LE PTB ET MOI.

Envoi les toutes ici. Il y a bcp de place.

C'est la fin de la journée et je m'aperçois que je ne me suis pas encore présentée au PTB ....

Au fait PTB ... ça veut dire quoi ?

Petit Train Bleu ?
Paris, Tunis, Bizerte ?
Petit Théâtre de Boulevard ?

Je ne suis pas Tune puisque née au Maroc, à Rabat en des temps lointains ... mais j'ai toujours entendu parler de la Tunisie car la famille de mon mari s'y était installée en 1903 et que mes beaux-parents y sont nés ....
J'habite en Provence ........ je suis heureuse de retrouver ici des amies .....
J'oublie de dire que je n'ai pas eu besoin de soufflet pour éteindre mes bougies en septembre !!!!
Permettez que je me retire sur la pointe des pieds, assez parlé de moi .. à bientôt.

Fanfina

LE PETIT THEATRE DE BREITOU.
Il existe aussi là bas, lorsqur tu ouvres Adra, tu trouves la rubrique.
Ici c'est une succursale, la vitrine du PTB.

Le premier theâtre dans le virtuel qui fonctione du matin au soir.
Sous tous les climats.

Date de naissance le 2/04/2002.Sur l'ancien Adra.
Ce n'est pas un canular Fanfine.

Paix à toi FANFINE.

Commencé le 9/12/2008 PAGE 225 à 22 HEURES 10 ET 226 229...


RENCONTRE D'UN SECOND TYPE 4....

4°.

Il était déjà bien plus intelligent que je ne l’étais à mon âge.

‘…Je sais, je sais, mais je crains que je cela ne remue en moi de vieux souvenirs… ! Peut être qu’elle était élève dans ma classe… !’
‘…Je ne le crois pas, mes parents habitaient Rennes, avant de s’installer à Paris, bien avant que je ne sois né… ! Papa est décède… ! Je ne l’ai pas connu… !’

Il était orphelin de père.

‘…Mais comment es-tu né… ?’

La seconde question aussi idiote que la première laissa l’enfant surpris.
Et moi pantois.

‘…Comme tout le monde Monsieur… ! Bon je dois rentrer, au revoir Monsieur.. !’

Ce ‘Comme tout le monde’ sonna le glas à toutes mes autres questions et je résolus d’approcher sa maman d’une autre façon.

Je lançais malgré moi un ‘…Fais attention, Albert... !’ L’enfant ne l’entendit pas et continua sa rentrée en patins à roulettes. Me laissant debout avec mon parapluie démodé sur le gravier humide.

Je prétextais à ma femme, un dîner avec le vieux Meyer, pour attendre la sortie du midi avec le ferme espoir de le suivre. Je me suis soudain souvenu que les enfants déjeunaient à la cantine et bien déçu, je laissais tomber et le prétexte et mon ami Meyer.

Sans démordre, je revenais cette fois ci, bien déterminé vers les 16 heures pour surprendre Albert, mon sosie à 8 ans.
Là encore ma patience fut satisfaite ; le jeune garçon, comme les deux jours précédents, sortait avec ses amis, les patins en bandoulière. Une chance pour moi, moi qui ne pouvais pas courir et encore moins marcher assez vite.

Je le suivais du regard à distance raisonnable, à son insu.
Le petit groupe se sépara et j’en profitais pour forcer le pas.

Albert quitta ses copains et s’engagea dans l’avenue Mac Donald.
Quelques mètres plus loin, je le vois s’arrêter et composer le code de l’entrée d’un immeuble puis disparaître par la grande porte cochère. Un joli immeuble nouvellement construit.
Sa silhouette disparaît alors que je surprenais le battant de la porte se refermer, laissant ma curiosité inassouvie. Mais têtu comme je le suis, je me plantais devant cette même issue dans l’espoir de la revoir s’ouvrir de l’intérieur par la sortie d’un locataire.
Ce qui fut fait. Cinq minutes plus tard un homme à barbe en sorti.
Je compris que l’homme était un religieux juif comme moi mais pas tout a fait.
Lui, grand supporter de la torah, moi fan de rien du tout, mais grand fervent de Achem.
Et ancienne idole des culs des femmes.

A suivre…

5°.

J’étais à présent dans le grand hall richement dallé en carreaux de marbre. Des miroirs reflétaient mon auguste silhouette. Des bacs à fleurs relevaient le très bel ensemble. Un ascenseur attendait un éventuel locataire.

Le sol était d’un tel lustrant que ma vieille carcasse s’y réfléchit. Aussi.
Je n’osais marcher sur ce sol noble, et si poli, qui brillait de mille éclats.
Un vrai sacrilège pensais-je.

‘…Marbre de Carrare, comblanchien de la région de Sienne… ! A cause de ses petites veines roses qui lézardent sa surface… !’ Dis-je à haute voix.

‘…Vous êtes marbrier… ?’ Me dit une voix de derrière moi.

Je me retournais et là je tombe sur une femme de belle allure, très belle, mince, habillée très chic, d’un beau tailleur couleur crème qui lui moulait le corps. Le tout rehaussé par un très joli sac aux boucles CD et des talons assortis. Légèrement maquillée avec de grands yeux noirs en forme d’amande.
Ses cheveux longs et couleur blond cendre tombaient sur ses épaules avec une belle frisures comme des serpentins sortis d’une source pure et limpide.

Ses traits étaient si réguliers que j’avais le sentiment qu’ils avaient été dessinés par un grand artiste. Aucune fausse note, pas un défaut dans ce sourire élégant qui laissait entrevoir une galerie de dents blanches aussi régulière que l’étaient ses traits.

‘…Oh, excusez-moi… ! ‘ Dis-je en ôtant mon béret basque … !’…Madame… ! Ce matériau a réveillé en moi, mon ancien et vieux métier... ! De vieux souvenirs de Tunis… !’
‘…Je m’excuse d’avoir interrompu votre conversation avec ce noble matériau que je respecte et comme le hasard fait bien les choses, je vous confie que mes parents sont de Tunis… !’
Mon papa est décédé, maman est là… ! Elle vit chez moi… !’ M’avoue t’elle avec candeur et franchise.
‘…Vous portez un médaillon, un ‘che dei’… ?’
‘…Je suis juive Monsieur… !’
‘…Albert… !’
‘…Comme mon fils alors… !‘…Vous cherchez qui dans cet immeuble, Monsieur… !’
‘… L’endroit est peu approprié pour en parler… !... Madame…. !’

Ironie du sort, elle était la maman de Albert le petit.

‘…Claudine Seknazy… ! Mais si vous le désirez, nous pouvons monter chez moi pour parler de ce qui semble vous tracasser… !’
‘…A quoi voyez vous cela, Madame… ?’
‘…le flair d’une femme ne la trompe jamais… ! Puisque vos origines sont comme les miennes, nous bavarderons un instant… !’

J’étais troublé par sa beauté d’une part et par le charme et la grâce qui se dégageaient de sa voix. Son sourire donnait l’impression que ses mots, sortis de sa bouche, coulaient naturellement. Elle devait avoir entre les 35 et 40 ans, une fourchette d’age que je jugeais assez convenable.
J’appris plus tard qu’elle en avait 32.

A suivre. Prochainement.

Please veuillez écrire en gras et en couleurs !!!fo pas zoublier kil y a le Pépé et de jeunes mamys et papys ici


[]Kikou Fanfina !!!bien sur pas de soufflets !!!mais nous étions combien à souffler avec toi?????
J'attends avec impatience que tu nous places tes trésors de photos sur la Tunisie !

J'ai trotté avec ma puce cet aprés midi un régal ! mais il a fallu la suivre ...je vais lire Gala -voici -voilà pour être toujours la cop's de mes ptis djeunes !!!faut se tenir au courant entre le dernier Benoite Groult et les magazines people y a pas photo ??

Zazaounette je sais que tu bosses avec ton boss j'espère que tia pas suivi le magicien au moins????



Pièces jointes:

bonne nuit mamili.
j'espere que tu ne reveras pas du magicien de zaza!!!!
albert, attend , tu auras tous nos amis ici, qquns sont en vacances a marbella et ailleurs, a leur retour on te les presentera.

Bonsoir la compagnie du PTB

Mam, un grand mazal tov pour Sarah... ad 120 amen !
Je vois que vous avez fait les pretty women lol.

Effectivement Mam, je suis assez occupée ces derniers temps au boulot et je fais la tournée des restos avec mon BOSS... ?

Bonne nuit et bisous
Pièces jointes:

MESDAMES & MESSIEURS les "HARISSIENS-NES",

Je vous avoue que je ne m'ennuie pas du tout à vous lire, a voir évoluer vos petites chamailleries et aussi vos réconciliations, ce qui prouve que le tout est sans grande importance.

Cela me prouve que Harissa est un grand théâtre, ou se jouent plusieurs scènes différentes.

Plusieurs acteurs ont des casquettes différentes, on peut très bien les reconnaitre au fil des jours, en suivant plusieurs rubriques. Cela peut porter à confusion, mais celui qui suit le fil, comprend toutes les scènes et tous les rôles que jouent tout un chacun, presque tout est improvisé.

Je constate aussi que vous prenez tous un grand plaisir a jouer ce jeu, et surtout a faire partie de ce grand théâtre, bien entendu j'ai presque envie de rentrer avec vous sur scène pour faire partie des acteurs.... malheureusement, je n'ai pas votre talent, et surtout le grand talent de notre cher et tendre BREITOU qui sans lui, ce GRAND THEATRE n'aurait pas existé.

Un jour c’est un qui gagne le lendemain c’est l’autre qui perd et le surlendemain la roue tourne et ainsi va la vie……

Au fond, vous vous taquinez tous les uns et les autres, mais vous vous aimez tous, vous vous critiquez tous, mais vous avez un grand amour envers vous tous, et même si vous pensez le contraire, votre subconscient est certainement d'accord avec mon jugement.

Tout le monde n’est pas d’accord avec les autres, ne dit on pas au sujet des juifs : « deux juifs = sept pensées différentes » le symbole de la MENORA.

Je me sent dans l’obligation de porter un grand hommage a SUZANNE, une pensée pour ELSA, une fleurette pour MAMILI, de l'estime pour GIRELLE, un bonjour a FREDDY, de l'amitié pour LA DOUDA, un grand BRAVO pour BREITOU, et surtout UN GRAND CORDIAL CHALOM a toutes les MAROCOTTES que j'aime déja et que je voudrais connaitre, des excuses a tous ceux que j'ai pu oublier de citer....

Bonne nuit les amis. je baisse les rideaux du theatre de breitou et vous dis a demain!!!!!
Pièces jointes: