*****MONOLOGUES... SKETCHS/RECITS AVEC MAMAN HAYE .... DIVERS...*****
APRÈS KAHLI. III.
‘…Après un an, la famille, avec la permission de papa de Kahli, à transféré le corps en Israël.
La famille SOLTAN a fait son Alya. Le papa l’Ambassadeur a prit sa retraite et il a vécu aussi en Israël. A Tel-Aviv. Les SOLTAN aussi.
Les jumeaux ont grandi là bas. Et Madame Sarfati est allé à leur BAR MITSVAT. Moi, la vérité, j’aurai voulu assister mais mon état ne me l’a pas permis. Les deux jumeaux ont fait une très bonne scolarité. A 18 ans, ils firent l’armée dans l’aviation et ils ont participé au raid sur TÉHÉRAN.
L’un deux, KOLI a été pilote de guerre sur LE BRAK, le dernier avion supersonique de l’armée Israélienne, une version très amélioré du KFIR. Il a été cité plus tard à l’ordre de la nation pour son courage et sa détermination.
Au retour d’une de ses missions, alors qu’on lui demandait d’être pris en relève, il a supplié son commandant de continuer à remplir les opérations. Chose rare lorsqu’on sait à quelle pression les pilotes sont soumis. Durant deux jours, à raison de trois sorties dans la journée, il abat six avions iraniens d’une façon peu orthodoxes.
Alors qu’il lui restait une demi heure de carburant, et qu’il rentrait à sa base, il fut prit en chasse par un supersonique iranien.
Feignant de fuir, il fait ce qu’on a appelé le coup de l’arc en ciel, une opération risquée, chose rare avec cet appareil. Et voilà qu’il se retrouve derrière l’appareil ennemi alors qu’il a aveuglé tous les éléments de bord de son adversaire.
L’autre complètement dans le brouillard s’est fait prendre au piège et Koli n’avait plus qu’à l’abattre au dessus du désert saoudien.
Son coup est enseigné dans les écoles militaires.
Son frère Chema était à la base dans le mess des officiers lors de ces raids qui ont duré une semaine. C’était lui qui guidait son frère jumeau à la console des opérations.
Koli a été décoré entre temps. Aujourd’hui il est instructeur à 25 ans. Chema a préféré une autre voie. Il est conseiller commerciale dans la grande industrie d’aviation. Il voyage souvent à la recherche de contrats juteux un peu partout dans le monde.
Il y a qqs années, Koli s’est marié avec une jeune fille d’un kibboutz rencontrée par hasard dans une discothèque de la capitale. Une très belle fille ashkénaze.
Chema n’a pas tardé à le suivre mais lui il s’est amouraché de Kim, une belle japonaise juive de 17 ans, née en Israël. Il a deux enfants. ORIA et SACHA. Les deux familles vivent dans la banlieue de Tel Aviv.
Pas loin du pavillon de leur papa Adrien.
Adrien SOLTAN ne sait jamais remarié depuis la mort de sa femme Kahli.
Ses vieux parents vivent avec lui dans son grand pavillon.
Comme on dit chez nous, ceb ââla ouledou, il s’est consacré à élever ses deux enfants CHEMA ET KOLI.
L’Ambassadeur n’est plus et il a laissé tous ces biens aux jumeaux.
‘…Et après… ?’
‘…L’avenir nous le dira mon fils… !’
Le récit qui va passer est authentique dans les faits.
Les noms de famille ont été changés
Maman Haye.
Son fils Breitou.
Le téléphone France TELECOM.
SKETCH…RÉCIT.
‘….ALLO BEBERT…. ! TU ES LAAAA…!’
‘….Allo BébeEEEEEErt… ! Tu es làAAAA… ?’BIS
‘…Attends au moins que je décroche… !’
‘…Ok, j’attends… !’
‘…Voilà j’ai décroché, alors ca va maman… ?’
‘…Ca va, je gèle, j’ai mis le convecteur en plus du chauffage au sol et même avec ca, j’ai froid… !’
‘…Couvre toi bien et surtout ne sort pas dehors… !’
‘…Hatte tu me le dis toiiii… ! Ca fait une semaine, je ne suis pas sortie, mech’kina Josianne bent Slama, (la pauvre) jét tzour’ni ( me rendre visite) teoué chnin mé chef’tèch (Ca fait des années que je ne l’ai vue) areftaAAAA… ?( Tu vois de qui je parle… ?’)
‘…Lé… !’ Non.
‘…Rappelle toi, tu vois le café Rex, celui qui est en face du cinéma Rex… ! Le café de ta grand mère… !’
‘..Dis moi Maman, tu me prends pour qui… ? J’ai vécu 45 ans là bas, j’ai passé toute ma jeunesse là bas et tu viens me dire si je connais le café Rex, le cinéma Rex, tu veux parler de la rue de Bourgogne non… ?’
