers marquant d’il y a quelques jours ; l’intrusion au PTB par une personne connue de Harissa Cette personne a violé le temple du rire et de l’émotion.

La séance est présidée par Monsieur le Président de la cour Monsieur CHRISTIAN DU CHESNE. Accompagné par ses deux assesseurs.
Le procureur Générale est Monsieur Gaspard de LAVIGERIE.
Témoins de L’Erreur Madame Elsa de la Faisanderie.

Madame Popeyon.
Monsieur Pigeon.
Avocat du PTB Maître Scemama.
Avocat de l’Erreur Maître Gargourian.

Témoins pour le PTB.
Michka.
Monsieur Meyer.
Monsieur Braham.
Monsieur Tawfiq.
Le gardien Belebou.

C’est devant la 4 iéme chambre du Tribunal de Grandes Instances que l’affaire PTB/ERREUR est venue aujourd’hui devant la cour.
Un nombre impressionnant de journalistes et de paparazzis a submergé la salle des assises.

‘...LA COUUUURRRR.... !’

Le Président et ses assesseurs rentrent sous un brouhaha.

‘...Vous pouvez vous asseoir... !!

La piéce à conviction.


Auteur: Mamili (IP enregistrée)
Date: 17 February 2008, 20:35

Erreur.
.




En date du 17 Février vers les 20 heures 35, Monsieur Belebou est averti d’une menace contre le PTB. Vous pouvez voir sur cet écran la signature de la dame en question.


Une plainte pour violation d’un lieu public avec effraction a été enregistrée au commissariat du 20 iéma arrondissement de Paris sous le N° 1256 PTB/E.
Le Div_Boulakia dans son rapport nous éclaire par ses investigations qui portent à croire, en conclusion, que la dame en question, malgré son masque, est bien la personne accusée .

‘....Madame L’Erreur comparait en prévenue libre. Elle encourt en cas culpabilité 3 ans de prison ferme et à un million € de dommages et intérêts.
Madame L’Erreur n’a pas reconnue en son temps, les faits qui lui sont reprochés ce qui amènent les deux parties aujourd’hui sous notre juridiction. A vous Maître Scemama... !’

‘...Monsieur le Président, Monsieur les assesseurs et Monsieur le Procureur, cette affaire n’aurait jamais due voir le jour si Madame l’accusée avait fait qqs excuses de circonstance.
Mais par fierté, elle a préfère renier les faits qui lui sont reprochés dans le fond et la forme et cela malgré les preuves accumulées et indiquées sur le rapport de police. Et comme vous Messieurs les Jurés vous allez les constater sur cet écran vidéo, prises sur le fait accompli. La caméra du PTB a tout enregistré.

‘...Greffier mettez la caméra en marche... En ralenti s’il vous plait... !’

La caméra est mise en marche.

‘...Là, comme vous pouvez le constater, il n’y rien sauf que les portes sont fermées.
Ici, comme vous pouvez le constater, un rayon de soleil filtre à travers les battants des deux portes et regardez qui rentre. Une forme. Agrandissez Monsieur... ! On ne voit pas le visage mais seulement la capuche et le masque de l’intruse. Or d’après des recoupements faits par le service scientifique, cette forme correspond à la taille et à la hauteur de cette personne.
Les traces de pas correspondent aussi, elles ont été imprimées par une personne pesant environ 122 kgs. Cette personne pèse 123 kgs aujourd'hui. Ici, les alarmes se mettent en marche.
L’Erreur prise au dépourvue et sous la crainte d’être apréhendèe laisse tomber deux papeirs comme vous le voyez. Sur l’un apparaît un signe ], sur le second ppier un mot ERREUR. Après analyse graphologique, ce mot a bien été écrit par la prévenue ici présente.Regardez...! La forme s’enfuit au moment où le gardien apparaît. La relève d’ADN prouve aussi qu’elle provient de la dite personne. Il n’y a aucun doute sur cela... ! Merci Monsieur le Président...!’

