Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

CHEOUDAT YITHRO

Envoyé par lapid 
CHEOUDAT YITHRO
15 mars 2009, 03:53
CHEOUDAT YITHRO




YITRO
Uploaded by lolomad04

Temoignages :

1. "Chaque jeudi precedent la paracha Ytrho, les "tunes "celebrent" la merveilleuse coutume de SEOUDA YETHRO.

Dans des temps lointains en Tunisie une affreuse epidemie de peste decimait tous les jeunes garcons. Devant le carnage, les mamans prierent la semaine de ladite paracha..et le miracle eut lieu ! Le jeudi l'epidemie s'arreta............

Pour remercier D..et Yethro (qui etait un converti et beau-pere de Moise), on decida chaque annee de celebrer ce miracle par une seouda pour les garcons.

ET c est la fete pour les plus petits..les mamans preparent tout en miniature..petis gateaux makrouds, yoyos , manicottis etc... petits makouds et meguinas..etc..et des petits pigeons ou coquelets farcis ! et je me souviens avec tendresse de cette fete des garcons , quand ma mere (zal) preparait la vaisselle miniature, les gateaux et autres en tout petit..et la joie !!"

Source : [www.tunecity.net] Seouda Ythro Par Judith

2. CHAOUDA T'ITROU. Par Matt Chuaichy ( Lu sur Harissa le 31 janvier 2002)

"Sommes nous encore nombreux a pratiquer cette fameuse Seouda de Ythro , cette fete des garcons, si chere au coeur des Tunes.

Qui possede encore cette vaiselle de "liliputien" que nous achetions chez certains marchands de jouets et qui comprenait des plats ,des couverts, des chandeliers ou brulaient de petites bougies multicolores ?
Tout etait miniature ,la vaiselle comme les mets.

Le Pigeon farci , les petits manicoti , les yoyos et les makrouds nains , jusqu'aux petits pains maisons cuits a la coucha (four public).

Certaines familles accueillaitent des ouled l'bayout (yeladim piyoutim , dixit Meyer) , venus interpreter des chants traditionnels et la boukha coulait a flots pour les adultes presents."


Lu sur Harissa :

[www.harissa.com] CHEOUDAT YITHRO

[www.harissa.com] CHEOUDAT YITHRO

[www.harissa.com] Séoudat Yitro, ‘Amit’, Nathanya 2005.

[www.harissa.com] TABLE DE LA TRADITION DE YITHRO

[www.harissa.com] SIDRA YITRO

[www.harissa.com] Paracha Yithro

Autre Lien :

[www.terredisrael.com] La fête d’Itro par SAREL
Re: CHEOUDAT YITHRO
20 décembre 2009, 12:09
«Fête des garçons» - Par Ftouh Souhail

A côté des fêtes édictées par la Halakha, les Juifs de Tunisie ont coutume de célébrer chaque année deux fêtes particulières, Rosh Hodesh el Bnat « la fête des filles » (le 7 ème jour de ‘Hanouka) et Se’udat Ytro « la fête des garçons ».

L’origine de cette dernière célébrée le jeudi de la semaine de la sidra de Yitro (Exode, XVIII), n’est pas connue avec certitude. Toutefois les juifs tunisiens s’y attachent.
Dans la Bible : le chapitre XVIII de l’Exode nous décrit l’arrivée de Yitro, beau-père de Moïse, accompagné de la femme et des deux fils de ce dernier. Moïse offre un repas en l’honneur de son beau-père qui avait reconnu le D. d’Israël et qui conseille à son gendre de choisir des hommes intègres et craignant D. pour constituer à ses côtés les Chefs d’Israël.

Les communautés juives auraient longtemps commémoré cette institution des premières personnalités communautaires. Cette fête des Chefs « Haguigat-Nesiiim » serait tombée en désuétude et n’aurait été conservée que par la communauté tunisienne, dont le rituel supprime les « Tahanounim » (rogations) à la prière du jeudi matin comme pour les jours de fêtes traditionnelles. Mais, on peut se demander pourquoi la communauté tunisienne commémorerait cette fête qui est tombé dans l’oubli dans le reste du monde juif ?

On raconte qu’un miracle est arrivé à Tunis pour perdurer cette tradition .En effet, une épidémie de peste aurait sévi à Tunis au début du XVIIIème siècle et aurait frappé particulièrement la communauté juive et plus précisément les jeunes garçons. Le jeudi de la Paracha de Yitro, un pigeon blanc aurait avalé un excrément pestilentiel et se serait envolé. L’épidémie aurait immédiatement disparu. Le souvenir de ce miracle expliquerait la fête destinée aux jeunes garçons et symbolisé par le plat principal : le pigeon, offert à chaque enfant mâle jusqu’à son mariage.

Les tenants de cette thèse se réfèrent aussi au texte biblique et au repas offert par Moïse à son beau-père. Ils font valoir que Moïse particulièrement heureux de retrouver ses fils circoncis par leur mère Tsipora en ses lieux et place, aurait réservé à leur intention une partie du festin sous forme de plats à leur mesure, ce qui expliquerait la tradition tunisienne des plats miniaturisés.

Soucieux de marquer un fait aussi capital et de frapper l’imagination de l’enfant pour faciliter l’appréhension par lui des Dix Commandements, les rabbins tunisiens instituèrent une grande fête en l’honneur de cet événement. Cérémonie strictement privée à l’origine, célébrée au sein du Talmud-Torah, et dénommée « Hinoukh Néharim » destiné aux jeunes enfants à partir de l’age de cinq ans.

Les Rabbins tunisiens avaient décidé très tôt qu’il convenait d’enseigner la Loi Ecrite à partir de l’âge de cinq ans, de célébrer la Bar-Mitsva à l’âge de treize ans, et de commencer l’étude de la Michna à l’âge de quinze ans. Il en résultait donc que le tout jeune enfant de cinq ans était appelé à lire au « koutab » ou Talmud-Torah, les Dix Commandements pour la première fois.

Le Grand Rabbin tunisien Abraham Taïeb dit « Baba Sidi » (décédé en 1741) conseilla aux parents de faire profiter de cette fête tous les garçons qui liraient ce jour là les Dix Commandements qu’il s’agisse de leur première lecture ou d’une répétition de la lecture des années précédentes. Autrement dit, ce Sage voulut que la fête soit une occasion pour les garçons de répéter les Dix Commandements pour s’en imprégner davantage. D’ailleurs à l’instar de la « feuille miel » éditée en Tunisie pour Roch Hachana, on publiait la feuille d’Yitro (Ouarkat Ytro) destinée aux enfants, reproduisant le Shema Israël et les Dix Commandements, que dans certaines familles, l’enfant lisait à haute voix en langue vulgaire avant le repas.

Cette fête était impatiemment attendue par les garçons qui étaient les rois de la journée. Après l’école et le repas de midi vite avalé, les parents donnaient généralement quartier libre à leurs enfants qui s’ébattaient dans la ville, allaient au cinéma, lançaient des pétards, regardaient avec envie les vitrines des magasins souvent décorées avec la mention « fête des garçons », tandis que les pâtisseries exhibaient pièces montées et petits gâteaux traditionnels.

Dans les maisons juives, les mères s’affairaient pour préparer le repas de fête. Le soir, la table était décorée et illuminée par des petites bougies de différentes couleurs. Après les bénédictions d’usage et la lecture éventuelles des Dix Commandements, le repas était servi dans une vaisselle miniature. Chaque famille disposait d’un service spécial consacré à la fête comprenant des casseroles, des assiettes, des verres, des couverts, des bouteilles en verre ou en argile, le tout en miniature. Le plat d’honneur était le pigeon qui remplaçait le poulet des soirs de fête ; les gâteaux (yoyo, manicotti, brick au miel, makhoud) étaient tous petits, de même que les pâtes d’amande en forme de fruits de couleur différentes.

Devant l’exaltation, les rabbins ne manquaient pas de rappeler que cette fête n’était pas une fête religieuse et ne reposait que sur une coutume locale. Ils soulignaient qu’elle ne devait pas faire oublier que le devoir essentiel était la tsédaka préférable à toutes les ripailles.

Mais cette fête était chère aux familles. Elle secrétait une ambiance particulière qui dépassait le cadre de la communauté et bien des pères de famille chrétiens et musulmans ne manquaient pas d’acheter eux aussi chez les pâtissiers juifs les douceurs spéciales de la fête pour leurs enfants.

La communauté juive de Tunisie qui comprenait cent mille membres à la veille de l’indépendance de ce pays ne compte plus qu’un millier de membres aujourd’hui. Mais ceux qui en sont issus et qui sont dispersés en France et en Israël continuent de célébrer pour leurs garçons tant qu’ils demeurent célibataires, avec autant de ferveur cette coutume de leur communauté d’origine.


Ftouh Souhail, Tunis
Re: CHEOUDAT YITHRO
28 janvier 2010, 02:32
Pyout de Cheoudat Yithro par Beni Barda et Felix Mizrahi

Re: CHEOUDAT YITHRO
03 février 2010, 06:14
Message de Sauvegarde des Traditions Juives Tunisiennes - Dr Victor Hayoun - Directeur de l'Institut de Recherche de AMIT, Netanya


La table de la fete des garcons (Seoudat Yithro) chez les Juifs Tunisiens

[www.harissa.com]

SEOUDAT YTRO ou CH-OUDAT YTROU

Nous sommes à la veille de "Ch-oudat Ytrou" ou en hébreu "Seoudat Ytro" qui sera fêtée selon la tradition juive tunisienne s.D.v. jeudi soir prochain le 04 Février 2010, c.a.d. le jeudi qui précédera le Chabbat de la Paracha de Ytro (samedi 06.02.2010).

C'est une TJTT [tradition juive tunisienne typique] que l'on nomme aussi : La Fête des Garçons

C'est la deuxième TJTT de la période hivernale, entre les fêtes de Tichri et Pessah', dans ce que j'appelle : "La trilogie juive tunisienne de l'hiver" qui compte : 1. La fête des filles [Roch H'odech El-Bnat], 2. La fête des garçons [Ch-oudat Ytrou] et enfin, 3. La Bsissa [ou Bchicha] de Roch H'odech Nissan [Leilat Nichene]. Il y en a pour tous, la première est pour les filles, la seconde est pour les garçons et la dernière est pour tout le monde.

Cependant, pour le juif d'origine tunisienne, Seoudat Ytro c'est avant tout et surtout une table très bien garnie et un très bon repas aux mets typiquement tunisiens.

Voici une brève présentation de Seoudat Ytro sous forme de questions posées par un petit garçon, avec les réponses.

- Comment appelle-t-on cette fête ?

Séoudat Ytro ou la fête des garçons

- Qu'est-ce que c'est ?

C'est une Séouda [repas en hébreu] que l'on fait à la maison.

- Quand la fait-on ?
Le jeudi soir de la semaine de la paracha de Ytro (entre le 15 et le 24 Shvat)

- Qui fête cela ?

Tous les juifs de Tunisie, les grands et surtout les petits, religieux et non religieux.
Chaque famille fait une Séouda dans son foyer et invite souvent ses proches.
Depuis quelques années, des Associations organisent en Israël des fêtes de Seoudat Ytro communautaires dans des endroits publics avec des mets tunisiens, un accompagnement musical de chansons et de Piyoutim et parfois avec un cours de thora ou une bénédiction de rabbin.

- Comment fête-t-on cela ?

C'est un festin dans lequel sont servis de nombreux condiments de toutes sortes dans des ustensiles et des couverts tous petits, comme pour une dinette d'enfants. On y dit des bénédictions de la thora et on y chante des chansons et des Piyoutim.

- Depuis quand cette tradition existe-t-elle ?

Jusqu'à ce jour il n'y a pas d'information précise pour répondre à cette question. Cependant, d'après différents témoignages, cette coutume existe depuis des dizaines voire même des centaines d'années, mais au moins depuis le début du 20ème siècle (voire citation du chercheur voyageur Nahum Slouchts de 1906).

- Que se passe-t-il de nos jours ?

De nos jours, la tradition est fêtée en Israël et en France par des juifs originaires de Tunisie. Avec le temps, la coutume a subit de légères modifications, cependant l'essentiel est resté sans changement, c.a.d. une Séouda qui est une fête pour les enfants.

- Pourquoi fait-on cette Séouda ?

C'est la question essentielle à laquelle nous pouvons proposer trois réponses possibles dont voici le détail. Cependant, nous pouvons affirmer que l'on trouve la réponse dans des sources écrites et dans des témoignages personnels oraux.

1ère supposition

Dans une époque que nous ne connaissons pas, une épidémie décima la communauté et les enfants [garçons] en étaient les principales et les plus nombreuses victimes. Aussi, on raconte que cette plaie s'est arrêtée brusquement le jeudi de la paracha de Ytro, d'où cette "fête de Ytro" qui est célébrée le jeudi soir [yom h'amichi - le cinquième jour] qui précède la lecture de la paracha de Ytro (Chabbat Ytro) dans la Torah.

Dans la religion juive, des miracles qui sauvèrent des juifs sont fêtés par des repas ou des festins, comme Pessah ou Pourim. Certaines communautés qui ont connu des plaies ou autres catastrophes, ont créé de nouvelles fêtes à l'occasion de sauvetages miraculeux et les ont parfois aussi appelées Pourim, comme le "Pourim de Saragosse". Aussi, comme dans le cas de Pourim, pendant lequel nous avons le devoir de faire un "Grand Repas" [Michté], à l'occasion de ce miracle de la semaine de la paracha de Ytro, nous avons ce repas de Séoudat Ytro qui est riche en couleurs, en saveurs et en diverses valeurs.

2nde supposition

Cette fête se nomme et est célébrée par un repas, en souvenir du repas offert par Ytro à Moché, à Aaron et aux sages [les anciens] (Exode [Chemot] 18, 12) :
" … Ytro, le beau-père de Moché, prit des sacrifices pour Dieu, et Aaron vint et tous les anciens d'Israël, manger le pain avec le beau-père de Moché devant D.ieu … ".
Tous les paramètres sont donc réunis pour expliquer cette coutume et sa forme.

3ème supposition

C'est une festivité en l'honneur des enfants, pendant laquelle on les faisait réciter [souvent pour la 1ère fois] les 10 Commandements de cette paracha qu'ils ont apprise au Keutèb [le Talmud Torah]. Ensuite on leur faisait une fête et pour conclure, à la fin du repas, ils disaient les bénédictions inscrites sur la "Feuille de Ytro" (Ouarkate Ytro) dans laquelle se trouvent aussi les 10 Commandements.
Les enfants étant à l'honneur, le rite se caractérise par une sorte de repas de la taille des enfants avec des petits plats et des petits objets comme dans les jeux d'enfants, avec comme il se doit, à la fin du repas chez les juifs d'origine tunisienne, des petits gâteaux tunisiens : Yoyo, Makroud, brik au miel et Debla ou Manicotti que l'on déguste en lisant la Feuille de Ytro [Ouarkate Ytro].

Par Ailleurs, cette Séouda est célébrée le jeudi car c'est un jour de lecture de la Torah, avec cette semaine là les 10 Commandements, mais aussi, fort probablement, parce que "Jeudi" se nomme "le cinquième jour" [Yom 'Hamichi en hébreu et N-har El-Khmiss en arabe] et nous le savons, le rappel du chiffre Cinq est "bon" contre le "Mauvais Œil", pour protéger et sauvegarder la santé du petit garçon qui se porte mieux et a été épargné des méfaits de cette épidémie ... .

Il faut aussi signaler que :

1. il y a eu des rabbins qui s'opposaient à cette fête qui n'a pas de sources dans la Torah.

2. Les juifs de quelques villes d'Algérie comme Tlemcen, la célèbrent aussi avec un grand couscous au poulet et la nomment "H'ag Sion" qui est en fait une malformation de "H'ag sioum" [H'ag = Fête], du nom des initiales des mots Séoudate Yitro OU Moché [littéralement : Le Repas de Ytro et Moché].

3. A Djerba, cette fête s'appelle aussi "H'inoukh La-Na'ar" ou "Education du Jeune Enfant" et célèbre particulièrement la lecture des 10 Commandements par les jeunes enfants. Ainsi, pour les encourager, on leur prépare un petit festin pendant lequel sont dites des prières et des chants liturgiques.


Cette Seoudat Ytro continue a être célébrée en France et en Israël. Il est intéressant de signaler que la tradition originelle d'un repas festif familial a été conservée surtout en France alors qu'en Israël les originaires de Tunisie célèbrent souvent cette tradition par des soirées communautaires organisées par des associations locales et parfois en famille.

Il est très important de sauvegarder cette tradition car nous aimons tous nous souvenir de ces moments joyeux de notre enfance et il n'y a aucune raison d'en priver nos enfants qui, nous l'espérons, passeront eux-mêmes le flambeau aux générations à venir.

Cette tradition se caractérise par ses couleurs, ses saveurs, ses dimensions particulières, son symbole de la réunion familiale, de son enseignement à l'hospitalité, par cette joie des enfants d'avoir une fête de plus entre Hanouka et Pourim, par sa valeur éducative de la sauvegarde d'une tradition ancestrale et surtout par la lecture des 10 Commandements, qui sont la base de notre sainte Torah, en cette semaine de la paracha de Ytro.

Kmara A'm Akhor … A l'année prochaine, si D… veut.
Re: CHEOUDAT YITHRO
19 juin 2010, 21:19
L'expression "Baba Sidi" viendrait elle donc de ce grand Rabbin qui serait à l'origine de la fête de CHEOUDAT YITHRO ?
Re: CHEOUDAT YITHRO
22 mai 2011, 06:08
je viens de lire les articles de ce thème, a mon tour de vous dire que
bien sur cette fète est toujours présente dans ma famille, on n'oubie
jamais la date.

je possède deux ou trois objets de cette époque (à TUNIS) dont un bougeoir
et autre, c'est ma soeur qui les conserve précieusement; dès que je le
pourrai je les prendrai en photo, pour vous les rappeler.

nous passions dans tout l'immeuble pour voir les tables de chaque famille,
elles étaient toutes plus belles les unes que les autres... croyez-moi
je m'échine toujours à essayer de faire des petits gateaux, sans succés
(manque d'habitude, surement, les spécialites s'étaient nos mères, les
irremplacables).

ce qui me fascinait aussi c'était tous ces petits sujets en sucre
transparent de toutes les couleurs et qui fondaient bien souvent avant
mème de les manger. ils représentaient des animaux, coq, oiseau, chameau...je me souviens que je trouvais toujours chez les autres, un
qu'on avait pas.. et si mes souvenirs sont bons on ne les trouvait que
dans les quartiers les plus anciens, certainement pas à "Lafayette"..
Re: CHEOUDAT YITHRO
11 mars 2012, 05:53
avec un peu de retard, certes, je vous adresse une petite assiette de yoyos.

sans chichis, tout simplement..
je vais essayer de faire passer celle des petits bougoirs et assiettes de l'époque ( que ma soeur a conservés), je vous l'avais promis il y a quelques temps déjà..
si je n'y arrive pas je trouverais un autre moyen de la transférer
Pièces jointes:
P080212_17.550001.JPG
Re: CHEOUDAT YITHRO
11 mars 2012, 06:19
bien, je crois avoir réussi ...

j'espère que ces humbles "ustensiles" vous rappeleront de vrais beaux souvenirs..

ici, en Provence, les miniatures s'appellent "taraillettes" et toutes les petites-filles jouent avec..
celà s'appelle également des "dinettes"....

Ytrou et Pourim sont finis, retroussons nos manches pour le "ménage de "Bichah" (pessah, paques)..
qu'elles droles d'idées dans les autres religions : ils n'en finissent pas de nous imiter (à quelques jours près les fètes sont les mèmes), comment peut-on ignorer l'origine de toutes ces fètes..
Pièces jointes:
MINIATURE (2).JPG
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved