Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2012, 08:42
Mais où se cache Monsieur Simon...?

Il existe qq part à Paris, Rue du Fbg du Temple, une petite boutique unique dans son genre.
A l’époque cette boutique était tenue par un serrurier, cordonnier du nom de Cohen.

Ce dernier après 20 ans de dur labeur décide de vendre son bail à un certain Monsieur Simon, un marocain. Bien loin de reprendre cette activité épuisante, notre Simon la transforme en boutique d’articles hétéroclites. Une friperie. Au début, l’espace de 15 M2 était assez spacieux et les clients pouvaient rentrer et choisir l’objet de leur convoitise pour pas cher.

Au fil du temps, cet espace est devenu si exigu que personne ne pouvait plus rentrer. Sauf Simon qui escaladait des sacs de vêtements mis pêle mêle pour passer de l’autre coté. Simon est devenu invisible et si un client devait se faire servir, il hélait son prénom ‘…SIMON….SIMON… !’ Et Simon comme une souris sortie de son trou, est prêt à la servir. Juché en haut de son tas, il connait tous les emplacements de on bric à brac. Tout. Si vous lui demandais une capuche d’hiver, il redescend et farfouille ce que vous ne voyez pas. Il a tout dans sa tête, plus de 3000 articles ensachés.
Devant sa boutique, un étalage de chaussures, modeste au début, il a prit aujourd’hui la moitié du trottoir et lorsque je dis à Simon ‘…Mais Simon dis moi, on ne te vole pas… ? ‘…Qu’il vole…’ Me dit t’il avec le sourire. Pour les chaussures, il ne les sert pas mais laisse au client le choix de se servir et lorsque le client veut payer, Simon se penche, tend la main et encaisse. Une prouesse.

Pour fournir son magasin, Simon porte sur le porte bagage arrière de sa bicyclette sa cam et touS les matins, au lever de son rideau, il reçoit qqs balles de vêtements sur le potiron.

Simon est passionné par ce qu’il fait. Derrière tous ces sacs, ce trouvent une cafetière, un micro ondes, un lavabo mais pas de salle de bains.
Je vous présente SIMON L’invisible.



hebergeur d'imagehebergeur d'imagehebergeur d'image


Là il surplombe sa clientèle.Et calcule sur sa paume de la main.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2012, 08:58


PAR LINDA BOCCARA.
YE MA EL HANINA.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2012, 09:49
LES KHEIFINS RABBI.
LES CRAIGNANTS DE DIEU.

Adam et Eve ont eu des enfants, je ne sais pas combien. Encore moins à quelle date, ils sont nés. Il n’y avait pas de Mairie à cette époque. Il n’y avait rien sauf peut être une béquille sur laquelle ADAM traçait des signes que tout le monde qqs siècles plus tard on déchiffrés. Les enfants devaient aussi s’accoupler mais pas mariés, cela n’existait pas le mariage. Et qui à donc prêté son flanc pour unir des personnes de même famille. Là se pose le problème de l’inceste et de la consanguinité.

L’histoire continue et au bout d’un certain nombre d’années, chacun ayant eu une famille, les époux décident d’aller voir du pays. Chacun pour soi et D ieu pour tous. Des foyers furent donc crée un peu partout sur la terre, sur tous les continents. Des tribus naissent là encore un peu partout. Mais comme les hommes sont avides, chaque chef de tribu décide d’agrandir sa réserve. Ils en veulent plus, beaucoup plus au point que le voisin d’en face, pourtant alliés par descendance de ADAM ET DE EVE, est devenu gênant. Un ennemi même qu’il faut repousser au loin, très loin. La guerre va commencer. A l’aide de pierres, de crottes etc…Chacun défendant son territoire, chacun voulant supprimer l’autre tribu, la tribu ZAC* gagne du terrain et chasse les autres tribus. Enfin ZAC devient par la grâce de toutes ses suppressions, asservissement, disparitions, un SEIGNEUR.

Le premier SEIGNEUR est donc né. Mais ZAC ne voulant pas s’arrêter en si bon chemin projette de conquérir le grand territoire des ZAGOUN. Il réfléchit et le grand sorcier du village lui conseille de s’allier à GOURACHEN, des habitants du SUD de l’Afrique. Le GRAND NORD s’allie avec le GRANDS SUD et là deux grandes tribus font alliance pour éliminer le GRAND ET MAUVAIS TIRETOUTCESURCEQUI BOUGE. Ces derniers sont battus.

L’ère des alliances, des complots et des traitrises, trouve là (ce que nous voyons aujourd’hui) son ferment sous le regard de Achem qui laisse faire.

Il ne parlera plus D ieu devant ce qu’il considère de grands péchés. Mais on en est pas encore là, sur la valeur du péchés puisqu’ils étaient tous sauvages s’habillant de peaux de bête parlant peu le français ou l’arabe etc… Mangeant des bêtes non cachérisées, forniquant à outrance avec tout ce qui passe sous leurs yeux et rotant comme de vulgaires personnages.

La bible nous le dis pas, mais nous on imagine ces hordes de barbares ni juifs ni arabes encore déferlant les steppes, les vallées et les monts à pieds sans chevaux ni ânes, par tout temps pour se livrer bataille, s’entre-niquer, tuer voler bref de grands voyous mal éduqués.

A Suivre….*

.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 janvier 2012, 09:25
Cette dame légèrement perturbée, fidèle cliente dans les hrouchoutts, encens et conneries, tire son chéquier pour régler ses articles.

‘…Mais Madame… ? Vous avez oubliée que je ne prends pas les chèques, vous devriez le savoir depuis longtemps déjà… ? Je ne fais pas confiance aux chèques seules les Cartes Bleues son accéptèes, et comment se fait t’il que vous n’avez pas votre CB…?’
‘…Elle est tombée hier dans une bouche d’égout… ! Monsieur…. !’
‘…Donc elle est chez les rats…De Paris… ?’
‘…Oui, croyez vous qu’ils l’utiliseront… ?’
‘…Qui Madame Leroy… ?’
‘…Les Rats… !’

Maboula meskine, je vous l’ai dis.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 janvier 2012, 02:39
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 février 2012, 10:44
MICRO ONDES GITAN.

Agence Imamili News.


hebergeur d'imagehebergeur d'imagehebergeur d'image

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 février 2012, 11:45
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 février 2012, 11:45
Et puis un jour, elle s’installe définitivement dans l’esprit pour ne plus en ressortir.
De son vivant, je pensais bien à elle mais à présent depuis son absence, je pense encore bien plus à elle.

L’idée de ne plus la revoir me hante et je pense qu’elle me hantera des jours durant des années même.

Je voudrais bien que le temps fasse son œuvre maintenant mais je ne crois pas qu’il soit de son ressort pour en faire mon deuil.

Il y a des sentiments qui ne meurent jamais mais qui grandissent à mesure que le temps passe. Ceux là résistent au temps et je sais de quoi je parle.
Je voudrais bien oublier, là encore cela ne dépend de moi, cela dépend d’elle. J’ai comme l’impression qu’elle me surveille, qu’elle me regarde, qu’elle me parle et que sa voix ne s’est vraiment pas éteinte dans mon esprit.

Je devine tout ce qu’elle aurait pu me dire en ce moment ma maman. Tout.
Presque trois mois qu’elle est partie, les fameux 100 jours arrivent et je n’arrive pas à m’habituer à cette pensée que je rumine plusieurs fois par jour.
Un jour sans elle, sans me la rappeler équivaut à un délit. Même de cela je ne veux pas me rendre coupable du délit d’oubli. Cela serait la tuer une seconde fois.
Avant je tressautais lorsque je l’avais au bout du fil, à présent je ne tressaute plus, mes matins sont calmes, mes soirs aussi, mes midis sont tristes alors j’essaye de penser à autre chose. Plutôt revoir toutes ses photos en cadres que mon frère à suspendu dans chaque coin de la boutique. Elle est en face de moi, elle est de coté, elle est en haut et même collée au plafond. Elle est partout. Ainsi mon jeune frère en a décidé sans que je m’interpose.

