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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 05 octobre 2015, 14:26 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 08 octobre 2015, 06:05 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 08 octobre 2015, 09:39 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 09 octobre 2015, 00:16 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Valérie Simeoni
10 h · H̱adera, Israel ·
Quand tu as de la peine.
Quand il y a un an, en juillet, j'atterrissais sous les roquettes avec cette impression douloureuse d'emmener mes enfants dans un pays condamné à être régulièrement en guerre.
Ca sonne, ça court.
Je forme mes enfants de 5, 7 et 9 ans au pire.
Et puis, la guerre se termine.
On découvre le plus beau pays du monde: le soleil qui inonde, les sourires des gens, cet amour partout, la plage tous les week end, les "ahi" au bureau, les chabat chalom aux caissières, un juillet-août de folie avec la famille de France, un mois inoubliable de fêtes au beth habad Hadera et puis, un coup de couteau.
Puis, deux, puis trois... Puis...
Tu pleures.
Retour à la réalité.
Israel a été, est et sera toujours un pays en guerre.
Pourquoi?
Je ne sais pas.
Je ne sais rien de plus que vous.
Peut être parce qu'il n'y a que comme cela que nous savons prier.
Qu'espèrent ils nos assassins à l'arme blanche?
On a déjà essayé de nous exterminer, depuis la nuit des temps, mais rien n'y fait.
Nous sommes là, toujours là, droit et fier et toujours plus fort.
Allez leur dire qu'ils perdent leur temps.
Que rien ne nous tuera et que la haine ne triomphe pas.
Marchez dans les rues avec méfiance, gardez l'œil bien ouvert.
Ils sont partout.
N'oubliez pas, notre dôme de fer est bien plus haut dans le ciel.
Hachem nous aime et nous protège.
10 h · H̱adera, Israel ·
Quand tu as de la peine.
Quand il y a un an, en juillet, j'atterrissais sous les roquettes avec cette impression douloureuse d'emmener mes enfants dans un pays condamné à être régulièrement en guerre.
Ca sonne, ça court.
Je forme mes enfants de 5, 7 et 9 ans au pire.
Et puis, la guerre se termine.
On découvre le plus beau pays du monde: le soleil qui inonde, les sourires des gens, cet amour partout, la plage tous les week end, les "ahi" au bureau, les chabat chalom aux caissières, un juillet-août de folie avec la famille de France, un mois inoubliable de fêtes au beth habad Hadera et puis, un coup de couteau.
Puis, deux, puis trois... Puis...
Tu pleures.
Retour à la réalité.
Israel a été, est et sera toujours un pays en guerre.
Pourquoi?
Je ne sais pas.
Je ne sais rien de plus que vous.
Peut être parce qu'il n'y a que comme cela que nous savons prier.
Qu'espèrent ils nos assassins à l'arme blanche?
On a déjà essayé de nous exterminer, depuis la nuit des temps, mais rien n'y fait.
Nous sommes là, toujours là, droit et fier et toujours plus fort.
Allez leur dire qu'ils perdent leur temps.
Que rien ne nous tuera et que la haine ne triomphe pas.
Marchez dans les rues avec méfiance, gardez l'œil bien ouvert.
Ils sont partout.
N'oubliez pas, notre dôme de fer est bien plus haut dans le ciel.
Hachem nous aime et nous protège.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 09 octobre 2015, 00:51 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2015, 02:05 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Plus d’un de nos amis s’étonnent de ce prix nobel attribué au quartet tunisien.
Il manque parmi eux les femmes qui ont joué un rôle très important dans la vie politique tunisienne. Cet oubli est regrettable.
Pourquoi ce prix… ?
Je pense tout d’abord à ce pays qui a osé se soulever en masse suite à un fait divers. Alors qu’en général, une révolution se prépare en secret dans les alcôves obscures et secrètes des caves, nous avons assisté à une révolution en plein air non planifiée, marquant ainsi un ras le bol d’une population sclérosée.
Le pouvoir en place avait pour mission d’étouffer toutes velléités.
La corruption et les privilèges étaient monnaies courantes, la Tunisie était sous l’emprise d’une famille.
Durant, des semaines et des semaines, on a vu l’émergence d’un parti religieux Intégriste qui avait pour but de ‘réguler’ sa manière le sort des tunisiens.
Les barbus étaient sur la place et au pouvoir et leur ambition était de mener
A bien leur vue. C'est-à-dire, tirer profit de la situation pour endoctriner un peuple éprit de liberté et surtout bien loin des diktas imposés.
Hommes politiques, avocats ont décidés qu’il n’en sera pas ainsi.
Les femmes ont eu leur mot à dire et la société civile tout entière a compris que ce pays allait basculer du mauvais coté.
Meurtres d’hommes politiques, président à la merci de potentats étrangers
ont fini par exaspérer et ébranler une conscience nationale privée d’idées nouvelles.
Les vexations,, les interdits religieux, les assassinats du Bardo et de Sousse ont fait déborder la coupe.
Des mesures draconiennes ont été prises contre les intégristes et tous les
Sermonneurs patentés qui semaient la discorde.
La frontière avec la Libye est surveillée, un mur de sable est érigé.
Le pouvoir, après un certain flottement, a réagi dans le bon sens.
La Tunisie s’est redressée et compte poursuivre sa politique d’ouverture.
La Tunisie est un pays arabe, et sa situation l’oblige à suivre ses mentors et
Ne pas faire cavalier seul en renouant des liens, qui n’ont jamais existé dans le passé, sauf pour la forme avec Israël.
Un changement de cap ne peut survenir que si la situation là bas s’améliore
Entre israéliens et ‘frères palestiniens’.
Le rêve est permis.
Cet oscar récompense donc une volonté, un courage inédit dans un pays arabe qui a su surmonter les pièges extérieurs dans lesquels ce pays aurait pu tomber.
Que la Tunisie reste ‘un ennemi’ d’Israël c’est logique mais n’oublions pas
Qu’elle protège sa minorité juive à laquelle elle est attachée. Et cela est important.
Il manque parmi eux les femmes qui ont joué un rôle très important dans la vie politique tunisienne. Cet oubli est regrettable.
Pourquoi ce prix… ?
Je pense tout d’abord à ce pays qui a osé se soulever en masse suite à un fait divers. Alors qu’en général, une révolution se prépare en secret dans les alcôves obscures et secrètes des caves, nous avons assisté à une révolution en plein air non planifiée, marquant ainsi un ras le bol d’une population sclérosée.
Le pouvoir en place avait pour mission d’étouffer toutes velléités.
La corruption et les privilèges étaient monnaies courantes, la Tunisie était sous l’emprise d’une famille.
Durant, des semaines et des semaines, on a vu l’émergence d’un parti religieux Intégriste qui avait pour but de ‘réguler’ sa manière le sort des tunisiens.
Les barbus étaient sur la place et au pouvoir et leur ambition était de mener
A bien leur vue. C'est-à-dire, tirer profit de la situation pour endoctriner un peuple éprit de liberté et surtout bien loin des diktas imposés.
Hommes politiques, avocats ont décidés qu’il n’en sera pas ainsi.
Les femmes ont eu leur mot à dire et la société civile tout entière a compris que ce pays allait basculer du mauvais coté.
Meurtres d’hommes politiques, président à la merci de potentats étrangers
ont fini par exaspérer et ébranler une conscience nationale privée d’idées nouvelles.
Les vexations,, les interdits religieux, les assassinats du Bardo et de Sousse ont fait déborder la coupe.
Des mesures draconiennes ont été prises contre les intégristes et tous les
Sermonneurs patentés qui semaient la discorde.
La frontière avec la Libye est surveillée, un mur de sable est érigé.
Le pouvoir, après un certain flottement, a réagi dans le bon sens.
La Tunisie s’est redressée et compte poursuivre sa politique d’ouverture.
La Tunisie est un pays arabe, et sa situation l’oblige à suivre ses mentors et
Ne pas faire cavalier seul en renouant des liens, qui n’ont jamais existé dans le passé, sauf pour la forme avec Israël.
Un changement de cap ne peut survenir que si la situation là bas s’améliore
Entre israéliens et ‘frères palestiniens’.
Le rêve est permis.
Cet oscar récompense donc une volonté, un courage inédit dans un pays arabe qui a su surmonter les pièges extérieurs dans lesquels ce pays aurait pu tomber.
Que la Tunisie reste ‘un ennemi’ d’Israël c’est logique mais n’oublions pas
Qu’elle protège sa minorité juive à laquelle elle est attachée. Et cela est important.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2015, 02:31 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 octobre 2015, 02:20 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
Pour ma bar mitswa, papa décide de me faire suivre des cours de torah
Dispensé par le rabbin de la synagogue de l’Hôpital.
Un monsieur d’une cinquantaine, portant un ‘une chéchia’ en guise de kippa.
Ses dents étaient recouvertes par du ‘darmouss’, jaunies par les cigarettes.
Sa denture était décalée.
Il était modestement habillé d’un complet gris, usé. Je ne me souviens pas
S’il portait une cravate mais son visage portait tjs une barbe naissante gris sel.
Le cours était individuel alors que je passais devant lui les autres copains
S’en donnaient à cœur joie. Pour ramener l’ordre, il usait d’un bâton.
Quand, je trébuchais sur une lettre, j’avais le droit à un ‘rachat’ mécréant.
J’ai eu plus de mots ‘rachats’ que de ‘Tov’.
Lors du passage à ‘l’aphtara’, il fallait respecter les signes ZARKA…assez long et les azla griches cours et rapides…etc…Si par malheur, je prolongeais le ZARKA.
Je me voyais traiter par ce mot de mécréant. Si les deux autres signes n’étaient pas à son gout, là encore ‘racha’ dc j’avais une crainte de ne pas respecter les temps. Je me serai cru dans un opéra.
Il pensait surement que j’allais être plus tard un HAZAN. Il s’est trompé.
Bref, une fois mes prières essentielles apprises, j’étais bon pour ma fête.
Un sans faute sous le regard de papa.
Sauveur était aussi dans le cours mais lui a continué dans la voie,
Moi j’ai traversé la voie sans me retourner.
Je suis presque un mécréant avec bcp de foi.
Bléchi, c est ce que A chem a décidé pour moi.
Dispensé par le rabbin de la synagogue de l’Hôpital.
Un monsieur d’une cinquantaine, portant un ‘une chéchia’ en guise de kippa.
Ses dents étaient recouvertes par du ‘darmouss’, jaunies par les cigarettes.
Sa denture était décalée.
Il était modestement habillé d’un complet gris, usé. Je ne me souviens pas
S’il portait une cravate mais son visage portait tjs une barbe naissante gris sel.
Le cours était individuel alors que je passais devant lui les autres copains
S’en donnaient à cœur joie. Pour ramener l’ordre, il usait d’un bâton.
Quand, je trébuchais sur une lettre, j’avais le droit à un ‘rachat’ mécréant.
J’ai eu plus de mots ‘rachats’ que de ‘Tov’.
Lors du passage à ‘l’aphtara’, il fallait respecter les signes ZARKA…assez long et les azla griches cours et rapides…etc…Si par malheur, je prolongeais le ZARKA.
Je me voyais traiter par ce mot de mécréant. Si les deux autres signes n’étaient pas à son gout, là encore ‘racha’ dc j’avais une crainte de ne pas respecter les temps. Je me serai cru dans un opéra.
Il pensait surement que j’allais être plus tard un HAZAN. Il s’est trompé.
Bref, une fois mes prières essentielles apprises, j’étais bon pour ma fête.
Un sans faute sous le regard de papa.
Sauveur était aussi dans le cours mais lui a continué dans la voie,
Moi j’ai traversé la voie sans me retourner.
Je suis presque un mécréant avec bcp de foi.
Bléchi, c est ce que A chem a décidé pour moi.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 octobre 2015, 02:25 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 octobre 2015, 03:04 |
Membre depuis : 17 ans Messages: 11 161 |
La Tbila….’La Cachérisation’…Le rituel du bain.
La veille, papa nous emmène mon frère et moi au hamam de la rue de Korbous, chez ‘l’ahouél’,( le biglouch) allah harh’mou, rabi i chamahni.
Une dizaine de copains furent invités. Meiha et maman étaient du lot
Une quinzaine de casses croute faits maison sont mis dans un couffin de Nabeul pour célébrer la tradition qui veut qu’on mange après un bain. C’est dans la torah.
Pour ceux qui l‘ignorent, prier bcp donne faim. D’où que nos religieux
Pour bcp d’entre eux sont gros et gras.
Nous voilà donc avec revêtus de foutats, nos lifs à la main, savon vert beldi,
Chaussés de kabkab, sabots médiévaux du temps de DUGUESCLIN.
Puis avec le temps, la mode est passée à celle de CHARLEMAGNE.
Un détail de l’histoire.
Meiha pour rigoler ‘…Nejjem net’khél mââ kom ye DEIDOU… ?( Puis-je rentrer avec vous David… ?’ Lui ‘…Thab thal bourach’ca enti fél bit mtââ el chréné.. ?’ (Tu veux soulever une révolution dans la salle chaude… !?’) C’est vrai que mémè avait l’air de tout mais pas d’une Bimbo.
Meiha ne fera dc pas partie du bain.
Nous rentrons donc, vêtus de nos ‘saris’ dans la chambre chaude.
Des petits ‘hlaléms’ surnagent sur la surface de l’eau chaude.
Chacun y plongent ses pieds en disant ‘…CHE CHE… !’ On se masse les jambes et toute une couche de crasse nous quitte avec regret au fond du trou.
Arrive le tour du massage et là, me voilà étalé comme un hareng fumé
Et pris en tenaille entre les pieds du ‘harej’( masseur) handicapé du pied gauche qui venait de temps à autre écraser mes jeunes attributs encore vierges de toutes souillures.
J’ai compté le nombre de grosses ‘hlalém’ cylindrées et enroulées comme des cigarettes, pesant chacune 500 grammes, il y en avait plus de 15, je me suis donc allégé de 7kgs 500, ce qui à fait dire à Meiha par la suite
‘…ECHBI dââf Bibert… ?’( Pourquoi il a maigri Bébert… ?)
Je suis ressorti d’entre ses mains aussi propre qu’un dourou neuf.
Mon frère kif kif…Rien pour les autres.
Enfin, nous voilà sortis tout fumant et emmitouflés dans nos ‘saris’
Pour regagner la chambre froide.
Tout le monde s’allonge sur les hssirats et Meiha sort les casses croutes
Avec des you-yous et des bombons. Chacun de nous, reçu le sien dans son œil.
J’étais devenu Cacher dés l’instant où je suis sorti du hammam.
Après ce fut une autre histoire.
La veille, papa nous emmène mon frère et moi au hamam de la rue de Korbous, chez ‘l’ahouél’,( le biglouch) allah harh’mou, rabi i chamahni.
Une dizaine de copains furent invités. Meiha et maman étaient du lot
Une quinzaine de casses croute faits maison sont mis dans un couffin de Nabeul pour célébrer la tradition qui veut qu’on mange après un bain. C’est dans la torah.
Pour ceux qui l‘ignorent, prier bcp donne faim. D’où que nos religieux
Pour bcp d’entre eux sont gros et gras.
Nous voilà donc avec revêtus de foutats, nos lifs à la main, savon vert beldi,
Chaussés de kabkab, sabots médiévaux du temps de DUGUESCLIN.
Puis avec le temps, la mode est passée à celle de CHARLEMAGNE.
Un détail de l’histoire.
Meiha pour rigoler ‘…Nejjem net’khél mââ kom ye DEIDOU… ?( Puis-je rentrer avec vous David… ?’ Lui ‘…Thab thal bourach’ca enti fél bit mtââ el chréné.. ?’ (Tu veux soulever une révolution dans la salle chaude… !?’) C’est vrai que mémè avait l’air de tout mais pas d’une Bimbo.
Meiha ne fera dc pas partie du bain.
Nous rentrons donc, vêtus de nos ‘saris’ dans la chambre chaude.
Des petits ‘hlaléms’ surnagent sur la surface de l’eau chaude.
Chacun y plongent ses pieds en disant ‘…CHE CHE… !’ On se masse les jambes et toute une couche de crasse nous quitte avec regret au fond du trou.
Arrive le tour du massage et là, me voilà étalé comme un hareng fumé
Et pris en tenaille entre les pieds du ‘harej’( masseur) handicapé du pied gauche qui venait de temps à autre écraser mes jeunes attributs encore vierges de toutes souillures.
J’ai compté le nombre de grosses ‘hlalém’ cylindrées et enroulées comme des cigarettes, pesant chacune 500 grammes, il y en avait plus de 15, je me suis donc allégé de 7kgs 500, ce qui à fait dire à Meiha par la suite
‘…ECHBI dââf Bibert… ?’( Pourquoi il a maigri Bébert… ?)
Je suis ressorti d’entre ses mains aussi propre qu’un dourou neuf.
Mon frère kif kif…Rien pour les autres.
Enfin, nous voilà sortis tout fumant et emmitouflés dans nos ‘saris’
Pour regagner la chambre froide.
Tout le monde s’allonge sur les hssirats et Meiha sort les casses croutes
Avec des you-yous et des bombons. Chacun de nous, reçu le sien dans son œil.
J’étais devenu Cacher dés l’instant où je suis sorti du hammam.
Après ce fut une autre histoire.
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