‘...A vous Maître Gargourian.

‘...Monsieur Le Président, nous venons d’assister une scène fort rocambolesque.J'ai l’impression de vivre un mauvais film d’horreur sorti tout droit d’un esprit véreux, dans le quel mon honorable cliente est l’auteur de je ne sais quel délit. On l’accuse de tous les maux, en plus depuis un certain temps, une cabale inspirée par son directeur Monsieur Albert contre ma cliente, nous amène a douter de l’esprit de ce Monsieur. J’ai ici sous les yeux, un rapport fort élogieux sur toutes les dérives sectaires de ce Monsieur et de ses acolytes.. !!’

‘..HUUUUee...HUEEEEE...HUEEEE... !’ Dans la salle.

‘..SILENCE SINON J'EVACUUUUUUUE LA SALLE... !’

‘.... Ces acolytes que je nomme BREITOU, Mr_Jano, le Div_Boulakia tient le commissaire qui est partie prenante dans le PTB. Un joli monde qui nage dans les eaux troubles. D’aileurs le WEBMASTER a déjà relevé les sous entendus provocateurs de ce DIRECTEUR HARGNEUX, qui fait fi de toutes les règles élémentaires de la bienséance... !’

‘...Maître je vous rappelle que nous sommes ici pour une affaire d’intrusion et non pas pour évoquer des affaires de coulisses, alors soyez circonspect et défendez ce qui nous amène aujourd’hui... ! Merci... !’

‘...Je m’en excuse. Messieurs les Jures, vous allez sans doute condamnez une forme et ses deux papiers. Maigre consolation lorsque on peut douter et de la forme et des écritures.

Les experts parle de 122 kgs, ma cliente ne pèse que 118. D’autres part, les deux papiers en question auraient pu être mis là avec l’intention de nuire à ma cliente. Ce soir là, elle avait bien écrit deux papiers qu’elles avaient remis à une amie MADAME ELSA. Qu’elle considère comme sa sœur. Madame Elsa, ici présente, est bien passée ce jour là devant le PTB, or il faisait grand vent et je suppose que ces deux papiers sont rentrés sous la force du vent. Il pleuvait aussi.
Le commissaire a dit que ces deux billets étaient humides donc, ils n’ont pas pu être mouillés à l’intérieur de la salle mais à l’extérieur...Ils ont donc atterris par inadvertance dans ce lieu et n’ont pas été déposée comme veut le laisser croire la partie adverse. Pour la forme de l’erreur, on ne peut pas incriminer cela à ma cliente car des formes comme celles là, il y en a des milliers Et puis connaissant le machiavélisme de cette bande Pétèbienne, il est fort possible qu’elle ait montée de toutes pièces cette affaire pour nuire à ma cliente.. ! En ce qui concerne la relève du nom sur le lieu du crime, nous savons de quoi est capable Monsieur LE DIRECTEUR, habile dans l’art de maquiller les faits...! Je demande la relaxe pure et simple de ma cliente... !’

‘...J’appelle à la barre Madame Michka.

Le greffier vient chuchoter à l’oreille du Président.

‘...Madame Michka est souffrante... !’

‘...J’appelle à la barre BELEBOU.

‘...Vos noms prénoms etc... !’

‘...Bel Ebou, gardien du PTB depuis 10 ans. Mon papa se nomme Chmiyane, ma maman Hayè, ma grand mère Meiha z’al est décédée à l’age de 85 ans après avoir mangé un couscous... !’

‘...Monsieur BEL EBOU, je ne vous demande pas votre arbre généalogique, soyez bref... !’

‘...Donc ce soir là, je fus réveillé par un bruit insolite..... !’

Bel Ebou termine en toisant du regard l’Erreur.

‘...Monsieur Meyer, vous avez été cité par la partie plaignante, qu’avez-vous à dire... ?’

