Il y a un an le vieux PTB fermait ses portes avec cette Ode.
Alors que beaucoup de nos anciens membres sont partis, alors que des rubriques ont férmès leurs portes, le PTB est toujours là.
Fier et toujours debout.
Vers libres.
Paris le 28/08/2007.
Ode à mon PTB.
Comme j’ai froid.
Mon bébé d’amour... !
Mon enfant de tous les jours
Mon chéri pour toujours.
Ne pleure pas, mon cœur.
Ne souffre pas, mon âme.
J’ai autant mal que toi.
Mon vieux et si jeune ami de cinq ans.
Hélas,
Depuis hier soir, je me sens très morose.
La décision de quitter ces lieux est une clause.
Je n’y peux rien.
Il faut savoir obtempérer mon joli et beau
Au lancer de la pioche ou du marteau.
Quelque soit la beauté de tes nouveaux locaux,
Rien ne remplacera ton humble et vétuste tréteau
Si chaud, si conviviale, si affectif et ton espace
Ta scène qui a vu passer et jouer tant de belles grâces.
N’aie pas de regrets, Mon Chéri,
Soit fier de tes vieux et ridés rideaux.
Seule l’éternité sort toujours vainqueur.
Mais pour nous... ? Choses, bêtes et humains
C’est toujours les mêmes refrains que l’on retient,
Qui reviennent comme ROI’ECHO depuis les anciens matins.
Aucune place n’est définitive.
Comme le juif errant avec ses maux
Dans sa besace accrochée au dos, il fuit le malin.
Cependant il cherche son gîte pour son lendemain.
Tout mû, tout se déplace, tout meurt au grès
Du bon vouloir des hommes et des simagrées.
Mon fidèle compagnon de joie,
Mon Théâtre de jour et de nuit
Ne m’accable pas plus que je le suis
Je suis déjà blessé et je ne hurle pas.
J’entends ton cri de détresse humaine
Ebrécher mes vieilles feuilles endormies * oreilles.
Allons voir, mon cœur, ailleurs
Le nouveau Printemps des fleurs.
Comme j’ai froid.
Que de courage pour relever les outrages,
Il t’en a fallu, toi qui a fini ton sevrage.
Toi, qui est si jeune dans ton bel âge.
Allons mon cher et tendre... !
Prends ma main tremblante
Emmène moi, vers tes nouveaux près
Ecouter ta voix qui ne se perd
A travers tes nouveaux champs verts.
Et surtout ne perds pas tes repaires.
Sur tes pétales de diamant,
Délires et mille chansons.
Renaîtrons comme auparavant.
Allons mon cher et tendre
Boire à ta nouvelle source,
L’eau couleur émeraude.
Je te suis, le cœur muet,
Et ma larme coincée
S’interdit de pleurer
Sur le bord de mon envie.
GOD SAVE THE PTB.
L'ouverture du PTB.
Ce n'était pas un poisson d'Avril.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 02 avril 2002 - 15h13:
BIENVENUE AU THEATRE DE BREITOU;
Ouvert à tout le monde
breitou
PREMIER MESSAGE...ET DEPUIS...JE NE COMPTE PLUS..Ni mes fautes ni mes conneries...!!!!
Et depuis, on a fomentè le complot.
REPRISE DU FILM '...AU CHATEAU DES NAZES...!' 11°
Salle VICTOR AU PTB.
'...Y' A PERSOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNE....! Zekch...!'
Je vous ai langui zut...!'
Ou alors j'ai du facher beaucoup d'entre vous...!
Même si vous ne m'aimez pas trop mais sans vous, je m'emmerde.
En plus c'est vrai.
Alors où sont les dames...????
Si c'est pour le complot, je fais amende honorable, je me le suis fait tout seul le complot. Ce sont des choses qui arrivent.
Vous n'allez pas vous taire pour si peu, nous sommes tous des fréres et des soeurs n'est ce pas...!
Je vous en prie dites quelque chose sinon nekh'liye el lilè...!!!
Lejem Monsieur Trucs et Astuces va fiancer son perroquet à la rue Chimiez.Après tout ce visiteur sur la rampe m'a l'air d'un bon partie.
Il doit surement bagayer à longeur de journée '...JE EEEEE..VEUXXXXXX...MEEEEE MAAAAAAAAAARRRRRIIIII...ERRRRRR....!'
Allez les amis, bon je vous pardonne tous et toutes pour le mal que vous m'avez fait mais revenez brass bouqom...!'
ESSALEM AALIQOM.
BON RAMADAN POUR NOS AMIS MUSULSMANS QUI VISITENT LE SITE.
EL HAJ KLOUF I RENDEZ VOUS AU PTB.
CHORBA @#$%&.
Voilà un apéro très simple.
Vous remarquerez la petite REINE BOUKHA tenu de main de Maître.
Qui sans elle rien ne roule.
La bière Celtia n'est pas à vraiment une boisson très apéro.
Elle fait partie des petites réunions des gens modestes.
Baba DAVID que l'on voit à droite, chaise décalée, avait diminué sa dose de Boukha pour cause d'ulcéres.
La plupart de ces personnages ont disparu.
Il se pourrait que beaucoup d'anciens goulettois reconnaissent leur père ou frères.
Cette photo a 45 ans d’âge.
Le monsieur (Attal) qui tient le huitième de Boukha est un pince-sans rire.
Un grand fedleg.
L’apéro goulettois,
C’est du bonheEEEEur.
Il se prend à toute les heuUUUres.
Et sous les tropiques du Chalet.
LE LEEEE....!!!!§§§§§§§§§§§§§§§§
Même le bébé Gastoun dans son berceau
Tire la boukha des seins de sa maman la TouiraAAAA.
AAAAHHHH..AAHHHH...§§§§§§
‘...Men’yaiche ââlè oulidiIII... !’
('...Que D ieu préserve mon fils...!)
Qu’elle dit ‘... En khef louqen i doukh’liIII.. !’
('J'ai peur qu'il est le vertige..!')
‘...Ye mraAAAAAA in yadin rabéq...! Me tha'chem'nich bah'da shabIIII..!' Lui dit Chouiélèm Qasibag son mari
'...Ne me fais pas la honte devant mes amis...!')
‘...Comment veux tu qu’il soit un homme en retard.. !’ (Il voulait dire plus tard.)
Notre Gastoun bien plus tard ressemblât à la forme de la bouteille Bokobza.
‘...Allez, ijjew ye KikIIIIi él fartass
Mridekh lah’ouel, ye Hamadi Gaz,
Qoue’yeEEEEss huitiéme boukha nous attendent... !’
‘..Ye Chedli, ye garssoun, bel’eï ââliq ji’béna houira tmimét chay’e... !’
Aât’che’nin mitin béch en moutou bél ââtéch... !
Me ten’ssech, en zid n’aâ’oud’leq, ye miboun, ( PD)
Hara tmimét berdin qif khal’ti Messaouda...
En ha’bouen ââr’qanin qif ou’jeq él medroub,
Ah ou mé t’ensech, el kemia, louken téme chou’yè foul,
Ou zedda ji’be’né houira adam mta rmol, faqouss ou khouetou... !’
Louqen tema zedda, houira trilla ââla kéf keifeq,
Ah surtout apportes nous aussi des kakis salés et ... !’
‘...Teoua en jibel’qom él coujina qollaAAAA... ! Oun challa nel’qa floussiIII mââ’qom bââd él soq’ra héEEEEdiIIII..... !’§§§§§
‘Allez venez yé Kiki le chauve, Mridekh le borgne, et Hamadi Gaz( surnom)
Des petits verres de boukha nous attendent,
O toi le Chedli (garçon) je t’en prie apporte nous quatre 8 iéme d’abord.
Nous crevons de soif, nous allons nous assécher,
N’oublies surtout pas, je te le répète, PD,
Quatre 8 iéme bien frais comme ma tante Messaouda,
Et nous les voulons en sueur comme ta face variolée ;
Ah, et n’oublies pas, la kemia, et aussi un peu de fèves
Et en plus apportes-nous quatre œufs durs, des quartiers de concombres et compagnie... !
Si tu peux nous servir aussi un quatuor de rougets comme tu les aimes... !’
‘...Je vais vous apporter toute la cuisine... ! Et j’espère rentrer dans mes comptes après votre buverie... !’
Leur dit le Chedli un peu craintif.
Ah qu’il est beau l’apéro goulettois.
Mieux que lui y’a pas deux, dans ce bas monde.
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