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Energie

Envoyé par MeYeR 
Re: ENERGIE EN ISRAEL
03 mai 2011, 14:51
…Vers le pays où coulent le pétrole et le gaz ! - Par Pierre Benzaquen - 2 mai 2011

Depuis plus de trois mille ans, nous nous posons la question de savoir ce que Dieu voulait dire à son peuple (élu) quand Il lui promettait une manne si douce faite de lait et de miel ! Il n’est pas besoin de paraphraser le verset 3 du chapitre 33 du livre de l’Exode pour se réconforter à l’idée d’y trouver un sens au-delà du sens… Alors certes, si le lait et le miel peuvent aussi bien nourrir le corps que l’esprit de ceux qui ont choisi cette élection responsable, il n’en demeure pas moins vrai que ces marcheurs du désert se sont longtemps demandé pourquoi la nuée leur avait montré le chemin du Nord plutôt que celui du Sud. La Péninsule voisine était pourtant à portée de pas, et aucune panneau n’affichait clairement le « pays que Je t’indiquerai »…

Alors Israël s’est fait une raison, il a troqué un « brut » putatif pour une terre aride à faire fleurir dans la douleur et à la sueur de son front. Destin ? Allez savoir ! Mais la destinée est parfois capable de pieds de nez magistraux. Après avoir honoré leur part du pacte de l’Alliance, les enfants d’Israël ont dû gérer la guerre et l’exode, la vindicte et la rédemption. Et, aujourd’hui, 62 ans après l’ultime retour à sa terre, Israël est face à un nouveau défi. Ils ont alors creusé et, eux aussi, ils ont trouvé. La manne, pétrolière et gazière, était là depuis toujours. Elle attendait que le lait et le miel aient été cherchés, trouvés, goûtés et honorés. Elle attendait que le pays résistât à des voisins hostiles cinquante fois plus nombreux et six cent cinquante fois plus grands. Elle attendait que la démocratie et ses valeurs bibliques prévalent. Elle attendait la contribution juive à la science, dans les arts, les universités, la littérature, la philanthropie, le commerce, la finance, l’industrie et la politique. Et puis elle attendait peut-être que ses voisins s’essoufflent, avec leurs réserves en berne, à ne pas savoir convertir leur pétrodollars en inventions tant éthiques qu’économiques.

Mais avant d’imaginer pouvoir faire partie des géants énergétiques, Israël a fait germer ses idées. Le pays s’est ainsi lancé dans le développement des sciences en général, avec un nombre considérable de brevets scientifiques et médicaux, et des bioénergies en particulier. Il est aujourd’hui l’un des pionniers de la voiture électrique à travers le projet Better Place, avec tout un réseau de stations pour recharger ou échanger les batteries de ces véhicules.

Et puis la Providence, appelons-là comme ça, a détecté de fabuleux gisements de gaz et maintenant de pétrole, à partir de la 3ème plus grande réserve de schiste bitumineux du monde, après les Etats-Unis et la Chine ! Mais encore fallait-il trouver un remède à ce type d’extraction sale, anti-écologique et très couteuse, compte tenu des étapes particulièrement abrasives tant pour la nature que pour l’économie. Le Dr Youval Bartov, géologue en chef de l’Israël Energy Initiatives, précise que, puisque les sables bitumineux (mélange de sable, d’argile, d’un pétrole brut semi-solide et d’eau) sont dans le sol, mais à une faible profondeur, il faut[1]d’abord raser tout ce qui se trouve à la surface, forêts, végétation, agriculture, etc. Puis creuser, extraire, transporter, traiter par « lavages » successifs les minéraux, isoler le bitume d’où sera extrait le pétrole. On le voit, le processus est long, coûteux, sale et peu respectueux de l’environnement. Mais le Pr Bartov affirme que des chercheurs israéliens ont mis parallèlement au point une nouvelle technologie pour traiter ces sables, et dégager le pétrole du schiste, tout en améliorant la qualité des hydrocarbures produits. Et « cerise sur le gâteau », ces opérations seraient faites sous terre, comme dans une mine classique, sans avoir à détruire l’équilibre écologique en surface. Cette technique qui utilise l’eau présente dans le bitumineux pour laver la roche, permettra en même temps au final de produire de l’eau au lieu d’en consommer.

Quand ces inventions verront le jour, probablement dans les deux ou trois ans à venir, le Conseil Mondial à l’Energie précise qu’Israël pourraient alors extraire l’équivalent de 4 milliards de barils de pétrole, c'est-à-dire l’équivalent de cinq années de la production libyenne. Mais ces chiffres, pourtant exceptionnellement importants, sont actuellement l’objet d’une réévaluation qui démontre que les réserve israéliennes seraient en réalité équivalentes à 250 milliards de barils… Sachant que les réserves prouvées de l’Arabie Saoudite sont de 260 milliards de barils !

Il faut ajouter à cette valse de milliards, les gisements de gaz sous-marins au large des côtes israéliennes qui recèleraient, selon l’US Geological Administration, pas moins de trois mille milliards de mètres cubes, dont la plupart dans les eaux territoriales d’Israël. Phénoménal ! Soit plus de 20 ans de consommation domestique, sans compter le champ dénommé Léviathan qui serait totalement consacré à l’exportation.

Ces chiffres impressionnants représentent donc un fait nouveau et une révolution considérable dans le paysage géopolitique de cette région. Il faudra donc s’attendre à un ballet diplomatique notable, une spéculation des marchés et une redistribution des enjeux économiques et politiques. En ces temps d’instabilité qui portent ici ou là le nom de printemps de jasmin, de révolution Tahrir, ou autres convulsions orientales, les grandes manœuvres autour des enjeux essentiels du monde sont en train de se redéfinir.

Quand on sait qu’un des sens en hébreu de la manne est « le questionnement », peut-être aurons-nous la sagesse de ne pas donner de « réponses » immédiates à toutes ces questions qui bousculent nos idées reçues, nos préjugés et nos certitudes. Le monde change plus vite que nos comportements, et les ressources arbitrent. Israël, ce minuscule pays, va devoir faire face à sa « mission » parmi les nations : « … Vous serez pour moi (…) un peuple saint ».

Alors, Ainsi soit-il !


[1] Selon une étude menée par Nathan Zerbib dans Israël Magazine de mai 2011.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
06 mai 2011, 15:22
Energie : Une nouvelle source d'énergie propre à l'aide des piézoélectriques - Par Laurent Boue, Chercheur



En 1880 les frères Pierre et Jacques Curie ont été les premiers à observer un phénomène surprenant : quand certains corps (quartz, céramiques synthétiques...) sont soumis à des déformations mécaniques, ils répondent en générant un courant électrique. Bien qu'il soit maintenant reconnu que l'origine du phénomène piézoélectricité est liée à l'existence de certaines symétries de la structure cristalline, le sujet continue de faire l'objet d'une grande activité scientifique fondamentale et appliquée. Du point de vue technologique, les matériaux piézoélectrique sont utilisés dans de nombreux de domaines allant du sonar pour détecter des obstacles (conversion d'une onde acoustique en signal électrique) aux microbalances qui permettent des mesurer des masses très faibles (résonance électrique d'un disque de quartz).

Grace à une application astucieuse des propriétés exceptionnelles des piézoélectriques, la compagnie israélienne "Innowattech" développe depuis quelques années un moyen de production d'énergie "propre" qui contrairement aux énergies solaires ou aux fermes éoliennes ne dépend pas des conditions climatiques pour fonctionner. Président et co-fondateur de la compagnie, le Pr. Haim Abramovich a compris comment exploiter ses travaux de recherche à la Faculté d'Ingénierie Aérospatiale du Technion et les transformer en une technologie innovante.

L'idée consiste à équiper le réseau routier de générateurs piézoélectriques de manière à convertir l'énergie mécanique due au passage des voitures en énergie électrique. En effet, un générateur piézoélectrique stratégiquement placé à quelques centimètres de profondeur sous la route se déforme sous la pression exercée par le poids d'une voiture passant au-dessus. Comme les frères Curie l'ont découvert, cette déformation se traduit par l'apparition d'un courant électrique qu'il est possible de stocker dans des batteries.

Après la réussite de plusieurs tests de calibrage, principalement sur la route 40 autour de l'aéroport de Ben-Gurion, "Innowattech" a commencé son premier projet commercial en 2010 avec la compagnie Italienne de génie civil "Impregilo SpA". A la fin des travaux en 2013, les panneaux électroniques placés le long de l'Autostrada entre Venise et Trieste seront entièrement alimentés par l'électricité produite par les véhicules cirulants sur la route. En décembre 2010, "Innowattech" a débuté une collaboration avec la compagnie nationale ferroviaire israéliennes ("Israel Railways") et commence à placer ses générateurs piézoélectriques en dessous des rails de trains autour de la station de Haïfa. En plus de l'électricité produite par le passage des trains, les générateurs piézoélectriques permettront de recueillir des informations (mesures de vitesses et de poids, détection d'obstacles tels que des animaux traversant les voies) dans le but d'améliorer la sécurité du réseau ferroviaire et routier.


Source : BE Israël numéro 74 (3/05/2011) - Ambassade de France en Israël / ADIT - [www.bulletins-electroniques.com]

Vous pouvez en apprendre plus en visitant le site de la compagnie "Innowattech" : [www.innowattech.co.il]


[www.innowattech.co.il]

[www.innowattech.co.il]

Pour en savoir plus ( sur Harissa ) :

ENERGIE EN ISRAEL - Une route piézoélectrique pour transformer la circulation en électricité
- Date: 14 March 2010, 16:14
Re: ENERGIE EN ISRAEL
08 mai 2011, 09:34
Israël se prépare à produire 50.000 barils de pétrole par jour ! - Par Jonathan-Simon Sellem – JSSNews - 8 mai 2011

Une filiale du groupe américain IDT Energy est à la tête de ce qui pourrait être une révolution : l’exploitation de gisements de schistes bitumineux en Israël…

La société a déjà investi “des dizaines de millions de dollars” dans la préparation d’un projet pilote qu’il espère lancer d’ici la fin de 2011. “En cas de succès, dans quelques années IEI pourrait commencer à produire 50.000 barils de pétrole par jour, soit 20% de la consommation d’Israël, pendant 30 ans”, a déclaré Shafir.



La division de l’IDT qui possède IEI est appelée Génie de l’énergie, et elle a déjà attiré des investissements de Jacob Rothschild et du magnat des médias Rupert Murdoch. Ensemble, ils détiennent une participation de 5,5% pour une valeur de 11 millions de dollars.

Les réserves israéliennes de schistes bitumineux sont connues depuis des décennies. Un rapport daté de 2005, publié par l’US Geological Survey, qualifie Israël comme l’un des 14 plus gros pays potentiellement producteur… D’autant plus producteur que le prix du pétrole “normal” est aujourd’hui à plus de 110$ le baril, ce qui fait que l’extraction du schiste bitumineux devient économiquement viable.

Selon le ministère israélien des infrastructures, le schiste bitumineux couvre 15% du sol du pays. On estime alors qu’Israël a autant de pétrole que l’Arabie Saoudite.

Relik a déclaré que sa société pourrait produire du pétrole de haute qualité sur une grande échelle à un coût de 35 $ – 40 $ le baril.

Le permis de prospection de l’IEI couvre une petite superficie près de la vallée biblique d’Ella, juste à l’extérieur de Jérusalem, là où le Roi David combattit Goliath. Malheureusement, les habitants et les Verts s’opposent pour l’instant au projet pilote.

Et pour compliquer encore les choses, une mine de schiste a prit feu dans le Néguev en janvier 2011. Il a fallu plusieurs semaines pour éteindre l’incendie, causant des dommages à l’environnement et forçant la société à fermer la mine.

IEI explique aujourd’hui utiliser une technologie beaucoup plus récente, semblable à ce que le géant pétrolier Royal Shell utilise dans l’ouest des États-Unis et tente d’introduire dans la Jordanie voisine.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
13 mai 2011, 17:01
Energie Solaire flottant sur l’eau - 30 mars 2011

Solaris Synergy a développé des réseaux d’énergie solaire qui peuvent flotter sur l’eau, afin de réduire les coûts de production et prévenir les pertes d’eau.

Le coût de convertir la lumière en électricité est fortement affecté par les surfaces de terrain requises pour les fermes de panneaux solaires, et par le coût des cellules au silicium. En résolvant les deux problèmes d’un coup, Solaris Synergy, située à Jérusalem dans le parc industriel de Har Hotzvim, a aussi obtenu des bénéfices écologiques additionnels et en a été récompensée par l’Université de Tel Aviv. Son CEO, Yossi Fisher explique que chaque module, semblable à une brique de Lego, du système flottant de cellule Photovoltaique Concentrée (F-CPV) est face à un miroir courbe qui concentre la lumière du soleil sur une mince bande qui seule a besoin d’être recouverte d’un film de silicium. L’eau refroidissant le silicium, cela augmente son rendement de transformation de la lumière en électricité

Ce sont les seuls panneaux solaires à atteindre un rendement de plus de 20%.



Aucun terrain n’est nécessaire

Le système est construit en plastiques legers de manière à pouvoir flotter. On peut donc l’installer sur tout réservoir d’eau, lac ou étang. En plus d’économiser le terrain, il fournit aux bassins d’eau couverture qui réduit l’évaporation, et donc la production d’algues ou d’éléments organiques. Pour maintenir le soleil concentre sur la ligne de silicium, l’ensemble des panneaux tourne pour suivre le mouvement du soleil. Là aussi, le fait d’être sur l’eau élimine le frottement.



Les lieux où installer le système ne manquent pas

Des assemblages de panneaux de modules F-CPV, générant chacun 200 kilowatts, peuvent être adaptés à tout réservoir, lac ou étang. Il est particulièrement bien adapté aux regions à fort ensoleillement en Afrique, Asie, Australie, en Méditerranée et en Amérique du Sud, Centrale et au sud de l’Amérique du Nord. Placer de tels assemblages sur les 400 réservoirs d’eau recycle ou collectée en Israël permettrait d’atteindr ele bt fixé de générer de 10% à 20% de toute l’énergie par des moyens renouvelables.


Aquasun (photo Solaris Synergy)

2011, l’année du décollage

Un projet pilote sera opérationnel avec la Compagnie nationale des eaux Mekorot en 2011. Une deuxième installation pilote est prévue dans la region de Marseilles en coopération avec EDF, partiellement financé par le programme européen Eureka.


Source : SPNI-bulletin avril 2011

[ambisrael.fr]
Re: ENERGIE EN ISRAEL
15 mai 2011, 13:59
Les feuilles peuvent produire de l’électricité ! - 30 mars 2011

Des chercheurs du Technion ont réalisé une percée dans la création d’énergie biologique. Ils ont procédé à des changements dans le système de la photosynthèse naturelle; le Technion a déposé un brevet sur ce sujet et l’article publié est devenu hautement recommandé par une organisation mondiale d’experts en biologie.

La coopération interdisciplinaire au Technion a abouti à une percée dans le domaine de la bioénergie. Le Technion a déposé un brevet et les professionnels l’ont salué en parlant de “quelque chose de nouveau sous le soleil” et que cet achèvement est un premier pas vers la création de véritable énergie verte, “l’énergie la plus verte parmi les vertes”. Le papier a été publié dans “Proceedings of the National Academy of Sciences” – le prestigieux journal de l’Académie National des Sciences américains.

Le doyen de la faculté de Biologie, Gadi Schuster et le professeur Noam Adir de la faculté de Chimie ainsi que les doctorants Shirley Larom et Faris Salama ont enregistré un important succès sur la route de l’énergie verte. Ils ont réussi à manipuler le processus de photosynthèse (le processus par lequel les plantes absorbent l’énergie solaire et la transforment en énergie chimique) de telle manière qu’il devient possible de produire de l’électricité à partir des plantes. Les scientifiques ont étudié une protéine clé dans le processus de déplacement des électrons au cours de la photosynthèse. A l’état naturel, les protéines extraient des électrons de l’eau et les déplacent à travers une membrane dans les bactéries et les plantes. Les membranes empêchent les flux d’électricité biologique de s’échapper dans des processus subsidiaires. Les chercheurs ont changé un acide aminé -parmi les centaines trouvés dans la protéine- d’un acide aminé positif vers un acide aminé négatif et ont donc réussi à changer la direction de l’émission d’électrons pour permettre l’exploitation de l’énergie produite dans le processus pour un usage ultérieur.

La protéine créée exporte également des électrons à une fréquence assez haute pour produire une quantité d’énergie exploitable et dirige le flux dans une configuration qui permet une absorption efficace de cette énergie. Ce résultat a été obtenu sans changement artificiel nuisant à la protéine. Cela permet de faire croître l’organisme d’une manière entièrement naturelle et permet donc d’obtenir de grandes quantités de protéines à un coût assez bas et ce, sans gêner les processus industriels. Lors de la deuxième étape, les scientifiques du Technion ont cherché une protéine transportant des électrons qui absorberait les électrons émis et les transfèrerait vers une pile électrique. Ils ont trouvé qu’une petite protéine produite par le coeur des chevaux, le cytochrome C, est la plus compatible et remplit au mieux la fonction souhaitée.

Dans l’avenir, les chercheurs du Technion espèrent créer un mécanisme capable de convertir l’énergie biochimique en électricité et hydrogène dans leur forme utilisée quotidiennement. “Cela ne remplacera pas les centrales électriques mais cela peut fournir des quantités non négligeables d’électricité propre, particulièrement dans des endroits ou les réseaux électriques n’existe pas. On espère atteindre un niveau ou peu de feuilles, par exemple des feuilles de tabac, puissent fournir de l’électricité pour un certain nombre d’heures, équivalent à ce que fait une plaque photoélectrique d’un mètre carré” précisent Adir et Schuster.


Source : [ambisrael.fr]
Re: ENERGIE EN ISRAEL
31 mai 2011, 14:46
Israël bientôt Etat pétrolier ? - Guysen International News - 31 mai 2011

Le forage de gaz naturel Leviathan 1 pourrait produire 1.4 million de barils de pétrole avec 8% de chance géologique de réussite.

D’après les plans géologiques présentés lors d’une conférence à l’université Hébraïque de Jérusalem par le docteur Yaakov Mimran, chercheur au ministère des Infrastructures, le forage de Leviathan 1 montre une importante couche de pétrole à une profondeur de 7200 mètres. "A cette profondeur il peut y avoir du pétrole tout au long des côtes israéliennes. Il est donc possible qu’Israël devienne dans un avenir proche, une véritable puissance pétrolière", estime le Docteur Mirman.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
27 juin 2011, 01:15
ISRAEL: A MAJOR PLAYER IN THE GAS/OIL INDUSTRY { ISRAEL : joue un role majeur dans l'indusrie du Gaz et du Petrole } - Par LAWRENCE SOLOMON * - 11 Jun 2011 - National Post. Financial Post

Israël a un bassin d'hydrocarbures dont la potentialité est au moins équivalente aux réserves de l'Arabie saoudite!!!

Il y avait des problèmes techniques pour l'extraction mais la technologie actuelle permet de résoudre ces difficultés!!!

Les compagnies pétrolières qui ne voulaient pas s'y intéresser de peur d'avoir leur relations se dégrader avec les pays arabes sont a présent très interessées pour l'exploitation de ces champs pétrolifères et cela va mettre en cause la prédominance des pays arabes qui ont toujours exercé un chantage a la moindre opportunité!!!


Israel’s new energy

A new ‘oil weapon’ may help fight Arab dominance

In the first 25 years after Israel’s founding in 1948, it was repeatedly attacked by the large armies of its Arab neighbours. Each time, Israel prevailed on the battlefield, only to have its victories rolled back by Western powers who feared losing access to Arab oilfields.

The fear was and is legitimate: Arab nations have often threatened to use their “oil weapon” against countries that support Israel and twice made good their threat through crippling OPEC oil embargoes.

But that fear, which shackles Israel to this day, may soon end. The old energy order in the Middle East is crumbling, with Iran and Syria having left the Western fold and others, including Saudi Arabia, the largest of them all, in danger of doing so. Simultaneously, a new energy order is emerging to give the West some spine. In this new order, Israel is a major player.

The new energy order is founded on rock — the shale that traps vast stores of energy in deposits around the world. One of the largest deposits — 250 billion barrels of oil in Israel’s Shfela basin, comparable to Saudi Arabia’s entire reserves of 260 billion barrels of oil — has until now been unexploited, partly because the technology required has been expensive, mostly because the multinational oil companies that have the technology fear offending Muslims.

“None of the major oil companies are willing to do business in Israel because they don’t want to be cut off from the Mideast supply of oil,” explains Howard Jonas, CEO of IDT, the U.S. company that owns the Shfela concession through its subsidiary, Israeli Energy Initiatives. Jonas, an ardent Zionist, considers the Shfela deposit merely a beginning: “We believe that under Israel is more oil than under Saudi Arabia. There may be as much as half a trillion barrels.”

Because the oil multinationals have feared to develop Shfela, one of the world’s largest oil developments is being undertaken by an unlikely troop. Jonas’s IDT is a consumer-oriented telecom and media company that is a relative newcomer to the heavy industry world of energy development. Joining IDT in this latter-day Zionist Project is Lord Jacob Rothschild, a septuagenarian banker and philanthropist whose forefathers helped finance Zionist settlements in Palestine from the mid-1800s; Michael Steinhardt, a septuagenarian hedge fund investor and Zionist philanthropist; and Rupert Murdoch, the octogenarian chairman of News Corp. who uncompromisingly opposes, in his words, the “ongoing war against the Jews” by Muslim terrorists, by the Western left in general, and by Europe’s “most elite politicians” in particular.

Where others would have long ago retired, these businessmen-philanthropists have joined the battle on Israel’s side. While they’re in it for the money, they are also determined to free the world of Arab oil dependence by providing Israel with an oil weapon of its own. The company’s oil shale technology “could transform the future prospects of Israel, the Middle East and our allies around the world,” Lord Rothschild says.

To win this war, Israeli Energy Initiatives has enlisted some of the energy industry’s savviest old soldiers — here a former president of Mobil Oil (Eugene Renna), there a former president of Occidental Oil Shale (Allan Sass), over there a former president of Halliburton (Dick Cheney). But the field commander for the operation, and the person who in their mind will lead them to ultimate victory, is Harold Vinegar, a veteran pulled out of retirement and sent into the fray. Vinegar, a legend in the field, had been Shell Oil’s chief scientist and, with some 240 patents to his name over his 32 years at Shell, revolutionized the shale oil industry.

Before oil met Vinegar, this was dirty business, a sprawling open mine operation that crushed and heated rock to yield a heavy tar amid mountains of spent shale. The low-value tar then needed to be processed and refined. The bottom line: low economic return, high environmental cost.

Vinegar boosted the bottom line by dropping the environmental damage. No open pit mining, no spent shale, no heavy tar to manage. In his pioneering approach, heated rods are inserted underground into the shale, releasing from it natural gas and light liquids. The natural gas provides the project’s need for heat; the light liquids are easily refined into high-value jet fuel, diesel and naphtha. The new bottom line: oil at a highly profitable cost of about $35$40 a barrel and an exceedingly low environmental footprint. Vinegar’s process produces greenhouse gas emissions less than half that from conventional oil wells and, unlike open pit mining, does not consume water. The land area from which he will extract oil equivalent to that in Saudi Arabia? About 25 square kilometres.

Although the Israeli shale project is still at an early stage, its massive potential and Vinegar’s reputation have already begun to change attitudes toward Israel. “We have been approached by all the majors,” Vinegar recently told the press, and for good reason. “Israel is very well positioned for oil exporting” to both European and Asian markets. The majors have other reasons, too, for casting their eyes afresh at Israel. Through its natural gas finds in the Mediterranean’s Levant Basin, and with no help from the oil majors, Israel is becoming a major natural gas exporter to Europe. According to the U.S. Geological Survey, the Levant Basin has vast natural gas supplies, most of it within Israel’s jurisdiction.

Attitudes to Israel in some European capitals — those in line to receive Israeli gas — have already warmed and the shift to Israel may in time become tectonic, in Europe and elsewhere, when oil is at stake — 38 countries have an estimated 4.8-trillion barrels of shale oil, many of which would benefit from the shale oil technology now being pioneered in Israel. Speeding that shift could be the Arab Spring, which many fear will flip pro-Western Arab states into hostile camps. Long time U.S. ally Saudi Arabia is reportedly so distrustful of the U.S. following its abandonment of long-time Egyptian ally, President Hosni Mubarak, that it has pulled back its relationship with the West in favour of China.

Before 1973, when the Arab world first punished the West for its relationship with Israel, Israel was a favourite of the Left and of most of the free world. Under Arab punishment, much of the world started seeing the world through Arab eyes and turned on Israel.

But freed of the threat of Arab punishment, and in a new world energy order, Western countries may turn again, to their benefit. Rupert Murdoch well expresses the highest hopes of his partners: “If [our] effort to develop shale oil is successful, as I believe it will be, then the news we’ll report in the coming decades will reflect a more prosperous, more democratic and more secure world.”


* LAWRENCE SOLOMON : Lawrence Solomon is executive director of Energy Probe.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
30 juin 2011, 02:42
Découverte de deux nouveaux énormes gisements gaziers au large d'Israël - 30 juin 2011

La compagnie Hasharat Energia a annoncé jeudi la découverte de deux nouveaux gisements de gaz naturel offshore en Méditerranée. Selon la compagnie, "il y a plus de 50% de chances" pour que les réserves de ces deux gisements, baptisés Sarah et Mira, situés à 70 kilomètres au large de Hadera, s'élèvent à 184 milliards de m3. De telles réserves s'ajouteraient à celles des importants gisements Tamar et Léviatan, découverts à 130 kms de Haïfa. Les réserves de Tamar sont estimées à 238 milliards de m3 de gaz naturel et celles de Léviatan "pourraient atteindre le double et assurer la consommation d'Israël pour 25 ans", selon le ministère des Infrastructures nationales.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
02 juillet 2011, 23:00
Les centrales à l’énergie solaire, c’est maintenant pour Israël

Le champ solaire Ketura, un audacieux projet d’exploitation de l’énergie solaire, a été inauguré dans le désert du Neguev en Israel. La compagnie nationale électrique Arava a établi un partenariat avec Siemens et investi plus d’un milliard d’euros dans le développement de quarante autre sites similaires. Le but de ce projet : accroître la production d’énergie à partir de sources renouvelables et créer de l’emploi.


Inauguration d'une centrale solaire en Israël by NTDFrancais
Re: ENERGIE EN ISRAEL
24 août 2011, 06:05
ENTREPRENEURIAT ET CLEANTECH EN ISRAËL :
UNE FENÊTRE PHOTOVOLTAÏQUE INVENTEE PAR PYTHAGORAS SOLAR, UNE STARTUP DE TEL-AVIV.


Par IsraelValley Desk

Rubrique: Environnement

Publié le 23 août 2011

Avec sa technologie innovante de fenêtre photovoltaïque, la start-up israélienne Pythagoras Solar veut tout simplement réinventer la notion de solaire intégré au bâti, ou BIPV (Building Integrated PhotoVoltaic). Son credo ? Le solaire intégré partout. Elle n’hésite d’ailleurs pas à parler d’ubiquité solaire.

La société a été repérée cet été par General Electric, via son challenge Ecomagination. (1) Fenêtre photovoltaïque, mode d’emploi : Le principe est simple : les cellules photovoltaïques intégrées dans les vitres permettent de produire de l’énergie solaire (jusqu’à 250 Watts par vitre), énergie qui est ensuite réinjectée dans le système de chauffage ou d’électricité du bâtiment.

Composées de verre trempé, intégrant une couche de cellules photovoltaïques, ces fenêtres photovoltaïques ont été conçues pour capter 100% des UV et des rayonnements infrarouges. Côté prix, ces fenêtres d’un nouveau genre devraient être commercialisées à un prix 1,5 fois supérieur à des fenêtres haut de gamme.

GE est très active dans les technologies propres. Selon (2) : "Jeff Immelt, PDG de GE, estime qu’on ne met pas assez en avant les créations d’emplois générées par les investissements dans les énergies et l’environnement. Le PDG de General Electric (GE), Jeff Immelt, a expliqué la semaine dernière au MIT qu’il aimerait avoir moins passé de temps à parler des bénéfices environnementaux des technologies du groupe, et plus des emplois qu’elles créeront.

Jeff Immelt, qui conseille Barack Obama sur la création d’emplois, a expliqué que les éoliennes, les trains rapides, les systèmes d’économie d’énergie, sont vus par le public comme des sujets économiques. Reuters rapporte que le PDG de GE a commenté:

« S’il y a une chose que je recommencerais, ce serait de ne pas parler autant ‘vert’. Même si je crois au réchauffement climatique et à la science… ça a juste pris une connotation qui était trop élitiste; c’était trop ampoulé et ça a laissé les opposants penser que si vous aviez une initiative écologique, vous vous moquiez des emplois. Je suis un homme d’affaires. Tout ce dont je me soucie, c’est des emplois. »

L’argent injecté par les investisseurs dans les technologies énergétiques, solaire, éolien, smart grid, etc., va créer 10 à 15 millions d’emplois dans le monde, dont 3 à 5 millions aux Etats-Unis, selon Jeff Immelt."

Source: (1) [www.greenunivers.com] / (2) [www.smartplanet.fr]

[www.israelvalley.com]-
Re: ENERGIE EN ISRAEL
15 septembre 2011, 06:54
Plus de cent milliards de mètres cubes supplémentaires de gaz découverts en Israël - Par Gally - Pour JSSNews - 14 septembre 2011



Oui, vous avez bien lu, c’est bien, selon le réputé site web [www.globes.co.il], 127 milliards de mètres cubes de gaz (4.54 trillions de ft³) qui viennent d’être découverts devant les côtes israéliennes, dans 2 gisements dénommés Gabriella (270 km²) et Itzhak (127.7 km²) (1). Ceux-ci, situés à 10 kilomètres des côtes, entre Ashdod et Netanya, se trouvent donc sans la moindre contestation dans la zone économique exclusive israélienne.

Ces 2 gisements contiendraient de plus, selon les résultats des prospections sismiques pratiquées par les 2 compagnies qui en possèdent la licence d’exploitation (Adira Energy Corporation, canadienne, et Modiin Energy, israélienne), plus de 300 millions de barils de pétrole. Ces gisements sont de plus situés dans une zone où la profondeur maritime n’est que de 60 à 250 mètres.

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, nous apprenons ce jour que, suite aux difficultés israéliennes pour se faire approvisionner en gaz par l’Égypte (et après que l’Égypte ait réclamé une hausse du prix du gaz a la livraison), le gouvernement de Jérusalem a finalement accéléré les travaux d’acheminement du gaz découvert a 90 km de Haïfa, dans les eaux territoriales israéliennes. Il y aurait dans le puits de Tamar au moins 180 milliard de mètres cube de gaz naturel, soit pour 30 milliard de dollars d’exploitation.

Ainsi, le ministère de l’Intérieur a finalement émis une licence pour la pose d’une canalisation sous-marine, un gazoduc dernière génération, qui reliera la plateforme de forage au port d’Ashdod. La livraison était prévue à Hadera, mais la licence n’a pu être donnée a la ville pour plusieurs raisons non dévoilées par le gouvernement.

Le début des travaux du gazoduc, prévu le 15 septembre, impliquera 14 navires et pas moins de 2.509 ouvriers et ingénieurs. Les premiers mètres cubes devraient circuler des février 2013.

A ce rythme là, en ajoutant les gisements terrestres de pétroles présents sur ses terres, il est permis de se demander si Israël ne va pas devenir le premier producteur mondial d’hydrocarbures planétaire du siècle à venir !


(1) D’autres sources parlent quant à elles, le lendemain de l’article de Globes, de 1318 (!!) milliards de mètres cubes.
Re: ENERGIE EN ISRAEL
23 octobre 2011, 13:02
EDF ENERGIE NOUVELLES (FILIALE DE EDF) DEVRAIT, AVEC VEOLIA, CONSTRUIRE CINQ PARCS SOLAIRES EN ISRAËL.
D'AUTRES PROJETS SONT EN COURS

Par Jonathan-Simon Sellem

Rubrique: Energie

Publié le 23 octobre 2011

EDF devrait prendre en main une partie des opérations israéliennes de développement des énergies renouvelables. La filiale d’EDF, EDF Energies Nouvelles devrait développer des petites et moyennes fermes solaires en collaboration avec Veolia Environnement en Israël. Israël est l’un des pionniers en matière d’énergie solaire.

EDF-EN devrait construire cinq parcs solaires d’une capacité totale de 39,5 mégawatts sur les terres des kibboutz Gvulot, Lahav, Nahal Oz, Miflasim et Samar. La société Dalkia Israel Ltd fournira les services de maintenance et d’opérations pour les sites construits par EDF. Dalkia construira également des centrales privées, des centrales de cogénération et des centrales électriques biomasse.

EDF-EN a commencé à fonctionner en Israël il y a deux ans. Avec Dalkia, c’est la construction de centrales solaires avec une capacité totale de 150 mégawatts qui est prévue.

EDF a par ailleurs remis un dossier au ministère de l’énergie pour construire et exploiter la centrale photovoltaïque de 30 mégawatt à Ashelim. La société envisage également de prendre des parts dans les énergies éoliennes et de biomasse en Israël.

[www.israelvalley.com]
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