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SCIENCES RECHERCHE ET DECOUVERTES SCIENTIFIQUES

Envoyé par lapid 
SCIENCES RECHERCHE ET DECOUVERTES SCIENTIFIQUES
09 septembre 2007, 05:35
Tout ce qui concerne les Sciences en Israel[[/i]/b]
Ballons solaires : le Technion invente les capteurs solaires placés sur des ballons à hélium
24 août 2007, 00:45
Ballons solaires

[www.bulletins-electroniques.com]

Des chercheurs du Technion (faculté d'ingénierie aérospatiale et faculté d'architecture et d'aménagement du territoire) ont développé un moyen qui permet de produire de l'électricité en utilisant des ballons gonflés à l'hélium recouverts de cellules photovoltaïques. Dr. Gurfil et l'étudiant doctoral Yossi Cori ont conçu ce nouveau système qui convertit la lumière du soleil en énergie électrique transmise au sol ferme par le câble de raccordement qui achemine aussi l'hélium au ballon.

Le prix actuel par un mètre cube de cellules solaires est de 700$, cependant les chercheurs estiment qu'une production de masse de ballons d'hélium photovoltaïques ferait fortement baisser les prix. Un brevet a été déposé pour cette méthode dont les créateurs espèrent qu'elle sera compétitive par rapport aux autres sources d'énergie.

Pour commencer, ces ballons solaires pourraient équiper les navires, les plateformes pétrolières off-shore, les bâtiments isolés en milieux difficilement accessibles et non raccordés au réseau électrique (jungle ou désert). Les chercheurs souhaitent que l'habitat urbain s'intéresse aussi aux ballons d'hélium photovoltaïques.

Source : Technion Press Release, 24/06/2007

le Technion invente les capteurs solaires placés sur des ballons à hélium - Par Sébastien Fortin - 6 juillet 2007 -

Un ballon solaire qui produit de l’électricité, un vrai gain de place.

Les chercheurs de l’institut de technologie du Technion ont conçu une nouvelle méthode de production d’électricité grâce à des ballons d’hélium recouverts de cellules solaires.

Les scientifiques des départements d’ingénierie aéronautique, d’architecture et du génie civil ont déjà installé deux modèles, un à Haïfa et un autre dans une zone déserte en manque d’électricité.

Dr. Pini Gurfil, qui dirige le projet environnemental, a expliqué que pour produire l’électricité à partir de l’énergie solaire “les ballons pourraient être utilisés à une basse altitude dans le ciel”.

Gurfil et Yossi Corrie, étudiant en doctorat, ont développé une technique qui consiste à utiliser des ballons remplis d’hélium recouverts de cellules d’énergie solaire pour fournir de l’électricité.

Un seul et même câble apporte à la fois l’hélium au ballon et l’électricité à la terre.

Les chercheurs du Technion estiment que chaque maison ou appartement n’aurait besoin que deux ballons. S’ils étaient produits en masse, leur coût pourrait être réduit en dessous des 500 euros le mètre carré de piles solaires estimés aujourd’hui.

Le duo a breveté son invention et espère que cette technologie concurrencera les actuels producteurs d’électricité.

Cette technologie pourrait être utilisée dans un premier temps pour assurer l’électricité aux bateaux et aux maisons dans les jungles, les déserts ou autres lieux isolés. Mais au-delà de cette première étape, Gurfil et Corrie espèrent que les maisons dans les villes autour du monde obtiendront leur électricité à partir de tels ballons.-
Pièces jointes:
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L’ ENERGIE EN ISRAEL
24 août 2007, 00:07
L’ ENERGIE EN ISRAEL

Le développement énergétique en Israel est aujourd’hui à une croisée de chemins qui pourrait changer l’image de son économie. La consommation d’énergie (particulièrement d’électricité) connait une croissance relativement plus rapide que celle de la plupart des pays occidentaux.
La récente découverte d’un gisement de gaz naturel offre une source d’énergie non nuisible à l’environnement pour la production d’électricité. Ceci réduirait les coûts et les dégâts environnementaux causés par l’électricité

L’électricité

Israel Electric Corporation (IEC) (www.israel.electric.co.il), responsable de la génération, la transmission et la distribution d’électricité en Israel, détient le monopole de production d’électricité du pays (9.900 Megawatts).

La consommation d’électricité est en croissance continue (environ 5% par an). IEC prévoit une augmentation de sa capacité de production à 15 GW en 2010 et la construction, répartie sur quelques années, de 14 nouvelles installations électriques.

La majorité des centrales électriques sont alimentées par du charbon ou du pétrole. IEC devrait aussi développer des ”combined cycle Gas Turbines » qui utiliseront du gaz naturel.

Le charbon

Israel n’ayant pas de ressources naturelles, tout le charbon utilisé par IEC est importé, principalement d’Afrique du Sud (45%), le reste provenant de la Colombie, de l’Australie, de l’Indonésie, de la Pologone et de la Chine.
Jusqu’en mars 2001 l’importation du charbon reposait principalement sur les épaules de la NCSC (National Coal Supply Corporation), société à appartenance gouvernementale majoritaire (74%). A cette date le gouvernement approuvait la vente de la NCSC à la IEC qui possédait déjà 26% des parts.

Centrales à charbon :

OROT RABIN M.D. (Maor David A&cool smiley POWER STATION, près de Hadera, avec 6 unités de production et une capacité de 2590 Mw

RUTENBERG (A&cool smileyPOWER STATION, près d’Ashquelon, avec 4 unités de production et une capacité de 2300 Mw

En décembre 2002, le gouvernement israélien approuvait la construction d’une cinquième centrale à charbon, qui sera active en 2009, près d’Ashquelon. 1.2 Md $ seront investis, notamment en technologies avancées, afin de réduire la pollution de l’air.


Le pétrole

Ne possédant presque pas de pétrole Israel importe d’Egypte, de la Mer du Nord, de l’Afrique de l’Ouest et du Mexique la quasi totalité (+/-237.000 barrils par jour en 2002) de ses besoins pétroliers. Ces dernières années Israel importe son pétrole principalement des pays de l’ex Union Soviétique.

L’exploration pétrolière en Israel n’a pas été couronnée de succès. Pourtant, la Commission Pétrolière Israélienne a estimé que le sous-sol israélien devrait contenir 5 Md de barrils.

Israel Oil Refineries (ORL) exploite les deux raffineries existantes à Haifa et à Ashdod.

Le seul oléoduc opérationnel en Israel est le Trans-Israel Pipeline (Tipline), construit en 1968 afin de transporter du pétrole iranien du port d’Eilat (Mer Rouge) à Haifa (via le port méditerranéeen d’Ashquelon). Depuis la Révolution Islamique l’oléoduc était moribond, mais grâce à des travaux entrepris récemment, il est réutilisé pour le transport de pétrole russe.

Le gaz naturel

Des raisons de sécurité énergétiques, économiques et environnementales, devrait inciter Israel à utiliser du gaz naturel pour la production d’électricité ( aujourd’hui dominée par les centrales à charbon). Une des possibilités envisagée fut l’importation de gaz d’Egypte. Une autre option est l’utilisation d’un gisement de gaz naturel découvert sur le littoral méditerranéen d’Israel, à 20 km au large d’Asquelon. Ce gisement permettrait de produire jusqu'à 30 M de mètres cubes de gaz naturel par jour. Cette quantité suffit à l’exportation vers les pays voisins, ouvrant ainsi les portes à une coopération économique.

Le consortium Yam Thetis est le fournisseur principal en gaz naturel d’IEC pour une durée de 11 ans, à partir du 1er janvier 2004.

Oil Refineries et Yam Thetis ont également signé un accord, débutant mi-2004, sur l’approvisionnement par Yam Thetis en gaz naturel au départ d’Ashquelon vers la raffinerie d’Ashdod. Cet accord signé pour une durée de 10 ans pourrait être reconduit selon le développement de la raffinerie d’Ashdod.

L’énergie solaire

La technologie solaire s’est révélée être non seulement trop chère les industriels, mais ègalent trop compliquée pour les techniciens. Début 2002 IEC approuvait la construction d’une centrale solaire dans le désert du Negev. En septembre 2002 un rapport établi par IEC concluait que la construction d’une telle centrale n’avait aucun bien fondé économique.
ISRAEL-ENERGIE : Libéralisation du marché israélien de l’Energie. Progressons-nous réellement ?
23 août 2007, 23:45
ISRAEL-ENERGIE : Libéralisation du marché israélien de l’Energie. Progressons-nous réellement ? - Par Sébastien Fortin - Pour IsraelValley - 17 juillet 2007 -

Source: Eyal Hadas – Directeur du département Energy chez Cukierman & Co Investment House Ltd.

Un fait est indiscutable. Israël devra faire face à un déficit structurel en approvisionnement d’électricité de 1500 MWel en 2009 (environ 10% de la capacité globale actuelle – voir le diagramme ci-dessous).

Qui a permis à Israël d’atteindre cette situation alarmante et quels sont les effets sur la politique de libéralisation menée depuis plus d’une décennie par le gouvernement israélien ?
Depuis que la nouvelle réglementation du marché de l’électricité israélien a été mise en application en 1996 (Israeli Electricity Market Act), le gouvernement n’a obtenu que des succès mineurs dans son incitation à la libéralisation du secteur de l’énergie israélien :

* La compagnie israélienne d’électricité IEC (Israeli Electricity Cooperation) domine toujours 98% des capacités de productions d’énergie et la totalité des réseaux de transport et de distribution.
* La politique d’appel d’offres du gouvernement de 1997-1999 a été un désastre. Sur les 5 nouvelles centrales électriques envisagées, aucune n’a réellement été commissionnée.
* La promotion législative des énergies renouvelables (subventions, imposition favorable, utilisation de la terre) encore instable et contagieuse, compte sur l’utilisation des biocarburants et de la biomasse (ensemble des matières organiques pouvant devenir des sources d’énergie).

Sur ce fond, quelles sont les perspectives à court-termes de la libéralisation du secteur de l’énergie israélien.
Eyal Hadas, Directeur du département Energy chez CIH (Cukierman & Co Investment House Ltd.), analyse pour IsraelValley cette question : “Chez Cukierman & Co Investment House Ltd., nous ne prévoyons pas d’opportunité régulatrice majeure à court-termes sur le front de la libéralisation, car :

* La séparation d’ECI en trois opérations indépendantes : production, transmission, distribution, sous la holding unifié IEC (“légalement séparé”) (Electricity Market Liberalization Act – Mars 2007) n’est pas encore garantie.
* Un système central indépendant chargé de la surveillance du réseau et des achats d’énergie sous la supervision de l’Etat n’est pas encore installé (quelle va être la “règle du jeu” pour les “nouveaux entrants”, par exemple les fournisseurs privés d’électricité, dans les années à venir).

Cependant, le besoin pourrait être plus fort que les décisions politiques stipulées.

* Le manque envisagé d’approvisionnement accélère déjà l’arrivée de nouveau fournisseurs privés IPP (Independent Power Producers) (5 IPP, 2540 MWel., 4 usines IPP auto-approvisionnées 340 MWel.).
* Le gouvernement israélien à travers la société public ECI propose déjà des avantages financiers à ses principaux clients acceptant de réduire leur consommation d’au moins 3% et d’en décaler une partie des heures pleines aux heures creuses.
* La production d’énergie décentralisée via des centrales thermiques combinées (biocarburant / biomasse) atteint des prix économiques (de 7 à 9 € Ct./KW).”

La division énergie de CIH suit de près les opportunités d’affaires émergeant de la situation actuelle dans l’électricité israélienne. Elle identifie pour les européens, comme par exemple les sociétés françaises, les segments de marché suivant :

* Ingénierie, construction M&O de cycle combiné et micro (turbines à gaz et à vapeurs) (50-400 MWel.).
* Fourniture d’énergie et économie d’énergie à travers les fournisseurs de l’ESCO (Energy Service and Contracting).
* Réalisateurs de projet “clé en main” pour les centrales électriques biocarburants et biomasses (électricité/chaleur 1-5 MWel.)
Pièces jointes:
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Israël : des solutions intelligentes pour lutter contre le réchauffement global
23 août 2007, 23:38
Israël : des solutions intelligentes pour lutter contre le réchauffement global - Par Jakouiller - mercredi 1 novembre 2006 -

Source : BusinessWeek, 01.11.2006 -

De la géothermie à la biomasse, le pionnier de l’énergie Israélien, Ormat Industries, développe des sources d’énergies alternatives et renouvelables partout dans le monde.
Pays du Moyen-Orient, sans pétrole dans son sous-sol, Israël fait de plus en plus appel à d’autres ressources, l’inventivité de ses scientifiques et de ses entrepreneurs. Des schistes bitumeux à l’énergie solaire, les entreprises Israéliennes sont devenues des leaders mondiaux en énergies alternatives, exportant leurs technologies vers les clients du monde entier et réduisant en même temps la dépendance Israélienne aux importations de pétrole.

Le timing est bien choisi pour faire la promotion des énergies renouvelables. L’inquiétude des conséquences du réchauffement global monte partout, et l’intérêt pour les sources d’énergie non–polluantes grandit. Au même moment les prix du pétrole et du gaz sont proches des records historiques, rendant les alternatives plus compétitives.


L’une des success stories Israéliennes les plus improbables, compte tenu de l’absence locale de sources géothermiques, est Ormat Industries, basée à Yavne, qui est devenu le leader mondial en énergie géothermique. Fondée en 1965 par Lucien and Yehudit Bronicki, un couple qui en est aujourd’hui respectivement Chairman et CEO, Ormat a eu en 2005 un CA de $257 millions et a une capitalisation boursière de $1,3 milliards.
Les actions d’Ormat sur le Nasdaq ont plus que triplé de valeur depuis leur introduction il y a deux ans.

