Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 janvier 2012, 10:45
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 janvier 2012, 22:30
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 janvier 2012, 04:21
Merci Elsa, je me sens de mieux en mieux avec cette chanson.
Gharaqtli calbi.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 janvier 2012, 04:24


DANS LA SERIE DESESPERAD WIVES...MONSIEUR LE BON RENE...!'





Tout rapprochement avec des situations connues n’est que pure coïncidence.


Il a n’y a pas encore si longtemps, les hommes, pour se distraire, passaient un bon moment, regroupés dans leurs lieux favoris, les cafés.

Les femmes du reste n’étaient pas loin de leur mari et même qu’elles s’attablaient en leur bonne compagnie pour palabrer, échanger, rigoler sur tout et de tout.


Le cinéma Rex à la Goulette étaient aussi le temple du rassemblement. Surtout après le couscous du vendredi soir.

Les souvenirs ne peuvent pas se méfier de moi car je les relate à leur juste prix et valeur. Lorsque j’ai commencé à parler de la Goulette, il y a 12 ans sur HARISSA.COM, je pense en être l’un des premiers à le faire, il s’en est suivi qqs mois plus tard, une profusion de narrations sur cette ville que beaucoup de mes amis ont ignoré. A part NINO Belhassen qui, lui à inséré des VIDEOS MAGNIFIQUES.


De là être le déclencheur de cet attrait pour ma ville, sur le net bien sur, il y a un pas que je ne franchirai pas sauf si on m’apporte la preuve que d’autres l’ont fait avant moi.

Bref, roter ou ‘gamser ‘(péter) dans cette obscurité faisaient rire toutes la salle, comme quoi il suffisait d’un rien pour parfumer l’atmosphère.


Beaucoup d’époux par contre s’adonnaient au vice, les courses, les cartes, les casinos etc …étaient leurs grandes distractions et pour rien au monde, ils auraient abandonné les mises. Mettant leur famille presque dans la faillite. Des sociétés ont coulées à cause de cela.

Pendant que ces chers époux au dessus de tous soupçons s’adonnaient à leurs errements, les épouses se réunissaient une fois chez l’une une fois chez l’autre pour titiller les cartes ou se la raconter sur les scandales du jour à Tunis, en attendant que l’époux enfin rentre à la maison, heureux et parfois bu, et les poches vides.

Aujourd’hui, il existe encore de ces bons époux qui se distraient dans les champs de courses, ou alors sur des gradins de foot.

Passé ce temps là , de l’ennui, voilà qu’arrive l’ordinateur et tous ces liens bons et mauvais penchants.

D’autres plus convenables s’adonnent à la cuisine.



L’histoire que je vais vous raconter est réelle. Elle fait partie de ces récits que j’ai écrits ici même sous le titre de ‘…DESESPERAD WIVES…!’ Là encore, un homme BCBG du moins c’est ce que je croyais est tombé dans les filets du net. Ne jurant que par lui, englouti, submergé, écrasé à tel point que notre pauvre malheureux papi

( depuis qqs mois) en oublie épouse, enfants et petits enfants. Un drame que vit son épouse.

Appelons le RENE de TUNIS.


René, bien avant le net, était un homme respectueux, passant son temps à travailler tout comme son épouse Josiane. Une femme stricte, honnête, aimante presque sans défauts sinon j’aurais dit une sainte.

Ce couple, qqs années auparavant, s’était marié à la MARSA Un mariage d’amour. Qqs mois plus tard, un enfant né, deux trois quatre et à chaque grossesse la belle épouse grossit un peu plus, c’est normal les grossesses déforment les femmes sans déformer l’amour qu’elles portent à leur mari encore moins leur esprit ce qui n’est pas le cas chez certains époux.


Notre René n’a aucun vice, il est clean, net, honnête durant ces paisibles années en terre paisible.


Mais certains événements en Tunisie poussent ce couple à déménager avec enfants en bas âge en France. A Nice. Dépourvu de tout, avec qqs économies en poche, il arrive qd même à trouver un logement grâce à la signature d’un des frères qui se porte garant sur les loyers avec bcp de grincements de dents. Tkanjich. Constipation.

Josiane par chance, trouve un travail au bout d’un mois, secrétaire dans un laboratoire pharmaceutique. Dégourdie, elle fait ses preuves dans la boite et son salaire en francs français est conséquent. Enfin, une paye qui ouvre une lucarne à ce jeune couple plein de vie et surtout pleins de projets.


