ADELE FROMENT.
CHAPITRE 14°
AU PTB SALLE RACHEL.
MON NOM...AMOUR...!
Amour,
Mon nom,
Depuis longtemps,
Amour en toutes saisons,
Je porte ce nom nommé par l’homme
Et la femme qui m’ont fait naitre.
Dans le regaAAArd, je m’installe
D’abord et dans le cœur,
Je loge ensuite.
Amour je suis sans âge
Mais que de pages
A-t-on écrit sur moi.
A moi l’universalitéEEEEE
Jusqu’aux confins
De l’éternitéEEEEE.
Depuis que l’homme a eut l’idée de frémir son cœur
Pour celle sortie de son flanc nu à l'heure.
A qui veut l’entendre
Souvent je suis me sens trahie
Dame infidélité me blesse
Me tue en portant mon nom
Sur d’ impurs fronts
On me blesse
Et les félons
On fait de mon nom
Un patrimoine qu’ils détruisent
A certains carrefours
Selon leur bon vouloir.
Et je ne suis plus pluUUUs
Que larmes chagrins
Et mort s’en suit.
On uUUUse
On abuse
De mon nom.
Et au fil du temps
Me voilà violé
J’en perds la raison
Par la faute de certaines gens.
Aux bonnes âmes tranquilles, sensibles
Sincères et honnêtes
N’ayez crainte je susi sans soupçon
Car lorsque j’aime, j’aime pour la vie.
Et pour ceux et celles qui en doutent
Testez donc ma vertu.
Amour
AAAAmouUUUUr,
Depuis la nuit des temps
Depuis que l’homme et la femme
M’ont baptisé du nom d’Amour,
Je reste Amour pour tous.
Entre vous.
Indiquez-moi,
Excusez mon ignorance
Montrez- moi
Excusez mon impatience,
L’étendue
Ou le pays
Qui porte l’étendard en mon nom.
En quelles terres inconnues
Se cache t’il et ma race et mon identité…
Sans parler de la couleur…
Hélas,
J’ai beau chercher dans toutes les contrées
Sur toutes les mappemondes, j’ai farfouillé les déserts
J’ai piétiné le sable chaud des arides pierrailles sans air.
Et prospecter les fonds des océans, mais nulle part
Ailleurs mon nom se confond avec Amour.
Et si d’aventuUUUres, l’un ou l’une de vous
Au cours d’un voyage impromptu découvre ce pays
Merveilleux qu’il vienne m’en conter..
Qu’il vienne vers moi et hurler
‘…Euréka, j’ai trouvé… ! Ce minuscule pays… !’
Moi je ne trouve que haine
De faux semblants d’amour
Des amours factices,
Des amours sans ombre
Qui flétrissent sous les saules.
Ce pays là n’existe pas
Il n’est que chimère
Dans les cimetières
Où dansent les Mirages sur des toiles au fond noir.
Je viens de recevoir cet Email, de quelqu'un que je ne connait pas, celui qui peut l'aider est prie d'ecrire a l'adresse ici bas.
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bonjour
ayant effectué mon service militaire dans la region de bizerte dans les annees a 57 a 59 j'aimerais savoir le nom actuel de certaines villes tunisiennes, j'etais cantonné a ben negro et je ne le trouve plus sur la carte, si vous pouvez me donner des renseignements merci, c'est surement sur un point nostalgique.
cordialement
dusserre jean
jeandusserre@hotmail.fr
Voici des renseignements sur la batterie de Ben Negro, à 2 km au sud-est de Bizerte.
[www.fortiff.be]
La Fraternité
Ah quel joli mot,
Mon D ieu que de bobos
Sur la fraternité
Et bien de maux.
§§§§§§
Après avoir quitté un jour
Le commun chapiteau,
Pour s’unir avec une autre
Alors là commencent les propos.
Conjugaux.
Elever son autre chapiteau,
Larguer les amarres du bateau
Sur lequel flottait le beau calicot
De notre belle enfance élevée comme il faut.
La Fraternité,
Se conjuguait avec union
Lorsque nous tirions le frérot,
Dans son berceau.
Au début,
Qu’elle était belle, jeune et fraiche
Sans à priori,
Aucune ombre au tableau.
De la Fraternité.
S’épuise un jour,
La Fraternité
Rongée par les quiprocos,
Lorsque époux on le devient.
On se cherche des poux
Lorsqu’ on est surtout soumis aux propos
Jaloux de la belle au bois ‘dormante’.
La belle FRATERNITE
S’effrite avec le temps
Et s’envole comme miettes au vent
Sous les coups de boutoir de l’autre.
La FrateEEErnité,
Se meurt le jour
Où le vieux, la vieille
Suivent leur parcours
Dans la bière
Et elle s’enterre sous terre
La FRATERNITE.
Adieu MA BELLE
Lorsque s’ouvre
Les intérêts patrimoniaux
Et se mêlent les conflits conjugaux,
Le sale argent, le minable sépare
Souvent parfois et pour toujours
La BELLE FraternitéEEEEEE …../////
ENVOLEE….§§§§
EL KHOUE OUEL TOUE.
AMITIE.
Ma Douce Amie,
Ma pauvre Amie,
Chérie,
Te voilà ballotée d’une rive à l’autre
Tanguer au milieu des remous
Et te voilà faire la grande moue
A défaut de la roue sur tes ruines.
Par moments désespérée
Mon humble Amitié
Pauvre blessée,
De quel emplâtre
Vais-je te rafistoler.
Ma pauvre AMITIE échaudée
Par tant de manque de sincérité,
Que de fois on t’a flattée
Que de fois on te rabroue
Qu’à la fin si amochée
Si laide, je ne te reconnue plus debout.
Ma pauvre,
Ma grande déshéritéEEEE éplorée
Tu as perdu tous tes repaires
Et même ta blanche tiare
Au fil du temps
S’est teinte de noire.
Couleur du deuil.
Je me ferai valet
Pour effacer tes larmes salées
Car le moiré, cette aberration chromatique
Tu la portes ici comme une verrue accrochée
Sur ta face.
Ma pauvre Amitié blatère
Si tu le peux mais qui donc entendra
Ton cri de désespoir même à genoux sur terre.
Les feuilles sont souUUUrdes depuis la nuit des temps
Alors vas y hurle en te brulant la voix
Et porte tes lambeaux de fumée
Brodés sur ta robe défraichie
////////….
Dans les décors champêtres d’un autre monde meilleur.
MEI...lleuuuuuuuuuur.
HOMMAGE A JANET CASTRO Z’AL.
Ma chère Janet z’al que de pages j’ai écrit depuis que vous n’êtes plus là.
Que d’eau a aussi coulé sous les ponts de Paris.
Votre souvenir reste impérissable malgré votre éloignement.
Les promesses ne sont pas un vain mot chez moi et comme vous le voyez, je suis tjs là à remettre sur la table votre mémoire.
Je n’ai pas oublié ce fameux vendredi où vous êtes partie, vos écrits, vos propos, je n’ai rien oublié de nos courts moments passés sur l’ancien PTB et de nos échanges au téléphone.
Je n’ai pas oublié ces instants où nous rigolions à travers le fil.
Je n’ai pas oublié ce combiné de téléphone accroché à l’extrémité d’un manche à balai pour vous faire partager qqs chansons arabes que vous aimez. Au client qui passait, je disais que ma tante de NEW YORK insistait à écouter un morceau de musique et il restait là debout à attendre que le refrain passe.
Rien n’aurait pu interrompre cet échange par delà l’océan.
Comble de bonheur, vous me compariez à PROUST, et je riais de cette comparaison.
Proust, si j’avais eu vraiment son talent, je ne serai pas encore là à scribouiller dans mon isoloir contre vents et marrés qqs textes de mon crû.
D’autres amis sont partis vous rejoindre, Henri Bellicha, Annie Boukhris, Henri Fitoussi votre pote, passez lui le bonjour si vous le rencontrez. Mais qui donc à part moi, les remets sur le tapis, du moins pour deux d’entre eux.
Il m’en coute de ne plus vous lire, l’absence est mortel parfois et seul l’éternité a le pouvoir de vous retenir dans ce monde meilleur. Qui est le votre.
Que de fois je vous confiais que je vous aimais, appréciais, que de fois, j’attendais avec impatience vos écrits souvent piquants au point que certains, certaines en prenaient ombrage. Que de fois vos provocations ont soulevé des hoquets à certains internautes.
Braham, Meyer sont là aussi tjs bien discrets. Elsa a marie sa fille saha ou farha, sans qu’elle m’en informe. Son papa va mieux baroukh achem, elle m'a même demandée de faire une priére, je l'ai faite.
Les choses ont changé et nous faisons que passer en s’ignorant avec bcp de tact.
Ma chère Janet, il m’en coute encore de vous quitter bien triste et monotone.
Vous avez marqué mon esprit et j’en ressens le frisson, ce frisson que fait de vous une dame à part.
Digne, fière, avenante, noble dans la tenue de votre cigare.
Sachez que tant que je serai là à écrire, je serai toujours là à vous rendre hommage.
Sans jamais vous oublier.
Reposez en paix.
ITGADEL WE IT KADACH CHEME RABA...!!!!
Si tu avais été Proust, tu aurais mangé des madeleines.
A la place c'est makrouds, bescoutous et yoyos.
Je suis PROUT et je mange des féves.
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