La géothermie

Pourquoi cet engouement pour la société ? Le succès d’Ormat tient à la percée d’une nouvelle conception de turbines développée par les Bronickis qui permet à des sources d’énergie renouvelables comme de la vapeur géothermique ou l’énergie solaire d’être convertie en électricité plus efficacement. Après avoir vendu les turbines seules pendant trente ans, Ormat s’est lancé au milieu des années 90 dans la construction de ses propres usines géothermiques utilisant sa technologie de turbines.
(A gauche, centrale géothérmique de 60MW à Mahai en NZ)
La société opère maintenant 11 usines dans cinq pays dont des unités en Californie, au Nevada et a Hawaï, qui collectivement produisent 360 mégawatts de courant, suffisamment pour alimenter une ville de 500.000 habitants. Ormat vend le courant produit dans ses usines aux services publiques locaux et enregistre un coquet profit. Les bénéfices nets ont atteint en 2005, $15,2 million, soit 5,9% des ventes, et ont grimpé à 12,25% des ventes au premier semestre 2006.
D’intérêt encore plus grand pour les investisseurs, Ormat et deux partenaires, le Japonais Itochu et l’Indonésien Medco Energi International, ont remporté un appel d’offre en juillet 2006 pour la construction d’une centrale géothermique de 340 mégawatts sur l’île de Sumatra, la plus grande unité de ce type au monde. Ce projet, et d’autres, vont augmenter la capacité de production de l’entreprise de 80% à la fin de 2008.

Récupération de chaleur

Les turbines Ormat permettent également d’obtenir plus de courant à partir des sources conventionnelles d’énergie. Dans des centrales électriques au gaz au Nord et au Sud Dakota Ormat a installé des systèmes qui récupèrent la chaleur normalement perdue et la convertit en électricité additionnelles. Des projets semblables sont en cours de construction dans l’état de Washington et au Canada. La division d’Ormat, « recovered energy power generation » (récupération d’énergie) a réalisé un CA de $9,2 millions au cours du premlier semestre 2006, contre moins $1 million au premier semestre 2005.


Schistes et sables bitumeux

L’entreprise se développe maintenant dans des domaines voisins.
Au début des années 90, Ormat a développé une technologie afin de produire du pétrole à partir des schistes bitumeux. Mais avec les prix du pétrole de l’époque, le gouvernement Israélien n’a pas voulu subventionner l’ambitieux projet d’exploiter les importantes réserves de schistes bitumineux du pays.
Ormat a alors adapté sa technologie pour être utilisée avec les sables bitumeux de l’Alberta au Canada, où elle est utilisée dans un projet conduit par Opti Canada qui devrait entrer en production en 2006. Ormat a 7,6% de la société Canadienne.

Biocarburant

En septembre 2006, Ormat est allé encore plus loin, en annonçant son objectif de commercialiser un nouveau biodiesel à base de 100% de végétaux avec une institution universitaire locale non révélée. « Le truc pour rester compétitif est d’utiliser des végétaux à haut rendement qui ne sont pas utilisée comme nourriture, » déclare Bronicki.
Ormat investira $60 millions sur trois ans dans le projet. Si c’est un succès, les Bronickis pensent que l’Afrique et d’autres endroits pourraient consacrer de larges surfaces de terres à la culture de plantes pour produire du carburant.

Ca semble grandiose, mais ce les rêves qui ont permis aux Bronickis de garder Ormat en vie au cours de décennies de lutte. Né en France, Lucien Bronicki a développé la première turbine avec l’objectif de toucher les sources d’énergies renouvelables dans des zones éloignées. Contrairement aux concurrents de l’époque, qui proposaient des offres petites et improductives, la turbine la plus efficace de Bronicki pouvait générer jusqu’à 10 megawatts de courant.
A la fin des années 70s, Lucien Bronicki ne réussit pas à convaincre le gouvernement Israélien de financer un ambitieux projet d’énergie solaire utilisant sa turbine. Ainsi Bronicki porta ses vues sur la géothermie, qui domestique la vapeur, la chaleur ou l’eau chaude des geysers ou des sources chaudes pour produire de l’électricité. Bien connue en Islande et aux Philippines, la géothermie se développe maintenant aux USA, au Guatemala, au Kenya, et ailleurs grâce aux prix élevés du pétrole et aux soucis environnementaux.

Le grand avantage de la géothermie sur d’autres energies renouvelables comme l’énergie solaire et l’énergie éolienne est qu’elle ne dépend pas des éléments et produit du courant en continu. De nombreux projets géothermiques sont d’ores et déjà compétitifs avec des usines fonctionnant aux énergies fossiles. Le gros inconvénient est que les centrales géothermiques ont tendance à être petites. Selon la puissance de la source naturelle, elles ont en général une capacité qui ne dépasse pas 100 mégawatts.
Néanmoins, il y a d’énormes opportunités. « Nous n’avons fait que gratter la surface, » déclare la CEO d’Ormat, Yehudit Bronicki. Mondialement, les usines géothermiques produisent 8.900 mégawatts de courant, ou de quoi fournir un état Américain de taille moyenne comme le New Jersey. « Le potentiel connu est d’au moins huit fois plus important, soit 72.000 mégawatts », ajoute-t-elle, « et avec des recherches et développements additionnels, ce chiffre pourrait être doublé ». Les USA et l’Indonésie sont parmi les pays avec le plus grand potentiel géothermique.
Les perspectives sont moins claires pour le détour d’Ormat dans le biodiesel. La majorité des carburants de biomasse est aujourd’hui composée d’un mélange de diesel conventionnel et d’huiles végétales. L’un des challenges d’Ormat dans sa quête d’une alternative au pétrole à partir de plantes non comestibles est de développer un produit qui pourra être utilisé sans modifier les moteurs des voitures.
« S’ils réussissent, cela pourrait être une source majeure de profits pour la compagnie aucours des prochaines années, » prédit Yuval Zaira, analyste chez Israel Brokerage Investment, une banque d’investissement basée à Tel Aviv.
Israël ENERGIE - Une technique pourrait permettre à Israël de produire 30% de ses besoins en combustible
23 août 2007, 23:05
Israël ENERGIE - Une technique pourrait permettre à Israël de produire 30% de ses besoins en combustible - Par David Rosenfeld - Pour IsraelValley - 10 Mars 2007 -

Une compagnie israélienne révolutionne la production pétrolière en recyclant du schiste bitumineux en combustible de haute qualité. L’entreprise A.F.S.K. Hom Tov, basée à Haïfa, a breveté une méthode permettant d’extraire du pétrole de haute qualité et du gaz naturel depuis un mélange de bitume et de schiste [le bitume ou l’asphalte étant un résidu de la distillation de pétrole brut conventionnel].

Hom Tov utilise le schiste pétrolier comme un catalyseur afin d’extraire du combustible organique du résidu bitumineux. Le produit final peut facilement être raffiné en pétrole et combustible de haute qualité.

Les experts prédisent un prix du pétrole ainsi obtenu à 25$ le baril, sans compter les bénéfices énergétiques apportés par le gaz naturel produit par la même méthode. Actuellement les prix avoisinant les 50$ le baril, cette nouvelle méthode suscite l’attention.

“Le monde entier recherche les solutions alternatives à la production du pétrole” déclare Moshe Shahal, ancien ministre israélien de l’énergie, aujourd’hui représentant légal de Hom Tov. De plus, d’après le Pr. Zeev Aizenshtat, “la procédure de Hom Tov est énergétiquement auto-suffisante”, professeur de chimie à l’Université Hébraïque de Jérusalem, il est expert consultant en ressource énergétique pour Hom Tov. En effet, la technique produit du combustible sec, qui lui-même peut être brûlé et ainsi fournir de l’énergie…

Cette nouvelle technique d’exploitation, si elle est mise en oeuvre, pourrait permettre à Israël de produire 30% de ses besoins en combustible !
Une nouvelle centrale nucléaire civile en projet
23 août 2007, 22:52
Une nouvelle centrale nucléaire civile en projet- par Myriam Danan pour Guysen International News - Mardi 7 août 2007 -

Une fois n’est pas coutume, le ministre des Infrastructures a confirmé la rumeur. Le projet est en marche, et devrait être présenté d’ici quelques mois au gouvernement. Le Premier ministre, Ehoud Olmert, lui a apporté son soutien total. La première centrale nucléaire civile israélienne est en marche.

L’idée n’est pas nouvelle, elle a germé dans les années 70. Mais selon la Commission à l’Energie Atomique, le besoin de développer des sources d’énergies alternatives se fait pressant pour Israël. Les prix du gaz naturel et du pétrole atteignent en effet des sommets, et la protection de l’environnement est devenu un élément incontournable dans la gestion des énergies.

Le coût de construction d’une centrale nucléaire est estimé à 1.5 milliards de dollars, et la production énergétique qu’elle pourrait fournir serait de 1200 à 1500 mégawatts, soit environ 10% des besoins en électricité du pays.

L’entreprise sera évidemment placée sous le suspicieux contrôle de l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique). Des sources sécuritaires ont exprimé des craintes sur une possible ingérence dans d’autres projets existants dont-on-ne dira-pas-le-nom, mais le ministre des Infrastructures s’est montré très clair, Dimona (chut !) restera un domaine strictement réservé au personnel.
Bientôt une centrale nucléaire civile en Israël ?
23 août 2007, 22:57
Bientôt une centrale nucléaire civile en Israël ? - Alexandre Yudkewicz - lundi 12 février 2007 -

Le PDG de la Compagnie d’électricité d’Israël, Ouri Ben Nour, a affirmé qu’Israël envisageait la mise en œuvre d’une centrale nucléaire de production d’électricité. Bien que l’idée ne soit pas nouvelle, c’est néanmoins la première fois que la Commission à l’Energie Atomique reconnaît que cette option est sérieusement envisagée.

C’est en effet cette commission qui est le seul corps qui puisse en Israël élaborer un plan de cette nature. Si la Commission à l’Energie Atomique émettait une recommandation en faveur de la construction d’un réacteur nucléaire ‘civil’, le gouvernement devrait ensuite se prononcer à ce sujet.

La Compagnie Electrique d’Israël soutient depuis longtemps l’idée d’un réacteur nucléaire à fins civiles, allouant même des terrains ad hoc dans le Néguev pour accueillir une éventuelle centrale.

Le coût de construction d’une centrale nucléaire en Israël est estimé à 1.5 milliards de dollars, et la production énergétique qu’elle pourrait fournir serait de 1000 mégawatts. Le renchérissement du coût du pétrole et ses corollaires ont rendu l’idée du nucléaire civile de plus en plus intéressante. Outre la France, leader mondial en ce domaine, les Etats-Unis, la Chine et l’Inde recourent également chacun à l’énergie nucléaire.
La Technologie au service des juifs.
23 août 2007, 22:42
La Technologie au service des juifs. - Par Caroll Azoulay pour Guysen Israël News. - Mardi 27 février 2007 -

Une société israélienne a créé un nouveau service utilisant les technologies les plus avancées pour aider les juifs religieux à travers le monde. Explication.
La société Linguistic Agents, une start-up basée à Jérusalem, a annoncé la création d’un service SMS permettant aux juifs observants d’utiliser leurs téléphones portables afin de trouver des restaurants cashers, des synagogues, des mikvés, des centres Habad, et ce, où qu’ils se trouvent dans le monde.

Intitulée 'InfoJew', cette adresse SMS offre en outre aux utilisateurs le listing des horaires de shabbat, les heures exactes de prière, et l’agenda des fêtes à l’échelle planétaire.

"Un membre de notre équipe qui se trouvait coincé à Prague pour un congrès, a dû envoyer un SMS à sa femme en lui demandant d’effectuer une recherche pour trouver un restaurant casher proche de l’endroit où il était " explique Simha Margaliot, vice président de Linguistic Agents. "C’est alors que nous avons compris les opportunités que notre technologie pouvait offrir aux juifs en voyage".

Linguistic Agents est en effet spécialisée dans la création de programmes permettant de faciliter les interactions linguistiques informatiques via le net et les SMS. Elle a notamment créé une application qui permet aux ordinateurs de comprendre le langage humain courant : Advances Language Machine, ALM. Ce logiciel analyse les phrases grâce à un système avancé de linguistique théorique NanoSyntax.
La possibilité de se faire comprendre par un ordinateur en langage courant laisse présager une amélioration de l’utilisation des outils de recherches, des automates d’aide en ligne et d’obtenir ainsi une information plus précise sur les sites web.

"Qui ne s’est pas trouvé un jour perdu dans une ville étrangère en train de se demander où il pourrait bien manger casher, ou en train de chercher désespérément le premier juif portant une kippa afin de lui demander à quelle heure entrait shabbat ?" interroge S.Margaliot qui rappelle par ailleurs, que "le fait de pouvoir trouver ce type d’information sur internet se révèle complètement inutile lorsque l’on se trouve au milieu de nulle part, loin de tout internet café ou d’une quelconque connexion.
Enfin le décalage horaire empêche parfois de réveiller son meilleur ami à New-York ou à Tel Aviv pour lui demander d’effectuer une recherche au milieu de la nuit, uniquement parce que vous avez envie de manger un bon steak en Australie. InfoJew remédie précisément à tous ces inconvénients !"

Inaugurés début mars – date à laquelle le numéro SMS sera disponible à l'adresse - www.infojew.com - les services d’Infojew inclueront les informations relatives à tous les restaurants cashers, synagogues, mikvés situés dans les principales destinations européennes.
Les horaires des prières, fêtes et shabbat, ainsi que les renseignements concernant les sites touristiques juifs, les centres Habad et les rabbins locaux seront ajoutés dans un proche avenir.

Grâce à la technologie développée par Linguistic Agents, les voyageurs peuvent poser leur question dans le langage courant. Le système est en effet suffisamment sophistiqué pour analyser et répondre de façon appropriée à chaque demande.
Dans le cas où la question ne serait pas suffisamment précise, InfoJew a la capacité de dialoguer avec l’utilisateur afin de demander davantage de précisions.
Par exemple si un voyageur juif arrive à Budapest et adresse un SMS à InfoJew en demandant : "Où puis-je dîner ?", la plateforme informatique lui renverra un SMS en lui demandant : "Dans quelle ville cherchez-vous un restaurant casher ?". Une fois la réponse transmise par l’utilisateur, InfoJew lui enverra la liste requise.

Le service n’est évidemment pas uniquement réservé aux voyageurs, mais également à tous ceux qui désirent connaître les horaires de Shabbat, ou la dernière limite pour faire 'minha' (prière de l’après-midi) à Beth Shemesh par exemple…

Seul petit bémol, les utilisateurs pourront uniquement formuler les requêtes en anglais ou en hébreu (depuis des portables israéliens ou américains), rien n’ayant été encore imaginé pour les francophones. Une lacune qui devrait probablement être comblée, dès que le succès de ce service sera assuré. Et cela ne devrait pas tarder.
Première serrure moléculaire
23 août 2007, 22:36
Première serrure moléculaire - Par le Docteur Rachel Levy-Toledano pour Guysen Israël News - Mardi 17 avril 2007 -

Que se soit pour retirer de l’argent à un guichet automatique, pour accéder à votre messagerie téléphonique ou e-mail ou même, pour entrer dans un immeuble parisien, vous avez tous, un jour ou l’autre, utilisé une serrure électronique. Pour l’activer, il vous faut taper un code exact qui est composé d’une séquence de chiffres ou de lettres préréglée qui peut être éventuellement modifiée. Et si cette serrure au lieu d’être uniquement électronique était également moléculaire ? C’est ce qu’a réalisé une équipe dirigée par le Professeur Shanzer de l’Institut Weizmann de Réhovot.

Cette équipe a conçu une molécule qui peut être utilisée comme un système de verrouillage miniaturisé à l’extrême. Elle contient des sondes fluorescentes qui émettent des couleurs différentes (bleu et vert) et des atomes (fer) qui réagissent différemment en fonction de l’environnement (ions, acido-basique et lumière ultraviolette).

L’innovation n’est pas tant le fait qu’on peut, selon l’environnement chimique et lumineux, faire basculer cette serrure moléculaire sur la position « ouvert » ou « fermé ». Cela, notre esprit béotien peut le concevoir et, les chercheurs l’avait déjà démontré. La nouveauté c’est qu’avec différentes combinaisons chimiques et lumineuses (composition et intensité) ce système non seulement exécute des opérations arithmétiques mais se comporte comme une serrure électronique.

En créant ce verrouillage numérique, le groupe du Weizmann a relevé un défi : celui de générer des séquences qui peuvent se distinguer l’une de l’autre. Sur une calculette, la séquence 2+3+4 donne le même résultat que 4+3+2, mais une serrure électronique réglée sur le code 234 ne fonctionnera pas si l’on presse le code 432. En contrôlant la durée de la stimulation, l’intensité de l’énergie lumineuse, qui influence la luminescence des sondes fluorescentes, les chercheurs on pu produire des réponses différentes du système moléculaire en fonction du « code » entré. Ils ont ainsi créé un véritable dispositif de verrouillage moléculaire extrêmement fiable et pratiquement infaillible qui ne réagira qu’au « mot de passe » chimique correct.

Selon le Professeur Shanzer, cette serrure se comporte comme un guichet automatique de banque. Même s’il est trop tôt pour proposer ces « claviers » moléculaires en remplacement des antivols actuels, les applications potentielles futures sont multiples dans des domaines aussi variés que la sécurité de l’information ou la médecine. Ils pourraient permettre d’élaborer des équipements de diagnostic ou de traitement, capables de détecter des marqueurs biologiques ou des changements indicateurs de maladies. « Des serrures moléculaires plus rapides et plus puissantes pourront servir de minuscules badges d’identité à puce électronique qui offriront la meilleure garantie contre la contrefaçon. » Ce n’est plus de la science fiction …
Ofek7 : Notre Horizon en orbite.
23 août 2007, 22:29
Ofek7 : Notre Horizon en orbite. - par Myriam Danan pour Guysen Israël News - Mercredi 13 juin 2007

Un nouveau satellite d’espionnage israélien a été envoyé en orbite dans la nuit de dimanche à lundi. 120 minutes après son lancement, il a commencé à contourner le globe terrestre. Le projet était connu, il est le résultat de plusieurs années de recherches, d’investissements et de préparation, mais la censure militaire n’a autorisé que relativement tard la publication de l’information, en tout cas bien après le décollage.

« Une grande fierté pour Israël, et un nouveau témoignage de l’indépendance technologique de notre pays » affirme Amir Peretz, ministre de la Défense. « Le meilleur de la technologie » certifie Shmouel Keren, chef de l’Administration responsable du développement des moyens de combats et infrastructures technologiques.

Surtout, Ofek 7 (Horizon 7) est un excellent moyen de surveiller les infrastructures suspectes des pays ennemis de la région, une source précieuse d’images et d’informations pour au moins quatre ans selon les responsables militaires. Entre les grandiloquentes déclarations iraniennes sur les progrès de la République islamique dans l’enrichissement d’uranium, et les informations contradictoires sur la préparation et le réarmement de la Syrie en vue d’une douteuse confrontation avec Israël, l’œil perçant et bienveillant d’un nouveau satellite est un outil bienvenu.

Mais plus qu’une prouesse technologique et un espion supplémentaire, Ofek 7 est aussi une revanche sur son prédécesseur, Ofek 6, qui avait sombré en mer peu après son décollage en septembre 2004.

Le nouveau satellite blanc bleu a décollé dimanche dans la nuit, à 2h40, de la base militaire de Palmahim et devrait fournir ses premières images d’ici 24 heures.

Il a été construit en association par plusieurs industries militaires, technologiques et informatiques, toutes israéliennes. Son appareil photographique par exemple, vient de chez Elbit, société spécialisée dans l’aéronautique et l’armement de pointe.

Son objectif pointera probablement sur l’Iran, en espérant que de nouvelles données fourniront un moyen de pression supplémentaire pour l’arrêt du programme nucléaire de Téhéran. Sans compter que la volonté iranienne de mener une politique spatiale indépendante n’est plus un secret pour personne, à défaut de constituer, pour le moment, une réalité dangereuse : « Ils (les iraniens) se servent de satellites russe et italiens, et ne possèdent pas pour le moment les infrastructures nécessaires ; de telles technologies ne s’acquièrent de toute façon pas en un jour. » affirme-t-on de source militaire.

Ofek 7 est un satellite photographe de seconde génération, capable de fournir une meilleure qualité d’images, et plus de précision dans le choix de ses objectifs. Il peut distinguer un objet de 70cm, a plus de 500km de distance. L’engin fait près de 300kg, est long de 2,3m, pour un diamètre de 1,2m. Il se déplace à une altitude qui varie entre 311 et 600km. Sa rampe de lancement, Chavit (Comète), est également de fabrication israélienne. Espérance de vie ? Quatre ans, sauf accident de parcours.

Selon le ministère de la Défense, « Un tel satellite a évidemment un rôle stratégique primordial. Mais plus leur nombre augmente, plus leur influence tactique est importante ». Selon ces mêmes sources officielles, les besoins opérationnels et de renseignements israéliens nécessitent l’envoi d’un satellite militaire tout les deux ans et demi. Autrement dit, Ofek 7 n’est ni le premier, ni le dernier de son espèce destiné à rejoindre l’espace sous le drapeau israélien.

Le coût exact du lancement du satellite est classé secret par le ministère de la Défense. « Le cinquième du prix que paient pour un produit équivalent les puissances occidentales » affirment des sources sécuritaires, se voulant rassurantes. Seule base de référence, le prix de l’échec de Ofek 6, 50 millions de dollars selon le ministère de la défense.

Depuis plus de 20 ans Israël s’applique à développer une politique spatiale aussi performante que celles des grandes puissances occidentales. L’Agence spatiale israélienne a été fondée en 1983. Le premier satellite israélien, Ofek 1, est envoyé dans l’espace en 1988. Depuis, pour sept lancements de satellites militaires réussis, on compte deux échecs, en 1998, et 2004.

Parallèlement, deux satellites de communication ont également été envoyés ces deux dernières années. L’industrie aérospatiale israélienne, l’un des principaux acteurs de fabrication du dernier satellite, reconnaît pour sa part que ses ventes devrait atteindre cette année la somme de 200 millions de dollars.

L’avenir israélien dans l’espace semble prometteur. Sans compter qu’au moins là-bas, on ne chipote pas nos frontières. Mais, en attendant, sur terre, les roquettes de fabrication palestiniennes, tirées grâce à des rampes de lancements irano syrienne n’ont toujours pas de parade, et s’abattent sans répits sur les habitations israéliennes. Le général Dan Harel estime qu'il faudra encore du temps pour développer un système d'interception de missiles Katioucha de courte portée. Le chef d'état-major adjoint pressenti affirme qu'aucun pays du monde n'a réussi à résoudre le problème et Israël sera sans doute, une nouvelle fois, un pionnier en la matière.
Source d'Energie en Israel : "Energy Towers"
20 août 2007, 06:36
Source d'Energie : "Energy Towers"

Une nouvelle énergie basée sur la convection de l'air

“….the bush is burning with fire, and the bush is not consumed.” [Exodus 3,1-3]

"Une équipe de chercheurs de la Faculté de Génie Agricole du Technion a abordé d'une toute nouvelle manière la production d'électricité. Ils ont nommé leur nouveauté Energy tower.

L'idée du professeur Dan ZASLAVSKY consiste à utiliser la convection de l'air à travers une tour creuse afin de mettre en rotation des turbines situées tout au bas de la tour. De fines gouttes d'eau froides pulvérisées au sommet de la tour s'évaporent en refroidissant l'air qui plonge au bas de la tour et fait tourner les turbines. Selon M. ZASLAVSKY, 40 tours de ce type pourraient générer assez d'électricité pour le monde entier, pour aujourd'hui comme pour demain.
L'équipe a crée l'entreprise Sharav Sluice afin de promouvoir l'idée et le Docteur Rami GUETTA, manager du projet, a déclaré que la compagnie était déjà en négociation pour construire une tour de 10 MW en Inde. D'autres pays comme l'Australie ou le Chili ont montré un sérieux intérêt pour le projet. Une compagnie française semblerait intéressée par la fabrication des pièces mécaniques des tours.
Une tour de 50 MW devrait être haute de plus de 600 m avec 400 m de diamètre.
Bien que la surface totale nécessaire pour une telle centrale soit deux fois celle d'une centrale conventionnelle, cela correspond seulement au dixième de la surface indispensable pour produire la même quantité d'électricité à partir de panneaux solaires. De plus la centrale peut fonctionner aussi bien de jour que de nuit. A la suite de la présentation de M. ZASLAVSKY lors de la conférence, les représentants du département américain de l'Energie se seraient montrés intéressés par les "Energy towers"."

"Michael BEIT, le Chief Scientist du ministère des Infrastructures, a annoncé que le géant francais Alstom était en négociation pour investir dans la construction d'une "Energy tower" en Israël.
Les "Energy towers", inventées par le professeur ZASLAVSKY du Technion, permettent de produire de l'électricité à partir de l'air chaud et sec du désert.
Lorsque l'air chaud et sec absorbe de l'humidité, il devient lourd et descend. Si cet air est enfermé dans une structure solide, il tombe encore plus rapidement, et sa vitesse pourrait permettre de mettre en rotation une turbine qui génèrerait de l'électricité.
Selon les calculs du professeur ZASLAVSKY, la tour ferait 1.000 mètres de hauteur (3 fois la Tour Eiffel!) et 400 mètres de diamètre. Elle devrait produire environ 800 MW, à un coût de 4,5 cents par kWh (approximativement le même prix que l'électricité produite grâce au gaz naturel).
De plus la tour pourrait être utilisée pour dessaler des centaines de millions de mètres cubes d'eau par an, à un coût de 30 cents par mètre cube (la moitié du coût d'une centrale conventionnelle de dessalement). Quasiment tout le coût du projet se trouve dans la construction de la tour (l'air du désert est gratuit!). Deux lieux du Neguev ont été pressentis: Arava et Pithat Shalom.
Selon M. BEIT, Alstom serait d'accord sur les bases scientifiques et fiscales du projet, et devrait obtenir l'aide financière du Fond de l'Union Européenne pour la Recherche et le Développement.
Source: Haaretz"


Pour en savoir plus (en Anglais):

wikipedia Energy Towers :

[en.wikipedia.org]

Energy Towers :
[www.iset.uni-kassel.de]

Dan Zaslavsky :

[physicaplus.org.il]
Re: Source d'Energie en Israel : "Energy Towers"
20 août 2007, 06:42
LU SUR ADRA

Par Henri le mercredi 21 mars 2007 - 16h10:

Source d'Energie : "Energy Towers"
Il y a qq annees, j'avais participe a la demande d'un brevet pour ce procede de production d'energie electrique.
Et la je vois que ce projet progresse.
Be atslaha.

===============================================================================================================

Par Lapid le mercredi 21 mars 2007 - 16h36:

Source d'Energie : "Energy Towers"

En fait, malgre sa rentabilite, meme si le projet progresse, il a du mal a vraiment se concretiser en Israel a cause du cout du projet et du manque d'investisseurs !
Une "usine à rosée" en plein désert du Néguev
01 septembre 2007, 00:02
LU SUR ADRA

Par Lapid le dimanche 18 mars 2007 -

Une "usine à rosée" en plein désert du Néguev

"Des chercheurs de l'université Pascal Paoli de Corse et le CNRS ont obtenu des résultats très encourageants sur la collecte de la condensation de vapeurs d'eau atmosphérique.

Ainsi, à l'initiative de la France, l'organisation mondiale pour l'utilisation de la rosée développe des projets communs avec l'Inde et Israël. Certains plastiques (dits radiatifs) permettent de condenser jusqu'à 0,6 litres d'eau pure par m2.

Une "usine à rosée" est en phase de test dans le désert du Néguev en Israël dans le dessein de recueillir plusieurs mètres cubes d'eau par nuit.

Ce système couplé à des capteurs photovoltaïques permettrait de produire eau et électricité en plein désert. Pour les pays en voie de développement, où l'amplitude thermique est importante, cela pourrait même se révéler être une révolution !"
Le centre de recherche solaire du Néguev
06 septembre 2007, 23:25
Le centre de recherche solaire du Néguev

Des scientifiques israéliens vont révolutionner le monde de l'énergie en
magnifiant le soleil 1000 fois. C'est un évènement historique.
Le centre de recherche solaire du Néguev permettrait une production d'énergie propre et quasigratuite.Le Professeur David Faiman,
directeur du Centre National de Recherche Solaire à Sde Boker
(Université Ben Gurion du désert), capital du Néguev, a réussi son pari .
Il aura mis 30 ans, toute une vie, mais son succès est bien là .

Sur la vidéo présentée ici, David Faiman présente sa « brique »
capable de magnifier le soleil plus de 1000 fois et de produire
45,000 watts par m3, un résultat hallucinant battant de loin
tous les records. Toujours selon ses mesures, 80 km3 seraient
suffisants pour produire assez d'énergie pour tous les habitants
d'Israël. Soit 0,3% du minuscule territoire israélien pour fournir 7
millions de personnes en énergie, et étant donné que le prix au m3
du désert du Néguev tend vers l'infinitésimal, on peut dire que
le projet pourrait apporter une énergie propre, renouvelable et
quasi-@#$%&. Ce professeur israélo-américain a mis son concept au point grâce à la technologie des concentrateurs à miroirs, c'est-à-dire une technologie nécessitant peu d'investissements puisque basée sur des éléments en verre, facile à produire à l'échelle industrielle.
Et les procédures d'usinage sont déjà pratiquement achevées .
Alors Sde Boker bientôt capitale mondiale du solaire avec la plus
grande usine au monde ? A bientôt la fin du pétrole ? La réponse sous peu.

SOLAR ENERGY TECHNOLOGY BREAKTHROUGH!





Source : Israel Time - 7 septembre 2007
[www.israel-times.com]
L'Union européenne et Israël on renouvelé, le 16 juillet 2007, leur accord de coopération scientifique et Technologique. - Guysen.International.News - 3 septembre 2007 -

Cet accord implique la participation au 7ème PCRD, au même titre que leurs homologues européens, des universités, entreprises et chercheurs israéliens de 2007 à 2013.
Israël prend part au programme de recherche de l'UE depuis 2002, date de lancement du 6ème PCRD. Au titre de cette coopération, Israël participe à hauteur de 440 millions d'euros au budget du 7ème PCRD. Dans le cadre de cet accord, l'UE devient pour Israël la seconde source extérieure de financement de la recherche. Le rôle d'Israël est crucial au sein du 7ème PCRD, insiste la Commission européenne. Ce pays sera par exemple le seul État hors UE à être associé à l'initiative "Ciel propre" visant à réduire l'impact du transport aérien sur la qualité de l'air notamment grâce à la réduction des gaz à effet de serre.
ISRAEL RECHERCHE : Une naissance en été favorise les risques de myopie.
02 septembre 2007, 14:02
ISRAEL RECHERCHE : Une naissance en été favorise les risques de myopie. - Par Mickael Finkelstein - Pour IsraelValley - 29 aout 2007 -

Les chercheurs israéliens mettent en évidence un lien entre une naissance en été et la myopie.

Selon une étude très sérieuse menée conjointement par plusieurs équipes israéliennes, il vient d’être prouvé que les bébés nés entre juin et juillet ont 24% plus de chance de devenir myopes que ceux nés entre décembre et janvier.

Les scientifiques, dirigés par le Dr Yossi Mandel, qui était ophtalmologue dans le corps médical de l’IDF (Israel Defense Forces), ont récupérés des données sur plus de 300 000 jeunes âgés entre 16 et 23 ans, ce qui représente une des plus grandes enquêtes épidémiologiques jamais réalisées.

Ces résultats ont été publiés dans le journal Ophthalmology. Ils montrent que les enfants nés en hiver peuvent voir « plus loin » que ceux nés en été et portent en général moins de lunettes que ces derniers.

Les chercheurs estiment que cette théorie est vraie de partout dans le monde et ne dépend pas de conditions géographiques.

Le professeur Michael Belkin de l’Université de Tel Aviv, co-auteur de la publication, suggère que la raison de cette différence est due à une exposition très tôt à la lumière naturelle pour les bébés nés en été.

Une analyse encore plus poussée en laboratoire a montré (chez des poulets) que le corps dispose d’un mécanisme qui « allonge » le globe oculaire (les myopes ont des yeux plus allongés que la normale) lors d’une exposition prolongée à la lumière. Ce mécanisme serait aussi associé à l’action de la mélatonine, un pigment sécrété dans le corps qui jouerait le rôle d’horloge interne, mais les scientifiques ne savent pas encore son rôle exact.
Un carburant à base d’algue
03 septembre 2007, 12:44
Découverte : un carburant à base d’algue -
Par Hanna Mesguishe - Pour Guysen International News - Lundi 3 septembre 2007 à 12:23

Lors de la 8e conférence internationale sur les biotechnologies maritimes qui s’est tenue à Eilat en mars dernier, la compagnie israélienne Seambiotic a fait sensation en révélant une découverte qui pourrait bien changer le monde des énergies renouvelables…

Seambiotic propose en effet d’industrialiser les cultures d’algues afin de produire de l’essence…

Alors qu’en France, la recherche commence à peine à s’intéresser à la fabrication de biocarburant à partir d’algues, Israël en est déjà au développement de ce procédé, et compte bien le commercialiser d’ici peu.

Dans un contexte de changements climatiques profonds, et dans l’optique d’une future crise énergétique, la compagnie israélienne a mis au point, après deux ans de recherche, un système révolutionnaire : au lieu de laisser le gaz carbonique des usines s’échapper dans l’atmosphère, il suffirait de le filtrer et de l’acheminer vers une piscine d’eau de mer remplie d’algues microscopiques.
Celles-ci se nourriraient alors de ce CO2, et seraient par la suite à même de produire de l’énergie.

En Israël, comme partout dans le monde, les centrales électriques et les usines polluent l’environnement.
Les chercheurs estiment qu’elles produisent près de 40 % des gaz à effet de serre.
C’est pourquoi il leur semblait astucieux d’utiliser ces gaz toxiques et d’éviter qu’ils ne se répandent dans l’air.

Cette technologie a donc été développée, puis testée par les chercheurs, avec la coopération de l’Israël Electric Corporation (IEC), qui a mis à leur disposition les infrastructures d’une centrale de charbon d’Ashkelon.

Les huit bassins d’eau de mer contenant les algues 'prototypes' ont été placés à plusieurs centaines de mètres des cheminées de la centrale, et le CO2, une fois rejeté par les turbines, a été aspiré par les végétaux.

Les chercheurs décrivent ce processus de 'biofixation'.

L’ingénieur en chef de la IEC, Gabriel Jinjikhashvily, explique que la performance de Seambiotic a notamment consisté " à séparer le CO2 des autres gaz. C’était le plus gros problème et c’est ce qui a fait la différence".

Si le développement de ce projet a déjà coûté plus de 2 millions de dollars au groupe Seambiotic, il devrait à terme, être rentable.

"Il s’agit de produire 1 litre d’essence à partir de 5 kg d’algues", explique le Président de la compagnie, Amnon Bechar.

Autre révolution, ces plantes sont non seulement capables de produire trente fois plus d’essence que d’ordinaire, mais en plus, le biocarburant produit n’est pas toxique puisqu’il ne contient pas de soufre, et a la faculté d’être biodégradable.

Cette nouvelle technologie semble susciter l’intérêt et la jalousie du monde entier.
Un professeur brésilien a récemment annoncé que "si la production d’essence à partir d’algues se révélait concluante, le Brésil arrêtera ses recherches sur la canne à sucre pour se concentrer sur les algues".

Depuis Eilat, la compagnie Seambiotic se voit sollicitée pour collaborer avec des usines électriques d’Hawaï, d’Italie, d’Inde ou de Singapour.

La compagnie envisage de construire son premier réacteur de biocarburant dès l’année prochaine.

Ainsi, peut-être qu’un jour cette verdure gluante vaudra de l’or…

Israël à la pointe des technologies hydrauliques
02 octobre 2007, 08:59
Israël à la pointe des technologies hydrauliques - par Yael Ancri - Pour Aroutz 7 - vendredi 7 septembre 2007 -

L’usine de dessalement de Palmakhim, qui a coûté 10 millions de dollars, a commencé à pomper de l’eau de mer de la méditerranée, pour la nettoyer et la dessaler, afin de fournir de l’eau douce à 300.000 personnes dans la région côtière. L’usine a été conçue pour pouvoir agrandir sa capacité de production et comprend sa propre centrale électrique.

Israël est devenu l’un des leaders mondiaux dans le développement de technologies permettant de résoudre le grave manque d’eau de nombreux pays dans le monde. Le gouvernement a accepté il y a deux mois d’augmenter le quota qu’il avait imposé sur la production d’eau dessalée de 230 millions de mètres cubes à 505 millions de mètres cubes. Une usine actuellement en cours de construction à Hadéra se joindra bientôt à l’effort de dessalement de l’eau de la méditerranée. Par ailleurs, trois autres usines devraient êtres construites dans les cinq ans à venir.

Le ministre des Infrastructures nationales, Binyamin Ben-Eliezer, a affirmé, au cours de la cérémonie d’inauguration de l’usine de Palmakhim, que les technologies hydrauliques restaient l’une des principales priorités du pays. Il a également indiqué que le reste du monde commençait aussi à se réveiller et à comprendre l’importance de faire le maximum pour ce qui est rapidement en train de devenir une ressource en voie de disparition.

L’industrie hydraulique israélienne comprend actuellement quelque 270 compagnies et organisations, travaillant sur la recherche et le développement (R&D) des technologies l’eau et employant 8.000 personnes.

Les données du ministère de l’Industrie, du Commerce et du Travail montrent que les ventes de technologies de dessalement, d’irrigation au goutte-à-goutte et de purification de l’eau ont rapporté en 2006 quelque 850 millions de dollars au Trésor israélien. En 2007, les ventes de l’industrie de l’eau devraient s’élever à 1,1 milliards de dollars. Le marché de l’industrie hydraulique croît chaque année de 14%.

Environ 60% des eaux usées sont recyclées. En plus de l’usine de dessalement de Palmakhim, on compte une usine à Ashkelon et une autre à Eilat, auxquelles se joindra bientôt celle de Hadéra.

L’usine de dessalement d’Ashkelon est la plus grande du monde, elle produit 100 millions de mètres cubes d’eau par an, en utilisant la technologie de traitement de l’eau de mer par osmose inverse (SWRO.) L’usine de Palmalkhim, construite par Via Maris Desalination, devrait produire 30 millions de mètres cubes d’eau par an, en utilisant là aussi la technologie de traitement de l’eau de mer par osmose inverse.
Pièces jointes:
dessalement eau de mer.jpg
Recherche Medecine
31 mai 2009, 13:12
ViRob, un nouveau robot révolutionnaire qui pourrait traiter le cancer du poumon. - Par M.F. - Pour Israel Valley - 31 mai 2009

Le Technion va présenter un mini-robot d’exploration (ViRob) lors de la prochaine Conférence en Israël sur les sciences de la vie, Biomed.

Ce robot aurait le potentiel de traiter le cancer du poumon en effectuant des opérations médicales à l’intérieur du corps humain.

Le ViRob pourra naviguer et explorer les différentes parties du corps humain, y compris les vaisseaux sanguins, le système digestif et le système respiratoire.

De plus, la structure unique de la structure du robot lui donne la capacité de se déplacer dans les espaces restreints et dans les passages courbes ainsi que la possibilité de rester pendant un temps conséquent à l’intérieur du corps, rendant la technologie révolutionnaire et idéale pour effectuer des opérations médicales peu invasives.

Moshé Shoham , directeur du Medical Robotics Laboratory du Technion, affirme : « Ce robot constitue une avancée majeure dans l’industrie biomédicale, puisqu’elle permet aux médecins d’accéder à des zones inaccessibles dans le corps avec un minimum d’intrusion dans le corps. La technologie permet un traitement centralisé, sans dispersion inutile dans les autres zones du corps.”

Les chercheurs israéliens sont aujourd’hui en train d’examiner la possibilité d’utiliser le ViRob pour le traitement du cancer du poumon – le plus meurtrier des cancers.

ViRob pourrait aider à l’administration ciblée de médicaments sur des tumeurs du poumon et à prélever des échantillons de différents tissus à l’intérieur du corps.

En outre, un certain nombre de ces micro-robots pourraient traiter simultanément plusieurs métastases. Les chercheurs prévoient également d’installer des équipements sur le robot, notamment des caméras, des pinces et d’autres équipements miniatures.

ViRob, qui mesure 1 millimètre de diamètre et 14 mm de long, a été développé dans le laboratoire du Prof Shoham au Technion. Le robot se déplace en utilisant un système d’allumage électromagnétique extérieur, stimulé par un champ électromagnétique inoffensif pour le corps, qui lui permet de manœuvrer dans les différents espaces et sur les surfaces de divers fluides visqueux. Les vibrations créées par le champ magnétique propulsent le robot vers l’avant.

Un prototype de ViRob, qui peut se déplacer plus vite que 9 mm par seconde a déjà été développé.—
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