LE PTB ET MOI ZOUZ.

breitou a écrit:
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> >
> RUTHY KRIEF ASSISE SUR SES MARCHES.
>
> LES DEUX SOEURS MARCHES DE TAKKET'S.
>
>
>
>
> Des marches j’en ai connu beaucoup. Dans mon
> immeuble, il y en avait déjà une vingtaine aux nez
> ébréchés. J’ai pris des marches de stations de
> gare, des marches quelconques, j’ai trébuché sur
> des marches par inattention, j’ai posé des marches
> en marbre de par mon ancien métier.
>
> Bref, cependant il y a deux marches dont je garde
> un souvenir impérissable celui du TAKKET’S. Une
> courte et une autre plus grande, la première en
> montant aux extrémités arrondies. Elles
> n’avaient rien de spéciales ces deux marches mais
> à force de s’asseoir dessus, nos pantalons et
> shorts ont fini par les user à tel point que les
> nez prenaient la forme de lames de rasoir.
>
> Ces deux marches précédaient la porte du seuil du
> père Krief, Loulou pour les intimes, architecte de
> profession et papa de Ruth. Un homme pieux,
> humain, pro Israël, bon conseiller et très
> hospitalier.
>
> Il était fort connu à la Goulette. Ses enfants,
> bien jeunes encore ont bien grandi et surtout
> d’une très grande gentillesse. Il adorait ‘monter’
> à la Goulette pour y passer qqs heures le dimanche
> seul ou avec sa famille. L’appel de la mer y est
> sans doute pour quelque chose. Loulour aimait
> recevoir lors des chabaths. Il tenait aussi une
> synagogue et si ma mémoire est bonne, il
> transformait son cabinet de travail en salle de
> prières les jours de yom tov. Bien que la
> BRASSERIE GOULETTOISE voisine des Krief en faisait
> autant durant ces jours de fêtes.
>
>
>
> J’oublie le sujet mais si nos deux marches
> pouvaient raconter alors, je leur donne la
> parole.
>
> La plus grande des marche
>
> ‘…Bonjour, nous sommes deux sœurs, nées qqs part
> mais sans être déclarées à la Municipalité et
> installées à la Goulette. Faites d’un matériau
> noble, bien posées sur ce qu’on appelle les
> marches du TAKKET’S ancien café goulettois,
> surnom que les américains nous ont affublés lors
> de leur passage dans notre cité. ( Take it en
> anglais)’
>
>
> Nous avons été les témoins privilégiés de petits
> flirts volaient sur nos dos et nous en rions
> lorsque les amoureux se bécotaient lorsque le
> passant s’éloigner. Nous avons été les témoins de
> drôles de blagues, d’anecdotes coquines qui se
> narraient entre copains d’abord.
>
> Nous avons vécu un temps perdu aujourd’hui, un
> temps qui a marqué les fesses d’un certain nombre
> de jeunes goulettois et tunisois et nos narines
> surtout par les bons mets de Dolly la maman de nos
> trois amis. …Voilà… !’
>
> Nous avons vieillies hélas.
>
> Et nous ne savons plus où nous sommes.
>
>
[[color=#CC0066]size=x-large]Breitou
je voulais te dire en cette veille de Kippour
que tu est malgre les fausses apparences dont tu t'affuble
un vrai poete et surtout une memoire vivante et precieuse pour tous tes amis goulettois
qu'hachem t'inscrive du bon cote du registre de la vie et de la mort
et surtout qu'il puisse te developper davantage tes dons pour que l'on puisse s'en regaler avec souvent une larme et meme parfois deux qui coulent sur nos joues a l'evocation de ces souvenirs que tu arrive si bien a faire revivre
BREITOU continue comme cela et je suis sur que mon frere Yosseph/ henri ne me contrediras pas!!!
ad mea ve essrim!!![/color][/size]

Merci Dany, tu as compris qu'à travers ces deux marches ébréchèes, deux soeurs, c'est un peu de nous que je raconte, nous qui sommes partis une main devant une main dérrière. Toute la symbolique est là.

Mais Dani, nous avons gagné D ieu bénisse des HAUTES MARCHES comme je le lis plus haut, et nous gravissons contre vents et marées tous les échellons des sciences. Belli yainara.

Nos ennemis peuvent tramer, échaffauder, comploter mais rien n'y fait, tu connais l'expression 'Kif el zit fouk él mé....! Comme de l'huile sur l'eau...!'

Que celà une courte ou une grande marche nous formons un ensemble solidaire, unis et plus jamais le JUIF NE SERA LE SOUFRE DOULEUR DU MONDE. NEVER.

CHANA TOVA et kif autant que tu veux. Henri apprécie souvent en silence mes textes, je le sais.
RM

SIMON LE MALCHANCEUX

.





Tous les individus naissent libres et égaux devant la loi. Foutaise.

Mais le sont t’ils devant la nature… ? Beaucoup naissent ‘..Bel bergou’ la peau, la légende veut que ceux là seront chanceux toute leur vie par contre ceux qui naissent sans, sont t’ils promis à la malchance…. ?

Je n’ai pas de réponse et aucune constestation à faire.

A chacun son long cours, à chacun son destin.

Lorsque qq’un s’acharne sur autrui, la justice intervient. Mais lorsque le mauvais destin s’acharne sur un individu au point de lui fermer toutes les issues, aucun organisme ne peut lui proposer une quelconque aide.

Subir peut prendre parfois la forme d’une malédiction. Une gzira, une trégèdie.

Même un magicien ou un voyant ne peut intervenir sur le mauvais déroulement d’une situation qui perdure durant des années, et il me vient à l’esprit cette formule ‘…Col ouhed ou sadou ou mezalou… ! Chacun sa chance … !’

Le ciel serait-t-il donc partie prenante pour conduire un destin malheureux. Jusqu’aux frontières de la douleur et de la souffrance…. ?
Un destin est irréversible et les indous parlent de chakras. Les chinois du YING et du YONG. Nous MEKTOUB.

Il y a dans ce monde, composé de diverses sociétés, des couples normaux avec des enfants nés normaux alors que d’autres couples sains en tous points se retrouvent plus tard avec un bébé entre les bras ‘pas normal’ du à un virus mal détecté à la naissance, ou à une malformation qui est passée inaperçue et qui se déclare plus tard.
Il y a des enfants normaux jusqu’à à un certain âge et soudain, les parents détectent une anomalie.

Un gêne perfide qui se réveille des siècles plus tard. Pourquoi… ?
Et chaque jour qui passe pour ces parents là est une victoire sur la fatalité jusqu’à ce que cette dernière l’emporte.


Voici le récit authentique comme le sont tous ceux qui passent...

‘…….SIMON… !’ ( Prénom d’emprunt)

Simon est né normalement. Vers l’âge de 6 ans, sa maman, contre toute attente lui tend la cuillérée de soupe. Simon ne présente pas la bouche du bon coté, il semble loucher. Intriguée, sa maman recommence l’opération plusieurs fois. L’enfant présente tjs sa bouche dans la mauvaise direction.

Lorsqu’elle lui présente une clef devant les yeux, celui répond ‘…Une cuillère.. !’ Etc….Une pomme, il répond coing bref il est à coté de la plaque.
Inquiète, elle le fait visiter par un ophtalmo de renom à Tunis DR NATAF.

Après l’examen de son oeil, le professeur rassure la maman ‘…Il a un voile devant sa pupille, un traitement d’un an suffira à remettre tout en ordre… !’
L’enfant est donc mis aux gouttes à gouttes ts les jours pendant un an et il guérit au grand soulagement de ses parents. Et de sa maman, née angoissée.

Simon grandit et obtient son certif, son brevet et enfin son bac. Il choisit la voie médicale. Il ira poursuivre ses études à Toulouse.
Lors d’un séjour en vacances, auprès de ses parents en été à Khair-Eddine, il tombe amoureux d’une jeune fille rousse. Si amoureux qu’il présente sa ‘future femme’ à ses parents. Sa maman n’aime pas trop le comportement de la jeune fille. Mais là où notre jeune homme dépasse les bornes, c’est qu’en hiver lors d’un second retour en vacances, il projette de se marier. Fureur de la maman ‘…Kiffech Kifféch, khrââ mébin termic ou thab tyaréch… !’ Comment comment… ! Tu as de la merde entre tes fesses et tu veux convoler en justes noces à 26 ans… ? Tu n’as pas de situation et comment vas-tu gérer ta future femme bent GOUTTIREJ… ! Et puis renseignements pris, elle est effrontée, mal élevée et ses parents cultivent le mépris parce que riches…. !’
Simon encaisse mais tient tête, il ne tiendra pas longtemps car à force d’être tarabusté par la maman, il abandonne la partie. Echec, déception et déprime.

Il réussit cependant ces années de dentisterie. Il sort dentiste. Ses parents participent un peu à l’achat de son cabinet. Plus un prêt personnel à la banque.

Simon travaille.Entre temps, bien avant celà, il avait fait connaissance, durant ses années de fac, d’une jeune fille qui avait fini ses études en même temps que lui.

Ils se voient régulièrement et fin fond de l’histoire, ils se marient et décident de s’associer dans un cabinet commun dans la banlieue de Toulouse. En hauteur. De là, le couple peut domminer la grande ville chére à NOUGAROU.

Ils achètent leur futur cabinet, en réalité un grand pavillon qu’ils transforment en cabinet. Au premier étage, trois chambres. Et tout le reste, la cuisine est en bas tout comme l'est le cabinet privé avec salon et baie vitrée qui ouvre sur un grand jardin....

A Suivre….

SIMON LE MALCHANCEUX.

2°

La clientèle ne va pas tarder à envahir le salon. Ils sont seuls dentistes à trois kilomètres à la ronde. Deux chaises de dentisterie bien distinctes avec salon en commun.
Un mur sépare les deux chaises.

Chacun d’eux se partagent la clientèle. Ils se font bien connaitre. La femme DOLLY est une acharnée du travail. Grande bosseuse à tel point qu’elle ne parle pas vacances. Elle pense aux remboursements des crédits. Cabinet et pavillon.

Un enfant né, un garçon qui sera prénommé ALAIN.

Mais la venue de cet enfant va provoquer la séparation du travail. Dolly oblige son mari à chercher ailleurs, un autre cabinet assez distant du ‘SIEN’. Chamailles, querelles, conflits, elle réussit à le faire dégager. Il trouvera un autre cabinet en bas de la colline. Elle… ? Elle restera donc seule en haut sans partage .

Simon n’oubliera pas, amer mais décidé, il se refait une clientèle. Pendant les heures du déjeuner Simon grimpe la colline pour aller s’occuper de son fils parce que sa femme trop absorbée par sa passion ne lui changera jamais de couches. Ne lui donnera jamais un biberon. Ne mettra jamais de l’ordre dans sa grande maison. Simon prend tout en charges même faire la cuisine. Il se révèlera plus tard être un excellent cuisinier et un excellent papa.

Une fille née qqs années plus tard, elle portera le prénom de NOEMIE. Simon s’occupera aussi de son bébé fille qu’il adore au point de gouter sa petite merde lorsqu’il la change.

Sa femme acharnée dans son boulot comme je ne vous raconte pas prend du poids. Elle grossit et malgré les quolibets de sa famille, elle assumera son obésité.

Face au caractère très nerveux et dominateur de sa femme, Simon la trompe avec une femme mariée à un policier. La légitime s’en aperçoit ou plutôt l’apprend par des clients de son cabinet car dans ce village haut perché tout s’entend et tout se colporte. Elle décide de faire une descente dans son cabinet avec l’espoir de le confondre.

Simon devine la voix de sa femme par delà la porte et la maitresse se jette par la fenêtre du rez de der avec son slip dans les mains. La grande évasion en plein jardin. Sous le regard des voisins hilares. Il niera les faits. Bien avant DSK. Et tous ceux qui sont comme lui.

DOLLY intente une action en justice. Le divorce est prononcé. Ils se séparent..

Simon malgré cette séparation ira souvent dormir, sous les appels incessants de sa femme qui a peur du noir, son ancien mari. Il réoccupe les lieux et vaque pendant ses pauses du midi, comme au bon vieux temps, à donner à manger aux deux enfants.
DOLLY grossit de plus en plus mais elle s’en moque, elle fait rentrer bcp de fric. Pas une semaine de vacances en 10 ans de dentisterie.
Lors d’un essoufflement assez grave, elle se fait contrôler par un médecin celui-ci lui annonce qu’elle doit faire un régime, son cœur est malade, ses jambes sont lourdes et ont prit bcp de volume. Elle marche à peine. Mais elle en rit.

Simon après trois ans de ‘séparation’,son divorce, informe son ancienne épouse qu’il désire se marier avec une jeune patiente, étudiante en psychologie, moins âgée que lui de 15 ans. Une laideur.

IRENE se fait charmante et douce au début de leurs relations pour s’attirer les faveurs du dentiste.
Ses parents sont des avares proverbiaux. Ils ne subviennent en rien ou presque aux frais de leur fille, c’est Simon qui va l’aider financièrement. IRENE trouve avec SIMON son argent de poche et bien au delà.

A Suivre….

LES AVENTURIETS DE COOL ENTA.

LES ROUGEONS MACAQUES ET LES ESTURGEONS RACAQUES.




LA PESEE.





‘….Messieurs le sort en est jeté, il ne vous reste plus qu’à désigner celui ou celle qui doit perdre les kgs de trop…. ! Alain.

LE CRI DE GUERRES DES ROUGEONS MACAQUES.

‘…Hou…HOU…HOULI…HOULA….Nous HOU…HOU…HA….HOUHA….’

Les ESTURGEONS RACAQUES.

‘…HAW…HAW…HAWHAWHAWHAW….NOUS HAW….HAW…HAW…HUGH.



Arrive la pesée.

Le groupe des Rougeons Macaques monte sur la balance. Alain avance lentement avec suspense pour annoncer 638 Kgs….Les ROUGES, vous accusez 3 kgs de plus que la normale.

‘…Qui est normal en ce moment… !’ Sydney.

Au tour des Esturgeons.

‘…LA BALANCE ACCUSE UN POIDS DE 638kgs 500 soit 3 kgs 500 de plus que le règlement… !’ Alain.



Là, un doute parcourt les deux équipes. Les ROUGES se regardent d’un mauvais un œil . Les Jaunes ont font autant mais avec un œil pire que mauvais.

‘…Désignez celui ou celle qui doit perdre les 3 kgs chez les ROUUUUUUUUUUUUUGES…. !’ Alain ‘…FAITES EN AUTANT POUR LES JAUUUUUUUUUUUUNES… ! Merci, vous avez dix minutes pour équilibrer vos poids. … !’

CHEZ LES ROUGES MACAQUES.

Aldo…’…. Marina si tu veux te sacrifier… !’

‘…Alora é me qué te dis que j’ai 3 kgs de plous, tu as le coup d’œil on dirait… ?’

‘…Non mais c’est pour la bonne cause… !’ Aldo.

‘…Ecoutes, je ne souis pas vénou ici pour perdre 3 kgs ok alors cherche qq’un d’autre… !’

Jean Chemla…’ La solidarité implique que nous devons perdre tous 3 kgs divisé par 10 soit 300 grs… !’

Alain…’…Non, je m’y oppose, le règlement stipule qu’une seule personne doit perdre 3 kgs et pas le groupe… !’

‘…Dans ce cas précis, je recommande à Jean Taieb… !’ALDO

‘…Ne te fie pas à ma panse frérot, tu vois mon bide parait énorme mais il est vide dc oublie moi… !’

JoAUTEUR s’avance…’…Je suis prête à me sacrifier après tout 3 kgs ce n’est rien… !’

Aldo…’ …Pour les perdre, il faut que tu coures 1500 mètres en dix minutes… !’

‘…Pour le groupe je suis prête à faire le tour du monde… !’JoAuteur.

‘…Dans ce cas là, tu ne ressembleras plus à rien… !’ Marie de Montis

Leila…’…Sauf à un zombi… !’

Jo Cetaldi avance.

‘…S’il y a qq’un qui doit perdre 3 kgs, c’est bien moi alors je vais y aller, faire deux kms à la nage et revenir… !’

‘…Bon, puisque je ne désigne rien, je propose que Michelle Ka… !’ Aldo

‘…Non mais dis donc , d’où sort tu mon poids… ? Pas plus tard qu’hier j’ai perdu 150 grammes et là vous vous que je…. !’

‘…Salwa je suis à la croisé d’un carrefour… !’ …..Entre la 5iéme avenue et La 6iéme donc, je dois traverser, fo pas me perturber… !’

‘…Mais pour ton poids.. ??? Somelier.

‘…Mais de quoi je me mêle, tu es jaune toi alors pas rouge… !’



Chez les jaunes, c’est le mutisme.

Pierre Boc.

‘…Je désigne Isabelle C … !’

‘….Tu ne désignes rien du tout ok, alors vois ailleurs… !’

‘…Dans ce cas précis, il vaut mieux que je conseille à Som…. !’

‘…Som… ? Je savais que tu allais me désigner, tjs moi-même lorsque tu étais gamin, tu voulais tout désigner, conseiller, ordonner, enfin, j’ai grandit et je ne veux pas maigrir ok… ?’

‘…Tulsi est ce que… ?’

‘…Je fais pénitence, Kippour avant vous … !’

‘…Monsieur Claude Sit… ! Est-ce possible que… !’

‘…Après un couscous boulette, tu veux que je perde ce trésor culinaire qui est en moi… ?’ Claude.

‘…Ruth… !’

‘…De quoi tu me parles Pierrot et le respect tu en fais quoi hein… ?’

‘…Syd… !’

‘…Je fumes du gros cigare… !’

‘…Il y a Elsa, tu n’a rien proposé pour Elsa… ?’ Som

‘…Elsa est ce que…. !’

‘…Som déjà que je ne peux pas te piffrer mais si en plus tu souffles mon poids à ce Pierrot, je t’étripe… !’

‘…‘…Bien il ne reste plus que moi, dc je vais prendre en charge cette mesure… ! Je me propose de courir un 100 mètres avec sur mon dos Somelier… !’ Durant dix minutes…. !’Pierrot

‘…Qui te dis que j’ai envie de monter sur ton doc toiIIII…. ? Prends qq d’autre, je n’ai pas envie d’avoir le roulis… !’ Som.

‘…Ok je porterai un sac de galets… !’

‘….Dany est ce que…. ?’ Boc.

‘…Non mais dis donc, tu ne vois pas ma taille mannequin, mon tour de taille fait 58 cms et je ne dis pas le reste… ! Par contre toi avec tes petits bourrelets d’amour hein…. ? Y’a plus que 300 grs là dedans… !’

‘…Gbaha… !’ Pierre Boc.
SOMELIER EST BREITOU SUR FB.


‘…Messieurs, Mesdames, nobles concurrents, il est temps de choisir celui ou celle qui va perdre du poids. Les rouges avez-vous désigné celui ou celle qui va perdre 3 kgs… ??? RIGAUD.

Long conciliabule entre les ROUGES. Enfin Aldo..

‘…Jo Cetaldi est désigné comme celui qui est prêt à perdre 3 kgs… !’

‘…Mais je n’ai rien dis encore…. ?’ Jo.

‘…Y’a rien à dire, c’est ainsi, tu es le mieux portant de toute la bande… !’



‘…Les jaunes avez-vous désigné celui ou celle qui va perdre 3kgs 500 pour équilibrer votre poids total avec les ROUGES….. ? RIGAUD.

Pierre s’avance…

‘…Nous demandons un temp mort…. !’

RIGAUD.

‘…Non mais pardi, vous vous croyez où, sur un terrain de volley…. ? Le règlement ne stipule pas de temps mort… ! Ici le temps est vivant et je vous conseille de prendre vos dispositions maintenant sinon, je vous déclasse et seuls les ROUGES pourront participer. Non content de régir la compétition mais il FAUT AUSSI COMPTER AVEC LE TEMPS MORT. JE COMMENCE A GRILLER DE LA CERVELLE. VOUS N’AVEZ AUCUN RESPECT POUR MA CONDITION. J’attends une réponse illico presto… !’

Pierre Boc.

‘….Nous avons compris mais faire un choix pareil va soulever des polémiques comment dire à l’un de mes coéquipiers qu’il est gros ou grosse…. ? ‘

‘…FAITES UNE ALLUSION… !’

Pierre va faire une allusion.

‘…Elsa voilà… !’

‘…Pas la peine de continuer, je suis l’allusion alors… ?’

‘…Je n’ai pas dis cela mais au vu… !’

‘…Dites moi vous, je veux bien vous écouter mais pas d’allusion sinon je pars… !’

ELSA l’allusion se montre nerveuse.

‘…DANY, voilà… !’

‘…Ah la nouvelle allusion…. ! Je dis non… !’

‘..Claude au vu de… !

‘…La société ne vit que d’illusions mais pas d’allusions combien même ces dérnières valent ce qu’elles valent… !’

RIGAUD ENERVE.

‘…MONSIEUR SITBON VOUS CONCOURREZ PHYSIQUEMENT PAS INTELLECTUELLEMENT DONC CESSEZ DE TOURNER AUTOUR DU POT… !’

‘…Somelier, écoutes, je ne vois que toi… !’

‘…Moi l’allusion dc d’après toi j’ai 3, 500 à perdre…. ? C’est ce que tu allusionnes ??? Ni Isabelle C, ni ELSA, NI DANY….NI RUTH…NI TULSI…. !’

‘…Moi, je suis ascète… !’

‘…Aseptisé l’indien mais cela ne t’empêche pas de continuer de grossir depuis que tu es là. BAMBOU, NOIX DE COCO, et j’en passe de ce que tu bouffes en cachette… ! Ok, je prends sur moi de perdre trois kilos, je choisi la course à pieds… !’

Chez les ROUGES, JO a choisi de perdre ses trois kilos en nageant.

MARINA BALDASSERONI et Maria sans BALDASSERONI n’en peuvent plus de rires. Aldo va éttouffer, Jean se tient les cotes. Leila Bendeik s’est cachée derrière un cocotier. Jean a mit un mouchoir entre ses dents. JO AUTEUR avant elle était COELJMAN n’en peut plus. Elle demande des pampers parce qu’a voir la mine réjouite de Jo Ce, il y a de quoi mourir de rire… !’ SALWA...'Meskine...! Il n'est pas gros pourtant...!'

‘…Bien les deux candidats ayant été choisis équitablement, je rappelle aux deux victimes qu’il faut perdre exactement le poids désigné en un laps de temps. Donc pour CETALDI, pour perdre son surpoids, il faut qu’il nage 1km 500 exactement. Je serai là pour vous prévenir de cette perte de poids. Pour SOMELIER, il faut que vous COURASSE 3 kms 25 pour peser juste… !’

Nos deux pressentis, en short se présentent, l’un devant la mer et l’autre regarde la plage.

‘…A mon TOP NIVEAU vous partez… !’

ET LES ROUGES QUI N’EN PEUVENT PLUS DE RIRE.

Les jaunes gardent leur calme parce qu’ils redoutent un coup fourré de leur SOMELIER.



A Suivre…

ELSA ME SUIT DE PARTOUT.

Salut Bebert,
Moi j'ai connu un autre Simon qui lui est ne avec le 'BERGOU" comme tu dis.
Il etait toujours content et avait une foi aveugle en Achem.
Rabi ma'ak ya hkouya.
Gmar hatima tova.

Bien sur des SIMON même sans BERGOU ont aussi de la chance Yossef, mais tu connais bien cette expréssion lorsque qq'un a une chance insolente. Mais celui là vraiment, il n'a pas eu de chance.

SIMON LE MALCHANCEUX.

3°



Le consentement de sa femme acquise, Simon épouse donc IRENE. Le couple loue un appartement convenable à qqs centaine de mètres de son cabinet mais IRENE, dés le début, se montre ‘mokhnana’ ( sale en tous points) Simon prendra les choses en mains. Il lavera, nettoiera, fera encore la cuisine etc….Lèvera et lavera les culottes sales de sa seconde épouse qui se plaint d’être fatiguée à longueur de journée.
Au bout de qqs mois d’études, elle obtient enfin son diplôme de psy. Elle trouve un job chez un confrère, touche un salaire mais ne participera en rien au frais du ménage. Tout pour elle et rien pour la maison.

Un garçon est né, Bernard. Plus tard deux jumelles.
Simon s’en occupe.

Il s’occupe donc de la maison de son ancienne première épouse et celle de sa nouvelle famille.

Dolly , la divorcée, ‘si gentille et brave’ après le divorce accepte que les trois enfants de la seconde femme viennent manger avec les ‘demi-frères’. Aucune des deux ne soulèvera d’objections. Elles trouvent leur compte sans trop dépenser d’énergie. Simon prend toute l’énergie sur lui. Il est au four, au moulin et dans la dentisterie. Il monte la colline prépare à manger pour ses deux premiers enfants, dévale la colline pour préparer à manger à ses trois autres enfants.
Levé tôt le matin pour leurs petits déjeuners, il se couche tard le soir après avoir servi tout le monde. Il trouve le temps qd même de prier entre deux couverts, et il fréquente assidument la syna de son quartier.

Son grand fils ALAIN stagne dans ses études. Il fait l’école buissonnière. Au lycée, il a de mauvaises fréquentations et arrive ce qui arrive. En seconde, on l’oriente vers un lycée d’apprentissage. Mais Alain se rebelle. Cela ne l’intéresse pas et les parents sont désorientés.

Que va faire leur fils de 16 ans sans aucun bagage. Les parents le raisonnent mais hélas, le jeune homme aime la compagnie de ses copains désœuvrés. Il touche à la drogue à l’insu de ses géniteurs. Son père l’apprend et lui fout une raclée mais cela ne changera rien au comportement de l’enfant qui continue à trainer dans la rue.
L’enfant est mal barré d’autant plus qu’il est fiché à la police de son quartier comme consommateur de drogue.

.

LILIA.


[harissa.com]

LES AVENTURIERS DE COOL ENTA. LES ROUGEONS MACAQUES ET LES ESTURGEONS RACAQUES. Suite.




Le sort est donc jeté comme des dés sur un tapis vert mais là, c’est sur une plage inconnue, à des miles de chez eux que nos aventuriers ont désigné pour les ROUGES JO CETTALDI et SOMELIER pour les jaunes pour perdre du poids afin que les deux groupes soit équilibrés.

JO CETALDI a choisi la natation pour perdre 3 Kgs alors que le JAUNE CANARI a choisi la course à pieds.

Monsieur Alain Rigaut note sur son calepin les deux héros du jour.

‘…A mon top niveau vous partez… !’ Avait t’il lancé.
Enfin le TOP NIVEAU est lancé et nos deux concurrents sont sur pieds.
Jo rentre dans l’eau et s’éloigne de qqs mètres du rivage, il doit parcourir 1500 mètres pour perdre ses 3 kgs et bien sur il commence à nage en tenant compte qu’il doit les parcourir en trente minutes, sous les acclamations et les fous rires de ses amis les ROUGES,
Som lui doit courir 3 kms 500 en 45 minutes, un record s’il y parvient.

Som prend son élan et part. Il a failli se prendre le pied dans un trou. Sous les acclamations de son équipe les JAUNES, il bombe le torse et le voilà qui disparait dans la foret.

Au loin Jo nage, nage mais voilà il est prit dans un tourbillon, ses amis le voit tourner comme une tapie arabe. Il s’en sort heureusement sous les ouf de son équipe. Jo nage comme un forcené, il vient de passer la barre des 750 métres alors que Alain le maitre de cérémonie lui lance par son porte voix ‘…Monsieur Jo, retournez s’il vous plait. Jo fait une sokleiba, une cabriole sous marine et repart.
Som est dans la foret, il court.

Jo enfin n’est plus très loin du rivage et enfin on le voit arriver sur le rivage. Il est tout heureux de sa performance, il sort et là.

‘….Jo enfin relève ton maillot… ! Aldo.
Jo ne s’est pas rendu compte que son maillot est devenu un peu large et de ce fait à glisser au ras de ses genoux.
‘…Ah qu’est ce que tu es beau … ! Marina BALDA.
‘…Un vrai héro…. !’ Michka.
‘…Quelle performance… !’ Jean Chem.

Jo est tout essoufflé. Il a relevé son maillot. Il se laisse tomber sur la sable alors que Maitre Rigaut avance avec sa balance. Quatre personnes le soulèvent et le place sur un des plateaux de la bascule, sur l’autre un rocher de 635 kgs. I accuse le bon poids. Il a perdu 3 kgs.

‘…Les ROUGES vous êtes équilibrés, vous avez atteint le bon poids…. !’
Mais Marie de Montis, futée comme elle est met son pied sur le coté de Jo et là, Alain voit l’aiguille prendre de l’avance.
‘…Ah, il y a 200 grs de plus… !’

Marie n’en peux plus. Elle retire son pied.

‘…Ah là le poids est juste…!’
Jean Taeib à son tour pose son bras.
‘…Ah là il y une augmentation de 100 grammes… !’

Jean retire son coude.

La pauvre Rigaut n’en peux plus de cette bascule.

‘…Je pense que le vent fait des siennes et écartez vous afin que je puisse mieux contrôler le poids… !’
Enfin, les blagues se sont arrêtées et Alain annonce tout heureux.
‘…C’est confirmé 635 KGS pour les ROUGES…. ! Vous pouvez vous mettre sous votre cabane.

En guise de cabane, nos ROUGES avaient confectionne un abri fait de branchages.

‘…Allumez votre feu en attendant que l’autre con de concurrent arrive…. !’

Chacun des Rouges y met du sien. Marina souffle sur le futur brasero , Aldo souffle, Leila souffle, Jo Auteur souffle, Montis souffle, JEAN souffle si fort que la cabane part en c….es. Enfin, le feu prend sous les conseils de Aldo…Le chef des ROUGES.
‘…Bon à présent, il faut se nourrir… !’
Les JAUNES SONT INQUIETS, ils ne voient pas leur SOM arriver.
‘…Il a du se sauver… !’ Pierre
‘…Avec lui tout peut arriver, la dernière fois que je lui ai donné rendez vous, il n’est jamais venu, c’était en 93 et je l’attends encore cet imbécile en MARCEL… !’
‘…Il a du faire le tour de l’ILE…. !’ Claude Sit.
‘…Même pas, il doit dormir sous un cocotier… !’ Tulsi.
‘…Cessez, moi je l’aime bien Som, il sera là en temps voulu… !’
‘…Je voudrais bien vous y voir vous… !’ Dany Sit.
‘…C’est un goulettois un peu comme un GLADIATEUR… !’ Ruth.
‘…Disons plutôt un FRIMEUR… !’ Sydney.

A suivre….