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*****SALLE BUENO...*****'...HNINA...! SUIVI DES RECITS '... LA CERVELLE ECLATEE...' '...LE SINGE...' ' BECH MMET RAJ'LEQ YE MRAA...! LEUCHKOUN T'GHABAR OU T'HAMAR YE MART LÂÄMA...!

Envoyé par breitou 
Paris le 22/01/2008.

Tous les événements, les noms de famille cités dans cette nouvelle sont imaginaires.
Cette nouvelle n’appartient à aucune oeuvre connue à ce jour.

Dans les principaux rôles...

Dans les principaux rôles...

Maurice Azria................Le papa Chouchan......48 ans. Employé boucher.
Marguerite Nataf................La maman M’Tira......28 ans. Femme au foyer.
Les enfants.

Joëlle Sarfati................La fille aînée H’nina..................16 ans.
Aron Bismuth..............le cadet ......... Chlomo...........14 ans. Ecolier.
Jean Yaiche................le troisième...... Clément...........12 ans. Ecolier.
Salem Bouzaïane..........Le quatrième..... Victor...............10 ans. Ecolier.
Fortuné Assous...............La cinquième.....Sylvie............. 8 ans. Ecolière.
Jean Baptiste Norman.......Le sixième..........Claude.....................6 ans. Ecolier.
François Camelliéri............Le septième........Albert................4 ans. A la maison.
Julien Corcos.................Le huitième.........Joel....................2 ans. A la maison.

Jacques Duchanel.............Monsieur Gabison.........................52 ans. Le propriétaire de l’Oukalla.




‘...Ou qadech me sba’yat mssé’quen ââlakhater zouaou’la, ouldiém haq’mou ââli’yem béch i ââr’chou ââla khater el flouss.... ! Ye h’nin... ! Ma réjel lé zghir le cheïbe...!'

( Et combien de jeunes filles vierges, honnêtes mais de situation pauvre ont vu leurs parents les obliger à prendre époux avec un homme ni trop jeune ni trop vieux, à un age adolescent et les contraindre ainsi à se marier pour de l’argent... ! Le doux... !’

Et combien de chagrin accumulé en silence et enduré par ces pauvres jeunes filles de maison, autrefois, que l’on vouait au mariage forcé pour embellir des situations familiales proches de la mendicité... !

Et combien se sont t’elles tues....? Acceptant le destin qu'on leur assignait.

Elles ont baissé la tête pour ne pas offenser un père ou une mère et ont accepté ce contrat, cet état de fait, établi sans amour, sans leur consentement... ! Contre leur gré... !

Une obéissance aveugle qui menait parfois au désespoir.



Ess’me ââla zes’ma.
Elle porte bien le nom qu’on lui a attribué à sa naissance.
H’Nina veut dire ‘ La Douce’.

Elle est née à la Goulette, dans le quartier dit OUKALLA LUMBROSO.
Par un premier jour de printemps.
A Midi pile.
En pleine heure du zénith.

Madame Spitiri, la sage femme, à peine l’enfant sorti du ventre de M’Tira, lui demande...

‘....M’Tira ... ! C’est une jolie petite fille ... ! Comment allez vous l’a nommer... ?’

Une voix de derrière la porte, sans laissez le temps à la maman de répondre, cria...

H’Nina.



Dit le papa.

‘H’nina la douce était donc née, accompagnée de yous yous des voisins agglutinés derrière la porte principale et grande ouverte de la maison du jeune couple qui venait de s’installer depuis un an, dans cet endroit qui a vu un grand nombre de goulettois naître et grandir.
Et qui les as vu, plusieurs années plus tard, devenir des hommes et des femmes bien et de bien.

Mel chouq tekhrej OUARDA.
Des épines naissent les ROSES.

L’Oukalla à elle seule, était un quartier. Une rentrée principale par l’avenue Habib Bourguiba et une autre grande issue donnant sur la plage.

H’nina, 6 ans, fait ses premières pas dans la scolarité.
Elle étonne déjà sa maîtresse par son intelligence et son esprit vif au cours préparatoire.

Mais le destin ne lui permettra pas d’aller jusqu’au lycée parce qu’entre temps, M’Tira sa maman, donne naissance à d’autres enfants lorsque H’nina atteint l’âge de douze ans.
Elle arrêta donc ses petites études en ayant obtenu son diplôme de CEP. Maigre butin.
Elle quitte donc la classe de 6 ième pour aider sa maman dans ses grandes taches ménagères.
Re: '...HNINA...!'
17 février 2008, 01:36


H’nina a 12 ans, ‘hloue ou messrara, douce et charmante, ââqla ou rzina, sage et posée, mezziana ou qadaya, belle et serviable, était devenue la seconde maman de ses frères et sœur.

Elle était la première levée dans la maisonnée pour ‘biberonner’ le tout dernier, la première à les bichonner, la première à les accompagner à l’école communale, la première à les ramener à la maison bref la première en tout et avant toute le monde.

Aidant ainsi sa maman qui travaillait chez les Houzi comme femme de ménage et cela dans l’intérêt de la famille qui peinait à joindre les deux bouts, en fin de mois.

Chez les Azria, le mot confort n’existait pas.

La pauvreté était partout, omniprésente mais jamais Ô grand jamais, un gémissement ou une complainte n’est sortie de la bouche de chez ses gens là.

Pauvres, certes mais dignes et respectables. Honnêtes. Ordinaires.

N’est ce pas l’ordinaire qui fait parfois de ces braves gens leur richesse... ?????
La richesse ne peut tout.
Elle calcule souvent alors que la modestie et la pauvreté ne calculent rien.
Elles sont générosités.
On apprécie souvent l’humble que le richard. On trouve plus à rire en compagnie d’un ordinaire qu’en présence d’un extraordinaire. N’est ce pas là l’essence même de la plus belle vertu qui soit.... ?
La particule n’est qu’après tout qu’une virgule, un tiret de l’histoire généalogique, donc rien que des signes parmi les signes.

A croire que la misère et la promiscuité enfantent plus chez ces gens là que chez les gens aisés. Allez savoir pourquoi. Peut être est - ce pour eux une façon de capitaliser, à leur façon des biens, qui auront plus tard de la valeur à leurs yeux , que les sous ou les biens matériels qui peuvent disparaître ou fondre ne sont des investissements crédibles. Même à long terme.
Les enfants oui, c’est la garantie absolue d’un avenir meilleur lorsqu’ils auront grandi.
Donc patience pour récolter ce qu’ils ont donné comme vie.

H’nina voyait donc ses taches ménagères quadrupler en quelques années. Mais elle ne calculait pas cela, en temps perdu mais au contraire, comme une mission naturelle qui lui est dévolue. Presque prescrite par le destin.
Pendant les quelques heures de pause qu’elle s’accordait, elle lisait toutes sortes de livres que sa voisine Noura lui prêtait. Des revues de mode, des romans à l’eau de rose etc...Des histoires d’amour qui la projetait dans un univers virtuel et qui lui donnait l’impression de vivre pour un moment, l’héroïne du jour.

Elle voulait que son esprit s’évade, voyage bien loin de ce havre étriqué où les odeurs de la maison règnent en maîtresse du matin au soir, oublier un temps ses besognes quotidiennes. Rêver le soir avant de se coucher pour se donner l’énergie d’affronter le matin suivant.

A Suivre...
Re: '...HNINA...!'
19 février 2008, 02:30
/§§§§§§JOUE VIOLON....JOUE....§§§§§§
LE DESTIN DES JEUNES FILLES EPLOREES....§§§§



H’nina hlouè ou mess’rara.
Chkhi’fè ou ââ’qla.
H’nina, bne’ye mssaou’ba,
Rihet él yas’mina
Aï’che bahda kherba
Mta Oukella.

Oueldeye zouaw’lla.

Hoq’mou béch te’khed rajel
Aâl flouch ye hnen.
Chaffou me’jele yeq’ber
Mta bne’yét’ém, arroussa jdidè.

Iye qolla m’khech’ba
Ma rdat me’ghir hob
Te’khed rajel merkenti aqbar mena.
Nâr mta lââroussia, hok’met alla rouha.

H’nina la douce et charmante
Sensible et sage
H’nina, la jeune fille rangée
A l’odeur du jasmin
Vit pas très loin d’un dépôt de détritus.
Dans une Oukella.
Ses parents sont très pauvres.

Ces parents ont jugé qu’elle devait se marier
Pour de l’argent, mon doux argent.
Ils ont vu la chance grandir
De leur fille, jeune mariée
Mais elle toute retournée
N’a pas accepté cela sans amour.
Prendre un homme riche plus âgé qu’elle.

Le jour de ces noces, elle a jugé autrement.
Son destin en a jugé autrement.









A 16 ans, H’nina était une très jolie adolescente aux yeux bleus. Elle avait aussi comme on le dit chez nous ‘Houllet el zin’ (Cette pupille au regard biaisé par la beauté)
Cette petite malformation augmentait tant soit peu son joli minois. Son regard n’en était que plus doux. Caressant. Evocateur. Ajouter à cela son teint bronzé qui lui donnait ce charme des lointaines filles des Iles.
Une belle tignasse longue et raide lui couvrait les épaules et tombait jusqu’à hauteur de ses reins.
Tout était proportionnée chez elle. Pas un seul défaut dans ce visage rayonnant.

Son corps gracieux et bien fait, sa démarche féline la faisait ressembler à ces mannequins de mode qui défilaient sans se mouvoir, en silence, dans son subconscient.
Ses seins avaient poussé et son galbe était parfait.

Elle fut remarquée par le propriétaire de L’Oukalla, donc de la ‘maison’ Azria, si on peut appeler cela maison, par Monsieur Gabison, un homme de 53 ans, célibataire mais généreux.
Un homme affable et pieux mais que la nature n’a pas avantagé. Il était court sur ces jambes arquées.
Un gros visage bien enrobé et il avait surtout au coin de son nez une ‘Talloula’. Une verrue rouge sang qui venait alourdir ses joues. Un décor ingrat seule la nature en connaît le mystère.
Quelques beaux avantages à certains, la laideur à d’autres. Sans aucune explication car il ni en a pas. On ne rend pas des comptes à la nature, on l’a subit sans hausser le ton.

La révolution pour un faciès mal fait n’a jamais eu lieu.
Et ne s’est jamais produite.

Grâce à D ieu, aujourd’hui, certains cas de figure et de corps peuvent être rattrapés si on y met le pactole.

Le scientifique a su prendre la place du seigneur, le déchargeant ainsi d’une lourde tache.

De nos jours, dans ce monde de progrès chirurgicaux, le bistouri,le laser ont de très beaux jours devant eux pour les apollons ratès et les z’apolines mals à l'aise dans leur détresse et qui décident de se rafistoler tout, pour cause de rides à 75 ans, pour râper une culotte de cheval à 45 ans, alors qu’elles ne savent pas monter un canasson, raboter un menton disgracieux, gonfler des seins par des procédés douteux à 56 ans, alors qu’elles sont grands-mères, couper un bout de chair apparu lors d’une soirée couscous partie et j’en passe sur les délires de certains hommes et femmes pour qui le miroir et le hammam rendent un verdict sans appel.

Du moins dans leur tête de linottes.

Et dans la plupart des cas, elles adorent monter sur le brancard pour rien, rien que pour se dire en elles mêmes ‘...Pourquoi pas moiIIIII.... ! Ahhhhh... ? Qenti tssaoubet bel chirourgie esthéticienne... ? (Ma belle fille s’est arrangée grâce à la ‘chirourgie’...)
Elles sont mêmes prêtes à payer gros rien que pour entendre leur médecin leur dire...

‘...Je ne vois pas ce que je dois amputer... ! Madame... !’
‘...Amputer tout.... !’

El yar ou choue n’ont plus court aujourd’hui. (La honte et le manque de pudeur... !’
Ce qui compte c’est le look.

A Suivre.




H’nina hlouè ou mess’rara.
Chkhi’fè ou ââ’qla.
H’nina, bne’ye mssaou’ba,
Rihet él yas’mina
Aï’che bahda kherba
Mta Oukella.

Oueldeye zouaw’lla.

Hoq’mou béch te’khed rajel
Aâl flouch ye hnen.
Chaffou me’jele yeq’ber
Mta bne’yét’ém, arroussa jdidè.

Iye qolla m’khech’ba
Ma rdat me’ghir hob
Te’khed rajel merkenti aqbar mena.
Nâr mta lââroussia, hok’met alla rouha.

H’nina la douce et charmante
Sensible et sage
H’nina, la jeune fille rangée
A l’odeur du jasmin
Vit pas très loin d’un dépôt de détritus.
Dans une Oukella.
Ses parents sont très pauvres.

Ces parents ont jugé qu’elle devait se marier
Pour de l’argent, mon doux argent.
Ils ont vu la chance grandir
De leur fille, jeune mariée
Mais elle toute retournée
N’a pas accepté cela sans amour.
Prendre un homme riche plus âgé qu’elle.

Le jour de ces noces, elle a jugé autrement.
Re: *****SALLE HENRI BUENO *****'...HNINA...!'
26 février 2008, 08:44


Bref, Monsieur Gabison, connaissant son état des lieux demande à sa concierge, Madame Chbibkha, samsarra aussi à ses heures perdues, d’approcher le sujet.

Les parents de la jeune fille pour sonder leurs intentions. Demander la main de le jeune fille. Avec comme instructions premières, qu’il pourvoit à tous les frais découlant d’un mariage.
En plus d’une grosse dote pour assurer l’avenir des enfants.
Monsieur Gabison, en fin connaisseur et surtout en homme d’affaire avisé, sait par avance que ses offres ne seront jamais rejetées car il faut être fou pour refuser de telles propositions.

La nouvelle parvient aux oreilles de la famille Azria. Toute heureuse des conditions énoncées par l’entremetteuse.

Maurice et sa femme ne tardent pas à accepter l’offre.
Leur vie va changer et adieu la misère. Monsieur Gabison fait encore mieux, il les fera habiter du coté des blocs, dans un appartement de 6 pièces, tout confort.
H’Nina mérite bien cela.

La famille pourra ainsi avoir une vue sur le large, voir les bateaux rentrer et sortir du port, entendre les sirènes des paquebots, rêver aux voyages, entendre le chant des mouettes par des matins clairs, fouler le sable au lever du soleil, se balader sur la grève et ramasser des coquillages, collectionner des coquilles ST JACQUES etc.... Bref combler tout ce qui leur plaira puisque Monsieur Gabison va acheter leur fille au prix le plus fort.

La beauté coûte un prix pas la laideur. Et puis comme on le dit chez nous ‘...El flouss i radou cheyeb arrouss... !’ L’argent rend le vieux jeune premier, texto.

H’hnina est informée.
Elle ne dit rien mais ressent une grande amertume l’envahir.
Elle devient victime non consentante d’un marché dont elle n’a pas le droit de changer un seul terme. La parole donnée vaut contrat sinon en cas de refus, c’est l’opprobre qui s’abat sur la famille. Pour toute une génération et H’Nina sera mise au banc de celles qui fait le fine bouche. On ne plaisante pas dans ce genre de situations. La disgrâce sera dans ce cas là au bout de son chemin.

Tout le monde y trouve son compte sauf elle.
On lui a bien expliqué la situation, tout le bien être de sa famille en dépend, le cours du destin de la famille va changer du tout au tout grâce à H’nina devient du jour au lendemain l’héroïne d’un roman non pas à la rose mais à l’amertume.

La grand famille Azria et consorts sont avertis des noces qui se feront à l’Hotel St Georges de Tunis. Monsieur Gabison a vu très haut. Fils unique, sa maman a consigné le vœu de son fils au vu de son long célibat comme une bénédiction. Après tout, son fils lui donnera des héritiers et qu’importe que son unique bru soit pauvre, l’important est qu’elle soit honnête.
Elle l’était la famille de la fille.

A Suivre.
Re: *****SALLE HENRI BUENO *****'...HNINA...!'
27 février 2008, 03:23
Salut Albert

je vais avoir besoin de ma Salle le dimanche 26/03 pour une "boum" entres amis
merci de la rendre dispo pour ce jour la !!

bien a toi

Elsa
Re: *****SALLE HENRI BUENO *****'...HNINA...!'
27 février 2008, 11:33
Ok, tu n'oublies pas de me la rendre propre.Sans écorces de féves merci.
Re: *****SALLE HENRI BUENO *****'...HNINA...!'
27 février 2008, 13:06
pas d'ecorces de feves, mais certainement jonchées sur le sol des pétales de jasmin !!!
Re: *****SALLE ELSA *****'...HNINA...!'
27 février 2008, 13:43
Je sais qu'avec toi, je n'ai rien à craindre.
Tu es une femme au top et c'est bien pour celà que je t'estime quand même en souvenir de nos bons moments passès au chat.

Si tu veux je peux te la donner la salle sans problème, tu la mérites.
Re: *****SALLE ELSA *****'...HNINA...!'
27 février 2008, 13:44
La salle se nomme H'Nina, donc tu vois...!!!
Re: *****SALLE HENRI BUENO *****'...HNINA...!'
02 mars 2008, 10:31


La grande famille Azria assistera donc à la fête.

Elle viendra de Gabés, de Tozeur et de Foum Tataouine. Qui en CAR T.A.T ou dans des voitures de louage. 220 personnes.

Les maris, oncles et cousins sont pour la plupart bijoutiers.
et qqs membres des aigres fins ayant fait quelques jours de prison pour trafic illicite d’or avec des juifs libyens.

Trois familles de tailleurs avec marmaille

Chez elle, H’Nina s’est murée dans le silence.
Elle ne lit plus.
Elle pleure en cachette sa peine et sa tristesse lorsque ses parents et ses frères dorment dans les deus grands lits. A quatre. Courageuse, elle vaque toujours à ses occupations sans rien montrer de sa grande souffrance morale.

Sur le chemin qui mène à son école, le jeune Victor, son frère s’adresse à elle...
Il a remarquée le trouble de sa sœur ainée.

‘....C’est vrai que tu vas partir de la maison... ? H’nina... ?’ Victor.
‘...Je ne serai pas loin Haim, juste à deux pâtes de chez nous... ! Je viendrais vous voir tous les jours... !’
‘...Mais qui va s’occuper de nous... ?’
‘...Ben, Maman... !’
‘...Tu sais bien que c’est toujours toi qui s’est occupé de nous... !’
‘...Ne te fais pas de soucis pour cela, tout sera comme avant... !’
‘...Et puis, il est moche ce Monsieur Gabison... ! Et Vieux... !’
‘...Ne dis pas cela, c’est pas bien, il est très gentil avec nous... !’
‘...Ah parce qu’il apporte un paquet de gâteaux tous les vendredi... ! C’est cela... ?’
‘...C’est mon futur fiancé et plus tard mon mari et tu dois respecter mon choix.... !’
‘...Ce n’est pas ton choix, on t’impose ce choix... ! Pourquoi tu ne refuses pas.... ?’
‘...A cause de vous... !’
‘...De nous.... ?’
‘...Bon, allez rentre dans la cour, c’est l’heure... !’

A suivre.
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