‘…E.X.A.C.T.E.M.E.N.T… ! Au numéro 84… !’
‘…Au 48, pas au 84, elle habitait, il y avait la maison des HAIK, elli bssa’cou, le photographe… !’ (celui qui boite)
‘…Ne me contredis pas, je te dis au 84… !’
‘..Écoute si tu continues à vouloir, toiIIIII me contredire, je pose le combiné sur la vitrine et je te laisse parler toute seule ok… ?’
‘…OuUUUUU el féj’yà que tu me donne (quelle peur), pose le combiné et moi je raccroche parce que j’avais une histoire à te raconter… !’
‘…Comme celle de Kahli la noire de Russie… ! Qui m’a fait mal au cœur… ?’
‘…Celle là, elle est bien, l’autre je te dis, quand je pense à elle, j’ai les larmes qui coulent… !’
‘…Bon alors, c’est quoi ta nouvelle histoire… !’
‘…Donc au 84… !’
‘..AU 48… !’
‘…Bon si tu veux, habitait les Fradjia, tu te souviens de son père, le religieux… ?’
‘…Oui et comment, tellement religieux qu’il travaillait le samedi… !’
‘…Pas lui, ces ouvriers… !’
‘…Kif kif c’est pire encore, la torah dit que même un âne tu ne fais pas travailler… !’
‘…Âne que tu es… !’
‘..Ah ca commence bien avec toi… ! Tu sais ce qu’il te dit l’âne… ?’
‘…Yejji mél kbaha (Ne soit pas mal élevé)… !’
‘…Tyache (Que tu vives)… !’
‘…Ah merci, toi aussi… ! Donc tu te souviens de sa fille Gisèle… ?
‘…Oui la toute dernière, elle avait 5 ans lorsqu’elle est partie je crois en 1961… ?’
‘….Et demi, ils sont venus à Paris… ! E’di Josianne, kbira fél amor te’oue (Elle a prit de l’âge) elle me donne un coup de fil et moi comme ca fait longtemps que je l’ai perdue de vue, elle m’appelle après dix ans… ! Moi, j’ai fais semblant de l’avoir reconnue au téléphone et elle me dit ‘…Ye Haye, je t’ai beaucoup languie …’ ! Jit é’hné (je suis venue) sans réfléchir et je l’ai invitée pour un couscous au poisson pour le lendemain Mardi… !’
‘…Elle a dormi chez toi… ?’
‘…Pas du tout, tu as oublié que depuis l’affaire de l’autre famille qui a prit mon appart pour un hôtel , j’ai enlevé les lits et même le mien, je l’ai remplacé par le fauteuil qui se tire, comme cela personne ne viendra m’emmerder, bref, le lendemain, elle est venue pile POÊLE, la vérité fraht biyé ( je l’ai bien reçue) et si tu vois comme elle est devenuUUUe ye Ouldi, je ne l’ai plus reconnue, chem’nét (Elle a enflé) oullét mastodonte, la vérité rheft ââla farchi ye brec’chi ( j’ai crains pour mon divan qu’il ne s’affaisse. Mrida bél calb( elle est cardiaque)..
‘…Semsillinou… !’
‘…Elle est diabétique… !’
‘…Fél bhar… !’
‘…Loucen tchouf terméta kiféch tcoul (si tu avais vu ses fesses) tu aurais prit peur… !’
‘…Haj vé challom… ! En tout cas, il vaut mieux faire envie que pitié… !’
‘…L’envie de dégueuler oui, quelle pitié, tu sais pour moi ces gens là, ils n’ont aucune retenue… !
‘…Cho (regarde) je lui ai mis trois yoyos*, quatre makrouds*, trois manicottes* et une boite de chocolats MON CHERI… !’
‘…Tu as fais bien fait, cabard biyé ( Tu lui a fais honneur)…. !’
‘…Elle n’a rien laissée sur le plateau, TEB’LA ( Elle bouffe) et là je me suis trouvée sans MON CHERI… !’
‘..Zeb, raba, quelle éducation… ! MA CHERIE BIBI… !’
‘…Bref, donc elle me parle de la famille Fradjia parce que elle est de la famille elle , du coté des SLAMA, donc la dernière des filles, une jolie fille très instruite, scolarité normale, tout est normal, i’jéna ( voilà) ousslét ( elle arrive) fél ââmor ( à l’âge) de 15 ans. Voilà que vers MIDI, l’école du Talmud TORAH appelle sa maman et lui demande de venir en urgence… ! ‘…Madame Fradjia, je vous prie de venir le plus tôt possible… !’ ‘…Pourquoi Madame… ?’ ‘ C’est au sujet de votre fille… !’ ‘…Qu’est ce qu’elle a ma fille… ?’ ‘…Elle délire, elle tient des propos incohérents… ! On ne peut pas la garder… !’
Fissa Fissa oma cébet blouza ( Elle a enfile une robe) et dare dare à l’école… !’
A Suivre…
‘…ALLO BEBERT… ? II
‘…Camét tez’ri (elle s’est levée précipitamment) et sans se peigner ni rien, elle prend un taxi et elle se rend chez la directrice. Elle rentre donc dans le bureau et là, elle voit sa fille entrain de rires et proférant des paroles incohérentes… ! ‘Qu’est ce que tu as ma fille.. ?’ ‘…J’aime papa… !’ ‘…Oui bien sur mais nous l’aimons tous ma chérie… !’ ‘…Je l’aime d’amour… !’
La maman croit rêver. La directrice silencieuse ne dit rien.
‘…Qu’est ce qui te prend, c’est quoi cette façon de parler… ?’
‘…Je te dis que je suis amoureuse de papa et je veux faire l’amour avec lui… !’
La maman manque de s’évanouir. Elle prie sa fille de la suivre.
‘…Et même que j’ai couché avec lui… !’
La maman et la directrice se regardent et se demandent qu’est ce qui a bien pu se passer dans la tête de la jeune élève et fille.
‘…Bon, viens viens… ! Va prendre tes affaires, nous allons rentrer à la maison… !’
La directrice a été témoin des dires de la jeune fille…
‘…Madame Fradjia, vous savez que je ne peux pas taire de telles accusations, il faut que j’en parle avec votre mari, c’est très grave et mon devoir est d’informer aussi l’assistante sociale de l’O.S.E… !’
‘…Mais rien ne presse Madame, attendez que je parle à mon mari, vous n’allez quand même pas ouvrir un chantier, vous ne voyez pas que ma fille n’est pas dans son état normal… !’
‘…Qui le serait après un tel traumatisme… !’
‘…Quel traumatisme...? Mon mari est honnête, qu’est ce que vous sous entendez par là, vous connaissez mon époux et qui mieux que moi, le connait… ! Ma fille dit n’importe quoi, elle délire, vous ne la voyez ses yeux, on dirait une illuminée… !’
‘…Je vous conseille de faire vite et de tirer cette affaire familiale au claire… ! Je vais prendre rendez vous avec la psy de notre institution… ! Dites à votre mari de venir me voir… ! Merci.. !’
‘…Chnoué el guelbe elli jet’ni… !’ ‘Qu’est ce que cette tragédie qui me tombe sur la tête… !’
Elle sort en trainant sa fille par la main.
‘…Dis moi tu es devenue folle ou quoiIIII…?’
Tu ne vois pas qu’à peine sortie la jeune fille tombe à terre et commence à trembler des mains et des pieds, elle serre les jambes et là, elle fait pipi sur elle. Le concierge de l’école, vient à son secours et s’aperçoit que la jeune fille fait une crise d’épilepsie… !’ El om maghboune bél ghassra ( La maman la malheureuse par l’angoisse) se met à hurler en voyant sa fille baver… ! La directrice entend les hurlements et descend vite fait elle appelle le SAMU.
La jeune fille semble s’apaiser Elle retrouve ses esprits alors que l’ambulance arrive mais elle ne peut pas se lever. Les pompiers se chargent de l’emmener.
A Suivre…
Suite d’en haut.
‘…ALLO BEBERT…?’ III.
‘…La jeune fille rentre aux urgences. Son papa n’est pas encore au courant de ce qui se passe.
Sa femme pour ne pas l’angoisser l’appelle une heure plus tard et lui explique la situation.
Complètement anéanti, il décide d’aller voir la directrice avant la fermeture de l’école.
Et là, il apprend par la bouche de la responsable les accusations infondées de sa fille.
‘…Qu’allez vous faire maintenant Monsieur Fradji… ?’ Lui demande la directrice.
‘…Allez rejoindre ma femme et ma fille surtout et ensuite tirer cette affaire au clair… ! Je ne sais pas ce qui s’est passé dans la tête de ma fille pour tenir de tels propos. Elle a disjoncté et cela n’est pas dans ses habitudes, vous la connaissez bien ma fille, elle est première de sa classe avec de bonnes appréciations, jamais une punition, jamais une insulte. A la maison, elle est normale, elle travaille avec ses sœurs, je ne vois rien qui corroborent ses prétendues révélations… !’
‘…Vous savez que je suis tenue d’en faire cas dans mon rapport à la grande direction… !’ C’est très grave… ! Si vous voulez, je peux dés sa sortie et je vous le conseille la faire visiter par un psychiatre de notre établissement… ? Si vous le souhaitez… ? Et vous savez aussi que je dois avertir les services sociaux… !’
‘…Je vais le faire dés demain, et bien sur, vous prendrez rendez vous le plut tôt possible avec le psy afin de déterminer ce qui a pu se produire… !’
Le papa se rend donc au chevet de sa fille.
Sa maman est là. La jeune fille est consciente et rien dans son comportement ne traduit une anormalité. Elle se comporte bien. Et parle même avec son papa comme si de rien n’était. Aucun propos indécents et même, elle demande ce qu’elle fait là. Le médecin urgentiste après deux heures de suivi signe la sortie. Il demande cependant aux parents de la faire suivre pour son malaise.
‘…Elle peut récidiver comme elle ne le peut pas, c’est sans doute une crise passagère et il vaut mieux vous en assurer auprès d’un spécialiste neurologique… !’
Sans perdre de temps, la papa téléphone à la directrice et l’informe de ce que l’on vient de lui dire.
‘…Écoutez, Madame, tout cela est invraisemblable, je vous serai grès de ne rien faire parce que ma fille semble se comporter normalement à présent mais demain matin, vous lui poserez des questions plus subtiles afin que je sois rassuré sur son état d’abord et surtout sur ce qu’elle a avancé… !’
‘…Y’a pas de souci Monsieur Fradji, je l’attends demain matin et on verra, ah j’oubliais de vous dire que le psy sera demain ici à la première heure… !’
‘…Très bien, plus vite on saura plus vite on sera rassuré… !’
Effectivement La fille semble normal. Ils rentrent à la maison et La jeune adolescente va s’asseoir prés de ses frères et sœurs et commence ses devoirs sous l’œil inquiet des parents… !’
‘…Tu ne veux pas te reposer chérie… ?’
‘…Pourquoi, je me sens bien… !’
‘…Tu ne te rappelles de rien…. ?’
‘…Non, qu’est ce qu’il y a eu… ?’
‘…Rien, travaille alors…Ye omri… !’
A Suivre….
Suite du sketch d’en haut
‘…ALLO BEBERT… ? IV.
‘…Allo Bébert… ?’
‘…Chapitre IV maman… !’
‘…Je continue l’histoire… ?’
‘…Tu veux que les trois vieux et la vieille qui m’a dit un jour ‘…HILARANTE TON HISTOIRE SUR KAHLI,’ me tuent… ! Vas y raconte sinon ils vont tous accoucher d’une critique nerveuse et au forceps… !’
‘…La nuit se passe bien, son papa le pauvre à se lever la nuit pour la surveiller. Sa maman perplexe et surtout gênée lui pose la question fatidique… !’
‘…Tu l’as … !’
Il regarde sa femme et lui dit.
‘..Je crois que tu devrais aussi aller voir un psy avec ta fille… ! Rien que d’y penser tu m’accuses d’obscénités sur ma fille de 15 ans… ? Hein dis le et si toi tu ne dors pas c’est parce que cette idée te tracasse… ! Comment peux tu penser cela de moi hein….HEIN…. ?’
‘..Ne crie pas, elle va se réveiller… !’
‘…Je ne sais pas ce qu’elle a eu, je ne sais pas, quelle honte pour moi parce que dans ce genre de situation on prête plus l’oreille à la gamine qu’à moi son père… ! Tu vas voir, la directrice va en parler aux services sociaux et je vais être convoqué par la police… !’
‘…Hein par la police… ?’
‘…Bien sur, qu’est ce que tu crois toi, c’est grave, et la directrice ne peut pas cacher cela, sinon elle se fait complice d’un délit punissable sévèrement par la loi. ‘…ATTOUCHEMENTS SUR MINEUR PAR ASCENDANT…! Tu n’as jamais entendu cela… ?’ Je risque gros… ! 15 ans de tôle si les faits sont avérés… !’
‘…Qu’est ce qu’il faut faire alors… ? Prendre un avocat… ?’
‘…Nous n’en sommes pas là, encore, les services sociaux vont nous convoquer avec notre fille et ils vont lui parler pour en savoir plus… !’
Effectivement, sur procès verbale de la directrice de la Yechiva, la famille reçoit une convocation.
La directrice leur avait signifié la démarche deux jours après la consultation du psy.
Durant l’entrevue, la jeune fille ne se rappelle plus de rien. La psy malgré les tests soumis à la jeune fille n’a rien trouvé de probant. Pas une fausse note, rien qui préjuge d’un mauvais traitement. Bien au contraire les tests sont à la perfection. Les parents qui attendaient la fin de l’entrevue furent aussi soumis à quelques questions d’usage.
Là aussi, la psy, dira que rien dans l’attitude des parents ne soulevaient de doutes.
Heureux,ils le sont les parents et sortent enfin avec leur fille.
Le papa presque innocenté de tous les soupçons mais dans ce genre d'affaires, le doute persiste même.
La directrice est informée par la psy. L’assistante sociale, au vu du rapport transmis par la psy et la directrice, n’a pas jugée utile d’avertir la police. Cependant, elle se déplaça chez eux pour un contrôle de routine. Elle conclu que rien ne peut être retenue contre le père au vu des questions posée aux autres enfants en tête à tête.
Cependant, elle insiste pour que la jeune fille Gisèle soit suivie pour ce trouble accidentel.
A Suivre....
Suite d'en haut.
‘…ALLO….BEBERT… ? V.
Un mois plus tard alors que tout semblait rentrer dans l’ordre, la jeune fille se lève en pleine nuit et rentre dans la chambre de ses parents. Elle s’allonge prés de son père endormi et lui chuchote à l’oreille ‘…Papa caresse moi… !’
Le papa surprit dans son sommeil se lève ainsi que sa femme. Ils paraissent choquée et voilà que la jeune fille refait la crise d’épilepsie. Malgré le traitement prescrit par son médecin. Toute la maison est réveillée et les enfants voient leur sœur se convulser. Un spectacle affligeant. Les parents ferment la porte de leur chambre et laisse la crise passer. On leur a dit comment agir en cas de récidive… !’
‘..Olalala quelle angoisse pour eux… !’
‘…Enti colt angoisse ou chkeut ( Toi tu as …. Et tu t’es tus… !)
‘…Avec sang froid, ils prennent les choses en main et avec délicatesse, ils réussissent à l’apaiser. Cela a duré dix bonnes minutes. Le lendemain, le papa rapporte l’incident à la directrice et aussi à l’assistante ainsi qu’au psy. Mais personne n’ose se prononcer sur ce nouveau comportement d’autant plus qu’il va se répéter plusieurs fois et là, ca tourne au drame parce que les choses empirent. La fille déprime et ne veut plus s’alimenter. Elle profère des inepties, elle insulte son père, ses sœurs, frappe sa maman, lance des objets au point que le psy juge que la jeune fille doit être hospitalisée, la folie guette.
Toute la famille et les proches sont mis au courant.
La jeune fille ne va plus à son école et les parents décident de contacter un autre grand professeur qui, au vu de son IRM, s’étonne que rien de méchant n’apparait sur ces images. Tous les examens sont faits et la fille passe par de grands moments de silence puis d’euphorie. Les parents n’en peuvent plus. Ils vont aussi devenir fous parce qu’ils ne comprennent rien à cette tragique situation.
Au bout de six mois, la belle jeune fille est devenue méconnaissable et parle surtout de faire l’amour.
Comme on dit chez nous les tunes juifs ‘...HAROU…’ Ils sont déboussolés.
Le Rav est contacté et bien sur, lui non plus ne comprend rien sauf qu’il faut prier pour qu’un miracle se produise. Ils prient du matin au soir, toute la famille prie, tous les alliés prient, des centaines de bougies sont déposés dans les synas, à l’office du shabbat, les fidèles font des REOUFOTS CHELAMA.
la RAV de NEW YORK prie pour elle. D ieu prie aussi.
Les parents de la jeune fille vont tous les jours à ST ANNE. Aucune amélioration dans son état mais un état stationnaire avec des troubles mentaux assez persistants dont on ne voit pas la cause. Les parents n’ont pas d’antécédents dans leur famille. Ye OULDI E'BLOU… !’ Ils vont devenir fous… !’
‘…Lahmi chouc chouc… !’ J’ai des frissons… !’
‘…Personne ne voit d’issue à une maladie qu’on n’arrive pas à déterminer… !’
Elle va rester deux bons mois à l’hôpital des fous dans un service spécialisé, sans qu’elle soit en présence des malades gravement atteints.
Les deux parents sont comme des zombis, se relayant prés d’elle, posant des questions aux internes, essayant de flairer un espoir mais rien. Le cas présente une grande énigme. La jeune fille pendant ses moments de répit, retrouve ses esprits, demande à lire à faire ses devoirs, demande pourquoi elle est là, cloitrée, appelle ses amies avec son portable tout cela sous l’œil des surveillants qui enregistrent tout et vont même jusqu’à filmer ses faits et gestes afin de prévenir un quelconque accident malgré toutes les précautions. Elle est bourrée de médicaments. Les parents envisagent de l’emmener en pèlerinage mais sur les conseils de ses médecins traitant, ils abdiquent. Les parents sont perdus. Chez eux, le découragement s’installe malgré le soutien moral des proches parents. Les enfants sont perturbés et le papa sombre dans la dépression. Il arrête de travailler. Il n’en peut plus. Alors intervient le frère de son épouse, un homme très riche qui subvient à leurs besoins en cachette du mari. Hors course.
A Suivre….
Je peux me permettre ce que beaucoup ne peuvent se permettre.
Je peux me permettre de raconter ce que je veux.
Rien ne me force à raconter la réalité.
Tout me porte à inventer, à créer, à blaguer, à m'inscrire en vrai ou en faux sans que cela porte préjudice.
Ce qui est faux est apparent,peut plaire ou déplaire, ce qui est vrai porte préjudice.
Ce qui est faux est du délire ce qui est vrai est une réalité que je maquille presque en faux afin de ne pas heurter.
Sachant par là, que beaucoup de gens s'ignorent et pensent ne pas ressembler à certains de mes personnages alors qu'ils sont eux.
Mes récits SKETCH avec maman ne sont pas prés de finir.
Suite du chapitre V.
‘…ALLO BEBERT… ? VI.
Sa femme, bien courageuse, continue à vaquer avec cœur à ses occupations ménagères alors que le mari est alité, les yeux rivés au plafond. La vie pour lui s’est arrêtée. La seule chose qu’il se permet de faire et de prier et poser ses tefs mais il ne va plus à la syna. On demande après lui et sa femme soupire.
Alléch mouch ou hé raced, hlém ( Voilà qu’une nuit, il rêve).
Il voit sa fille habillée toute de blanc avec à ses cotés un jeune rabbin, un mariage, il voit sa femme danser, ses enfants chanter, bref il voit le mariage de sa fille.
Il se lève et dit à sa femme ‘…QADOUCH BAROUKH OU… !’ Il répète cela devant sa femme réveillée cette phrase à plusieurs reprises. KADOUCH BAROUKH OU… ! Sa femme s’en inquiète et lui demande la cause de ce KADOUCH BAROUCKH OU. Il s’en explique mais sa femme perplexe pense aussi que son mari divague.
‘…Khir ouhé loucen ouhé jeddah yebel… !’ Il ne manquerait plus que le papa devienne fou… !’
Le matin, il se rase, s’habille devant le regard de sa femme.
‘…Où tu vas… ?’ Si tôt… !’
‘…Rien, je vais prendre l’air… !’
En vérité d’air, il n’en respire plus depuis que sa fille est internée. Il va voir son vieil ami rabbin Belhassen z’al le rabbin de la syna de la Goulette. Un homme simple mais très érudit et intelligent.
Le rabbin Belhassen habite du coté de Bastille. Il n’officie plus puisque sans diplôme n’est pas reconnu à son arrivé à Paris. Surement que sa pratique de la torah n’est pas conforme à celle de France.
Il vit grâce à son fils qui subvient aux besoins de sa maman et de lui. Il se renseigne auprès des fidèles de sa syna et bingo, on lui donne l’adresse et le numéro de son téléphone. Sans perdre de temps, il l’appelle et tombe sur lui. Il lui raconte sa tragédie. Le rabbin lui demande de venir le voir.
Il va sur le champ. Il est reçu chez lui et sans aller dans les détails, le rabbin lui dit cela
‘…Aâréché … !’ ( Marie là… !’.
L’autre perplexe et incrédule a cru mal entendre mais le rabbin lui répète encore une fois ‘…Aâréché'lè… !’
‘…Mais Belhassen, elle n’a que 16 ans… !’
‘…Marie là, je te dis, crois moi marie là sans perdre de temps…
A Suivre...
!’
Suite de '...ALLO BEBERT...VI.
‘…ALLO BEBERT…. ? VII.
Devant ce qu’il pense être un conseil à la con, mais des plus cons, il va en informer sa femme.
Qui trouve ce propos un peu léger Mais il va prendre la décision, la bonne décision, marier sa fille pour la sauver contre vents et marées de il ne sait qu’elle maladie.
Son rêve prémonitoire était pour lui un signe divin. Il va faire courir le bruit dans sa yechiva qu’il veut marier sa fille car cela est une question de vie ou de mort pour sa Gisèle bien aimée. Il est prêt à prendre tout à sa charge, à faire tous les sacrifices, que le garçon soit riche ou pauvre, il assumera tout. Héne, cérémonie, voyages de noces tout de chez tout pourvu que sa fille épouse un garçon de bien.
‘…Quelle histoire Maman… !’
‘…Attends, je descends la cocotte minute du gaz… !’
‘..Oui, bien sur, tu ne vas pas bruler ton manger pour si peu… !’
‘…Tu te fous de moi…?’
‘…Non maman, je rigole… ! Pour soulager mon angoisse… !’
‘………………………………………………………………’
‘…Bon, tchédet chwiye… !’ ( Elle a brulé un peu d’en bas… !’)
‘…Tu mangeras le haut… !’
‘…La rumeur s’amplifie, les amis et les proches y mettent du leur pour trouver un jeune homme convenable et quelque soit sa condition…!’
Entre temps, le père FRADGIA reçoit un appel de l’hôpital. On lui dit que sa fille va beaucoup mieux et que les crises semblent s’atténuer avec les médicaments et surtout qu’elle est cohérente et demande à sortir. Les parents acceptent et la jeune fille rentre chez elle. Sans perdre de temps, elle décide à reprendre ses cours. Elle le veut et insiste même. Craignant de la contredire, les parents l’accompagnent le lendemain à son lycée YECHIVA de la rue PETIOT. Ye ouldi chouf cawet rabbi (Regarde mon fils par la volonté de D ieu) durant trois mois, elle n’a pas eu de crises, rien mais en plus, on lui a présenté un gentil garçon religieux de 22 ans.
Elle n’a même pas bronchée, elle semblait même heureuse que ses parents lui présentent ce jeune homme issu d’une famille modeste BEN ATTAR.
Les amis de cette famille sont intervenus auprès des parents pour lui expliquer le problème et dans un cas pareil, lui ont t’ils dit, il faut prospecter tous les aspects du problème, car il se peut qu’il soit sexuel. En plus,
‘…C’est une grande Misvat de les accoupler même si jeunes si la nature de l’une le commande… !’
Le jeune homme bien docile et plein d’égards,surtout charmant ne s’est pas laissait intimider par la chose.
A Suivre…
‘…Dans la célèbre série ‘…ALLO BEBEEEEEEERT…. ?
Kife the life.
'…Allo Bébert…?
‘…AHHHH…!’
‘…Tu m’attendais hein….?’
‘…Et oui on s’habitue à tout maman, même à celle qu’on attend le moins… !’
‘…Ah, le moins, donc moi je suis le MOINS… !’
‘…NOOOOnnn…. ! ToIIIII… ! Tu es le plus par moins par moins ca donne… !’
‘..Ca donne quoi…?’
‘…Plus que moins de moins… !’
‘…Chefta Poupa (sa sœur) i’ye te’chci ou teb’ci ou méjelet jét men Iretz mchét à Puntadicaca… !’
(‘…Tu as vu ta tante, elle qui grogne tout le temps, elle vient d’arriver d’Israël, et la voilà repartir pour la Pointe du Caca… !’)
‘…Punta si Cana… ’ ‘…Alors, Elle KIFFE THE GOOD LIFE…Poupée…?’
‘…Quoi…?’
‘…Je t’ai dis, elle KIFFE THE LIFE…!’
‘…Bel A’FIE, I’yèEEE… ! Mais pas du tout, elle ne les fréquente pas…!’
‘…Elle ne fréquente pas qui… ?’
‘…Ce que tu viens de me dire… !’
‘…Et je t’ai dis quoi…?’
‘…KIFFE chnoué bââda…?’ (Quoi déjà…?)
‘…THE LIFE… !’
‘…Ah je croyais que tu parlais de sa copine … ! …Je ne la connais pas…! Bent ech’coun… ?’ ( C’est la fille de qui… ?)
‘…The KIFE GOOD LIFE…!’
‘…C’est BIO…?’
‘…BIO CLAIRE…! Comme ma crème…!’
‘…Elle n’a jamais eu de copines avec ce nom là, sans que je ne le sache… !’
‘…Elle te l’a cachée surement… !’
‘…Elle me raconte tout ma sœur…!’
‘…Elle t’a racontée pour la fille de Suzette… ?’
‘…Qu’est ce qu’elle a Johanna… ?’
‘…Elle est enceinte… !’
‘…JOHANNNNAAAAAAA…. ?’
‘…Oui, tu vois… !’
‘…Mais elle n’est pas mariée…!’
‘…Ce n’est pas obligatoire d’être marié pour tomber enceinte … !’
‘…De qui… ? Elle a 35 ans… ! Célibataire… ! Qui te l’a dit à toi…?’
‘…Ce n’est pas Poupa, mais Félix… !’
‘…Félix el nechnech… ?’ ( Le rumoriste)
‘…Oui, elle est passée le voir avec son gros ventre chez lui… ! Elle a dit que c’est un accident de la nature… !’
‘…Ah ils sont beaux les ACCIDENTS DE LA NATURE… ! Surtout lorsque la NATURE DERAPE… !’
‘…Chacun à ses accidents de la NATURE… !’ Moi.
‘…Regarde-moi ca… ! C’est pour cela que sa maman Jasmine, ouje hjine ta’oui… ?’ ( Que le visage de sa maman est endeuillé… !’)
‘…Poupée, et j’en suis sur est au courant par ses enfants… !’
‘…Regarde-moi ca… !’
‘…En plus elle a accouché d’un petit garçon… ! Maïnou… !’
‘…Alors elle est enceinte depuis 9 mois et 9 mois qu’ elle me l’a cachée ma sœur… ? C’est pas possible… !’
‘…Tu as raté deux événements majeurs, sa grossesse et son accouchement… ! Et même que tu ne seras pas invitée à la BRIT et sa BAR MITSWA puisque tu n’es pas au courant de cette naissance… !’
‘…Et le MARIAGE AUSSI ALORS…?’
‘…Ben oui… !’
‘…Tu as raison, je vais appeler FELIX… !’
‘…Pourquoi… ? Pour lui dire QUOIII… ?’
‘…Que… !’
‘…NON, TU NE LUI DIS RIEN….OK… ? Sinon je ne te raconterai plus rien… !’
‘…Si tu me le dis, dans ce cas, je ne dis rien… !’
‘…En plus c’est son fils le traiteur, donc tu vois que Poupée le savait… !’
‘…Regarde-moi ca… !’
‘…Donc motus, sois digne et ne me mets pas la TETE DANS LE CACA… !’
Dix minutes plus tard…
‘…Allo Albert… ?’
‘…Ah Félix, lââjij… !’
‘…Qu’est ce que c’est que cette histoire, ta maman m’a appelée et durant une demi heure, elle m’a remontée les bretelles… !’
‘…Depuis quand tu portes des bretelles toi… ? Et des bas résilles aussi… ?’
‘…Elle me parle de Johanna, d’où je connais Johanna moi, en plus en enceinte, je n’ai pas pu placer un mot, et elle a raccroché sur mon nez… !’
‘…Ah bon… ? D’où je sais moi, calme toi, je vais la rappeler pour voir plus clair… !’
‘…Déjà que toi tu travailles avec les NOIRS, ca m’étonne que tu vois clair.. !’
‘…Ecoute rappelle là, toi et demande lui PARDON… !’
‘…PARDON DE QUOI… ? De qq chose que je ne sais pas… !’
‘…Alors excuses toi au moins… !’
‘..Chnoué el biya mca’tââ que tu m’as apporté (Qu’est ce donc cette affaire déchirée que j’hérite… !)
‘…Ca t’apprendra de me raconter des salades… !’
‘…Mais ALBERT ca fait six mois que tu ne m’as pas vu.. !’
‘…Et bien là, je t’entends… ! Bon, je vais mettre les choses en ordre… !’
Dix minutes plus tard…
‘…Allo Bébert… !’
‘…Oui Poupée comment vas-tu…Tantine… ?’
‘…Bien, dis moi maman m’a appelée c’est qui Johanna qui est tombée enceinte et qui a accouché de Maïnou… ?’
‘…Je ne sais pas… !’
‘…Elle m’a houspillée durant 30 minutes, je n’ai rien compris alors que je suis à PUNTA DI CACA… !’
‘…Tu appelles de là bas… ?’
‘…Ben oui mon fils, en PCV… !’
‘…C’est moi alors qui paye… ?’
‘…Ben oui, qui va payer alors, lejelé meghir bjijlét que je suis … !’ (La veuve sans petits seins.. !)
‘…Bon bronze tranquillement, je vais arranger cela… !’
‘…I yaiche ouldi ( que tu vives) appelle Sydney mon fils et dis lui que tout va bien, et surtout qu’il n’oublie pas de faire ma commission à la Mairie, pour mon allocation veuvage, el kbour fél jbeben ( les sépultures, elles parlent des agents de la mairie) ils veulent me diminuer ma pension de veuvage, et aussi téléphone à Sylvie, demande lui comment va son fils , si sa fièvre est tombée, ah oui prends des nouvelles de ma belle sœur dis lui si elle peut mettre une bougie sur la tombe de mon mari parce que demain, c’est la montée au cimetière, Bébert, tu sais qui j’ai vu ici, ton ami Marcel de la Goulette, si tu vois comment il est devenu, je ne l’ai pas reconnu, merci mon fils… !’
‘…Ok tata, je vais le faire… !’ DIX MINUTES AU COMPTEUR.
‘..DRINGGGG…. ! DRIIIIIIIG… !’
‘…Allo Bébert, c’est toujours moi… !’
‘…Tu appelles en PCV…?’
‘…Bien sur alors tu ne veux pas que je paye e’ne lejéllè.. ! J’ai oublié de te donner le numéro de téléphone de Sydney… ! Note 01 42….. ! Dis aussi à Laurent qu’après demain c’est le dernier allumage de la dernière bougie de Hannouca, ouh j’ai la nechyè ( j’ai l’oubli) essaye de contacter Patrick, dis lui que tout va bien, et que je pense à tous, brass ouldi tu vois aussi si Sonia a retrouvé sa voiture, on la lui a volée, mechcina, voilà si je me rappelle autre chose, je t’appelle… !’
‘…PAS LA PEINE TATA…. ! MOI JE T APPELLERAI EN PCV… !’
DRING…DRING….DRING….
‘…Allo Bébert…?’
‘…Hein c’est toi maman…?’
‘…Et qui veux tu que ce soit, j’ai appelé Félix, parce que je ne veux pas passer pour une conne et le menteur me dit qu’il n’est pas au courant et j’ai appelé Poupée en PCV, et là, elle me refuse la communication ââla chamelt mââye. ( Avec tout ce que j’ai fais pour elle)
‘…C’est aussi une MENTEUSE, elle te dira qu’elle n’est pas au courant… !…Mais dis moi Maman tu m’appelles comment toi… ?’
‘…EN PCV BIEN SUR….e’ne EJELLE… !’( Je suis veuve… !)
‘…Ou’ené je suis LÂÂJ’LA DE LA FORTUNE N’EST-CE PAS… !’
( la roue de … !)
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