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SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'

Envoyé par albert 
SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
02 février 2010, 10:12
Ouverture d'une seconde salle Janet Castro...z'al.

Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....!'
02 février 2010, 10:27
AU THÉÂTRE CE SOIR.

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Paris le 26/01/2010.


Dans le rôle du voisin.
Monsieur Breitonson Albertin.
Dans le rôle de la voisine.
Mademoiselle Aspégic Lanson.
Madame Alice Amlor la maman de Monsieur Breitonson.


Monsieur Breitonson, la quarantaine, bel homme aux tempes grisonnantes, célibataire presque endurci, habite un bel appartement dans un immeuble cossu situé sur l’avenue Montaigne. Au 5iéme étage avec ascenseur. Monsieur Breitonson est un homme qui n’arrive pas encore à se décider au mariage.

Juif de profession pardon de confession, il est administrateur de biens dans une belle étude.

Mademoiselle Aspégic Lanson, la trentaine, jolie femme, charmante, assez courtisée mais réservée hélas, est sa voisine de palier depuis 10 ans. Elle est assistante médicale chez un chirurgien de renom installé à Paris, Monsieur GLI FANON Robert.
Les deux portes font face.
Ils sont les seuls occupants dans ce palier qui en compte 8 sur 8 étages.
Le rideau s’ouvre sur le salon de Mademoiselle et sur le salon de Monsieur.
La scène est donc séparée par deux cloisons, l’espace compris entre ses deux murets, représente donc le palier et au fond la projection d’un ascenseur.



MA VOISINE AMOUR.



Monsieur est assis sur son grand fauteuil, face à la télé, il est 18 heures.
Le téléphone sonne.
‘…Allo chéri… ? ‘
‘…Ah c’est toi maman… ?’
‘…Et qui veut que ce soit mon ange, sinon ta maman qui pense à toi… ! Tu es en compagnie… ?’
‘…Oui… !’
‘…Ah enfin mais avec qui donc… ?’
‘….Avec ma solitude, maman, comme toi… !’
‘…Je t’avais proposé mille fois de la partager mais tu préfères l’accompagner… !’

Dans l’autre salon. Mademoiselle marche de long en large, fumant cigarettes sur cigarettes.
‘…Qu’est ce que je m’emmerde, à tourner en rond, j’en ai marre, marre de marre, et dire que j’aurai pu être maman depuis longtemps si ce n’est que ce foireux avare, une teigne a préfère la compagnie de sa maman…. !’
Elle se regarde dans la glace, elle est en tenue légère…Soutien gorge, culotte et bas.
‘…Un corps comme le mien, délaissé, pas une main qui ne l’est caressée depuis trois ans, remarque mon chéri, je crois bien que personne ne te mérite dans son lit. Trop super. Mais quand même, je trouve que ton destin est ingrat et je ne vois pas ce que je peux faire pour toi… !’

Elle déambule en se déhanchant. Mettant ses formes en valeur.

‘…Ecoutes maman, toutes les fois que je t’ai présentée une femme, tu faisais la fine bouche, sinon la moue, tu es pour quelque chose dans mon célibat… !’
‘…Ah bon.. ? Décidemment lorsqu’on est incapable de lever une poule, c’est la maman qui paye les pots cassés… !’
‘…Hélène, tu la trouvais pas à ton gout, Géraldine trop imbue de sa personne, Yvette c’était son accent provinciale, Marjorie pas de caractère, Amélie, trop vieille, bref tu as tout fait pour me décourager et je n’aurai jamais dû t’écouter et voilà où j’en suis… !’
‘…Toi, je te vois venir, oui accuse moi d’être celle qui a brisé tes bonheurs… !’ Elle pleure.
‘…Bon écoute, je raccroche parce que cette conversation ne mène à rien, j’ai du travail, allez bonsoir maman… !’

Chez Mademoiselle.
‘…Finalement, je suis en plein dans le célibat, et il faut un miracle pour que j’en sorte. A moins que la providence se présente. Que de providences, 25 même 35 si je compte bien, mais aucune ne m’a accrochée, à croire que j’ai la chkoumoun… ! JE DEPRIME… !’

Chez l’autre.
‘…Non seulement vivre son célibat comme une souffrance mais voilà que maman s’en mêle. Je disjoncte, bon, je vais sortir prendre l’air et si en prenant l’air, on ne sait jamais je fais un pied de nez à ma solitude du moins pour ce soir…. ! Allons mon âme, habille toi… !’
Chez Mademoiselle.
‘…Alors moi la DEPRIME, je lui tords le cou, je SORS…OUI MA CHERE DEPRIME JE SORS ET JE T’ENFERME… !’

Elle s’habille. Monsieur s’habille de son coté.
Enfin prêts, les deux portes s’ouvrent et les deux voisins se retrouvent face à face.
Ils se regardent un moment.
‘…Bonsoir, vous habitez ici… ? Monsieur… !’ Ose dire la jeune femme.
‘…Oui depuis dix ans… !’
‘…Mais je ne vous ai jamais croisé dans l’ascenseur… ?’
‘…Disons que le hasard a oublié sa fonction… !’

Puis les deux portes se referment.
‘…Mais qui est celui là, je ne l’ai jamais vu… !’ Elle en pensant tout bas de derrière sa porte.
‘…Ca par exemple, mais depuis quand, elle habite là celle là… ?’ Lui en pensant tout bas de derrière sa porte.
‘…Il n’est pas mal mais sans doute est t’il marié… ?’ Elle
‘…Joli femme mais sans doute mariée… !’ Lui.
‘…Que faire… ? Elle.
‘…Que faire, attendre, ouvrir, sortir la recroiser et profiter de l’occasion pour en savoir plus… ?’ Lui
‘…Je vais voir par l’œil de mon judas… !’ Elle
‘…J’attends un peu et je sors, en attendant je porte un œil à mon judas… !’ Lui.
Les deux attendent de derrière leurs portes respectives.
Cinq minutes plus tard.
La porte de Mademoiselle s’ouvre.
Monsieur sort aussi.
‘…J’avais oublié quelque chose, mon sac… !’ Elle.
‘…Apparemment vous l’avez encore oublié… ! Lui
‘…Oh sans doute l’émotion, oui l’émotion de l’oubli du sac.. !’ Elle.
‘…Je comprends votre émotion surtout celle du sac.. !…Je me présente …Breitonson Albertin… !’
‘…Mademoiselle Aspégic Lanson… !’
‘…Nous venons de faire connaissance, enchanté Mademoiselle… !’ Lui
‘…Je suis ravie de connaitre mon voisin de palier… !’
‘…Bien , bon, je crois avoir oublié d’éteindre la télé… ! Bonsoir… !’ Lui
‘…Ah un oubli assez important, tiens je viens d’y penser, j’entends un drôle de bruit dans la baignoire… ! Alors bonsoir… ! Monsieur Albertin… !’
Les portes se referment.
‘…Olalla, il n’est pas mal du tout mon voisin et dire que je viens de le découvrir.. !’ Elle en pensant tous bas de derrière sa porte.
‘…Ca alors, si je m’attendais à avoir une aussi belle et charmante voisine.. !’ Lui.
‘…Là je vais mettre le paquet… !’ Elle ‘…Mais apparemment, il doit me voir par son œil de bœuf… ! Il me surveille… !’
Elle change de tenue, plus sexy, robe noir moulante et joli jaquette assortie, entre ouverte.
‘…Là, mon cher, tu ne peux pas tomber mieux, mais j’ai l’impression qu’elle m’épie, je dois lui plaire… !’
Elle sort la première. Elle fait semblant de chercher ses clefs sans son sac.
Il sort.
‘…Auriez vous perdu quelque chose Mademoiselle... !’
‘…Non, je cherche mes clefs… !’
‘…Vous avez changé de tenue, je vous trouve très très très… !’
‘…Glamour… !’ Elle.
‘…Oui exactement, sans indiscrétion, vous allez à un rendez vous, je suppose… ?’
‘…Pas du tout.. ! Je fuyais l’appartement… !’
‘…Tiens quelle coïncidence, je faisais la même chose… !’ Lui.
‘…Fuir, prendre de l’air, me distraire.. !’ Elle.
‘…Nous avons déjà des points en commun, la fuite, le sauve qui peut, prendre du recul… !’
‘…J’en ai tellement pris que je vais tomber à la renverse… !’ Elleµ
‘…En plus très amusante, quel charme vous dégagez… ! Mademoiselle… !’
‘…Si vous voulez on se tutoie ok… ! Albertin… !’
‘…Ok Aspégic… !’
‘…Mes amis m’appellent par un petit sobriquet… ! Amour… !’
‘…Je le trouve sentimental… ! Donc, Amour… !’
‘…Mais au fait, vous avez rendez vous … ? Elle.
‘…A vrai dire, non… !’
‘…Alors dans ce cas, qu’allez vous faire de votre soirée… ?’ Elle.
‘…Je vais vous laissez l’initiative de sceller notre amitié comme bon vous semble… !’
‘…Vous êtes donc partant pour me suivre… ?’ Elle.
‘…Si ce n’est pas trop insister, je n’abuserai pas de votre plan… !’ Lui.
‘…Que diriez vous, d’une sortie au resto… ?’
‘…Belle proposition, là ce n’est pas de refus surtout en compagnie de Amour… !’
‘…Ahahaha… ! Bien, dans ce cas mettons nous en route l’ascenseur… !’

Juste à ce moment le téléphone de Monsieur sonne.
‘…Ah, on me sonne, mais ne restons pas là, rentrez, ce sera une belle occasion de vous faire découvrir mon appartement… !’
Elle le suit. Il l’invite à s’asseoir.
Il décroche.
‘…Allo… ?’
‘…C’est moi… !’
‘..Ah Sheri*, qu’est ce qui se passe encore… !’( Sa maman)
‘…Pour toute à l’heure, tu m’as fait de la peine… !’
‘…De la peine, pas du tout, si ma sincérité t’a touchée, je ne peux rien faire pour toi… !’
‘…J’attends des excuses… !’
‘..Des excuses… ? Mais je n’ai fais que cela durant 15 ans, m’excuser et toujours m’excuser et à te demander pardon… !’

La jeune femme se lève et semble vouloir partir.

‘…Amour attend, je termine avec elle.. !’
‘…Tu parles d’Amour avec ta maman… ?’
‘…Mais non, ok… !’ ………‘Amour ne pars pas… !’
‘…Mais je ne suis pas ton Amour moi, je suis ta maman, qu’est ce qui t’arrive mon fils… ?’

Amour ouvre la porte.

‘…Tu es toujours là comme un doigt entre la chaire et l’écorce, je pars ‘…. Amour sort… !’ Et il raccroche.
Amour est déjà sortie.
Il sort la rattraper mais elle est rentrée chez elle alors que le téléphone résonne.
Il frappe à sa porte.
‘…Amour ouvre moi, je t’en prie… !’
‘…………………………………………….. !’
‘…Amour, ne fait pas l’idiote, ouvre… !’
‘………………………………………………. !’
‘…Ce n’est pas ce que tu crois… !’
‘………………………………………………… !’
‘…Je sais ce que tu penses mais ouvre moi la porte… !’
‘…TOUS LES MEMES… !’ Elle.
‘…Les mêmes de quoi Amour… ?’
‘…Si tu penses que je suis cruche, détrompe toi… !’
‘…Mais il ne s’agit pas de cruches enfin, c’est un simple quiproquo… !’
‘…Ah bon, alors expliques moi cette CHERIE… !’
‘…Mais on vient à peine de se connaitre et tu me fais une scène de jalousie… ?’
‘…Justement, mieux vaut tôt avant que plus tard … !’
‘…Te rends-tu comptes de ce que tu dis… ! Amour… ?’
‘…Je ne suis pas folle, vous êtes des roublards les hommes, la chance pour une fois a été de mon coté… !’
‘…Quelle chance… ?’

L’ascenseur s’ouvre et c’est la concierge qui entre avec son aspirateur …..
Un boucan du diable.
‘…Mais n’avez pas trouvé le bon moment pour faire le ménage vous… ?’ Lui envers la concierge.
‘…Je suis payée pour cela et mes horaires de passage sont indiquées sur ma loge… !’
‘…Vous ne pouvez pas revenir dans un quinze minutes… ?’
‘…Dans quinze minutes, je dois être au 6 iéme étage, je suis respectueuse des horaires et fidèle surtout… !’

Il hurle…

‘…Amour, est ce que tu m’entends… ?’
‘…C’est du propre, faire l’amour derrière une porte à une jeune femme comme il faut, il faut être tare pour se conduire ainsi.. !’ La concierge.
‘…Amour, écoute moi, j’étais avec ma mère… !’
‘…En plus, un INCESTE… ! Je savais bien que vous étiez malade et votre regard ne m’a jamais trompé… !’
‘…AMOUR… ! SHERI c’est ma maman… !’
‘…Bien plus que propre, un air de pervers oui… !’ La concierge qui passe l’aspirateur.
‘…Ecoute mon Amour… !’ Pardon Amour… !’
‘…Allez vous me faites vomir, regardez moi ca, en costume cravate, et dire que surement dans votre boulot on doit vous donner le bon D ieu en confession… !’ La concierge.
La porte de Monsieur est restée ouverte et le téléphone sonne. Il va vite décrocher.

La concierge cesse le boucan et tend l’oreille.

‘…Oui SHERI, c’est toi… ?’
‘…Oui, c’est moi, tu n’as pas honte de tenir un langage pareil avec ta maman… ?’
‘…C’est ca les hommes, tous les mêmes la maitresse sur le palier et l’épouse en voyage… !’ La concierge.
‘…Shéri…. ! Amour c’est une voisine que je viens de connaitre… ! ’
‘…Tous des menteurs, regardez moi cela, à genoux entrain de parler à sa CHERIE… !’ La concierge.
‘…Laisse moi t’expliquer enfin…!’

La concierge a remis le boucan.

‘…Sheri, m’entends tu… ?’
‘…Je préfère rien n’entendre… !’ La concierge.
‘…ARRETEZ CE BOUCAN VOUS… ! OK… ???’
‘…Je vous rends service en mettant ma musique afin que votre épouse ne puisse pas entendre vos saloperies… !’ La concierge.
‘…Donc SHERI, je te disais que je viens de faire connaissance de ma nouvelle voisine, une femme très charmante, là je pense avoir trouvé le bon numéro… !’
‘..Ah c’est mieux encore, son épouse est consentante, un trio… !’

A ce moment, Amour fait son entrée sous l’œil de la concierge.

‘…La rentrée majestueuse de la concubine… !’ La concierge.
‘…Ah enfin, te voilà D ieu soit loué, attends SHERI, je te présente Amour… !’
‘…Et voilà le bonheur, la maitresse et l’épouse consentante qui vont faire connaissance… !’ La concierge.
‘…Allo Madame, je m’appelle Amour… ! Votre fils me dit que vous êtes sa maman… ?’La demoiselle.
‘..Drôle de prénom pour une femme qui se dit honnête… !’ La maman.
‘…Mais je le suis Madame, c’est un surnom que mes amis m’ont donné… !’
‘…Quel spectacle affligeant, présenter sa maitresse à son épouse, mais dans quel monde vivons nous… ! Seigneur… !’ La concierge.
‘…Fermez là, vous et fermez la porte… !’ Lui
‘…Oui bien sur, il ne faut surtout pas déranger AMOUR… CHERIE et Monsieur, continuez votre partouze au télèphone, je vais en référer au syndic qu’il se passe de drôles de choses ici… ! La concierge.
‘…Donc tu vois Maman, comme je te l’avais dis, elle est magnifique et nous allons te laisser parce que nous sortons… !’
‘…Tu viens à peine de connaitre AMOUR que déjà tu t’emballes… !’
‘…Oui et là je vais prendre mes dispositions… !’ Lui.
‘…Je prendrais aussi les miennes mon fils… !’
‘…Du chantage et encore du chantage… !’

Il raccroche.

‘…Quelle histoire de fous… !’ Amour.
‘…En effet, pour une première rencontre, je ne peux pas dire qu’elle soit de bonne augures… !’
‘…Ecoutes maman est vieille et surtout a perdu la boule, et là je ne vais pas me laisser faire parce qu’il faut que j’avance positivement sinon je vais rester célibataire… !’
‘…Tu sous entends que tu veux te marier… ?’
‘…Bien sur, et je ne vais pas aller chercher très loin puisqu’une opportunité se présente à moi pas loin de chez moi en plus, juste traverser le palier… !’
‘…Mais plus encore… ?’
‘…Tu me plais énormément, je suis conquis… !’
‘…En quelques heures, je t’ai conquis… ?’
‘…Pas toi… ?’
‘…Si si, sinon je ne serai pas revenue, donc il se peut que nous ayons un destin en commun… ?’
‘…Oui Amour, il se peut, nous allons faire battre nos cœurs à l’unisson… !’
‘…Essayons, essayons… !’
‘…Bon, je pense qu’il est trop tard pour sortir mais ta proposition reste d’actualité, ce n’est que partie remise… !’ Lui.
‘…Bien sur…!’
‘…Je vais te concocter, un diner de rêve à moins, un diner aux chandelles… !’
Monsieur rentre à la cuisine tandis qu’ Aspégic, assise sur le grand fauteuil, feuillette un magazine.
‘..Veux tu que je t’aide… ?’
‘…Ah là pas du tout, je veux t’emballer… !’
Une demi- heure plus tard, la table est mise et les chandelles aussi.
‘….Au menu, une entrée, salade de laitues aux noix ensuite un civet de lapin garni aux champignons de Paris, baigné dans une sauce normande, et comme dessert, une belle coupe de fruits hawaïenne… !’
‘…Et tout cela en trente minutes, quel talent… !’
‘…C’est mon petit jardin secret…En attendant le second… !’

Ils se mettent à table lorsque la sonnerie de la porte se fait entendre.

‘…Qui cela peut-il être… ?’ Lui.

Il se lève et ouvre la porte.

‘…MAMAN…. ! Mais enfin qu’est ce que tu viens faire là à cette heure… ?’
‘…Il n’y a pas d’heures pour les mamans inquiètes… ! Ah je vois que Mademoiselle a prit ma place… !’
‘…Ca fait trois ans que tu ne viens plus me voir… !’
‘…Normal, c’est toi qui vient alors pourquoi me déplacer… ! En effet, Mademoiselle est charmante, comment vous vous appelez déjà Mademoiselle… ?’
‘..Aspégic madame… !’
‘..Ah ca fait très médicamenteux tout cela mais au moins ca soulage… ! Et Amour c’est vous aussi… ?’
‘…Oui Madame, un surnom… !’
‘…Je vois, bien, où vais-je m’asseoir… ?’
‘…Nulle part, tu rentres chez toi… ?’
‘…Elle t’a déjà embobinée sur moi… !’
‘…Oui, déjà et cette fois çi, tu prends la porte…!’
‘…Vous avez déjà mis la zizanie entre nous Mademoiselle Amour, Bravo… !’
‘…D’ailleurs la porte est encore ouverte, alors si tu veux bien, tu n’étais pas prévue au programme… !’
‘…Mais enfin Albertin, maman veut rester, je veux bien lui céder ma place… !’ Mademoiselle.
‘…Alors là pas du tout, si elle reste, nous sortons et nous irons manger ailleurs et ensuite nous irons au cinéma… !’
‘…Et ensuite vous montez au lit… !’ La vieille.
‘…Oui, mais ca ce n’était pas prévu au programme tu vois… !’ Lui.
‘…Dans ce cas, ma dignité et ma fierté n’en supportent pas plus, je m’en vais la tête haute quant à vous Mademoiselle, soyez sur vos gardes, je veille… !’
‘…Oui Maman SHERI, veille en attendant nous allons souper aux chandelles, voilà… !’ Lui
‘…Oui, et surtout prend bien soin de ton bout de chandelle… !’
‘…Et toi à ta vessie.. !’

La maman part. Ils commencent à diner.

‘…Enfin seuls… !’ Lui.
‘…Elle en a du caractère ta maman…!’
‘… Un caractère qui n’est pas plaisant…!’ Lui.
‘…Par contre toi, tu as su la mettre en place… !’ Elle
‘…Il arrive un moment où chacun doit tenir son rôle, et ce soir, j’ai tenu à le lui faire savoir… !’
‘…Mmmm…. ! C’est succulent… ! Quel délice… !’
‘…Pour une fois, j’ai gagné sur ma solitude… !’
‘…Et moi donc, nous voilà embarqués à présent sur une autre galère à deux… !’
‘…Amour n’est pas une galère, mais le commencement sans doute de l’amour… !’
‘…J’aime et je suis ravie de mon voisin… !’
‘…Soudain me prend l’envie de t’embrasser… !’
‘…Déjà… ? Je sens le lapin… !’
‘…Mon lapin d’Amour.… !’

Rideau.

Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!'
09 février 2010, 10:15
AU THEATRE CE SOIR.


Pièce en un acte.


Pièce Montée.

Le décor.
Un salon meublé style empire.
Trois portraits de rabbins, accrochés aux murs.
Au milieu du salon, un grand canapé.
La maîtresse de maison marche de long en large.
Madame la Maréchale ASLE de la discorde.


Elle gigote.

‘....AHHHH...AHH...AHHHHHH.... ! Je n’en puis plus ... ! Je n’en PUIS PLUS.... ! Je souffre de ce souffre douleur.... ! Ce voyou de l’écriture... ! Je n’arrive pas à le faire taire, pas même un pamphlet perso pour le ridiculiser... !

Je parlais de stratégie et me voilà en plein dans le décor, presque battue par cet arrogant des mots qui ne se met pas de gants envers une vieille bouse comme moi, il m’a rendu aussi merdeuse qu’un caca... ! De quel stratagème dois-je user pour qu’il se taise ce prétendu, ce prétentieux, ce précieux ridicule qui insupporte.... !’

On tape à la porte.

‘...EntrEZZZZZZ... !’

Entre Madame de La Régente.

‘...Que se passe t’il... ! Mon amie... ! Vous êtes toute en vapSSSS... ?’
‘...Il me tuera d’une apoplexie, je vous dis, regardez le nombre de serviettes que j’use, à mon age... ! J’ai beau faire les yeux doux mais il s’acharne contre moi et contre vous aussi d’ailleurs... !’
‘...Je vous entend mal... !
‘...‘...Il ME TUERA d’une apoplexiIIIIIe... !’
‘...Lisez le avec un télescope enfin, de loin, c’est un caractériel, imbu de sa personne...Et puis ces longues tyrannies ne sont que foutaises, tout le monde le sait et personne ne s’y associe, enfin... !’
‘...Qui vous parle de le télescopeEEEEr... ? Je dois lire tout ce qu’il écrit sinon je tombe en syncope... !’
‘...C’est un peu à cause de vouUUUs, l’ouverture de cette boutique, voulez vous le fond de ma pensée... ?’
‘...Plutôt un fond de commerce... ! Dites toujours, elle m’est chère... !’
‘...Toutes vos interventions prêtaient à le détruire, votre langage légèrement salée l’a contraint à nous renvoyer et puis votre valet ... !’
‘...Le votre Régente n’a fait qu’empirer les choses... !’

Rentre le Valet.

‘...BonjOUUUUUr... ! Qu’est ce donc ces chamaillerieEEES... ! On vous entend par delà la verrière... ?’
‘...Comment vont mes aras... !’ La Maréchale.
‘..Raz le bOOOl... ! Kiri ne veut plus se nourrir depuis que vous l’avez castréEEEE... !’

La Maréchale tire un mouchoir et pleure.

Le valet.

‘..Ô quand mêEEEme... ! Vous n’allez pas pleurer pour une si petite ChOOOOse de chair... !’
‘...Je pleure si cela me chante ok ???’
‘...Déjà que j’ai eu un mal fou à nettoyer le carrelage, vous n’allez pas l’inonder enfin... ! La Seine risque de déborder et bravo la crue... !Bon, j’ai cru comprendre que vous en avez assez de ce Breitou, ce barbaAAAr’... Est-ce qu’il vous fait tant d’ombrages pour lui donner tant d’importaAAAnce... ?Il faut se faire une raison... !’

Maréchale

‘...Une raison... ? Mais vous délirez... ! La hargne a sa raison, il n’a aucune conscience... ! Sachez le, il va nous malaxer comme de la mie de pain... ! Il bénéficie de complicités et il sait tout de nous... ! L’arrogant... !’

‘...Je vous entend mal... ?’ La régente. Mal entendante.
‘...Mettez votre acoustique, REGENTE... !’
‘...Où... ?’
‘...Vous étiez bien CULS ET CHEMISES avec le jardinier n’est ce paAAAAs... ?’
‘...Oui, mais voilà que les chemises sont partis et ils ne nous restent plus que nos culs... !’ La Régente.
‘...JE PARLAIS DE BRAMAN... !’
‘...J AI COMPRIS... ! Il l’a cherché et nous voici MARECHALE... !’
‘...ON CONNAIT LA SUITE DE LA FIN DE
L’HISTOIRE... !’
‘...C’est le TEMPS DES CERISES... !’ Maréchale.
‘...PlutoOOOt le temps des ESCARMOUCHES... !’
‘...J’adore... !’ Le valet.
‘..Nous ALLONS LUI COUPER LES....RACINES.... !’ La Régente.
‘...Que ferions nous sans ses fleurs... !’ La Maréchale.
‘..EN VASE CLOS ET SANS EAUX.... !’
‘... UN JUDAS CE JARDINIER... !
‘...Faut pas exagérer quand MEME REGENTE... !’
‘...Il ne FAIT PLUS PARTIE DE NOTRE CERCLE... !’
‘...Plutôt ovale votre rond... ! Une vraie peau de chagrin... !’ Maréchale.
‘...Et vous DONC.... !’ La Régente.
‘...Qu’insinuez vous donc par là... ?’
‘...Juste une enfin rien... ! Le siége vous va à merveille... !’
‘...Quel siége... ?’
‘...Celui de PDG.... !’

On frappe à la porte.

‘...C’est la journée des visites... !’

Madame LIFTING, une pauvre américaine débarquée depuis qqs jours à Paris. Une amie à la Maréchale.

‘...HELLOOOOOOOOO... !’

La Régente en sourdine.

‘...Manquait plus qu’elle... !’

‘...Hello.... ! Alors fine.... ?’
‘...Yes, beaucoup maigrie ma darling... !’
‘...On voit.... ! Où etiez-vous... !’
‘...SHOPPING, LIFTING, CAMPING, JOGGING, PIQUE NING…! HAZOU KING… Yes…!’
‘…Vous vous êtes éclatée alors... ?’
‘...ESPLOSING.... !’
‘...SANS VOUS METTRE EN ROGNE, IL EST MIEUX QUE VOUS TOUTES... !’
‘...Vous radotez Régente... !’ la Maréchale.
‘...RECONNAISSONS AU MOINS DES CIRCONSTANCES qui parlent en sa faveur... ?’
‘...Vous nous lassez en l’invoquant basta... ! Ne parlons plus de lui...!’
‘...Parlez plus fort... !’
‘...Ce soir nous avons une grande soirée... !
Soyons cool et surtout de la bonne tenue... !’
‘...AVEC VOUS MARECHALE TOUT DEVIENT POSITIVE... !’
‘... ENTRE VOUS, JE DEVIENS POUSSIF... !’

Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!'
24 juillet 2011, 00:55

1/01/2003.

Dans l'anvien DISCUS DU PTB, je tombe sur cet article de Janet z'al ma grande amie. J'en avais bien rit à l'époque. Que de merveilleux souvenirs.

Mon adorable AmiAvant tout, je renouvelle, en franches, cette fois tous mes vœux pour l'annee2003Que le ciel vous protége, a vous et votre famille et vous donne longue vie et bonheur, sans oublier la santé qui est proéminente !ah !!Albert, cher Albert, vous êtes le seul, sur ce site qui m'est importantJe ne sais pas pourquoi, vous êtes mon poulain, vous m'appartenez, en tant qu'écrivain de valeur et plus..............................................................................Même pas Marcel Proust, le Grand auteur, eut pu décrire en quelques mots cette disparition, presque soudaine d'un être si cher.Vous m'avez fait pleurer la première foisJ'ai re-pleure..Cela il n'y a pas beaucoup d'auteurs, en renom, qui peuvent s'en vanter, car vous le savez, tel que l'être humain est devenu, il n'a plus de larmes, plus de pitié et surtout est devenu extra-égoiste parlez lui d'amusant il va rire d'un rire sardonique et jaloux...parlez lui de choses tristes, il va fermer le livre en maudissant l'auteur...est -ce la vérité ?? Moi, Janet, j'ai lu une seule page a vous et j'ai su que j'avais trouve une pierre précieuse encore non travaille par des bijoutierset j'ai saute sur vous.Vous aimez trop être aime et cela fait du mal a vos écrits la critique doit vous être très importante, non pas tant parce que vous désireriez passionnément être publie, mais parce que vous voulez plaire a tout le monde, intellectuels ou ignorants c'est défendu on écrit, pour soi, d'abord. et si l'on est lu, alors c'est mieux ,parce que l'on partage mais jamais deux personnes n'auront la même opinion, et c'est a cause de cela que le lendemain du jeu d'une pièce très importante l'auteur ou les artistes se précipitent sur le journal.Albert, mon cher Albert, je ne savais pas moi-même que je prendrai tant d'intérêt en votre donMoi-même, j'ai écrit toute ma vie, sans essayer de me faire publierce seront ,juste des souvenirs pour mes gosses, si par hasard, il se trouverait qu'un certain jour ils trouvent une minute de libre et a consacrer a mes élucubrationsj'ai comme vous, 'oeil observateur et la langue pendue, mais jamais je n'ai possède votre art donne, non par l'instruction, qui justement détruit tout, mais par le naturelVous êtes quelqu'unvous n'êtes plus le petit pauvre de La Goulette Vous avez, tout seul monte tous les échelons que d'autres ont monte, avec peine et beaucoup d'argent, dans les plus grandes universités Ca ne vous a pas rendu plus riche, non Mais la richesse c'est vous Vous aimez tout le monde, ans faire de préférence...mais écoutez-moiPréférez votre famille très proche, aimez-les plus que les autres Faites leur des compliments, observez leurs vies, constatez s'ils sont heureux ou pas...surtout la princesse qui est restée votre femme et les merveilleuses jeunes filles qui vous sont nées bénissez tous les jours le fait qu'elles existent et qu'elles vous aiment, avec vos qualités et vos défauts Les autres ne sont que des pitres égoïstes et jaloux qui ne cherchent que leur propre intérêt et qui tourneront la tête avec indifférence le jour ou vous ne les faites plus rire...j'ai beaucoup écrit et je sais que malheureusement, vous avez la patience d'écrire mais non de lire attentivement Mais pour une fois, concentrez vous...lisez jusqu'a la fin, même si vous savez que je suis ennuyeuse en diable, réfléchissez.. obéissez J'espère que ce message vous restera écrit dans votre tête folle et que vous y avez compris l'essentielJanet....tant qu'elle existe


ALBERT REPOND….

Ma chére Janet, me comparer à Marcel Proust……? C'est bien plus qu'un honneur que vous me faites, c'est plus qu'un éloge que vous m'offrez en cette fin d'année. Je suis particulièrement sensible à votre opinion qui s'adresse à un monsieur sortit de l'ombre et qui a rencontré après quelques mois des gens qui se sont habitués à mes écrits et qui me laissent parler de tout et de rien sans contrevenir à la politesse et au respect que je leur dois. Et bien, je vous fais ici même une confidence. J'ai commencé et cela depuis pas mal de temps à les aimer comme ils sont et je pense que la réciproque est vrai même si quelques uns ou unes se sont détournés de mon amitié à tord ou à juste raison. Et par moment je me dis 'Albert…Allons vas-tu aimer la terre entière…?' Ce n'est pas ça la finalitè, c'est la fidélité de ma mémoire à leur nom et à leur voix qui comptent pour moi. Je connais les sentiments qui vous animent envers ma personne, parce que je suis sur que je corresponds quelque part à ce que vous aviez envie d 'être. Quelqu'un d'aimé, d'être aimé mais comme vous me le dites si bien l'amour est personnel et on ne peut pas le comprendre dés fois, il faut prendre les gens comme ils sont, comme la nature a voulu qu'ils soient et cela ne nous revient pas de les changer sinon nous contrevenons aux lois de celle çi.Je vous ai fais pleurer une seconde fois, c'est bien vous qui m'aviez demandé de rééditer ce passage non pas de la mort du loup mais d'une grand-mère que plus personne aujourd'hui ne pourra voir mourir chez lui. Les gens n'ont plus le temps de s'en occuper alors, elles meurent souvent seules dans des hospices faits pour elles. Comme moi je crèverai aussi entre des murs insipides couleur pale ! Mais quelle importance dites le moi, que l'on meurt assis , allongé ou debout, seul ou accompagné….! La mort n'a pas besoin de cet accompagnement et je vous dis, il faut 'déménager' avec son respect , partir la tête haute et point gémir à longueur de journée. Ce n'est pas du Chateaubriand ni du Bossuet c 'est de l'Albert tout court qui parle comme n'importe lequel d'entre nous qui à juste de quoi écrire et laisser ses sentiments couler comme de l'eau de source. Etre aimé par des personnes cela se peut t 'il ma chére Janet..? Oui ….! Cela se peut puisque vous m' aimez, moi l'étranger, depuis ma première feuille et que vous m'apprécier alors pourquoi pas deux, trois ou quatre, nonobstant ma famille ..! Etre un auteur ou un écrivain est à la portée de tous, ce n'est pas tant la façon d'écrire qui compte si on laisse sincèrement son cœur parler. On est plus enclin à écouter quelques farfelus comme moi qui ajuste des lignes 'philosophiques' plutôt que d'écouter des 'commerciaux de l'écriture 'vendre leur ridicule. Parfois. Ce n'est pas mon gagne pain mais si je devais un jour publier, c'est uniquement par plaisir de me lire plus tard ou de laisser à mes enfants quelque chose qu'ils ne connaissent pas. C'est comme, me regarder, 'narcissiquement', devant un miroir et en rire comme je le fais quand l'angoisse m'étreint.Dites à l'un de vos enfants de m'écrire et surtout continuez à me dire tout ce qui passe par votre tête, ne réfléchissez pas. Je devine vos pensées. Et même si vous ne me dites plus rien, je serai celui qui imaginera tout de vous. Je serai votre 'Ecrivain personnel' ici dans ce site et jamais votre nom, tant que je serai là, ne sera oubliè. Y aurait t' il quelqu'un qui n'aime pas se faire aimer???? Même hypocritement…! Mais qui a le monopole de la sincérité, de la justice, dites le moi Janet…? Il faut seulement savoir comment être. Be or not to be. Et je crois que dans tout cela il faut d'abord se faire respecter chacun à sa manière et puis donner le temps aux autres de vous connaître mieux afin qu'ils disent de nous 'Tiens ..! Albert ou tartempion vaut la peine d'être écouté…!' C'est le commencement de l'amour..du prochain. Même les clowns, ont un cœur, qui se font aimer. Sincèrement.Mais que vaut donc la philosophie si elle ne pense qu'à elle…! Ce n'est point dénigrer cette science qui est la base de toutes les lois que l'homme a crée par son expérience personnelle. Chacun y à ajouter sa pierre, depuis que l'homme est homme et la femme est femme, pour bâtir des consciences qui réfléchissent dans le bien à force d'être dites et redites.Telle la loi de la nature et si on essaye de détourner l'esprit philosophique par quelques manipulations douteuses alors on tombe dans l'irréel. Dans la faute et dans l'erreur et dans ce cas là plus de salut. Imaginez un pécher qui donnerai des tomates..!Imaginez un péché qui se transforme en bien…! Alors laissons plutôt nos bonnes âmes se nourrir du bien, des grâces, des mitsvoths si petites soient t 'elles. Une bonne pensée bien dite, bien réfléchie, suffit à remplir nos cœurs de joie.Je suis bien plus jeune que vous et je parle comme une vieille mémé. Oui et alors si je tiens un langage de vieux…!Ne le suis-je pas déjà…? Pauvre me dites- vous…..? Si vous parlez finance, je le fus autrefois, mais si vous parlez richesse d 'esprit cela ne me rendrait pas pour autant milliardaire. Quant à ma famille, j'agis comme un père qui aime sa portée. Je n'ai pas la prétention d'être au-dessus de tout soupçon, je suis un être avec mes qualités, mes faiblesses, mes vices et ma vertu, ce n'est pas D ieu qui m'a crée ainsi, car D ieu crée que de bonnes et belles choses, c'est la nature qui veut ça et si je devais recommencer à naitre, ce n'est pas ici sur cette terre mais ailleurs là où les hommes et les femmes ne pensent pas à la guerre. Sachez cependant ma Chère madame CASTRO, que la vie nous réserve parfois de drôles de surprises et vous, vous êtes une surprise pour moi, une belle surprise…! Continuez à me surprendre Madame FIVE, continuez HOUT……ALLIK Vous êtes doué pour m'emmerder….Et c'est votre façon d 'êtreMais qui le comprend…?????..... ............C'est avec la permission de madame CASTRO, que j'ai publié cette causerie.Dans un instant LA SUITE DU VOYAGE IMAGINAIRE DU COMTE ALBERT…….AUX PIRAMIDES DE GUIZ….ADA…
Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
26 décembre 2011, 12:15
AU THÉÂTRE GLATIGNY CE SOIR. EN UN ACTE.



De quoi s’agit-il dans cette pièce virtuelle. 5 frères décident de se réunir pour parler de la tombe de leur maman. Chacun d’eux propose son choix au vu du catalogue qu’ils ont sous les yeux.

Il faut savoir que j’ai lu une histoire vraie à faire vomir. Une vielle maman, richissime vient à expirer. Les enfants sont donc convoqués, un mois plus tard devant le notaire qui ouvre le testament.

La vieille maman bien pensante et charitable, surtout juste déclare donner à ces enfants tous ces biens à part égales. Un grand chiffre. Ils sont tous d’accord mais voilà que l’un des enfants demande à ces autres frères ‘…Et qui va payer la tombe…. ? Un simple caveau dont le cout est estimé à 3500 €. Tout le monde se regarde et voilà que l’un d’eux refuse de participer aux frais de la tombe. Il ne signera pas donc la somme qui lui est dû. Le second refuse aussi tant et si bien que le notaire complètement ahuri renvoie tout le monde à la réflexion. Six mois durant le notaire malgré ses relances n’obtiennent aucune réponse. Les frères ne sont pas tombés d’accord sur les frais de la sépulture.

Aberrant me diriez-vous… ?



LE CHOIX DU DERNIER TESTAMENT.



Un très beau salon. Dans ce salon de la maman décédée se trouvent Huguette, Jean, Amédée, William, Julien.

Dans le rôle de

Huguette…..ELSA…ALIAS BAHLE.

JEAN………… ALIAS BREITOU.

Amedé ……..Albert.

William……..Ridha.

Julien……….FAÎCAL.

Alfonsa…..La domestique portugaise.

Le gendarme Guillot….U.

Lieutenant Azouz… KA.



Le Rideau s’ouvre. On voir les 5 frères aimants assis dans des fauteuils. Ils se toisent lorsque

‘…Nous allons veiller encore une fois maman, les gars… ?’ Julien le tout dernier au chômage.

‘…Lorsque tout le monde se sera entendu pour une peccadille, nous ouvrirons les débats… ! ‘Huguette.

‘ …C’est toi qui à ouvert un chantier, je te signale Jean…. !‘…Tel que je vous connais, nous aurions prit notre part sans couvrir notre maman… ! ‘ Amedé.

‘…Pour une peccadille, tu dis Huguette…. ? Alors pourquoi ne pas la payer par tes deniers, toi qui n’es jamais venu voir Maman… A l’hosto….?’ William.

‘…C’est vrai que ta présence a usé les carreaux de sa chambre, je reste sur ma position… ! je ne paierai rien… !’ Huguette.

‘…Dans ce cas là et si cela dure dix ans, nous aurons à payer toutes les charges de son grand pavillon et cela va couter cher… ! Avez-vous pensé au moins à cela… ? Sinon son pavillon peut être mis aux enchères publiques et tout cet argent s’envolera comme fumée sous le vent de la détresse…. !’ Jean.

‘…Avez-vous pensé à moi, moi qui ne travaille pas… ? Julien.

‘…Et qui te dit de ne pas travailler toi le chouchou de sa mère… ? Celui qui passait tout son temps à manger, à être bichonner par madame ta maman… ? Bien sur, Maman voulait t’épargner cette corvée et te voilà maintenant comme une souris dans une souricière… !’William.

‘…Tu es ignoble, sans ma présence maman serait partie depuis longtemps…. ! ‘Julien.

‘ ..Si tu te prends pour celui qui a allongé sa vie laisse-moi te dire que tu te faisais grassement payer en petits cadeaux de toutes sortes, voitures, jolies filles et que sais-je… ? William.

‘ …Cette conversation ne fera pas avancer la tombe de maman… ! Jean.

‘…De toute les façons, on n’a jamais vu une tombe avancer… ! Huguette.

‘…Je propose que chacun de nous vote et ce qui en sortira de l’urne sera voté à la majorité….. ! Albert.

‘…De l’urne il en ressortira des cendres, oui parce que je vous vois venir avec ce vote négatif… ! Huguette.

‘…As-tu une autre idée ma chère sœur, toi par qui le scandale est arrivé devant un notaire en plus… ! Albert.

‘…Et si on votait à mains levées… ? Jean.

‘…Tu ne vois pas qu’ils sont tous manchots… ! Nous allons recevoir bcp d’argent et des biens immobiliers et voilà que nous nous comportons comme des vautours pour une peccadille… !’ William.

‘…Nous n’avons pas besoin de lui faire une tombe à 3500 €…En plus des frais des funérailles… !’ Huguette.

‘…Mais ces frais, ce n’est pas toi qui les a payés à ce que je sache… ? Dc le prix sera le prix que nous avons fixé… !’ Jean.

‘…Sauf que je n’ai pas la somme à payer, que le notaire nous donne cet argent… !’ Huguette.

‘…Sauf si nous assurons le dernier paragraphe qui stipule que sa tombe sera payée par nos deniers… !’ Julien.

‘…Tu n’en as pas… !’ William.

‘…Ben vous me prêterez la somme… !’ Julien.

‘…. Tu touches le RMI à ce que je sache tu peux sacrifier un mois de RMI.. ? Non… ?’ Huguette.

‘…Je pars je ne vois pas ce que je fous ici avec une bande de charognard…!’ Julien

‘…Si tu pars, pas de vote… !’ Huguette.

‘…Si tu restes, tu partageras avec nous… ! Albert.

‘…Bon alors ce vote, on le fait ou pas… ? Amedé



Huguette se lève et va à la cuisine. Elle revient avec une marmite et son couvercle.

‘…Voilà c’est l’urne…. ! Huguette.

‘….Drôle d’urne…. ! William.

‘…As-tu un meilleur ustensile… ? Jean.

‘…Euh oui sa boite à bijoux…?’ Julien

‘…Tiens tiens au fait où sont passés ses bijoux, personne n’en a parlé …??? Huguette.

‘ ….Je n’en sais rien… ! ‘Julien.

‘…Comment cela.. ? Tu étais logé ici dc tu dois savoir où se cache cette boite. … ! Ils me reviennent de plein droit, puisque je suis sa fille….? Huguette

‘…Elle n’en n’a jamais parlé de ses bijoux…. ? William.



Ils se lèvent tout et commencent à chercher la boite à bijoux.



‘…Nous sommes réunis pour parler frais de tombe et nous voilà chercher des bijoux… ! Jean.



Chacun se sépare et prend d’assaut les chambres d’en haut et celles du bas.

Le salon s’est vidé. Un silence pesant prend son quartier.

Deux heures se passent et nos 5 cons passent des cagibis aux armoires à glace sans oublier les dessous des lits et autre caches secrètes.

La domestique Alfonsa fait sa rentrée vers les 10 heures du matin et elle entend des bruits. Elle pense que la maison est envahit pas des voleurs.

Elle se fait toute petite et appelle la police

‘…Allo cé lé poste dé la gendarmiya… ?

‘…Oui madame, à votre écoute…. !’ L’agent de service.

‘ …Vénou vite, jé crois que des gangsters sont chez Madame Rouilly… !’

‘…On arrive, barricadez vous surtout… !

‘…Jé les gabarit qu’il fo mais ils sont beaucoup…. !’ Alfonsa.

Elle sort dans la rue pour attendre les gendarmes.

Au bout d’un quart d’heure sirènes hurlantes, dix gendarmes débouchent dans le jardin du pavillon. Ils encerclent la construction.

L’un d’entre eux pénètre la maison, puis deux, trois dix enfin ils sont tous dans la maison lorsqu’un hurlement vient à leurs oreilles fines.

‘..J ‘AI TROUVE LA BOITE A BIJOUX….LES GARS…. !’ Julien.

Il est debout sur la haute marche des escaliers lorsque tous les protagonistes voient cette armada envahir le salon.

‘…QUE PERSONNE NE BOUGE…A PLAT VENTRE…N ESSAYEZ AUCUNE TENTATIVE…SINON ON TIRE… !’

‘…Mais que se passe t’il … ?’ Ose dire Jean allongé au sol….Tenant la cassette entre ses mains.

‘…VOUS ETES EN ETAT D’ARRESTATION…. !’ Le LIEUTENANT AZOUZ…PASSEZ-LEUR LES MENOTTES…. gendarme Guillot…. !’

‘…Mais qu’avons-nous fait Lieu…. ? Albert.

‘…Taisez vous, vous vous êtes le chef de la bande… ?’ Azouz.

‘…Non, nous sommes venus récupérer les bijoux de la vieille et nous entendre sur les frais de la tombe… ? Huguette.

‘…Oui bien sur, quelle générosité… Cela se lit sur votre visage… ! Azouz…’…Allez tout le monde au poste vous y serez bien accueillit et surtout pas un mot, vous êtes en garde à vue il est 10 Heures 5 ? Azouz.

‘…Mais nous sommes les…. !’

‘…Pas un mot, sinon vous risquez gros, entrave à la force publique avec délit de fuite… ! Azouz.

‘…Mais lieutenant, je ne vois pas de délit de fuite… ? Guillot.

‘ …C’est pour les impressionner beta… ! En chuchotant à son oreille.

Ils sont tous embarqués tandis que la fameuse cassette à bijoux est entre les mains du Guillot.

Au poste de police.

‘…Bien, vos noms et prénoms… ?’

‘…Mais nous sommes les enfants de madame ROUILLY qui a trépassé, donc chez nous, chez notre maman… !’ Albert.

‘…Ah elle est bonne celle là, nous avons la domestique qui a tout vu… !’

‘…AlfonsaAAA… ? Mais elle nous connait enfin… ! Julien.

‘…Nous allons voir tout cela mais alors pourquoi être rentré pour voler la cassette… ? Guillot.

‘…Mais pas du tout, nous cherchions la boite à bijoux pour se partager le contenant… ! Albert.

‘…Ah bon…. ? Mais vous n’avez pas le droit, cela doit tomber dans l’héritage, elle devait être chez le notaire et là vous commettez un délit vis-à-vis de la loi… ! DISSIMULATION DE BIJOUX POUR ECHAPPER AU FISC…. ! Guillot.

‘…Zut tout cela pour des frais de tombe…. !’ Julien.

‘…Quels frais de tombe… ?’ Guillot.

‘…Voilà gendarme… !’ Huguette.

‘…Monsieur le gendarme Guillot…. ! S’il vous plait…’

‘…Monsieur le gendarme Guillot, nous nous sommes réunis pour parler affaires, le partage des frais de la tombe de maman parce que nous avons estimé que 3500 € c’était trop cher pour nous et que nous hésitions à payer cette somme chez le notaire qui nous a convoqué pour ouvrir le testament qui stipule que maman nous lègue toute sa fortune à partager à parts égales… ! Albert.

‘ …QUE DE Qui et QUE…. ! ET VOUS AVEZ REFUSE DE SIGNER A CAUSE DE 700 € chacun… ? Alors que vous héritiez des largesses de votre MAMAN ???? Guillot

Ils baissent tous la tête par la honte.

‘…Bien, j’ai donc affaire à des enfants pourris…. !’ Le gendarme

‘…UNE HONTE… !’ Poursuit Azzouz.

‘…Nous nous excusons Monsieur le gendarme, nous allons nous entendre et payer les frais après tout c’est notre maman et la laisser sans couvercle, elle risque de prendre froid… !’

‘…Bon, je vais être clément, m’autorisez-vous à ouvrir cette boite à bijoux afin de répertorier son contenu… ? Azzouz.

Tous en chœur.

‘…Oui faites donc Commissaire…!’

‘….Lieutenant… !’

Il secoue la cassette et aucun bruit ne s’entend.

‘…Bizarre, je n’entends rien… ! Bon passons à l’inventaire…. ! Azzouz.

La cassette est ouverte et là surprise, il y a une lettre.

Azzouz l’ouvre et lit à haute voix.

‘…Moi Hélène ROUILLY 95 ans saine d’esprit et de corps…

‘…Elle était grabataire…. !’ Huguette.

‘…Je vous ai pas demandé votre avis Madame… !’

‘…Je poursuis….Tiens tiens,….Souhaite léguer tous mes biens mobiliers et immobiliers , portefeuilles et autres assurances vie à la FONDATION DES PETITS PAUVRES DE PARIS… !

A cet instant, les membres de la famille vacillent. Ils demandent à s’asseoir.

‘…La maison dite du PETIT PUIS dans le VAR sera léguée à ma fidèle domestique Halfonsa… ! A charge pour elle de me construire une belle sépulture…. !’

Huguette est prise d’un vertige tandis que Albert manque d’étouffer, Julien se retient pour ne pas pleurer alors que William sent sa tension monter à 25/ 12. Jean parle tout seul…

‘…En foi de quoi cet acte rédigé par mes soins annule tout autre testament etc… !’ …Bien, cet acte sera remis à votre notaire qui saura quoi en faire… ! Cela vous apprendra à être cupides… !’

‘…Qu’allez vous faire de nous Lieutenant… ? ‘Jean.

‘…Rien vous êtes libres puisqu’il n’y avait pas vol de bijoux… ! Mais vous connaissant parfaitement et si ce n’est la providence divine, sans la découverte de ce nouvel acte, votre maman se serait retournée durant toute sa vie éternelle dans sa TOMBE… !’



Fin YE BAHLE.
Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
15 mars 2012, 07:38
ANNIVERSAIRE


A LA MEMOIRE DE MON AMIE JANET CASTRO z'al rappéllèe à D ieu il y a qqs années.

Que ton âme repose en paix chére amie.






hebergeur d'image
Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
09 avril 2012, 10:43







MON AMOUR.


Si je ne ressens pas mon écriture c’est qu’entre elle et moi n’existe aucune passion.

Sans passion, point d’écriture. Je ne ressentirais rien. Sans l’écriture la passion n’existerai pas.

Une main qui ne sait pas écrire est une main qui ressemble à une feuille morte.

Je suis amoureux de mes écrits. Qu’ils soient bons ou mauvais, je ne peux blâmer aucun de mes enfants. Ils sont mes enfants virtuels. Ils seront sans doute un jour les frères et sœurs de mes vrais enfants lorsque le hasard te les fera rencontrer.

Et si je pleure c’est que tu m’émeus. Mon écrit est triste. Et si je ris, c’est qu’ils sont drôles mais jamais ils ne me laissent insensibles.

Souvent, je rends visite à l’un d’eux des mois plus tard, vérifier si mon cœur bat encore pour lui et s’il frémit toujours et autant comme aux premiers des jours, le jour où ma main lui a donné naissance.
J’aime l’écrit et je le crie. J’aime habiller mes mots de quelques tenues qu’elles soient. Gandoura, jean, sarwel, à la mode arabe ou occidentale. Des tenues pas très chics c’est vrai mais dénichés aux puces.

Et alors si Madame L’Ecriture sait les porter avec gout…. !
Personne ne le sait mais moi je vous le confie ce soir. Mes mots sont comme moi, modestes. Mais jamais en haillons.
J’aime l’écrit et je le crie.

Je m’entends bien dans cela, l’écriture est ma seconde mère. Avec elle, je me sens bien en son sein. Je me nourris d’elle comme un bébé aspirant son petit lait sortie du bouton rose de sa maman.
Je me rassasie de ce nectar car sans lui, je ne grandis pas.

Qu’elle soit belle ou laide, mon écriture ne me laisse jamais indifférent. Elle me donne de la joie. Elle m’évade. Elle m’envole. Je l’embrasse. Elle m’emmène dans les plus profonds abysses qui n’existent nulle part qu’ailleurs mais qu’en elle.

Elle me surprend et jamais ne me déçoit.

J’en suis amoureux. Elle est ma mère, ma seconde femme ma maitresse et lorsque je rentre en elle, j’éprouve un certain plaisir et je lui dis ‘… Merci chérie… ! Merci de m’aider… ! Tu es mon secours certes bien après mes vrais amours… !’

Mon écriture chérie et combien même on ricane de toi en sourdine je t’honore. Je te respecte. Beaucoup de respect bien plus que d’autres parce que tu loges dans mon cœur et tu fais battre mon cœur. Mon cœur si fragile aujourd’hui.

La passion à mon âge risque de faire péter un vaisseau. Mais je ne crains rien parce que tu me fais voyager en première classe sans risques. Je ne supporterai pas quand même de trop longues vacances. Alors soit tjs présente. Soit avec moi.

Ma chérie, je sais qu’un jour je te quitterais. On se quittera et la mort nous arrachera comme elle arrache les amants épris l’un pour l’autre.

Je ne crains pas de te perdre.

Tu me resteras fidèle et je le serai plus encore depuis ce jour où ta main a guidé la mienne pour ne jamais cesse de la lâcher.
Tu me suivras surement car personne d’autre que moi n’emporteras un stylo et une feuille blanche dans sa bière. Nous boirons à notre liberté comme deux ivrognes invétérés la main dans la main.

En attendant ma chère Ecriture, je tresse pour toi les meilleurs bouquets que je pose à tes pieds, chaque jour que D ieu fait. Ca me coute cher mais que vaut la dépense pour ce que tu m’offres.

Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
15 mars 2014, 12:03
HOMMAGE A FEU JANET CASTRO....FIVEFICH....


Il est rare que j’oublie certains amies ou amis disparus…Surtout ceux et celles qui ont été mes artistes sur LE PETIT THEATRE DE BREITOU.
Autrefois, une dame, une dame au caractère trempé rentre dans le TEMPLE DU RIRE.

Une dame qui habitait NEW YORK…Dans un gratte ciel. Elle était emballée par ce qu’elle lisait. Elle en éprouvait bcp de plaisir, le PTB devient donc pour elle une de ses passions.

Elle me demande par mail privé de lui donner ma messagerie et en retour, je tombe sur JANET FIVE FISH….Je rigole et je lui demande si ce nom là n’est pas de chez nous… ! ‘..Pensez donc Albert… ! Bien sur que oui et rien que mon pseudo aurait pu mettre la puce à votre oreille… !’
Depuis cet échange, nos communications téléphoniques devenaient régulières à tel point que je lui faisais écouter de la musique orientale de notre pays. J’accrochais le combiné au manche à balai pour le porter au dessus de ma tête, là où les baffs résonnaient. Elle jubilait der plaisir.

Puis un jour, elle me dit TOUSSER…Je ne savais pas ce que cachais ce verbe…Elle me dit qu’elle était seulement malade….

Ma chère Janet Castro z’al, D ieu vous a rappelle auprès de lui en ce 15 MARS 2002…Et depuis, je ne rate pas cette date pour rappeler votre souvenir sur ADRA ET LE PTB. Je le fais encore aujourd’hui comme promis.
Reposez donc en PAIX chère amie.

Morceaux d'un e mail d'une amie à un ami…

'…….Bien cher Albert,

Je regrette de n'avoir pas pu critiquer votre pièce de théâtre plutôt.
J'avais une excuse navrante... je suis malade... oui, malheureusement. , Je ne suis pas au lit, mais je suis dans un état terrible de dépression.
Je crois que vous savez ce que l'on sent lorsque la vie ne vous parait plus utile et que vous ne mangez plus il n'y a plus de couleurs aux arbres ou aux fleurs la mort serait une délivrance, je ne veux pas vous faire de la peine et je dois vous dire qu'avec le médecin, j'essaie de réagir. C'est difficile, surtout que mes enfants sont plus tristes que moi à cause de mon état. J'ai perdu beaucoup de poids.

Rien plus ne m'intéresse que dormir et pleurer. Dans un moment de lucidité, je me suis forcée d'aller sur le site et de vous lire. Et j'ai pu sourire, au moins.

Vous êtes un artiste et je vous souhaite tout le bonheur possible et surtout la santé, vous devez deviner le choc qui a aide à me mettre dans cet état, vous allez certainement me dire que rien ne vaut la peine de se faire souffrir à ce point…'

Plus loin…

'……..Cher Albert, je vous confie tout cela, parce que vous êtes le seul ami qui me reste, je m'en tirerai avec un peu plus de volonté et de l'aide morale en tout et pour tout, cela arrive même aux plus intelligents de ce monde…! Ne m'oubliez pas…!'

En réalité, Janet avait deux amis ici qu'elle respectait. Henri et moi. Sans doute lui plus que moi.

Par respect de confidentialité, je ne mettrais que quelques paragraphes de mon amie Janet datée du 20/9/2002…Les seuls que j'ai gardé…Dans mes documents.

Re: SALLE JANET 2....'...MA VOISINE AMOUR....PIECE MONTEE...!!LETTRE A ALBERT...!'
15 mars 2015, 04:11
15 MARS 2015....UNE PENSEE A NOTRE AMIE JANET CASTRO...Z'AL.

Pièces jointes:
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