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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 février 2012, 12:25
ce texte appartient a une jeune femme qui se nomme : LALY DERAI ....
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 février 2012, 09:26
L’avenir de la viande est prometteur.

Le steak haché à partir de cellules souche c’est pour bientôt.

A l’heure qu’il est, le seul et unique steak fabriqué ainsi coute 240 000 €. Une pièce de collection.

Il y a trois choses que le monde ne peut arrêter, la violence, le progrès et l’amour.

La première chose fait saigner de partout dans le monde alors que le steak est apprécié souvent saignant cuit ou grillé.

L’amour fait saigner le cœur et se consomme sans modération mais cela reste dans l’intérieur.

Nos vaches dans nos prés pourront dans qqs années être à l’abri du coutelas et ainsi contempler les trains passer sans ce faire du souci. Elles n’auront plus rien à exposer leur parties charnues, ni à se vendre. Plus de mauvais traitements, le HALLAL va y perdre certainement ainsi que le CACHER à moins que les futurs souches BETH DIN suivent le rythme dans nos assiettes. Et cela coutera bcp moins cher à la communauté.

Pour les catholiques, tout cela ne change en rien dans leurs habitudes culinaires.
Idem pour nos moutons, nos poulets, et toute cette faune domestique qu’on abat selon des rites en vigueur.

Les scientifiques sont de braves gens, très humains car en épargnant la vie de nos amis les bêtes, en remplaçant la vraie matière par de l’artificiel cultivé en labo, ils épargnent notre future génération humaine de toutes ces maladies nouvelles, angoissantes et inquiétantes comme la maladie de la vache folle, la grippe aviaire etc….

Nos animaux n’auront plus à souffrir de tous ces dysfonctionnements lamentables qui nous ont rendus très méfiants envers eux.

Nos enfants se nourriront donc de steaks préfabriqués à partir de cellules souches. Pour le moment, c’est le steak qui est à l’honneur, plus tard, le merguez, la cervelle, les pieds, les os à moelle seront en prime. Tout sera bon et surtout écologique. L’agriculteur n’aura qu’à bien se tenir.

Mais en y pensant bien, la souche n’est pas nouvelle car si l’on se réfère à la bible, c’est bien à partir d’une souche que A CHEM a crée le premier être humain donc c’est à lui appartient cette fabrication.

Les scientifiques n’ont fait que remettre à l’ordre du jour ces fameuses cellules pour en faire des souches. D’ailleurs, n’y a-t-il pas ces réflexions qui disent ‘…Il est des basses souches, des mauvaises souchse, de bonnes souches… !'

Comment il y a tant et tant ici et de par le monde… ?

Le mot souche n’est pas nouveau.

Tout ce qui s’invente ou se crée aujourd’hui tient sa source sur le passé.

Pourquoi s’étonner alors du steak fait à partir de cellules souches qui honorera nos bouches… ??

Il sera la bienvenue dans 20 ans et nos amis les bêtes pourront à loisir se multiplier sans fin. Plus d’abattoirs, plus de taxe sur les viandes dites de rituel.

Leur nombre s’agrandira tandis que l’embryon humain disputera un jour sa place parmi tous ces écornés et édentés.

Nos bêtes de somme ont un avenir radieux, sauf que la couche d’ozone va en prendre un coup avec cette prolifération d’animaux qui crottent et pétent sans aucun égard et respect pour notre planète.Elles paieront leur taxe carbone comme tout le monde.

Après tout, je suis sur que le règne des Bêtes sera meilleur que celui des hommes.

Nous avons toujours vécu en bon terme avec cette domesticité animale qui nourrit notre quotidien sans jamais nous plaindre. Ce n’est que justice bien rendue aux bêtes.

Quant à nous, il faut tout revoir dés la souche.
En ce qui concerne le règne végétal, j’attends qu’un savant transforme nos tulipes en farine de blé.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 février 2012, 06:55
un régal..en Alexandrins.........
La scène se passe dans les jardins du Château Bellevue, à Berlin.
Angela von Mecklemburg et Nicolas de Neuilly se sont discrètement éclipsés de la réception offerte par le roi de Prusse.
On entend, au loin, les accents du quatuor de Joseph Haydn.



Nicolas :

Madame, l’heure est grave : alors que Berlin danse
Athènes est en émoi et Lisbonne est en transes.
Voyez la verte Erin, voyez l’Estrémadoure
Entendez les Romains : ils appellent au secours !
Ils scrutent l’horizon, et implorent les Dieux.
Tous les coffres sont vides, et les peuples anxieux
Attendent de vous, madame, le geste généreux !
De leur accablement ils m’ont fait l’interprète :
Leur destin est scellé, à moins qu’on ne leur prête
Cet argent des Allemands sur lesquels vous régnez.
Cette cause est bien rude, mais laissez moi plaider…

Angela :

Taisez-vous Nicolas ! Je crois qu’il y a méprise
Folle étais-je de croire à une douce surprise
En vous suivant ici seule et sans équipage
Je m’attendais, c’est sûr, à bien d’autres hommages !
Mais je dois déchanter, et comme c’est humiliant
De n’être courtisée que pour son seul argent !

Nicolas :

Madame, les temps sont durs, et votre cœur est grand
Vos attraits sont troublants, mais il n’est point décent
D’entrer en badinage quand notre maison brûle !
Le monde nous regarde, craignons le ridicule !
Notre Europe est malade, et vous seule pouvez
La soigner, la guérir et, qui sait ? La sauver !
Nous sommes aujourd’hui tout au bord de l’abîme
Vous n’y êtes pour rien, mais soyez magnanime !
Les Grecs ont trop triché ? Alors la belle affaire !
Qu’on les châtie un peu, mais votre main de fer
Est cruelle aux Hellènes, et nous frappe d’effroi !

Angela :

J’entends partout gronder, en Saxe, Bade ou Bavière
L’ouvrier mécontent, le patron en colère.
Ma richesse est la leur, ils ont bien travaillé.
L’or du Rhin, c’est leur sueur et leur habileté.
Et vous me demandez, avec fougue et passion
De jeter cette fortune au pied du Parthénon ?
Ce serait trop facile et ma réponse est non !

Nicolas :

On ne se grandit pas en affamant la Grèce
En oubliant Platon, Sophocle et Périclès !
Nos anciens nous regardent, et nous font le grief
D’être des épiciers et non pas de vrais chefs !
Helmut Kohl est furieux et Giscard désespère.
Un seul geste suffit, et demain à Bruxelles
Desserrez, je vous prie, le nœud de l’escarcelle !

Angela :

Brisons là, je vous prie, la nuit est encore belle
Votre éloquence est grande et mon âme chancelle…
Mais si je disais oui à toutes vos demandes
Je comblerais la femme, et trahirais l’Allemande !
(Ils s’éloignent, chacun de leur côté)
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 février 2012, 10:14
A ki menti… ?
A nous menti… !
Maman n’jamé menti pou moi
M’man n’jamé menti pou Dieu.
Maman n’jamé menti pou moi
M’aman j’n’amé menti pour pesonne.
Mé moin menti pou tous,
Toujou menti pou tous
Pas kom Maman n’jamé menti…
Pas kom Maman n’jamé menti…
Maman menti
Mé pas beaucou menti
Mé pas beaucou menti.
Pas plisse ke moin menti,
Pas plisse ke moin menti.
M’man n’men pli
Pace kel pati…

Oui bien loin pati…
Meci m’man beaucou
Toi n’jamé menti….§§§§§



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 février 2012, 11:57
De Breitou :
"j’attends qu’un savant transforme nos tulipes en farine de blé. "


Cela fait longtemps que les horticulteurs hollandais font leur blé avec les tulipes exportées dans le monde entier.

Pièces jointes:
37_tulipes_kukenhof.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 février 2012, 12:55
Zut alors, je l'ignorais...L'info est donc passé inaperçu à mes yeux donc j'attends qu'un savant transforme le blé en melon...! Cherche moi donc si l'info est bonne. BLE/ MELON...BETIKH....!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 février 2012, 00:26
PIQUE SUR FB.
ARTICLE REPRIS PAR RUTHY KRIEF POUR LE PTB ET MOI.



Par Celeste Corinne Pignon.

C'était mieux avant !!!!!!! CA DONNE A REFLECHIR NÉS ENTRE LES ANNÉES: 1935 et 1965 (coincés entre les vieux cons et les jeunes cons !!!) NOUS sommes PLUS FORTS!!!!!!! Premièrement, nous avons survécu à l'accouchement par des mères dont la plupart fumaient ou buvaient du vin pendant qu'elles étaient enceintes.

Elles prenaient des aspirines, mangeaient de la vinaigrette , des desserts , et n'étaient pas testées pour le diabète ou le cholestérol. De fait, la plupart d'entre elles sont encore là, ou mortes à plus de 85 ans. Après ce traumatisme.... on s'endormait n'importe où, on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse, dans des chambres peintes au plomb. Faut dire qu'il ne nous venait pas à l'idée de bouffer les écailles des vieux murs... Nous n'avions pas de serrures aux portes. Lorsque l'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, et pas des casques de protection.Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans clim, sans ceintures, ni siège pour bébés, ni air -bag, Être dans la benne arrière d'une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire. Nous buvions l'eau directement de la fontaine, et depuis l'eau courante, dans les maisons, les tuyaux étaient en plomb. Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassi, du vrai beurre, du saindoux, du lard. Nous buvions du chocolat avec du vrai sucre.

Et nous n'étions pas obèses . POURQUOI ? Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors... Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient. Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avions appris à gérer les problèmes.Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo, X-box, iPod.. Il n'y avait pas de jeux vidéo, pas 150 canaux au câble, pas de films vidéo ou dvd, pas de son stéréo ou de cd, pas de portable, pas d'ordinateur et pas d'Internet . NOUS AVIONS DES AMIS et nous sortions dehors pour les retrouver, pas des amis inconnus sur réseau social ! Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, on se cassait des os, des dents et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela. On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire, faisions des jeux avec des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et flèches, des fléchettes, nous jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissade sur les inondations des prairies gelées, nous allions à l'école en culottes courtes par tous les temps, nous sautions et plongions des souches d'arbres dans des rivières sans maître-nageur syndiqué, nous bricolions avec toutes sortes d'outils réputés dangereux des ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des P4 à l'unité, nous sucions toute la journée des boites de coco (pas de coca) ; aux heures les plus chaudes, les lessiveuses étaient nos plus belles piscines, nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou balatum en guise de luge.

Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traineaux en bois fabriqués le jour même, avec des vieilles planchettes et des cerclages métalliques d'emballages pour patins, occupant notre temps et gelant nos mains violettes sans gants ; et même si on nous disait que tout pouvait arriver, nous sommes pour la plupart toujours là. Nous roulions sur nos vélos sans frein ou marchions jusqu'à la maison du copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte ; on entrait simplement, et nous étions très bien accueillis. L'idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était inconnue, ils étaient AVEC la loi. L'idée que nos parents puissent être contre l'avis de l'instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du Maire, du curé, qu'ils puissent en venir aux mains ou aux insultes était inimaginable. Au service militaire, et avant en colo ou au patronage, nous avons appris à vivre ensemble en nous respectant, même si les bagarres étaient saignantes, elles ne finissaient pas au couteau ou à la kalachnikov.


Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, chefs d'entreprises, souvent autodidactes au bon sens débordant. Ces 50 années ont été une explosion d'innovations et nouvelles idées. Nous avions la liberté et la peur de l'échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela. Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez...FÉLICITATIONS! Peut-être que vous voulez partager ceci avec d'autres qui ont eu la chance de grandir avant que les avocats ne viennent tout règlementer, avant que les " médias " ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs scoops dramatiques, sans certitudes...juste pour le fun et le fric. Comme la vie était belle, limpide , parfois rude mais combien nous étions heureux ! Vous pouvez envoyer ce message à vos enfants, ils pourront réaliser la simplicité et la chance de leurs parents.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 février 2012, 07:27
Une série LALIQUE spéciale pour les Tunes.

Pièces jointes:
Lalique-poissons-b-PP.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 février 2012, 09:37
... des mères dont la plupart fumaient ou buvaient du vin pendant qu'elles étaient enceintes ...

... du pain rassi, du vrai beurre, du saindoux, du lard ...

... Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige ...


Ah bon ! SI c'était comme ça à La Goulette on comprend bien des choses.

Ce devait être une neige bien spéciale.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 février 2012, 10:30
LALIQUE...CHNOUE...? MEYER...RACINE DE LALA...???
-Oui mon cher, tu vois de quoi sont capables les anciens petites gens...?
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