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coup de gueule

Auteur hajkloufette 
coup de gueule
Des poids et des mesures
Par Marc Haviv pour Guysen Israël News
7 avril 2004 / 10:34


L'Etat d'Israël, l'armée d'Israël, TSAHAL, sont traités de tous les noms par les nations. Que ce soit de "barbares", de "génocidaires", voir même de "nazis", les qualificatifs sont aisément trouvés, les manifestations pour soutenir le peuple palestinien organisées en un temps record, les participants "humanistes" prompts à se mobiliser.
Lorsque des soldats Espagnols tirent sur une foule "menaçante" en Irak et tuent 28 personnes, où sont tous ces gens, ces philosophes, les amis de la liberté, ceux qui ont horreur des exactions.


Mauvaise foi ou tout simplement antisémitisme mis à jour. Car en fait, tuer 28 personnes d'un seul coup, pour des occidentaux civilisés!!
J'oubliais, ils ont le droit d'être nerveux les espagnols, ils ont quand même subi le terrorisme et perdu 200 de leurs citoyens il y a moins d'un mois.
Comprenez! Les morts de Madrid n'ont rien à voir avec ceux de Jérusalem ou de Ashdod, ils n'ont rien fait eux.

Si Monsieur le prix Nobel de Littérature José Sarramango a qualifié de génocide, la mort au combat et les armes à la main, de 53 terroristes à Jénine, que va-t-il bien pouvoir trouver comme qualificatif pour les 28 Shiites irakiens?

Mauvaise fois caractérisée, rigolade, les nations ne disent rien lorsqu'elles font le ménage ou laissent faire le ménage (7500 musulmans Kossovars assassinés en 2000, zone alors contrôlée par les casques bleus hollandais).
Où êtes vous, manifestants français au keffieh ou à la moustache alter mondialiste?
Ou êtes vous les Verts, symbole de la pureté incarnée sur notre terre?
Ou êtes vous les pleurnichards des LCR, si alerte d'habitude à reconnaître les exactions?

Ou êtes-vous MRAP et CAPJO, votre combat serait il réducteur?
Des arabes tués ne sont-ils dignes de votre compassion que si ce sont des juifs qui sont impliqués?

Je suis outré, choqué, dégoûté par tant d'acharnement lorsqu'il s'agit d'Israël, pays démocratique qui se bat pour sa survie. En fait nous sommes au cÅur de l'antisémitisme des nations et essayez de me prouver le contraire!

Finalement il n'y a pas cause commune entre les morts de Madrid, de Bali, de Karachi et ceux de Tel Aviv, Netanya ou Jérusalem.
Les mêmes assassins changent de nom en fonction des êtres humains qu'ils tuent. Si il s'agit d'européens les tueurs sont des assassins des barbares.

Si il s'agit d'Israéliens (d'américains?) les mêmes tueurs sont des combattants acculés. Lorsqu'un tétraplégique criminel est exécuté afin de cesser définitivement de nuire, les gouvernements européens ont le culot, l'indécence de condamner la mort d'un prêcheur de haine qui a voué sa vie à la destruction non pas des israéliens mais des juifs.

Un jour viendra ou ils regretteront ce parti pris intolérable. Un jour viendra, inexorable pour toute personne qui comprend les évènements présents, (jour que je ne souhaite vraiment pas), ou on demandera aux israéliens comment font-ils pour prendre le bus sans appréhension.
Ce jour là, le monde comprendra qu'il ne fallait pas pleurer sur des distillateurs de haine, que le camp choisi était le mauvais.

Il aurait été tellement facile pour les israéliens de "tirer dans la foule" depuis 1948, mais cela est une histoire qui n'intéresse vraiment personne.

Lorsque j'étais enfant, je n'arrivais pas à comprendre l'entêtement de Pharaon alors que sur son peuple les plaies d'Egypte s'accumulaient.
Je n'arrivait pas imaginer un homme aussi têtu alors que ses propres enfants, premiers nés payaient le prix de son entêtement.

Aujourd'hui, en voyant les pharaons européens j'ai enfin tout compris : L'aveuglement est tel, que plus aucune logique n'a de prise sur le raisonnement et que probablement cette indifférence, cette haine, cette indécence millénaire vis-à-vis d'un peuple qui a tant baissé la nuque qui a tant souffert, qui a toujours été à la merci des nations n'ont dâexplication que par le miracle de sa survie.

Ce peuple est revenu sur sa terre, ce peuple est fort, ce peuple a son état, ce peuple est indestructible, il s'auto régénère au moins deux fois par an, à Pessah et à Kippour. Ce peuple de l'Etoile de David est comme l'étoile de mer, coupez-lui un membre, il repoussera.

N' en déplaise, nous sommes là pour l'éternité

Hag Saméah
Re: coup de gueule
â¦â¦â¦ ? (Sans titre)
Par Claude Bensoussan pour Guysen Israël News
4 avril 2004 / 14:32


Je sais, un article porte toujours un titreâ¦Je sais aussi quâen prenant ce risque, je cours celui de ne pas être lu, mais jâassume. Jâai cherché mes mots, jâai torturé mon esprit depuis 72 heures, jâai essayé dâutiliser ceux que le Larousse ou le Petit Robert mâoffraient, jâai repensé aux termes employés pour qualifier les hommes des cavernes, les barbares, les wisigoths et les ostrogoths, les Huns ou les cannibales qui dévorent les animaux de leur propre espèce, sans oublier les assassins qui ont défrayé la chronique, surtout les serial killers , mais je nâen ai trouvé aucun qui puisse être assez fort et surtout fidèle, pour exprimer ce que jâai ressenti à la vue des images du massacre de Falloujah.


Quand jadis, lâennemi était capturé puis tué, on ne s'acharnait pas sur sa dépouille. Nous entrons là dans des détails macabres mais ils valent la peine d'être disséqués, c'est tristement le cas de le dire.
Ainsi les indiens navajos ou les sioux, scalpaient leur victime et gardaient le trophée, mais ils respectaient le corps et l'enfouissaient.
Les cannibales chassaient pour manger, ce qui, contrairement à des idées reçues, restait exceptionnel. Ils ne défilaient pas pour épater leur monde.
Quant aux hordes de Gengis Khan et apparentés, leurs tueries lors des massacres collectifs, pour ce qu'elles avaient d'atroce, restaient si l'on peut dire, dans le cadre de la barbarieâ¦Du sang, du sang, encore du sang.

Ici, à Falloujah, ce fut un fait unique, particulier. Les victimes ont d'abord été brûlées, frappées pendant qu'elles se consumaient, achevées alors qu'elles se contorsionnaient de douleur, c'est un premier degré dans l'horreur. Les mots sont là pour la décrire.
Puis les corps carbonisés, ont été traînés dans les rues, encore fumants pour ne pas dire en flammes. Traînés et battus, au cas où il leur resterait un souffle de vie⦠Deuxième degré. Il reste encore des mots.
Puisâ¦puisâ¦l'impensable : "ils" ont découpé ces morceaux de chairs carbonisés, se sont acharnés à coup de pelles, de pioches, de tout ce qui leur tombait sous la main, les ont labourés, hachés, écrasés, piétinés. Ensuite, les trophées, qui une main, qui un pied, ou une tête, ont été montrés devant les caméras du monde entier. Dans une hystérie collective, qui a choqué certains irakiens, au point de se désolidariser de leurs compatriotes barbares. Troisième degré dans l'horreur.
Enfin l'innommableâ¦les morceaux humains, ou ce qu'il en reste puisqu'on n'y reconnaît plus rien d'humain, sont suspendus sous un pont, alors qu'au dessus, la circulation continue avec ses embouteillages et ses coups de klaxonsâ¦

Le lynchage de Ramallah m'est revenu en mémoire. Pour ceux qui ne s'en souviennent pas, il s'agit de ces deux jeunes soldats israéliens égarés, que les hordes d'Arafat et Yassine, ont tués à mains nues dans un commissariat, éviscérés, lardés de coups de couteaux et de barres de fer, puis ont déambulé dans les rues, les uns exhibant les intestins, les autres le cÅur encore palpitant, ou le cerveau retiré de la boîte crânienneâ¦
La caméra du journaliste italien de RAI 2 a été détruite par les sbires du reclus de la Muquatta, car les images, pensaient-ils auraient, peut-être, fait perdre la guerre des médias à ceux qui en ont fait leur arme de guerre.
Là non plus je n'avais pas trouvé les mots adéquatsâ¦

L'autre atrocité d'une époque que l'on croyait révolue, est la mise à mort, le supplice de Daniel Pearl. Cela se passe au Pakistan, les méthodes sont les mêmesâ¦Je ne vous oblige pas à voir la vidéo, que je joins au texte, mais pour comprendre cette ignominie, il faut regarder les dernières images. L'homme qui tient le couteau de boucher, tranche la gorge de sa victime, sépare la tête du tronc pour la brandir devant l'objectif de la caméra. L'indicible.

Alors, en lisant l'article de Michel Peyrard dans Paris Match du 31 mars, sur la "poudrière de Gaza", je n'ai pu rester longtemps silencieux.
On en ressort avec le sentiment que les tueurs, ceux qui ont les mains pleines de sang, les bombes humaines, les terroristes du troisième type, sont les habitants des implantations, de Judée Samarie. Ce sont eux les extrémistes, auteurs de toutes les pires atrocités. C'est exactement ce que je penserais si j'avais été un lecteur peu avertiâ¦
Le pauvre vieillard tétraplégique (il n'était "que" paraplégique avant l'intervention de Tsahalâ¦), présenté comme une icône, faisait vivre une famille sur trois dans Gaza.
L'icône en question, n'a que les yeux et sa voix fluette pour s'exprimer. On le prendrait presque en sympathie. Sa voix "chevrotante oblige Rantissi à se pencher pour en recueillir le filet tenu". J'en ai les larmes aux yeuxâ¦

" Les propos du vieil homme, se résume le plus souvent à une seule phrase, comme si, quasiment sourd et aveugle, il s'efforçait de maintenir un dernier souffle de vie". Et là, Peyrard, nous ferait carrément pleurerâ¦Pauvre As de pique.
Je suppose que c'est pour se ménager d'autres entretiens avec les successeurs de Saint Yassine dans la poudrière, que le journaliste enrobe ses propos, mais tout de même, j'ai connu certains de ses grands prédécesseurs qui n'utilisaient pas ces moyens làâ¦
Je possède une photo inédite dans mon tiroir. Celle d'une autre icône, un autre tueur de juifs, auquel on donnerait le Bon Dieu sans confession. Elle m'a été "offerte" par celle qui y figure enfant, dans les bras de son "bienfaiteur". Lui aussi faisait vivre son peuple. Il l'avait débarrassé du chômage : Hitlerâ¦
Mais, la "vraie" raison de la visite de l'équipe de Paris Match, au chef du Hamas est on ne peut plus objective : "Nous souhaitions comprendre. Nous voulions entendre, de sa bouche, par quelle cynique dialectique un vieillard cacochyme, pouvait justifier que des jeunes gens, hommes et femmes, aillent se faire sauter dans un café de Jérusalemâ¦Gaza, cette "prison à ciel ouvert dont seuls les israéliens ont les clés", constitue certes, un espace privilégié pour ce commerce abject de la désespérance".
Le mot est lancé. La désespérance.

"-Pourquoi utiliser des femmes islamikases?", demande le reporter à Rantissi.
"-Mais les israéliens comptent bien eux, des femmes soldats?!!", répond l'As de cÅurâ¦
Ben voyons! Qui se font exploser parmi les civils dans les autobus de Jénine ou Bethléem, naturellement!
"Donnez nous des F16, et nous n'aurons plus besoin d'utiliser ces armes humaines" continue, sans rire, la troisième carte du jeu. Et quelques tonnes de gaz sarin aussi?...

Le top du top est pour la fin : "nous sommes prêts au martyr. Tout comme Jésus qui s'est sacrifié pour l'amour de l'humanité, nous rêvons chaque jour de le faire pour le salut du peuple palestinien"â¦

Tout y est : comme vous pouvez vous en rendre compte par vous-même, la comparaison est parfaite. En cette période de l'année, alors que la Passion est sur tous les écrans, le parallèle est dans la droite ligne de l'affaire Al Doura. Le petit Jésus que les juifs ont tuéâ¦Nous y reviendrons dans un prochain article sous forme de trilogie. La Passion est une affaire qui marcheâ¦

Mais⦠J'aimerais savoir si les assassins de Daniel Pearl, lorsqu'ils tranchèrent sa gorge à la façon du mouton que l'on sacrifie, muni du même couteau, ont aussi fait cet abject commerce de la désespérance?
Les irakiens qui ont commis les actes que nous ne pouvions qualifiés, ont-ils aussi agi par un abject commerce de la désespérance?
Les uns comme les autres, sont-ils, au Pakistan ou à Falloujah, sous "une prison à ciel ouvert dont seuls les israéliens ont la clé" ??...
Ceux qui ont commis l'indicible en Irak, ne sont-ils pas les cousins, et même les frères de sang, des lyncheurs de Ramallah? Ces gens là que l'ont nomment palestiniens, ne sont-ils pas venus des environs de Bagdad, il y a un siècle, coloniser la Terre d'Israël, pensant y trouver du travail que les juifs leur donneraient?

Sont- ce là les descendants des babyloniens, ou même des chaldéens ?
Est-ce de cette région là, berceau de l'humanité, qu'Abraham, sur injonction divine, s'est enfui ?
Et si l'idolâtrie dont parle la Torah, celle dont D.ieu dit qu'Il la tient en horreur, n'était que sacrifices humains à Shamash, Ishtar et Mardouk Bel réunis?
A Falloujah et Ramallah, n'avons-nous pas eu droit au culte de Moloch?

Désespéranceâ¦
Et Madrid ? Aussi la désespérance des islamistes marocains soldats d'Al Qaïda? Puisque la langue française ne me fournit pas le mot qui convient, en écrivant ces lignes, j'ai soudain comme une envie de l'enrichir. Après tout, si l'Académie a permis, par la réforme de l'orthographe, de prononcer les "zaricots" ou les "zandicapés", pourquoi ne pas voir dans les horreurs de Falloujah, la barbarance ? Oui, c'est bien cela que nos yeux ont vu : la barbaranceâ¦

Je ne peux terminer sans vous dire, que demain soir, lorsque nous serons tous assis autour de la table, pour le Seder de Pessah, que le récit de notre sortie d'Egypte sera lu et commenté, comme nous le faisons depuis deux mille ans, que les questions à poser auront été posées, nous n'oublierons pas, que jadis, un Pharaon, décida d'en finir avec le Peuple Juif, en jetant dans le Nil les nouveaux-nés mâles de nos ancêtres. Lesquels, se demandèrent, quelques heures avant de quitter l'Egypte:
"Demain la Liberté?"
C'est la même question qui viendra sur nos lèvres. Comme les hébreux, écrasés par l'esclavage, levant les yeux au Ciel, crièrent "Ad Mataï ?!!", " Jusqu'à quand?!!", et furent libérés, nous nous adresserons au Maître du Monde pour lui dire nous aussi: AD MATAà ???

C'est ainsi que l'un des grands chefs hassidiques, le "grand père de Spola"( fin du XVIIIème, début du XIXème) commentait la partie des lois relatives à Pessah, dans laquelle il est dit que le père, revenant de la synagogue, doit sans délai, prononcer le Kiddouch, c'est-à-dire la bénédiction sur le vin. A un maître d'école qui n'en donnait pas la raison aux enfants, pensant qu'elle incombait au père de jeunes enfants seulement, il en fit la remontrance et expliqua :
Le Kiddouch doit être fait sans délai, afin que les petits enfants ne s'endorment point et puissent conformément au rite obligatoire, poser la question: " Pourquoi cette nuit est âelle différente de toutes les autres nuits?".

Lorsque le père revient de la synagogue, de la Maison de prières, et rentre chez lui, c'est-à-dire, lorsque notre Père, après avoir vu et entendu combien et avec quelle ferveur chacun a su prier ce soir-là, en Israël, en dépit des fatigues endurées pour se préparer à la fête ( en dépit des horreurs quotidiennes que les démocides font peser sur euxâ¦), et qu'alors Il rentre chez Lui, et regagne Son Ciel, "Il doit sans délai procéder au Kiddouch".
Puisse t-Il procéder sans retard à la rénovation de la Sainte Alliance avec Son Peuple, selon qu'Il en a fait promesse à Israël :" Je t'ai fiancé à Moi"; puisse t-Il également dans cette nuit même, dans cette "nuit de garde", veiller sur nous et nous sauver " afin que les petits enfants ne s'endorment point ", afin que nous, le Peuple d'Israël, nous, les petits enfants, nous ne sombrions point dans le sommeil mortel du désespoir, mais ayons cause de poser la question à notre Père qui est aux cieux:
" Pourquoi la nuit de notre exil actuel est-elle différente de tous les autres exils antérieurs?".
Et avec ces paroles, le grand père de Spola, éclata en sanglots, s'écriant les deux bras levés :" Père, à Père! Tire nous hors de cet exil tant que pour nous vaut encore la parole telle qu'elle est écrite : "Je dors, et cependant mon cÅur veille!" Oh! Père, ne nous laisse pas aller au sommeil absolu!..." Mais se reprenant et se rassérénant après un moment, il s'écria:
"Mais voici que nous voulons réjouir notre Père ! Voici que nous allons lui montrer que l'enfant est malgré tout capable aussi de danser dans les ténèbres!"
Et sur une mélodie joyeuse, il se mit à danserâ¦

Voilà mes chers frères et sÅurs, où que vous soyez, ce que je nous souhaite, en cette veille de Pessah, jour de notre Libération, que nous dansions malgré les ténèbres. Malgré la barbaranceâ¦
Et que demain soir, après avoir versé le vin dans la coupe du Prophète Elie, Eliahou Hanavi, nous refermions notre Haggadah, notre rituel de Pessah, en disant :

"LECHANA HAZOTE BIROUCHALAYIM !!"

"CETTE ANNEE LA A JERUSALEM !!"
Re: coup de gueule
TERRORISME
Hamas, à l'école de l'embrigadement
Dans des centres de vacances, sous couvert d'aide sociale à l'enfance, l'organisation terroriste forme des gamins, pas même des adolescents, pour en faire des combattants pour l'avenir. Voici comment une génération de jeunes guerriers apprend le djihad et la haine, en attendant l'âge adulte.
Par Katia Clarens (avec l'AFP)
[30 avril 2004]




Je veux être un martyr, lancent Younès et Mohammad, 13 ans tous les deux et vivant à Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, où s'entassent 100 000 réfugiés sur trois kilomètres carrés, lorsqu'on les interroge sur leur avenir. Pas professeur ou chauffeur de taxi ? «Non, martyr.» Et Jabaliya, c'est aussi le lieu où chaque année, pendant les vacances scolaires, des associations musulmanes proposent des activités aux enfants du camp. Au programme : arts martiaux, théâtre, baignade et prière. Voilà pour la version officielle. Officieusement, l'objectif est tout autre. Il s'agit de conditionner les enfants en leur inculquant le culte du martyr kamikaze et de la pensée anti-israélienne. Ainsi les petits vacanciers apprennent-ils des chants de résistance palestiniens et anti-israéliens et portent-ils de fausses ceintures d'explosifs... Pour le compte de qui ?


Sur les plages, les drapeaux verts, couleur du Hamas, se tordent dans le vent. Pas besoin de regarder de très près pour comprendre qu'ici, l'argent qui supporte ces journées de plein air provient du groupe islamiste. Plus connu pour ses activités terroristes, le Hamas se positionne également sur le terrain caritatif en consacrant un pourcentage de son budget de fonctionnement (estimé à 30 millions de dollars) au soutien de nombreuses associations qui oeuvrent, entre autres, pour l'aide aux familles, aux orphelins et aux malades. Discours de propagande en plus. Un moyen d'entretenir la haine et sans doute aussi l'une des clés de son succès grandissant dans cette zone.

Pourquoi l ONU si prompte a condamner Israel ne condamne pas plus fermement cette destruction de l enfance et l anhilation de ses droits ... c est un crime que de faire ca a des enfants !!! quelle horreur !!!
Re: coup de gueule
l'articlede Katia Clarens est publié dans le figaro magazine de cette semaine;il est terrifiant,une note optimiste toutefois,c'est la première fois qu'un média national publie ce genre de reportage;les photos qui l'accompagnent sont édifiantes:bourrage de crane,haine,mort ,djihadd..
dans un camp de vacances,le hamas offre des loisirs aux jeunes ; avant chaque baignade ,dans ce camp de vacances,on répète des slogans incessants et, pendant de longues heures,,on apprend d'abord la haineet la joie du martyre.la journaliste signale que les enfants sont les éternelles victimes de l'intifada:600 d'entre eux en sont morts...les mères palestiennes seraient-elles différentes de nous ?le paradis d'Alllah contre l'amour et la vie .. comment peut-on les comprendre

Re: coup de gueule
Il est difficile de pouvoir comprendre l'insoutenable,ils sont aveuglés par la haine.Ils sont conditionnés dés leur plus jeune âge par des responsables adultes qui ont trés peur de mourir,des adultes lâches,vils,méprisables qui ainsi s'abritent derrière des enfants manipulables.si ces adultes avaient une âme et une conscience,ils agiraient autrement.
Un enfant est le bien le plus précieux qui puisse exister,nous lui devons amour,respect,soutien et bien-être.
La haine est un sentiment dévastateur incontrôlable quand elle s'est emparée d'un être humain qui est transformé en la pire fiente qui puisse exister et méprisable dans le sens qu'ils brandissent leurs armes au nom de D.



Maéva.
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