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La population arabe israélienne
Envoyé par lapid
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Re: La population arabe israélienne 05 septembre 2010, 03:00 |
Zoom sur les Musulmans d'Israël - Par SYLVIE BERG - Pour Jerusalem Post edition en francais - 15 décembre 2009
Le taux de natalité de la communauté musulmane est sur le déclin. D'après les données publiées par le Bureau central des statistiques (BCS) à la veille de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du Sacrifice, les chiffres sont en baisse constante depuis 2000. Le taux actuel de 2,8 % affiche une chute d'un point entier en comparaison avec l'an 2000 (3,8 %). Pour autant, le taux de croissance de la population musulmane demeure supérieur à celui de tout autre groupe religieux en Israël (Druzes à 1,8 %, chrétiens arabes à 1,3 %, Juifs et autres à 1,6 %).
Selon un communiqué de presse publié début décembre, la population musulmane en Israël s'élevait à 1,24 million en 2008, soit une augmentation de 34 000 personnes, par rapport à l'année précédente. Plus grosse concentration musulmane du pays : la capitale et ses quelque 256 000 fidèles de l'Islam. Soit 20,6 % de l'ensemble de leur communauté, et un tiers des résidents de la ville. Deuxième communauté : Nazareth, où 46 000 Musulmans représentent 69,4 % de la population de la ville.
Particularité de la population musulmane israélienne : elle est relativement jeune. 510 000 Musulmans du pays (soit 41,2 % de cette communauté) ont moins de 15 ans. Seuls 3 % (environ 37 000 individus) ont été recensés comme âgés de plus de 65 ans. L'âge relativement jeune de la communauté s'explique par le taux de fécondité (nombre d'enfants à qui une femme donne naissance au cours de sa vie) particulièrement élevé des femmes musulmanes. Cependant, ce taux global est également à la baisse : 3,8 enfants par femme en 2008 contre 4,7 en 2000.
Mais là encore, les femmes musulmanes israéliennes restent plus fécondes que celles des autres communautés - le taux est de 2,9 en moyenne chez les Juifs, 2,5 chez les Druzes, 2,1 chez les Chrétiens - ainsi que leurs voisines de Jordanie, Syrie, Egypte, Maroc, Algérie, Liban, ou Tunisie.
Le taux de natalité de la communauté musulmane est sur le déclin. D'après les données publiées par le Bureau central des statistiques (BCS) à la veille de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du Sacrifice, les chiffres sont en baisse constante depuis 2000. Le taux actuel de 2,8 % affiche une chute d'un point entier en comparaison avec l'an 2000 (3,8 %). Pour autant, le taux de croissance de la population musulmane demeure supérieur à celui de tout autre groupe religieux en Israël (Druzes à 1,8 %, chrétiens arabes à 1,3 %, Juifs et autres à 1,6 %).
Selon un communiqué de presse publié début décembre, la population musulmane en Israël s'élevait à 1,24 million en 2008, soit une augmentation de 34 000 personnes, par rapport à l'année précédente. Plus grosse concentration musulmane du pays : la capitale et ses quelque 256 000 fidèles de l'Islam. Soit 20,6 % de l'ensemble de leur communauté, et un tiers des résidents de la ville. Deuxième communauté : Nazareth, où 46 000 Musulmans représentent 69,4 % de la population de la ville.
Particularité de la population musulmane israélienne : elle est relativement jeune. 510 000 Musulmans du pays (soit 41,2 % de cette communauté) ont moins de 15 ans. Seuls 3 % (environ 37 000 individus) ont été recensés comme âgés de plus de 65 ans. L'âge relativement jeune de la communauté s'explique par le taux de fécondité (nombre d'enfants à qui une femme donne naissance au cours de sa vie) particulièrement élevé des femmes musulmanes. Cependant, ce taux global est également à la baisse : 3,8 enfants par femme en 2008 contre 4,7 en 2000.
Mais là encore, les femmes musulmanes israéliennes restent plus fécondes que celles des autres communautés - le taux est de 2,9 en moyenne chez les Juifs, 2,5 chez les Druzes, 2,1 chez les Chrétiens - ainsi que leurs voisines de Jordanie, Syrie, Egypte, Maroc, Algérie, Liban, ou Tunisie.
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Re: La population arabe israélienne 06 mai 2011, 08:34 |
Les Arabes préfèrent Israël - Par Yéochoua Sultan - Pour Israel7.com - 5 mai 2011
Une étude menée auprès de la population arabe des quartiers de l’est de la capitale révèle que la majorité des habitants ne veulent pas être dominés par des organisations terroristes. Les personnes interrogées ont déclaré qu’elles préfèreraient rester israéliennes quel que soit l’issue d’un éventuel règlement qui pourrait le cas échéant être conclu entre Israël et les factions terroristes qui occupent la Judée et la Samarie depuis les accords d’Oslo. 100% se sont exprimés opposés à la division de Jérusalem, toujours selon les résultats de l’enquête menée par un organisme répondant aux initiales de PCPO. Il s’agit d’un centre qui se définit comme le Centre arabe palestinien de l’opinion publique. 40% ont affirmé qu’ils déménageraient pour aller s’installer dans la partie occidentale de la ville ou dans d’autres régions qui échapperont à la mainmise du Fatah ou autre mouvement.
La directrice du lobby pour Jérusalem, Yulia Shamalov-Berkovich a déclaré, suite à la publication de ce rapport: «Cette étude met le doigt sur un phénomène qui touche la population arabe de la partie orientale de la ville et qu’il est impossible d’esquiver. Il doit être examiné en profondeur. La volonté de la population de refuser de passer sous la mainmise d’une autorité différente, et leur détermination exprimée dans cette enquête à rejoindre le territoire de l’Etat d’Israël si jamais Jérusalem était divisée, oblige à reconsidérer les idées reçues concernant les aspirations des Palestiniens et les conséquences pour la population d’Israël. C’est un sujet de première priorité, tout particulièrement en ces temps de troubles politiques comme nous le voyons aujourd’hui.»
Elle a fait part dans une lettre de ses impressions au président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset: «J’exige la tenue d’une réunion dont le thème portera sur l’avenir des Arabes de la partie orientale de Jérusalem, et sur les défis qui se dressent devant nous en tant qu’élus du peuple, par rapport aux investissements municipaux qu’il convient d’engager pour les habitants de cette partie de la ville à la lumière de l’étude qui vient d’être publiée, parallèlement au renforcement de notre autorité et de l’application de la loi dans la partie orientale de la ville. Je demande à ce que cette réunion se déroule dans le cadre de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset, sous votre égide, dès l’ouverture de la session d’été de la Knesset.»
Une étude menée auprès de la population arabe des quartiers de l’est de la capitale révèle que la majorité des habitants ne veulent pas être dominés par des organisations terroristes. Les personnes interrogées ont déclaré qu’elles préfèreraient rester israéliennes quel que soit l’issue d’un éventuel règlement qui pourrait le cas échéant être conclu entre Israël et les factions terroristes qui occupent la Judée et la Samarie depuis les accords d’Oslo. 100% se sont exprimés opposés à la division de Jérusalem, toujours selon les résultats de l’enquête menée par un organisme répondant aux initiales de PCPO. Il s’agit d’un centre qui se définit comme le Centre arabe palestinien de l’opinion publique. 40% ont affirmé qu’ils déménageraient pour aller s’installer dans la partie occidentale de la ville ou dans d’autres régions qui échapperont à la mainmise du Fatah ou autre mouvement.
La directrice du lobby pour Jérusalem, Yulia Shamalov-Berkovich a déclaré, suite à la publication de ce rapport: «Cette étude met le doigt sur un phénomène qui touche la population arabe de la partie orientale de la ville et qu’il est impossible d’esquiver. Il doit être examiné en profondeur. La volonté de la population de refuser de passer sous la mainmise d’une autorité différente, et leur détermination exprimée dans cette enquête à rejoindre le territoire de l’Etat d’Israël si jamais Jérusalem était divisée, oblige à reconsidérer les idées reçues concernant les aspirations des Palestiniens et les conséquences pour la population d’Israël. C’est un sujet de première priorité, tout particulièrement en ces temps de troubles politiques comme nous le voyons aujourd’hui.»
Elle a fait part dans une lettre de ses impressions au président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset: «J’exige la tenue d’une réunion dont le thème portera sur l’avenir des Arabes de la partie orientale de Jérusalem, et sur les défis qui se dressent devant nous en tant qu’élus du peuple, par rapport aux investissements municipaux qu’il convient d’engager pour les habitants de cette partie de la ville à la lumière de l’étude qui vient d’être publiée, parallèlement au renforcement de notre autorité et de l’application de la loi dans la partie orientale de la ville. Je demande à ce que cette réunion se déroule dans le cadre de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset, sous votre égide, dès l’ouverture de la session d’été de la Knesset.»
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Re: La population arabe israélienne 22 mai 2011, 08:35 |
Les Arabes israéliens
Israël compte aujourd’hui près de 20% de citoyens arabes, soit 1200000 personnes descendant des Arabes restés dans les frontières d’Israël après 1948.
Entre 1947 et 1949, la guerre qui oppose Juifs et Arabes pour le contrôle du territoire a quasiment vidé de sa population arabe le territoire de l’État israélien tel qu’il est proclamé le 14 mai 1948 : des 800000 Arabes qui le peuplaient durant les dernières années du mandat britannique, seuls 20% demeurent en 1949, soit environ 160000 personnes qui constituent 12% de la population arabe qui résidait en Palestine avant la guerre, c’est-à-dire environ 1300000 personnes selon le chiffre avancé par Benny Morris (1987). La grande majorité d'entre eux ont quitté leurs foyers, encouragés par les appels de certains pays arabes; ces derniers avaient refusé le plan de partage proposé par L'ONU et se préparaient à envahir le nouvel Etat d'Israel; et le départ "provisoire" ( comme ils le prétendaient dans leurs appels par radio et autres médias ) leur permettait ainsi d'avoir "les mains libres" afin de pouvoir se livrer au "massacre" de la population juive et aussi de récupérer par la force les terres accordées par l'Assembléee Générale de l'ONU à l'Etat d'Israel.
La majorité des Arabes israéliens sont en Galilée (60%). Dans cette région, où les Arabes sont encore majoritaires, on compte de nombreux Arabes chrétiens, descendant des propriétaires terriens des grands domaines qui s’étendaient sur les collines qui dominaient la plaine. Ils n’ont pas voulu abandonner leurs terres en 1948, à la fois par attachement et sans doute parce qu’ils pensaient que cette Occupation israélienne ne durerait pas grâce à l’aide que leur apporteraient les États arabes voisins.
Environ 20% vivent dans le Triangle, région entre la ligne verte et la côte entre Haïfa et Tel-Aviv. Après 1948, ce triangle a été nommé le « Petit Triangle » pour le différencier du « Grand Triangle » qui inclut Naplouse, Jénine et Tul-Karem, région appelée ainsi pendant la révolte arabe des années 1936-1939 du fait que l’ensemble des villages arabes y forment un triangle en vue aérienne.
10% vivent dans le sud À Al-Naqab dans le Néguev et les 10% restants vivent dans les villes mixtes de la plaine côtière.
Nazareth est la ville d’Israël qui compte le plus d’Arabes (61700 habitants dont 67% de musulmans et 33% de chrétiens), la deuxième est Um al-Fahem dans le district d’Haïfa (38000, tous musulmans) et la troisième est Rahat dans le district sud (34100 Bédouins arabes musulmans).
Il faut rappeler que la majorité des Arabes qui habitent Jérusalem ne sont pas des citoyens israéliens...
Israël compte aujourd’hui près de 20% de citoyens arabes, soit 1200000 personnes descendant des Arabes restés dans les frontières d’Israël après 1948.
Entre 1947 et 1949, la guerre qui oppose Juifs et Arabes pour le contrôle du territoire a quasiment vidé de sa population arabe le territoire de l’État israélien tel qu’il est proclamé le 14 mai 1948 : des 800000 Arabes qui le peuplaient durant les dernières années du mandat britannique, seuls 20% demeurent en 1949, soit environ 160000 personnes qui constituent 12% de la population arabe qui résidait en Palestine avant la guerre, c’est-à-dire environ 1300000 personnes selon le chiffre avancé par Benny Morris (1987). La grande majorité d'entre eux ont quitté leurs foyers, encouragés par les appels de certains pays arabes; ces derniers avaient refusé le plan de partage proposé par L'ONU et se préparaient à envahir le nouvel Etat d'Israel; et le départ "provisoire" ( comme ils le prétendaient dans leurs appels par radio et autres médias ) leur permettait ainsi d'avoir "les mains libres" afin de pouvoir se livrer au "massacre" de la population juive et aussi de récupérer par la force les terres accordées par l'Assembléee Générale de l'ONU à l'Etat d'Israel.
La majorité des Arabes israéliens sont en Galilée (60%). Dans cette région, où les Arabes sont encore majoritaires, on compte de nombreux Arabes chrétiens, descendant des propriétaires terriens des grands domaines qui s’étendaient sur les collines qui dominaient la plaine. Ils n’ont pas voulu abandonner leurs terres en 1948, à la fois par attachement et sans doute parce qu’ils pensaient que cette Occupation israélienne ne durerait pas grâce à l’aide que leur apporteraient les États arabes voisins.
Environ 20% vivent dans le Triangle, région entre la ligne verte et la côte entre Haïfa et Tel-Aviv. Après 1948, ce triangle a été nommé le « Petit Triangle » pour le différencier du « Grand Triangle » qui inclut Naplouse, Jénine et Tul-Karem, région appelée ainsi pendant la révolte arabe des années 1936-1939 du fait que l’ensemble des villages arabes y forment un triangle en vue aérienne.
10% vivent dans le sud À Al-Naqab dans le Néguev et les 10% restants vivent dans les villes mixtes de la plaine côtière.
Nazareth est la ville d’Israël qui compte le plus d’Arabes (61700 habitants dont 67% de musulmans et 33% de chrétiens), la deuxième est Um al-Fahem dans le district d’Haïfa (38000, tous musulmans) et la troisième est Rahat dans le district sud (34100 Bédouins arabes musulmans).
Il faut rappeler que la majorité des Arabes qui habitent Jérusalem ne sont pas des citoyens israéliens...
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