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SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.

Envoyé par albert 
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
20 mars 2009, 05:35


Ainsi soit-il !


Paroles et musique Naomi Shémer

Interprété par Hava Albersteïn

Traduction libre de l'hébreu, Camus.




Une voile apparait à l'horizon

Face à un lourd nuage noir

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits

Et si dans nos fenêtres un soir de fête

La lumière des chandelles chancelle

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits



Amen ainsi soit-il

Que tout soit selon nos souhaits



Les sons lointains sont ceux

Du cor et des tambours battant

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits

Si tu entends entre les notes

L'Ave émergeant de mes lèvres

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits



Amen ainsi soit-il

Que tout soit selon nos souhaits



A l'ombre d'un quartier paisible

Une maison au toit de tuiles rouges

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits

La route se termine avec la fin de l'été

Laisse les arriver ici

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits

Amen ainsi soit-il

Que tout soit selon nos souhaits






Et si rayonne dans l'obscurité

Là-haut une étoile filante

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits

Donne la sérénité et la vigueur

À tous ceux que nous aimons

Ma prière est que tout soit

Selon nos souhaits



Amen ainsi soit-il

Que tout soit selon nos souhaits
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
21 mars 2009, 14:36


LA DIRECTION DU PTB VOUS INVITE A L'OUVERTURE DE

***** L ESPACE DIVONA*****

ET A LIRE MADAME DIVONA.

AU PTB.
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
21 juillet 2009, 01:27
Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ?


Source : Point de BASCULE.
samedi 18 juillet 2009

Bon Midi Honorable chalom cher Ami Camus,

Des Amies d'Israël-Québec nous ont demandé de faire circuler cette Terrible Référence :

[www.pointdebasculecanada.ca]

Épouvantable soutien du Monde Syndical québécois aux Intérêts Pro-Hamastoïdes et Pro-Palestiniens :

Ça Commence à chauffer au Québec !

Amitiés Solidarités,

Marcel (Fafouin)
20 juillet 2009 / 28 tamouz 5769


La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a décidé d’appuyer une campagne internationale de boycottage contre Israël pour exprimer la solidarité du « Québec » avec les Palestiniens.

À son Congrès annuel de la fin juin, la CSQ a répondu favorablement à la demande de « 172 organisations palestiniennes » qui appellent au boycottage d’Israël, au retrait des investissements dans ce pays et à l’imposition de sanctions contre l’état israélien.

Cette nouvelle « qui n’est pas publiée sur le site » de la CSQ trouve un écho sur plusieurs sites et organisations dédiés à la cause palestinienne « mais » qui supportent aussi des mouvements terroristes à tendance islamistes comme le Hamas et le Hezbollah. On y félicite la CSQ pour sa prise de position contre Israël. Pourquoi la CSQ ne s’empresse-t-elle pas à informer ses 170 000 « membres » sur le sujet ?

Pourquoi cet empressement à soutenir l’opposition à Israël alors que les délégués de la CSQ auraient pu discuter d’un soutien aux travailleurs iraniens sauvagement réprimés par les diverses factions paramilitaires des Ayatollahs. Non, c’est Israël, seul État du Moyen-Orient doté d’un « mouvement syndical libre et indépendant », que la CSQ a choisi de boycotter.

Et puisque la CSQ semble à la recherche de victimes pour manifester sa solidarité, pourquoi ne pas choisir les Soudanais victimes du génocide orchestré par la junte arabo-islamiste au pouvoir ou encore les Ouighours, ces « musulmans » chinois que le pouvoir de Pékin écrase depuis des années.

Que dire, d’ailleurs, de « l’étrange » silence du monde musulman Québécois et Canadien sur les exactions du gouvernement chinois envers les Ouighours. Tout un contraste avec la cohérence des membres des communautés tibétaines et taïwanaises qui ont manifestés leur « solidarité » envers ce peuple majoritairement « musulman » à Toronto aujourd’hui. Pourtant, là-bas, aux confins de la Chine, des femmes et des enfants meurent aussi à cause de « l’oppression » du gouvernement chinois. Mais dès qu’il est question d’Israël, c’est aussitôt la levée des boucliers ! Haro sur le baudet, ce pelé, ce galeux !

Comme bien d’autres organisations occidentales, la CSQ garde le silence sur une foule de conflits plus meurtriers que le conflit israélo-arabe. Encore une fois, une organisation occidentale s’acharne contre Israël au mépris des réalités. La politique des bons sentiments l’emporte sur une appréciation lucide et équitable des faits.

Pourquoi cet acharnement ? Accuser Israël d’apartheid alors que les Arabes vivant en Israël jouissent de droits qui leur sont refusés dans les territoires palestiniens par leur propre dirigeant qu’ils soient du Hamas ou du Fatah, révèle le caractère idéologique du soutien des Occidentaux aux Palestiniens.

Soutenir le mouvement de boycottage d’Israël ne coûte rien à la CSQ et n’apporte rien aux Palestiniens. Belle preuve de solidarité que celle-là ! En fait, la CSQ fait le jeu des extrémistes et des islamistes du Québec qui utilisent le conflit israélo-palestinien comme moyen de pénétrer la société québécoise et de contester ses valeurs.

De quel bois se chauffe la CSQ ? Une photo vaut mille mots !

Cette photo est présentée sur le site web même de la CSQ dans la section diaporama présentant « la marche de solidarité avec le peuple palestinien » qui s’est déroulé à Montréal le 10 janvier dernier. Elle était toujours en ligne aujourd’hui le 18 juillet 2009.

Les idéaux de la CSQ sont fortement mis à l’épreuve.

Cette photo n’est pas anodine. Les 170 000 « membres » de la CSQ approuvent-ils réellement d’être associés à de tels symboles ?

La pancarte que pavane fièrement ce manifestant démontre trois personnages « symboliques » : Yaser Arafat, Ahmed Yassin et Abdel Aziz Rantisi. Trois personnages défunt ayant ouvertement supportés le djihad, le terrorisme, la haine de l’Occident, le rejet des droits de l’Homme ainsi que la démocratie, une valeur que les 170 000 « membres » de la CSQ ont probablement à coeur.

Yassin est aussi le fondateur du Hamas et Rantisi était son successeur. Le Hamas est une organisation « islamiste » qui affiche ouvertement, en plus de supporter le terrorisme, de vouloir instaurer une « théocratie » islamique fondée sur la charia selon les principes véhiculés par l’idéologie des Frères Musulmans.

Anina, ingénieure palestinienne critique d’Israël et réfugiée en France nous parle du Hamas sur France Info : Sur France Info : Anina, palestinienne réfugiée en France, témoigne

Profil de la CSQ

« La CSQ représente près de 170 000 membres, dont près de 100 000 font partie du personnel de l’éducation. Elle est l’organisation syndicale la plus importante en éducation au Québec. La CSQ est également présente dans les secteurs de la santé et des services sociaux, des services de garde, du municipal, des loisirs, de la culture, du communautaire et des communications. » - Source : CSQ


Quelques extraits de la charte du Hamas :

La charte du Hamas a été adoptée par le Hamas le 18 août 1988 et comprend le programme et les objectifs originels du Hamas qui sont la constitution d’un État islamique sur l’ensemble de la Palestine et l’établissement de la loi islamique (ou loi coranique) dans ce futur État, qui sera supposé reprendre le territoire d’Israël, lorsque celui-ci sera vaincu.

Quelques extraits :

Article 8 : « Allah est son but, l’Apôtre son modèle, le Coran sa constitution, le djihad son chemin et la mort sur le chemin de Allah la plus éminente de ses espérances. » (...)

Article 11 : « Telle est la loi régissant les terres de la Palestine selon la charia (loi islamique), et il en va de même pour toutes les terres conquises de force par les Musulmans car à l’époque des conquêtes (islamiques), les musulmans ont constitué ces terres en biens aux futurs générations musulmanes jusqu’au Jour du Jugement. (...) »

Article 13 : « Les initiatives, les prétendues solutions de paix et les conférences internationales préconisées pour régler la question palestinienne vont à l’encontre de la profession de foi du Mouvement de la Résistance Islamique. » (...) « Quant aux initiatives, propositions et autres confé­rences internationales, ce ne sont que pertes de temps et des activités futiles. Le peuple palestinien a trop d’honneur pour dilapider son avenir, son droit et son destin en activités futiles. . »

Article 15 : « Il faut que les ulémas (chefs religieux), les éducateurs et les ensei­gnants, les hommes de médias et de communication, les masses d’intellectuels et tout particulièrement les jeunes des mouvements islamiques et leurs aînés s’associent à cette opération de conscientisation. Il faut introduire des changements essentiels dans les programmes d’enseignement, les épurer de toute trace de l’invasion intellectuelle qui les ont livrés aux mains des orientalistes et des missionnaires chrétiens. Cette invasion de la ré­gion est menée depuis la défaite des ar­mées croisées par Salâh al-Dîn al-Ayyûbî (Saladin) ... »

« Il est nécessaire d’inculquer dans l’esprit de toutes les générations musulmanes que le problème palestinien est un problème religieux, et il doit être traité sur cette base.. »

Article 17 : « (...) organisations aux différents noms et formes, comme les Francs-Maçons, les Clubs Rotary, de groupes d’espionnage et d’autres groupes, qui ne sont rien de plus que des cellules de saboteurs et de subversion. Ces organisations disposent de suffisamment de ressources leur permettant de jouer leur rôle dans les sociétés aux afin de la réalisation des objectifs sionistes (...) »

Article 23 : « Le Mouvement de résistance islamique reconnaît et traite les autres mouvement islamique avec respect et considération. (...) »

Article 24 : « Le Mouvement de la résistance islamique ne permet pas de parler en mal ou de dire des faussetés ni de personnes ou de groupes, car le croyant n’indulge pas dans ce type d’agissements. Il est nécessaire de faire la différence entre ce comportement et les prises de positions de certains individus et certains groupes. Chaque fois que les points de vue sont erronés, le Mouvement de la résistance islamique se garde le droit d’exposer les erreurs et à mettre en garde contre elle. Il s’efforcera de montrer le droit chemin et à juger l’affaire avec objectivité. La bonne conduite est l’objectif du croyant. Il applique cette conduite partout avec lui. »

Article 25 : « La laïcité est en totale contradiction avec l’idéologie religieuse. Ce sont sur les idées, les attitudes et les points de vue qui découlent de l’ideologie.

C’est pourquoi, avec tous notre appréciation pour l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP)- et de ce qu’il peut devenir - et sans nier son rôle dans le conflit israélo-arabe, ((nous sommes dans l’impossibilité de troquer l’islamité de la palestine actuelle ou future avec l’adoption d’un état laïque .)) La nature islamique de la Palestine fait partie de notre religion, quiconque néglige une part de sa religion est un perdant.. »

Article 30 : « Le djihad ne se limite pas qu’à porter des armes et confronter l’ennemi. (...) »

Article 31 : « Sous la tutelle de l’islam, il est possible pour les adeptes des trois religions - l’islam, le christianisme et le judaïsme - de coexister dans la paix et la tranquillité avec les autres. La paix et le calme est impossible, sauf sous la tutelle de l’islam.. (...) »

Ci-bas, Source : Yale Law School
Répondre à cette brève
3 Messages de forum

*
Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 18 juillet 23:34, par patte de velours

C’est bizarre. Alors que la CSQ a régulièrement et ce, avec vigueur, exprimé son soutien à la cause palestinienne, il n’y avait pas l’ombre d’un chef syndical de cette centrale lors des manifestations soutenant le peuple iranien dans sa lutte contre le régime des Ayatollahs et qui se sont tenues à Montréal le 9 juillet dernier. Ainsi, on pouvait compter qu’une dizaine de québécois de souche à la Place Dorchester ce soir-là. Mais où étaient donc passés nos syndicalistes avec leurs bannières, marionnettes et mégaphones ?

Le droit à la liberté des Iraniens vaudrait-il moins cher que celle des Palestiniens ?

Les positions de la CSQ sont décidément bizarres. Très bizarres.

Répondre à ce message
*
Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 19 juillet 10:41, par Kasteli

Une action simple à l’endroit de la CSQ : inonder la boîte vocale de son président : M.Réjean Parent :514-356-8888 vous faites le 1 puis composer le 727 pour les 3 premières lettres de PARent et exprimer votre opinion. Ou écrivez une belle lettre : Réjean Parent (président) Siège social - Montréal : 9405, rue Sherbrooke Est Montréal (Québec) H1L 6P3 Téléphone : 514 356-8888

Répondre à ce message
*
Québec - La Centrale des syndicats du Québec se fait-elle le complice des islamistes ? 19 juillet 22:18

Quel sont les prochaines solutions de nos braves syndicalistes ? Espérons qu’ils n’ont pas l’idée d’une solution finale





Randa

Répondre à ce message
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
21 juillet 2009, 01:37
KHAMOUCH, ton voyage à Sfax, tu peux nous l'insérer...iCI ? Merci.
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
21 juillet 2009, 01:59
20 ans pour le Mouvement des personnes d’abord

Une journée d’étude aura lieu le 10 septembre



Cynthia Giguere-Martel par Cynthia Giguere-Martel



Voir tous les articles de Cynthia Giguere-Martel
Article mis en ligne le 19 juillet 2009 à 22:37
Source : l'EXPRESSE, Vie Communautaire.


Soyez le premier à commenter cet article.
20 ans pour le Mouvement des personnes d’abord
Sur ce cliché posent Gustave Imbert; Denise Laplante; Éric Précourt; Claude Carrier ainsi que Marcel Blais, tous membres du comité organisateur.

20 ans pour le Mouvement des personnes d’abord
Une journée d’étude aura lieu le 10 septembre
Le Mouvement des Personnes d’Abord de Drummondville célèbre ses 20 ans. Pour l’occasion, une journée d’étude sous forme de colloque aura lieu le jeudi 10 septembre, au Centre communautaire récréatif Saint-Jean-Baptiste, où plusieurs intervenants du milieu communautaire animeront des ateliers.

Le Regroupement d’organismes de personnes handicapées du Centre-du-Québec, l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées, Parrainage civique et l’Association du Québec pour l’intégration sociale figurent parmi les organismes communautaires qui seront sur place le 10 septembre prochain. Chaque intervenant animera un atelier en lien avec le thème «La normalisation».

En fin de journée, un vin d’honneur sera servi suivi d’un souper banquet durant lequel sera présenté un spectacle humoristique interprété par deux membres du mouvement. Une soirée dansante terminera ce 20e anniversaire.

Pour plus d’information, il suffit de composer le 819 478-3899.
Mission

Le Mouvement des Personnes d’Abord de Drummondville est une ressource socio-communautaire régionale d’entraide, de promotion et de défense des intérêts, besoins et droits en déficience intellectuelle.
Cet organisme sans but lucratif a vu le jour en 1989 et a été incorporé en janvier 1990.



Sur ce cliché posent Gustave Imbert; Denise Laplante; Éric Précourt; Claude Carrier ainsi que Marcel Blais, tous membres du comité organisateur.
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
21 juillet 2009, 10:01
Ce récit est de Camus.



Sfax m'attend
Retour à Sfax.
Dans mon poème "Sfax m'attend", j'ai écris il y a deux ou trois ans :

Sfax quittée
A dix sept ans
M’attend si longtemps
Fidèle fiancée
Est- elle aussi belle
A-t-elle changé ?
Aura-t-elle
Un pincement au cœur
Une larme à l’œil en me voyant
Et moi mon émotion
Sera-t-elle aussi profonde
Que celle que je ressens
En ce moment ?



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Cette nostalgie manifestée dans ces quelques vers fait suite au fait qu'après plus de cinquante ans, le retour en arrière devient abrupt et le cœur se méprend entre un voyage dans les cieux et une traversée dans le tunnel des temps.
J'ai ressenti la difficulté de faire ce saut, mon voyage ayant été reporté plusieurs fois, le plus souvent pour des raisons objectives mais aussi à cause d'une hésitation ou d'une incertitude. Mon appréhension grandit quand mon frère et mon épouse n'ont pu m'accompagner, le premier pour des raisons de santé et la seconde pour me remplacer auprès de lui, durant mon absence. Mon manque d'entrain a contraint ma compagne Gisèle, à m'inciter à commencer les démarches en vu de ce voyage-pèlerinage dans ma ville natale. Ma fille Osnath s'est porté volontaire à m'escorter et ainsi débutèrent les préparatifs de ce retour à Sfax.


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Nous voilà en Tunisie. Mon ami Moncef et son épouse Afifa se déplacent de leur habitation à Monastir jusqu'au Port Kantouï afin de nous conduire à Sfax, à bord de leur voiture. Cette hospitalité tunisienne est inspirée par le modèle dicté par notre ancêtre commun Abraham, depuis des millénaires. Mes amis font ce geste avec une grande noblesse de cœur.
Les oliveraies du Sahel remplissent le paysage, détrônant les vignobles du Cap Bon. Leur vue excite mon regard, mon cœur battant la chamade. Je cherche des paysages connus, des villages naguère traversés. Mes souvenirs et le trajet présent ne coïncident pas, sans doute à cause de mes déplacements en train, antérieurement.

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CAMUS ASSIS A DROITE. CHEYEKH OU DEYEKH.

Mohamed Aloulou et sa séduisante épouse nous reçoivent dans leur propriété Route de Téniour. Ils nous mettent à l'aise de suite avec une grâce majestueuse. Un bon café est servi avec des petits fours. Nos hôtes souriant tout le long de notre séjour, nous écoutent avec intérêt. Ensuite Mohamed nous fait la surprise de contacter notre famille Gisèle et Nathan, que nous voyons sur le petit écran de l'ordinateur. Notre émotion est grande. Nous nous quittons et je confie à Mohamed le disque de photos prises jusqu'à notre entrée à Sfax et recopiées de notre carte numérique. Pendant que nous nous quittons pour une heure, Mohamed envoie des photos à notre adresse à Beersheba, ainsi notre famille et nos amis ont pu voir notre parcours, durant notre séjour à Sfax.

En entrant à Sfax je n'ai pas retrouvé mon enfance ni mon adolescence, mais la ville telle qu'elle est en ce moment, différente de celle que j'ai connue. Ce qui m'a frappé c'est la grande accolade que fait Sfax à sa banlieue, s'amplifiant, étendant ses bras afin de sentir autour d'elle toutes les agglomérations de la périphérie. Ainsi Sakiet Ez Zit, Sakiet Eddayer, El Aïn, Gremda, Thyna et d'autres au Nord et au Nord-Ouest se trouvent rattachées à la Grande Ville. Mahrès au Sud aussi ? Sans doute. Sfax avec ses 50.000 habitants à l'époque est plus dense aujourd'hui et en compte 500.000, et énormément de voitures.



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Monsieur REUVEN A DROITE CHEMISE RAYÉE.

Je n'ai pas retrouvé les petites maisons qui étaient éparpillées autour de la ville, ni les petites fermes, ni les jolies villas à l'entrée Nord, ni les cités des cheminots à Moulinville. Je suis bouleversé en retrouvant l'immeuble Kria. Je serre ma fille dans mes bras. Mes amis Moncef et Afifa semblent aussi émus que moi. 53 ans sont passés si vite. Je fais le tour du quartier qui m'a vu grandir. Osnath me suit avec sa numérique et me prend en vidéo. Mon émotion rend mes gestes gauches. Ma maison a changé. Elle a été démolie et reconstruite. Les travaux sont en cours. La porte est verrouillée à l'aide d'une chaîne bouclée par un cadenas. Je pousse un battant, il bouge de dix centimètres, retenu par les anneaux qui le fixent. Ce que je vois est une nouvelle demeure, pas la mienne, celle que mon arrière grand-père Méïr a bâti. Je ne vois plus ma chambre dans le patio, ni la cuisine, ni le puits.

Une larme mouille mon visage et elle est confondue avec les gouttes de pluie qui commence à tomber. Je suis accueilli par le Ciel qui paraît être aussi mélancolique que moi. J'entre dans la ruelle Campési. L'ex-maison Chelly, propriété de la famille Bouraoui, a vu ses portes et fenêtres obstruées. Je tape sur le mur blanchi à la chaux et je dis à mes compagnons : "Ici, je voyais Hédi Bouraoui écrire pendant des heures". La maison Ankri est à coté. Je la désigne. Un passant nous rencontre et nous dit que son père a acheté cette demeure en 1952. Je reconnais le fils du policier du quartier. Nous parlons de Jojo Ankri, de Gaby, de mes proches la famille Brakha, de mes cousins Louzoun, des Taktouk, des Campési, des Cérato, et des Poirier. Les murs ont changé, les noms restent présents malgré le temps passé.



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La maison où a grandi Hédi Bouraoui et l'épicerie de son père paix à son âme, se sont transformées en banque. Je comprends à présent la raison pour laquelle le mur arrière a vu ses fenêtres et porte emmurées. L'école primaire est devenue la Grande Ecole des Beaux Arts.

Le café Gambarana est bien délabré, le bloc Kria a besoin d'une remonte, quant à la chaussée elle ne peut supporter tout ce mouvement, les piétons voudraient avoir un passage clouté. Les fossés au bord de la route ont disparu, les petites maisons basses avec jardinet ont laissé leur place à des immeubles. Reste le magasin du cycliste Melouli et l'échoppe du faiseur de beignets, mais les deux sont fermés. Je ne trouve plus la Synagogue du jardin de Chouchane. La boulangerie y est, mais close.

L'épicerie de Chabouni a changé de fonctions, de même que les petits magasins à côté. Tout me paraît plus petit. La maison de Nessim Cohen a dû changer de propriétaire et n'est plus grande ouverte. Dans la rue Rendu tout a changé, le jardin du même nom, n'existe plus, ni la villa Chemouny. Excepté l'habitation des Chelly Max et Théo, rien n'est plus comme avant. Même le magasin du meunier a perdu le poteau électrique juxtaposé qui lui tenait lieu de chaouch.

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En route vers la ville, je constate que les bâtisseurs entreprenants ont vite fait de conquérir les côtés du chemin que j'ai emprunté si souvent. Seule l'Ancienne Gendarmerie garde son ancienne allure, style village. J'éprouve un immense plaisir en apercevant les remparts de La Médina. A leurs pieds se trouvaient naguère des courts de tennis. Les jeunes filles qui maniaient leurs raquettes, attirantes dans leurs mini-jupes blanches sont des grand-mères à présent. Deux gros cubes construits devant la gare représentent la nouvelle poste et le tribunal. Ce dernier a changé d'apparence et s'est élargi. Leur vue me cause un malaise, autant que les immeubles que j'ai vus à Moulinville. J'aurais voulu retrouver ma ville aussi coquette et pimpante qu'autrefois.


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Je me calme en arrivant au centre Ville, Bab El-Bhar qui est celui que j'ai souvent vu. Enfin à peu près, ne serait-ce le nouveau bâtiment construit sur le Monoprix qui me laisse perplexe quant au goût esthétique de l'architecte qui l'a conçu. Je me délecte en me penchant vers le Petit Chenal, en entrant pour la première fois dans la pépinière. A ma communion on ne m'a pas laissé y pénétrer, le gardien m'ayant montré un panneau : "Interdit aux hommes de quinze à soixante ans"! Je n'avais que douze ans et demi, mais étant haut de taille, le surveillant s'est mépris et m'a pris pour un jeune homme.


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Je traverse les rues des Belges, Emile Loubet, je retrouve la Synagogue Edmond Azria, l'Hôtel des Oliviers, la gargote de Phraïm, Jacob Delafon, et la minuscule librairie de Blanche qui m'a vendu mes premiers romans. Je suis bien reçu au Lycée des Garçons, je rentre saluer le directeur, politesse oblige et je suis escorté dans les salles de classe. Je prends la parole et je fais l'éloge des études en me tournant vers les élèves. Je félicite la secrétaire, élégante dabs son tailleur sobre. Toutes les secrétaires de l'Etablissement ont toujours été bien habillées.


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Le Docteur Mohamed Aloulou nous fait la tournée de La Médina que notre ami Hédi a rappelée dans son roman "Retour à Thyna". Bab Eddiwan, Bab Ejebli, La Casbah, Borj Ennar qui a été témoin de la mort de Kateb dans le roman cité. J'ai pensé à Zitouna qui, grandie, a été violée entre les murailles de cette ville et la zitouna qui pousse autour dans les champs et donne aujourd'hui, comme dans le temps, ses fruits bénéfiques. J'ai tant de fois traversé ces ruelles et dédales. Je vois l'ancien dispensaire du Dr Meunier, le magasin ayant appartenu à Camus Bouhnik, l'oncle de mon père. La pâtisserie et ses régals est encore là. Nous traversons les souks : Bela'j, Chaker, ceux des étoffes, des bijoutiers, La Romana, la rue des forgerons, celle des savetiers. Aloulou mène cette excursion de main de maître. Une leçon d'histoire et l'histoire des habitants, des commerçants, des notaires, des hommes ayant laissé leur impression entre les remparts. Aloulou est connu et considéré dans l'enceinte et dans le Centre Ville.


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Le lendemain Aloulou nous fait visiter l'ancien emplacement de la plage Wériot, de l'école de natation et de la plage Cordina (La Poudrière). C'est le projet Taparura, la mer est repoussée afin d'aménager les côtes et de créer une plage propre et dépolluée, avec un centre urbain. Il est vrai que les Sfaxiens entendent parler du projet depuis plus de 20 ans et qu’à la longue, ils se sont demandé si «le projet du siècle» ne serait pas devenu «le projet d’un siècle». Mais, prenons un peu la mesure des travaux d’Hercule qu’il faudrait réaliser, ne serait-ce que pour la première phase du projet dite phase de dépollution. Selon le statut établi le 21 mai 1985, la Société a pour objet l’étude et l’aménagement des côtes Nord de la ville de Sfax, l’exécution des travaux nécessaires à leur mise en valeur en plus de la réalisation des programmes prévus.



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Le projet est en cours et progresse. Des quantités de sable apportées pour être déversées dans la mer et permettre enfin aux habitants de cette ville de retrouver la fameuse plage du centre ville. La plaine ainsi créée est le sable du fond la mer écartée. Le projet Taparura prévoit la création d’une zone urbaine de 260 km gagnée sur la mer. La promenade de 3 km environ longera la plage réhabilitée.

Quittant la côte, nous nous dirigeons mes amis, ma fille Osnath et moi vers la gare où le train nous attend.


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En conclusion : j'ai aimé mon retour à Sfax. L'émotion de retrouver ma maison, mon quartier, le Centre Ville, mon Lycée, la côte Taparura et La Médina m'ont compensé largement de mon trouble en voyant les changements survenus le long de la route de Tunis à Bab El Bhar. La Médina cœur de la ville nous a ouvert ses bras et tant que ce cœur battra dans le sein de Sfax, l'amour, le courage et l'initiative y règneront. Ce qui m'a touché le plus c'est l'amitié et l'hospitalité sfaxienne qui ont été exprimées par mes amis Moncef, Afifa, Mohamed, Mme. Aloulou et Picvillus : l'amitié et l'hospitalité personnalisées par mes compagnons. Au revoir, Sfax je te fais une grande accolade.


Sfax
A changé
Moi aussi
Elle a pris de l'embonpoint
Mais je l'aime tout autant
Me souvenant de l'amour
Qu'elle m'a donné
Etant jeune dulcinée.

Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
01 août 2009, 13:01
La bataille de Jérusalem Par Shmuel Trigano

Shmuel Trigano a publié ce 27 juillet 2009 une analyse où il examine la portée pour le peuple juif et le judaïsme de la définition de Jérusalem Est comme une “colonie” par Barak Obama.
Il appelle à un sursaut de la conscience juive.

Source : [www.controverses.fr]



Il y a quelques jours nous avons appris que Barak Obama considérait Jérusalem « Est » comme une colonie. Le ministre français des affaires étrangères lui a aussitôt mimétiquement emboité le pas en convoquant l’ambassadeur d’Israël pour lui intimer de cesser immédiatement toute « colonisation » de la ville. Il est fort probable que l’Union européenne le suive de sorte qu’une unanimité mondiale risque de peser sur Israël, jusqu’à l’étouffer et surtout le diviser (1), car l’esprit de la démission souffle sur ses élites comme sur les élites occidentales.

C’est le premier signe avant-coureur de la future bataille de Jérusalem qui décidera de l’avenir de l’Etat d’Israël et, par ricochet, du peuple juif dans son ensemble et du judaïsme. Ce ne sont pas des terrains ni un espace qui sont en jeu quoique cette dimension soit importante.

Après la division de Berlin, ce sera la première ville que la dénommée « communauté internationale » entreprendra de rediviser. L’ironie veut que ceux là même qui condamnent la barrière de sécurité, destinée à repousser le terrorisme sanglant que l’Autorité palestinienne pratiqua durant des années contre la population civile israélienne, sont ceux qui aspirent à reconstruire un mur dans Jérusalem.

Il faut se souvenir de l’occupation jordanienne de 1948 à 1967 qui désécra les lieux saints juifs et bannit les Juifs de la ville. La communauté internationale ne trouva aucune raison de combattre ni même de condamner cette occupation, pourtant contraire aux traités et aux lois internationales. Elle prît fin avec l’agression de la Jordanie durant la guerre des 6 jours, des suites de laquelle Israël se retrouva dans cette partie de la ville. Si l’on prend aussi en compte la nature de la politique de l’Autorité Palestinienne qui exclue toute possibilité pour les Juifs ne serait-ce que de traverser le territoire sous sa gouverne (2), il faut s’attendre qu’à l’est de Jérusalem redivisée les Juifs soient de nouveau interdits.
Ceux qui condamnent aujourd’hui ce qu’ils appellent le « mur de l’apartheid » ont-ils jamais compris que la barrière de sécurité vise à limiter le principe d’exclusion ethnique qui régit la politique palestinienne, comme celle de tout le monde arabe où les non musulmans sont en voie de disparition, à commencer les chrétiens dans la Bethléem islamo-palestinienne?

Mais c’est plus qu’un territoire au demeurant infime qui est en jeu, c’est un symbole capital pour la continuité juive et la logique du judaïsme. En effet, ce sont le souvenir de Sion et l’aspiration à y revenir qui furent les poutres maîtresses de la continuité et de l’avenir des Juifs tout au long d’un exil de 25 siècles. Jérusalem fut le point fixe, le centre de la nébuleuse des diasporas. Ce n’est pas un hasard que le sionisme se nomma en fonction de Sion et qu’il finit par gagner l’assentiment de toutes les communautés juives après la Shoah. Jérusalem est le cœur vibrant de l’histoire d’Israël.
Ne pas être de retour à Jérusalem et attendre la réalisation de l’idéal prophétique, ce qui fut le cas durant 20 siècles, est très différent d’être à Jérusalem et d’y renoncer ou d’être contraint à y renoncer, ce qui pourrait être le cas demain. Ce serait porter atteinte au symbole clef de l’architecture du peuple juif et du judaïsme, sans compter le principe même de l’existence et de la légitimité morale et historique de l’État d’Israël : le sionisme dépouillé de Sion. Le souffle prophétique qui anime le peuple juif serait alors voué à se retourner contre son âme jusqu’à l’étouffement et l’on pourra s’attendre à sa décomposition comme un château de cartes d’où l’on aura retiré la pièce maîtresse. Une forme de suicide symbolique.

Que ce soit le désir ardent du monde arabo-musulman dans sa majorité, ce n’est pas dubitable. Est-ce le vœu du monde occidental, en proie à la rémanence de son héritage chrétien archaïque ? C’est cette question qu’il faut poser à ceux qui disent avoir le souci du destin des Juifs.
Ce qui se trame dans les projets de la « communauté internationale », c’est tout simplement le déclassement du peuple juif, non plus défini comme un sujet souverain de l’histoire mais comme une cause humanitaire à laquelle on concède le privilège d’exister du fait de sa souffrance. Ce serait la chute d’Israël, de la stature d’Etat souverain à celui de camp de réfugiés humanitaire pour rescapés de la Shoah, le déni du principe de souveraineté de l’Etat d’Israël.

On a remarqué comment Barak Obama a significativement enchaîné son discours obséquieux du Caire avec la visite de Buchenwald. Il ne pouvait mieux exprimer ce qu’il pense de la légitimité de l’Etat d’Israël : victimaire et non historique, un Etat croupion sous tutelle internationale, un camp de personnes déplacées. Prend-on la mesure de la monstruosité intellectuelle et historique de ces discours qui définissent la présence d’Israël à Jérusalem comme une présence « coloniale » ? Si Jérusalem est bien Jérusalem, c’est bien grâce à 30 siècles d’histoire juive ! Cette définition coloniale entraîne, en fait, la stigmatisation coloniale de tout l’Etat d’Israël dont Sion, la colline de Jérusalem, est le symbole (3) et donc la contestation inéluctable de sa moralité.

Depuis dix ans, nous assistons à la mise en place progressive d’un décor qui met en scène l’extermination par étapes de six millions d’Israéliens (application du programme fondamental de l’OLP, le « plan par étapes », décidé en 1974 (4)) par le biais de l’affaiblissement de l’Etat d’Israël: accusé d’un « péché originel » (sic) dans sa conception même, assimilé à l’Afrique du sud de l’apartheid, trainé dans la boue, objet de boycott, condamné s’il réagit aux agressions et abandonné quand il est sous le feu de ses ennemis (5). Aux dernières nouvelles le « livre de l’été » des libraires français, couvert de prix et objet de multiples célébrations, vient porter le coup de pied de l’âne en « prouvant » que le peuple juif fut une invention des sionistes. C’est la pièce finale, nécessairement écrite par un Israélien aussi complaisant qu’incompétent (6), pour sonner « moralement » l’hallali !
Ce qui est en jeu, c’est la liberté de l’homme juif.

Le pronostic vital du peuple juif est aujourd’hui engagé, il faut le dire avec force et voir plus loin que son nez, comprendre ce qui se trame.
Les Juifs du monde entier doivent sortir de leur réserve et affirmer avec force leur existence de sujets à part entière de l’histoire, jeter aux ordures les oripeaux d’éternelles victimes sacrificielles dont on veut les affubler et crier mais aussi mettre en oeuvre leur refus d’assister passifs à ce cauchemar en voie de réalisation. Ils ne doivent pas avoir de cesse de faire la démonstration de leur solidarité indéfectible avec Jérusalem et de leur réprobation face à toutes ces menées. Au terme de dix années de harcèlement moral, depuis la deuxième Intifada, le seuil de tolérance de la conscience juive va bientôt être franchi !

Je propose comme maxime pour la décennie à venir la parole du prophète Isaïe (62,1) :

« POUR SION JE NE ME TAIRAI PAS !
POUR JÉRUSALEM JE NE RESTERAI PAS SILENCIEUX ! » (7)
Shmuel Trigano le 27 juillet 2009
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
27 octobre 2009, 05:14
LE BLUES DU BLOGEUR.

Il y a fort longtemps, je tombe sur un site conseillé par un ami de passage devant ma boutique.

Il me cite donc le nom du SITE HARISSA.COM.
Je rentre dans l’accueil et je poste mes récits persos, mon vécu etc… Qui passent tous les lundis.

Puis, je rentre toujours par hasard, dans ce qu’on appelle ADRA.
Avec de très jolis commentaires sur la politique et je découvre à mon grand étonnement que les JUIFS TUNES discutent politique HACHCOM SMALLA. Alors, je me suis dis que si EUX savent discuter de la POLITIQUE INTERNATIONALE pourquoi pas moi HEIN… ? Donc, j’ai mis mon costume de MINISTRE GOULETTOIS ET J AI FAIS ENTENDRE MA VOIX GOULETTOISE. CREUSE je le reconnais mais qu’importe, elle était entendue et même lue. Certains se sont dits même mais qui est ce farfelu qui vient empiéter sur nos plates bandes… ?

C’est vrai qu’un cancre parmi des savants ca fait tache surtout que ces SAVANTS, aujourd’hui encore passent des ARTICLES de politique sans citer leurs sources.

Hassilou. Pour se débarrasser de moi, MOI L INTRUS, une idée venue d’un ami.

Pourquoi ne pas lui créer un espace afin qu’il reste là bas confiner… ? Genre reste seul et mêle toi de tes conneries.
Bref, je me suis mêlé de mes conneries et la connerie est née. LE PETIT THEATRE DE BREITOU.

Sans le vouloir j’ai crée LE BLOG. Oui MESSIEURS J AI CREE LE BLOG , je suis l’inventeur du BLOG AVRIL 2002.
L’histoire le reconnaitra.
Donc me voilà BLOGUEUR.

Sont venus mes amis et nous avons formé une grande équipe.
Ensuite, l’équipe s est éparpillée et je me suis retrouvé presque seul.
Pas tout à fait puisque qq une avait un droit de regard sur le PTB. Et quel regard… ! Le plus beau qui soit. N’en déplaise aux couturières en mal de broderie.

Des mois et des mois à travailler seul, sans l’aide de personne sauf de qq uns qui passaient par là.

Sans jamais me décourager sauf qq fois parce que j’vais par moment le BLUES.

Mais, grâce à qqs ‘uns j’ai pu tenir la dragée haute.
Et aujourd’hui, BREITOU est une MARQUE et UN PROVERBE...

'...BEAU COMME UN BREITOU...!'

CELLE DU TMENIC, CELLE DU RIRE, CELLE DES PLEURS, CELLES DES EMOTIONS etc…

CELUI qu’on demande en MP après lui lorsqu’il tarde à écrire.
Ce qui me touche énormément.
Parce qu’on aime LE BREITOU.

Donc mon cher AMI, écoute la voix de la raison.
Comme je te l’ai dis et je le répète, LE MEILLEUR LECTEUR QUI SOIT AU MONDE C EST TOI.

Alors reste TOI-MEME.

Pièces jointes:
L UNIQUE BREITOU.png
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
12 mai 2010, 12:01
Khamouss lââjij, n'oublie pas ta rubrique spéciale ouverte en ton prénom.
Re: SALLE CAMUS *****EN DIRECT CHEZ CAMUS *****.
12 mai 2010, 15:02
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