Par contre son mari, ne trouve rien. Rien de chez rien. Il a beau multiplier les rendez-vous mais la poisse est derrière lui à un tel point que René déprime grave, très grave. Sa femme combien même aura beau le rassurer que notre homme ne semble pas sortir de l’œil du cyclone. Chaque soir, il pleure, il se morfond sur les épaules de sa gentille femme qui l’encourage à persévérer, à chercher et chercher encore. L’état de René est désespérant. Les cachets apaisants l’ont rendu amorphe. Mais il tient le coup grâce au soutien moral que lui apporte sa femme.


Il n’y a pas plus triste qu’un chien qui avance avec les oreilles basses. Perdu, hagard, ne sachant où aller, s’enfermant dans un vase clos à tel point qu’il n’est pas loin de sentir la merde si ce n’est cette épouse aimante qui prend soin de lui, qui s’occupe de ses enfants dés qu’elle rentre le soir alors que l’autre dort, à longueur de journée. C’est bien simple, elle veille à des heures tardives pour préparer le déjeuner de son mari et de ses enfants, faisant le ménage, rappelant à son époux sa toilette, bref femme de maison, bonne et domestique, et salariée en même temps.

Ses frères connaissant l’état de leur cadet ne font rien pour les aider. Pas même un coup de fil rassurant car il est bien connu que l’on se détourne des chiens perdus même s’ils sont sortis du même ventre. C’est comme cela.



Enfin, après des mois d’inertie, il trouve un job. L’homme/époux respire. Sa femme est aux anges. La famille remonte lentement mais surement la pente. Il donne satisfaction et il reprend du poil de la bête. Il rentre le soir, et tout comme bon père de famille s’installe devant la télé. Il n’est pas homme à seconder sa femme qui ne dit rien sachant que son état pour le moment ne mérite aucunes remarques. Un an passe, kif kif, bref, il est guéri de sa déprime mais reste tjs devant la télè le soir alors que sa femme trime entre enfants, maison et boulot.


Voilà que notre bon René à force de s’ennuyer s’achète un ordinateur. La télè ne l’intéresse plus, ni les livres, ni plus rien. Monsieur Ordi l’a pris en mains. Les enfants grandissent et l’ORDI lui fait oublier ses devoirs conjugaux. Les enfants regardent ce papa qui ne s’intéresse qu’à….. ORDI. Le matin il est sur ORDI. Il découvre FACE BOOK. Le soir après son travail, il est à son poste ORDI. Sa femme est au lit après son ménage. Lui il veille avec ORDI. Avec FACE BOOK et poussant plus en avant, ses recherches avec ORDI, il rentre dans les sites de rencontres. De temps à autres, il passe devant la porte de chambre à coucher pour voir si sa femme ne dort pas et fissa fissa, il lance un œil sur les films pornos.

Croyant échapper au flair de sa femme qui devinait ses petits caprices d’homme MALADE D’ORDI et de culs, et atteignant la cinquantaine, elle ferme les yeux. L’autre s’imaginant que son épouse est une imbécile et qu’il peut surfer innocemment sur les entre jambes sans qu’elle s’en rende compte.


Le misérable chien d’avant, a redressé ses oreilles, bombe le torse et retrouve ses costumes cravates. Il a prit du plomb sans respecter ni sa femme ni ses enfants qui se rendent bien compte que seul compte pour lui ORDI, FACE BOOK et les édentés de femmes divorcées en mal d’amour. Il a bon dos notre RENE le vislard.

Avec son bagout très original, ses délires pour femmes idiotes, certaines sont soudainement prises d’hystérie et cherchent à le rencontrer, à le voir, à ouvrir une relation durable avec au final qqs coucheries à l’autre bout du monde. Il s’invente des amis à voir un peu partout dans l’hexagone.


Prit dans le tourbillon du sexe, notre homme est partout dans les sites spécialisés, les salons, les chat etc….. Donnant qqs espoirs fous à des femmes esseulées. Devant son ORDI, il ne prend même plus la peine de se cacher et sa femme est convaincue que son mari la trompe. Et que ses déplacements pour voir des amis invisibles ici et là ne sont que prétextes pour aller à la rencontre de la dernière venue. Dernière venue qui par moment ne se gêne pas de l’appeler chez lui en présence de sa femme. On appelle cela LE TOUPER DE LA PUTE.


