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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 septembre 2011, 08:23



Ye sidi Khouyé,Henri
Ou jéni el ghram kwi.
Ghrem é'li kââd i deououb'ni.
Ghrém e'li me kentch bi ou lé narfou oullé nédri.
Jéni ghrém e'li méquel fiyé.
Tssab ââliya ghrém fouk ktefi él tââi'bin.
Ghrém yah'rac'ni ou khéli fiyé méghir nyass.
Ouéch mén ghrém ye Sidi Henri.
Ou aktar doum omi, Aktar él mahaass yec'ber.
Oul ghrém yek'bar hatte fad ââla qalbi él mkataa.

Mon cher ami,
Il est monté en moi une passion très forte.
Une passion qui m'épuise, que je ne sentais pas, que j'ignorais.
Il s'est versé en moi une passion sur mes épaules déjà usées.
Une passion qui me brûle et qui me laisse sans sommeil.
Et quelle passion, mon cher Henri.
Et plus que dure MA MAMAN CHERIE, et plus le sentiment grandit.
Et cette passion grandissante a débordé sur mon coeur déchiré.

Ye ness él ahnén, efemouni, ye ness él motrobiyin adrouni,
Ye ness naréf e'li femè fouc él ard, chabab mkat'yin ou nah'chem
nédoui alla Omi él chey'ba méllè él hob él weldin i doum hatte
lekher nefss.

Bonnes gents affectueux, comprenez moi, bonnes gens nobles comprenez moi encore, bonnes gens je n'ignore pas que des enfants, des jeunes enfants souffrent dans ce monde et par moment j'ai honte de parler de ma vieille maman mais l'amour pour les parents est incommensurable
.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 septembre 2011, 11:51
Après la Porsche de Douillet dont la carte grise était au nom de l'association "les pièces jaunes" ; Un peloton de gendarmerie de HAUTE SAVOIE a procédé à l'arrestation d'un conducteur
>
au volant d'une Ferrari roulant à 240 km/h sur l' autoCe conducteur fort connu, ancien Ministre, se nomme : Bernard KOUCHNER.

Les gendarmes lui ont retiré son permis de conduire ; Encore heureux !

Mais lorsqu'ils ont contrôlé la carte grise du véhicule en question,
ils ont constaté que celle-ci était enregistrée au nom de "médecin sans frontière!"


Moralité de cette histoire : n'hésitez pas à faire des dons, cet argent est entre de bonnes mains...
...SANS COMMENTAIRE !...


Agence Imamili.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 septembre 2011, 12:47

La porte et ses mystéres.

Qu’est ce donc une porte si ce n’est une séparation,en générale en bois, qui sépare l’intimité d’une famille de l’extérieur.
Frapper à une porte est un acte des plus simples. Souvent pour s’annoncer à des amis, à des parents, à des alliés, prévenir un voisin dune fuite d’eau, d’une odeur supecte etc…. Frapper à une porte c’est aussi apporter une bonne nouvelle. C’est aussi supporter une mauvaise nouvelle.

La porte a son mystère.

Derrière une porte, il s’en passe des choses heureuses parfois tragiques.
Une porte close, c’est les occupants partis en vacances, c’est aussi une maison mise à la vente, derrière une porte close vit une vielle femme, un vieux monsieur abandonné ou alors qui a fini de vivre et qui n’a pas eu le temps de prévenir.

Défoncer une porte, c’est rechercher un assassin, un délinquant, ou alors c’est un huissier qui vient faire son métier.

Dire à qq’un de prendre la porte, c’est le renvoyer tout simplement.
Mais lorsqu’il s’agit d’une porte d’une chambre dans un hôpital c’est une autre affaire.

Les portes là bas sont soient ouvertes soient à moitié fermées. Un numéro gravé sur une porte indique le numéro de la chambre, elle devient immatriculation, et lorsque à l’auxiliaire de vie vous demandez où est ma maman, elle vous répond qu’elle numéro de chambre.
Depuis quatre mois, j’ai connu des portes d’hôpitaux et de clinique. Et toutes les fois que je vais vers cette foutue porte, j’ai l’angoisse, la peur au ventre. Avant de pousser cette porte, j’hésite un instant et j’essaye de deviner le timbre de la voix de l’occupante, si la voix est silencieuse, je me dis que maman dort, si il est agité alors que je dis maman est agitée et là, je rentre triste et abattu. Si je n’entends rien, je panique et je rentre vite aux nouvelles. Et lorsque je vois maman assise entrain de parler seule, l’espoir renait. La porte est devenue mon morale. Elle devient espoir ou angoisse. Elle devient mon humeur, ma gaité ou ma tristesse.
J’ai encore poussé la porte cet après midi et maman était assise sur son fauteuil. Elle m’attendait.

‘…Viens, assis toi, dis moi mon fils, qu’est ce que le SAVOIR…. ?
‘…Attends, d’abord avant de disserter sur le SAVOIR, je t’ai apporté du melon et un complet poisson mta kif fait maison….!’
‘…Chténa chaya, attends un peu, explique moi d’abord le savoir… ?’
‘…Il vaut mieux maman parfois ne rien savoir parce que trop de SAVOIR nuit à la santé… !’
‘…Au point où j’en suis… ! Tu esquives la question comment veux tu que je sache qu’est ce que le savoir si dés le début, tu ne veux pas m’expliquer… !’
‘…Ta maman Meiha, disait que l’ignorance fait la force et toi tu veux SAVOIR…. ! Tu veux savoir quoi par exemple… ?’
‘…Donc tu persistes à ce que je sois ignorante…. ?’
‘…Non maman toi par exemple tu es pleine de savoir… !’
‘…Alors pourquoi suis-je ici sans SAVOIR ce que j’ai…. !’
‘…Tu as eu un accident maman un accident de la route… !’
‘…Ah bon donc j’ai eu un accident sans que rien ne soit plâtré… !’
‘…Maman, il y a des accidents qui ne se plâtrent pas, on ne peut pas plâtrer tout ce qui touche
au cerveau… !’
‘…Alors on me laisse sans plâtre mais tout cela n’explique pas le SAVOIR… !’
‘…GABIN, chantait JE SAIS…. ! Tu connais la chanson et pourtant il termine en disant son refrain en disant JE N’AI JAMAIS SU…. ! Alors si lui le dit c’est qu’il a une raison. On croit tout savoir mais on ne peut pas tout maitriser, le SAVOIR c’est maitriser TOUT. Or il est impossible à un être humain de tout savoir, de tout maitriser. Il a des SAVOIRS qui mis ensemble donne un grande association de SAVOIR. Toi tu as un savoir par exemple dans la cuisine mais par dans la physique chimie ou les maths… ! Donc une partie du grand SAVOIR est propre à chaque individu, bcp de gens pensent savoir mais voilà qu’il y a des choses qu’ils ne savent pas, dc ils s’instruisent par un certain savoir que d’autres leur apporte… !’
‘…Sous cette table, il y a un savoir…. ?’
‘…Cette table n’a pas de savoir, elle ne pense pas, on l’a faite TABLE pour nos commodités… !’
‘…Tu sais tu as bcp de savoir mais dommage que tu ne saches pas qu’est ce qu’il y a sous la TABLE… !
‘…Sous la table, il y a tant de savoir caché que je commence à ne plus SAVOIR avec toi… !’
‘…Justement tu sais, je te croyais INTELLIGENT, taht li BIM… !’
‘…Merci MAMAN de me le faire SAVOIR…. !’ Je te torche le cul, je te donne à manger, je cours pour te voir, je te fais sortir dans le jardin, je t’ai emmène chez toi, et tout cela pour me dire BIM… !’
‘…Tu es mon fils et c’est ton devoir de le faire, tu devrais le SAVOIR… !’

Après midi philo sur le SAVOIR. En attendant demain.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 septembre 2011, 13:10




pour t'aider demain a ton cours de philo
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 septembre 2011, 13:21
Merci Elsa, tu es vraiment gentille, j'ouvre demain You tube, là je suis devant mon écran sans le SAVOIR.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 septembre 2011, 11:21
Un vrai générique miracle et distribué sans ordonnance !****

Après plusieurs années de recherches, les* laboratoires Pfizer *annoncent
l'arrivée en pharmacie *d'un nouveau traitement *qui atténue les conflits
de couple, tout en occasionnant très peu d'effets secondaires.
Il s'agit en fait d'une quadri-thérapie, à prendre tous les jours au
moment des repas :

1. DICOMEL
2. FAICOMMEL
3. PENSCOMMEL
4. PUIFERMLA

Testés en laboratoire, ces médicaments procurent une véritable sensation de
bien être, de tranquillité, de PAIX . ****

Agence Imamili.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 septembre 2011, 11:26
Lors d'un vol pour Toronto, quelques minutes après le décollage, une blonde assise dans la classe économique se lève , se dirige vers la première classe et y prend place.

L'hôtesse la voit faire et décide de lui demander de voir son billet. Elle explique à la blonde qu'elle a payé pour une place en classe économique et qu'elle ne peut s'asseoir en première classe, qu'elle doit donc retourner en classe économique.

La blonde lui répond : Je suis blonde, je suis belle, je vais à Toronto et je reste assise ici!

L'hotesse va dans le poste de pilotage et explique au pilote et au co-pilote qu'il y a une blonde assise dans la première classe qui a payé pour la classe économique et qui refuse de retourner dans la classe économique.



Le co-pilote va voir la blonde et lui explique que puisqu'elle a payé pour un billet en classe économique elle doit retourner en classe économique.

La blonde lui répond: Je suis blonde, je suis belle, je vais à Toronto et je reste assise ici!

Le co-pilote demande au pilote de contacter la police pour arrêter la blonde lors de l'atterrissage car elle refuse de retourner en classe économique.

Le pilote questionne le co-pilote: Vous avez bien dit qu'elle est blonde?

Je vais régler le problème, car je suis marié à une blonde, je parle le langage des blondes.

Le pilote se rend auprès de la blonde et lui parle à l'oreille.

La blonde lui dit: Oh je suis désolée! et elle se lève et retourne à son siège en classe économique.



L'hotesse et le co-pilote sont étonnés et demande au pilote ce qu'il lui a dit pour qu'elle accepte de retourner en classe économique sans faire de chichi.

Je lui ai dit : "La première classe ne va pas à Toronto.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 septembre 2011, 11:29
On a retrouvé KHADAFI...SUR LA TALAYET DE TEL AVIV.
Pièces jointes:
KADAFI.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 septembre 2011, 12:21




L'ISSUE DE SECOURS.

Hier dans un article paru ici, je dissertais sur la porte la porte qui ouvre son chez soi et l’où ressort parfois paniqué. La porte qui fait tendre l’oreille lorsqu’une querelle se produit.
Si la porte est fermée et qu’un danger survienne ; il reste la fenêtre.

Mais dans une salle de spectacle, où dans n’importe quel lieu de rassemblement fermé, il y a une issue de secours, deux parfois. Cette porte spéciale avec barre d’ouverture sert d’évacuation lorsque péril il y a. Elle se substitut à la porte principale, la porte d’entrée parce que plus commode pour sauver des vies. Elles donnent souvent accès directement sur la rue.

Mais il y a des issues qui ne portent pas secours et dés qu’une personne dépasse ne serait ce que d’un millimètre cette porte, il ne peut plus rebrousser chemin, c’est l’ISSUE FATALE.
Si l’issue de secours est une voie de liberté, l’issue fatale c’est la rentrée dans un autre monde.
L’issue fatale c’est la porte vers la lumière ou l’obscurité. Personne ne l’a franchi et s’en revenu pour nous raconter ce qu’il y a derrière l’ISSUE FATALE.
Cette issue est la dernière porte de la vie. Et la franchir c’est le non retour.
Il n’a pas lieu de la pousser, ni verrou, ni serrure, ni clef universelle, elle est ouvertes à toutes les âmes quelles quelles soient, disponible pour tous les âges.
Seule le tout puissant juge de son ouverture.

Je vous souhaite en tout cas, de la franchir le plus tard possible parce que des issues de secours comme celles là mieux vaut être devant en bonne santé, vieux certes, que de se présenter dans un état décadent.




-On dit chez nous ‘…ELLI M’TAYAC TAYAC….Ce qui t’appartient, t’appartient.

Quelque soit le bien en votre possession, il doit être bien tenu, bichonné, respecté. Une voiture par exemple doit être bien entretenue, une maison, son chien, son chat bref tout ce qui fait partie de votre vie et même les meubles ont une vie, et cette vie auxquelles bcp s’y attache mérite le respect. Et l’entretien jusqu’à son délabrement. Nombre de vieilles personnes tiennent parfois absolument à garder leurs vieilleries, ils insistent pour que rien ne soit bazardé tant qu’elles sont en vie et tant que ces reliques leur apportent réconfort et bien être. Le pot de ma grand-mère, rafistolé, ne tenait la vie que parce la volonté de ma mémé, dc nous l’avons gardé des semaines durant. Son vieux peigne, khalasse aussi, ses mèches de cheveux etc…C’est dire l’importance qu’elles attachent à leurs yeux et contrevenir ou désobéir au respect de ces choses, c’est porter atteinte à leurs souhaits.

Maman nous appartient. Elle nous appartient et le temps est arrivé de lui montrer qu’elle est bien notre. Et à ce titre, de ne pas laisser aux étrangers le soin de s’en occuper.

Alors on s’occupe. Afin que notre bien soit aussi le notre. S’en occuper jusqu’à la fin car qui mieux que les propriétaires, nous ses enfants peuvent s’en occuper tant que l’énergie ne nous fait pas défaut.

Il y a des situations difficiles à gérer. Mais on fait le maximum pour les gérer et je suis si passionné par elle, que je suis prêt à lui tenir compagnie 24 HEURES SUR 24 HEURES. La seule chose qui m’emmerde et que son état nécessite des soins permanents. Des soins que j’aurai pu gérer si seulement elle pouvait trottiner mais hélas, lui changer de couches n’est pas une mince affaire.

Lui faire prendre ses médicaments relève d’un défi quotidien, lui faire avaler sa bouffe que nous lui apportons relève du miracle. Surtout lorsque maman chante ‘…Boussah él rih… !’ Alors là, elle me dit on n’interrompe pas une chanteuse sur une scène en public. Et je dois attendre que mon artiste de mère termine son numéro pour lui fourrer sa cuillérée de soupe. Ensuite c’est ALI RIAHI, et je dois attendre pour la seconde bouchée. Puis je dois attendre la fins des bénédictions ‘…YE BEBERRRRRRRRT….QU’ELLE BONHEUR JE VIS….COMME JE SUIS CONTENTE….MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII MON D IEU…. !’
Un vrai bonheur que cette maman que j’ai, assise sur un fauteuil roulant qui me regarde avec les yeux d’un chien blessé et qui me dit ‘…ET MAINTENANT ON FAIT QUOI… ?’

‘…On attend Maman… ! Je suis là prés de toi, et j’attends que tu ailles mieux pour que tu re-cuisines… !’

J’attends et j’attendrais, j’attendrais que l’enfer gèle, j’attendrai tout le temps qu’il faudra, je serai tjs là à attendre, oui j’attendrai que maman aille mieux. Mais elle ne va pas mieux maman.
J’entends, lorsque je me dirige vers l’ascenseur ce hurlement ‘…BEBEEEEEEERT MON FILS….. ! NE ME LAISSE PAS SEULE…. !’ qui se grave dans mes oreilles et qui sera mes prochains cauchemars, je vivrais avec elle parce qu’il faut bien vivre avec qqs choses de sa maman.
Elle est moi, elle est à nous, elle nous appartient et appartiendra TOUJOURS. Alors nous en prenons soin.

