|
|
SPORT en Israel
Envoyé par lapid
|
Re: 18e Maccabiades 19 mars 2010, 16:22 |
ISRAEL FOOT : UN ACCORD EN VUE ENTRE L'ANCIEN ENTRAINEUR DU PSG ET LA FEDERATION ISRAELIENNE DE FOOT. - Par M.F.- Pour IsraelValley - 19 mars 2010
Luis Fernandez, ancien joueur et ancien entraîneur du PSG, vient de commenter les rumeurs faisant état de son éventuelle nomination à la tête de l’équipe de foot d’Israël. Luis Fernandez, interrogé au micro de RMC où il participe à une émission, a confirmé ces informations : « Je vais certainement me rendre en Israël ce week-end pour discuter avec les dirigeants de la fédération israélienne de foot, pour voir si on peut trouver un accord, explique Luis Fernandez.
Pour l’instant, c’est bien avancé. J’ai envie de retrouver le terrain. J’avais dit il y a deux ou trois mois que quelque chose pourrait se passer. Mais je dois tenir compte de mes obligations professionnelles pour arriver à concilier pendant deux ans un travail de sélectionneur d’Israël et mes activités à RMC. C’est un beau challenge à relever. Si ça se fait, j’aimerais que Tal Banin, mon ancien joueur à Cannes, soit mon adjoint. »
Luis Fernandez a donc confirmé ses contacts avec la Fédération israélienne et l’ancien entraîneur du Paris Saint-Germain pourrait prendre en main la sélection de Yossi Benayoun très bientôt.
Luis Fernandez, ancien joueur et ancien entraîneur du PSG, vient de commenter les rumeurs faisant état de son éventuelle nomination à la tête de l’équipe de foot d’Israël. Luis Fernandez, interrogé au micro de RMC où il participe à une émission, a confirmé ces informations : « Je vais certainement me rendre en Israël ce week-end pour discuter avec les dirigeants de la fédération israélienne de foot, pour voir si on peut trouver un accord, explique Luis Fernandez.
Pour l’instant, c’est bien avancé. J’ai envie de retrouver le terrain. J’avais dit il y a deux ou trois mois que quelque chose pourrait se passer. Mais je dois tenir compte de mes obligations professionnelles pour arriver à concilier pendant deux ans un travail de sélectionneur d’Israël et mes activités à RMC. C’est un beau challenge à relever. Si ça se fait, j’aimerais que Tal Banin, mon ancien joueur à Cannes, soit mon adjoint. »
Luis Fernandez a donc confirmé ses contacts avec la Fédération israélienne et l’ancien entraîneur du Paris Saint-Germain pourrait prendre en main la sélection de Yossi Benayoun très bientôt.
|
Re: 18e Maccabiades 21 mars 2010, 17:47 |
Luis Fernandez reprend la sélection israélienne - Par Michaël Bloch - Pour Guysen International News - 21 mars 2010
C'est officiel. La rumeur courait depuis plusieurs semaines, l'ancien entraineur du PSG, de l'Atletic Bilbao ou de l'AS Cannes reprend du service. C'est en Israël que Luis Fernandez posera ses valises. Nouveau pays, nouveau travail, "Luis" découvrira avec l'équipe israélienne le métier de sélectionneur qu'il n'avait jamais encore expérimenté.
"Nous sommes contents d'avoir Luis Fernandez comme entraîneur. C'est le meilleur choix. Il connaît bien la mentalité du football israélien", a déclaré le président de la Fédération de football israélienne Avi Luzon lors d'une conférence de presse conjointe avec le technicien français à Ramat Gan, dans la banlieue de Tel-Aviv. "Ce sera un grand challenge, a confirmé Fernandez. "Nous avons beaucoup de talents ici et je ferai mon maximum."
Luis Fernandez aura pour objectif de qualifier l'équipe israélienne pour l'Euro 2012. La sélection israélienne ne s'est plus qualifiée pour un grand tournoi international depuis la coupe du monde 1970.
Israël à la 26ème place du classement FIFA
La tache sera ardue mais pas impossible pour les hommes de Luis Fernandez. Israël est engagé dans le groupe F avec la Croatie, la Grèce, la Lettonie, la Géorgie et Malte. Les joueurs israéliens ont pris en maturité ces dernières années. De plus en plus de footballeurs israéliens jouent dans les grands clubs européens comme Y.Benayoun à Liverpool, Aouate à Majorque, Ben Haim à Sunderland, Tamir Cohen à Bolton, ou Gai Assouline à Barcelone.
Au classement Fifa, Israël se trouve à la 26ème place, entre la République Tchèque de Petr Cech et Rosicky et la Slovénie. Un classement somme toute honorable. Israël a néanmoins échoué à se qualifier pour la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud après un début prometteur. Une défaite contre la Lettonie 2 buts à 1 dans le sprint final scella les espoirs israéliens.
La présence d'un technicien comme Luis Fernandez, qui a remporté la coupe d'Europe en 1996 avec le PSG, pourra aider les joueurs israéliens à mieux appréhender ce genre de matchs couperet. Pour l'ancien entraineur du Beitar Jérusalem, Israël c'est aussi le choix du cœur, sa femme étant d'origine juive.
[ une Tune !! }
Luis Fernandez, sa femme et ses deux fils - 25 juillet 2009
Israël confirme Luis Fernandez
Fernandez, 50 ans, avait été nommé manageur du Betar Jérusalem en novembre 2005. Il avait quitté le club au printemps suivant. L'ancien entraîneur du PSG -avec lequel il a remporté une coupe d'Europe (l'ex Coupe des Coupes, en 1996)- a également officié en Espagne, à l'Athletic Bilbao et à l'Espanyol Barcelone. En janvier, il avait posé sa candidature pour le poste de sélectionneur de l'équipe de France, à pourvoir à l'issue du Mondial en Afrique du Sud en juin-juillet. En tant que joueur, cet ancien milieu de terrain compte 60 sélections avec les Bleus (1982-92). Membre de la "génération Platini", il a notamment terminé 3e du Mondial-1986 au Mexique. En club, il a passé une grande partie de sa carrière au PSG.
Un caractère bien trempé et des idées bien tranchées, c'est ce qui fait le charme de Luis Fernandez !!!
C'est officiel. La rumeur courait depuis plusieurs semaines, l'ancien entraineur du PSG, de l'Atletic Bilbao ou de l'AS Cannes reprend du service. C'est en Israël que Luis Fernandez posera ses valises. Nouveau pays, nouveau travail, "Luis" découvrira avec l'équipe israélienne le métier de sélectionneur qu'il n'avait jamais encore expérimenté.
"Nous sommes contents d'avoir Luis Fernandez comme entraîneur. C'est le meilleur choix. Il connaît bien la mentalité du football israélien", a déclaré le président de la Fédération de football israélienne Avi Luzon lors d'une conférence de presse conjointe avec le technicien français à Ramat Gan, dans la banlieue de Tel-Aviv. "Ce sera un grand challenge, a confirmé Fernandez. "Nous avons beaucoup de talents ici et je ferai mon maximum."
Luis Fernandez aura pour objectif de qualifier l'équipe israélienne pour l'Euro 2012. La sélection israélienne ne s'est plus qualifiée pour un grand tournoi international depuis la coupe du monde 1970.
Israël à la 26ème place du classement FIFA
La tache sera ardue mais pas impossible pour les hommes de Luis Fernandez. Israël est engagé dans le groupe F avec la Croatie, la Grèce, la Lettonie, la Géorgie et Malte. Les joueurs israéliens ont pris en maturité ces dernières années. De plus en plus de footballeurs israéliens jouent dans les grands clubs européens comme Y.Benayoun à Liverpool, Aouate à Majorque, Ben Haim à Sunderland, Tamir Cohen à Bolton, ou Gai Assouline à Barcelone.
Au classement Fifa, Israël se trouve à la 26ème place, entre la République Tchèque de Petr Cech et Rosicky et la Slovénie. Un classement somme toute honorable. Israël a néanmoins échoué à se qualifier pour la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud après un début prometteur. Une défaite contre la Lettonie 2 buts à 1 dans le sprint final scella les espoirs israéliens.
La présence d'un technicien comme Luis Fernandez, qui a remporté la coupe d'Europe en 1996 avec le PSG, pourra aider les joueurs israéliens à mieux appréhender ce genre de matchs couperet. Pour l'ancien entraineur du Beitar Jérusalem, Israël c'est aussi le choix du cœur, sa femme étant d'origine juive.
[ une Tune !! }
Luis Fernandez, sa femme et ses deux fils - 25 juillet 2009
Israël confirme Luis Fernandez
Fernandez, 50 ans, avait été nommé manageur du Betar Jérusalem en novembre 2005. Il avait quitté le club au printemps suivant. L'ancien entraîneur du PSG -avec lequel il a remporté une coupe d'Europe (l'ex Coupe des Coupes, en 1996)- a également officié en Espagne, à l'Athletic Bilbao et à l'Espanyol Barcelone. En janvier, il avait posé sa candidature pour le poste de sélectionneur de l'équipe de France, à pourvoir à l'issue du Mondial en Afrique du Sud en juin-juillet. En tant que joueur, cet ancien milieu de terrain compte 60 sélections avec les Bleus (1982-92). Membre de la "génération Platini", il a notamment terminé 3e du Mondial-1986 au Mexique. En club, il a passé une grande partie de sa carrière au PSG.
Un caractère bien trempé et des idées bien tranchées, c'est ce qui fait le charme de Luis Fernandez !!!
|
Luis Fernandez entraîneur de l’équipe nationale Israélienne 22 mars 2010, 09:47 |
Luis Fernandez nommé officiellement entraîneur de l’équipe nationale Israélienne - Par Mati Ben-Avraham - Pour Actu.co.il - 22 Mars 2010
La nomination a été entérinée, hier, par les instances du football israélien. En fait, tout était joué depuis jeudi dernier. Ne restait qu’à finaliser quelques détails. Luis Fernandez, 59 ans, entrera en fonctions au 1er mai. Son contrat, qui porte sur 480000 euros, s’achèvera au 31 décembre 2011. Il paraît évident, toutefois, que si luis Fernandez réussit à qualifier Israël pour la poule finale de l’Euro 2012, la prolongation de son contrat ne posera guère de problème.
Luis Fernandez, qui maîtrise parfaitement le français et l’espagnol, ne parle pas l’anglais. Un handicap qui a été surmonté en lui adjoignant Tal Banin, ancienne vedette nationale, qui a opéré un temps à Cannes, sous la férule, justement, de Luis Fernandez. Cela dit, Israël et ses facettes ne sont pas des inconnues pour le nouvel sélectionneur national. Pour deux raisons. Et d’une, son épouse Audrey est d’origine juive. Elle a de la famille par ici. Le couple Fernandez et leurs deux enfants sont venus maintes fois dans le pays, en visite familiale.
Et de deux, Luis Fernandez a entraîné le Beitar Jérusalem. Au cours de la saison 2005/2006, il a été appelé à la rescousse par le patron du club, Arcady Gaydamak. Il a réussi à mettre de l’ordre dans la maison, à bousculer des habitudes solidement ancrées, introduisant de nouvelles méthodes d’entraînement, motivant ses joueurs et dynamisant le jeu, à la grande satisfaction ses supporters. Le Beitar a terminé à la 3ème place, se qualifiant pour l’une des compétitions européennes. Chapeau l’artiste!
Alors, pourquoi n’a-t-il pas continué? Parce que le public hiérosolomytain est des plus versatiles qui soient. Du moins son noyau dur. Qui ne laisse rien passer. Prompt à l’insulte. Luis Fernandez n’a pas digéré d’avoir été traité de » fils de p… ». D’avoir été la cible de quolibets des plus infâmants. Incompréhensible. Il le dira : » Mais c’est quoi ça? Que me veulent-ils? J’ai redressé la barre alors que le club se faisant battre par le premier venu! Je m’en vais. »
Et il est parti. Sans être aigri pour autant. » Je reviendrai, a-t-il assuré, si l’on me propose de prendre en charge l’équipe nationale. » C’est donc chose faite. Et si nul ne peut présager de ce que sera l’ère Fernandez quant aux résultats, une chose est certaine : ce ne sera pas triste.
Luis Fernandez, en effet, est un spectacle en soi. L’homme vit son football. Sur la ligne de touche, sucette à la bouche, il bouge, gesticule, hurle, encourage, trépigne, donne l’impression, à tout instant, de vouloir rejoindre ses poulains pour leur prêter main forte.
Et quand le public l’indispose, il n’hésite pas à le lui faire savoir, par la voix et par le geste. Comme ce fut le cas, un shabbat au Stade Teddy, à Jérusalem. Mémorable! Et devant les micros, il n’a pas l’habitude de pratiquer la langue de bois. Quand il a quelque chose sur l’estomac, il le dit, haut et fort. Et peu importe la qualité de la cible. Et tant pis pour les secousses. Non, ce ne sera pas triste!
La nomination a été entérinée, hier, par les instances du football israélien. En fait, tout était joué depuis jeudi dernier. Ne restait qu’à finaliser quelques détails. Luis Fernandez, 59 ans, entrera en fonctions au 1er mai. Son contrat, qui porte sur 480000 euros, s’achèvera au 31 décembre 2011. Il paraît évident, toutefois, que si luis Fernandez réussit à qualifier Israël pour la poule finale de l’Euro 2012, la prolongation de son contrat ne posera guère de problème.
