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Jerusalem

Envoyé par lapid 
Jerusalem
20 mai 2009, 14:38
760 800 Hiérosolomytains - Par Jerusalem Post edition francaise - 20 mai 2009

La population de Jérusalem s'élève à 760 800 habitants (soit une augmentation d'1,8 % en 2008) et représente 10 % de la population d'Israël, malgré une tendance à l'exode de la capitale.



Des Arabes de Jerusalem est, près de la porte de Damas.

Ces données, du Centre d'Etudes israéliennes de Jérusalem, ont été publiées pour Yom Yéroushalaïm, (la Journée de Jérusalem), jeudi.
La population juive a augmenté d'1 % en 2008, la communauté arabe de 3 %.

La population de Jérusalem consiste en 476 000 juifs (64 %), 247 800 musulmans (33 %), 12 600 chrétiens arabes (2 %) et 2 600 chrétiens non arabes (0,3 %). Un seul pour cent a déclaré n'être affilié à aucune foi.

Depuis la libération de la capitale durant la guerre des Six Jours en 1967, la population de Jérusalem a augmenté de 186 %, la population arabe de Jérusalem Est de 291 %, soit deux fois le taux de croissance de la population juive.

Le tourisme hiérosolomytain a atteint des sommets en 2008 : 1 354 300 touristes ont séjourné dans des hôtels de Jérusalem, soit une augmentation de 10 % depuis 2007 et de 12 % depuis 2000.

Le nombre de haredim employés dans l'industrie de la capitale a augmenté de 70 % ces cinq dernières années, d'après Itzhak Reif, président de la branche hiérosolomytaine de l'Association des fabricants d'Israël.

Reif avait en effet exigé aux chefs spirituels de plusieurs groupes ultraorthodoxes de la capitale de permettre à leurs fidèles de poursuivre une éducation technologique et une carrière dans l'industrie.

Quelque 2 800 haredim seraient employés dans 380 usines de production de la ville.

D'après Reif, la plupart d'entre eux sont des programmateurs informatiques. Dans les entreprises qui les embauchent, les haredim représentent entre 2 et 10 % des salariés.

Quelque 20 000 haredim sont employés dans l'industrie à travers le pays. 11 000 d'entre eux sont des femmes.
Re: Jerusalem
20 mai 2009, 18:24
Yom Yeruchalaïm 5768 - Par Le Pasteur Gérald Fruhinsholz - 3 juin 2008



....Cette année, le soleil est radieux et Jérusalem exulte, ses rues remplies de sa belle jeunesse et de ses touristes nombreux.

Une ville réunifiée ?...

Israël fête à ce jour la réunification de la ville faite en juin 1967 au cours de la guerre des Six jours. Redisons-le, c’est important, que les Israéliens ne voulaient pas s’occuper de Jérusalem, étant attaqués de toutes parts. C’est sur l’entêtement du roi de Jordanie, que les troupes de Moshé Dayan ont effectivement pris la vieille ville, permettant la réunification.

On peut contester aujourd’hui le fait de cette réunification. Jérusalem est-elle vraiment « une ville unie », comme le souligne le Psaume 122 ?... Par exemple, est-il possible à un Juif de se promener librement dans le quartier-Est de Jérusalem ? – Non, car il risquera grandement sa vie, alors que l’inverse est possible : de nombreux Arabes flânent dans les rues de la ville moderne et achètent dans les magasins en toute liberté. Certains diront que cette réunification faite en 1967 n’a profité qu’aux seuls Arabes, qui bénéficient des allocations israéliennes… On dit aussi que le Mont du Temple est le seul endroit au monde où un Juif ne peut même pas bouger les lèvres, car cela signifierait qu’il prie, et cela les Musulmans, souverains sur le Har habeit / le Mont du Temple, l’interdisent comme aux chrétiens d’ailleurs. Le lieu du Temple de Salomon que le roi David avait acheté de ses propres deniers ou plutôt shekels, est loin d’être « réunifié ».

Le danger de l’internationalisation



Contester la réunification est cependant dangereux. Cela ouvre la porte à un éventuel partage de la ville qui est dans l’air du temps, selon les désirs de l’Autorité Palestinienne souhaitant Jérusalem comme capitale[2] de la Palestine. Cette situation de séparation au milieu de la ville serait dramatique, en faisant naître la probabilité du terrorisme aux portes de la ville sainte. Qui voudrait cela ?... D’une manière ou d’une autre, les Nations Unies se sentiraient obligées d’intervenir et en fin de compte les Hiérosolymitains[3] se verraient encore moins chez eux. L’internationalisation de la ville, idée chère à beaucoup, serait alors à l’ordre du jour. Elle satisferait l’Europe, le Vatican et l’Islam, mais ce serait certainement au détriment du peuple juif. Car le monde n’attend qu’une chose, celle de pouvoir ravir des mains d’Israël la ville sainte.

Des faits incontournables, prophétiques

Réalisons certains faits historiques qui sont des signes prophétiques : Jérusalem a été réunifiée en juin 1967 : cela s’est fait 50 ans après que le général Allenby ait libéré la ville de 400 ans de domination des Ottomans, en 1917. Le général Allenby, un chrétien, en accord avec ses officiers, ne voulut pas rentrer dans la ville de David sur son cheval, par respect pour le peuple juif, sachant le statut important de Jérusalem à leurs yeux.

1917-1967 - Y a-t-il un hasard ?... 50 ans, c’est un jubilé, une délivrance. Nous pouvons voir un autre fait providentiel : le roi de Jordanie déclara la guerre à Israël durant la guerre des Six jours, parce qu’il croyait la radio égyptienne criant victoire, alors que toute son aviation avait été clouée au sol. Les armées arabes étaient défaites, victimes de leurs propres mensonges. Cela permit l’entrée des soldats israéliens à Jérusalem et en Judée-Samarie, et Israël a vu son territoire être multiplié par trois. Dans toutes les nations qui ont vécu des conflits territoriaux, on appelle cela des prises de guerre qui donnent au vainqueur le droit d’en disposer. Curieusement, on refuse à Israël le droit d’appliquer cette règle.

Dira-t-on alors que ce jour de la libération de la ville sainte n’est pas un jour important ? Il l’est, quels que soient les problèmes de la cohabitation. Ne pas fêter cette journée équivaudrait à dire avec certains hommes politiques antisémites qu’Israël « n’est qu’une parenthèse de l’Histoire ». En fait, si la paix n’existe pas encore au Proche-Orient, cela ne dépend pas seulement d’Israël, loin s’en faut. On peut ainsi se dire que si Israël avait pu passer le budget de l’armée et de la sécurité dans le social, le culturel, le médical et autres activités dans lesquelles Israël excelle, la vie aurait encore été meilleure… Donc, affirmons-le, oui, Jérusalem a été réunifie en juin 1967, et oui, la création de l’Etat hébreu en 1948 n’est pas due au hasard.

L’accès libre du Kotel



Qui ne se souvient du moment où les paras du colonel Gurr, après des batailles acharnées de rues, sont arrivés au mont du Temple puis au Kotel ?... Un moment inoubliable pour les soldats et le rabbin Schlomo Goren qui sonna le Shofar à cette mémorable occasion. « Le Kotel est à nous ! », s’écrièrent-ils tous, d’une seule voix.

Voilà un acquis inégalable de la réunification pour le peuple juif en ayant pu libérer l’accès du Mur occidental, cette portion de fondation, rappel dérisoire mais tellement émouvant de l’existence du Temple de Salomon. Les Jordaniens avaient eux-mêmes détruit toutes les synagogues et limité à l’extrême la possibilité de prier au Kotel. Aucune nation ne s’en était émue à l’époque. Et maintenant qu’Israël est souverain sur la ville, tous les lieux de culte des différentes religions sont respectés.

« L’an prochain à Jérusalem »

Ce jour de Yom Yerushalaïm est un jour de liesse. Cela faisait des siècles que chaque juif dispersé dans le monde durant plus de 2000 ans, répétait dans la prière : « L’an prochain à Jérusalem ». Voilà une promesse qui trouve son accomplissement. Et même si ce fait est terni par de nombreux obstacles à la paix, chaque nation peut venir à Jérusalem rendue belle par la souveraineté d’Israël sur cette ville. Elle lui appartient de droit non seulement parce qu’elle l’a conquise, comme David l’a conquise il y a trois mille ans, mais parce que c’est inscrit dans la Bible.

« Ceux qui se confient en l’Eternel sont comme la montagne de Sion : elle ne chancelle point, elle est affermie pour toujours. Des montagnes entourent Jérusalem ; Ainsi l’Eternel entoure Son peuple, dès maintenant et à jamais » - Psaume 125

Notes :

[1] Carte de Medeba. Cette carte faisait partie du plancher d'une église byzantine, bâtie pendant le règne de l'empereur Justinien (527-565). Elle représente la plus ancienne carte du la Terre Sainte existante. Le village arabe de Madaba se situe à 32 km au sud d’Amman en Jordanie.
[2] Sachons pour information qu’aucun Etat arabe n'a revendiqué quoi que ce soit pour que les Palestiniens aient un Etat avec Jérusalem pour capitale…jusqu'en 1967.
[3] Les habitants de Jérusalem.
Re: Jerusalem
20 mai 2009, 19:00
YOM YERUSHALAYIM - Le Jour de Jerusalem

En mai 1967, l’Egypte bloque le Detroit de Tiran, empêchant les bateaux israéliens d’y naviguer et leur coupant donc le passage vers Eilat. C’est le fait déclencheur de la Guerre de Six jours, qui opposent du 5 au 11 juin 1967, l’armée israélienne à une coalition formée par les armées d’Egypte, de Jordanie, de Syrie et d’Irak. En six jours, Israël remporte la victoire militaire et défait les armées adverses tout en triplan sa superficie.

Mais l’un des faits les plus marquants de cette courte guerre est la reprise de la vieille ville de Jérusalem. Cette réunification de Jérusalem est célébrée le jour de Yom Yerushalayim.

En effet, le plan de partage des Nations Unies de 1947 comprenait la création de deux états, un juif et un arabe, avec la ville de Jérusalem qui devait restée une ville « internationale » pendant 10 ans. A la fin de cette période, les habitants de la ville, appelés les hiérosolymitains, devaient se prononcer par référendum sur le pays au quel ils voulaient être rattachés. A l’époque, si les Juifs acceptent cette proposition, les Arabes quant à eux la refusent.

Juste après la déclaration d’indépendance de l’Etat d’Israël de mai 1948, les pays arabes alentours déclenchent une guerre contre leur nouveau voisin. A la fin de celle-ci, Jérusalem est divisée en deux, les Jordaniens prenant le contrôle de Jérusalem Est et de la vieille ville. Ces derniers chassent les habitants juifs de la vieille ville, détruisent de nombreuses synagogues s’y trouvant et profanent le cimetière du Mont des Oliviers en utilisant les pierres tombales pour paver les routes.

Ce n’est que 19 ans plus tard, lors de la guerre des Six jours en 1967, que l’armée israélienne reconquiert la vieille ville de Jérusalem. Le 6 juin 1967, soit le 28 Yiar du calendrier hébreu, les troupes arrivent dans la vielle ville, au pied du Mur Occidental. Moshé Dayan, alors ministre de la Défense, y prononce un discours sur la réunification de Jérusalem tout en tendant la main aux Arabes pour la paix et en promettant aux chrétiens et aux musulmans qu’ils pourront vivre leur foi librement à Jérusalem.

Durant la Guerre des Six Jours, 182 soldats israéliens sont morts dont 37 à Amunition Hill, au nord de Jérusalem dans ce qui a été une des batailles clé pour la reconquête de la ville. Ce lieu est d’ailleurs depuis devenu un musée à la mémoire des combattants de cette guerre – voir notre balade n°5.

Le 12 mai 1968, le gouvernement israélien proclame le 28 Yiar, Yom Yerushalayim, jour de Jérusalem, en souvenir de la réunification de la ville. Et le 23 mars 1998, la Knesset, le parlement israélien, vote une loi faisant de Yom Yerushalayim un jour férié national.

Yom Yerushalayim est depuis fêté en Israël mais aussi dans beaucoup d’autres villes du monde et notamment à New York, la ville jumelée avec Jérusalem.

Ce jour là est considéré pour la plupart des israéliens comme un jour de fête. On ajoute aux offices quotidiens la prière du Hallel, qui marque la solennité du jour. A Jérusalem de nombreuses fêtes, concerts, feux d’artifices et parades sont organisés la veille au soir et toute la journée de Yom Yerushalayim.

Source : [jerusalem-info.com]

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Le président de la Knesset Reouven Rivlin a déclaré que le monde arabe doit reconnaître Israël en tant qu'Etat juif lors d'une rencontre avec l'ambassadeur d'Egypte. ''L'unique probabilité d'aboutir à la paix réside dans la reconnaisance par le monde arabe du caractère juif d'Israël et de l'unicité de Jérusalem''. 20 mai 2009





Liens :

[www.lysdesaron.com]

Jerusalem : Notre joie au Jour de fête de Jérusalem-que-nous-aimons : [www.modia.org]

Yom Yerushalaim
20 mai 2009, 22:15
Jérusalem réunifiée fête ses 42 ans - Par Esther Stefanelli - Pour Guysen International News - 20 mai 2009



Jeudi 21 mai, les israéliens célébreront les 42 ans de la réunification de Jérusalem. A cette occasion, de nombreux événements seront proposés dans la ville, dont la grande parade musicale jusqu’au mur Occidental, et autres concerts … L’occasion de revenir sur les événements qui ont conduit à cette réunification, et de faire le point sur l’actualité de la capitale de l’Etat juif moderne.

Divisée pendant la guerre d’Indépendance, la ville de Jérusalem a été réunifiée 19 ans plus tard lors de la guerre des Six jours. La bataille de Jérusalem a commencé le 5 juin 1967 lorsque les Jordaniens ont ouvert le feu le long de la ligne de cessez-le-feu.
A cette date Israël se trouve confronté à une situation délicate : l’ouverture de trois fronts simultanés, la neutralité des Etats-Unis et l’embargo sur les armes dans la région, alors que les pays Arabes sont largement soutenus par l’Union Soviétique qui les ravitaille en armement.
C’est la deuxième guerre de survie qu’Israël se doit de remporter.

Le 7 Juin, l’infanterie de Tsahal entre dans la Vieille Ville. Les soldats arrivent devant le mur occidental. Moshe Dayan, homme phare de la guerre des Six Jours affirme solennellement : « Ce matin, Tsahal a libéré Jérusalem, la capitale divisée d’Israël. Nous sommes revenus au plus saint de nos lieux saints et nous ne nous en séparerons jamais ».

Dans la liesse, on déclare « « Jérusalem réunifiée et capitale éternelle et indivisible du peuple juif ». Cette déclaration sera réaffirmée par la Knesset en 1980 dans une loi fondamentale israélienne : la Loi de Jérusalem, qui regroupe également les différents attributions des pouvoirs (exécutif, législatif…).
Un an plus tard, le 12 mai 1968, le gouvernement israélien proclame le 28 Iyar (selon le calendrier juif) jour férié, qui devient fête nationale en 1998.

42 ans plus tard, Jérusalem réunifiée vit toujours, au rythme d’une population mosaïque et toujours plus nombreuse.

En 2008, sa population, représentait 10% de la population israélienne, et était estimée à 760 800 résidents, dont 492 000 juifs et 35% d’arabes.
Depuis la réunification de la ville, sa population a augmenté de 186%.

Parce qu’elle traverse les siècles et les traditions, Jérusalem continue d’attirer les touristes. Pèlerins, historiens, passionnés d’architecture ou simples curieux, des voyageurs de toutes confessions se rejoignent dans cette ville où convergent les civilisations. En 2008, on a comptabilisé près de 1 400 000 visiteurs ayant séjourné dans ses hôtels, soit 10% de plus qu’en 2007, un chiffre en constante augmentation.
Chaque année l’Institut de Jérusalem pour les études israéliennes transmet des données sur la ville et ses habitants.

Si les gens viennent en nombre visiter la « ville trois fois sainte », nombreux sont ceux qui viennent aussi s’y installer. Ce sont quelques 2 000 nouveaux arrivants qui ont élu la capitale israélienne comme nouveau lieu d’installation en 2008. Un chiffre qui ne cesse d’augmenter : dans les années 90, 6% des nouveaux arrivants élisaient domicile à Jérusalem, contre 15% en 2008 (données transmises par l’Institut de Jérusalem pour les études israéliennes).

Comme pour Yom Ha’atzmaout (fête de l’indépendance), le Grand Rabbinat d’Israël a décrété que cet événement devrait être célébré dans la joie et par des prières. La parade annuelle, qui a lieu tous les ans depuis la libération de la vieille ville, réunit ainsi des centaines de petits et grands pour une marche musicale dansante qui les mènera jusqu’au mur Occidental. Là auront lieux des prières et des danses, pour célébrer la Ville d’or.

De nombreux événements seront organisés. Jeudi soir à 20h30 sera diffusé un film au Centre Begin. Il sera également possible de suivre les traces des héroïques soldats de la guerre d’Indépendance dans le quartier Juif avec le film intitulé ‘Alone in the Rampart’ (Seuls dans les remparts). La projection sera suivie de l’intervention de Natan Gini, qui racontera son expérience en tant que soldat en 1948.

Le Consistoire Central de France se joindra aussi à la célébration. Pour l’occasion, un voyage, dirigé par le nouveau grand Rabbin de France Gilles Bernheim, a été organisé par l’organisation, du 18 au 23 mai. Au programme, des rencontres avec des personnalités politiques et les grands rabbins d’Israël, des excursions, un shabbat plein à Jérusalem et une nuit de gala.

Dernier née du calendrier israélien, la célébration de l’unité de Jérusalem a une grande place dans le cœur des habitants du pays, et des juifs du monde entier. Quelques semaines après avoir fêté l’indépendance du pays, Yom Yeroushalaim est réellement un événement à ne pas manquer !
Re: Yom Yerushalaim
20 mai 2009, 22:41
Guerre des 6 jours / Prise de Jérusalem

Quelques clips video

La guerre des 6 jours est une guerre où Dieu a révélé au monde entier qu'Il se tenait du côté d'Israel et Il montra aux nations du monde qu'Il rendit comme Il avait promis par la bouche des prophètes Jérusalem : "La ville du Grand Roi Yeshoua" au peuple Juif !

Sachant qu'Israel est l'horloge Divine pour nous situer sur les prophéties de la fin des temps, il reste maintenant la prochaine prophétie après Jérusalem qui est la construction de 3ème Temple puis ensuite le règne de Yeshoua pendant 1000 ans sur terre !



Les voix des soldats de Jérusalem

Alors qu'Israël commémore le quarantième anniversaire de la guerre des six jours, les communications des soldats qui ont libéré la partie orientale de Jérusalem demeurent passionnantes. Les voici, ...





Guerre des 6 jours / Prise du Mont du Temple

La guerre des 6 jours est une guerre où Dieu a révélé au monde entier qu'Il se tenait du côté d'Israel et Il montra aux nations du monde qu'Il rendit comme Il avait promis par la bouche des prophètes Jérusalem : "La ville du Grand Roi Yeshoua" au peuple Juif !



Sachant qu'Israel est l'horloge Divine pour nous situer sur les prophéties de la fin des temps, il reste maintenant la prochaine prophétie après Jérusalem qui est la construction de 3ème Temple puis ensuite le règne de Yeshoua pendant 1000 ans sur terre !


l y a quarante deux ans les forces de Tsahal libéraient la vieille ville de Jérusalem offrant au peuple juif un retour tant attendu dans sa capitale historique. Avec la prise du Mur occidental (Kotel), la guerre des six jours a pris un tournant historique mettant fin à 2000 ans d'exil. Infolive.tv a rencontré des Israéliens en simple visite ou venus célébrer leur Bar Mitsva.





Quarante bougies pour une capitale unie

Pour beaucoup de Juifs, se rendre dans la Vieille ville de Jérusalem et prier au Mur occidental est un geste simple, évident. Pourtant, il n'y a encore pas si longtemps, les Israéliens n'avaient pas accès à cette partie de la ville. Jérusalem, capitale éternelle du peuple juif était scindée. Mais il y a quarante ans, les combats engagés dans le cadre de la guerre-des-six-jours rendaient son unité à la ville d'or. - 14 mai 2007





Ils sont de retour sur la colline des Munitions

l y a quarante ans, non loin du Mont Scopus, se déroulait l'une des batailles les plus sanglantes mais les plus capitales de la guerre des Six jours. La bataille de la colline des Munitions appartient désormais au mythe. Infolive.tv vous fait découvrir ce qu'il s'est véritablement passé ce jour là à travers les yeux des anciens combattants de la battaille de Jérusalem. 20 mai 2007





Yom Yerushalaim
22 mai 2009, 08:18
Netanyahu: "Jérusalem capitale éternelle et indivisible d'Israël" - Jeudi 21 mai 2009

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a répété cette après-midi que Jérusalem "restera" la capitale unifiée d'Israël, lors d'une cérémonie marquant le 42ème anniversaire de la conquête et de l'annexion du secteur oriental de la ville. "Jérusalem est la capitale d'Israël. Elle l'a toujours été, le restera pour toujours et ne sera jamais divisée", a déclaré Bibi durant cette cérémonie à la Colline des munitions, haut lieu des combats qui ont opposé les troupes israéliennes à celles de la Jordanie durant la guerre israélo-arabe de juin 1967.

Israël observe le calendrier hébraïque lunaire pour marquer cette cérémonie annuelle. "Le lien du peuple juif et de Jérusalem remonte à des milliers d'années (...) Elle restera unifiée sous notre souveraineté. Jamais depuis que la ville a été réunifiée, la liberté de culte pour tous n'a été aussi pleinement assurée", a poursuivi M. Netanyahu. Peu auparavant, le chef de l'Etat hébreu, Shimon Peres, avait de son côté déclaré: "Jérusalem a été et restera la capitale d'Israël, et n'a jamais été la capitale d'aucun autre Etat".

Quelque 200 Palestiniens et Israéliens ont de leur côté manifesté jeudi à Jérusalem-est contre l'annexion par Israël de Jérusalem-est.

Cette annexion de facto a été complétée par le vote le 30 juillet 1980, d'une "loi fondamentale" proclamant Jérusalem "réunifiée et capitale éternelle d'Israël". Des députés de la coalition de droite au pouvoir en Israël ont annoncé jeudi le dépôt d'un projet de loi contre toute concession sur Jérusalem, exigeant une majorité spéciale pour toute modification des limites municipales.

Le précédent gouvernement israélien avait laissé entendre qu'Israël pourrait renoncer à sa souveraineté sur certains quartiers arabes de Jérusalem-est dont les Palestiniens veulent faire la capitale de leur futur Etat.

Mais l'actuel gouvernement de droite dirigé par Benjamin Netanyahu, issu des élections du 10 février, écarte une telle option.

La population actuelle de Jérusalem s'élève à 760.800 personnes dont près de 492.400 juifs (65%) et 268.400 Arabes (35%), presque tous des Palestiniens de Jérusalem-est, selon des chiffres publiés cette semaine par l'Institut de Jérusalem d'études israéliennes.
Yom Yerushalaim
22 mai 2009, 08:22
Une loi pour le statut de Jérusalem - Par Claire Dana-Picard - Pour Actu.co.il - 21 mai 2009

A l’occasion du Yom Yeroushalayim où l’on célèbre la réunification de la capitale d’Israël, le leader de la coalition, Zeev Elkin, a présenté, avec d’autres chefs de formations parlementaires, une proposition de loi visant à fixer une fois pour toutes le statut de Jérusalem.

On peut dire que la question est d’actualité, étant donné que le président des États-Unis Barack Obama a fait savoir en début de semaine, après sa rencontre à la Maison Blanche avec Netanyahou, qu’il avait élaboré un nouveau “plan de paix” pour le Proche-Orient, prévoyant notamment la création d’un Etat palestinien dont “Jérusalem-Est” serait la capitale. En outre, toujours d’après ce programme, la Vieille Ville deviendrait une “zone internationale sous le contrôle de l’Onu”.

Selon ce projet de loi, tout changement dans les contours municipaux de la ville ne pourra se faire qu’avec l’appui d’une large majorité de 80 députés, au lieu de la majorité habituelle exigée qui est de 61 voix.

Elkin n’est pas le seul à vouloir prendre ses précautions : il a été rejoint par le chef du groupe parlementaire d’Israel Beteinou, Robert Ilatov, ainsi que par le député Avraham Michaeli, du parti Shass, par Zevouloun Orlev, de Habayit Hayehoudi, par Ouri Ariel du Ihoud Leoumi et par le député de l’opposition Othniel Schneller (Kadima).

Le député Elkin a expliqué qu’il souhaitait par cette nouvelle loi, qui est en fait un amendement de la loi fondamentale, confirmer une fois pour toutes l’unité de la ville et assurer l’avenir de la capitale tout en veillant à la sécurité de ses habitants.

La loi actuelle définit l’étendue du territoire de Jérusalem conformément à ce qui a été fixé le 28 juillet 1967. Elle interdit en outre que le contrôle de la ville soit confié à une autorité étrangère, à moins que ce changement ne soit décidé à une majorité de 61 députés. Elkin a expliqué sa démarche de la façon suivante : “Jérusalem est une ville qui a un statut particulier, avec une signification historique pour le peuple juif dont elle est la capitale éternelle”. Il a ajouté que des générations de Juifs s’étaient engagés à la préserver en tant que capitale du peuple juif. Et de poursuivre : “C’est pourquoi la Knesset doit faire en sorte que rien ne pourra jamais porter atteinte à la capitale d’Israël”.

Il faut rappeler qu’un projet de loi similaire avait déjà été soumis à la Knesset précédente, cette fois par le député Likoud Guideon Saar (devenu ministre de l’Education). Parmi les signataires figurait à l’époque … Binyamin Netanyahou. En guise de conclusion, Elkin a déclaré : “J’espère que le gouvernement actuel permettra le vote de cette loi. Cela ne signifie pas qu’il y aura un affrontement avec Obama. Il existe actuellement à la Knesset une large majorité en faveur de l’unité de Jérusalem mais il faut également penser aux générations futures”.
Yom Yerushalaim
22 mai 2009, 09:10
Netanyahou : Jérusalem sera toujours à nous
- Par Yael Ancri - Pour Actu.co.il - 21 mai 2009

Le Jour de Jérusalem est l’occasion pour les hommes politiques de prêter un serment d’allégeance à l’égard de Jérusalem. Serment qui sera respecté ou non, seul l’avenir nous le dira.

En attendant, le Premier ministre a rassuré ses électeurs en déclarant jeudi soir : “Jérusalem unie est la capitale d’Israël. Jérusalem a toujours été et restera notre capitale et elle ne sera jamais plus divisée ni partagée.” C’est par cet engagement que Binyamin Netanyahou a commencé son discours à l’occasion de Yom Yéroushalaïm, accueilli par une ovation de la foule assistant à la cérémonie sur la Colline des Munitions.

“Je suis rentré hier d’une importante visite à Washington. Il m’importait sincèrement de rentrer à temps pour participer à cette cérémonie et dire ici ce que j’ai dit aux Etats-Unis : Jérusalem unie est la capitale d’Israël. Seule la souveraineté israélienne sur Jérusalem unifiée assurera la poursuite de la liberté de culte pour les trois religions. Ce n’est que de cette manière que les membres de tous les groupes ethniques pourront continuer à vivre à Jérusalem”, a affirmé le chef du gouvernement.

Et d’ajouter : “Regardez autour de vous comme Jérusalem se développe et s’agrandit. Les membres de toutes les religions y vivent en paix. Les temples et les maisons d’étude sont pleins à craquer, de même que les cafés et les restaurants. Jérusalem est avant tout une ville de sainteté, de rêve et de prière.”

Le président de l’Etat Shimon Pérès a lui aussi déclaré son attachement à Jérusalem : “Jérusalem est une ville sainte aux yeux de la moitié de l’humanité. Elle était et reste la capitale d’Israël. Israël n’a jamais eu d’autre capitale et Jérusalem n’a jamais été la capitale d’un autre peuple.”

Et d’ajouter : “La grandeur de Jérusalem ne réside pas dans sa situation géographique, mais dans son histoire. Géographiquement, Jérusalem n’a rien de spécial : il n’y a ni fleuve, ni plage ; les montagnes qui l’entourent ne sont pas très élevées. Mais il n’y a pas d’autre ville au monde forte d’une telle histoire. Une histoire spirituelle, mais aussi politique.”

Pérès a lui aussi évoqué la liberté de culte : “Lorsque Jérusalem était entre des mains non juives, les Juifs n’avaient pas le droit de prier dans les lieux saints. Alors que gouvernée par les Juifs, elle est ouverte à toutes les religions et à toutes les prières. Il est possible d’y entendre le son du Shofar, les appels du muezzin et la messe chrétienne, sans censure, sans obstacles. La réalité à Jérusalem est bien plus positive que l’image dont certains l’affublent.”

Pérès s’est également adressé aux familles qui ont perdu un proche lors du combat de la Colline des munitions pendant la Guerre des Six Jours : “Je connais la profonde douleur que vous éprouvez après la chute de chacun des combattants. C’est une douleur qu’il est impossible d’apaiser. Mais ici, sur cette colline à la terrible splendeur, il faut dire que ce que nous avons obtenu est à la hauteur de notre douleur. Les fils sont tombés. Mais ils ont sauvé ce qu’il y a de plus cher dans notre histoire : Jérusalem.”

Le conseiller du chef de l’AP Mahmoud Abbas (Abou Mazen), Rafik Housseini, ne partageait pas la joie et l’enthousiasme de la foule venue fêter la réunification de Jérusalem. Il a fustigé les propos du Premier ministre: “L’occupation israélienne de l’est de Jérusalem est illégale et toute tentative de la part d’Israël de préserver l’entière souveraineté sur la ville représente un sérieux obstacle à la paix.”
Jerusalem
27 mai 2009, 01:55
Opinion d'un amoureux de Jérusalem - Par Jerusalem Post edition francaise - 21 mai 2009

D'après le calendrier juif, vendredi marque les 42 ans de la réunification de Jérusalem.
Les Juifs n'ont jamais abandonné l'espoir d'y retourner depuis leur expulsion en 70 de l'ère chrétienne.


Jérusalem, la Tour de David.

Entre 1948 et 1967, les tireurs d'élite jordaniens firent des rues voisines de la Vieille Ville un véritable no man's land. Il fut interdit aux Juifs de se rendre sur des lieux comme le mont du Temple et le Kotel, le mur Occidental.

Il est simpliste de parler de Jérusalem en des termes à l'emporte-pièce. La ville n'est ni aussi "unie" que l'aimeraient les sionistes, ni aussi "divisée de facto" que les propagandistes arabes le proclament.

C'est aussi un abus de langage de parler de l'"est" et de l'"ouest" pour décrire une ville dont les quartiers sont séparés par des collines et des vallées.

Promenez-vous dans les rues de Jérusalem et vous comprendrez rapidement pourquoi la ville ne pourra jamais plus être physiquement divisée. Elle pourra cependant être potentiellement partagée pacifiquement.

La métropole de Jérusalem, avec sa population de 760 800 habitants, comprend 65 % de Juifs et 35 % d'Arabes.

Malheureusement, la plupart des familles arabes ainsi que de nombreuses familles juives vivent dans la pauvreté. Seuls 45 % des Hiérosolomytains sont dans le marché du travail. Les femmes arabes et les hommes haredim ont tendance à ne pas travailler.

La plupart des élèves juifs sont dans des écoles haredi et il existe une pénurie d'école dans les quartiers arabes.

La population fait partie de la vieille école d'un point de vue social et religieux. Au même moment, la ville déborde de pluralisme spirituel, de culture, d'art et même de gastronomie.

Le maire Nir Barkat a promis d'améliorer les services du secteur arabe (qui boycotte le conseil municipal et n'aurait logiquement pas son mot à dire sur la manière dont les impôts sont utilisés). Il a également décidé d'attirer les Juifs non haredim dans la capitale.

En bref, vivre à Jérusalem est une expérience intense… mais c'est un privilège.
Re: Jerusalem
15 juillet 2009, 13:36
Jérusalem, 17e ville touristique du monde - Par Yael Ancri - Pour Actu.co.il - 15 juillet 2009




Un sondage annuel, réalisé par le journal Travel and Leisure Magazine classe Jérusalem 17e ville touristique du monde – devant Los Angeles, Londres, Paris et bien d’autres villes célèbres.

Il s’agit du 14e sondage réalisé par le magazine pour classer les villes les plus intéressantes à visiter dans le monde. Aux Etats-Unis, seules New York et San Francisco parviennent à dépasser la ville la plus sainte du judaïsme.

Le maire de Jérusalem, Nir Barkat a publié un communiqué mercredi pour remercier le magazine américain Travel and Leisure. Barkat a souligné que cette décision du journal montrait que les experts du domaine du tourisme reconnaissaient les efforts immenses faits par la municipalité et le ministère israélien du Tourisme pour améliorer les infrastructures touristiques de la ville, ainsi que les campagnes de marketing.

« Jérusalem est un lieu unique pour plus de 3,4 milliards de personnes ayant la foi à travers le monde », a affirmé Barkat. Et d’ajouter : « A mes yeux, il faut ouvrir Jérusalem à tous ceux qui veulent en profiter. » Le maire a ajouté qu’il avait pour objectif de multiplier par cinq le nombre de touristes visitant la ville, de 2 millions cette année à 10 millions par an.

La ville qui a obtenu la première place du classement est relativement peu connue. Il s’agit de la ville indienne d’Udaipur. C’est la première fois que le sondage comprend l’avis de lecteurs d’Asie du Sud et du Sud-Est, de Chine, d’Australie, de Nouvelle Zélande, de Turquie et du Mexique.

Suivent Udaipur les villes du Cap, Bangkok, Buenos Aires, Chiang Mai (Thaïlande), Florence (Italie), Luang Prabang (Laos), New York, Rome et San Francisco.
Re: Jerusalem
29 janvier 2010, 18:03
Jerusalem-Est



Message recu d'un de mes correspondants :

Voici une carte de Jérusalem-Est d'aujourd'hui. Ce document , procuré par le journal "Le Figaro" le 4 decembre 2009.

Les commentaires sont naturellement partiaux comme tous ceux issus des médias français.

Ce qui est important c'est de voir les tracés:

En violet zone israélienne de Jérusalem -Est protégé par le mur de sécurité construit ou à construire(quartier,implantations,...qu'importe)

En vert tracé de 1967 d'avant la guerre des six jours

en pointillés noirs, limite municipale de Jérusalem-Est

En jaune quartiers arabes.

Observez bien cette carte et dites moi comment peut-on créer une capitale palestinienne dans cet enchevêtrement de quartiers?.

A noter, et ceux qui connaissent la capitale le savent bien, que nous passons du centre ville à certains quartiers comme Gilo ou Pisgat sheev sans changement de décors comme si on passait de Paris à Neuilly ou à Levallois ( L'Allemagne ou la Belgique n'ont jamais revendiqués, à ma connaissance, ces proches banlieues comme territoire national!)

On parle d'Abu Goosh comme possible future capitale d'un éventuel état palestinien. Observez où se trouve ce village et vous verrez qu'il est entièrement enclavé et il lui est impossible de s'étendre.

Y-a-t-il un seul chef d'état d'un pays occidental conscient de ce véritable problème inextricable?

J'entends, parfois autour de moi des personnes qui disent , sans se donner la peine de se pencher sur une carte ,"I' y cas leur donner les quartiers arabes de Jérusalem -Est"... Sauf que c'est ingérable et qu'il n'y a plus aucune continuité territoriale entre quartiers arabes.

La seule solution à mon avis, et bien que tout le monde adopte la politique de l'autruche, c'est de développer Ramallah , à quelques kilomètres au Nord-est de Jérusalem, où la place ne manque pas.

Dans ce document je ne trouve qu'un point d'accord avec le Figaro:
"Quel PATCHWORK!"

ET vous qu'en pensez-vous?

Gerard de Stent


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Voici l'article du Figaro :

Israël poursuit sa conquête de Jérusalem - Par Adrien Jaulmes - correspondant du Figaro à Jérusalem - 4 decembre 2009


Scène de vie quotidienne dans les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est.

Depuis la guerre des Six-Jours et l'annexion de la ville, un lent travail d'encerclement est à l'œuvre.

Pour la loi internationale, Jérusalem reste une ville divisée. La ligne verte, l'ancienne ligne de cessez-le-feu de 1948, sépare encore l'Ouest, à majorité juive, de l'Est, à majorité palestinienne. Les projets de création d'un État palestinien considèrent Jérusalem-Est comme sa future capitale. La plupart des solutions de partage de la ville se basent sur les «paramètres de Clinton», énoncés en 2000 par le président américain d'alors : «Les quartiers juifs pour Israël, les quartiers arabes aux Palestiniens.»

L'inconvénient, c'est que la réalité a beaucoup changé depuis la conquête de Jérusalem-Est par les Israéliens en 1967. La ville a été «réunifiée» par l'État hébreu, mais cette «capitale» autoproclamée n'est reconnue par pratiquement aucun État étranger. Une active politique de colonisation urbaine modifie peu à peu, sur le terrain, à la fois les limites de la municipalité et la démographie de la ville. Jour après jour, la question de Jérusalem devient plus inextricable, et une division de ce «territoire disputé» de moins en moins faisable.

Une majorité d'Israéliens, même ceux qui se déclarent favorables à la création d'un État palestinien, ne veulent pas voir la ville être à nouveau partagée. Pour eux, la question de Jérusalem est réglée par la loi fondamentale votée à la Knesset en juillet 1980, qui fait de la ville «complète et unifiée» la capitale d'Israël.

Trois axes d'expansion

Sur le terrain, la politique suivie par tous les gouvernements israéliens et toutes les municipalités successives a déjà réussi à considérablement bouleverser la physionomie de Jérusalem. Même si l'Est et l'Ouest ressemblent toujours à deux villes distinctes - l'une juive et moderne, essaimant ses quartiers résidentiels aux murs de pierre blanche dans les collines, l'autre arabe et négligée, avec son urbanisme anarchique, ses rues sales et ses terrains vagues -, l'ancienne ligne verte n'est plus qu'une séparation virtuelle. De l'autre côté de son ancien tracé, aujourd'hui parcouru par une route à quatre voies, éventrée par les travaux d'une ligne de tramway, les Israéliens ont œuvré selon trois axes, visant à modifier durablement la physionomie de l'agglomération et son ancrage au milieu des Territoires palestiniens.

Le premier aspect de cette politique se déroule à l'extérieur de Jérusalem. Les frontières municipales ont été considérablement étendues vers l'est, créant, à partir de 1993, un «Grand Jérusalem». Dans ce périmètre élargi, des quartiers israéliens ont poussé comme des champignons au cours des vingt dernières années et continuent de s'étendre. Ils entourent les quartiers palestiniens de l'Est d'une ceinture qui coupe aujourd'hui presque totalement la ville arabe du reste de la Cisjordanie.

Le second axe est la barrière de sécurité. Ce projet pharaonique, lancé par Ariel Sharon en 2005 pour mettre fin aux attentats palestiniens en Israël, est venu parachever ce travail de séparation en créant une enveloppe encore plus grande autour de la ville. Alors que la barrière érigée dans le reste de la Cisjordanie vise à séparer les colons israéliens des Palestiniens, elle ne le fait presque jamais autour de Jérusalem. La plupart du temps, tantôt sous forme de mur, tantôt sous forme de clôture électrifiée, elle sépare les Palestiniens des Palestiniens, dont les allers et venues sont soumis à un régime de check points.

À l'intérieur de cette nouvelle enceinte, le troisième volet de la politique d'expansion consiste à implanter des quartiers juifs dans les zones arabes. Ces greffes se font selon des procédés divers, mais toutes participent du même plan : créer un patchwork rendant peu à peu impossible une séparation nette des deux communautés. Encore quelques années, et l'État palestinien, auquel l'ensemble de la communauté internationale, États-Unis en tête, a apporté son soutien, ne pourra plus faire de Jérusalem sa capitale. La conquête israélienne de 1967, suivie de l'annexion de 1980, aura fini par être achevée sur le terrain.


Source : [www.lefigaro.fr]
Jerusalem vu du ciel
29 janvier 2010, 23:48
Jerusalem vu du ciel - 1ere Partie


Agrandir le plan

Cartes Publiees par Google ( avec possibilite d'agrandissement - Plan, Vu images satellite, Relief - Extras : Photos, videos, wikipedia, webcams... )



















Re: Jerusalem vu du ciel
29 janvier 2010, 23:59
Jerusalem vu du ciel - 2eme Partie



















Re: Jerusalem vu du ciel
30 janvier 2010, 00:06
Jerusalem vu du ciel - 3eme partie



















Re: Jerusalem vu du ciel
30 janvier 2010, 00:13
Jerusalem vu du ciel - 4eme partie



















Re: Jerusalem vu du ciel
30 janvier 2010, 00:20
Jerusalem vu du ciel - 5eme partie











Source : [poma.livejournal.com]
Jerusalem - Mahane Yehuda
30 janvier 2010, 00:35
Mahane Yehuda

Pour trouver des fruits, une seule adresse : le marché Mahane Yehuda. Les shouks juifs sont concentrés sur quelques rues mais l’animation du lieu est inversement proportionnelle à sa superficie.

Le marché, qui au départ s’appelait le marché Bet Yaakov, a finalement pris le nom du quartier qui l’entoure, Mahane Yehuda, construit à la fin des années 1880. Du temps du mandat Ottoman, il se développe dans tous les sens et sans plans définis. Les Anglais vont alors quelques années plus tard, dans les années 1920, ordonner des travaux, les conditions sanitaires étant devenues catastrophiques. Au fil des années, le marché décline et plusieurs attentats s’y produisent, diminuant encore le nombre de ses visiteurs.

Mais le marché a repris vie depuis plusieurs années. Des travaux de rénovations, l’ajout de toitures au dessus des rues, l’ont à nouveau rendu un endroit très attractif de la ville. Aujourd’hui on compte plus de 250 marchants, principalement de denrées alimentaires. Mais l’ouverture de nouvelles boutiques, notamment dans la mode ainsi que l’apparition de cafés et restaurants ont amené un nouveau public dans les lieux.

L’ambiance dans ces rues étroites monte au fur et à mesure que la semaine avance. Elle arrive à son apothéose le vendredi, quelques heures avant l’entrée du Chabat, qui marque également la fermeture hebdomadaire du shouk. Impossible de recommander telle ou telle étale. Il faut déambuler et regarder. Bien sûr on peut comparer les prix, qui sont généralement plus intéressants que dans les magasins de la ville. Mais il faut se laisser porter par les couleurs, les odeurs et le bagout des vendeurs même si on ne comprend pas tout.

Alors pour votre plateau de fruits, pensez aussi aux fruits secs qui sont une des spécialités des shouk.


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Le marché de Jérusalem résistera-t-il au virage bobo ? - Par Bitya - 27 juillet 2009

Source : [www.guide-israel.net]


Vue du shouk

Hiérosolymitains, habits traditionnels, saveurs, odeurs. Cela fait plus d’un siècle et demi que tout se croise et s’entremêle dans les rues du marché de la ville.

Du fait de son emplacement et des refontes urbaines permanentes qui remodèlent à l’infini les rues autrefois crasseuses et devenues quartier d’artiste, ce marché au passé populaire résiste péniblement à la menace bobo qui se profile au sud.

Explications.

Hors-les-murs

Vers 1860, alors qu’elle est confinée depuis quatre siècles à l’intérieur de ses murs ottomans, Jérusalem change d’espace. La ville est si peuplée, si insalubre, si vulnérable aux pollutions ou épidémies, que contre leur gré d’abord, arabes puis juifs sortent peu à peu des murailles de la ville.

Ce phénomène qu’on appelle « sortie des murailles » et qui a des airs de révolution urbaine n’en est pas une, permettez-moi d’insister sur ce point quitte à briser certains mythes.

De tous temps la ville a existé à l’intérieur comme à l’extérieur de ses murailles, quand elle en était pourvue (ce qui ne fut pas toujours le cas, comme par exemple à l’époque mamelouke). Les fluctuations de population, le désir d’exploiter ou de s’installer sur des terres nouvelles, les changements de stratégie militaire ou de théories urbaines ont fait qu’à toutes les époques on a habité à Jérusalem à l’extérieur de ses murs.

Quand Suleyman le magnifique construit la muraille de Jérusalem entre 1537 et 1541, pour la première fois depuis qu’il existe un noyau urbain nommé Jérusalem, la ville s’enferme dans ses murs. 400 ans après, les habitants ont oublié qu’il fut un temps où l’on vivait à Jérusalem à l’extérieur de la muraille si bien qu’ils nomment le dehors « le désert ».

Il faudra toute la pression de nombreuses épidémies mortelles et l’insistance de généreux donateurs pour que les juifs acceptent d’aller s’installer un peu à l’écart de la ville, au sud d’abord puis à l’ouest le long de la rue Jaffa.

C’est dans ce contexte que nait le marché qui nous occupe et qui porte aujourd’hui le nom d’un de ces nouveaux quartiers, Mahané Yehuda.

Un marché moderne ?

A l’origine il est un simple marché sauvage regroupant les étals des paysans arabes venant des villages voisins (Lifta, Deir Yacine), et desservant les nouveaux quartiers qui se développent à l’ouest de ce qui désormais convient d’être appelé la « vieille ville ». Très vite plébiscité par la population locale qui économise les allers-retours permanents à la vieille ville, cette foire en pleine air prend des proportions toujours plus grandes.

Toutefois, et bien qu’il est situé sur l’axe principal de la ville, la municipalité ottomane de la fin du 19è siècle se désintéresse totalement de ce marché spontané : la surveillance des échanges commerciaux et la propreté du lieu sont loin d’être un de ses sujets de préoccupation. Tout se déroule donc sans infrastructures adéquates et surtout sur la bonne foi exclusive des acheteurs et des vendeurs.
Au fil des ans les étals éphémères deviennent des constructions permanentes de bois et de tôle et le marché reçoit le nom de « Mahané Yehuda » du nom du quartier attenant du même nom, ou « souk Valiru » du nom du propriétaire du terrain, le banquier Haim Valero.

En décembre 1917, les britanniques entrent à Jérusalem et conçoivent très vite la nécessité de réhabiliter l’ensemble de la ville en créant des infrastructures publiques : système de distribution et d’évacuation des eaux, voies carrossables, construction et rénovation des lieux publics, etc.


Le projet Ashbee

Le projet Ashbee

C’est l’architecte Charles Robert Ashbee qui se voit charger d’établir un compte–rendu de la situation, catastrophique, de la ville. Il établit, entre autres rapports, un document consacré aux marchés de la ville et qui note que ce qui est devenu le principal marché de Jérusalem n’a ni système d’eau, ni égouts, ni éclairage…

Ashbee propose donc un projet de construction inscrit dans un rectangle autour d’une place centrale avec fontaine, mais pour des raisons mal connues le projet ne verra jamais le jour.

L’autorité municipale ne s’avoue pas vaincue pour autant, elle impose des conditions sanitaires et la destruction des étals sauvages. Elle autorise en sus la construction d’échoppes en pierre suivant des critères toujours en vigueur de nos jours (largeur des échoppes, profondeurs des étals, symétrie des façades etc.).

Le changement est radical, ceux qui ont l’argent ou la possibilité de l’emprunter peuvent construire des magasins et s’installer pour de bon dans le marché officiel, les autres s’en vont petit à petit. Certains s’organisent pour emprunter collectivement l’argent nécessaire à l’achat de terrains et à la construction de magasins permanents. La rue « marché de l’emprunt et de l’épargne » ( שוק הלואה וחיסכון ) réfère à la banque du même nom qui prête en 1930 à des futurs marchands la somme utile à la construction de leurs échoppes.

Avec le temps, le marché s’agrandit, certaines de ses rues deviennent couvertes, d’illustres familles s’y font un nom. Et pour la suite de l’histoire, venez faire un tour, je vous promets c’est passionnant.
Et aujourd’hui ?

On trouve tout au marché de Makhané Yéhuda ! Un peu comme le zoo, c’est un joyeux mélange de toute la population hiérosolymite. Religieux des quartiers nord, arabes de l’est, supporters du club de foot Beitar, bohèmes du quartier voisin des Nahlaot… Tous viennent y trouver le plus grand choix de produits frais ou secs, de pains, de matériel pour la maison, de viandes et de poisson.

Le marché est situé entre les quartiers religieux aux nord de Jaffa Street et celui des Nahlaot au sud. Chacun de ces quartiers mériterait un article –ou une visite- à lui tout seul.

Mais disons pour faire court que le quartier des Nahlaot, à l’origine plutôt pauvre, peuplé de familles sorties de la vieille ville puis de nouveaux immigrants après la guerre d’indépendance, a vu dernièrement sa côte monter auprès de jeunes couples religieux tendance baba-cool. Si ! Nos bobos à nous sont religieux ! Il faut le voir pour le croire !
En somme, une sorte de XIe arrondissement de Paris au cœur de Jérusalem. Et cette tendance à une influence directe sur le marché voisin.

Tentez l’expérience suivante: postez-vous à l’entrée sud du marché couvert (rue Etz-Haïm, entrée du côté de la rue Agrippas), puis relevez le prix au kilo du produit de votre choix.
J’ai expérimenté, et la tomate décroît de manière constante, passant de 5.50 shékels à 3.00 shékels d’un bout à l’autre de la rue. Essayez, ça marche pour tout !

Ça, c’est bon à savoir, mais ce n’est pas un scandale pour autant. Il suffit de savoir dans quel sens faire ses courses.
Ce qui est plus inquiétant, c’est l’apparition de cafés branchés et de boutiques de mode au cœur du marché. Tiens, voila qui nous rappelle notre XIe arrondissement, ou même la rue des Rosiers ! Et devinez de quel côté le Mal guette ? Du sud bien sûr, par la proximité des Nahlaot.

Tout à commencé avec un café, Chez Émile, à l’extrémité sud du marché, rue de la Fraise. La sauce a pris, plusieurs autres cafés sont venus se joindre, jusqu’au Café Aroma qui s’est offert une succursale ouverte 24/24h au bout (sud, s’il fallait le préciser) de la rue découverte, rehov Makhané Yéhuda.

Au grand plaisir des livreurs qui peuvent y prendre un café aux heures les plus matutinales et au grand dam des puristes qui pensent que le café se doit d’être offert par le maître de la boutique en remerciement du service rendu.

On peut à présent bruncher à Makhané Yéhuda. Mais combien de temps encore pourra-t-on y faire son marché ? Je peux croire que le besoin d’un marché populaire est si fort que s’il se trouvait délogé, il renaîtrait de ses cendres à un autre endroit. Mais celui-ci a une histoire si riche que je ne peux me résoudre à cette éventualité…
Re: Jerusalem - Mahane Yehuda
18 février 2010, 04:00
Le Shouk de Mahane Yehouda a Jerusalem vu a travers l'objectif de Poma



















































Source : [poma.livejournal.com]

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Quelques clips video sur le Shouk de Mahane Yehouda



Tou bichvat au shouk de Mahane Yehouda



Shouk Mahane Yehouda 2007



Ballade au Shouk Mahane Yehouda


Re: Jerusalem - Mahane Yehuda
18 février 2010, 06:00
SHOUK MAHANE YEHUDA ( Suite )







































Re: Jerusalem - Mahane Yehuda
08 septembre 2010, 08:26
שבחי ירושלים - Shabehi Jeruslaem

שבחי ירושלים את אדוני
הללי אלוהיך ציון.
כי חיזק בריחי שערייך
ברך בנייך בקרבך.
הללי, הללי אלוהייך ציון


Fais l'éloge de l'éternel, Jérusalem
Chante la gloire de ton Dieu, Sion
Car il a consolidé les "protections" (verrous) de tes portes
Et il a béni tes enfants dans ton enceinte.


Psaumes 147 :12-13





Re: Jerusalem
27 février 2014, 00:21
Re: Jerusalem
07 mars 2014, 04:12
la goutte de lait a Jerusalem en 1926
Pièces jointes:
1925352_729145130452356_721232711_n.jpg
Re: Jerusalem
05 juin 2014, 20:46
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