‘...Justement, je suis tombé des nues... ! Je n’ai rien vu, l’incident m’a échappé... !’

‘...Comme d’autres tombent sur leurs fesses.... !’

Meyer se retire.

‘...Monsieur Braham, vous aussi vous avez cité comme témoin... !’

‘...Monsieur le Président, j’habite en Israël, je m’occupe de mes fleurs et je ne suis pas dans leurs salades, je ne peux pas inventer une intrusion que je n’ai pas vu.... !’

‘...Je vois, retourner à votre place, vous avez grandement contribué à la recherche de la vérité... !’

‘...Maître GARGOURIAN, avez-vous des témoins à citer... !’

‘...Oui, votre honneur, j’appelle à la barre Madame Popeyon... !’

Madame Popeyon vient à la barre.

‘...Madame Popeyon, vous avez étè citèe comme témoin pour apporter votre témoignage sur la probité de l’accusée... ! Qu’avez-vous à dire.... !’

‘...C’est un complot Monsieur le Président, un indigne, infâme complot.
Je connais l’erreur avant qu’elle ne soit une Erreur, une femme digne, bien à propos respectueuse des règles en tout genre, jamais un mot en plus, digne et surtout femme du monde... ! Je ne crois pas à cette intrusion, on essaye de faire porter le chapeau à mon amie... !’Un procédé mafieux... !’

‘...HUE HUUUUUE....HUE...... !’ La salle.

‘...SILENNNNNNNNCE... !’

‘...Avez vous quelques choses à ajouter Madame Popeyon.... ?’

‘...Non rien sauf que madame L’Erreur, ne devrait pas être là, je verrais plutôt qq ‘un d’autre ici mais que je ne nommerai pas... !’ En toisant Albert.

‘...Merci de votre témoignage... ! Vous pouvez regagner votre place... !’

‘...Monsieur Pigeon vous avez étè cité par la défense, nous vous écoutons... !’

‘...Je suis effaré par ce que je vois et entends. Tout cela n’est qu’un vulgaire stratagème pour noircir une dame honorable. Je la connais depuis 20 ans et jamais un faux pas, jamais un écrit
mal séant, mais où vas t’on si des personnes honorables sont injustement accusées de je ne sais quels délires... ! Phantasmes d’un metteur en scène qui nuit à la bonne ambiance qui prévaut sur Adra, j’ai été, autrefois, moi-même victime, d’une incursion chez moi, de ce petit monsieur qui se permet tout... !’

‘...Objection votre honneur, nous jugeons des faits répréhensibles concernant une Erreur et nous n’instruisons une affaire qui sort du cadre dans lequel nous sommes. Je voudrais cependant attirer l’attention des jurés, sur les facéties de ce monsieur qui, emporté par sa paranoïa, a jugé bon, il y a longtemps de compromettre un directeur honorable dans une accusation qui a mit les rires de son public du coté de Monsieur Albert. Son témoignage
aujourd’hui prête à équivoque. Il fait un faux procès dans cette enceinte alors que nous sommes censés juger des faits d’une dame qui a commit un délit. Voilà la vraie raison de notre présence ce soir... !’

‘...Monsieur Pigeon contentez vous de nous éclairer sur les faits ... ! Avez-vous quelque choses à ajouter... ?’

‘...Non, monsieur le Président.... !’

‘...J’appelle à la barre Madame Elsa.... !’

Madame Elsa, la quarantaine s’avance. Elle est vêtue d’un très joli tailleur et un chapeau à plumes.

Elle regarde Albert.

‘...Madame vos noms, prénoms etc... !’

‘...Madame Elsa, j’ai ......Etc... !’

‘...Madame Elsa quelles sont vos rapports avec l’accusée... ?’

‘...Une excellente amie qui ne fait de mal à personne. Je doute qu’elle se soit introduite dans le PTB avec mauvaises intentions... !’

‘...Expliquez vous... !’