Luis Fernandez, qui maîtrise parfaitement le français et l’espagnol, ne parle pas l’anglais. Un handicap qui a été surmonté en lui adjoignant Tal Banin, ancienne vedette nationale, qui a opéré un temps à Cannes, sous la férule, justement, de Luis Fernandez. Cela dit, Israël et ses facettes ne sont pas des inconnues pour le nouvel sélectionneur national. Pour deux raisons. Et d’une, son épouse Audrey est d’origine juive. Elle a de la famille par ici. Le couple Fernandez et leurs deux enfants sont venus maintes fois dans le pays, en visite familiale.
Et de deux, Luis Fernandez a entraîné le Beitar Jérusalem. Au cours de la saison 2005/2006, il a été appelé à la rescousse par le patron du club, Arcady Gaydamak. Il a réussi à mettre de l’ordre dans la maison, à bousculer des habitudes solidement ancrées, introduisant de nouvelles méthodes d’entraînement, motivant ses joueurs et dynamisant le jeu, à la grande satisfaction ses supporters. Le Beitar a terminé à la 3ème place, se qualifiant pour l’une des compétitions européennes. Chapeau l’artiste!
Alors, pourquoi n’a-t-il pas continué? Parce que le public hiérosolomytain est des plus versatiles qui soient. Du moins son noyau dur. Qui ne laisse rien passer. Prompt à l’insulte. Luis Fernandez n’a pas digéré d’avoir été traité de » fils de p… ». D’avoir été la cible de quolibets des plus infâmants. Incompréhensible. Il le dira : » Mais c’est quoi ça? Que me veulent-ils? J’ai redressé la barre alors que le club se faisant battre par le premier venu! Je m’en vais. »
Et il est parti. Sans être aigri pour autant. » Je reviendrai, a-t-il assuré, si l’on me propose de prendre en charge l’équipe nationale. » C’est donc chose faite. Et si nul ne peut présager de ce que sera l’ère Fernandez quant aux résultats, une chose est certaine : ce ne sera pas triste.
Luis Fernandez, en effet, est un spectacle en soi. L’homme vit son football. Sur la ligne de touche, sucette à la bouche, il bouge, gesticule, hurle, encourage, trépigne, donne l’impression, à tout instant, de vouloir rejoindre ses poulains pour leur prêter main forte.
Et quand le public l’indispose, il n’hésite pas à le lui faire savoir, par la voix et par le geste. Comme ce fut le cas, un shabbat au Stade Teddy, à Jérusalem. Mémorable! Et devant les micros, il n’a pas l’habitude de pratiquer la langue de bois. Quand il a quelque chose sur l’estomac, il le dit, haut et fort. Et peu importe la qualité de la cible. Et tant pis pour les secousses. Non, ce ne sera pas triste!
|
Re: 18e Maccabiades 26 mars 2010, 10:33 |
lapid a écrit:
-------------------------------------------------------
> Luis Fernandez reprend la sélection israélienne -
> Par Michaël Bloch - Pour Guysen International News
> - 21 mars 2010
>
>
> .....l'ancien entraineur du Beitar Jérusalem, Israël
> c'est aussi le choix du cœur, sa femme étant
> d'origine juive.
>[ une Tune !! } [les parents de sa femme sont plutot d'origine marocaine { famille Attia !! }....Dont acte !! ]
Luis Fernandez, sa femme et ses deux fils - 25 juillet 2009
-------------------------------------------------------
> Luis Fernandez reprend la sélection israélienne -
> Par Michaël Bloch - Pour Guysen International News
> - 21 mars 2010
>
>
> .....l'ancien entraineur du Beitar Jérusalem, Israël
> c'est aussi le choix du cœur, sa femme étant
> d'origine juive.
>
Luis Fernandez, sa femme et ses deux fils - 25 juillet 2009
|
Re: 18e Maccabiades 17 août 2010, 00:00 |
Du bronze pour Israël - Par ALLON SINAI - Pour Jerusalem Post edition en francais - 16 aout 2010
Gal Nevo a offert à Israël sa deuxième médaille en 4 jours, lors des championnats d'Europe de natation à Budapest.
Après 10 ans sans aucune victoire dans cette compétition, le jeune sportif de 23 ans est arrivé troisième au 400 mètres, en 4 minutes, 15 secondes et 10 centièmes. Bel exploit qui marque le dernier jour de la rencontre sportive. "Je m'attendais à gagner cette médaille", a assuré le nageur. "Mon prochain objectif est le Championnat du monde de l'année prochaine. J'espère atteindre la finale."
Nevo semblait pourtant mal engagé, samedi dernier. Mais dans un superbe effort, l'athlète à rattrapé son retard dans la dernière section, pour finalement arriver en troisième position. Arrivé derrière les Hongrois, Laszlo Cseh (4:10:95) et David Verraszto (4:12:96), il a évincé de justesse l'Italien Luca Marin. L'an dernier les deux nageurs hongrois avait déjà remporté la course européenne. "Je veux seulement me rapprocher de leur score. C'est mon but pour l'année prochaine. Mais ça s'annonce difficile", a-t-il confié.
Jeudi, Guy Barnea montait déjà sur le podium. A 22 ans, le nageur a réussi un temps de 25,04 secondes, au 50 mètres dos des championnats. Sa prestation lui a permis de rafler la médaille de bronze. Il est devenu ainsi le 4e Israélien à remporter une médaille aux Européennes, suivant les traces d'Eitan Urbach (1997 et 1999), Miki Halika (1999) et Yoav Gat (2000).
Gal Nevo a offert à Israël sa deuxième médaille en 4 jours, lors des championnats d'Europe de natation à Budapest.
Après 10 ans sans aucune victoire dans cette compétition, le jeune sportif de 23 ans est arrivé troisième au 400 mètres, en 4 minutes, 15 secondes et 10 centièmes. Bel exploit qui marque le dernier jour de la rencontre sportive. "Je m'attendais à gagner cette médaille", a assuré le nageur. "Mon prochain objectif est le Championnat du monde de l'année prochaine. J'espère atteindre la finale."
Nevo semblait pourtant mal engagé, samedi dernier. Mais dans un superbe effort, l'athlète à rattrapé son retard dans la dernière section, pour finalement arriver en troisième position. Arrivé derrière les Hongrois, Laszlo Cseh (4:10:95) et David Verraszto (4:12:96), il a évincé de justesse l'Italien Luca Marin. L'an dernier les deux nageurs hongrois avait déjà remporté la course européenne. "Je veux seulement me rapprocher de leur score. C'est mon but pour l'année prochaine. Mais ça s'annonce difficile", a-t-il confié.
Jeudi, Guy Barnea montait déjà sur le podium. A 22 ans, le nageur a réussi un temps de 25,04 secondes, au 50 mètres dos des championnats. Sa prestation lui a permis de rafler la médaille de bronze. Il est devenu ainsi le 4e Israélien à remporter une médaille aux Européennes, suivant les traces d'Eitan Urbach (1997 et 1999), Miki Halika (1999) et Yoav Gat (2000).
|
Re: 18e Maccabiades 17 août 2010, 01:19 |
Taekwondo - L’Iranien ne s’est pas présenté - par Meir Ben-Hayoun - 15 aout 2010
L’Israélien Gili Haïmovitz a remporté une médaille d’or en Taekwondo aux olympiades de la jeunesse à Singapour. Cette victoire a été obtenue par forfait. L’adversaire iranien Mouhamad Solimani ne s’est pas présenté en finale face à l’Israélien, le prestige national perse lui interdisant de perdre la face contre un Juif.
Gili Haïmovitz se joint ainsi à son ainée, Bat-El Lederer, une jeune femme résidente de l’implantation de Kochav Yaacov et fille d’une famille francophone d’Israël, qui a honoré le Taekwondo israélien lors de compétitions internationales.
Dans la délégation française de Taekwondo, observatrice de ce mini drame, on a ironiquement fait remarquer, dans ces termes: « face à l’Israélien, l’Iranien s’est dégonflé ».
L’Israélien Gili Haïmovitz a remporté une médaille d’or en Taekwondo aux olympiades de la jeunesse à Singapour. Cette victoire a été obtenue par forfait. L’adversaire iranien Mouhamad Solimani ne s’est pas présenté en finale face à l’Israélien, le prestige national perse lui interdisant de perdre la face contre un Juif.
Gili Haïmovitz se joint ainsi à son ainée, Bat-El Lederer, une jeune femme résidente de l’implantation de Kochav Yaacov et fille d’une famille francophone d’Israël, qui a honoré le Taekwondo israélien lors de compétitions internationales.
Dans la délégation française de Taekwondo, observatrice de ce mini drame, on a ironiquement fait remarquer, dans ces termes: « face à l’Israélien, l’Iranien s’est dégonflé ».
|
Re: 18e Maccabiades 01 septembre 2010, 07:05 |
Football : Fernandez imprime sa marque - Par Hélène Pages - Pour Israel7.com - 31 aout 2010
Luis Fernandez est un entraîneur atypique. A peine nommé à la tête de la sélection nationale, il a déjà réussi à surprendre son assistance lors de l’annonce le 27 août de la liste des joueurs israéliens pour les qualifications de l’Euro 2012 contre Malte et la Géorgie. Contrairement à ses prédécesseurs au poste d’entraîneur de l’équipe nationale, Fernandez a décidé d’aligner seulement deux défenseurs centraux, Tal Ben Haim et Dekel Keinan, et trois arrières- Dedi Ben Dayan, Yoav Ziv et Dani Bonder.
Traditionnellement, l’équipe mettait toujours « le paquet » en défense, avec au moins quatre défenseurs et cinq arrières pour affronter les championnats internationaux. Luis Fernandez a décidé de mettre fin à ce schéma de jeu habituel, qui, si l’on s’en tient aux résultats, n’a pas vraiment porté ses fruits. Jérusalem n’a participé à aucune Coupe du monde ou championnats d’Europe depuis 1970, à cause des faiblesses de sa défense. Malgré ce constat, l’ancien entraîneur du Betar Jérusalem a martelé en conférence de presse ne pas vouloir aligner huit joueurs en défense. Il a, par ailleurs, assuré avoir choisi les meilleurs candidats en crampons pour les deux matchs cruciaux contre Malte et la Géorgie.
Luis Fernandez est un entraîneur atypique. A peine nommé à la tête de la sélection nationale, il a déjà réussi à surprendre son assistance lors de l’annonce le 27 août de la liste des joueurs israéliens pour les qualifications de l’Euro 2012 contre Malte et la Géorgie. Contrairement à ses prédécesseurs au poste d’entraîneur de l’équipe nationale, Fernandez a décidé d’aligner seulement deux défenseurs centraux, Tal Ben Haim et Dekel Keinan, et trois arrières- Dedi Ben Dayan, Yoav Ziv et Dani Bonder.
Traditionnellement, l’équipe mettait toujours « le paquet » en défense, avec au moins quatre défenseurs et cinq arrières pour affronter les championnats internationaux. Luis Fernandez a décidé de mettre fin à ce schéma de jeu habituel, qui, si l’on s’en tient aux résultats, n’a pas vraiment porté ses fruits. Jérusalem n’a participé à aucune Coupe du monde ou championnats d’Europe depuis 1970, à cause des faiblesses de sa défense. Malgré ce constat, l’ancien entraîneur du Betar Jérusalem a martelé en conférence de presse ne pas vouloir aligner huit joueurs en défense. Il a, par ailleurs, assuré avoir choisi les meilleurs candidats en crampons pour les deux matchs cruciaux contre Malte et la Géorgie.
|
Re: 18e Maccabiades 04 septembre 2010, 02:03 |
Luis Fernandez remplit son contrat - 3 octobre 2010
Un triplé du joueur vedette de l’équipe bleu et blanc, Yossi Benayoun, permet à la sélection nationale de gagner son match contre Malte, dans la course aux qualifications à l’Euro 2012. Pour son premier match officiel en tant qu’entraîneur, les choix audacieux du nouvel entraîneur Luis Fernandez ont payé dans l’enceinte du stade de Ramat Gan. Benayoun n’a pas laissé d’espace aux Maltais en marquant dès la 7e minute, puis deux fois en seconde mi-temps à la 64e et 75e minute.
Cette première victoire permet à Israël de prendre la tête du groupe F mais la route est encore longue. La semaine prochaine, l’équipe affrontera la Géorgie à Tbilisi. Pour se qualifier à l’Euro 2012, Israël doit prendre l’une des deux premières places de son groupe qui inclut d’autres adversaires sérieux, comme la Croatie, la Grèce et la Lettonie.
Un triplé du joueur vedette de l’équipe bleu et blanc, Yossi Benayoun, permet à la sélection nationale de gagner son match contre Malte, dans la course aux qualifications à l’Euro 2012. Pour son premier match officiel en tant qu’entraîneur, les choix audacieux du nouvel entraîneur Luis Fernandez ont payé dans l’enceinte du stade de Ramat Gan. Benayoun n’a pas laissé d’espace aux Maltais en marquant dès la 7e minute, puis deux fois en seconde mi-temps à la 64e et 75e minute.
