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Trop de jeune femmes sont celibataires !!!
Auteur hajkloufette
Difficile d'aimer les hommes, mesdames ?
* Les gentils sont laids!
* Les beaux ne sont pas gentils!
* Les beaux et gentils sont gays!
* Les beaux, gentils et hétéros sont mariés!
* Les pas si pires et gentils n'ont pas d'argent!
* Les pas si pires, gentils et avec de l'argent pensent qu'on ne veut que leur argent!
* Les beaux sans argent courent après le notre!
* Les beaux pas très gentils ne nous trouvent pas assez belles pour eux!
* Les hommes qui nous trouvent belles, qui sont gentils et ont un peu d'argent sont timides et ne prennent pas l'initiative !
* Les hommes qui ne prennent pas l'initiative sont effrayés dès que nous la prenons !
Maintenant on sait pourquoi il y a autant de femmes merveilleuses célibataires.
AM ISRAEL HAY
* Les gentils sont laids!
* Les beaux ne sont pas gentils!
* Les beaux et gentils sont gays!
* Les beaux, gentils et hétéros sont mariés!
* Les pas si pires et gentils n'ont pas d'argent!
* Les pas si pires, gentils et avec de l'argent pensent qu'on ne veut que leur argent!
* Les beaux sans argent courent après le notre!
* Les beaux pas très gentils ne nous trouvent pas assez belles pour eux!
* Les hommes qui nous trouvent belles, qui sont gentils et ont un peu d'argent sont timides et ne prennent pas l'initiative !
* Les hommes qui ne prennent pas l'initiative sont effrayés dès que nous la prenons !
Maintenant on sait pourquoi il y a autant de femmes merveilleuses célibataires.
AM ISRAEL HAY
Il y a de ces chiffres qui étonnent fortement. Quâon arrive peut-être Ã
expliquer, mais pas à comprendre.
Les faits dâabord : câest une information insolite (le moins que lâon
puisse dire) publiée dans lâédition du lundi 6 septembre de Tunis Hebdo.
Il sâagit dâun Tunisien résidant à lâétranger qui a publié une annonce
matrimoniale.
Le monsieur possède un travail stable, une voiture et une maison et il a 59 ans. Un âge où lâon nâest plus dans la splendeur de sa jeunesse
(physiquement parlant) mais où lâon est plutôt mûr. Lââge dâor, diraient nos amis québécois.
Lâinsolite dans lâhistoire est quâà cette annonce, quelques semaines
après sa publication, ce sont 1.170 jeunes demoiselles qui ont répondu
au «jeune vieux» monsieur. Autrement dit, 1.170 jeunes demoiselles qui
recherchent lâimmigration, la stabilité et la quiétude grâce à un mari
qui leur assurerait leurs arrières. Câest là ce qui mâétonne, à quelques semaines après avoir célébré la fête de la femme (le 13 août pour celles qui lâignorent).
Certaines femmes tunisiennes, avec leur Code du Statut Personnel (CSP)
qui leur donne des droits quâaucune femme arabe ne possède aujourdâhui,
des droits que leur envient même des Canadiennes et Allemandes (qui
souffrent encore de la question de lâégalité des salaires puisque là -bas il est tout à fait naturel en 2005 de payer une femme et un homme
différemment pour un même travail rendu) ou encore des Suédoises (où
lâon applique encore la polygamie), ces femmes tunisiennes continuent
encore à vouloir trouver de lâargent «facile». A être soumises. A
trouver cet émigré possédant voiture et maison prêt à leur payer ce dont elles ont besoin, juste quâelles gardent la maison ! Ceci est à la fois étrange et fait mal au cÅur, car ces femmes ont coûté très cher à lâEtat et au contribuable. On a payé leurs études primaires, secondaires et supérieures et elles ont obtenu les meilleures moyennes. Ce nâest quand même pas pour quâelles gardent la maison et jouent aux femmes de ménage, baby sitters quâelles ont amassé ces diplômes ? Le fait quâelles ne trouvent pas de travail ne les autorise quand même pas à accepter de se soumettre au premier homme qui passe à condition quâil possède maison et voiture ???!
Câest comme si elles cherchaient le bon parti, dans lequel elles
pourront investir le restant de leur vie avec leur propre personne, leur propre corps, leur propre âme, leur propre jeunesse, leur propre
célibat. Car ne me dites pas que quelquâun qui publie une annonce auquel on répond nâest pas le premier venu ? Sâil est clair que jâai vu à plusieurs reprises ce type dâannonces, il ne mâétait jamais venu Ã
lâidée quâil y avait autant de femmes pour y répondre ! Et ce sont ces
mêmes femmes, généralement très coquettes, qui passent des heures, des
jours, voire des semaines, pour choisir une paire de chaussures, une
robe, un pantalon et une jupe. Pour leur shopping, elles sont souvent
hésitantes, cherchant le meilleur produit sur le marché pour quâelles
soient belles. Comment peuvent-elles ne pas se donner suffisamment de
temps lorsquâil sâagit de mari avec lequel elles vont devoir passer le
restant de leur vie (soit au moins 50 ans) et avec qui elles vont avoir
des enfants ?!
Je nâarrive vraiment pas à comprendre ces femmes qui se «vendent», en
pensant investir dans lâavenir tout en se caressant la conscience
puisquâil sâagit de mariage généralement applaudi et encouragé par la
famille. Que dâétudes faites, que dâheures passées à réviser, que
dâénergie perdue, le tout pour que mademoiselle cherche une annonce dâun inconnu possédant une maison et une voiture capable de lui assurer une quiétude financière.
Une matière manque vraiment à nos programmes scolaires : autonomie et
responsabilité !
Recu par mail ce matin !!!
AM ISRAEL HAY
expliquer, mais pas à comprendre.
Les faits dâabord : câest une information insolite (le moins que lâon
puisse dire) publiée dans lâédition du lundi 6 septembre de Tunis Hebdo.
Il sâagit dâun Tunisien résidant à lâétranger qui a publié une annonce
matrimoniale.
Le monsieur possède un travail stable, une voiture et une maison et il a 59 ans. Un âge où lâon nâest plus dans la splendeur de sa jeunesse
(physiquement parlant) mais où lâon est plutôt mûr. Lââge dâor, diraient nos amis québécois.
Lâinsolite dans lâhistoire est quâà cette annonce, quelques semaines
après sa publication, ce sont 1.170 jeunes demoiselles qui ont répondu
au «jeune vieux» monsieur. Autrement dit, 1.170 jeunes demoiselles qui
recherchent lâimmigration, la stabilité et la quiétude grâce à un mari
qui leur assurerait leurs arrières. Câest là ce qui mâétonne, à quelques semaines après avoir célébré la fête de la femme (le 13 août pour celles qui lâignorent).
Certaines femmes tunisiennes, avec leur Code du Statut Personnel (CSP)
qui leur donne des droits quâaucune femme arabe ne possède aujourdâhui,
des droits que leur envient même des Canadiennes et Allemandes (qui
souffrent encore de la question de lâégalité des salaires puisque là -bas il est tout à fait naturel en 2005 de payer une femme et un homme
différemment pour un même travail rendu) ou encore des Suédoises (où
lâon applique encore la polygamie), ces femmes tunisiennes continuent
encore à vouloir trouver de lâargent «facile». A être soumises. A
trouver cet émigré possédant voiture et maison prêt à leur payer ce dont elles ont besoin, juste quâelles gardent la maison ! Ceci est à la fois étrange et fait mal au cÅur, car ces femmes ont coûté très cher à lâEtat et au contribuable. On a payé leurs études primaires, secondaires et supérieures et elles ont obtenu les meilleures moyennes. Ce nâest quand même pas pour quâelles gardent la maison et jouent aux femmes de ménage, baby sitters quâelles ont amassé ces diplômes ? Le fait quâelles ne trouvent pas de travail ne les autorise quand même pas à accepter de se soumettre au premier homme qui passe à condition quâil possède maison et voiture ???!
Câest comme si elles cherchaient le bon parti, dans lequel elles
pourront investir le restant de leur vie avec leur propre personne, leur propre corps, leur propre âme, leur propre jeunesse, leur propre
célibat. Car ne me dites pas que quelquâun qui publie une annonce auquel on répond nâest pas le premier venu ? Sâil est clair que jâai vu à plusieurs reprises ce type dâannonces, il ne mâétait jamais venu Ã
lâidée quâil y avait autant de femmes pour y répondre ! Et ce sont ces
mêmes femmes, généralement très coquettes, qui passent des heures, des
jours, voire des semaines, pour choisir une paire de chaussures, une
robe, un pantalon et une jupe. Pour leur shopping, elles sont souvent
hésitantes, cherchant le meilleur produit sur le marché pour quâelles
soient belles. Comment peuvent-elles ne pas se donner suffisamment de
temps lorsquâil sâagit de mari avec lequel elles vont devoir passer le
restant de leur vie (soit au moins 50 ans) et avec qui elles vont avoir
des enfants ?!
Je nâarrive vraiment pas à comprendre ces femmes qui se «vendent», en
pensant investir dans lâavenir tout en se caressant la conscience
puisquâil sâagit de mariage généralement applaudi et encouragé par la
famille. Que dâétudes faites, que dâheures passées à réviser, que
dâénergie perdue, le tout pour que mademoiselle cherche une annonce dâun inconnu possédant une maison et une voiture capable de lui assurer une quiétude financière.
Une matière manque vraiment à nos programmes scolaires : autonomie et
responsabilité !
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AM ISRAEL HAY
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