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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 05 septembre 2015, 12:29 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Mon parcours scolaire 2°.
‘…Oui, mes amis ont ri de moi sur l’estrade. Ils ont ri lorsque j’ai tracé
Sur le tableau noir de mon désespoir, deux lignes parallèles qui se sont rejointes en fin de tableau, ce qui a fait dire à mon instit ‘…Mr Albert, vous avez remis en cause une bonne partie de la géométrie… ! Ils ont tous ri et j’ai ri.
Ils ont ri aussi quand le même instit m’a demandé de mettre au subjonctif
Des verbes au présent alors que j’étais complètement absent dans ma tête.
Ils ont ri qd j’ai levé mon ardoise de calcul au dessus de ma tête d’âne.
Ils n’ont pas ri lorsque j’ai sauté 1, 42 en ciseaux. Ils n’ont pas ris aussi
Lorsque je les ai dépassés sur un cent mètres. Oui, on peut rire de tout mais
C’est tellement blessant de rire d’un ami de classe, d’un compagnon qui butait sur un problème de Bled.
Il était bien content Miro* (prénom changé) de me soutirer 20 millimes pour me souffler en classe que 12x4 font 48. Il augmentait à chaque fois la valeur de sa soufflerie.
Je payais pour qu’on ne rigole pas de moi .
J’ai pleuré dans ma ha’choué à la maison parce qu’ils riaient.
A Suivre…
‘…Oui, mes amis ont ri de moi sur l’estrade. Ils ont ri lorsque j’ai tracé
Sur le tableau noir de mon désespoir, deux lignes parallèles qui se sont rejointes en fin de tableau, ce qui a fait dire à mon instit ‘…Mr Albert, vous avez remis en cause une bonne partie de la géométrie… ! Ils ont tous ri et j’ai ri.
Ils ont ri aussi quand le même instit m’a demandé de mettre au subjonctif
Des verbes au présent alors que j’étais complètement absent dans ma tête.
Ils ont ri qd j’ai levé mon ardoise de calcul au dessus de ma tête d’âne.
Ils n’ont pas ri lorsque j’ai sauté 1, 42 en ciseaux. Ils n’ont pas ris aussi
Lorsque je les ai dépassés sur un cent mètres. Oui, on peut rire de tout mais
C’est tellement blessant de rire d’un ami de classe, d’un compagnon qui butait sur un problème de Bled.
Il était bien content Miro* (prénom changé) de me soutirer 20 millimes pour me souffler en classe que 12x4 font 48. Il augmentait à chaque fois la valeur de sa soufflerie.
Je payais pour qu’on ne rigole pas de moi .
J’ai pleuré dans ma ha’choué à la maison parce qu’ils riaient.
A Suivre…
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 06 septembre 2015, 02:13 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Les FEU ET Z’AL.
1° Feu Meiha. a vécu 30 ans auprès de nous, le chef d’orchestre.
2°Feu Louijjé ( la sœur de ma grand-mère qui a vécu chez nous)
3°Feu Deidou. Le grand patron, dont la présence nous comblait.
4°Feu Jojo ( mon oncle qui a vécu de nombreuses années chez nous) celui
Qui me berçait et m’emmener au cinéma.
Feu Maman la maitresse de maison, la battante que rien ne décourageait.
5° Feu Poupée….( Ma tante qui a vécu aussi de nombreuses années chez nous)
Une pince sans rire qui prenait la vie du bon coté.
Ils étaient les principaux acteurs aujourd’hui disparus qui ont côtoyé ma vie.
Chacun d’eux et chacune d’elles m’a apporté ce que l’école ne pouvait me donner. Les valeurs familiales, la crainte du danger, des mauvaises fréquentations.
L’instruction, les angoisses, les moments de joie bref tout ce qui à fait
De moi un adolescent à l’image de la famille, de mes amis et amies.
L’ainé que je suis se devait de refléter l’image de la famille en toutes bonnes occasions.
Comme vous pouvez le lire et le constater, je ne raconte que des FEU et des Z’al.
Tout tourne autour d’eux quand le rideau se lève.
A chacun de ces FEU, nous avons partagé douleur et tristesse, chagrin.
Le feu était en nous durant ces périodes de deuil. Lorsqu’ un proche
devient FEU, nous perdons tous une encyclopédie vivante.
Dans nos livres sacrée, et par la seule volonté de A chem, il est dit
‘..E’li i hayi él mitin… !Celui qui ressuscite les défunts.
Si A chem a le pouvoir de le faire, il sous entend par contre, que nous sommes en mesure de les faire vivre et renaitre à notre façon. Oui, en ressuscitant leur mémoire d’une façon spirituelle. Par des anecdotes.
Le physique n’étant plus là mais leur âme nous entoure.
MEIHA, la première à partir est tjs là, la preuve est faite, Deidou est là aussi… Maman aussi, Louijje, Jojo, Poupée.
Cette résurrection, pour imaginaire qu’elle soit, est une reconnaissance
des bienfaits que nous avons reçus.
Il est important, de ne pas les laisser dans l’oubli, cette seconde tombe.
Je sais qu’un jour je serai le prochain Feu et Z’al, dans 50 ans si A chem
Consent à le vouloir. C’est dans l’ordre des choses.
Je souhaite être le suivant et ne jamais voir aucun membre de ma famille, femme, enfants et petits enfants ne serait ce que tomber malade.
Etre un vieux FEU bien plus tard, c’est naturel.
‘…Yé rabi, sabok él lou’el bél louel… !’ Ô mon D ieu fasse que l’ancien soit tjs le premier à partir… !’ Amen.
1° Feu Meiha. a vécu 30 ans auprès de nous, le chef d’orchestre.
2°Feu Louijjé ( la sœur de ma grand-mère qui a vécu chez nous)
3°Feu Deidou. Le grand patron, dont la présence nous comblait.
4°Feu Jojo ( mon oncle qui a vécu de nombreuses années chez nous) celui
Qui me berçait et m’emmener au cinéma.
Feu Maman la maitresse de maison, la battante que rien ne décourageait.
5° Feu Poupée….( Ma tante qui a vécu aussi de nombreuses années chez nous)
Une pince sans rire qui prenait la vie du bon coté.
Ils étaient les principaux acteurs aujourd’hui disparus qui ont côtoyé ma vie.
Chacun d’eux et chacune d’elles m’a apporté ce que l’école ne pouvait me donner. Les valeurs familiales, la crainte du danger, des mauvaises fréquentations.
L’instruction, les angoisses, les moments de joie bref tout ce qui à fait
De moi un adolescent à l’image de la famille, de mes amis et amies.
L’ainé que je suis se devait de refléter l’image de la famille en toutes bonnes occasions.
Comme vous pouvez le lire et le constater, je ne raconte que des FEU et des Z’al.
Tout tourne autour d’eux quand le rideau se lève.
A chacun de ces FEU, nous avons partagé douleur et tristesse, chagrin.
Le feu était en nous durant ces périodes de deuil. Lorsqu’ un proche
devient FEU, nous perdons tous une encyclopédie vivante.
Dans nos livres sacrée, et par la seule volonté de A chem, il est dit
‘..E’li i hayi él mitin… !Celui qui ressuscite les défunts.
Si A chem a le pouvoir de le faire, il sous entend par contre, que nous sommes en mesure de les faire vivre et renaitre à notre façon. Oui, en ressuscitant leur mémoire d’une façon spirituelle. Par des anecdotes.
Le physique n’étant plus là mais leur âme nous entoure.
MEIHA, la première à partir est tjs là, la preuve est faite, Deidou est là aussi… Maman aussi, Louijje, Jojo, Poupée.
Cette résurrection, pour imaginaire qu’elle soit, est une reconnaissance
des bienfaits que nous avons reçus.
Il est important, de ne pas les laisser dans l’oubli, cette seconde tombe.
Je sais qu’un jour je serai le prochain Feu et Z’al, dans 50 ans si A chem
Consent à le vouloir. C’est dans l’ordre des choses.
Je souhaite être le suivant et ne jamais voir aucun membre de ma famille, femme, enfants et petits enfants ne serait ce que tomber malade.
Etre un vieux FEU bien plus tard, c’est naturel.
‘…Yé rabi, sabok él lou’el bél louel… !’ Ô mon D ieu fasse que l’ancien soit tjs le premier à partir… !’ Amen.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 06 septembre 2015, 15:48 |
Modérateur Membre depuis : 19 ans Messages: 3 103 |
"Ils ont ri lorsque j’ai tracé Sur le tableau noir de mon désespoir, deux lignes parallèles qui se sont rejointes en fin de tableau".
Intuitivement tu as découvert les géométries non euclidiennes.
Dès le Moyen Âge des mathématiciens arabes et persans ont mis en doute le postulat des parallèles.
Elles ont été développées par la suite du 17ème au 20ème siècle par Riemann et Poincaré en particulier.
Tu aurais dû continuer sur cette voie.
Mais que dalle ! Tu as choisi d'être marbrier.
[fr.wikipedia.org]
Intuitivement tu as découvert les géométries non euclidiennes.
Dès le Moyen Âge des mathématiciens arabes et persans ont mis en doute le postulat des parallèles.
Elles ont été développées par la suite du 17ème au 20ème siècle par Riemann et Poincaré en particulier.
Tu aurais dû continuer sur cette voie.
Mais que dalle ! Tu as choisi d'être marbrier.
[fr.wikipedia.org]
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 06 septembre 2015, 23:01 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 septembre 2015, 01:38 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Mon parcours scolaire 4° FIN.
Oui, j’ai appris ‘…Que la valeur n’attend pas le nombre des années… !’
Aussi ‘ …Je préfère un cocher avec une belle tête que bien pleine… !’
Que ‘…Science sans conscience n’est que ruine de l’âme… !’
Que l’on apprend au dépend des autres ce qu’ils ignorent.
Qu’à vouloir être trop instruit on perd en expérience.
Les sans instruits étaient des gens charitables humains, généreux
Qui ne signaient rien mais qui serraient la main pour conclure un marché.
Que leur parole suffisait. La confiance, l’honnêteté, le respect.
Mon parcours scolaire prit fin au lycée CAILLOUX, un véritable caillou
Que j’ai vomi en quittant le lycée vers mes 18 ans, sans rien dans ma sacoche.
Ils m’ont conseillés ‘…Bon, pour une orientation… !’ Laquelle… ?
Je me suis donc orienté vers la comptabilité. Ecole SITBON, à comptabiliser
Les sacs de pois chiches, d’haricots de semoule, la farine avec un sac
Qui fuyait. Bref, une carrière d’épicier comme celle de Hamda, les olives
Et le fromage ? Le monde du travail m’attendait.
Maman, a la vue, de cette appréciation à compris que je ne serai jamais docteur, ni avocat des causes perdues….Non, elle a compris que mon avenir était bouché.
Elle était sous le choc. Moi abattu à cause de cette foutue cervelle qui ne comprenait rien. Fallait t’elle qu’elle comprenne quoi… ? Ma cervelle…. ? Quoi donc.. ?
Que comprenait-vous aujourd’hui de ce monde où la haine est devenue
Quotidienne… ? Faut t’il être savant pour cela… ? Bardé de diplômes… ?
Pour gagner juste un peu plus que le SMIG sinon être chômage et vous dire
‘…Mr ce post ne vous convient pas… ? Cherchez l’erreur.
Un an plus tard, je rentrais chez Boublil Neveux Carrelages et Marbres.
En tant qu’aide comptable auprès de MR COHEN. Et pas loin de papa qui était responsable de l’atelier de marbre. celà a duré 3 mois.
Puis, je rentrais dans le Journal la Presse en tant que scribouillard comptable contrôleur des invendus et vérificateurs des achats de journaux. Mr Smadja était le patron et son directeur MR Naccache. 10 ans derrière un bureau ont rendu mes fesses plates.
1970 papa, tjs lui, me propose de venir travailler avec lui, dans son atelier de marbre.
Ce fut la consécration d’un savoir faire que j’ignorais. J’ai soulagé mon jeune frère Max d’un trop plein de servitudes.
L’art du marbre est entré dans mon sang et coule encore aujourd’hui dans mes veines bien que je sois depuis 23 ans vendeur de perruques, tralalas, encens et trucs en plastic. Et je m’en porte bien.
J’ai accompli ce à quoi j étais destiné. Je n’ai pas à m’en plaindre.
Oui, sans diplôme, tous les espoirs sont permis lorsqu’on veut travailler
En commençant par le bas de l’échelle.
Je me suis marié en 1970. Trois enfants, trois filles, 5 petits enfants.
En partant de rien....J'ai assuré.
J'assure tjr l'amour que j'ai pour mes enfants et petits enfants.
Je n'arrive pas à mesurer ce amour mais je sais qu'il est grand et me dépasse.
Salut.
Oui, j’ai appris ‘…Que la valeur n’attend pas le nombre des années… !’
Aussi ‘ …Je préfère un cocher avec une belle tête que bien pleine… !’
Que ‘…Science sans conscience n’est que ruine de l’âme… !’
Que l’on apprend au dépend des autres ce qu’ils ignorent.
Qu’à vouloir être trop instruit on perd en expérience.
Les sans instruits étaient des gens charitables humains, généreux
Qui ne signaient rien mais qui serraient la main pour conclure un marché.
Que leur parole suffisait. La confiance, l’honnêteté, le respect.
Mon parcours scolaire prit fin au lycée CAILLOUX, un véritable caillou
Que j’ai vomi en quittant le lycée vers mes 18 ans, sans rien dans ma sacoche.
Ils m’ont conseillés ‘…Bon, pour une orientation… !’ Laquelle… ?
Je me suis donc orienté vers la comptabilité. Ecole SITBON, à comptabiliser
Les sacs de pois chiches, d’haricots de semoule, la farine avec un sac
Qui fuyait. Bref, une carrière d’épicier comme celle de Hamda, les olives
Et le fromage ? Le monde du travail m’attendait.
Maman, a la vue, de cette appréciation à compris que je ne serai jamais docteur, ni avocat des causes perdues….Non, elle a compris que mon avenir était bouché.
Elle était sous le choc. Moi abattu à cause de cette foutue cervelle qui ne comprenait rien. Fallait t’elle qu’elle comprenne quoi… ? Ma cervelle…. ? Quoi donc.. ?
Que comprenait-vous aujourd’hui de ce monde où la haine est devenue
Quotidienne… ? Faut t’il être savant pour cela… ? Bardé de diplômes… ?
Pour gagner juste un peu plus que le SMIG sinon être chômage et vous dire
‘…Mr ce post ne vous convient pas… ? Cherchez l’erreur.
Un an plus tard, je rentrais chez Boublil Neveux Carrelages et Marbres.
En tant qu’aide comptable auprès de MR COHEN. Et pas loin de papa qui était responsable de l’atelier de marbre. celà a duré 3 mois.
Puis, je rentrais dans le Journal la Presse en tant que scribouillard comptable contrôleur des invendus et vérificateurs des achats de journaux. Mr Smadja était le patron et son directeur MR Naccache. 10 ans derrière un bureau ont rendu mes fesses plates.
1970 papa, tjs lui, me propose de venir travailler avec lui, dans son atelier de marbre.
Ce fut la consécration d’un savoir faire que j’ignorais. J’ai soulagé mon jeune frère Max d’un trop plein de servitudes.
L’art du marbre est entré dans mon sang et coule encore aujourd’hui dans mes veines bien que je sois depuis 23 ans vendeur de perruques, tralalas, encens et trucs en plastic. Et je m’en porte bien.
J’ai accompli ce à quoi j étais destiné. Je n’ai pas à m’en plaindre.
Oui, sans diplôme, tous les espoirs sont permis lorsqu’on veut travailler
En commençant par le bas de l’échelle.
Je me suis marié en 1970. Trois enfants, trois filles, 5 petits enfants.
En partant de rien....J'ai assuré.
J'assure tjr l'amour que j'ai pour mes enfants et petits enfants.
Je n'arrive pas à mesurer ce amour mais je sais qu'il est grand et me dépasse.
Salut.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 septembre 2015, 13:10 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
CHEZ MABEL…E’BEL OU TKECH’KICH…
Rentre un vieux monsieur de couleur sombre…
‘….Bjr monsieur… ! Moi.
‘…Bonjour…Vous êtes MR Albert… ?’
‘…Oui… !’
‘…Voilà, j’ai un souci…. !’
‘…De quel continent êtes- vous… ?
‘…Non, je suis bien… !’
‘…C'est-à-dire…Vous n’êtes pas incontinent… ?’
‘…Je suis d’Afrique…. !’
‘..Alors si vous l’êtes, quel genre de médocs vous prenez… ?’
‘…Je ne suis pas venu pour cela, mais pour vous parlez d’autres choses… !’
‘…Donc vous n’êtes pas un continent… ?’
‘…Ma maman est d’Asie et mon pape, des iles Vierges… !’
‘..Ce qui nous donne deux continents… !’
‘…Je ne sais plus si je suis incontinent ou pas… !’
‘…Si vous n’êtes pas de deux continents, vous perso vous êtes de France.. !’
‘…Oui… !’
‘…Donc deux de deux continents et vous d’un autre continent… ?
‘…Je suis perdu là… !’
‘…Normal, entre trois continents, il est normal que vous soyez incontinent… !’
‘…Dans ce cas, comment vais-je faire pour sortir de tout cela… ?
‘…Juste que vous prenez des Médocs… !’
‘…Vous en avez… ?’
‘…Lequel des continents… ?
‘..J EN AI MARRE….J’ EN AI MARRE. EXCUSEZ MOI JE NE PEUX PLUS
DE ME CONTENIR… !’
‘…Donc vous avez guéri, vous ne l’êtes plus… !’
Rentre un vieux monsieur de couleur sombre…
‘….Bjr monsieur… ! Moi.
‘…Bonjour…Vous êtes MR Albert… ?’
‘…Oui… !’
‘…Voilà, j’ai un souci…. !’
‘…De quel continent êtes- vous… ?
‘…Non, je suis bien… !’
‘…C'est-à-dire…Vous n’êtes pas incontinent… ?’
‘…Je suis d’Afrique…. !’
‘..Alors si vous l’êtes, quel genre de médocs vous prenez… ?’
‘…Je ne suis pas venu pour cela, mais pour vous parlez d’autres choses… !’
‘…Donc vous n’êtes pas un continent… ?’
‘…Ma maman est d’Asie et mon pape, des iles Vierges… !’
‘..Ce qui nous donne deux continents… !’
‘…Je ne sais plus si je suis incontinent ou pas… !’
‘…Si vous n’êtes pas de deux continents, vous perso vous êtes de France.. !’
‘…Oui… !’
‘…Donc deux de deux continents et vous d’un autre continent… ?
‘…Je suis perdu là… !’
‘…Normal, entre trois continents, il est normal que vous soyez incontinent… !’
‘…Dans ce cas, comment vais-je faire pour sortir de tout cela… ?
‘…Juste que vous prenez des Médocs… !’
‘…Vous en avez… ?’
‘…Lequel des continents… ?
‘..J EN AI MARRE….J’ EN AI MARRE. EXCUSEZ MOI JE NE PEUX PLUS
DE ME CONTENIR… !’
‘…Donc vous avez guéri, vous ne l’êtes plus… !’
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 08 septembre 2015, 12:04 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 08 septembre 2015, 12:05 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Voilà qu’un jour alors que ma sœur, en sixième butait sur un sujet
De rédaction, rentre dans ma chambre, bien embêtée….
‘…Bébert….Je n’ai aucune idée sur le sujet de rédaction que je dois remettre
Dans trois jours…. !
Je lis le sujet…
‘…Racontez, en quelques lignes, ce que vous voyez dans la rue… !’
Comme ma petite sœur était un peu courte, elle ne pouvait pas atteindre
Le bord de la fenêtre.
Je devais avoir 24 ans et elle 11.
Ce jour là, il pleuvait dru.
Je me suis donc assis devant la fenêtre de Meiha.
J’ai donc observé la rue. La rue était déserte et grâce à mon imagination, j’ai
fais défiler des personnes qui n’existaient pas.
J’ai rempli une page.
Ma sœur lit et…
‘…Mais il ne va pas croire que c’est moi qui a fait cela… ?
Elle remet donc sa rédaction, et la semaine suivante, elle est notée
Par un 15.
Cependant, un doute s’ installe dans la tête de l’instit.
A la seconde rédaction, le doute fut levé…
‘…Dites moi Joëlle, est ce vous qui avait écrit cela… ?
Ma sœur …
‘ …Je me suis fais un peu aidée…Monsieur…. ! Par mon frère...!'
Je fus noté par un 18 sur 20 avec lecture de ma rédac devant les élèves.
Ma soeur avait la honte de sa vie.
Je peux donc affirmer, sans me tromper, que c’est bien par ma sœur
que l’écrit a commencé, soit à l’âge cité plus haut.
C’était l’époque, où je me suis remis à lire LA FONTAINE…MOLIÈRE…CHATEAUBRIAND puis divers romans policiers en commençant par l’inspecteur ROULETABILLE.;....
LA CHAMBRE JAUNE….Milla 18.. La 25 iéme heure….
Zola etc….GUY DESCARS, tous ses romans…Sans oublier les journaux et surtout Le CANARD ENCHAINE……Voilà, tout cela est resté caché durant de nombreuses années dans ma mémoire, pour réapparaitre vers mes 45 ans.
Ma ‘carrière littéraire’ s’attache à écrire et à décrire, sur tous les sujets divers.Aussi bien la condition humaine, celle de mon époque, que celle qui passe sous mon nez avec humour, sans aucune préférence, aussi encore bien dans ma langue maternelle, le judéo, que française.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 10 septembre 2015, 09:21 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Par Breitou khéffè le léger.
J’suis l’migrant
Sur la mer, errant,
Aux grés des vents,
Avec mes compagnons,
Je navigue,
Sur un zodiac flottant.
Vent en proue
Sombre la proue,
Flottent les corps
A bâbord et à tribord.
J’suis le SYRIEN..L’IRAKIEN
Le christian, le mahométan
Fuyant nos pays sanglants,
Sous les coups des canons.
J’ai perdu mon épouse,
Mes enfants, mes parents
Je hurle ma douleur
Aux vents du levant.
Nos frères arabes d’orient
D’Arabie d’Egypte d’Iran
Sans grande compassion
Ont le cœur sec, dépourvu de sentiments.
J’suis le MIGRAAAANT,
Le rescapé des mers,
Hai par les turbans,
Chassé de l’orient.
Sur mon zodiac flottant
Je navigue vers les cotes des christians.
Ils m’ont ouverts leurs flancs…
Avec leur cœur et beaucoup de sentiments.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 10 septembre 2015, 09:22 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
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