Cette première victoire permet à Israël de prendre la tête du groupe F mais la route est encore longue. La semaine prochaine, l’équipe affrontera la Géorgie à Tbilisi. Pour se qualifier à l’Euro 2012, Israël doit prendre l’une des deux premières places de son groupe qui inclut d’autres adversaires sérieux, comme la Croatie, la Grèce et la Lettonie.
|
J.O. Munich - Prise d'otages des athlètes israéliens 05 septembre 2010, 10:13 |
Il y a 38 ans se déroulait la prise d'otages des athlètes israéliens aux J.O. de Munich
Il y a 38 ans, le 5 septembre 1972 un commando terroriste palestinien appelé "Septembre noir" prenait en otage des membres de l'équipe israélienne présente aux Jeux Olympiques de Munich. Il réclamait la libération de terroristes palestiniens des prisons israéliennes. Golda Meir, à l'époque Premier ministre, refusa de céder au chantage. Elle justifia plus tard sa décision en expliquant que si elle avait accepté cette pression, plus aucun Israélien dans le monde n'aurait été en sécurité. La prise d'otage s'est terminée le lendemain et s'est soldée par la mort de onze Israéliens et d'un policier allemand. L'incompétence des services de sécurités allemands, qui n'avaient aucune formation pour ce genre de situation, avaient été alors mondialement décriée. Après une brève interruption, les J.O. ont repris leur cours sans la présence des autres athlètes Israéliens.
Voici les noms des 11 sportifs israéliens assassinés lors de cette prise d'otages :
Mark Slavin (18 ans, lutteur)
Eliezaar Halfen (24 ans, lutteur)
Andre Spitzer (27 ans, arbitre d'escrime)
David Mark Berger (28 ans, haltérophile)
Zeev Friedman (28 ans, haltérophile)
Yosef Romano (32 ans, haltérophile)
Moshe Weinberg (32 ans, entraîneur de l'équipe de lutte)
Yosef Gottfreund (40 ans, arbitre de lutte)
Amitzur Shapira (40 ans, entraîneur de l'équipe d'athlétisme)
Yakov Springer (50 ans, entraîneur de l'équipe d'haltérophilie)
Kehat Schor (53 ans, entraîneur de l'équipe de tir)
MUNICH 72 - DOC HQ 1/3
Uploaded by THE-GRAND-WAZOO. - Up-to-the minute news videos.
MUNICH 72 - DOC HQ 3/3
Uploaded by THE-GRAND-WAZOO. - Watch the latest news videos.
Pour en savoir plus :
[fr.wikipedia.org]
[www.curiosphere.tv]
Il y a 38 ans, le 5 septembre 1972 un commando terroriste palestinien appelé "Septembre noir" prenait en otage des membres de l'équipe israélienne présente aux Jeux Olympiques de Munich. Il réclamait la libération de terroristes palestiniens des prisons israéliennes. Golda Meir, à l'époque Premier ministre, refusa de céder au chantage. Elle justifia plus tard sa décision en expliquant que si elle avait accepté cette pression, plus aucun Israélien dans le monde n'aurait été en sécurité. La prise d'otage s'est terminée le lendemain et s'est soldée par la mort de onze Israéliens et d'un policier allemand. L'incompétence des services de sécurités allemands, qui n'avaient aucune formation pour ce genre de situation, avaient été alors mondialement décriée. Après une brève interruption, les J.O. ont repris leur cours sans la présence des autres athlètes Israéliens.
Voici les noms des 11 sportifs israéliens assassinés lors de cette prise d'otages :
Mark Slavin (18 ans, lutteur)
Eliezaar Halfen (24 ans, lutteur)
Andre Spitzer (27 ans, arbitre d'escrime)
David Mark Berger (28 ans, haltérophile)
Zeev Friedman (28 ans, haltérophile)
Yosef Romano (32 ans, haltérophile)
Moshe Weinberg (32 ans, entraîneur de l'équipe de lutte)
Yosef Gottfreund (40 ans, arbitre de lutte)
Amitzur Shapira (40 ans, entraîneur de l'équipe d'athlétisme)
Yakov Springer (50 ans, entraîneur de l'équipe d'haltérophilie)
Kehat Schor (53 ans, entraîneur de l'équipe de tir)
MUNICH 72 - DOC HQ 1/3
Uploaded by THE-GRAND-WAZOO. - Up-to-the minute news videos.
MUNICH 72 - DOC HQ 3/3
Uploaded by THE-GRAND-WAZOO. - Watch the latest news videos.
Pour en savoir plus :
[fr.wikipedia.org]
[www.curiosphere.tv]
|
Re: J.O. Munich - Prise d'otages des athlètes israéliens 06 mai 2011, 16:59 |
Basket - Euroligue (H)- Le Maccabi voit loin - Le Maccabi Tel-Aviv rejoint le Panathinaikos en finale de l'Euroligue après avoir fait tomber la pluie à trois points sur le Real Madrid (82-63). - Par X.C. - Pour le journal L'Equipe - 7 mai 2011
Le meneur du Maccabi Tel-Aviv de Jeremy Pargo devant Sergio Lull.
«It's sweet, so sweet...» De sa voix rocailleuse, l'ancien Strasbgourgeois Chuck Eidson savoure la qualification du Maccabi. Après le goulash amer que fut la première demi-finale remporté par le Pana, le Maccabi Tel-Aviv a offert une petite douceur au public barcelonnais. Le Maccabi Tel-Aviv est assurément une très belle équipe, joliment bâtie. Pas une machine de guerre version tortue comme l'est l'armada athénienne, mais une Lamborghini à manier à doigté. David Blatt n'étant pas le dernier pilote venu, cela peut donner des merveilles surtout quand en face, la jeunesse de certains, comme celle du talentueux Croate Ante Tomic, laisse des trous dans le repli défensif et donne au "club nation" l'occasion de jouer la transition comme il aime le faire.
Le Real a rentré moins d'un tir sur trois à deux points (13/41) comme à trois points (7/23). A l'inverse, le Maccabi est à plus de 50% de près (19/36) comme de loin (12/23).
Le Maccabi Tel-Aviv n'a pas tout de suite mis la main sur le match car son pivot maousse Sofoklis Schortsanitis a d'abord eu du mal s'imposer face à Tomic et à un Felipe Reyes des grands jours (15 points, 14 rebonds). Les Espagnols ont longtemps écrasé le secteur le rebond, la clé pour eux puisqu'ils galéraient pour mettre un panier. «63 points pour le Real, c'est pas mal non ?», demande Eidson. C'est mieux que ça, surtout quand l'on tient tous les extérieurs madrilènes à moins de 10 points. Au début du deuxième quart-temps, les Israéliens ont commencé à faire l'écart (22-14, 14e) par une première salve de trois points, dont un 3/3 de Guy Pnini, celui qui a su élever son niveau après la blessure de Doron Perkins.
A la mi-temps, le Real était revenu à une possession (32-29) et pourtant Blatt affichait sa confiance. Le jeu des siens était en place. Le Real était derrière, pas si loin (42-38, 26e) mais il ne survivait que grâce à des flèches lointaines sans parvenir à enrayer le jeu offensif du Maccabi. Ce Real, s'il laisse encore murir ensemble les Lull, Suarez et surtout Mirotic et Tomic, a un bel avenir devant lui. Mais son présent s'est assombri brutalement sur une nouvelle rafale de paniers primés, l'ancien Manceau David Bluthenthal rappelant que son poignet est éternel (69-51, 36e). Voilà donc le Maccabi et le Pana, les deux équipes les plus titrées de l'Euroligue de la dernière décennie, qui se retrouveront face à face pour le titre dimanche (16h30) - une première depuis 2001 et la finale de la Suproligue à Bercy. Tel-Aviv avait gagné (81-67).
=========================================================================
Il faut généralement être deux pour faire un grand match. Mais le Maccabi Tel-Aviv était un peu trop seul, ce vendredi soir, face au fantôme du Real Madrid (82-63), qui a complètement disparu après le repos alors qu'il avait plutôt bien tenu la route deux quart-temps durant. Le club espagnol, le plus titré dans l'histoire de la compétition, n'a rien pu faire pour goûter à nouveau à une finale qui le fuit depuis 1995. Parce que la puissance offensive des joueurs de David Blatt l'en a empêché. Et parce que son manque de réussite (13/41 à deux points soit 31%) l'a trop handicapé pour espérer une fin meilleure. Comme en 2000 et 2001, les Israéliens retrouveront donc le Panathinaïkos sur la dernière marche du Final Four, et ce n'est vraiment pas étonnant.
Le score aurait pu être bien plus lourd pour les Madrilènes si le Maccabi avait été à l'aise sur la ligne des lancers francs (8/16 soit 50%). C'est d'ailleurs en partie à cause de cela que Tel-Aviv n'a pas fait le trou à la mi-temps (32-29, 20e). Sofoklis "Baby Shaq" Schortsanitis (16 points, 5 rebonds) avait pourtant insisté de tout son poids dans la raquette, mais Ante Tomic a bien résisté (17 points, 6 rebonds). Ce n'est qu'après la pause, surtout en début de dernier acte, dans le sillage notamment de Chuck Eidson (19 points, 8 rebonds) et Jeremy Pargo (13 points, 7 passes), que les Israéliens ont creusé l'écart, profitant de leur adresse à longue distance pour se mettre à définitivement à l'abri (12/23 soit 52%). Le suspense attendra, espérons-le.
Le meneur du Maccabi Tel-Aviv de Jeremy Pargo devant Sergio Lull.
«It's sweet, so sweet...» De sa voix rocailleuse, l'ancien Strasbgourgeois Chuck Eidson savoure la qualification du Maccabi. Après le goulash amer que fut la première demi-finale remporté par le Pana, le Maccabi Tel-Aviv a offert une petite douceur au public barcelonnais. Le Maccabi Tel-Aviv est assurément une très belle équipe, joliment bâtie. Pas une machine de guerre version tortue comme l'est l'armada athénienne, mais une Lamborghini à manier à doigté. David Blatt n'étant pas le dernier pilote venu, cela peut donner des merveilles surtout quand en face, la jeunesse de certains, comme celle du talentueux Croate Ante Tomic, laisse des trous dans le repli défensif et donne au "club nation" l'occasion de jouer la transition comme il aime le faire.
Le Real a rentré moins d'un tir sur trois à deux points (13/41) comme à trois points (7/23). A l'inverse, le Maccabi est à plus de 50% de près (19/36) comme de loin (12/23).
Le Maccabi Tel-Aviv n'a pas tout de suite mis la main sur le match car son pivot maousse Sofoklis Schortsanitis a d'abord eu du mal s'imposer face à Tomic et à un Felipe Reyes des grands jours (15 points, 14 rebonds). Les Espagnols ont longtemps écrasé le secteur le rebond, la clé pour eux puisqu'ils galéraient pour mettre un panier. «63 points pour le Real, c'est pas mal non ?», demande Eidson. C'est mieux que ça, surtout quand l'on tient tous les extérieurs madrilènes à moins de 10 points. Au début du deuxième quart-temps, les Israéliens ont commencé à faire l'écart (22-14, 14e) par une première salve de trois points, dont un 3/3 de Guy Pnini, celui qui a su élever son niveau après la blessure de Doron Perkins.
A la mi-temps, le Real était revenu à une possession (32-29) et pourtant Blatt affichait sa confiance. Le jeu des siens était en place. Le Real était derrière, pas si loin (42-38, 26e) mais il ne survivait que grâce à des flèches lointaines sans parvenir à enrayer le jeu offensif du Maccabi. Ce Real, s'il laisse encore murir ensemble les Lull, Suarez et surtout Mirotic et Tomic, a un bel avenir devant lui. Mais son présent s'est assombri brutalement sur une nouvelle rafale de paniers primés, l'ancien Manceau David Bluthenthal rappelant que son poignet est éternel (69-51, 36e). Voilà donc le Maccabi et le Pana, les deux équipes les plus titrées de l'Euroligue de la dernière décennie, qui se retrouveront face à face pour le titre dimanche (16h30) - une première depuis 2001 et la finale de la Suproligue à Bercy. Tel-Aviv avait gagné (81-67).
=========================================================================
Il faut généralement être deux pour faire un grand match. Mais le Maccabi Tel-Aviv était un peu trop seul, ce vendredi soir, face au fantôme du Real Madrid (82-63), qui a complètement disparu après le repos alors qu'il avait plutôt bien tenu la route deux quart-temps durant. Le club espagnol, le plus titré dans l'histoire de la compétition, n'a rien pu faire pour goûter à nouveau à une finale qui le fuit depuis 1995. Parce que la puissance offensive des joueurs de David Blatt l'en a empêché. Et parce que son manque de réussite (13/41 à deux points soit 31%) l'a trop handicapé pour espérer une fin meilleure. Comme en 2000 et 2001, les Israéliens retrouveront donc le Panathinaïkos sur la dernière marche du Final Four, et ce n'est vraiment pas étonnant.