‘...A vrai dire Monsieur le Président, tout est de ma faute.... !’

‘...Comment cela, de votre faute.... ?’

‘...C’est moi qui devait déposer un cadre au PTB... !’

AHHHHHHH...OOOOOOOHHH.... !’ Dans la salle.

‘...Oui, mais comme je ne sais pas faire des cadres, j’ai chargé mon amie de le faire à ma place... !’

‘...Quel genre de cadre Madame Elsa.... ?’

‘...Cette photo entre le Luron et Coluche qui a paru dans tous les quotidiens... !’

‘..Et alors... ?’

‘...C’était moi qui devait la passer mais comme je ne sais pas le faire, j’ai chargé mon amie de le faire à ma place... !’

‘...D’où le mot ERREUR.... ?’

‘...Exact, comme elle ne rentre pas au PTB, elle s’est embrouillée et elle s’est vite effacée... !’
D’où ses merde a liq à profusion... !’

‘...Donc vous reconnaissez qu’elle s’est bien introduite au PTB, par effraction... ?’

‘...Non, la porte du PTB est ouverte comme le sont les portes d’une église, elle est seulement passée pour me voir croyant que j’y étais mais elle n’a rien cassée. Ils sont montés cette affaire en épingle pour la discréditer voilà tout Monsieur le Président... !’

‘...Elle a votre passe alors... ? Votre mot de passe ... ?’

‘...Elle me l’a piquée un jour que je lui montrais mon album de famille... !’

‘...Etrange histoire... ! Que vous me racontez là, donc tout est de votre faute... ? Elle paye votre légèreté n’est ce pas... ?’

‘...Tu n’avais qu’à bien faire les choses, lorsqu’on te confies une chose tu bousilles tout toi... ! En pointant son regard vers l’ERREUR... !’

‘...Donc en conclusion pour imager un PACS D’AMITIE , vous avez cru bon de faire un rapprochement entre les deux célébrités... ? Je ne vois pas le rapport... ! Nous avons assez entendu, c’est vous qui aurez du être ici et pas elle, elle porte le chapeau à cause de votre bêtise... !’


Les avocats des deux parties finissent leur plaidoirie.

Le PROCUREUR.

‘...Dans cette affaire, je pense que nous nous trouvons devant ce qu’on appelle un quiproquo.
Une dame Madame Elsa demande à son amie de la commissionner. Celle là toute nerveuse se trompe et voilà l’ERREUR. En rendant service à son amie Elsa, Madame L’ERREUR, tremble, bafouille, clique et voilà la ‘ photo’ qui ne passe pas mais qui laisse le nom de l’accusée ici présente sur le tabloïde. Une vilaine trace qui l’envoie aux assises... !’
Messieurs les jurés, il n’y a pas de quoi foueter un chat... ! Le PTB est connu pour ses intrigues, ces mauvaises plaisanteries, ses blagues circonstanciées et autres provocations... !
Il n’y a pas lieu de punir l’ERREUR. Nous sommes dans un vaudeville... !’

Après délibérations, Madame L’ERREUR sort libre du Tribunal sous les applaudissements d’un certain public acquis à sa cause depuis le début de l’affaire.

Ici Mon_Germain à vous les studios.
Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR*****.
26 février 2008, 09:26
Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR*****.
15 mars 2008, 13:43
Vous vous souvenez Janet.... ?

Que de bons souvenirs j’ai de vous encore.

J’ai surtout cette promesse qui me colle à la peau. De rappeler à nos anciens harissiens qui vous étiez. De parler de vous sans vous avoir oublié.
Une promesse que je tiens comme vous pouvez le constater encore ce soir du 15 mars 2008.
Ce jour où vous nous quittiez pour toujours.

Je ne me souviens plus par contre avec précision l’année. Je peux bien sur aller dans l’autre cimetière de Adra pour ce faire mais je n’ai plus le cœur à le faire, trop de choses se sont passées.
J’en garde les meilleures et vous.

