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GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
Envoyé par ladouda
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 29 avril 2014, 10:06 |
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Les recherches, de plus en plus désespérées.
L’espoir s’éteint de retrouver la moindre trace de l’avion au fond de l’océan Indien. La tendance analytique est à l’événement qui restera définitivement énigmatique
Plus de sept semaines. Soit une bonne cinquantaine de jours que le vol MH370 de la Malaysia Airlines a disparu corps et biens alors qu’il devait assurer une liaison entre Kuala Lumpur et Pékin et a quitté sa trajectoire pour une raison inexpliquée, se volatilisant ainsi avec les 239 personnes qui se trouvaient à son bord. Mais les recherches, vaines jusqu’ici, sont loin d’être terminées: une nouvelle phase d’exploration des fonds sous-marins dans une zone de 56 000 km2 (700 km sur 80) a commencé, qui pourrait prendre six à huit mois, précise aux agences ce lundi Tony Abbott, le chef du gouvernement australien.
Seulement voilà, le premier ministre n’est guère optimiste, après que vendredi, un haut responsable de la défense américaine a estimé que les recherches pourraient prendre des années! Il avertit aussi tout simplement que l’on ne retrouvera peut-être jamais aucune trace du Boeing 777. Pour lui, il est désormais «très improbable» que des débris soient demeurés en surface: «La plupart des composants, gorgés d’eau, ont dû couler.» De plus, les avions partant de la ville de Perth vers la zone située à 1500-2000 km «opèrent à la limite» des conditions de sécurité requises, avec des rotations longues et parfois réalisées à basse altitude dans des conditions météo difficiles.
Simple et inquiétant
Dès lors, que peut-on attendre de neuf, disons, ces prochaines semaines? D’abord, il faut faire le bilan. Comme le pilote Christian Roger, commandant de bord sur Boeing 747 à Air France et expert de l’accident de Charm el-Cheikh, en 2004. Qui, dans un long article, très fouillé, disponible sur Jumboroger.fr, propose une synthèse des informations disponibles à ce jour et un examen des différentes hypothèses, plausibles ou farfelues, concernant la disparition de l’avion. Titre de cet article? Il est à la fois simple et inquiétant: cela «restera définitivement une énigme».
Ses conclusions sont tout aussi éloquentes: «Les seules hypothèses qui peuvent être considérées comme potentiellement plausibles […] sont: une dépressurisation explosive; un incendie dévastateur, pour certains systèmes et pour les personnes à bord, qui finit par s’éteindre; un éventuel suicide du commandant de bord ou du copilote, mais qui est peu crédible.» «Toutes les autres hypothèses, insiste l’expert, se heurtent à des données sur la position du crash de l’avion, qui peuvent être mises en cause, mais à condition de produire des arguments.»
Le plus grand mystère de l’aviation?
Et de rappeler ce précédent historique: «En 1872, la Marine avait eu son mystère avec le voilier «La Mary Celeste», qu’on avait retrouvé en parfait état et vide de ses occupants. La disparition du vol Malaysia 370 restera dans les annales comme le plus grand mystère de l’aviation.» Et pourtant, le premier ministre malaisien se refuse à admettre que l’avion soit perdu: c’est ce que Najib Razak a expliqué jeudi dernier à CNN, mis sous pression par les familles des disparus.
Et les signaux détectés au début du mois d’avril, que les autorités australiennes pensaient être émis par une boîte noire, selon Les Echos? Le site Slate.fr avait aussi relativisé l’importance de cette «découverte». Car s’il s’agit bien d’une boîte noire du fameux Boeing, elle risque «fort de reposer à plus de 4500 mètres de profondeur […]. Soit plus de cinq fois la hauteur de l’immeuble le plus haut du monde, le Burj Khalifa» de Dubaï, écrit le Washington Post, dans un article précisément intitulé «La profondeur du problème».
Un effet saisissant
On y trouve «une petite application permettant de mieux se représenter cette échelle. L’effet est saisissant: il est en effet nécessaire de longuement faire défiler la page avant de toucher le fond», soit cette «profondeur maximale connue sous l’Ocean Shield, du nom de ce navire militaire australien qui [avait] déclaré avoir repéré un signal «conforme» aux boîtes noires».
Et pendant ce temps, Mahathir ibn Mohamad, l’ancien Premier ministre malaisien cité par Air Journal, se demande dans son blog personnel (jugé dangereux) si le vol MH370 «s’est bien écrasé dans le sud de l’océan Indien. Il accuse Boeing d’être responsable de sa complète disparition.» Il se demande notamment pourquoi, «toujours aucun débris ou nappe de carburant, n’a été retrouvé. […] Est-il possible que l’avion soit allé s’écraser en restant intact et ait coulé sans laisser aucune trace, ni même que personne n’ait ouvert une porte de secours? […] Peut-on croire que cet avion ait tranquillement flotté dans une mer déchaînée avant de couler idéalement dans la partie la plus profonde l’océan Indien?»
On voudrait ne pas le croire, mais pour Paris Match aussi, «l’espoir s’éteint».
On devrait bloquer tous les B-777 jusqu'à ce qu'on retrouve le MH-370 cela irait surement plus vite.
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 30 avril 2014, 00:04 |
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Dans un avion, on peut passer en un instant d’une situation de croisière au drame ! Dans cette affaire mystérieuse et qui va très certainement le rester, beaucoup d’internautes s’étonnent qu’on puisse perdre en un instant le contrôle d’un avion de ligne. Et pourtant, les exemples ne manquent pas dans l’histoire de l’aviation de situations dramatiques nées en un instant. Rappelez-vous le vol Rio-Paris de juin 2009. Tout allait bien, en pleine nuit sur l’Atlantique et survient une panne de Pitot (givrage), relativement bénigne et qui était déjà arrivée des dizaines de fois.
Et pourtant, 4 minutes et 24 secondes plus tard, l’avion percutait l’océan, sans que les pilotes aient transmis un seul message au contrôle aérien.
Qui plus est, 1 minute 30 après le givrage Pitot, l’Airbus 330 était entré dans un décrochage irréversible, dont il n’avait aucune chance de sortir. Je vous livre aussi une expérience personnelle vécue, qui montre combien le pilote est vulnérable.
Dans les années 50, j’étais un tout jeune pilote de chasse (22 ans !) et plusieurs de mes camarades s’étaient tués, victime d’hypoxie, qui leur avait fait perdre le contrôle de leur chasseur et aller au tapis. Le responsable était la prise spéciale qui reliait nos masques à oxygène sur le circuit O² de l’avion, qui se déconnectait intempestivement.
Nous nous apercevions de rien, mais respirions un air raréfié en oxygène de notre cockpit pressurisé à environ 7.000m, pour éviter une décompression explosive en cas de perte de la verrière. Pour sensibiliser les pilotes, l’Armée de l’Air fit circuler sur les bases aériennes de chasse un camion spécial, équipé d’une cabine qu’on pouvait dépressuriser. Nous y passions par groupes de 5 pilotes, assistés d’un médecin. Nous avions tous notre masque à oxygène classique sur le museau et le médecin faisait monter la cabine à 8.000 mètres.
Il avait bien entendu lui aussi son masque à oxygène. Nous étions assis face à une table, avec une feuille de papier devant nous et devions écrire une succession de chiffres : 901- 902 – 903 etc…. Et le médecin coupait sournoisement l’alimentation en oxygène (sauf pour lui !) et nous continuions à écrire, sans ressentir autre chose qu’une certaine euphorie. Mais nous nous trouvions en un instant avec l’air qu’on trouve au sommet de l’Everest et, en quelques dizaines de secondes, nous étions tous en train de perdre conscience et à bord d’un de nos avions, nous serions partis en quenouille.
Ne voulant pas à avoir à faire un compte rendu de décès de 5 pilotes, le médecin rebranchait aimablement alors l’oxygène et en un instant, nous récupérions nos facultés. Tous surpris, nous pouvions alors constater que toutes nos écritures s’étaient altérées avec des chiffres biscornus de plusieurs cm de haut, en désordre, jusqu’au moment où nous arrêtions, d’écrire, glissant dans l’inconscient. Aucun d’entre nous n’avait ressenti de signal de cette hypoxie et cette expérience nous a vaccinés pour toute notre carrière sur le problème d’oxygène et aussi sur la rapidité avec laquelle on peut passer d’une situation confortable à une situation tragique.
Le problème technique fut résolu quelques mois plus tard par une nouvelle prise, qui bloquait toute arrivée d’air en cas de déconnexion, ce qui ne pouvait échapper à la vigilance du pilote.
Des détails qui font froid dans le dos, voir :
[www.jumboroger.fr]
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 03 mai 2014, 02:33 |
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ATTENTION : Si, en naviguant sur Internet, une fenêtre s'ouvre avec ce contenu (ci-dessous) surtout ne pas le confondre avec une demande du vrai logiciel lui-même.
Bien lire l'explication au bas de cette fenêtre.
NE SURTOUT PAS FAIRE CE QUI EST INDIQUÉ, ET NE SURTOUT PAS CLIQUER SUR INSTALLER,
MAIS FERMER LA PAGE.
C'est la nouvelle astuce qu'une nouvelle vague de dangereux ''hackers'' ont trouvé pour installer un virus, en l'occurrence : "ZeroAccess".
Sans installation, il n'y a pas de conséquence.
Pour info, la version indiquée d'Adobe Flash Player est la 12, alors que sur le site d'Adobe, le logiciel n'en est qu'à la version 11 !!!
On peut aussi observer que cliquer sur les 2 lignes "Voir les détails" et "Contrat de Licence Utilisateur Final" revient à cliquer sur Installer,
ce qui est rigoureusement anormal !!!
De plus, Adobe n'indiquera jamais que leur mise à jour est "Obligatoire".
Communiquez cette alerte autour de vous, il en va de la ''survie'' de votre ordinateur.
Voici l'image :
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 10 mai 2014, 23:53 |
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deux ministres, soupçonnés de « normalisation » avec Israël
Hélène Keller-Lind
vendredi 9 mai 2014
Une grande partie du monde arabo-musulman est malade d’un antisionisme viscéral. On en a vu des manifestations récentes en Tunisie avec le refus d’y laisser entrer des croisiéristes israéliens, ou, a contrario, avec le tollé provoqué par l’autorisation d’y laisser entrer des Israéliens voulant participer au pèlerinage annuel séculaire de la Ghriba à Djerba. Avec convocation devant l’Assemblée Nationale Constituante de deux ministres les y ayant autorisés pour une éventuelle motion de censure. Résultat : un paquebot américain transportant 2.000 touristes annule son escale tunisienne.
Un antisionisme virulent et contre-productif couplé à un aveuglément total face à des tragédies bien réelles
Ce qui étonne dans les récentes manifestations d’antisionisme constatées en Tunisie, accompagnées parfois d’actes antisémites comme la mise à sac de la synagogue de Sfax, est à la fois leur virulence et leur contre-productivité. Car, mis à part la satisfaction qu’ont certains à manifester leur haine de l’État hébreu et de ses citoyens, cela ne fait pas avancer d’un iota ce qu’ils appellent « la cause palestinienne » tout en mettant à mal les efforts du ministre du Tourisme actuel et de ses homologues œuvrant avec elle pour tenter de relancer un secteur important d’une économie chancelante.
Une haine qui les rend aveugles aux malheurs bien réels, ceux-là, de citoyens arabes de pays comme la Syrie, l’Irak ou la Libye pourtant voisine, où les attentats et leur cortège de morts et de blessés se succède sans répit....
Accumuler les prises de position anti-sionistes en se tirant une balle dans le pied
Pour affirmer son adhésion à « la cause palestinienne » et, partant, sa haine stérile de l’État hébreu, la Tunisie accumule les prises de position anti-sionistes, comme, récemment, le refus de laisser entrer une poignée de touristes israéliens faisant une croisière sur un bateau norvégien. Résultat : la compagnie annonçait qu’elle y supprimait toute escale.
A contrario, pour sauver les meubles ou plutôt ne pas perdre une source de revenus annuels importante, le ministre du Tourisme, Amel Karboul, et le ministre délégué chargé de la Sûreté, Ridha Sfar, avaient discrètement accordé des visas d’entrée à des pèlerins israéliens désirant faire le pèlerinage de La Ghriba à Djerba. Une soixantaine, semble-t-il. Lorsque cela s’ébruita des députés de l’Assemblée Nationale Constituante exigèrent qu’ils soient convoqués devant elle et obtinrent le nombre de voix suffisantes pour qu’une motion de censure soit examinée. Date prévue : le 9 mai. Dans un premier temps le vote n’a pu avoir lieu étant donné que seuls 32 élus sur 217 étaient présents lors de la séance prévue à cet effet. Séance repoussée donc. On imagine les luttes et tractations internes...
D’autant que le 8 mai on apprenait qu’un croisiériste américain, transportant 2.000 touristes, annulait purement et simplement son escale tunisienne. Soit un manque à gagner de quelque 500.000 € rapporte le site businessnews.com= Il est vrai que le saccage de la synagogue de Sfax début mai, acte antisémite cette fois, le troisième en moins de trois ans ne donne pas vraiment envie de prendre des vacances en Tunisie que l’on soit israélien ou pas, juif ou pas...
Mercantilisme : Laisser entrer des Israéliens et leurs devises pour quelques heures et ne remet pas en cause le « patriotisme » des ministres.
Puis, l’ANC s’étant enfin réunie, le ministre délégué à la Sûreté a donné ses explications, soulignant « qu’il ne fallait pas mettre en doute le patriotisme[ des ministres concernés ] en les accusant de vouloir une certaine normalisation avec l’Etat d’Israël ». D’ailleurs, a-t-il expliqué, ces visiteurs sont « en transit en Tunisie et ne passent que quelques heures sur le sol tunisien... ».
A propos du premier incident concernant la croisière norvégienne le ministre expliquait « que le responsable au port de la Goulette a empêché certains touristes d’entrée en Tunisie contrairement aux us et coutumes et aux ordres. Une campagne médiatique mondiale a débuté pour dénoncer la discrimination contre les personnes de confession juive ». Explication allant dans le sens d’une supposée main mise juive sur le monde, cliché antisémite connu...
Ridha Sfar précisait également que « certaines démarches ont été instituées pour protéger l’intégrité physique des touristes israéliens en Tunisie. "On n’utilise pas de documents israéliens et on n’a pas été confrontés à des passeports israéliens. Ces personnes viennent dans le cadre de croisières avec des laisser passer pour passer quelques heures en Tunisie et repartir. L’Etat tunisien n’a pas mis de tampon ni avalisé de document officiel israélien"= . En clair : s’ils étaient identifiés en tant qu’israéliens ces touristes seraient en danger ...on les rend donc apatrides par un petit tour de passe passe...
L’ANC s’étant retirée pour « la prière du vendredi » on connaîtra donc plus tard les explications d’Amel Karboul qui, pour garder son poste avait prétendu avoir subi un harcèlement inadmissible en tant qu’arabe et musulmane à l’aéroport Ben Gourion...
Keller-Lind Hélène
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 13 mai 2014, 00:23 |
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 18 mai 2014, 07:10 |
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Video :
[www.dailymotion.com] [...] ris_webcam
[www.dailymotion.com] [...] e-2-3_news
Insultes, cris, références à la France de Pétain, calomnies : M'bala M'bala a tellement déteint sur son avocat Danglehant, que ce dernier, devant le conseil de discipline qui devait décider de sa radiation, ne savait plus s’il était sur scène avec Mbala Mbala ou devant un tribunal.
Insultes, hurlements, des militants debout sur les tables, un imbécile qui parle à la place du président du tribunal et veut accorder les temps de parole, M'bala M'bala et ses suiveurs qui perturbent l’audience du tribunal: c’est l’audience surréaliste et vindicative, stupide et bordélique, qui s’est tenue le 7 mai dernier, à Paris.
Me François Danglehant, un des avocats de M'bala M'bala, était jugé une fois de plus (il n’en est pas à son premier rappel à l’ordre, selon Dalloz Actualité) par des pairs pour manquement aux règles déontologiques.
L’audience a tourné à la foire d’empoigne, et a été reportée.
Tout laisse à penser que Danglehant a intérêt à se trouver un autre emploi. Sur scène à faire le mariole avec M'bala M'bala ? Pas sûr que le sinistre fasse rire. M'bala M'bala, lui, y a gagné au change : un avocat comme ça, mama mia !
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 18 mai 2014, 23:41 |
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 25 mai 2014, 01:48 |
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 25 mai 2014, 05:26 |
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La structure familiale traditionnelle et le lien matrimonial – garants de la pérennité du peuple juif – ont connu des bouleversements drastiques au fil du temps en conformité avec l’évolution sociétale générale. Quant aux lois relatives à la famille dans le droit hébraïque, en particulier celles qui ont trait à la dissolution du lien conjugal, elles n’ont que très peu évolué.
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De manière paradoxale, la question du guett – l’acte de divorce religieux – est toujours au cœur de toutes les controverses et occupe une place centrale dans la littérature rabbinique depuis l’époque du Talmud.
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Quelle est donc l’attitude des rabbins face à ce problème majeur ?
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Le statu quo adopté par les rabbins depuis plusieurs siècles, dans le domaine des lois du divorce, correspond à un mode de fonctionnement familier au droit hébraïque. Ce fonctionnement consiste à ne rien ajouter et ne rien retrancher à la Loi [1] Deutéronome 13 : 1. [1] , plutôt que de prendre la responsabilité d’adopter des mesures inédites, qui risqueraient de mettre en péril une loi d’origine biblique. Pourtant, cette attitude est contraire à celle qui a été adoptée par les rabbins appartenant à diverses époques antérieures plus prompts, eux, à user de leur compétence, pour faire évoluer la loi juive (Halakhah) dans le sens de l’intérêt général.
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En effet, le principe qui consiste à ne rien ajouter et à ne rien retrancher à la Loi s’applique à la Torah (Loi écrite) et en principe, il est interdit d’y « toucher » mais l’histoire a montré que des prophètes ou des rabbins à l’époque du Talmud avaient préféré contrevenir à des lois bibliques dans l’intérêt général [2] Voir, par exemple, la décision du Prosbol prise par... [2] . Maïmonide (1135-1204) préconise également de contrevenir à une loi de la Torah si nécessaire, pour sauvegarder une autre loi, autrement plus importante ou plus grave, comme nous le verrons un peu plus loin.
Voir la suite sur :
[www.cairn.info]
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 26 mai 2014, 02:41 |
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