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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 mars 2011, 09:25
Voyage au PAYS DIVIN.








C’est une habitude que je traine chez moi lorsque je voyage.
J’ouvre un petit carnet de bord, même pas un cahier car cela m’oblige à le remplir entièrement.

Pour ce séjour en terre sainte, j’aurai pu le faire mais voilà, je n’ai vu qu’une petite ville, un village il y a 20 ou 30 ans.
Un ami me disait qu’il n’y avait rien ou presque rien lorsqu’il était éclaireur.

De ce petit rien qqs années plus tard, mon ami grand voyageur en terre sainte serait surprit de ce changement en si peu de temps. Une ville ouverte où seul le mot détente et farniente sont les maitres mots clés de cette cité où l’on entend parler presque toutes les langues.

C’est dimanche dernier 28 fevrier, vers les 8 heures 10 du matin exactement que mon avion décollait du tarmac PARIS CHARLES DE GAULLE pour une durée de sept jours à destination d’Eilat que je vais découvrir.

Eilat ville située au sud d’Israël dans la mer rouge en bordure du Néguev et du Sinaï.

Elle fait front à la Jordanie. Au port d’ AKABA.

Nous survolons la mer morte et survole un paysage de montagnes.
Peu avant l’atterrissage, les premières maisons basses apparaissent à mes yeux puis de grands bâtiments que je devine être des hôtels, les piscines faisant foi.

Atterrissage vers les 12 heures 30 dans le petit aéroport d’ OVDA, temps clair, soleil resplendissant, température 30°.


Les locaux de L’aéroport sont exigües, vetustes, cela m’a rappelé Le grand hangar de l’Aouina des années 1956 dépourvu de modernisme.
Quatre guichets et quatre jeunes policiers derrière leur ‘cagibit’ portent un soin méticuleux sur les contrôles.

Soudain, un gros chien loup sort, ce qui n’est pas pratique pour les enfants et les personnes agées surpris par l’irruption de ce chien renifleur tenu en laisse par son maitre. Une idée saugrenue. Il se faufile parmi les passagers debout, épuisés, en attente de passer les contrôles de police.

Pourtant, cet aéroport qui accueille 7 avions toutes les trois heures aurait à gagner dans la fluidité des passagers. Il s’avère que cet aéroport est un aéroport ( base) militaire.

A la sortie de l’aéroport, une chaleur très supportable.

Des taximen, en tenue débraillée parlant hébreu, anglais et arabe vous tirent presque par la chemise pour vous proposer leurs services.

Les tarifs varient de 30 à 60 shekels, pour une même distance et vous déposer au centre ville distant de qqs kilomètres.

Nous avions notre bus, tout confort, dernier cri.

Nous démarrons enfin après avoir récupère nos bagages et tous nos amis.

Bien intercalé dans le fauteuil du bus, j’ai eu le plaisir de voir défiler cette route moderne, bien goudronnée, à deux voies.
Un long filet de macadam serpentant d’entre les creux des petites montagnes grises.

Chemin faisant notre guide commentait le parcours. Ici les mines du roi SALOMON, ici la frontière égyptienne, les barbelés étaient à qqs mètres de la route par endroit. Là un mirador égyptien, à ma droite une jeep de TSAHAL. Un jeune soldat camouflé est assis en hauteur sur la montagne, mitraillette aux bras. Il surveille tandis que ses camarades juste en face de lui et debout sur le bas coté en terre plate font signe au chauffeur du bus de passer en zig zagant à travers les barrières de sécurité.

De temps à autre nous croisons une jeep qui longe le bas coté de la frontière.

De grands canyons couleur sable, vestiges certainement de vieux lits de rivière, nous accompagnent durant tout le trajet.

A mesure que nous avancions, la mer apparaissait au loin. Nous étions sur la pente qui mène vers la ville côtière de Eilat. Avant d’y entrer, à qqs kilomètres un dernier point de contrôle. Et là, la vue plonge sur les premiers faubourgs de la ville. Des habitations modernes s’ouvrent à mes yeux. Plus nous avancions, et plus les maisons de transformaient en immeubles dont les propriétaires, d’après notre guide, sont français.

La ville abrite une forte population de russes et de juifs français.

Le prix de l’immobilier flambe à Eilat. Et cela se comprend tant au niveau de l’emplacement côtier mais aussi de la fulgurante ascension de cette ville très prisée. Et je comprends cet engouement que peuvent avoir ceux qui ont jeté leur dévolu sur Eilat.

Enfin, apparaissent les quatre hôtels de luxe, 5 étoiles, le EDEN, LE DAN, Le HILTON et le ROYAL BEACH. Des splendeurs qui ont tous pignon sur la mer. Ils rivalisent de beauté.
PHOTOS DES HOTELS.

A Suivre…


LE EDEN L'HERODOTE.

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LE ROYALE BEACH HOTEL.

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LE HILTON PALACE.

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VUE SUR LA FRONTIERE JORDANIENNE.

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A Suivre...

Vous aurez aussi le déroulement d'un mariage merveilleux avec photos et trallala, pas de ces reportages miteux, secs, de créve la faim.Sans commentaires.

Attends un peu Henri, tu vas voir ce kif. Tu auras pour ton fric.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 mars 2011, 11:30
VOYAGE AU PAYS DIVIN II°
.





Enfin le bus fait son entrée dans la ville. Une ville à première vue moderne, propre, aux avenues bien tracées. De la végétation de partout. Les arbres paraissent régner en maitre sur les trottoirs. Pas de bouchons à l’entrée de la ville, sans doute que la saison ne s’y prêtait pas encore. A la belle saison me raconte t’on, c’est la cohue à Eilat.

La ville est encastrée d’entre les montagnes grises et semblent protéger la ville de tous les vents. Et de tous les échos. Il y règne une grande sérénité et un calme absolu dans l’air.

Les voitures sont modernes. Les bus aussi. Ce qui frappe tout particulièrement le visiteur, c’est la grande propreté des avenues et des plages. Pas de gravats, ni d’immondices.


Le hall de l’hôtel, une merveille.


Nous sommes accueillis par des hôtesses qui derrière un mini bar nous servait un grand verre d’eau bien frais et des petits gâteaux orientaux, des dattes aussi. J’ai bu tout en dégustant la beauté de ces jeunes filles pleines de charme. Bien distinguées et formées à la bonne école. Elles ne parlent pas français hélas mais tant pis, je parlerai mi anglais, mi sarfat mi arabe et je me suis fais comprendre avec le sourire. Que de Mevakcha ais je entendu.

Après avoir déposé mes bagages, et ouvert le balcon, mes yeux tombent à pic sur trois piscines. La mer est là. Grandiose et silencieuse. En grande prêtresse, elle baigne les deux rives, l’une arabe et l’autre juive.

Sur les palmiers mon regard s’est posé d’entre les branches, le cui cui des moineaux emplissait cet air pur et divin.

Cette vue sur le grand large m’a rappelée mon ancien décor mais à la grande différence que je suis dans le pays qui attise les convoitises. L’ennemi des pays arabes. Ce pays des juifs où D ieu se repose à longueur d’année depuis des lustres. Car nulle part ailleurs, il ne se sent en sécurité. Et attenter à sa personne c’est attenter au MAITRE QUI REGNE SUR CHAQUE RECOIN D’ISRAEL.

J’ai ressenti dés mon arrivée cette émotion bien particulière, ce frisson à fleur de peau, qui agite tous juifs sincères qui posent pieds sur cette terre sacrée, bénie. Et une fois qu’on y est, on se sent juif à part entière.

Etre entouré de juifs, c’est le nirvana. Je venais en étranger et voilà que d’un seul coup, je me retrouve parmi mes juifs. Quel bonheur enfin. D’entendre autour de soi des SHOCHANA, des CHLOMO, des DAN etc… Ouf, ca vous change la vie pour un court instant.

Il a cette communion charnel et d’esprit, que je ne trouve pas ici en France ni ailleurs, cette fibre propre à nos sentiments et valeurs juifs.

A ma droite, bien loin le port de Eilat. Un bateau vient s’amarrer aux quais tandis qu’en bas, des corps bronzent, s’étalent sur les transats, plus loin le bord de mer. Des Yachts balafrent ce plan d’huile, des scooters de mer sillonnent sans arrêt ce plan plat et soulèvent des écumes blanches. Des planches à voile peinent à avancer, le vent se meurt sous le soleil de Eilat, de grandes bouées motorisées prennent le départ avec à leur bords une dizaine de personnes.

Au loin en plein milieu de l’eau, un point gris. Immobile, j’apprends que c’est un petit bâtiment de la marine. Avec mes jumelles, je vois distinctement le drapeau bleu et blanc et ce qui me parait être un canon à l’avant et à l’arrière. Une canonnière juive veille. A bord deux jeunes soldats ( Je les ai vu suite à notre ballade en mer avec les mariés. Nous les avons salués et ils ont fait de même.

Après ce court instant de rêverie, accompagné de ma femme, nous décidons de voir de plus prés la TAYELET, la promenade en bordure de mer. Une grande avenue piétonne bordée de chaque coté de belles boutique où le luxe manque de nous crever les yeux. A gauche, des stands, des petits souks où les articles foisonnent. Et la musique de partout, chant israéliens, arabes, français, tout y est et tout cela en harmonie avec la nuit qui commence à tomber. Sous un ciel étoilé par de milliards de petits maguen DAVID scintillants aussi beaux que sont les grandes novas.

Nous étions enchantés par cette convivialité régnante aux abords des boutiques. Deux heures à visiter cette promenade, et nous avons poussé notre curiosité à découvrir le grand CANYON. Un hyper marché aux allures modernes. De la brasserie, au petit café en passant par les bijouteries et autres boutiques, toutes les marques y étaient représentées avec un luxe et un gout à faire pâlir nos meilleures vitrines de PARIS.

Le décor des une nous faisait oublier celui de l’autre. Moi qui n’aime pas m’attarder sur les vitrines me voilà les lécher.

A Suivre...




La canonnière.LA MARINE DE TSAHEL VEILLE.

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Bateau à quai..

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Scotters des mer.

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Suivre plus tard, ma rencontre avec BRAHAM, un moment de bonheur.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 mars 2011, 11:44
Allez raconte !
Je ne vendrai pas la meche !!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 mars 2011, 11:48
Ah enti joufec tejri. Attends un peu encore le dernier volet et je passe au méchoui parti. Sois patient ye chaieb.
Tu m'as honoré bien plus qu'un ami et celà je ne l'oublierai pas. Tu sais, les photos que j'ai prise sont tombées dans l'eau.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 mars 2011, 14:06
On dirait que l'air d'Eilat fait repousser les cheveux.

Il fallait en rapporter des bidons pour le vendre au magasin.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 mars 2011, 08:44
Le JOUR DE LA VISITE INATTENDUE.




Donc je me reposais dans ma chambre vers les 18 heures lorsque la porte se trouve gentiment agressée par des coups discrets.

Je me lève en caleçon et vêtu de mon MARCEL SALE cher à Elsa la grande politicienne, et je me dirige vers l’issue d’un pas nonchalant, bien loin d’imaginer de voir devant moin une grande surprise en moustache et chapeau blanc.

Là, je reste un moment évasif alors que la surprise moustachu, me sourit de ses belles dents relookées.

‘…Braham…. ?’
‘…Oui mon cher en chaire et en os… !’

Je reste béat un moment.
La surprise passée, j’ouvre franchement la porte laissant mon honorable visiteur rentrer.

‘…Mais Braham, tu ne m’as pas averti de ta visite… !’
‘…Ici en Israël, nous aimons les visites éclaires, sans jamais prévenir… !’

Je m’habille vite fait et nous voilà dans la hall. Sa charmante femme nous attendait, bien calé dans un fauteuil en cuir bleu sombre.

‘…Heureux de vous voir Monsieur Albert… !’

Je prends place et me voilà commander des jus de fruits. Braham opte pour la citronnade.
Nous bavardions lorsque BRAHAM, me dit…

‘…Albert, je ne suis pas venu tout seul… !’

Intrigué…

‘…Avec qui encore… ?’
‘…Avec un joli couffin bien rempli… !’

J’essaye de deviner mais hélas, je n’y parviens pas, par respect.
‘…Nous allons… !’ Me dit t’il ‘…Collationner sur la plage… !’

L’énigme restait entière.
Je fais part de la collation à ma femme qui me dit qu’elle ne peut pas venir parce que la mariée va faire son mikve et qu’elle doit être présente. Surement pour lui frotter le dos.
Qu’à cela ne tienne, j’obtiens la permission de nuit de chez ma femme sinon au petit jour, je serai puni.

Nous attendons que la nuit soit plus profonde pour nous diriger vers la plage.

Mon ami se met à genoux sur le sable humide et le voilà creuser un trou d’une vingtaine de centimètres de profondeur. Large de 30 centimètres. Il enfoui du paper alu et là il me sort du charbon de bois. Et un peu de pétrole.

‘…Un feu de joie… ?’ Que je lui dis.

Il ne dit rien préférant allumer ses bois noirs.
Il sort un grill et le voilà poser sur la sable une planche de modestes dimensions.

Il ouvre un paquet en plastic et là devant mes yeux effarés, je vois côtelettes d’agneaux, merguez, foie, tranches de cœur, mimlets, rognons. Avec délicatesse Braham, en vrai ‘chéouiy’ sort sa lame de couteau et tranche les bayds en trois, sort sa salière, sale la viande, vente un peu l’âtre et cela devant mes yeux ébahis. Un méchoui comme bienvenu pour ma personne.

Je regardais faire mon ami avec pleins d’idées dans la tête.
‘…En Israël, c’est une tradition chez nous d’honorer nos amis par un méchoui… !’

Je restais muet par tant de délicatesse parce que faire 250 kilométres avec trois kilos de grillades et du charbon, c’est bien plus qu’un honneur. Sans oublier les trois bouteilles de vin rouge du MONT CARMEL.

Des méchouis parties, j’en ai vu mais pas comme celui là au bord de la mer, assis sur la plage, la mer à qqs mètres, et sous le ciel du PAYS DIVIN.

Sa femme s’était mit à nous servir alors que le vin coulait à flots dans nos gosiers. J’étais euphorique.

Une musique arabe parvenait à nos oreilles. Cet air connu me fit lever et je faisais qqs pas de danse devant sa femme qui n’en pouvait plus de rire, et elle avait raison parce que je commençais à me souler. Braham emporté lui aussi par le vin, se lève tandis que sa femme tapait des mains.

§§§§§…DOUR BIYA YE CHIBANI DOUR BIYA… §§§§§

Je tournoyais sur moi-même, mes pieds enfoncés dans le sable tandis que BRAHAM sans complexe faisait de même. Nous étions ivres de bonheur et de joie.

Voilà que fort de mon MONT CARMEL, je trébuche et je me retrouve déséquilibré. Voulant me maintenir coute que coute, j’agrippe la chemise de BRAHAM et nous voilà à terre. Sa femme était dans un état de rires que nous fumes pris de crainte pour elle.

‘…Ye BRAHAM…HIC… ! Loucen nââmlou plongeon…?’ Et si nous plongions…?’
BRAHAM trouva l’idée saugrenue et pour cause, notre ivresse aurait pu nous emporter bien loin de notre grill.

Côtelettes, cœur, rognons, merguez prirent le chemin de nos boyaux. Le vin passa et je ne tenais plus sur mes jambes. J’étais en état d’immobilisme avancée.

A 11 onze de la nuit enfin, BRAHAM voyant mon état piteux avance l’idée qu’il doit m’accompagner. Dans ma chambre. Sans cette aide, je serai encore là bas à somnoler. Il me soulève gentiment. Je m’accroche à lui et chemin faisant, je chantais ‘…AANDI BABOUR SALHA… !’
Arrivés dans le hall de l’hôtel, voilà que la bande de cousins, cousines et ma femme voit franchir ma personne dans un état d’ébriété dépassée.

‘…Bande de nazes que vous êtes HIC… ! Voilà mon ami BRAHAM Hic…. ! Avec lui on ne s’emmerde pas… !’

Là tous les regards se tournèrent vers ma femme. Comme si elle était responsable du MOT NAZE.
Elle ne dit rien mais vient à ma rencontre.

‘…Tu es bourré… !’
‘…E’ye, bien bourrée et ca c’est grâce à mon ami BRAHAM…Et MEYER… ! Eux au moins, ils sont francs, lorsqu’ils vont qq part, ils me disent toujours où ils vont, pas comme certaines qui font semblant d’être chez elles alors qu’elles vadrouillent AILLEURS… !’Meyer me dit tout, BRAHAM ne me cache rien mais vous…. ?’

Personne n’avait compris mon allusion, encore moins ce 'vous' lancé à leur adresse.

‘…Il délire mon mari, je vais le mettre au lit… !’

Elle prend le relai de BRAHAM et je m’accroche sur les épaules frêles de ma femme.

‘…On prend l’ascenseur hein chérie… ?’
‘…Tu veux prendre les escaliers alors… ! Tu as vu dans quel état tu es, tu m’a fais honte et qu’est ce que cette allusion… ?’
‘…J’ai fais une allusion moiIIII… ?’
‘…Demain on règle tout cela… !’

Le lendemain matin, j’ai fais le mort jusqu’à midi.
En attendant, j’avais oublié de dire au revoir à BRAHAM et à MEYER.
Salut les amis et MERCI BRAHAM pour ce repas plagieux.

Que du bonheur.
Je reviendrais ye khouyé si Achem le veut.






Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 mars 2011, 10:56
Ye Breytou

J'espere que ton recit ne nous fera pas de gros problemes, parce que je le dis tout de suite je n'ai fait ca que pour toi et ne le referai pour personne , meme si tu as sousestime mes efforts, car de Haifa a Eilat j'ai du faire plus de 450 kms et non 250 kms. Et tu as oublie le beau gateau que ma femme t'avait prepare.
.
Pièces jointes:
GateauEilat.jpg.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 mars 2011, 11:47
Kent secran enfin.
Je sais mon cher ami.
Ta génèrosité te fait honneur.
Ne t'inquiéte pas je reviendrai en AOUT.
RM.
Prépare un trou dans le sable.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 mars 2011, 07:44
LE MIROIR D’ARGENT.



Le verre est transparent. Il protège des dangers lorsqu’il est baie vitrée. De la chaleur extérieure, du froid, bref frontière entre l’intérieur et l’extérieur.



A travers un hublot, un passager voit la terre défiler sous ses yeux.



Le verre est contenant et à travers lui, le liquide dévoile ses couleurs. Il permet aussi de découvrir certaines impuretés et évite au buveur de renoncer à boire donc le verre est prévenant.



Le verre de par sa transparence permet de voler qqs intimités à travers un t carreau de fenêtre. Ou de prendre quelques clichés d’un joli décor.



Le miroir par contre n’a pas les mêmes propriétés que le verre. Le miroir est un accessoire de beauté.

Les femmes depuis la nuit de temps usent et en abusent, il est l’outil nécessaire à leur beauté. Cependant, le miroir présente une limite, il ne permet pas de voir à travers, sa couche d’argent interdit à son utilisateur d’aller plus loin.



Voilà pourquoi l’homme voit son FRIC se réfléchir et ignore par moment l’envers du décor.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 mars 2011, 09:52
Mauvaises nouvelles d'Israel
Une famille entiere ,le pere la mere, un enfant de 11 ans, un autre de trois ans, et un bebe de 4 mois ont ete lachement egorges par des salopards de palestiniens hier nuit a Itamar
.

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