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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 22 janvier 2010, 04:12 |
Yèsser a lik Ya Orti !
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 22 janvier 2010, 11:01 |
Pour ce qui est des deux dernières prières, il semblerait que ce soit les catho qui s'en soient appropriés, en attribuant ces miracles à Jésus.
Quoique Jésus était très initié en matière de prières Juives, et pour cause.
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 22 janvier 2010, 14:59 |
Il y a un mois, le 12 octobre 2009, le célèbre présentateur de télévision, Jean-Pierre Foucault, recevait la médaille de Juste Parmi Les Nations, à titre posthume pour son papa Marcel.
résumé des faits par Paula, la femme de Marcel :
“J’ai vu le jour le 27 février 1916 à Mogelnica, en Pologne.
J’étais la troisième de neuf enfants d’une famille juive traditionnelle.
Mes parents tenaient une boulangerie-pâtisserie où ils travaillaient très dur.
Comme il n’y avait aucun avenir pour moi en Pologne, je suis partie en 1938 pour la Belgique où j’ai rejoint ma soeur Anna qui tenait avec son mari un supermarché de produits frais.
Je faisais de mon mieux pour l’aider à tenir le magasin et élever ses deux enfants, Paulette et Maurice.
Et puis les Allemands sont arrivés en Belgique. Je suis alors partie sur les routes à pied, sans ma soeur, mon beau-frère et les enfants qui pensaient ne rien risquer…
En juin 1940, après l’armistice, j’ai pensé rejoindre l’Argentine en prenant le bateau à Marseille.
Là, dans cette ville, je n’avais qu’un seul contact : Monsieur Falek. C’est grâce à lui que j’ai rencontré celui qui allait devenir mon sauveur, celui de ma famille et plus tard mon mari : Marcel Foucault.
Marcel Foucault m’a aidée tout au long de la guerre.
Il prenait pour moi, comme pour d’autres juifs, des risques énormes. Il nous fournissait de faux papiers, essayait de nous trouver des
logements et mettait sans cesse sa vie en péril pour sauver la nôtre.
En 1941, il avait rejoint le réseau “Combat”, la plus importante organisation de Résistance en zone sud, où il tenait une rôle de “boîte aux lettres” dans les services de liaison, s’occupait aussi des dépôts d’armes et surtout de la fabrication de tickets d’alimentation et de faux documents.
Quand les rafles ont commencé à Marseille, alors qu’il me connaissait à peine, il m’a cachée chez une dame de la Rose, Madame Garnier, et m’a donné de faux papiers. Il payait lui-même ma logeuse chaque mois et me rendait visite sans cesse.
Quant à mes neveux, Maurice 5 ans et Paulette 9 ans à l’époque, s’ils sont en vie encore aujourd’hui, ils ne le doivent qu’au courage et à la générosité de Monsieur Foucault qui a pris tous les risques imaginables pour les sauver des griffes des Allemands.
Je peux vraiment dire que toute la famille que j’ai aujourd’hui, je la dois à celui qui est devenu mon Mari, car c’est lui qui a sauvé, au péril de sa vie, le peu de famille que les Allemands n’ont pas réussi à m’arracher.”
“Mais la générosité de Monsieur Foucault à l’égard des juifs ne s’arrêtait pas à aider ma seule famille. Je sais qu’il a fourni à sa secrétaire, qui était juive, de faux-papiers.
Malheureusement, elle fut arrêtée et forcée de dénoncer celui qui lui avait fourni sa carte d’identité. Vous n’imaginez pas le combat qu’il a fallu mener pour sortir Monsieur Foucault des mains de la Gestapo.
Quinze jours très douloureux dont il est ressorti encore plus fort et convaincu de s’opposer à l’occupant.
La Médaille des Justes est décernée par l’Institut Yad Vashem de Jérusalem aux personnes non juives qui ont sauvé des juifs au péril de leur vie. “Qui sauve une âme sauve l’humanité toute entière!” voilà ce qui est inscrit à Yad Vashem.
Par cette médaille et ce diplôme, la nation juive et l’Etat d’Israêl n’oublient pas ces actes de bravoure; et en décernant “LA MEDAILLE DES JUSTES PARMI LES NATIONS “la plus haute distinction décernée par l’Etat d’Israël, ils manifestent ainsi leur reconnaissance à ces “Justes”!!
Pièces jointes:
résumé des faits par Paula, la femme de Marcel :
“J’ai vu le jour le 27 février 1916 à Mogelnica, en Pologne.
J’étais la troisième de neuf enfants d’une famille juive traditionnelle.
Mes parents tenaient une boulangerie-pâtisserie où ils travaillaient très dur.
Comme il n’y avait aucun avenir pour moi en Pologne, je suis partie en 1938 pour la Belgique où j’ai rejoint ma soeur Anna qui tenait avec son mari un supermarché de produits frais.
Je faisais de mon mieux pour l’aider à tenir le magasin et élever ses deux enfants, Paulette et Maurice.
Et puis les Allemands sont arrivés en Belgique. Je suis alors partie sur les routes à pied, sans ma soeur, mon beau-frère et les enfants qui pensaient ne rien risquer…
En juin 1940, après l’armistice, j’ai pensé rejoindre l’Argentine en prenant le bateau à Marseille.
Là, dans cette ville, je n’avais qu’un seul contact : Monsieur Falek. C’est grâce à lui que j’ai rencontré celui qui allait devenir mon sauveur, celui de ma famille et plus tard mon mari : Marcel Foucault.
Marcel Foucault m’a aidée tout au long de la guerre.
Il prenait pour moi, comme pour d’autres juifs, des risques énormes. Il nous fournissait de faux papiers, essayait de nous trouver des
logements et mettait sans cesse sa vie en péril pour sauver la nôtre.
En 1941, il avait rejoint le réseau “Combat”, la plus importante organisation de Résistance en zone sud, où il tenait une rôle de “boîte aux lettres” dans les services de liaison, s’occupait aussi des dépôts d’armes et surtout de la fabrication de tickets d’alimentation et de faux documents.
Quand les rafles ont commencé à Marseille, alors qu’il me connaissait à peine, il m’a cachée chez une dame de la Rose, Madame Garnier, et m’a donné de faux papiers. Il payait lui-même ma logeuse chaque mois et me rendait visite sans cesse.
Quant à mes neveux, Maurice 5 ans et Paulette 9 ans à l’époque, s’ils sont en vie encore aujourd’hui, ils ne le doivent qu’au courage et à la générosité de Monsieur Foucault qui a pris tous les risques imaginables pour les sauver des griffes des Allemands.
Je peux vraiment dire que toute la famille que j’ai aujourd’hui, je la dois à celui qui est devenu mon Mari, car c’est lui qui a sauvé, au péril de sa vie, le peu de famille que les Allemands n’ont pas réussi à m’arracher.”
“Mais la générosité de Monsieur Foucault à l’égard des juifs ne s’arrêtait pas à aider ma seule famille. Je sais qu’il a fourni à sa secrétaire, qui était juive, de faux-papiers.
Malheureusement, elle fut arrêtée et forcée de dénoncer celui qui lui avait fourni sa carte d’identité. Vous n’imaginez pas le combat qu’il a fallu mener pour sortir Monsieur Foucault des mains de la Gestapo.
Quinze jours très douloureux dont il est ressorti encore plus fort et convaincu de s’opposer à l’occupant.
La Médaille des Justes est décernée par l’Institut Yad Vashem de Jérusalem aux personnes non juives qui ont sauvé des juifs au péril de leur vie. “Qui sauve une âme sauve l’humanité toute entière!” voilà ce qui est inscrit à Yad Vashem.
Par cette médaille et ce diplôme, la nation juive et l’Etat d’Israêl n’oublient pas ces actes de bravoure; et en décernant “LA MEDAILLE DES JUSTES PARMI LES NATIONS “la plus haute distinction décernée par l’Etat d’Israël, ils manifestent ainsi leur reconnaissance à ces “Justes”!!
Pièces jointes:
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 23 janvier 2010, 09:35 |
freddyb a écrit:
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> girelle a écrit:
> --------------------------------------------------
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> > ladouda a écrit:
> >
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>
> > -----
> > > Salut Henri.
> > >
> > > Duquel de ces deux poissons là, il a eu peur
> > ton
> > > copain ?
> > >
> > >
> > >
> > Le deuxième poisson, Douda, c'est un poisson
> bonne
> > soeur ou emburqané?
> Je crois plutôt que c'est un "ancistrus",poisson
> nettoyeur , j'ai une espèce rapprochante dans mon
> aquarium , je vous le présenterai un jour .
> Il faut saisir l'humour de de ladouda , il y a un
> poisson mordeur (la murène", et un poisson suceur
Un poisson que j'avais promis de vous presenter , suite aux poissons publiées par Ladouda.
Voir citation ci-dessus
Pièces jointes:
![003 [800x600].JPG](https://harissa.com/forums/file.php?56,file=16713,filename=003_800x600_.JPG "003 [800x600].JPG")
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> girelle a écrit:
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> > ladouda a écrit:
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> > > Salut Henri.
> > >
> > > Duquel de ces deux poissons là, il a eu peur
> > ton
> > > copain ?
> > >
> > >
> > >
> > Le deuxième poisson, Douda, c'est un poisson
> bonne
> > soeur ou emburqané?
> Je crois plutôt que c'est un "ancistrus",poisson
> nettoyeur , j'ai une espèce rapprochante dans mon
> aquarium , je vous le présenterai un jour .
> Il faut saisir l'humour de de ladouda , il y a un
> poisson mordeur (la murène", et un poisson suceur
Voir citation ci-dessus
Pièces jointes:
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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère. 23 janvier 2010, 22:02 |
Chavoua tov a tous les amis.
Premierement.
Jeudi soir le temps etait pluvieux, le ciel etait tres nuageux, mais comme j'avais dit la veille, la meteo avait predit une accalmie.
Vendredi matin je me disais il doit faire mauvais, reste encore au lit.
Mais en me levant, pas un nuage, le ciel bleu, pas de vent, parfait pour rencontrer Freddy.
J'ai courru au bet-habbad faire ma priere, et je suis retourne dare-dare a la maison mettre mon maillot.
J'arrive a Ashddod , je m'installe, constate que la mer est relativement agite, me prepare a rentrer dans l'eau et je vois un monsieur grand de taille avec une casquette qui se dirige vers moi. Tout de suite je savais que c'etait Freddy.
On c'est embrasse chaleureusement comme des amis de longue date, alors que c'etait la premiere fois que l'on se voyait.
Freddy avait fait une fugue, il n'avait pas dit a Aline ou il allait de bon matin.
Bref la mer m'attendait, j'ai plonge malgre les vagues, et comme j'avais prevu la rencontre, j'ai tire mon appareil photo.
il y avait deux grands-mere qui promenaient leur petits enfants, et je leur ai demande de nous faire une photo. sur la premiere on pouvait tres bien voir nos pieds, mais pas nos tetes, mais sur la seconde on pouvait nous voir, et constater que nous etions content.
Freddy est reparti, avant qu'Aline ne se demande ou il avait disparu, quand a moi, je suis retourne profiter de cette mer que j'aime trop.
Lorsque j'etais au liban, il nous etait formelement interdit de rentrer dans l'eau. J'avais profite du pretexte que nous n'avions pas d'eau pour nous doucher, et j'avais dit a l'officier, je vais juste me laver les pieds. Mes pieds etaient un peu longs, et comme la mer etait d'huile je rentrais tres tres loin me rappelant nos baignades interminables en Tunisie.
J'arrette ici.
Yom tov lecoulam.
Pièces jointes:
Premierement.
Jeudi soir le temps etait pluvieux, le ciel etait tres nuageux, mais comme j'avais dit la veille, la meteo avait predit une accalmie.
Vendredi matin je me disais il doit faire mauvais, reste encore au lit.
Mais en me levant, pas un nuage, le ciel bleu, pas de vent, parfait pour rencontrer Freddy.
J'ai courru au bet-habbad faire ma priere, et je suis retourne dare-dare a la maison mettre mon maillot.
J'arrive a Ashddod , je m'installe, constate que la mer est relativement agite, me prepare a rentrer dans l'eau et je vois un monsieur grand de taille avec une casquette qui se dirige vers moi. Tout de suite je savais que c'etait Freddy.
On c'est embrasse chaleureusement comme des amis de longue date, alors que c'etait la premiere fois que l'on se voyait.
Freddy avait fait une fugue, il n'avait pas dit a Aline ou il allait de bon matin.
Bref la mer m'attendait, j'ai plonge malgre les vagues, et comme j'avais prevu la rencontre, j'ai tire mon appareil photo.
il y avait deux grands-mere qui promenaient leur petits enfants, et je leur ai demande de nous faire une photo. sur la premiere on pouvait tres bien voir nos pieds, mais pas nos tetes, mais sur la seconde on pouvait nous voir, et constater que nous etions content.
Freddy est reparti, avant qu'Aline ne se demande ou il avait disparu, quand a moi, je suis retourne profiter de cette mer que j'aime trop.
Lorsque j'etais au liban, il nous etait formelement interdit de rentrer dans l'eau. J'avais profite du pretexte que nous n'avions pas d'eau pour nous doucher, et j'avais dit a l'officier, je vais juste me laver les pieds. Mes pieds etaient un peu longs, et comme la mer etait d'huile je rentrais tres tres loin me rappelant nos baignades interminables en Tunisie.
J'arrette ici.
Yom tov lecoulam.
Pièces jointes:
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