Vous qui m’appeliez de New York, moi qui vous appelez de Paris, et nous rions comme des enfants de ce qui se passait dans le forum.

Je n’ai plus de nouvelles de votre ami Abi, votre ami Henri z’al vous a rejoint.
D’autres aussi ont fait le long voyage.
Que reste t’il donc... ? Rien. Tout s’est disloqué depuis. Comme si vous aviez tout emporté avec vous.

Monsieur le Webmaster, nous a crée de nouvelles présentations.
Nous voilà compartimentés. Chacun dans son sujet, dans nos petits coins.
Evitant soigneusement de nous croiser car ma chère, vous n’êtes pas censés l’ignorer, on se croise sans se parler.
Nous nous regardons comme des petits singes de faïence.
Gentiment avec politesse.

Le PTB est là mais l’ambiance n’est plus comme avant. Je perds de l’argent.
Je leur raconte des récits mais ils n’ont en cure. Je fais dans le long et je hante le forum.
Comme un rat d’opéra qui ne vaut plus rien. Le revers de la médaille, il fallait bien qu’un jour cela arrive, on ne peut pas être toujours au sommet.

J’ai l’intention de hisser un gibet pour me pendre comme cela tout le monde sera tranquille et heureux. Ma présence les ennuie, elle m’attire des animosités.
Mon absence sera la bienvenue, je le sens.

Le BB a disparu ou presque, il reste encore quelques reliques de presse pour les nostalgiques.

Meyer, Tawfiq, Braham, Michka me tiennent compagnie lorsqu’ils le veulent bien, Camus aussi. Une grande lassitude ma chère Janet.
Emile le sage a disparu du site. Il me tient la rancune. Il y a la rancune chez vous... ? Heureusement que la bande M.G.C est toujours là pour nous instruire et nous distraire.
Elsa m’a fait faux bond, je la comprends. Elle est restée pareille à elle-même bien que mamie depuis deux ans. Mais nous, on ne se tient pas la rancune.

Lapid est parti. Hajkloufette, on ne sait plus rien d’elle. Rose ??? Partie aussi. Henri le rabbin sort que lorsqu’il a le temps.
Suggest s’est tût. Café des Dattes est devenu le café des Rats.

Vous savez que je suis papi de trois adorables petites filles et d’un petit fils Abraham.
Je compose pour elles lorsque je sens l’émotion monter dans ma gorge.

Je n’oublierais jamais votre ‘...Albert Albert... !’ Je l’entends souvent. Je pense bcp à vous, vous le savez déjà, je ne peux pas vous mentir à vous.
Merci ma chère Janet Castro.

NB/Janet était une fidèle participante dans le forum Adra. Il y a qqs années. Ces remarques, bien ne laissaient personne indifférent, et j’ai eu droit comme tout le monde à ces critiques et éloges. Elle avait sa vérité comme d’autres ont leurs mensonges.

Elle vit au paradis. Parce qu’elle était une femme de goût, inflexible, attachante par moments, rieuse et pleine d’humour. Elle est partie pas très vieille laissant Adra orphelin de sa présence.

Je vous laisse ma chère, sans vous oublier, jamais. NEVER.
Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR*****.
18 mars 2008, 11:34
Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFFAIRE SYLVIE TOURE...*****.
08 mai 2008, 06:15
AU THEATRE CE SOIR.


Pièce en un acte.

Paris le 8/05/2008.

Pièce Montée.



Le décor.
Un salon meublé style empire.
Trois portraits de rabbins, accrochés aux murs.
Au milieu du salon, un grand canapé.
La maîtresse de maison marche de long en large.
Madame la Maréchale ASLE de la discorde.

‘....AHHHH...AHH...AHHHHHH.... ! Je n’en puis plus ... ! Je n’en PUIS PLUS.... ! Je souffre de ce souffre douleur.... ! Ce voyou de l’écriture... ! Je n’arrive pas à le faire taire, pas même un pamphlet perso pour le ridiculiser... !

Je parlais de stratégie et me voilà en plein dans le décor, presque battue par cet arrogant des mots qui ne se met pas de gants envers une vieille bouse comme moi, il m’a rendu aussi merdeuse qu’un caca... ! De quel stratagème dois-je user pour qu’il se taise ce prétendu, ce prétentieux, ce précieux ridicule qui m’INSUPORTE.... !’

On tape à la porte.

‘...EntrEZZZZZZ... !’

Entre Madame de La Régente.

‘...Que se passe t’il... ! Mon amie... ! Vous êtes toute en vapSSSS... ?’
‘...Il me tuera d’une apoplexie, je vous dis, regardez le nombre de serviette que j’use, à mon age... ! J’ai beau faire les yeux doux mais il s’acharne contre moi et contre vous aussi d’ailleurs... !’

‘...Je vous entend mal... !
‘...‘...Il ME TUERA d’une apoplexiIIIIIe... !MADAME LA PLUME...!’
‘...Lisez le avec un télescope enfin, de loin, c’est un caractériel, imbu de sa personne...Et puis ces longues tyrannies ne sont que foutaises, tout le monde le sait et personne ne s’y associe, enfin... !’
‘...Qui vous parle de le télescopeEEEEr... ? Je dois lire tout ce qu’il écrit sinon je tombe en syncope... !’
‘...C’est un peu à cause de vouUUUs, l’ouverture de cette boutique, voulez vous le fond de ma pensée... ?’
‘...Plutôt un fond de commerce... ! Dites toujours, elle m’est chère... !’
‘...Toutes vos interventions prêtaient à le détruire, votre langage légèrement salée l’a contraint à nous renvoyer et puis votre valet ... !’
‘...Le votre Régente n’a fait qu’empirer les choses... !’

Rentre le Valet.

‘...BonjOUUUUUr... ! Qu’est ce donc ces chamaillerieEEES... ! On vous entend par delà la verrière... ?’
‘...Comment vont mes aras... !’ La Maréchale.
‘..Raz le bOOOl... ! Kiri ne veut plus se nourrir depuis que vous l’avez castréEEEE... !’

La Maréchale tire un mouchoir et pleure.

Le valet.

‘..Ô quand mêEEEme... ! Vous n’allez pas pleurer pour une si petite ChOOOOse de chair... !’
‘...Je pleure si cela me chante ok ???’
‘...Déjà que j’ai eu un mal fou à nettoyer le carrelage, vous n’allez pas l’inonder enfin... ! La Seine risque de déborder et bravo la crue... !Bon, j’ai cru comprendre que vous en avez assez de ce Breitou, ce barbaAAAr’... Est-ce qu’il vous fait tant d’ombrages pour lui donner tant d’importaAAAnce... ?Il faut se faire une raison... !’

Maréchale

‘...Une raison... ? Mais vous délirez... ! La hargne a sa raison, il n’a aucune conscience... ! Sachez le, il va nous malaxer comme de la mie de pain... ! Il bénéficie de complicités et il sait tout de nous... ! L’arrogant... !’

‘...Je vous entend mal... ?’ La régente. Mal entendante.
‘...Mettez votre acoustique, REGENTE... !’
‘...Où... ?’
‘...Vous étiez bien CULS ET CHEMISES avec le jardinier n’est ce paAAAAs... ?’
‘...Oui, mais voilà que les chemises sont partis et ils ne nous restent plus que nos culs... !’ La Régente.
‘...JE PARLAIS DE BRAMAN... !’
‘...J AI COMPRIS... ! Il l’a cherché et nous voici MARECHALE... !’
‘...ON CONNAIT LA SUITE DE LA FIN DE
L’ HISTOIRE... !’
‘...C’est le TEMPS DES CERISES... !’ Maréchale.
‘...PlutoOOOt le temps des ESCARMOUCHES... !’
‘...J’adore... !’ Le valet.
‘..Nous ALLONS LUI COUPER LES....RACINES.... !’ La Régente.
‘...Que ferions nous sans ses fleurs... !’ La Maréchale.
‘..EN VASE CLOS ET SANS EAUX.... !’
‘... UN JUDAS CE JARDINIER... !
‘...Faut pas exagérer quand MEME REGENTE... !’
‘...Il ne FAIT PLUS PARTIE DE NOTRE CERCLE... !’
‘...Plutôt ovale votre rond... ! Une vraie peau de chagrin... !’ Maréchale.
‘...Et vous DONC.... !’ La Régente.
‘...Qu’insinuez vous donc par là... ?’
‘...Juste une enfin rien... ! Le siége vous va à merveille... !’
‘...Quel siége... ?’
‘...Celui de PDG.... !’

On frappe à la porte.

‘...C’est la journée des visites... !’

Madame LIFTING, une pauvre américaine débarquée depuis qqs jours à Paris. Une amie à la Maréchale.

‘...HELLOOOOOOOOO... !’

La Régente en sourdine.

‘...Manquait plus qu’elle... !’

‘...Hello.... ! Alors fine.... ?’
‘...Yes, beaucoup maigrie ma darling... !’
‘...On voit.... ! Où etiez-vous... !’
‘...SHOPPING, LIFTING, CAMPING, JOGGING, PIQUE NING…! HAZOU KING… Yes…!’
‘…Vous vous êtes éclatée alors... ?’
‘...ESPLOSING.... !’
‘...SANS VOUS METTRE EN ROGNE, IL EST MIEUX QUE VOUS TOUTES... !’
‘...Vous radotez Régente... !’ la Maréchale.
‘...RECONNAISSONS AU MOINS DES CIRCONSTANCES qui parlent en sa faveur... ?’
‘...Vous nous lassez en l’invoquant basta... ! Ne parlons plus de lui...!’
‘...Parlez plus fort... !’
‘...Ce soir nous avons une grande soirée... !
Soyons cool et surtout de la bonne tenue... !’
‘...AVEC VOUS MARECHALE TOUT DEVIENT POSITIVE... !’
‘... ENTRE VOUS, JE DEVIENS POUSSIF... !’
Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFFAIRE SYLVIE TOURE...*****.
13 mai 2008, 02:44
A L’OPERA CE MATIN



‘...OPERA BURLES QUONI... !’
En un acte.

Breitou le maître chanteur sur les tréteaux du plus beau Théâtre au monde.

Voix de Krarouzo.

‘...Dimi DimIIIIII Tù...

DimIIIII TùUUU....

Kolli echbiq mheiraAAAAA.... ?
Pourquoi t’agites tu... ????

Tù vécchia amica di NapoliIIII....
Ricordate él tempo quandOOOO A preso la tua difeSAAAA….!!!
Ma tù là dimentica signoraAAAA.... !

Ricordate queste notte di gioia
Noi palabre pieni di sentimento
Ma oggi sono con molte tristezza.

DIMIIIIII...DIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Amore PerdutOOOO délla mia vitàAAAA....... !
Tou a fait une grosse bêtise
Tu é entrata con les luppiIIIIIs....

SuzannaAAAAAA.....
Io sono cattIVVOOOOOOOOOOOOOO...?
Mi dispiace ma tu là dicca
Alora oggi sono senza BontaAAA....

Ma con BounitAAAAA….!!!

DimIIII…DIIIIIMIIII….
Brabi Napoli é qui per tè???
Una sorella ou alora la tua madreEEEE... ?
Crédo tu sbagliata su tuttà la lignAAAAA..... !!!

La guerra tra di noIIIII.... !
A comincataAAAAA...§§§§§§
Mi dispiacé ma tù lo dicOOOOO.... !!!!!

§§§§§§§§§§§§§§§§§

Ye li tkhelt meghir souar
Fi bled él jew...
Allaich jit tssebni ehne elli âândi él kder liq...§§§§

Toi qui est entrée sans permission
Dans mon pays de la bonne ambiance... !
Pourquoi m’injures tu moi qui suis plein de respect pour toi.... !!!


Re: *****SALLE JANET z'al***** AU THEATRE CE SOIR...L'AFFAIRE SYLVIE TOURE...*****.
01 juillet 2008, 03:42
AU TRIBUNAL CE SOIR.



L'AFFAIRE SYLVIE TOURE.



Tous les évènements cités ici ne sont que pure imagination et ne se rapportent à aucun fait divers présent ou passe. Les noms sont imaginaires.


Le président de la cour d’assise……..Mr Dumont de Rastignac.
Ses assesseurs………………………..Mr Belmont Latour
Mme Simonet Françoise.

Les jurés.

Le Procureur………………………………… Mr. Edouard Roche ( 62 ans )
L’avocat de La partie civile………… ………. Maître Jacques Alandon ( 55 ans )
L’avocat de l’accusée………………. ……… Maître Chemouni Guy. ( 38 ans )
L’accusée…………………………………… Mlle Sylvie Tourrè. ( 28 ans, infirmière)
Le psychologue……………………………. …..Mr Antoine Guesle. ( 45 ans )
La victime………………………………….…. Mr Galibert Jean ( 75 ans retraité)
Le magnat……………………………………... Mr Rochaubaud Julien. ( 72 ans)
L’épouse du magnat…………………………… Mme Rochaubaud Rolande ( 69 ans)
La maîtresse du magnat………… …………….. Mlle Annette Joli. ( 28 ans)
Le vétérinaire ( amant de Mme Rochambaud ) Mr Richard leblanc. ( 35 ans )
Le privé…………………………………………Mr Hubert Boulakia ( 65 ans )
La responsable de section à l’hôpital……….. Mme Cherifa Fathi. ( 59 ans )
ST LOUIS à Paris.

Mlle Sylvie Tourrè, infirmière expérimentée à l’hôpital St Louis est accusée d’avoir introduit un produit mortel dans la veine de Mr Galibert Jean, un vieux retraité souffrant des poumons.
Entraînant la mort de ce dernier. Elle est dans le box des accusés, son procès est ouvert devant la 4 ième chambre de la cour d’assise de Paris.

Maître Chemouni interroge la cheftaine Mme Chérifa…



-‘…Madame, vous travaillez depuis bientôt 40 ans dans la section de pneumologie du professeur Aimant …
-‘…Je prends ma retraite dans deux mois… !’
-‘…Tant mieux, j’ai encore le temps de la voir venir en ce qui me concerne, mais là n’est pas le problème, vous avez sous vos ordres six infirmières dont Mlle Sylvie Tourrè dans le box des accusées….Au fil de l’enquête de police, vous dites ‘….Je n’ai jamais eu à me plaindre d’elle, tout ce que je lui demandais elle le faisait avec soin, et jamais un regard de travers ou une plainte…. ! En 40 ans de carrière je n’ai jamais eu une telle jeune fille aussi sérieuse… !’
-C’est bien ça … ?’
-‘…Oui, tout à fait… !’
-‘…Ce fameux soir, où Mr Galibert trépasse après trois quart d’heure, suite à cette injection mortelle, vous étiez debout sur le seuil, à 22 heures 12, et vous assistiez à cette injection donnée par l’accusée, n’est ce pas, et soudain, voilà que vous voyez à votre grande surprise Mr Galibert prit par des convulsions trépasse sur le champ sans que vous ayez le temps d’intervenir… ! Avez vous l’habitude de surveiller Mlle Sylvie toutes les fois qu’elle fait une injection ou prise de sang etc… ?’
-‘…Non pas du tout, Melle Sylvie est une chevronnée et surtout passionnée par ce qu’elle fait, toujours disponible…


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