Je tente de la remplacer par d’autres images, comme celles de mes enfants et mes petits enfants. Là encore, son image vient tout bousculer et je ressens cela comme un reproche venant de sa part, comme si elle me disait ‘…Et moi, tu m’as déjà oublié Ye ouldi… ?’ ‘…Non… ! J’essaye tout juste de remettre les choses à leurs places, maman… !’ ‘…Ma place doit être en premier… !’
Ainsi s’installe entre elle, un dialogue qui n’en fini pas et qui ne finira pas. Elle a tellement marqué ma vie, que celle là semble ne peut plus supporter l’idée de ne pas penser pas elle.

Je fais un effort considérable pour repousser le visage de sa dernière heure pour la remplacer par d’autres images beaucoup plus avenantes. Celles de sa jeunesse, celles où nous sommes tous réunis en famille autour de la table lors de nos soirées de fête ou de retour de mes frères et sœur le jour de leurs vacances. Et la voilà là, heureuse de les voir, tournant comme une reine abeille autour de sa ruche, dans de sa cuisine, remuant les bouillons dans leur faitouts, et entendre ma grand mère lui dire ‘…HAYA, je crois que ta bsal ou loubia s’est un peu brulée… ! ‘ En dalli él bsal ou loubia tchédèt lec chwiyé… !’ Quelle merveille ce parlé dans la bouche des mémés.
Quelle merveille de rire sous ces expressions d’un autre âge. L’âge où l’on ne s’embarrassait pas d’entendre et de parler ce merveilleux langage imagé.
J’entends de moins en moins parler ce judéo arabe, je n’entends plus ma grand mère, ni mon père et maintenant ma mère.

Seule la voix de la raison se fait entendre. Je me force à l’écouter.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 février 2012, 07:40
N'appelez pas ce numéro !

J'ai vérifié sur Hoax Killer ce n'est pas un canularL'U.F.C. QUE CHOISIR, organisme très sérieux, demande à ses adhérents de faire circuler le message suivant :
« Une lettre est déposée à votre domicile par la compagnie PDS -service de colis- indiquant qu'ils sont dans l'impossibilité de livrer un colis et que vous devez les contacter au 09 06 66 11 911.
N'appelez pas ce numéro !
Il s'agit d'une arnaque émise depuis le Bélize (Amérique Centrale). Si vous appelez et que vous commencez à entendre le message enregistré, vous serez immédiatement facturé de 315 € pour cet appel ! » Je fais suivre ce message à tous mes contacts, faites-en de même. Merci

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 février 2012, 13:21

Mer,
Sur tes algues repose mon cœur.

A l’écoute des échos de bonheur
Il vibre sur ses oreillers verts foncés,
Tressaute aux bruits des vers enfoncés,
Aux sirènes imaginaires qui peuplent mes phantasmes.

Coquillage en nacre mon berceau est fait
Et le roulis, ma berceuse monte à son fait.
La rumeur des rames parvient à mes oreilles
Et mon cœur, plein d’échos aiment les ondines
Nues, ingénues qui sillonnent l’entre deux vagues.

Il n’est point un PIERRE L HERMITE
Pleutre et couard, fuyant les connus,
Se cachant la face sous le sable agité
Prétextant une houle non annoncée.

Mon cœur est ouvert à tous les hymnes
Aux sons qui sommeillent au fond de ma mer.
Et sous les vagues qui paissent sur mon corps,
Mon cœur se réveille sous le fidèle soleil.
A l’aube.

Mon cœur restera aimant envers ceux et celles
Qui savent rimer l’ivresse des fonds des mers
Avec le jadis qui ressemblent à la lumière.


Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved