La Section de la Poesie

La flamme de la vie

Qui peut comprendre, la flamme qui envahit nos coeurs
Elle surgit si quelqu'un menace la vie et le bonheur

Son langage, n'est ni la parole, ni l'ardeur
Elle vient d’une source invisible d'une profondeur

Elle s'exprime à travers le physique et les sentiments
Pour nous faire comprendre la douleur du moment

Dans le silence elle souffle, elle brûle à tout les vents
Elle n'accepte ni excuses, ni sourires, ni apaisement,

Sa vie est pure et d'une toute autre substance
N'appartient ni à la terre, ni aux cieux, ni à la science

Qui peut la pénétrer, même en apparence
Dans sa vie unique et au coeur de l'enfance

Ni les trésors du monde, ni les meilleures distractions
Ne peuvent l'atteindre ou même attirer son attention.

De tous les âges elle ne comprend qu'un langage
Celui qui lie tous les êtres conscients et sages

Riches ou pauvres, intelligents ou ignorants
L'essentiel qu’ils se rendent conscients

De la source de leur origine et de leur descendance
Qui n'est ni des ancêtres, ni des proches ressemblances

Mais celle qui nous pénètre par la force de l'amour
Et crée en nous le bonheur et la paix pour toujours.

Les jours qui passent ne reviennent plus
Merci, merci, de les avoir bien vécu

Les jours qui viennent apportent l'inconnu
A nous de les accueillir avec joie et retenue

Copyright 2007 Emile Tubiana

Ah Ah Ah…
Rani ââ’chac blédi,
Ah Ah Ah…
Aâ’chac eye e’wé’é.
Mssafar él blédi
Mech’moun mébin gerni.
Maw’ja fi oud’ni
Rac’ha fi dé’créyèti
Mra’ouah e’ zour zémiléti
Oueled hak’el’ouédi.

Je suis amoureux de mon pays,
Je suis amoureux oui de son air
Je voyage dans mon pays
Mon jasmin entre mon oreille.
L’écho de son écume dans mes ouïes
Repose au fond de mes souvenirs.
Je pars visiter mes amis
Les enfants de ma goulette.

Tounes el khadraAAA
§§§§§ Ah Ah Ah….
Blédi ye BlédiIII,
Dimé fi jorti
Ou fi tokh’mémi.
Ah Ah Ah…
Ah yé rabi,
N’da’car blédi
Allaisch yé khé’oué’ti
Mchit ou khélit tac’ssi.

Tunis la verte
Ma ville, Ma ville,
Me suit de partout
Et dans mes souvenirs ;
Ah mon D ieu,
Je me rappelle de mon pays,
Pourquoi chers frères,
J’en suis parti et laissé mon beau temps.

Loucen hab mouléne
Rani mssa’far, yé omri
Jeyi, yé calbi, mél bléd
Ténia elli khtart’a
Ezzet’ni yé Salwa.
Ouéni mssa’far yé rou’hi
En zour baba l’âass’li.
Eli racéd taht é lard.
Yerham él ouel’din.

Si le tout puissant le veut
Je voyage mon âme.
Je viens, mon cœur, du second pays que j’ai choisi
Elle m’a pris mon cher Abraham.

Je voyage mon cher,
Et rendre visite à mon papa le doux.
Qui sommeille sous terre.
Que D ieu bénisse les âmes de nos parents.

La goutte qui fait déborder le vase
Et mouille la nappe, la table.
Celle qui parfois met le feu aux poudres
Et fait dire n’importe quoi
Lorsque sourde est la colère.

La Goutte qui bloque
Les articulations et tout s’enflamme.
Mon corps porte la goutte
En haut en bas, sur mes os, elle coule
Je la traite l’hiver venu et me maltraite
L’été aussi.

La Goutte ruisselle sur la vitre
Et pleurent mes carreaux.
La Goutte j’égoutte
Dans l’égouttoir les spaghettis
Que je goute et re-goutte.

La Goutte par trop d’ chaleur
Sur mon front, je l’éponge.
Elle suit le corps du soda
Et je l’essuie.

La Goutte sur mon visage
Suit mes rides sur son chemin.


Et la Goutte celle qui donne la vie.

breitou a écrit:
-------------------------------------------------------
Et la Goutte celle qui donne la vie.
>
>

Et la Goutte celle qui donne la vie.

parles tu de l'eau de vie
de la goutte qu'on offre a un copain
quand son cœur est au trop plein
celle qui passe entre le nez et le menton
aimée par nos ancêtres et nos descendants
parles tu du coup d'étrier
quand on est pas cavalier
J'arrête ces stupides vers
je dois me verser un verre

Verse toi et bois l'eau de vie.
Boukha.

La flamme...! Très joli.

Souffle.

Il a suffit d’un souffle
Dans ses narines
Et Adam prend vit.

Souffle sur un corps étendu
Et lui faire reprendre la vie.

Souffle sont nos vies.

Souffle sur la braise ardente
Et naissent les sentiments
A faire cuire nos émotions.

Et la flamme de l’amour s’anime.
Sous le souffle de la passion.

Souffle reEEtenu.
Souffle perdu,
A courir derrière le vent.
Qu’on laisse derrière soi
Ou par devant, pure perte de temps.

Gonfle tes poumons
Gonfle tes espoirs
Ton courage gonfle
Et tout repart comme avant.

Expire tes tristesses
Respire tes joies.

N’oublie pas que tout tient
Dans un souffle divin.
Et le bébé pleure, rougit,
Sous son premier souffle.

Tout en souffle la vie.

Sahet ya oueld lahlal'
Excellent ,
voila la vie qui reprend
dans ces ecrits: qui date depuis un temps
"Il a suffit d’un souffle "
Haka Nhebek ya rajel sid larjel.
La vie est une poesie qui ne dure qu'un temps

En tebââ dimé el beyi Emile.
Je suis tjs le bon.