A ELLES...
'...Des éloges comme du vernis
Dont le dissolvant se nourrit !
Que de belles paroles pour le proscrit !
Que de belles couronnes pleines d'épines !
Dans le cours de sa vie.
Les beaux parleurs sont profusion
Ils sont là guettant le faux pas
L'Åil branché sur la toile, jouissants
Comme des 'chmeytias' au cÅur gavé
De pus, bien repus.
A chacun son heure.
Rien n'est éternel.
Et j'en passe et je mesure la vérité
Sortie par des bouches que j'ai pesè.
D'une enfant malade, certains l'ont raillée.
Dans les coulisses des cimetières prives.
Mais qu'emporte t'on avec soit�
Moi qui ai senti la mort milles fois.
Rien.
Je laisse au grand DIVIN faire sa tache
A chacun sa sale tache.
ALBERT