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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2015, 13:09
Discussions conviviales autour d’un feu de cheminée.

Chez les français bien comme il faut, dit de ‘souche’, l’hiver est propice
Aux discussions conviviales autour d’un feu de cheminée.
J’imagine Mr Herbert, engoncé dans son fauteuil tirant sur sa pipe, dialoguant avec madame Amandine de la Tourelle, qui tricote, sa fille qui s’emmerde à mourir et son fils qui n’en peut plus de respirer cette vapeur acre sortie d’un trou de bois.

Chez nous, c’était autre chose, d’abord personne ne fumait la pipe. Papa
Lorsqu’il rentrait sentait la boukha jusque dans sa poche, il allait dormir.
Ma grand mère disait ‘..Euch’keut ye benti, rajlek staila… !’ Tais toi ma fille, ton mari est bu comme un sceau… !!!. ( Pour éviter une querelle) Mon oncle enfoncé sur son lit de camp militaire, reliant qqs brochures, il faisait des heures sup à la maison, ma tante assise prés de sa maman Meiha, entrain de lécher un reste de bsal ou loubias, ma mère terminant son repassage à 21 heures, mon frère cadet et moi assis sous la table, essayant de faire marcher une petite voiture, et vous avez là un décor qui en dit long sur nos belles soirées d’hiver autour d’un SAKHAN ( armature en latte
Sous laquelle était posé un canoun remplit de braises)

La géographie du lieu ne permettait pas la pose d’un poêle à charbon.
Le sakhan était aussi placé parfois sous la table, histoire de réchauffer le faitout de pois chiches qui lui était posé sur la table. Parfois, une odeur de brulé, la nappe commençait à sentir le roussi.

Je vous dis un décor de rêve.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2015, 13:28
Le bonheur est dans les prés… !!!!

Pardon, nous qui n’avions pas de prés, nous avons eu notre bonheur.
Un bonheur qui s’apparente au nirvana.

Nous avions la plage et la mer….Nous avions nos cafés, nos cinémas, nos bars, ,nos copines, nos amis, nos sports, bref des bonheurs que seuls les enfants d’aujourd’hui ne peuvent pas connaitre et ne connaitrons jamais.
La pêche à outrance hiver comme été, la lema( réunion) autour d’une table
Familiale où la méme avait la dragée haute sur tout et qui vous lance
‘..I Aiche ouldi, ouaktech i ji el film mta e’dek el meskine e’li temouou fi ktila
Mta martou…Chouilem Kambal… ! ? A quelle heure arrive le film du pauvre monsieur inculpé de la mort de sa femme… !’ Elle parle de RICHARD KIMBAL…Et moi qui lui disais...
‘…Yakhir enti me fi ââl’mekch e’li krej beri, innocent… ? Comment tu ignores qu’il est sorti innocent de l’affaire… !’ ‘…Lejjem cent rak’da mellé… !’ Je dormais surement… !’

Le bonheur est dans les prés… ? Pas du tout, le bonheur c’était d’entendre la vieille radoter, Oui… !’


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 août 2015, 12:47
Le retour des frères.

Lorsque le cadet eut son bac en poche, il a fait comme tous ces jeunes bacheliers, faire leurs études en France, qui à Paris, Toulouse, Montpelier, Marseille etc…
Sauveur a choisi Marseille pour sa dentisterie. Pour ce premier départ, maman lui a versé un seau d’eau derrière la voiture qui l’emmenait à Tunis Carthage.
Pas une larme de maman, encore moins de notre part, des bises et voilà tout.

Lorsque le troisième Richard est parti lui aussi, il a eu droit à trois verres d’eau chaude lorsqu’ils sont revenus et repartis, ils n’ont eu droit qu’à un verre de thé d’eau.

Après plus rien, omi kalkat à force de verser l’eau.
Pour Joëlle, elle a oublié de lui verser de l’eau, elle est partie bien sèche mais est revenue mouillée parce qu’il pleuvait dru ce jour là. .
Bref, toutes les fois qu’ils revenaient à la maison durant les congés
Non payés c’était la joie chez nous, et ils retrouvaient leur lits, les pets et
Les blagues qu’on se racontait entre nous.

Ils étaient assidus à la fréquentation de la Baraka, au café Rex en hiver.
Cela aurait été différent s’ils étaient appelés sous les drapeaux et j’imagine
Maman pleurer à chaudes larmes en voyant ses fils partir en mission.
Nous aurions eu 18 mois d’angoisse. Plus 18 mois encore bref, nous aurions
Vécu dans le ‘…Aâla cleméc, teoué louled kââ’ad yekel mnih fél casirna… ? Meiha.
(D’après toi Sauveur mange bien à la cazerne…. ?’ Et moi qui lui aurais répondu
‘…Meklé mta e’li yecrani ou il habli el douni… ! Un manger pour celui qui me veut du mal et me hait.. !)

La vérité, je voyais mal mon frère cadet porter son baluchon et rentrer en sifflotant à la casa. Lui qui toute la journée passait son temps à se regarder dans le miroir et se dire ‘…Comment tu me trouves ce soir pour aller danser… ? Et Richard qui lui répondait ‘…Kif badai Louijje… !’ Aussi mou que les attributs de tante Louise… !’

Nous n’avons pas eu à souffrir de cette situation.
Le seul service qu’ils nous ont rendu est de rentrer tjs en forme, joyeux et heureux avec l’accent marseillais.

Barouch achem.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 août 2015, 12:16
La ronde des……

Nous avons eu droit dans notre nouvel appartement à un autre fléau,
Celui là plus cavalier et moins rampant.

C’est dire que le petit monde des animaux nous appréciait beaucoup.
Au point de voir danser sous nos lits et au centre de notre chambre à coucher une petite armée de FIREN.( Souris)

Une réunion de copropriétaires, du genre assemblée grise et de courtes queux se réunissait sous mes yeux, vers les une heure du matin, pour discuter de l’ordre de nuit. Il suffisait qu’un journal traine par terre pour voir dessus, une troupe une meute, dirais-je, venir grignoter les infos au point de déplacer le dit quotidien rassis sous les lits.

Maman,z’al décide de prendre les choses en main et nous partons tous en guerre contre l’ennemi invisible le jour. Plus de 15 tapettes ‘fromagées’ furent ainsi posées dans les coins et sous les lits.
Par mesure de précaution, maman installa une sur le fauteuil rapiécé de Mémè Meiha dont l’assise faisait face à la télé.

Voilà qu’un soir, un grognement sourd se fit entendre à une heure ponctuelle, l’heure à laquelle la vieille souvent constipée dés fois rien du tout, allait faire son grand besoin, proportionnel au volume de ses fesses.
Sauf que la distance étant longue, soit dix mètres, entre sa chambre et la merveille de wc que nous avions, l’aïeule s’essoufflait et pour reprendre son souffle, elle s’asseyait un peu sur le fauteuil.

Soudain ce fameux grognement plein d’effroi qui nous fit sursauter du lit.
La vieille s’était assise sur une des tapettes et ses fesses en pâtirent.

Elle criait ‘….Ye Hayé…Yé Biber…Yé Deidou… !’ Mais pas ‘..Yé rabi… ! ije’ouw Aâw’nouni… ! Terméyé tché’dou… !’ ‘……venez m’aider, mes fesses se sont faites coincer… !’

Donc, nous nous levions et par humanisme, nous l’aidions à se relever pour
La ‘dés-hameçonner’. Une opération à risque au vue de son obésité.

Enfin libérée par ce piège à FIREN, elle avait eu ces mots de la fin…

‘…E’ne badEEE mech’douda, ou mél fouk jid net’ched…!’ Déjà que je suis
constipée mais en plus je me fais coincer par cet objet… !’

A Trois heures du mat.

La bataille des souris prit fin avec l’éradication totale de ces petits rongeurs.

Si je rends hommage aux ‘baques’ ( punaises) et aux souris c’est parce qu’ils ont fait partis de notre patrimoine.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 août 2015, 11:49
La vieille Meiha ne pouvait rester oisive.

Alors pour se dégourdir les jambes, elle qui met presque trois heures pour faire 10 mètres, décide par moment de déambuler dans les chambres pour trouver une occupation.

Theb tet’lé bel hafié ye hou… !’(Elle veut s’occuper nom d’un chien.)

Donc, elle tourne et commence l’inspection de l’appartement à la recherche
D’une mission.

Maman est à la cuisine.

La vieille ‘…Ye Hayé….Téme tarf khia’taAAA nââ’mellé….( Appréciez ces mots en pur Judéo)…(.Est- ce qu’il y a un morceau ( tarf) de couture à faire… ?) Aucune réponse de la fille….’….Yé Hayé…Téme ca’wara sanssa fouk el tchirata ( appréciez tchirata) (Je vois une cocarde de sauce( un médaillon) sur le ciré, la nappe… !’)

Maman est occupée..

‘…Yé Hayé… Ech’bi Maxou rakad, bara chouffou bélik’chi mrid ( adorez ce BELIK’CHI) ( Pourquoi Maxo dort encore, va voir s'il est malade...?)

Et voilà que mon papa se lève vêtu d’un Marcel et d’un moutandi ( caleçon long, genre celui des footballeurs), il lui manquait juste un ballon aux pieds pour marquer un but dans le coin de la télé…

Là ma grand- mère….’..Yé HayéEEEE en dalli béch netkhol lél bei’ti… !’ (Je crois que je vais rentrer dans ma chambre… !)

L’inspection prend fin à la suite du lever de mon papa DEIDOU.
Khefét la vieille…(Elle a eu peur la mémé.)


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 août 2015, 12:41
Résurrection.

La résurrection des souvenirs dépend en grande partie de l’activation
De la mémoire.

A trois ans aucun souvenir, vers l’âge de 7 ans, commence alors à notre insu, l’enregistrement des souvenirs, des anecdotes scolaires, l’ambiance familiale, les petits jeux entre amis de palier, les courses, la découverte du quartier, etc…Tout cela marque l’enfance, puis l’âge aidant, l’adolescence retient de nouveaux souvenirs et qd arrive l’âge adulte la bobine de la mémoire s’étoffe. Et les moindres détails viennent se caser dans la boite noire.

Il a de ceux et celles qui, vers les 30 ans, éprouvent le désir de compiler tous ses souvenirs, et de les publier, histoire d’alléger la puce mémorielle, d’autres le feront plus tard, si l’occasion se présente et surtout si l’envie d’écrire tape à leur front.

Bon nombre préfère voir leur vécu en photos sans rien écrire et Fb leur donne l’occasion de les partager.

Beaucoup par contre ne veulent rien écrire et préfèrent tout emporter dans la tombe ne laissant rien comme trace de leur passage sur terre.
C’est un choix.

Ressusciter ses souvenirs, c’est redonner une seconde vie à tout ce qui nous a entouré, et donner la parole aux sans voix, ces choses inertes qui nous ont accompagnées durant une génération, deux voir trois.

Relater c’est ressusciter, oublier c’est ignorer.

J’ai pris le parti de ressusciter à ma façon le judéo arabe tune, pour un certain temps après bof…

J’ai pris le parti de faire parler ces choses, de les remettre à leur place,car importantes, elles étaient à mes yeux.

Elles apparaissent chez moi comme des étoiles, des halos de lumière, qui semblent me remercier.

Les objets inanimés ont sans doute une âme qui attend un témoin pour lui donner vie… ?

Je m’y consacre.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 août 2015, 12:11
Chez Mabel, boutique sans pareille à Paris, une merveille dans son genre, croyez moi dans la magie
Cosmétique etc….

Il y a presque un mois à la veille de mon départ en vacances, un monsieur
Bien Digne et bien noir bien sur, rentre et…

‘…Monsieur, bjr, je ne vous dérange pas…. ?’
‘…Si, juste un peu, là je bois mon café mais vous passez avant le café… !’
‘…Voilà, je suis sur d’avoir sur moi un très gros mauvais œil, qui m’handicape, rien ne me réussit, tout tombe à l’eau et on m’a conseillé de venir vous voir… !’
‘…Ceux qui vous ont con seillé ont bien fait, écoutez, il va falloir utiliser les grands moyens, je vous conseille la poudre CASSE TONNELLE….Ca ne coute que 8 € pour une quantité mesurée à la cuillère africaine… !
‘…Ah, elle ressemble à quoi la cuillère africaine, elle est spéciale… ?’
‘…Elle est tordue…Kifné, donc, une pincée de cette poudre à mettre dans un cendrier et vous allumez cette quantité, vous recommencerez durant 9 jours… !’
‘…Je voudrais en prendre un kilo pour avoir toutes les chances de mon coté afin que cela réussisse… !’
‘…Ok, ca va vous faire donc 88 € 25cts… ! Selon le kg africain servi à la louche africaine.… !’
‘…Le kilo africain, il a quoi de spécial… ?’
‘…Il pèse 750 grs…. !’
‘…Ah ok, donnez… !’

Il prend donc son Kilo grs selon les normes africaines, soit ce qui est cité plus haut.

Le lendemain matin, j’entends au phone, une petite voix, comme un écho, presque imperceptible, un murmure inhumain sorti d’outre tombe, un râle…Je reconnais qd même la voix du monsieur digne…

‘…Mr Albert, je suis aux urgences….J’ai brule toute la poudre pour mettre toutes les chances de mon coté, et tout le quartier a sauté…. !’
‘…Mais est ce que le mauvais œil est parti…. ?’
‘…Non, il est tjs là mais en plus j’ai 40 paires d’yeux qui me braquent dans le couloir qui me regardent méchamment… !’

‘…Surtout ne bougez pas, j’arrive avec deux kilos de poudre à canon et une kalachnikov… !’



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 août 2015, 13:27
La grande farha ( joie)

Donc mon oncle et ma tante, une fois mariés ont immigré à Tunis.
Qqs années plus tard, ils décident, avant juin 67, de s’expatrier à Paris.

Les conditions de leur emménagement furent très pénibles.

5 ans plus tard, enfin, les 2 familles émettent l’envie de venir passer des vacances chez nous au mois d’Aout. Soit 23 personnes dans le grand appartement.

23 personnes c’est une cantine. Genre O.S.E. Il fallait donc s’organiser, et tout cela était à charge de maman. Ajoutons à cela, l’organisation d’un TOUR OPERTATOIRE parce qu’une fois sur place, il fallait prévoir des sorties…NABEUL…TESTOUR…HAMAMET…
SIDI BOU etc…Heureux quand même que la Corse fut un peu loin de périple.

Donc pour dormir, il fallait pousser la table contre le buffet et poser des matelas à même le sol. La salle à manger était donc réquisitionnée. Et ce n’est pas moins de 23 personnes à encadrer.

Seulement voilà, un problème a surgi, c’est MEIHA z’al, comment aller aux toilettes la nuit… ? Il fallait donc prévoir un petit chemin, une allée afin qu’aucune tête ne se retrouve sur son passage… ! Donc, on décide de les faire dormir selon la position Tête/ Bêche. Rass ou dneb. Deux petites têtes pour deux grosses têtes etc….

Tout était parfait. (voir les croquis pour comprendre)
Malgré toute notre bonne volonté, nous avions évité le pire, dés la première nuit.

Meiha se lève et dans l’obscurité, elle distingue mal les corps allongés.

Soudain un hurlement, rauque, toute la smala se lève vers les 3 heures du mat. Le pied de Meiha a buté la tête de son fils
Mon oncle JO. Et ce cri de la vieille
‘…YE HAYEEE….En dalli ââ’tort fouk rass… !’ Je crois que j’ai trébuché sur une tête..)

Nous avons eu juste le temps de rattraper l’obèse MEIHA qui, pour
Un peu, allait faire un vol plané. Conclusion le système n’était pas parfait.

Nous avons inversé les positions et idem comme la veille. La vieille heurte encore
Une tête.

Mon papa se lève et dit ‘…Miché’lche…Oussel barq el knif oullé béch tââ’mellé Aâ’la rassem, el kol.. !’ (Ce n’est pas grave, arrive au moins aux WC sinon tu vas la leur
Faire sur leur tête.)

Pour éviter tout cela, on a décidé qu’ils dormiraient tous debout et qd la vieille allait pour faire son besoin, toute la smala la saluait, endormie, au garde à vous.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 août 2015, 01:37
La suite de la grande farha( voir plus bas) 2°

Donc, après avoir réglé l’opération couchage, il fallait régler aussi
Les déjeuner du matin, du midi et du soir, pour le soir, relâche, ils allaient
Tous manger dans les gargotes ou les restos.

Pour les petits déjs, maman faisaient une vingtaine de boulous 1 metre sur 50 cms et de petits kaks, Avec ordre de ne pas abuser sur la quantité à prendre. Bref, deux jours, plus tard Finis les boulous et les kaks, donc devant cet abus, elle leur a mit une dizaine de baguettes, du beurre et dix litres de lait. A dix heures, finis les baguettes le beurre et le lait.

Elle décide d’aller acheter une vache et de s’abonner chez la boulangère. Bernie était dc mise au centre de la salle à manger et chacun allait traire sa dose de lait, au bout de deux jours Bernie meurt de déshydratation Ils l’ont épuisée.

Meiha a dit ‘….Hatté el bagra métèt zedda… !’ (Même la vache est morte sous vos doigts.)

Papa a pensé aux chèvres, il en achète deux mais ayant eu vent de la mort de Bernie dans des conditions inhumaines, les deux chèvres se sont enfouies, nous laissons sans lait..

A suivre.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 août 2015, 03:23
La suite de la grande farha( voir plus bas) 3°

Pour le midi et au vu du nombre, D ieu bénisse, maman a trouvé la bonne solution pour nourrir la smala à peu de frais.

Elle leur a cuisiné durant ce mois de 'facances 'que des pâtes, toutes formes de pâtes, coquilles, rondes, hexagonales, losanges, en cubes, carrés, alphabétiques, numériques, virtuelles, longues spaghettis, courtes, allongées, avec sauce, sans sauce, blanches, jaunes, grises, avec merguez, deux centimètres de longs, plus une quinzaine de baguettes etc bref une cure de pâtes.

A tel point qu’au bout d’une semaine, certains d’entre eux commençaient à ressembler étrangement à des coquilles ST JACQUES , à des cubes, à des petites bouteilles de gaz à l’envers, l’un d’eux à prit la forme d’un carré et je ne vous raconte pas pour les autres. Toutes les formes géométriques sont passés avec des plans superposés.

Meiha ‘…Ye Haya….Mé tnejemch tayeb lem kazan hlalém… E’kek i chab’you brimé… ! Tu ne peux pas leur cuisiner une grosse marmite de hlalém pour qu’ils n’aient plus faim… ?’)

Mon papa répliqua…’…Teoué en jib camiouné hlalém… !’( Je vais leur apporter un camion de petites pâtes… !’)

A suivre…

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