ladouda a écrit:
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> Quand ils sont tous neufs,
> Qu'ils sortent de l'oeuf,
> Du cocon.
> Tous les jeunes blancs becs
> Prennent les vieux mecs
> Pour des c..s.
Celle la , je l'adore , comme tout ce qui vient Du grand G.B de notre adolescence
La derniere et la plus belle dans le genre !!!!
A quoi tu penses? - - Je pense que le jour ou on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner.
Le Pacha (1968) de Georges Lautner
Citations de Michel Audiard

«Je ne suis pas le père de l’enfant de Rachida Dati».
Le son vient du Moyen-Orient et fait écho aux insinuations de deux journalistes.
Fin des ragots et du bruit médiatique.
Ali Bin Fetais al-Marri, procureur général du Qatar est le nouveau père putatif à se désister publiquement.
La liste des géniteurs potentiels se transforme en pavé. Les démentis ricochent dans la mare peopolitique. Et la paternité de la petite Zohra reste un secret bien gardé.
Si la bambine a les yeux bleu pétrole, ce ne sont pas ceux d’un émir arabe.
Dr Ali Bin Fetais al-Marri nie formellement être le père de la fille de Rachida Dati.
Alors que l'ancien chef du gouvernement espagnol José Maria Aznar s’était fendu d’un communiqué officiel, qu’Arthur avait préféré envoyer un SMS humoristique à l'intéressée, que le délicat le secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte s’était emparé devant la presse du micro de sa ministre de tutelle pour clamer son innocence, le procureur général du Qatar vient de condamner par missive interposée son attribution arbitraire de paternité.
«L'affirmation selon laquelle je serais le père de l'enfant de Madame Rachida Dati est une pure contre-vérité», se défend le très cornélien Monsieur Al-Marri. «Mes avocats ont instruction de prendre toutes les mesures qui s'imposent», écrit le haut dignitaire dans une lettre adressée à l'ambassadeur du Qatar à Paris.
Michaël Darmon, grand reporter à France 2, et Yves Derai, grand reporter au Nouvel Economiste, co-auteurs du brûlot qui révèle l’information n’ont qu’à bien se tenir.
Dans leur biographie au vitriol de la garde des Sceaux, Rachida Dati est devenue Belle Amie, jeune femme ambitieuse, séductrice et manipulatrice, une intrigante usant de toutes les armes pour gravir les marches du pouvoir.
Dans le pamphlet sorti le 5 février, les auteurs ont avancé une nouvelle piste sur l'identité du père de Zohra Dati, inconnu jusqu'ici. Ils ont énuméré un certain nombre de «preuves» attestant de la piste qatarie: bijoux offerts, déplacements en France au moment de l’accouchement, visites mensuelles de notre icône de la Place Vendôme dans la péninsule arabe… Les deux polémistes ont même dressé le profil de cet homme avec qui Rachida Dati aurait «une relation très étroite»: «un homme de son âge, francophile, francophone, immensément riche mais déjà marié quelques fois»...
Philippe Val De Charlie Hebdo
Les négationnistes
A écouter sur :
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girelle a écrit:
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>
> «Je ne suis pas le père de l’enfant de Rachida
> Dati».
>
Moi non plus.
Une Chakchouka de Diamants.
Son Eminence Le Jurisconsult, pour avoir porté des jugements fort critiques sur la Comtesse du Djoudjoura, s'est attiré une vive antipathie de la part de celle-ci.
Dès lors son objectif est de rentrer en grâce auprès d'elle.
Le naïf fait connaissance d'une aventurière descendante d'un batard de Baba Aroudj (Clone de Barbe Rousse), qui se fait appeler Jehane de Djoudjoura.
Celle-ci aidée par son mari et un charlatan vénitien le Comte Alessandro de Cagliostro, entre autre amant de la Contesse (de son vrai nom, Giuseppe Balsamo), profite de la crédulité de celui-ci pour faire croire qu'elle est une intime de la Beyia, et qu'elle œuvre en sa faveur pour le faire rentrer en grâce.
Sur les douze coups minuit, elle lui fait croire à une entrevue avec la Beyia dans le Bosquet de Vénus du parc de Bab El Khadra. En réalité, le couple a trouvé une petite prostituée, dénommée « Mille Révélations « qui présente une forte ressemblance avec la Beyia. Ils l'habille d'une robe de mousseline blanche semblable à celle de la souveraine et la coiffe d'un chapeau à large bord.