Le score aurait pu être bien plus lourd pour les Madrilènes si le Maccabi avait été à l'aise sur la ligne des lancers francs (8/16 soit 50%). C'est d'ailleurs en partie à cause de cela que Tel-Aviv n'a pas fait le trou à la mi-temps (32-29, 20e). Sofoklis "Baby Shaq" Schortsanitis (16 points, 5 rebonds) avait pourtant insisté de tout son poids dans la raquette, mais Ante Tomic a bien résisté (17 points, 6 rebonds). Ce n'est qu'après la pause, surtout en début de dernier acte, dans le sillage notamment de Chuck Eidson (19 points, 8 rebonds) et Jeremy Pargo (13 points, 7 passes), que les Israéliens ont creusé l'écart, profitant de leur adresse à longue distance pour se mettre à définitivement à l'abri (12/23 soit 52%). Le suspense attendra, espérons-le.
|
Re: J.O. Munich - Prise d'otages des athlètes israéliens 07 mai 2011, 10:31 |
LE REAL MADRID EST ECRASE PAR LES ISRAELIENS. EUROLIGUE : MACCABI TEL-AVIV EN FINALE DU FINAL Four. 
- Par M.B.A. - Pour IsraelValley.com - 7 mai 2011
Maccabi Tel-Aviv n’a laissé aucune chance au Real Madrid, s’imposant sur le score de 82 à 63. 19 points d’écart : les quelques 3000 israéliens qui avaient pris place dans le Palais des sports de Barcelone n’en demandaient pas tant. En finale, dimanche, Maccabi en débattra avec le Panathinaikos qui a pris le meilleur sur Sienne, 77 à 69.
Le Monde :"Le Maccabi Tel Aviv a assommé le Real Madrid 82-63 après avoir pris ses distances en deuxième mi-temps grâce à une pluie de tirs à trois-points et rejoint donc le Panathinaikos en finale de l’Euroleague.
C’est pourtant le Real qui avait imposé son physique en début de match, son duo d’intérieurs Ante Tomic (17 pts et 6 rbds)-Felipe Reyes (15 pts et 14 rbds) étant plutôt en jambes. Mais le Maccabi a fini par prendre le contrôle du match assez rapidement en s’appuyant sur l’adresse longue distance de Guy Pnini (14 pts et 4/6 à trois-points) et la présence dans la raquette de plus en plus imposante de Sofoklis Schortsanitis (16 pts et 5 rbds). À la mi-temps, Tel Aviv menait 32-29.
Le jeu s’est accéléré après la pause avec un Jeremy Pargo (13 pts et 7 pds) qui a pris le match en main. Le petit meneur du Maccabi a donné le tournis à la défense du Real avec ses pénétrations. Il s’est même permis de claquer un gros dunk qui n’a pas manqué de faire réagir les fans israéliens. Chuck Eidson (19 pts, 8 rbds, 6 ints) contribue beaucoup également avec ses points et ses interceptions. Son total (6) est d’ailleurs le nouveau record historique pour un match du Final Four.
Dans ce troisième quart-temps, Madrid reste malgré tout en vie grâce aux trois-points de Pablo Prigioni (9 pts, 3 rbds, 3 pds), Carlos Suarez (8 pts et 3 pds) et Sergio Llull (9 pts et 3 rbds). Mais le Maccabi parvient quand même à se détacher (55-47 après 30 minutes) et aborde le dernier quart-temps en confiance.
Dès lors, le Real Madrid semble impuissant et est victime d’un coup de chaud des joueurs de David Blatt qui prennent feu à longue distance en réussissant un 6/11 dans cet exercice dans le quatrième quart-temps ! David Blu (10 pts et 5 rbds), Chuck Eidson et Guy Pnini peuvent s’amuser. Avec une telle adresse (12/23 au total), rien ne pouvait leur arriver vendredi soir. Le Real n’a pu qu’assister à cette déferlante jaune pour finalement s’incliner de 19 points."
- Par M.B.A. - Pour IsraelValley.com - 7 mai 2011Maccabi Tel-Aviv n’a laissé aucune chance au Real Madrid, s’imposant sur le score de 82 à 63. 19 points d’écart : les quelques 3000 israéliens qui avaient pris place dans le Palais des sports de Barcelone n’en demandaient pas tant. En finale, dimanche, Maccabi en débattra avec le Panathinaikos qui a pris le meilleur sur Sienne, 77 à 69.
Le Monde :"Le Maccabi Tel Aviv a assommé le Real Madrid 82-63 après avoir pris ses distances en deuxième mi-temps grâce à une pluie de tirs à trois-points et rejoint donc le Panathinaikos en finale de l’Euroleague.
C’est pourtant le Real qui avait imposé son physique en début de match, son duo d’intérieurs Ante Tomic (17 pts et 6 rbds)-Felipe Reyes (15 pts et 14 rbds) étant plutôt en jambes. Mais le Maccabi a fini par prendre le contrôle du match assez rapidement en s’appuyant sur l’adresse longue distance de Guy Pnini (14 pts et 4/6 à trois-points) et la présence dans la raquette de plus en plus imposante de Sofoklis Schortsanitis (16 pts et 5 rbds). À la mi-temps, Tel Aviv menait 32-29.
Le jeu s’est accéléré après la pause avec un Jeremy Pargo (13 pts et 7 pds) qui a pris le match en main. Le petit meneur du Maccabi a donné le tournis à la défense du Real avec ses pénétrations. Il s’est même permis de claquer un gros dunk qui n’a pas manqué de faire réagir les fans israéliens. Chuck Eidson (19 pts, 8 rbds, 6 ints) contribue beaucoup également avec ses points et ses interceptions. Son total (6) est d’ailleurs le nouveau record historique pour un match du Final Four.
Dans ce troisième quart-temps, Madrid reste malgré tout en vie grâce aux trois-points de Pablo Prigioni (9 pts, 3 rbds, 3 pds), Carlos Suarez (8 pts et 3 pds) et Sergio Llull (9 pts et 3 rbds). Mais le Maccabi parvient quand même à se détacher (55-47 après 30 minutes) et aborde le dernier quart-temps en confiance.
Dès lors, le Real Madrid semble impuissant et est victime d’un coup de chaud des joueurs de David Blatt qui prennent feu à longue distance en réussissant un 6/11 dans cet exercice dans le quatrième quart-temps ! David Blu (10 pts et 5 rbds), Chuck Eidson et Guy Pnini peuvent s’amuser. Avec une telle adresse (12/23 au total), rien ne pouvait leur arriver vendredi soir. Le Real n’a pu qu’assister à cette déferlante jaune pour finalement s’incliner de 19 points."
|
Israel - Sport 12 mai 2011, 23:26 |
Le Maccabi battu en finale de l'Euroligue - Par ALLON SINAI - Pour Jerusalem Post edition en français - 9 mai 2011
Le réveil a été brutal pour les joueurs du Maccabi Tel-Aviv, dimanche. Alors que les basketteurs israéliens se prenaient à rêver à un nouveau sacre européen, l'équipe du Panathinaïkos a mis un terme à leurs espérances. Score final 78-70 pour les Grecs qui remportent ainsi leur 6e titre en Euroligue au Palau Sant Jordi Arena de Barcelone.
Durant tout le match, Tel-Aviv a lutté pour mettre en place son jeu, et, même si le score est resté serré une bonne partie du match, les jaunes et bleu ont toujours été dominés.
Si l'équipe israélienne a réussi par deux fois à mener au score, ils ont vite été rappelés à l'ordre par les joueurs du Panathinaïkos qui leur ont infligé un 8-0 en quelques minutes. Au bout de 10 minutes de jeu, les Grecs menaient déjà 22-15.
"Une belle histoire"
Par la suite, le Maccabi n'est jamais parvenu à trouver la solution face au meilleur joueur du Final Four etde l'Euroligue, Dimitris Diamantidis. Et le Pana a prouvé, une fois de plus, qu'il possédait l'une des meilleures défenses d'Europe.
Après deux quart temps nerveux, le score était toujours serré (33-30) mais les Grecs ont pris une avance confortable lors du troisième quart temps où ils menaient 54-43. Ecart qui s'avèrera décisif. Avec 14 points d'avance à 7 minutes de la fin (61-47), le Panathinaïkos a alors pu gérer.
David Blatt, l'entraîneur du Maccabi, s'est cependant déclaré fier de ses joueurs.
"Le Panathinaïkos est le vainqueur incontestable de cette finale', a-t-il souligné. "En ce qui nous concerne, je peux simplement dire que le basket n'est pas Hollywood et que toutes les histoires ne connaissent pas de fin heureuse. Mais cela n'en fait pas non plus une mauvaise histoire."
Blatt ajoute : "Personne ne nous donnait la moindre chance en Final Four. Mais nous avons créé une équipe, nous avons beaucoup travaillé et nous avons pris du plaisir. Même si à la fin nous n'avons pas gagné, l'histoire restera très belle pour nous."
Après une demi-finale éblouissante contre Madrid, Chuck Eidson a de nouveau été le meilleur joueur du Maccabi, dimanche, auteur de 17 points et 7 rebonds.
Diamantidis superstar
De son côté le Panathinaïkos a connu une belle réussite à deux points (23 sur 37) et malgré un manque de réussite à trois points (14 sur 24) et un jeu moins flamboyant qu'à son habitude, l'équipe a réussi à contrôler le match, à l'expérience.
Diamantidis a largement contribué au succès de son équipe avec 16 points, 9 passes décisives et 5 rebonds. Une performance soulignée par l'entraîneur du Maccabi.
Blatt affirme ainsi : "Diamantidis a été élu MVP de cette Euroleague et il a montré qu'il méritait ce titre ce soir. Il est l'un des meilleurs joueurs actuels en Europe et peut-être de tous les temps. Il a un tel impact sur le jeu dans tous les secteurs. Il donne toujours l'impression de faire la bonne chose au bon moment".
Zeljko Obradovic, l'entraîneur du Panatinaïkos, était de son côté enchanté par la victoire de son équipe. "Nous avons mal joué au début, notre jeu a été pauvre. Mais nous avons réussi à améliorer cela lors de la deuxième mi-temps et nous avons pu contrôler le match, même si nous avons fait quelques erreurs stupides qui ont redonné espoir au Maccabi", a déclaré Obradovic, avant de poursuivre : "En fin de compte, je crois que nous méritons la victoire."
Le réveil a été brutal pour les joueurs du Maccabi Tel-Aviv, dimanche. Alors que les basketteurs israéliens se prenaient à rêver à un nouveau sacre européen, l'équipe du Panathinaïkos a mis un terme à leurs espérances. Score final 78-70 pour les Grecs qui remportent ainsi leur 6e titre en Euroligue au Palau Sant Jordi Arena de Barcelone.
Durant tout le match, Tel-Aviv a lutté pour mettre en place son jeu, et, même si le score est resté serré une bonne partie du match, les jaunes et bleu ont toujours été dominés.
Si l'équipe israélienne a réussi par deux fois à mener au score, ils ont vite été rappelés à l'ordre par les joueurs du Panathinaïkos qui leur ont infligé un 8-0 en quelques minutes. Au bout de 10 minutes de jeu, les Grecs menaient déjà 22-15.
"Une belle histoire"
Par la suite, le Maccabi n'est jamais parvenu à trouver la solution face au meilleur joueur du Final Four etde l'Euroligue, Dimitris Diamantidis. Et le Pana a prouvé, une fois de plus, qu'il possédait l'une des meilleures défenses d'Europe.
Après deux quart temps nerveux, le score était toujours serré (33-30) mais les Grecs ont pris une avance confortable lors du troisième quart temps où ils menaient 54-43. Ecart qui s'avèrera décisif. Avec 14 points d'avance à 7 minutes de la fin (61-47), le Panathinaïkos a alors pu gérer.
David Blatt, l'entraîneur du Maccabi, s'est cependant déclaré fier de ses joueurs.
"Le Panathinaïkos est le vainqueur incontestable de cette finale', a-t-il souligné. "En ce qui nous concerne, je peux simplement dire que le basket n'est pas Hollywood et que toutes les histoires ne connaissent pas de fin heureuse. Mais cela n'en fait pas non plus une mauvaise histoire."
Blatt ajoute : "Personne ne nous donnait la moindre chance en Final Four. Mais nous avons créé une équipe, nous avons beaucoup travaillé et nous avons pris du plaisir. Même si à la fin nous n'avons pas gagné, l'histoire restera très belle pour nous."
Après une demi-finale éblouissante contre Madrid, Chuck Eidson a de nouveau été le meilleur joueur du Maccabi, dimanche, auteur de 17 points et 7 rebonds.
Diamantidis superstar
De son côté le Panathinaïkos a connu une belle réussite à deux points (23 sur 37) et malgré un manque de réussite à trois points (14 sur 24) et un jeu moins flamboyant qu'à son habitude, l'équipe a réussi à contrôler le match, à l'expérience.
Diamantidis a largement contribué au succès de son équipe avec 16 points, 9 passes décisives et 5 rebonds. Une performance soulignée par l'entraîneur du Maccabi.
Blatt affirme ainsi : "Diamantidis a été élu MVP de cette Euroleague et il a montré qu'il méritait ce titre ce soir. Il est l'un des meilleurs joueurs actuels en Europe et peut-être de tous les temps. Il a un tel impact sur le jeu dans tous les secteurs. Il donne toujours l'impression de faire la bonne chose au bon moment".
Zeljko Obradovic, l'entraîneur du Panatinaïkos, était de son côté enchanté par la victoire de son équipe. "Nous avons mal joué au début, notre jeu a été pauvre. Mais nous avons réussi à améliorer cela lors de la deuxième mi-temps et nous avons pu contrôler le match, même si nous avons fait quelques erreurs stupides qui ont redonné espoir au Maccabi", a déclaré Obradovic, avant de poursuivre : "En fin de compte, je crois que nous méritons la victoire."
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.