Enfin, par tant de silence et de patience, Josiane lui fait remarquer que son attitude est éhontée et qu’il devrait cesser ‘ses magouilles amoureuses’ au vu de ses enfants et même de ses petits enfants car entre temps, il est devenu papi. Un papi qui lorsque ses derniers viennent lui rendre visite, il ne les compte même pas. Ce qui fait dire à l’ainé de ses bambins ‘…Papi est js sur l’ORDINATEUR… ?’ Aucun jeu avec ses petits enfants, aucun intéressement, René est ailleurs, il est dans ses amours virtuels et réels.


Son épouse montre son impatience. Elle n’en peut plus d’être trompée chez elle par ORDI interposé.

Elle le lui dit et chaque soir querelles sur querelles pour des amours qui cassent son couple et qui vont l’isoler dans un proche avenir.


‘…Cher René, sache que malgré ton âge que tu crois jeune, il arrive un moment où sur un lit d’hôpital, ou d’une maison de retraite, tu passeras sans doute un bon bout de temps et que personne ne viendra te rendre visite tellement ton ingratitude est grande envers une femme qui t’a rendu un homme. Et que, après le cimetière, personne ne te regretteras car l’HOMME ORDI..NAIRE que tu es, ne trouvera pas un ORDI pour te tenir compagnie. Là haut, il n’y en a pas. Non plus 72 vierges.


Saches aussi que tes petits enfants ne se souviendront de toi comme de l’ABSENT.


Au lieu d’ordonner ta vie, tu fais le contraire de ce qu’il faut faire, tu la désordonnes MONSIEUR RENE L ORDI.

Quant à ces ‘putes’ que tu fréquentes assidument laissant ta femme dans la peine et le désarroi pense bien peut être qu’elle n’aura même pas le temps de penser à ta sépulture tellement tu es ignoble et abjecte, car même un chien qui va sucer à tous les OS POURRIS a des sursauts de dignité.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 janvier 2012, 04:29
le blog de ceux qui cherchent midi a 14 heures... les inscriptions sont ouvertes !!!!!!!!!!!
Pièces jointes:
montres.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 janvier 2012, 09:34
Tzipora et Joseph font leur Alya en Israël - Par Camus Bouhnik Beer Sheva

<!------ Main image----->

« Je suis née musulmane au pays du jasmin, mes parents m’ont donc prénommé Yasmina.
Mon mari est né chrétien dans un pays de l’Amérique Centrale. Nous sommes convertis au Judaïsme orthodoxe et Israéliens depuis bientôt deux semaines ».





Le récit de Tzipora :





Mon père est un homme très instruit aux idées larges, curieux, chercheur. Il occupe un poste fort important qui nous permet un train de vie confortable. Nous habitons une propriété opulente au Nord de La Tunisie, le pays du fell et du jasmin.


Mon enfance se passe heureuse. Mon père m’apprend à réfléchir, à penser et ne pas voir les choses telles qu’elles sont décrites.

« Raisonne et pose toi des questions : ce que tu entends est-il cohérent ? Tout est à déchiffrer ma fillette ».

Alors je pense, donc je suis.



Malgré son éducation dans les meilleures universités connues, mon père reste un religieux fanatique et ne rate aucune des cinq prières journalières.



L’ambiance générale en Tunisie est laïque, jusqu’au jour de l’attaque horrible des Twins Towers à Manhattan. Cette agression abominable rase les deux tours jumelles et son résultat est de 350 morts, dont 80 pompiers venus à la rescousse le premier jour, le 11 septembre 2001.





synagogue a Brooklyn


Ce jour satanique, de deuil international nous trouve en pleine euphorie en Tunisie. Nous sommes fiers, nous les braves islamistes contre l’Occident. Le lendemain en allant à l’école, je vois de très nombreuses écolières la tête couverte ou voilée. C’est le début du règne de l’islam, Allah laisse sa place à Ben Laden. Je suis comme tout le monde, je ne pose pas des questions de conscience et ce n’est que trois ans plus tard que je commence à douter.

En effet je commence à penser (donc, à être) :

« Allah est Rahmane ou Rahim, charitable et miséricordieux. Alors s’il en est ainsi pourquoi la loi musulmane la Charia permet-elle le Djihad, la guerre de religion ? Le Coran est-il la voix du Très Puissant ou a-t-il subi des ajouts ? Le Karim, le bienfaiteur permet-il des assassinats en son nom » ?