Nous en prendrons tjs soin. Parce que quelle que soit les choses qu’on aime, elles nous appartiennent et même si elles nous quittent un jour avec ou sans regrets, notre maman ne peut jamais nous quitter. Dans notre esprit.

Parce qu’elle est NOTRE CORDON OMBELICALE qui nous relira tjs à elle.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 septembre 2011, 13:09
ANECDOTES ET DELIRES GOULETTOIS.


Il y avait à la Goulette, des notables. Des personnes qui ont tenu la dragée haute par leur humour.

Des gens qu’on nomme RIPOSO. C'est-à-dire TRANQUILLES. Au parlé tranquilles, qui vous parlent avec sang froid sans se prendre la tête. Ils étaient bouchers, oncles, frères. 4 en tout qui ont marqué ce bon vieux temps.

Parmi eux JACOB le boucher qui tenait son officine de main de maitre. Un homme d’une grande gentillesse dont chaque parole faisait rire tant son naturel était proverbial. Il avait tjs le sourire aux lévres et tjs ce mot affectif ‘…YE OMRI… !’ Ma chérie… !’

Bref à 55 ans, Jacob décide de passer son permis de conduire. Il avait sa camionnette mais il ne la conduisait pas. Il voulait donc palier à ce manque et bien sur, il s’empressa d’informer le directeur d’une école de conduite, un grand ami à lui. Jacob avait des relations de partout, mairie, police etc… Et ses relations, il les doit à sa grande générosité. Un kg de merguez au commissaire, un morceau de ktef au MAIRE, 100 grs d’abats au chaouch de la mairie, deux ‘bâids’ couilles, à si MONGI directeur des impôts etc….Donc, il les avait sous les mains grâce à ces petits cadeaux.

Il pousse dc la porte de son ami le directeur et lui fait part de ses intentions…

‘…Allaich lè Jacob, marhaba… ! Pourquoi pas, bienvenu… !’

‘…Combien de leçons dois je faire… ?’

‘…Pour ton âge pas moins de 45 heures de conduite… !’

‘…Echtema, c’est trop, disons 10 heures, plus deux beaux saucissons fait hier… !’

‘…Mnih, bon… !’

‘…Il fait donc les 10 heures et Jacob maitrise très bien. Arrive les leçons du code de la route…

‘…Il te faut au moins 25 heures au vu de ton âge… !’

‘…Tu me prends pour un âne SI BEJI… ! Disons 5 heures plus deux kilos de kercha ( panse) Il pense bien Jacob.

Dés la première leçon, l’employé lui montre un carrefour.

‘…Jacob d’après toi, qui passe la première la A, la B ou la C…. ?’

‘…Ech naref ménou e’hen… ! Qu’est ce que j’en sais… !’ Et de monter voir son ami.

‘…Si Béji, il commence à m’emmerder ton employé, il me pose des questions difficiles… !’

Fissa fissa, SI BEJI descend et intime l’ordre à son préposé… !

‘…Yezzi mél bléde, ne soit pas antipathique avec lui… ! Donne lui son code… !’

L’autre..

‘…Ech nââmelou loucen béch yebca mojrem… !’

Qu’est ce que je m’en fout s’il devient assassin…!’



Il monte donc le lendemain dans sa voiture et se dirige à Tunis.

Arrivé à la rentrée de Tunis, une envie pressante lui vient, celle d’allumer une cigarette.

Il tire sa clope et s’échine à allumer son briquet tandis qu’une queue interminable se fait jour sous l’œil du POLICIER QUI REGULE LA CIRCULATION DU HAUT DE SON MONTICULE BACHE.



‘…YE CHI KHRAA….. ECH KAYAD TESTENA BECH TENDE…?’

Espèce de Merdeux, qu’attends tu pour démarrer… ?



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