Dans l'obscurité du Bosquet de Vénus, l'illusion est parfaite. Quand la fausse Beyia tend à Son Eminence une rose avant de disparaître dans le parc, l'homme est éperdu de bonheur.
Pas un instant il ne soupçonne que cet invraisemblable rendez-vous est un leurre.
A la suite de cette "Entrevue Beylicale", la Comtesse du Djoudjoura, à plusieurs reprise, se fait verser par Son Eminence de fortes sommes d'argent "destinées au bonnes oeuvres de la Beyia".
Quelque temps après, le hasard permet à La Comtesse de tenter un coup d'éclat.
En effet deux joailliers Soussiens ont confectionné une rivière de diamants de 2.300 carats, espérant vendre ce fabuleux bijou à la Beyia.
Mais devant le prix demandé( Cent millions de Dinars), la souveraine refuse.
La Comtesse complice des deux filous, conçoit alors un plan diabolique.
Elle confie à Sa Grandeur que la reine désire acheter ce joyau en cachette de son mari et qu'elle lui demande de servir d'intermédiaire.
Sur la foi d'un billet signé « La Beyia », son Eminence, toujours sans méfiance, achète à crédit la parure, qu'il remet à Jéhane la complice de la Comtesse. Celle-ci dessertit les diamants et les fait vendre en Venise par son mari.
Evidemment, à aucun moment la Beyia n'a eu connaissance de ces tractations.
Lorsque au jours prévu pour la première échéance du paiement, les joailliers se présentent au Palais, tout est découvert et Notre Bey (Le Salut est sur Lui) pour venger l'honneur de sa Digne Epouse, se résout à l'arrestation spectaculaire de son grand serviteur le Jurisconsult.
Le 15 août, alors qu'il s'apprête à célébrer la sortie de la Madona Di Trapani devant la cour , Son Eminence est arrêté et embastillé. Ainsi s'achève une rocambolesque affaire dont la première victime est le Jurisconsult de la cour, mais qui entache la réputation de la Beyia, pourtant totalement étrangère à l'affaire.
L'affaire des diamants de la Beyia qui touche à la Couronne Beylicale, va bien au-delà d'une escroquerie montée par deux filous particulièrement habiles. Elle est déjà un prélude à une fin possible du régime.
La journée du 15 août est toujours à Sousse une grande fête, car on y célèbre conjointement la cérémonie religieuse de l'Assomption et l’anniversaire de la Beyia.
Toute la noblesse Goulettoise est rassemblée pour assister à la cérémonie que doit célébrer Son Eminence, le Jurisconsult de Sousse Freddo pour les intimes, que le Bey avait nommé Grand Maistre des Cérémonies . Celui-ci, paré de ses splendides habits d’officiant, s'apprête à accueillir le Couple Royal, lorsqu'on l'informe que le Bey le demande dans son cabinet.
Freddo, très surpris, trouve Notre Bey en compagnie de la Beyia, du garde des sceaux, ministre de la maison royale. Le Bey, en lui tendant la lettre des bijoutiers qui fait état de l'achat d'un collier de diamants effectué par Freddo soi-disant pour le compte de la Beyia, lui demande des explications.
Effondré, Son Eminence rédige une déclaration que lui dicte Notre Bey et sort du cabinet. Alors qu'il traverse la galerie des Dattes, au milieu de la foules des courtisans qui attend la cérémonie, retentit la voix du Garde des sceaux : "Qu'on arrête Le Jurisconsult!".
Son Eminence est conduit à la prison et l'instruction révèle petit à petit au public la stupéfiante escroquerie dont Son Eminence s'est rendu complice malgré lui.
Mais le Bey commet alors une grave erreur, au lieu d'exiler discrètement La Comtesse dans sa province lointaine il porte l'affaire devant le Parlement.
Le scandale publiquement déclenché rejailli sur le Bey et la Beyia.
L'instruction est longue et compliquée.
La Comtesse et sa complice Jéhane, arrêtées le 16 août font une déposition contraire à celle du Jurisconsult.
Les Soussiens prennent fait et cause pour le Jurisconsult, qui les a toujours éclairés de sa science juridique. Le Peuple ressent ainsi l'arrestation du Jurisconsult comme une atteinte à son égard.
C'est la Beyia qui a accusé Freddo, mais c'est le procès de la Beyia qui se prépare : caricatures, pamphlets, libelles présentent la pauvre Beyia comme ………. Je ne peux en dire plus ZZZZZ !
Quand le procès s'ouvre, devant les 64 magistrats de la Grand-Chambre et de Sousse.
Dix jours durant, les interrogations se succèdent.
Enfin le procureur général prononce un réquisitoire fort dur où il demande la condamnation du Jurisconsult.
Son discours entraîne une tempête de protestations dans l'assistance et de violentes altercations entre les magistrats. Les délibérations des jurés durent 16 heures, tandis qu'une foule de plus de 10 000 personnes est massée autour du Palais des Dattes dans l'attente du verdict.
Chaque conseiller doit voter à haute voix. A 9 heures du soir, le verdict tombe : à la majorité, le Jurisconsult est déchargé des plaintes et accusations portées contre lui, mais chassé de la cour et exilé à Ouardanine son fief, où il devra mener une vie de felah et d’ermite.
Jehane et son filous de mari sont condamnée à être fouettés en public, marqués au fer rouge et emprisonnés à perpétuité dans l’Île Schikly, pour crime de lèse Majesté (Jéhane s'en évada par la suite). Son mari pas stupide, reste à Venise très enrichi, et devient contumasse.
La Contesse est condamnée, est condamnée à rembourser Freddo, payer le Tribunal, et l’immense préjudice porté à la Couronne. De plus elle est exilée chez ses sujets les Djaouras, cousins bien connus des Jurassiens dans les Aurès.
Une ovation accueille le verdict, Freddo est devenu un héros que le peuple en délire acclame.
Au Palais c'est la consternation car le jugement laisse supposer que la Beyia est impliquée dans l'escroquerie.
La monarchie vacille, et Freddo sentant qu’elle pourrait ne plus se relever du discrédit qu'a jeté sur elle la rocambolesque affaire des diams, demande alors audience à notre Bey, qui le reçoit.
- La Paix est avec toi Ya Baba, je suis très malheureux de cette vilaine aventure dans laquelle je me suis fait prendre. Je vais confesser la naïveté avec laquelle je me suis conduit, dans cette lamentable affaire, tous les Soussiens vont le savoir et te garderont leur affection.
- Va fils, va en Paix, car il y a toujours un temps pour la frustration et la colère, et un temps pour l’oubli, je sais que tu es sincère, La Beyia m’a chargé de te dire qu’Elle te garde son amitié, et que tu revienne vivre à Sousse !
- Ô merci Prince ! Je ne suis pas fait pour vivre comme un Fellah au milieu de nulle part, et je m’ennuis trop de Sousse, dont l’atmosphère me manque ………. !
Extrait du livre : Le collier de Glibettes.
Pièces jointes:
Soutenu par les soussiens dont la solidité en amitié est mondialement reconnue, Son Emminence le Jurisconsulte aura eu plus de chance que le Cardinal de Rohan!!!
Vive les soussiens!!!
Pièces jointes:
freddyb a écrit:
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> girelle a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> >
> > «Je ne suis pas le père de l’enfant de Rachida
> > Dati».
> >
> Moi non plus.
Tu fais bien de démentir, on n'osait pas te le dire,
mais tous les soupçons commençaient à se porter sur Toi!!
Les Poissons de la Justice.
" Les hommes sont, les uns par rapport aux autres, comparables à des rochers dans la mer situés face à face. Chaque rocher est percé d'une multitude de petits trous, où nichent des poissons blancs et des poissons noirs.
Les poissons noirs, ce sont les mauvaises pensées et les mauvaises paroles. Les poissons blancs, ce sont les bonnes pensées et les bonnes paroles. Les poissons blancs, en raison de leur forme, ne peuvent entrer que dans des trous de poissons blancs; et il en va de même pour les poissons noirs qui ne peuvent nicher que dans des trous de poissons noirs.
Maintenant, imaginons deux Soussiens qui se croient ennemis l'un de l'autre. Appelons-les Homsa et Homsi. Un jour, Homsa, persuadé que Homsi lui veut du mal, se sent empli de colère à son égard et lui envoie une très mauvaise pensée.
Ce faisant, il lâche un poisson noir et, du même coup, libère un trou correspondant. Son poisson noir nage vers Homsi et cherche, pour y nicher, un trou vide adapté à sa forme. Si, de son côté, Homsi n'a pas envoyé de poisson noir vers Homsa, c'est-à-dire s'il n'a émis aucune mauvaise pensée, aucun de ses trous noirs ne sera vide. Ne trouvant pas où se loger, le poisson noir de Homsa sera obligé de revenir vers son trou d'origine, ramenant avec lui le mal dont il était chargé, mal qui finira par ronger et détruire Homsa lui-même.
Mais, imaginons que Homsi a, lui aussi, émis une mauvaise pensée. Ce faisant, il a libéré un trou où le poisson noir de Homsa pourra entrer afin d'y déposer une partie de son mal et y accomplir sa mission de destruction. Pendant ce temps, le poisson noir de Homsi nagera vers Homsa et viendra loger dans le trou libéré par le poisson noir de ce dernier.
Ainsi les deux poissons noirs auront atteint leur but et travailleront à détruire l'homme auquel ils étaient destinés. Mais une fois leur tâche accomplie, ils reviendront chacun à leur nid d'origine, car il est dit : "Toute chose retourne à sa source." Le mal dont ils étaient chargés n'étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire.
L'auteur d'une mauvaise pensée, d'un mauvais souhait ou d'une malédiction, est donc atteint à la fois par le poisson noir de son ennemi et par son propre poisson noir, lorsque celui-ci revient vers lui.
La même chose se produit avec les poissons blancs : si nous n'émettons que des bonnes pensées envers notre ennemi alors que celui-ci ne nous adresse que de mauvaises pensées, ses poissons noirs ne trouveront pas de place où loger chez nous, et retourneront à leur expéditeur.
Quant aux poissons blancs, porteurs de bonnes pensées que nous lui aurons envoyés, s'ils ne trouvent aucune place chez notre ennemi, ils nous reviendront chargés de toute l'énergie bénéfique dont ils étaient porteurs.
Ainsi, si nous n'émettons que de bonnes pensées, aucun mal, aucune malédiction, ne pourront jamais nous atteindre dans notre être. C'est pourquoi il faut toujours bénir, et ses amis, et ses ennemis.
Non seulement la bénédiction va vers son objectif pour accomplir sa mission d'apaisement, mais encore elle revient vers nous, un jour ou l'autre, avec tout le bien dont elle était chargée. Tout homme, bon ou mauvais, est le dépositaire d'une parcelle de Lumière. »
Extrait du livre : La Sagesse des Soussiens
Pièces jointes:
Pensées Soussiennes.
« Gardez pur le foyer de vos pensées, vous instaurez ainsi la Paix et vous êtes heureux ».
« Me voici pure attente, où es-tu claire cascade ? Il suffit que tu viennes, pour que soit mélodie ».
« Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque le. Celui qui sait qu'il sait, écoute le. Celui qui ne sait pas qu'il sait, éveille le. Celui qui ne sait pas qu'il ne sait pas, fuis le ».
« Ce qui fait la vraie valeur d'un être humain, c'est de s'être délivré de son petit moi ».
« Quand tu es dans l'illusion, le doute, même un millier de livres ne suffisent pas. Quand tu as compris, un seul mot est de trop ».
« Une goutte de sueur qui coulera en temps de paix, sera une goutte de sang en moins qui coulera en temps de guerre ».
« Le pharmacien a deux yeux (il connaît les maladies et leurs remèdes). Le médecin a un oeil (il ne connaît que les maladies). Le patient est aveugle (il ne connaît ni les maladies ni les médicaments) ».
« On appelle Milieu ce qui n'incline d'aucun côté et Constant ce qui ne change pas. Le Milieu est la Voie droite pour tous les Etres et la Constance est la loi invariable qui les régit. La loi que le Ciel a mise dans le Coeur de l'Homme s'appelle la Loi Naturelle. L'observation de la Loi Naturelle s'appelle la Voie. Quand il ne s'élève dans l'âme aucun sentiment de joie, de colère, de tristesse ou de plaisir, on dit qu'elle est en équilibre parce qu'elle n'incline d'aucun côté. Quand ces sentiments s'élèvent dans l'âme sans dépasser la juste mesure, ont dit qu'ils sont en Harmonie « .
« Un Homme qui ne sait pas mesurer et traiter les autres avec la même mesure que lui-même ne peut pas les instruire « .
« Le Kif est en tout; il faut savoir l'extraire « .
« Apprendre, c'est, de jour en jour, s'accroître « .
« Avoir le coeur à la bonne place. Accepter l'échec provoque un changement qui permet d'en tirer des leçons et de progresser. L'adversité ouvre le plus souvent la voie à de nouvelles opportunitées et au progrès. Souvenez-vous que l'heure la plus sombre est celle qui précède le lever du soleil « .
" Il était une fois un jeune guerrier, qui prit un oeuf dans le nid d'un aigle et le mit à couver dans la basse-cour. Quand l'oeuf vint à éclore, le petit aigle sortit et grandit parmi les poussins, picorant sa nourriture comme ses compagnons. Un jour, regardant en l'air, il vit un aigle qui planait au-dessus de lui. Il sentait ses ailes frémir et dit à un des poulets :
- " Comme j'aimerais en faire autant ! "
- " Ne sois pas idiot, répondit le poulet, seul un aigle peut voler aussi haut ".
Honteux de son désir, le petit aigle retourna gratter la poussière et il ne remit plus jamais en cause la place qu'il croyait avoir reçue sur cette terre..." .
" La lumière de l'expérience est comme une lanterne que l'on porte dans le dos, elle n'éclaire que le chemin parcouru."
" Quand les Hommes ont une volonté commune, leurs Souffles naturellement s'harmonisent."
" Se transformer soi-même, c'est transformer le monde entier. Le soleil brille, tout simplement. Parce qu'il brille, le monde entier est plein de lumière. Se transformer soi-même est un moyen de donner de la lumière au monde entier ".
" En ce monde une seule chose ne devait jamais être oubliée. Si vous deviez oublier tout le reste et vous souvenir seulement de cela, vous n'auriez aucune raison de vous inquiéter. Par contre, si vous vous rappeliez, accomplissiez et réalisiez tout le reste mais perdiez la mémoire de cette chose, vous n'auriez en fait rien accompli du tout. C'est comme si un roi vous avait envoyé dans un pays pour exécuter une seule tâche bien précise. si vous allez dans ce pays et menez à bien cent autres tâches, mais n'accomplissez pas celle pour laquelle vous avez été envoyé, cela reviendra à n'avoir rien réalisé du tout. Ainsi, l'homme est venu en ce monde pour une tâche bien précise, et telle est sa raison d'être. S'il ne l'accomplit pas, il n'aura rien fait ".
" Si vous ne savez pas qui vous êtes, qui donc est en train de vivre votre vie à votre place ?...Y a-t-il au monde une activité plus urgente que de redevenir soi-même ? ".
" Qui se hisse sur la pointe des pieds ne tient pas debout. Qui met les enjambées doubles n'arrive pas à marcher. Qui se pousse aux yeux de tous est sans lumière. Qui se donne toujours raison est sans gloire. Qui se vante de ses talents est sans mérite. Qui se targue de ses succès n'est pas fait pour durer ".
" Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens, d'autant plus sévères, qu'ils ne font rien du tout ".
" Hier n'est qu'un rêve et demain une vision. Mais bien vécu, l'aujourd'hui fait de chaque hier un rêve de bonheur et de chaque demain une vision d'espoir. Prends donc bien soin d'aujourd'hui ".
" La plus grande Révélation est le silence. La Grande Musique est muette ".
" Dans le silence et la solitude, on n'entend plus que l'essentiel ".
" Vivre paisiblement une journée de Kif veut dire être immortel une journée durant".
" J'entends et j'oublie. Je vois et je me souviens. Je fais et je comprends."
" Etre de son temps et... profiter du temps qu'il fait. Gagner du temps pour... avoir le temps de... prendre du bon temps. De temps en temps ou... tout le temps. Les temps forts d'une vie sont important ! "
Extrait du livre : Les Sages De Sousse.
Pièces jointes:
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