« Pourquoi les femmes sont considérées religieuses, si elles portent le voile ou le nikab ? le visage masqué éloigne-t-il le péché » ?

Tout cet oujâa erras, brouhaha de question me fait martel en tête et je décide de poser des questions à mes enseignants et à mes parents. Je reste en classe, après tous pour poser des questions à mes Profs. J’arrive vite à la conclusion que mes embarras énervent mes interlocuteurs :

« Tes questions dérivent de la bonne raison, me dit le professeur d’histoire. Je veux bien les oublier, mais si ça continue, je te collerais des zéros ».

« Yarsoul’Allah, Allah nous garde, crie maman » !

Et avec papa c’est seulement un regard triste et sévère qui me scrute.

Je décide de me taire, faute de quoi on me prendra pour une maboula, une folle et je risquerai d’être enfermée dans la Manouba. Depuis je cache ma véritable personnalité, je me refuge pour ainsi dire derrière un masque.

A quinze ans je commence à m’intéresser aux actualités. Je vois à la télévision les nouvelles du Moyen-Orient diffusées par la chaîne El-Djazira. Des communiqués nous rapportent la situation des pauvres Palestiniens souffrant sous la botte israélienne. Evidemment, je sens de la rancœur envers les soldats ennemis. Mais une voix intérieure me dit que je ne vois et n’entends qu’une face de la pièce. « Est-ce toute la vérité ? L’affaire Mohamed El-Dhura revient souvent aux débats. A-t-il été abattu par les soldats Juifs, ou est-ce une mise en scène » ?

Sentant ma tête éclater je cherche des réponses dans Internet concernant cette affaire et aussi sur toutes les énigmes non résolues. J’en apprends des choses qu’on ne me disait pas. Un doute s’infiltre dans ma tête d’adolescente et je dis à un correspondant :

« Je ne crois plus ». Sa réponse m’a ouvert une voie :

« Ne perds pas le foi, sinon tu perdras tout. Cherche ta vérité, sans relache ».

A dix-huit ans je m’inscris à l’université Seattle à Washington. Je commence à y étudier et dans mes moments libres je cherche tout ce que peux trouver sur la théologie, dans Internet. Je lis pendant des heures, infatigable. Un web m’attire particulièrement, c’est celui de Habad.

Je ne sais pas encore que c’est un site Judaïque. J’y lis tout sur la Paracha de la semaine, les Midrachims, les explications fines de Rachi, le pchat, les écrits et les razim, les sous-entendus. Je sens mon corps et mon âme libérés, je trouve toutes les réponses, Baroukh Hashem Grâce à D ieu. A ma troisième année à Washington je décide que le prochain cycle je le ferais à New-York, pour être plus proche de Brooklyn, le Centre Culturel Juif.

J’allume des bougies la veille de Chabbat, me déconnecte de mon ordinateur du vendredi au crépuscule jusqu’à la sortie du Chabbat. Je trouve cette ambiance sainte sublime. C’est comme si tout s’arrête un jour et on est à l’aise dans le repos mental et physique.

Dès mon arrivée à New-York je me rends à la Synagogue de Brooklyn pour y recevoir le Chabbat, la Kabbalat Chabbat.

A lieu de m’inscrire à l’université je demande à être reçue dans une yéshiba, un collège de jeunes filles afin d’y apprendre les Cultes. En même temps je demande au Rabbin de me convertir au judaïsme. Il me conseille de réfléchir, étant musulmane je risque d’être tuée après ma conversion. Je reviens à l’attaque chaque semaine et je comprends enfin que les renvois du Rabbin consistent à savoir si je suis vraiment convaincue dans ma décision. Je suis enfin convertie et on m’offre un travail de secrétaire au sacro-saint du Centre Culturel Juif, au Beith-Loubavitch. Et on me trouve un fiancé aussi. Nous décidons de nous marier, sa seule condition est que nous fassions notre Alya en Israël. Ce que j’accepte volontiers, je rêve de La Terre Sainte depuis des années.

Ma mère est la seule personne de la famille venue assister à mon mariage. Elle est arrivée, il est vrai pour me persuader à retourner en Tunisie. Nous avons pleuré toutes les deux, l’émotion étant trop forte. Moi de ne pouvoir la persuader que là est mon bonheur et la tranquillité de mon âme et elle parce qu’elle trouvait quelle perdait ainsi une fille, mon père n’accepterait pas de compromis…

De son côté papa me parla calmement au téléphone. Un jour il vient me voir dans ma maison de location. Il entame une discussion interminable en arabe tunisien. Il me propose de l’accompagner le lendemain à son retour en Tunisie.

« J’ai un billet pour toi, appelle-moi ou je t’appellerai. Nous nous retrouverons à l’aérodrome ». Il ajoute quelques mots en latin. Mon mari comprenant qu’il nous souhaite d’être heureux lui sourit et lui tend la main qui reste dans le vide. Le lendemain papa m’appelle et demande si je suis en route pour l’aérodrome. Devant ma réponse négative, il coupe la discussion et ne me parlera plus.

Nous faisons notre Alya et sommes citoyens israéliens depuis bientôt deux semaines, le 1er janvier 2012. J’adore ce pays, je le traverse et reconnais ces collines ouvertes d’oliviers que j’ai déjà vues dans mon imagination, j’aime le climat sec du Negev



Je suis désolée de ce qui se passe en Tunisie après la révolution du jasmin qui a vu les extrémistes diriger le pays. Je ne pense pas qu’ils suivent la bonne route ou qu’ils savent où elle se trouve. Une proposition de loi est incohérente : celle de considérer comme un délit toute relation avec des personnes israéliennes. Ainsi si j’appelle maman au téléphone, elle risque d’être interrogée par les autorités. La police qui ne fait pas grand-chose quand il s’agit de désordre et vandalisme sera certainement très habile concernant les rapports avec Israël.



Mon nouveau nom est Tzipora (dans la Bible la fille de Yétro et femme de Moïse).

Le récit de Joseph :


Je suis né José-Manuel Guetterez en Honduras, d’origine chrétienne. Mes parents sont riches. Papa dirige une grande firme importante de ravitaillement pour des grands groupes, le catering. Nous somme pratiquants et fréquentons l’église de la ville.

Mon père voyant des préliminaires d’une modération de l’économie des pays d’Amérique Centrale, s’empresse de liquider sa société avant la grande crise.



Nous nous installons à Huston, Texas où papa monte une nouvelle affaire de transports, nettoyage et de surveillance-vigile dans les grandes sociétés. Petit à petit son travail prend de l’ampleur et nous n’avons plus aucun problème afin de maintenir un mode de vie cossu.

Mon père se sent dépaysé dans la nouvelle église où nous prions, ce qui le pousse à créer une nouvelle sur le modèle de celle dont avions l’habitude en Honduras. Nous nous attelons avec zèle à chercher des fidèles, tâche à laquelle toute la famille prend part. Les nouveaux venus nous épaulent et bientôt nous voyons notre communauté grandir et atteindre 500 personnes, toutes de l’Amérique Centrale, toutes contentes de retrouver les modulations connues.



A mon adolescence je reçois des responsabilités dans l’organisation et je me trouve à mon aise. Jusqu’au jour où…



Le prêcheur de la communauté annonce un beau jour après la messe, qu’il nous quitte pour la bonne raison que son désir est de se convertir au judaïsme. Son annonce nous laisse bouche bée, tous les fidèles aimant le prédicateur ils ne peuvent pas rester insensibles à son information.

85 personnes le suivent dans sa nouvelle voie et moi de même reste fidèle à cette personne si captivante. C’est ainsi que je reçois mes premières notions de judaïcité dans une Yéchiba de Brooklin. Je suis parfaitement en harmonie avec ma nouvelle confession. Des nouvelles portes s’ouvrent devant moi, celles de l’Ancien Testament et de l’histoire juive dont je me sens membre incontesté. Je suis converti par le rabbin du Centre Orthodoxe à Manhattan.



Avec le temps je fais connaissance avec Tzipora et nous décidons de nous marier et faire notre Alya. Nous sommes en Israël depuis peu. Dommage que s a famille ou plutôt son père a coupé avec elle, contrairement aux miens.



Mon nom en Israël est Yossef en souvenir de Yossef Ha-Tzadik, le fils de notre ancêtre Jacob.



Camus Bouhnik Beer Sheva
[[/color]

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 janvier 2012, 08:35
breitou a écrit:
-------------------------------------------------------
> >
>
>
>
> Regarde regarde Maman
> Notre beau profil à nous deux
> Regarde nous, toi et moi enlacés
> Comme deux amoureux,
> Pas même les étoiles ne le sont.
> ... Mais toi et moi c’est une histoire qui a
> commencé
> Depuis longtemps déjà.
>





Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 janvier 2012, 08:40
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 janvier 2012, 08:45
'...Bke oue chawiye...!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 janvier 2012, 09:32
'....Je suis témoin de ca et tu devrais recevoir la médaille du mérite Goulettois.
Beaucoup de copieurs dans ce monde.


Toi tu parles avec le cœur....!



Ce mail, je l’ai reçu aujourd'hui de la part d’un ami connaisseur important, que je connais depuis longtemps puisqu’il m’a ouvert ces colonnes depuis ce temps là.

Ce temps là, où par chance et par hasard, je suis tombé sur son site, un site qui était censé parler de SOUVENIRS DE LA TUNISIE.

Je suis rentré dc comme un cheveu gris dans ce forum dans lequel effectivement, de vieux internautes parlaient de tout, de leur vécu dans leur ville natale, art culinaire, traditions, religion bref tout ce qui a fait leur bonheur autrefois. Je lisais assidument leurs commentaires avec bcp d’intérêt.

Plus de 60 intervenants commentaient avec bcp d’aise, de richesse vocabulaire et de mots savants.

J’en palissais. J’en étais même jaloux de toute cette culture mise sur le net et je m’obligeais à réfléchir sur l’opportunité qui se présentait à moi. Dois-je rentrer et écrire parmi ses nobles gens, si doux, si respectueux, si chaleureux, si bons, si honnêtes… ? Sans défaut à première vue.
J’étais subjugué par cette faconde où nos aristocrates juifs tunes et même musulmans étalaient leur savoir faire sans aucune faute d’orthographe parfois avec. Parfois certains écrits ne voulaient rien dire.
Il manquait juste un peu de poèmes, de rigolades, de tménic, de tfledic…Etc…Bref l’essence du juif tune bien sur que je voyais pas comme si ces gens là avait oublié notre dialecte si enrichissant.
Un seul en parlait, c’était Emile Tubiana, grand bejaois, qui parlait de sa ville natale saupoudré de qqs proverbes de son cru. Un grand savoir, un grand homme plein de sagesse. Un homme de paix parmi tous ces gens qui ont fin de compte n’était pas tous polis, bien honnêtes et courtois bref, après analyses, ils étaient comme tout le monde.
Alors, je me suis dit, s’ils sont comme tout le monde, je corresponds au profil.

Alors Monsieur Moi tout le monde rentre tout d’abord sous mon vrai prénom et me voilà me lancer dans la politique parce que c’est messieurs ont fagocité le site en parlant peu de la Tunisie mais bcp plus d’Israël. Les souvenirs de la Tunisie a viré à la politique avec bien entendu querelles etc…

Donc Albert, bien petit au début, à commence à parler politique qu’il ne connait que dalle. Un vrai bim de chez bim dans la bemoutopolitique mais comme on dit, il faut bien se lancer.

Certains on du se dire à cette époque ‘…Mais qui est cet imbécile qui rentre sous ce prénom de Albert avec ses conneries…. ! Mais de quoi il parle ce type… ! Ils avaient bien raison de penser ainsi car ALBERT LE BIM bien que poli avec eux, ne faisait pas partie du sérail. Je politisais un peu et de temps à autre, je m’amusais, tel un clown dans une foire de HAUTES PERSONNALITES. Féminin et Masculin. Je ne faisais pas rire du tout. J’ai même reçu qqs mots désagréables de NAO. Et bien sur, je fus blessé, très blessé au point où je me plaignais auprés du tout puissant qui m’écrit ceci…

’ Albert, attends toi à recevoir des crocs en jambes mais surtout tient le coup, je devine en toi un homme plein de cœur .. . !’

Car il publiait mes envois sur la Goulette durant qqs mois, une fois par semaine, mes écrits dans sa rubrique ACCUEIL, donc il avait compris que derrière tout cela se cachait un personnage sensible.

Et peut être plein de talent, excusez du peu et tant pis pour ceux qui minimisent la chose.

Après tout, on ne pe

Je reviendrai sur le sujet.

A Suivre….

Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved